| | | | | Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18580 messages postés |
| Posté le 18-07-2020 à 18:11:38
| Voilà ce qu'en dit Global Times du 17, à ce moment-là il était question d'un cas symptomatique et de 3 asymptomatiques. Je n'ai pas vu d'info sur la "réunion de groupe" juisqu'ici : Le Xinjiang a resserré le contrôle après la révélation de cas de COVID-19 Source: Global Times Publié: 2020/7/17 11:21:36 https://www.globaltimes.cn/content/1194847.shtml Des touristes visitent la rue gastronomique du Grand Bazar à Urumqi, capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 4 juillet 2020 (Xinhua / Ding Lei) Le Xinjiang devrait prendre des mesures strictes pour freiner la propagation du virus, prévenir les cas importés et renforcer les tests dans les zones densément peuplées, a déclaré jeudi le chef du Parti du Xinjiang Chen Quanguo lors d'une réunion du Parti après qu'un cas de COVID-19 symptomatique et trois asymptomatique aient été signalés à Urumqi, le capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine. Les responsables ont souligné la nécessité de resserrer la gestion du réseau dans les communautés et les zones rurales du Xinjiang, et d'améliorer le dépistage dans les cliniques de fièvre des hôpitaux de la région. Des efforts devraient également être faits pour renforcer la publicité, l'éducation et les conseils sur le contrôle et la prévention des épidémies et pour répondre aux préoccupations sociales en temps opportun, ont souligné les responsables lors de la réunion. À partir de vendredi, Juneyao Air a demandé à tous les passagers à destination et en provenance d'Urumqi du Xinjiang de présenter un test d'acide nucléique négatif dans les sept jours et de s'assurer que le code de santé est en bon état. Ceux qui ne satisfont pas aux exigences subiront une quarantaine de 14 jours pour observation médicale. Vendredi matin, les vols à destination et en provenance d'Urumqi avaient été en grande partie annulés, avec un taux d'annulation de 89%. La préfecture autonome de Changji Hui, voisine d'Urumqi, a annoncé vendredi qu'elle suspendrait toutes ses activités de bus public, tandis que tous les travailleurs de première ligne seront tenus de subir des tests d'acide nucléique et que tous les véhicules seront soigneusement stérilisés pendant la suspension temporaire. Le district de Fengman de la ville de Jilin, dans la province de Jilin, dans le nord-est de la Chine, a annoncé qu'il renforcerait ses procédures de dépistage médical pour ceux qui arrivent dans la ville en provenance du Xinjiang depuis le 25 juin, alors que de nouveaux cas de COVID19 ont été signalés dans la région. Pendant la période de prévention et de contrôle des épidémies nationales régulières, les cas sporadiques sont à peine évitables et il n'y a pas besoin de panique excessive, a déclaré vendredi l'expert chinois en prévention des épidémies Tao Lina au Global Times. Cependant, avec une source et une voie de transmission inconnues du coronavirus, un contrôle renforcé et un dépistage étendu sont toujours importants, car certains infectés asymptomatiques sont toujours à risque de transmission. Tao a déclaré qu'il était nécessaire de comparer les résultats du séquençage génétique du nouveau coronavirus de Pékin et d'Urumqi pour déterminer si les cas étaient liés. "Mais parce que le Xinjiang a une densité de population beaucoup plus petite que Pékin, il devrait être relativement facile à contrôler", a déclaré Tao. Global Times
Edité le 18-07-2020 à 20:09:24 par Xuan
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18580 messages postés |
| Posté le 18-07-2020 à 20:07:33
| Je trouve d'autres infos sur https://www.dwnews.com/ dont je ne connais pas l'orientation politique précise, dans un article du 17, qui signale un cas confirmé. A mon avis la trad auto Google chinois-français a buggé sur le nombre de cas vendredi. Les agences pro US se sont empressées de suspecter un nième génocide dans un "camp de concentration". Le Figaro du 17/07 en rapportant cinq cas sans autre précision y est allé de son couplet habituel sur le "million de musulmans internés en ajoutant "Au début de l'épidémie, qui a largement épargné le Xinjiang d'après les chiffres officiels, des organisations pro-ouïghoures s'étaient inquiétées des conséquences possibles d'une contagion dans ces centres" . Les cas sont apparus en ville, à Urumqi. Le déclenchement de l'épidémie au Xinjiang est inconnu Chine Écrit par: Nancy 2020-07-17 14:52:00 L'épidémie de nouvelle pneumonie coronarienne en Chine (COVID-19) a également connu des signes de rebond, avec 149 jours consécutifs de cas non diagnostiqués au Xinjiang. Selon le compte public WeChat du Comité de santé et de bien-être de la ville d'Urumqi du Xinjiang le 17 juillet, un cas confirmé a été trouvé selon le "Xinjiang Daily", le 17 juillet, le comité du parti de la région autonome du Xiné le 15 juillet dans le district de Tianshan de la ville, et la source de l'infection est toujours sous enquête. Chen Guoguo, secrétaire du Comité du Parti de la région autonome du Xinjiang, a déclaré le 16 qu'il devrait attacher de l'importance à la prévention et au contrôle des épidémies. Selon le "Xinjiang Daily", le 17 juillet, le comité du parti de la région autonome du Xinjiang a tenu une réunion le 16 juillet et le secrétaire du comité du parti de la région autonome du Xinjiang, Chen Quanguo, a déployé un travail de prévention et de contrôle des épidémies. La réunion a souligné que l'émergence de nouveaux cas confirmés et d'infections asymptomatiques dans la ville d'Urumqi a de nouveau sonné l'alarme. Il est nécessaire de surmonter la paralysie et la réflexion laxiste et de faire du bon travail en normalisant la prévention et le contrôle des épidémies. La réunion a déclaré qu'il était nécessaire de faire un bon travail dans la traçabilité du flux de cas, de renforcer l'analyse approfondie des cas confirmés et de veiller à ce que personne ne soit oublié. Il est nécessaire de mettre en œuvre strictement les mesures de prévention et de contrôle, d'adhérer aux mesures d '«importation de défense étrangère, de rebond de la défense interne», et de renforcer la gestion des entrées et sorties du personnel et le suivi et la prévention de la situation épidémique des migrants au Xinjiang. Il est rapporté qu'après l'annonce des cas confirmés au Xinjiang, à 11 h 20 le 17 juillet, 227 vols à destination et en provenance de l'aéroport d'Urumqi ont été annulés. Juneyao Airlines et East China Sea Airlines exigent que tous les passagers entrant ou sortant d'Urumqi sur leurs vols doivent porter un rapport de test d'acide nucléique dans les 7 jours avant le voyage pour prouver qu'il n'y a pas d'infection. De plus, afin de prévenir et de contrôler l'épidémie, le métro Urumqi a annoncé que la ligne 1 sera suspendue à partir de 22h00 le 16 juillet. C'est la seule ligne de la ville qui peut être ouverte à la circulation. Le groupe de transport public local de Changji a annoncé le 17, via son compte public WeChat, que tous les véhicules en service du groupe seront suspendus à partir d'aujourd'hui et que les employés seront disposés à subir des tests d'acide nucléique pour désinfecter en profondeur tous les véhicules.
________________ Le 18/07 Xinhua signale 16 nouveaux cas. Tous les cas sont identifiés à Urumqi. Le Xinjiang signale 16 nouveaux cas confirmés de COVID-19 transmis localement http://french.xinhuanet.com/2020-07/18/c_139222257.htm URUMQI, 18 juillet (Xinhua) -- La région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a signalé vendredi 16 nouveaux cas confirmés de COVID-19 transmis localement, a annoncé samedi la commission régionale de la santé. Les nouveaux cas confirmés, tous dans la capitale régionale Urumqi, sont issus des cas précédemment sous observation médicale concentrée, a déclaré la commission. Vendredi, le Xinjiang comptait 17 cas confirmés de COVID-19 et onze cas asymptomatiques, tous à Urumqi, ainsi que 269 personnes toujours sous observation médicale. Vendredi, le Xinjiang avait signalé un total de 93 cas confirmés de COVID-19, dont 73 ont été guéris et sont sortis de l'hôpital.
________________ Le même site à la même date donne les chiffres pour le continent : http://french.xinhuanet.com/2020-07/18/c_139222219.htm "BEIJING, 18 juillet (Xinhua) -- Les autorités sanitaires chinoises ont déclaré samedi avoir reçu le signalement de 22 nouveaux cas confirmés de COVID-19 sur la partie continentale vendredi, dont 16 cas transmis localement. Tous les cas transmis localement ont été signalés dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang, a indiqué la Commission nationale de la santé dans son rapport quotidien. Aucun décès lié à la maladie n'a été rapporté vendredi, selon la commission. Vendredi, 21 patients de COVID-19 sont sortis de l'hôpital après leur rétablissement, et un nouveau cas suspect a été signalé au Xinjiang." [...]
________________ Enfin Global Times écrit le 18 l'article où se trouve l'extrait cité par Grecfrites. Il ressort que tous les cas sont cantonnés à Urumqi et que les efforts sanitaires visent à éviter leur diffusion à l'extérieur. Urumqi au Xinjiang s'engage à effectuer des tests de masse alors que la ville lutte contre la résurgence du COVID-19 Source: Global Times Publié: 2020/7/18 17:55:56 Dernière mise à jour: 2020/7/18 21:07:17 https://www.globaltimes.cn/content/1194916.shtml Photo de fichier: Xinhua Urumqi, la capitale régionale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), avec 3,5 millions d'habitants, promet d'accélérer les tests d'acides nucléiques dans toute la ville, les hôpitaux locaux déployant pleinement les capacités de test ces derniers jours, comme l'ont rapporté samedi les médias. La Commission nationale de la santé a dépêché 10 équipes médicales comprenant plus de 200 membres de 10 provinces et municipalités pour aider à effectuer des tests d'acides nucléiques à Urumqi. Des tests gratuits ont été effectués en groupes dans la ville, ont annoncé samedi les autorités. Un hôpital local a effectué des tests d'acide nucléique sur plus de 8 000 résidents par jour, selon les médias. La ville prévoit d'effectuer des tests d'acide nucléique dans les communautés avec des populations clés telles que les cas confirmés et suspects, les infections asymptomatiques, les contacts étroits et les patients souffrant de fièvre à partir de vendredi. La prochaine étape consistera à demander à d'autres communautés et employés de certaines entreprises de se soumettre aux tests. Urumqi a déclaré un "mode temps de guerre" car toutes les communautés résidentielles locales ont été placées sous "gestion bouclée" dans sa lutte contre la résurgence du COVID-19, ont annoncé les autorités locales lors d'une conférence de presse tenue samedi après-midi. Le nombre de vagues de cas de coronavirus est monnaie courante et "soumis aux règles du virus", a déclaré samedi Yang Zhanqiu, directeur adjoint du département de biologie des agents pathogènes de l'université de Wuhan, au Global Times. Yang a également appelé le public à ne pas paniquer. "Il est impossible de rester longtemps à zéro cas", a noté Yang. Urumqi a lancé un plan d'intervention d'urgence et mis en place 15 groupes spéciaux pour des actions anti-épidémiques, selon les autorités locales. Plusieurs mesures importantes sont strictement mises en œuvre dans la ville. Celles-ci comprennent la réalisation d'enquêtes épidémiologiques complètes et la désinfection dans des zones clés, et l'élimination de la source de l'infection virale; traiter les patients avec tous leurs efforts; entrer dans un «état de guerre» et arrêter les rassemblements de groupe, mettre en œuvre une «gestion fermée» pour les communautés résidentielles; dissuader les résidents locaux d'aller à l'extérieur d'Urumqi à moins que cela ne soit nécessaire; ceux qui doivent partir sont invités à subir des tests d'acides nucléiques et les autorités doivent lancer des tests dans toute la ville d'Urumqi. Au lieu de mettre en œuvre des blocages complets et de freiner le travail et la reprise de la production, Yang a abordé deux mesures clés. "Tracer l'origine et les voies d'infection de la maladie est la priorité", a déclaré Yang, notant qu'il est important "d'isoler les groupes clés", y compris les patients soupçonnés et confirmés avoir été infectés par le coronavirus en temps opportun. De minuit mercredi à midi samedi, Urumqi a signalé 17 patients COVID-19 confirmés et 23 cas asymptomatiques, selon les autorités locales. L'épidémie actuelle est liée à un rassemblement de groupe qui se développe rapidement, et les autorités sanitaires locales ont conseillé aux gens de ne pas paniquer car tous les cas confirmés présentent des symptômes légers à modérés, qui sont également sous surveillance médicale centralisée. L'autorité sanitaire d'Urumqi a fait rapport à la Commission nationale de la santé pour coordonner le séquençage et l'analyse des gènes des coronavirus, afin de mieux comprendre l'origine et les voies de transmission du virus, Rui Baoling, directeur du centre de prévention et de contrôle des maladies à Urumqi, a déclaré lors de la conférence de presse de samedi. Global Times
Edité le 18-07-2020 à 20:47:59 par Xuan
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| Posté le 19-07-2020 à 21:19:14
| Le compte-rendu sanitaire de GB sur le week end concernant le Xinjiang. L'accroissement des cas asymptomatiques est lié à la campagne de tests, la source est toujours inconnue. 8 h 54 le 18 juillet Vendredi, la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a signalé 16 nouveaux cas de COVID-19 transmis au pays et un cas local suspecté. 11 h 09 le 18 juillet Tous les patients COVID-19 gravement malades de Beijing se rétablissent et ont des symptômes atténués. Tous les patients sont traités avec la médecine traditionnelle chinoise en plus du traitement de routine: annonce officielle sur l'épidémie. 11 h 25, 18 juillet Le vendredi, le Xinjiang a signalé 11 nouveaux cas confirmés de COVID-19 à Urumqi, et tous sont sous observation médicale. Au vendredi, 17 cas confirmés et 11 patients asymptomatiques ont été confirmés dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) et 269 sont sous observation médicale. 13 h 18 juillet Santé nationale de la Chine La Commission a dépêché samedi une équipe d'experts dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine. L'ampleur de l'épidémie de COVID-19 dans la région n'est pas claire et une enquête plus approfondie est en cours: rapports des médias 16 h 08 18 juillet Un patient asymptomatique du COVID-19 à Shaoxing, dans le Zhejiang en Chine orientale, a été confirmé avoir voyagé depuis la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine. Tous les 311 voisins du patient ont été testés négatifs pour le virus. 16 h 22 18 juillet De minuit du vendredi au midi du samedi, la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) a signalé 12 nouveaux cas asymptomatiques de COVID-19, tous d'Urumqi; tous les patients sont sous observation médicale centralisée. 17 h 50 18 juillet De minuit mercredi à midi samedi, Urumqi, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a signalé 17 cas confirmés de COVID-19 présentant des symptômes légers à modérés et 23 cas asymptomatiques; l'épidémie actuelle est liée à un rassemblement de groupe: la commission locale de la santé. 17 h 52, 18 juillet La Commission nationale de la santé a dépêché 10 équipes médicales comprenant plus de 200 membres de 10 provinces et villes pour aider à effectuer des tests d'acides nucléiques à Urumqi. Des tests gratuits ont été effectués en groupes dans la ville du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine 18 h 04 18 juillet Urumqi, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), déclare le mode de contrôle en temps de guerre dans sa lutte contre le COVID-19 après l'apparition de nouveaux cas transmis localement depuis le mercredi. 8 h 16 19 juillet La Chine continentale a signalé 16 nouveaux cas confirmés de COVID-19 (13 au Xinjiang) et 42 nouveaux patients asymptomatiques de COVID-19
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| Posté le 19-07-2020 à 23:48:09
| Les infections à Urumqi remontent à un mariage: un médecin Par Liu Caiyu Source: Global Times Publié: 2020/7/19 11:15:45 https://www.globaltimes.cn/content/1194949.shtml La capitale du Xinjiang pourrait reprendre une vie normale dans trois ou quatre semaines: expert Alors qu'Urumqi, capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, appuie sur le "bouton pause" alors que la ville est entrée dans un "mode temps de guerre" au milieu d'une augmentation des infections au COVID-19, des experts chinois ont déclaré dimanche que l'épidémie y était contrôlable et que la ville s'attend à revenir à une vie normale en trois ou quatre semaines. La plupart des nouvelles infections ont été attribuées à une fête de mariage organisée début juillet, a déclaré dimanche un expert médical proche du dossier au Global Times, mais l'origine réelle du groupe d'infections est encore inconnue. Les experts ont déclaré que la possibilité qu'elle soit liée à des cas importés ne peut être exclue. Dimanche, Urumqi a relevé le niveau de risque COVID-19 de deux districts, les districts de Tianshan et Saybagh dans la ville, au plus haut, ont annoncé les autorités locales. Urumqi a découvert samedi 13 nouveaux cas confirmés et 18 infections asymptomatiques, a annoncé dimanche le dernier rapport de la commission régionale de la santé du Xinjiang. Tous sont sous observation médicale. Samedi, le Xinjiang a signalé un total de 30 cas confirmés de COVID-19 et 41 infections asymptomatiques, tous originaires d'Urumqi. Il y a 2 705 personnes sous observation. Les institutions de test COVID-19 à Urumqi fonctionnent à pleine capacité alors que la ville étend les tests d'acides nucléiques afin de détecter les personnes infectées. De nombreux instituts travaillent 24 heures sur 24. Le premier hôpital affilié de l'Université médicale du Xinjiang, l'un des 25 instituts capables de réaliser des tests de dépistage du COVID-19 dans la ville, a augmenté sa capacité quotidienne à 8000 contre 4000, a appris dimanche le Global Times. Un centre de test privé à Urumqi a également déclaré dimanche au Global Times qu'il intensifiait sa capacité de test en déployant de grandes quantités d'équipements de test dans le centre, lui permettant de traiter entre 20 000 et 30 000 tests par jour. "Nous nous préparons pour des tests COVID-19 dans toute la ville. Maintenant, nous testons principalement des personnes vers lesquelles le gouvernement nous a dirigés, mais la portée des tests devrait s'étendre plus tard" , a déclaré un membre du personnel du centre, refusant de donner son nom. . Selon les autorités sanitaires locales, à partir du 17 juillet, Urumqi a commencé à tester des groupes clés de quartiers où des tests positifs ont été confirmés, des cas suspects et asymptomatiques et leurs contacts étroits, ainsi que ceux présentant des symptômes de fièvre. La deuxième série de tests couvrira d'autres communautés et personnes dans les unités de travail du secteur public. En tant qu'examen auxiliaire, la ville adoptera également des tests par lots qui mélangent cinq échantillons en un seul test.
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| Posté le 22-07-2020 à 00:03:35
| Pour répondre à la question faut-il que les masques soient gratuits en France ? Urumqi lance le test COVID-19 gratuit dans toute la ville Par Liu Caiyu Source: Global Times Publié: 21/07/2020 10:15:53 Tester pour couvrir les 3,5 millions de résidents et de personnes séjournant dans les hôtels Urumqi, capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), offre des tests COVID-19 gratuits aux 3,5 millions de personnes de la ville à la suite d'une nouvelle épidémie de la maladie. Contrairement aux tests dans toute la ville à Wuhan qui ont été effectués après la levée du verrouillage, les tests à Urumqi sont destinés à suivre la source de la transmission communautaire, Zhang Yuexin, un expert médical qui fait partie du groupe anti-épidémique Urumqi et également directeur de le département des maladies infectieuses du premier hôpital affilié de l'Université médicale du Xinjiang, a déclaré mardi au Global Times. Tester tous les résidents révélera combien et quels types de personnes ont été infectées dans la ville. Il est possible que le COVID-19 existe depuis longtemps à Urumqi avant que la ville ne signale des cas confirmés et n'adopte des mesures de blocage pour lutter contre le virus, et entre ces périodes, un grand nombre de personnes s'étaient rendues dans d'autres villes de la région, comme Kashgar et dans la province du Zhejiang en Chine orientale, a déclaré Zhang. Abritant environ 3,5 millions de personnes, Urumqi a signalé 53 infections COVID-19 confirmées et 55 cas asymptomatiques mardi. L'épidémie d'Urumqi est liée à une activité de groupe, mais l'origine réelle du groupe d'infections est encore inconnue. Selon l'administration régionale de la sécurité sanitaire du Xinjiang, le coût d'un test d'acide nucléique dans un hôpital public est de 160 yuans (22,89 $) et un test d'anticorps varie de 25 à 35 yuans. De nombreuses villes chinoises, dont Xiangtan et Zhuzhou dans la province du Hunan (centre de la Chine) et Jiamusi dans la province du Heilongjiang (nord-est de la Chine), ont relevé leur niveau d'alerte sur les personnes qui se sont rendues à Urumqi depuis le 1er juillet. devront peut-être être mis en quarantaine. L'épidémie d'Urumqi s'est étendue à d'autres villes - Kashgar a signalé dimanche un patient de 69 ans originaire d'Urumqi, et avant cela, le 16 juillet, la province du Zhejiang a signalé un patient asymptomatique qui avait pris un vol d'Urumqi le 10 juillet. L'autorité sanitaire d'Urumqi a déclaré lundi que les tests pour les membres de groupes clés et les personnes sous observation médicale avaient été achevés. Les tests gratuits en cours seront progressivement étendus. es tests gratuits couvriront également les personnes actuellement extérieures à Urumqi, car le gouvernement local a déclaré que tous les hôtels de la ville offriraient des séjours, des repas, des services de prise en charge et des tests COVID-19 gratuits aux clients. Le programme de test à Urumqi impliquera 25 instituts de test d'acide nucléique et plus de 1600 travailleurs médicaux, aux côtés de plus de 200 personnes dans 10 équipes médicales de test d'acide nucléique de 10 provinces et villes organisées par la Commission nationale de la santé. Les institutions médicales travaillent à pleine capacité, avec des équipements de test fonctionnant 24 heures sur 24 et des techniciens travaillant 24 heures sur 24, a appris le Global Times. Des points de collecte dans chacun des districts de la ville ont été mis en place, et la communauté locale atteindra et organisera les résidents pour qu'ils soient testés dans des points d'échantillonnage désignés, a déclaré la Commission de la santé municipale d'Urumqi. Un employé de la communauté de Hongqiao située dans le district de Tianshan à Urumqi, atteint par le Global Times, a déclaré que des milliers d'habitants des communautés locales avaient été testés et que le travail de collecte d'échantillons était sur le point d'être achevé. Lorsque les résultats du test arriveront, ceux qui seront testés positifs au COVID-19 seront informés par la communauté locale, a déclaré l'employé. Le nombre d'infections au COVID-19 montre une tendance à la baisse car la première génération de contacts étroits a pour la plupart été confirmée ou diagnostiquée comme des infections asymptomatiques, a déclaré mardi Rui Baoling, directeur du CDC local à Urumqi. Urumqi, qui est en "mode de guerre" pour lutter contre le COVID-19, a scellé toutes les communautés résidentielles locales et tous les rassemblements sont interdits. Une vidéo circulant en ligne montre que la ville est vide. Les transports publics d'Urumqi, y compris les bus et les métros, ainsi que les lignes de passagers interurbaines sont suspendus, mais le transport de marchandises fonctionne normalement.
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| Grecfrites | Jeune Communiste | 235 messages postés |
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| Posté le 18-08-2020 à 16:40:32
| J'ai vu ces images sur le site du Huffington Post, sous le titre Wuhan, épicentre du Covid-19, indigne avec cette fête géante Parallèlement ce weekend le Hubei a ouvert gratuitement ses parcs au public du reste de la Chine, pour remercier le peuple chinois de son aide à la province la plus touchée. Il y a eu 1,67 million de réservations. Seuls ceux de régions sous surveillance devaient simplement réserver les billets gratuits en ligne avec leur vrai nom, montrer leurs codes de santé QR et procéder à un contrôle de température.
Edité le 18-08-2020 à 19:48:33 par Xuan
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| Posté le 18-08-2020 à 17:04:49
| La Chine accorde son premier brevet de vaccin anti-COVID-19 à un candidat national le Quotidien du Peuple en ligne 18.08.2020 09h43 http://french.peopledaily.com.cn/VieSociale/n3/2020/0818/c31360-9732783.html La Chine accorde son premier brevet de vaccin anti-COVID-19 à un candidat national (Xinhua/Zhang Yuwei) Les autorités chinoises ont accordé le premier brevet d'invention à un candidat vaccin COVID-19 développé au niveau national, ce qui, selon les experts, démontre l'originalité et la créativité du vaccin et devrait renforcer la confiance du marché international envers les vaccins contre le COVID-19 développés en Chine. Le vaccin, un vaccin adénovirus recombinant nommé Ad5-nCoV, a été codéveloppé par la société biopharmaceutique chinoise CanSino Biologics Inc., l'un des co-développeurs du candidat vaccin, et une équipe dirigée par Chen Wei, expert militaire chinois en maladies infectieuses. Selon un document publié sur le site Internet de l'Administration nationale de la propriété intellectuelle de Chine, la production de masse du vaccin peut démarrer dans un court laps de temps en cas d'épidémie. L'octroi du brevet a en outre confirmé l'efficacité et l'innocuité du vaccin et a démontré de manière convaincante la propriété de ses droits de propriété intellectuelle (DPI), a déclaré CanSino dans un communiqué publié le 16 août. Tao Lina, un expert en vaccins basé à Shanghai, estime que la délivrance du brevet facilitera probablement le processus de commercialisation. Un brevet officiellement accordé est également susceptible de renforcer la confiance du marché dans les vaccins contre le COVID-19 développés par la Chine, en particulier sur le marché international, a-t-il ajouté. (Rédacteurs : Yishuang Liu)
______________________ Le vaccin anti-COVID-19 développé par la Chine prêt à être mis sur le marché en décembre le Quotidien du Peuple en ligne | 18.08.2020 16h13 http://french.peopledaily.com.cn/n3/2020/0818/c31357-9732994.html (Xinhua/Zhang Yuwei) Les candidats-vaccins contre le COVID-19 inactivés développés par une société pharmaceutique chinoise devraient être sur le marché d'ici la fin décembre, à un prix inférieur à 1 000 yuans (144 dollars) pour deux doses. La procédure d'examen de la commercialisation débutera après la fin des essais cliniques de phase trois à l'étranger, a annoncé le 18 août Liu Jingzhen, président du China National Pharmaceutical Group (Sinopharm), cité par les médias, ajoutant que le prix des vaccins ne sera pas élevé après leur mise sur le marché, l'ensemble des deux doses coûtant moins de 1 000 yuans. Selon M. Liu, les 1,4 milliard de Chinois n'ont pas tous besoin d'être vaccinés, suggérant que les étudiants et ceux qui travaillent dans les villes devraient recevoir les injections alors que les personnes vivant dans des zones rurales avec une population comparativement plus petite n'ont pas à le faire. Deux vaccins candidats inactivés développés par des instituts dépendant de Sinopharm séparément à Beijing et Wuhan ont été livrés pour des essais cliniques de Phase 3 aux Émirats arabes unis en juin. M. Liu lui-même a également reçu une injection de deux doses d'un des candidats inactivés. Jusqu'à présent, il a dit qu'il ne ressentait « aucun effet secondaire ». Un atelier à Beijing capable de produire 120 millions de doses par an a passé avec succès l'inspection de sécurité biologique des autorités nationales concernées et est prêt pour la production. Un autre atelier de Sinopharm à Wuhan est capable de produire 100 millions de doses par an, a également noté M. Liu. (Rédacteurs :Yishuang Liu)
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| Posté le 18-08-2020 à 20:20:10
| Les États-Unis hystériques voient le vaccin chinois comme une arme diplomatique Par Mu Lu Source: Global Times Publié: 18/08/2020 19:49:02 https://www.globaltimes.cn/content/1198138.shtml Aux yeux de certains pays occidentaux, notamment des États-Unis de plus en plus hystériques envers la Chine, le pays asiatique cherche toujours quelque chose dans ses interactions avec les autres. Alors que la Chine a fait don de masques faciaux et d'innombrables autres fournitures médicales à plus de 120 pays et régions, elle est accusée de s'engager dans la soi-disant «diplomatie des masques». Aujourd'hui, la Chine a pris la tête du développement mondial du vaccin COVID-19 - les fabricants de médicaments chinois sont responsables de trois des six candidats vaccins mondiaux en phase finale. Et les États-Unis le calomnient à nouveau pour avoir cherché "à utiliser l'accès aux vaccins COVID-19 à des fins diplomatiques". Un tel scénario n'est pas seulement surprenant, mais montre également que de nombreux pays occidentaux sont frustrés et exaspérés par le déclin de leur compétitivité internationale. La Chine a été la première à maîtriser l'épidémie inattendue et s'est progressivement rétablie sur cette base. La Chine dispose donc de suffisamment de capitaux et peut faire plus d'efforts pour aider les autres à lutter contre la pandémie de COVID-19, ainsi que coopérer à la recherche et au développement de vaccins. La Chine est un grand pays en développement responsable, prêt à aider d’autres pays en développement face à la pandémie qui fait rage. De nombreux pays ont placé leur espoir de relancer sur le vaccin. Mais de nombreux pays occidentaux, en particulier les États-Unis, ne veulent pas partager cet espoir car ils ne se soucient que de leurs intérêts économiques plutôt que de la manière de courber efficacement la propagation du virus. Mais la Chine utilisera les vaccins COVID-19 comme "un produit pour tous". Ceci est conforme à la pratique de la Chine de bâtir une communauté d'un avenir partagé pour l'humanité. Certains Occidentaux mesurent vraiment le cœur d'un gentleman par leurs propres mesures mesquines. Ils tiennent pour acquis que la Chine agira comme eux. Les États-Unis n'hésiteront pas à appeler le blanc pour le noir pendant la saison électorale, où la Chine est un sujet brûlant. C'est pourquoi de nombreux médias occidentaux affirment que la Chine cherche à utiliser le vaccin comme un outil de diplomatie. C'est dommage! Peu de temps après l'épidémie du nouveau coronavirus, la Chine a réalisé que le développement d'un vaccin est une bataille qu'elle ne peut se permettre de perdre. La pandémie toujours endémique a corroboré un tel jugement. Heureusement, la Chine s'est imposée pour être à l'avant-garde du monde et a évité d'être soumise à l'Occident. La recherche et le développement rapides de vaccins (R&D) en Chine et l'attitude responsable du pays à partager le vaccin avec d'autres ont reflété l'incapacité de nombreux politiciens occidentaux dans la lutte contre l'épidémie, révélé leur mépris et bafouer le droit à la vie - un élément fondamental des droits de l'homme. - et ont montré qu'ils ne se soucient que des intérêts potentiels apportés par la R&D sur les vaccins. Les États-Unis ont volé d'autres pays de fournitures médicales et ont tenté d'acheter avec un accès exclusif d'environ 1 milliard de dollars au vaccin éventuel d'une entreprise allemande. Si les États-Unis sont les premiers et même les seuls à développer un vaccin reconnu par l'Organisation mondiale de la santé, les capitalistes américains ne manqueront pas une telle chance de tuer. Dans ce contexte, les efforts de la Chine sont précieux pour la grande majorité des pays et régions du monde. La Chine doit être prête à faire face à des attaques plus agressives de l'Occident. Les parties prenantes concernées ne resteront certainement pas les bras croisés et verront la Chine prendre une bouchée de son monopole pharmaceutique.
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| Posté le 19-08-2020 à 20:34:25
| Wuhan en a bavé plus de deux mois et maintenant Wuhan s'amuse, le Huffington Post bave de rage et appelle ça "une soirée polémique" Vidéo du parc aquatique ambiance techno : https://youtu.be/YnQfLAMb4kw
Edité le 19-08-2020 à 20:40:17 par Xuan
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| Posté le 21-08-2020 à 23:17:02
| "Wuhan a remporté une victoire stratégique dans sa lutte contre l’épidémie" Le Huffington Post rapporte (enfin) le point de vue chinois sur la soirée au parc aquatique de Wuhan. Voir la vidéo sur la réponse du porte-parole Zhao Lijian. https://www.huffingtonpost.fr/entry/wuhan-pool-party-reactions-chine_fr_5f3e8d34c5b6dd14014b25b7 CORONAVIRUS - Collés, serrés contre des centaines d’individus dans une piscine à Wuhan: les autorités chinoises n’y voit aucun problème. Au contraire, la Chine a défendu ce jeudi 20 août l’organisation d’une méga-fête techno dans un parc aquatique bondé de Wuhan, épicentre du Covid-19, saluant une “victoire” contre le coronavirus après la diffusion virale d’images de l’événement sur internet. Les images du parc aquatique Maya Beach, prises le week-end dernier, ont toutefois suscité l’incompréhension ou l’étonnement d’une partie des internautes en Europe ou aux États-Unis, où le coronavirus continue de faire de nombreuses victimes. La vidéo de l’AFP a accumulé plus de 16 millions de vues depuis sa diffusion. Ce spectacle dans le parc aquatique “montre que Wuhan a remporté une victoire stratégique dans sa lutte contre l’épidémie” , a estimé jeudi Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, en réponse à une question, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. “J’ai vu l’article de l’AFP. Apparemment les Européens et les Américains ont été très surpris” en voyant ces images, a-t-il souligné lors d’un point presse régulier, disant espérer que les médias étrangers “rapportent la situation réelle” en Chine. Aucun mort depuis mi-mai Des photos et vidéos de l’AFP montrant des centaines de baigneurs en maillot de bain, dansant côte à côte au son d’une musique électronique et sans masque, ont été très partagées sur les réseaux sociaux. La Chine est le premier pays à avoir recensé des cas de Covid-19 fin 2019 à Wuhan (centre). Mais l’épidémie a depuis été endiguée dans le pays, grâce à de stricts confinements, au port généralisé du masque et au suivi des contacts. Aucun mort n’est ainsi à déplorer depuis mi-mai. Wuhan a été coupée du monde pendant 76 jours entre janvier et avril. Mais la grande majorité des 11 millions d’habitants ont été testés lors d’une massive campagne de dépistage et ont progressivement repris une vie normale. De nombreux parcs aquatiques et piscines ont déjà rouvert dans toute la Chine.
Edité le 25-08-2020 à 08:06:53 par Xuan
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| Posté le 24-08-2020 à 22:39:49
| Il faut préciser que Pékin a fait l'objet d'une rechute récente sur le marché de gros de Xinfadi, bien après la fin de l'épidémie à Wuhan Le masque n'est désormais plus obligatoire pour les activités de plein air à Beijing le Quotidien du Peuple en ligne | 24.08.2020 14h21 http://french.peopledaily.com.cn/VieSociale/n3/2020/0824/c31360-9737807.html Selon la dernière directive publiée le 20 août par le Centre de prévention et de contrôle des maladies de Beijing, les résidents de la capitale sont désormais autorisés à ne plus porter de masque à l'extérieur. Cependant, à l'exception de leur conjoint, les résidents devront toujours porter des masques lorsqu'ils seront en contact étroit avec d'autres personnes, a indiqué la directive axée sur les activités extérieures. Dans le même temps, lorsque les résidents se rendront sur des sites sportifs, ils devront en suivre les règles et obtenir la permission avant d'entrer. De même, les personnes ayant la charge d'enfants devront les accompagner lors des activités de plein air et faire attention à l'hygiène personnelle des enfants. Ils devront aussi leur rappeler de ne pas toucher leurs yeux, leur bouche et leur nez avec leurs mains lorsqu'ils jouent avec des jouets et des installations partagés. Dans les activités de plein air, les résidents ne doivent pas cracher par terre et doivent utiliser un mouchoir ou leur coude pour se couvrir la bouche quand ils éternuent ou toussent. Les sécrétions orales et nasales, ainsi que les expectorations, doivent être recouvertes de papier et jetées à la poubelle. Enfin, les résidents doivent se laver les mains dès leur arrivée chez eux. (Rédacteurs : Yishuang Liu)
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| Posté le 12-09-2020 à 00:01:08
| Le vaccin recombinant contre le COVID-19 chinois est capable de couvrir les mutations virales le Quotidien du Peuple en ligne | 11.09.2020 10h19 http://french.peopledaily.com.cn/VieSociale/n3/2020/0911/c31360-9759363.html A lire : Un vaccin en spray nasal contre le COVID-19 développé en Chine approuvé pour les essais cliniques Le président chinois exhorte le G20 à rendre les vaccins contre le COVID-19 abordables et accessibles à tous Selon son développeur, un vaccin de fabrication chinoise est efficace contre toutes les mutations du COVID-19 Selon Chen Wei, cheffe de l'équipe de recherche sur les vaccins, la Chine peut actuellement réaliser une production annuelle de 300 millions de doses d'un vaccin COVID-19 recombinant et élargira encore ses capacités de fabrication. Vaccin génétiquement modifié, le vaccin recombinant développé par l'Institut de médecine militaire, qui dépend de l'Académie des sciences militaires, utilise un adénovirus défectueux modifié comme vecteur. Les données actuelles montrent une très faible probabilité de mutation du gène que l'équipe a sélectionné à partir du virus pour fabriquer le vaccin. Jusqu'à présent, a indiqué Mme Chen, chercheur à l'institut, le vaccin recombinant peut couvrir complètement toutes les mutations du nouveau coronavirus. Même si le gène choisi mute, affaiblissant l'effet protecteur du vaccin, le vaccin actuel peut encore être utilisé pour obtenir une immunité de base, et la Chine peut rapidement développer un vaccin ciblant spécifiquement la mutation pour renforcer l'effet immunitaire, a ajouté le chercheur, également membre de l'Académie chinoise d'ingénierie. « C'est comme une mise à niveau et un correctif pour un logiciel » , a-t-elle expliqué. Le 16 mars, le vaccin développé par l'équipe de Mme Chen a lancé des essais cliniques de phase 1, les premiers au monde. Selon les données publiées dans la revue médicale The Lancet en mai, les 108 participants vaccinés ont produit des anticorps. Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, a examiné les résultats de la recherche comme une étape importante. Il a déclaré sur sa page Twitter que le vaccin était sûr, bien toléré et induisait une réponse immunitaire rapide. « En diffusant nos méthodes de test et nos indicateurs dans le monde, nous avons aidé les chercheurs d'autres pays à faire moins de détours et à promouvoir la recherche mondiale sur les vaccins » , a commenté Mme Chen. En juillet, les données des essais cliniques de phase 2 du vaccin ont également été diffusées dans le monde. Les résultats des deux phases d'essais cliniques ont vérifié l'efficacité et l'innocuité du vaccin. De son côté, la Chine a approuvé en juin un programme d'essai pour l'utilisation d'urgence des vaccins contre le COVID-19, et le vaccin recombinant a reçu le feu vert pour être donné à des personnes spécifiques présentant un risque élevé d'exposition au virus. En août, le vaccin a obtenu un brevet, le premier brevet de Chine pour un vaccin contre le COVID-19. Selon Mme Chen, à l'heure actuelle, les essais cliniques de phase 3 sont menés à l'étranger pour évaluer davantage l'efficacité et la sécurité du vaccin auprès d'un plus grand nombre de participants. Bien que les données soient actuellement insuffisantes pour confirmer la durée de l'efficacité du vaccin, les données montrent que la dose vaccinée en mars est toujours efficace, a-t-elle également indiqué, ajoutant que des recherches connexes étaient en cours, notant qu'une fois les essais cliniques de phase 3 terminés, l'équipe augmentera la capacité de production pour faciliter la vaccination de masse à tout moment. D'après l'Organisation mondiale de la santé, plus de la moitié des vaccins COVID-19 qui sont entrés dans les essais cliniques de phase 3 ont été développés par la Chine, ce qui indique, a souligné Mme Chen, que la Chine joue un rôle d'avant-garde dans la recherche et le développement mondiaux des vaccins contre le COVID-19. (Rédacteurs : Yishuang Liu
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| Posté le 16-09-2020 à 09:36:51
| Les EAU approuvent l'utilisation urgente du vaccin COVID-19 développé en Chine après un test sur 31000 volontaires Par Hu Yuwei et Leng Shumei Source: Global Times Publié: 2020/9/15 20:28:40 https://www.globaltimes.cn/content/1200995.shtml Les Émirats arabes unis (EAU) ont accordé lundi une approbation d'urgence pour l'utilisation d'un vaccin contre le coronavirus développé en Chine, six semaines après le début des essais humains sur le vaccin dans le pays. Le ministère de la Santé et de la Prévention des EAU annonce l'approbation d'urgence pour l'utilisation du vaccin candidat COVID-19, selon des messages Twitter de l'Autorité nationale de gestion des crises et des catastrophes des EAU lundi. Le vaccin sera disponible pour les héros de première ligne de défense qui sont les plus à risque de contracter le virus, afin de les protéger de tout danger et de fournir des précautions de sécurité, selon l'autorité. Cette décision vise à contribuer à sauver la vie de millions de personnes et à fournir des soins de santé aux personnes infectées, tandis que l'État du Golfe a signalé lundi 777 nouveaux cas de COVID-19, ce qui porte le nombre total d'infections à plus de 80000, selon l'autorité. Le médicament est un vaccin inactivé développé par le China National Pharmaceutical Group (Sinopharm). Les essais cliniques de phase III sur le vaccin ont débuté aux EAU le 16 juillet, qui est le premier programme d'essais cliniques de phase III au monde sur un candidat vaccin COVID-19. Il avait été utilisé sur 31 000 volontaires représentant 125 nationalités depuis le début des essais cliniques aux EAU. Des effets secondaires légers et attendus sont survenus mais aucun effet secondaire grave n'a été rencontré, selon l'autorité. Parmi les volontaires, 1 000 souffraient de maladies chroniques et aucune complication n'est survenue après la vaccination, a indiqué l'autorité, notant que «les résultats des essais cliniques dans notre pays avancent sur la bonne voie, tous les tests ayant réussi jusqu'à présent». Des essais cliniques sur le vaccin testé aux EAU sont également en cours à Bahreïn, en Jordanie et en Égypte en même temps. Les volontaires sont maintenant entrés dans la phase suivante, recevant leur deuxième injection, et continuent de subir un suivi et des contrôles de santé réguliers, avec un soutien continu et complet fourni par les services de santé pour assurer leur bien-être, a lu le communiqué, Directeur général du Groupe 42 (G42) Healthcare Ashish Koshy a déclaré lundi au Global Times dans un communiqué. G42, une société d'intelligence artificielle et de cloud computing basée à Abu Dhabi, est le partenaire de Sinopharm qui dirige les opérations d'essais cliniques aux Émirats arabes unis sous la supervision du ministère de la Santé d'Abu Dhabi. L'un des avantages de la société est qu'elle peut utiliser l'expertise de l'intelligence artificielle et du calcul intensif pour traiter les résultats des essais beaucoup plus rapidement que les essais de vaccins dans le passé, a déclaré Koshy. Dans la déclaration du G42 au Global Times, un volontaire émirati a déclaré: "Je suis très fier de participer aux essais cliniques. Le personnel médical a été très clair et utile pour expliquer l'ensemble du processus. Je suis très optimiste quant au succès des essais cliniques pour les Émirats arabes unis et pour l'humanité, et nous aurons un vaccin très efficace contre le COVID-19. " Sinopharm a développé deux types de vaccins COVID-19 inactivés et la société a précédemment annoncé que 100000 injections de vaccins ont été administrées, et aucune des personnes qui ont reçu les vaccins n'a présenté de réactions indésirables, aucune ne contractant le COVID-19. Les résultats des essais cliniques de phase I et II sur les deux vaccins ont été publiés en juin, 100% des volontaires générant des anticorps après deux doses en 28 jours, a indiqué la société.
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| Posté le 17-09-2020 à 19:03:01
| Quand Libé s'interroge vraiment sur une fake new. C'est à la suite de la découverte du nouveau virus le 26 décembre que le labo P4 de Wuhan a commencé l'analyse du génotype du covid-19, soit à partir du 3 janvier 2020.
___________________ https://www.liberation.fr/checknews/2020/09/17/que-sait-on-de-la-virologue-li-meng-yan-qui-affirme-que-le-covid-19-vient-d-un-laboratoire-de-wuhan_1799734 Que sait-on de la virologue Li-Meng Yan qui affirme que le Covid-19 vient d’un laboratoire de Wuhan ? Par Anne-Lys Thomas , Cyrine Ben Romdhane et Pierre Zéau 17 septembre 2020 à 13:31 Li-Meng Yan, le 11 septembre, dans l'émission britannique «Loose Women». Photo ITV. Shutterstock. SIPA Une virologue chinoise dit détenir les preuves que le nouveau coronavirus a été créé dans un laboratoire chinois. Exilée aux Etats-Unis, la scientifique est particulièrement proche de l’administration Trump. Question posée par Florian le 12/09/2020 Bonjour, Vous nous interrogez sur l’apparition du Covid-19 : a-t-il pu être créé en laboratoire ? Votre question fait écho aux affirmations de la Chinoise Li-Meng Yan, une «lanceuse d’alerte» autoproclamée qui se présente comme ancienne virologue et immunologue de la Hong Kong School of Public Health (HKU). En Europe, elle est connue depuis un entretien accordé à l’émission Loose Women et diffusé sur la deuxième chaîne britannique, ITV, le 11 septembre, reprise par plusieurs médias comme Valeurs actuelles, I24 ou encore 20 Minutes Suisse. Elle y explique avoir été contrainte de s’exiler aux Etats-Unis en avril face à la pression des autorités chinoises, à la suite de ses révélations. «Ce virus n’est pas d’origine naturelle» , affirme-t-elle, précisant que l’origine de l’épidémie la plus largement admise, à savoir le marché de fruits de mer de Wuhan, est un «écran de fumée» . Ce n’est pas la première fois que Li-Meng Yan alerte sur la gestion chinoise de l’épidémie. Dès le mois de janvier, la chaîne YouTube «Lu de she» (littéralement «chaîne de Luther», qui compte 185 000 abonnés), avait déjà diffusé son hypothèse. Cette chaîne est souvent relayée par le milliardaire chinois Guo Wengui, qui s’avère être un proche de Steve Bannon, ancien conseiller stratégique de Donald Trump et «cerveau» de sa campagne de 2016. Bannon a également dirigé Breitbart News, site d’actualité politique d’extrême droite et pro-Trump, de 2012 à 2016. Li-Meng Yan a plus largement fait parler d’elle le 10 juillet, en donnant une interview à la chaîne américaine Fox News, dont plusieurs présentateurs soutiennent ouvertement Trump. Dans cet entretien, elle avance encore que le gouvernement chinois connaissait la dangerosité du Covid-19 bien avant de l’annoncer officiellement, et que ses alertes l’ont mise en danger en Chine. A cette date, seule Fox News donnait du poids à ces propos parmi les grands médias américains. Elle a de nouveau été invitée sur Fox News mardi soir, dans l’émission de Tucker Carlson (l’un des présentateurs les plus proches de Donald Trump), qui l’a saluée en la qualifiant de «personne courageuse» . Docteure en médecine Quel crédit accorder à ses propos ? Li-Meng Yan est bien docteure en médecine et autrice d’une thèse, portant sur l’effet du propranolol sur la cornée des souris. En 2018, elle co-signait un article sur le vaccin contre la grippe. En tant que stagiaire post-doctorante à la Hong Kong School of Public Health, Li-Meng Yan a déjà co-signé des articles scientifiques sur le nouveau coronavirus, publiés notamment dans des revues scientifiques reconnues, comme Nature en mai (sur «la transmission du Sras-CoV-2 chez les hamsters dorés» ) ou The Lancet, en mars, intitulé «Dynamique virale dans les cas légers et graves de Covid-19» . Mais les propos de Li-Meng Yan sont aujourd’hui contestés par la Hong Kong School of Public Health dans un communiqué, publié le 11 juillet. L’université insiste sur le fait que les informations qu’elle a données «ne concordent pas avec les faits clés tels que [nous] les comprenons» . De plus, elle précise que la scientifique «n’a jamais mené de recherche sur la transmission interhumaine du nouveau coronavirus à HKU en décembre 2019 et janvier 2020, comme elle l’affirme dans son interview» . Des «preuves» ? Dans l’interview diffusée le 11 septembre sur ITV, Li-Meng Yan affirme qu’elle détient les preuves de l’origine humaine du Sars-CoV-2, en provenance du laboratoire de Wuhan. «Je ne pouvais révéler les preuves en janvier sans risquer d’être menacée mais je travaille maintenant avec un groupe de chercheurs aux Etats-Unis et nous allons publier très prochainement toutes les preuves scientifiques de cette origine humaine» , déclare-t-elle. Ce rapport a depuis été publié. Dans la nuit de lundi 14 au mardi 15 septembre, le document de 26 pages de Li-Meng Yan, co-signé avec trois autres scientifiques (Shu Kang, Jie Guan, et Shanchang Hu) a été posté sur la plateforme OpenAIRE" class="p15" target="_blank" rel="nofollow">[url=https://explore.openaire.eu/search/publication?articleId=od______2659::b590648ff33911296b01b5763f5c4630]plateforme OpenAIRE (organe européen accessible à tous de publication de travaux scientifiques, visant à «promouvoir la science ouverte» ) et comptait déjà près de 430 000 téléchargements jeudi après-midi. Dans ce document, les scientifiques affirment que le virus «présente des caractéristiques biologiques incompatibles avec un virus zoonotique naturel» . En d’autres termes, il leur paraît impossible que le virus ait été transmis à l’homme par des animaux. En outre, «en nous appuyant sur les preuves, écrivent les auteurs, nous constatons une voie synthétique pour le Sras-CoV-2, démontrant que la création en laboratoire de ce coronavirus est faisable et peut être accomplie en environ six mois» . Les scientifiques assurent en conclusion qu’un second rapport accompagnera prochainement celui-ci, pour apporter «des preuves supplémentaires» . Une étude qui «soulève davantage de questions qu’elle n’en résout» Professeure de virologie à la faculté de pharmacie de Lille, médecin au CHU de Lille et chercheuse à l’Institut Pasteur de Lille, Anne Goffard se montre dubitative et critique à la lecture de ce rapport. «Aucune donnée scientifique sérieuse n’étaye cette théorie pour le moment» , tacle-t-elle. Même constat sur la forme : «Ce qui est présenté ne respecte pas les règles d’une publication scientifique (par exemple il n’y a pas de description des méthodologies utilisées pour obtenir les résultats présentés) et le processus de peer-reviewing [quand un article est soumis à une relecture par des pairs, ndlr] n’est pas décrit.» Sur la forme, Etienne Decroly, chercheur au CNRS, nuance en expliquant que «depuis cinq ans», le fait de prépublier des articles avant de les envoyer à une revue scientifique est devenu monnaie courante : «Cela permet d’avoir d’autres avis et des critiques scientifiques afin de compléter les travaux scientifiques.» Sur le fond, il confirme toutefois que cette publication «soulève davantage de questions sur l’origine du virus, qu’elle n’en résout» : «Ce n’est qu’une suite d’hypothèses et les conclusions restent spéculatives.» Plus largement, le chercheur rappelle qu’il est, pour le moment, impossible de trancher : «Nous manquons de séquences de virus suffisamment proches du Sars-CoV-2 pour identifier son origine et les mécanismes d’émergences. Pour l’instant, toutes les hypothèses, celle d’un accident comme d’une transmission zoonotique d’une espèce animale à l’homme, doivent être étudiées, et ce, afin d’élucider cette question.» A titre de comparaison, il avait fallu attendre plusieurs années pour que des études scientifiques confirment les origines de la contamination du virus Sras de 2002-2004. Carl T. Bergstrom, biologiste et professeur à l’université de Washington a quant à lui dénoncé sur Twitter un rapport «bizarre» et «non fondé». La piste d’un virus «fabriqué» écartée par l’ensemble de la littérature scientifique Au mois d’avril, déjà, CheckNews se penchait sur la question de l’origine du virus, et notamment sur les deux hypothèses autour du laboratoire de Wuhan (fuite d’un virus naturel ou création par l’homme d’un virus). Comme nous l’expliquions alors, si l’Institut de virologie de Wuhan dispose bien d’un laboratoire dit P4 (laboratoire abritant des micro-organismes extrêmement pathogènes de type 4 pointé du doigt par la chercheuse), la piste d’un virus «fabriqué» est écartée par l’ensemble de la littérature scientifique sur le sujet. Dans un communiqué du 13 mars, l’Institut Pasteur affirmait ainsi que «le coronavirus Sars-CoV-2 n’a pas été créé par l’homme» . Comme l’Institut le précise, un article scientifique de l’institut de recherche Scripps (Californie) publié dans la revue à comité de lecture Nature Medicine, le 17 mars, «réfute complètement l’idée d’une manipulation par un laboratoire. Dans cette étude, les chercheurs examinent ce qui peut être déduit de l’origine du coronavirus Sars-CoV-2, à partir d’une analyse comparative des données génomiques. […] Leurs analyses montrent clairement que le Sars-CoV-2 n’est pas une construction de laboratoire ou un virus délibérément manipulé» . Interrogé par CheckNews sur les nouvelles déclarations de la docteure chinoise, l'Institut Pasteur ne commente pas le rapport mais assure «qu’à ce jour, il n’y a pas de nouveaux éléments» concernant l’origine du virus. Des liens étroits avec l’administration Trump Outre le contenu du document, il est à noter que ses quatre auteurs sont présentés comme rattachés à deux entités, qui ne sont ni des universités ni des laboratoires de recherche : «the Rule of Law Foundation » et «the Rule of Law Society» . Celles-ci sont respectivement présidées par Steve Bannon et Kyle Bass, homme d’affaires américain proche de l’administration de Donald Trump. Sur les pages d’accueil de leurs sites Internet, elles affichent clairement une position anti- gouvernement chinois, revendiquant de vouloir «permettre au peuple de Chine de vivre […] dans un système indépendant de la République populaire de Chine» . Par ailleurs, elles sont en partie financées par le milliardaire Guo Wengui, l’un des premiers soutiens et relais de la scientifique. En Chine, l’homme d’affaires fait l’objet d’une fiche rouge de recherche Interpol pour corruption, ce qui explique son exil aux Etats-Unis. Guo Wengui et Steve Bannon entretiennent une relation plus que professionnelle, comme on peut le voir dans les dizaines de vidéos où ils s’affichent ensemble. Le 20 août, Bannon a été mis en examen pour détournement de fonds après avoir été interpellé sur le yacht du milliardaire chinois. Enfin, ce dernier est membre du club très fermé de la villa de Donald Trump, à Mar-a-Lago en Floride. C’est d’ailleurs pour cette raison que le président des Etats-Unis aurait refusé de le renvoyer en Chine, malgré la notice Interpol, rapportaient en 2017 différents médias américains, comme le Wall Street Journal ou le Miami Herald. Est-ce à dire que la scientifique est portée dans ses révélations par des soutiens ou des proches de Donald Trump ? C’est en tout cas ce que laissent entrevoir deux photos, publiées ce week-end sur Twitter. Sur celles-ci, on retrouve le présentateur de la chaîne YouTube «Lu de she», la scientifique, l’ancien maire de New York Rudy Giuliani, juriste de Donald Trump et conseiller en sécurité informatique de la Maison Blanche et… Steve Bannon, derrière l’épaule de Giuliani. Li-Meng Yan s’était par ailleurs déjà affichée aux côtés de Bannon dès juillet. Une guerre d’influence Le cercle pourrait s’agrandir un peu plus autour de Li-Meng Yan. Peu de temps après sa publication, Peter Navarro, directeur du bureau de la politique commerciale et manufacturière de la Maison Blanche, a relayé le rapport scientifique sur Twitter, via un article du blog proche de l’extrême droite Zero Hedge. Il accompagne son partage du hashtag «le Parti communiste chinois ment, les gens meurent» . Signe d’un engouement autour de Li-Meng Yan, un compte Twitter qui se présente comme le sien était déjà suivi mardi par plus de 60 000 personnes, moins de vingt-quatre heures après sa création, a constaté CheckNews. Ce profil, de son côté, s’est abonné à une trentaine de personnes, en priorité des membres de l’administration Trump, ainsi que le président lui-même. Ce compte a cependant été supprimé ou suspendu dans la nuit de mardi à mercredi. Twitter n’a pas répondu à nos interrogations sur cette suspension, car il s’agit d’un compte privé. Contactée par CheckNews, la virologue n’a pour le moment pas donné suite à nos sollicitations. Cette nouvelle polémique quant à l’origine du virus s’inscrit dans une guerre d’influence entre Washington et Pékin. Donald Trump a employé à plusieurs reprises le terme de «virus chinois» en référence au nouveau coronavirus. Le secrétaire d’Etat Mike Pompeo avait assuré fin mars avoir des «preuves immenses» que le virus, naturel, avait fuité d’un laboratoire de Wuhan (thèse différente de celle défendue par Li-Meng Yan donc). De leur côté, des membres du Parti communiste chinois, notamment le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Lijian Zhao, ont alimenté la théorie selon laquelle l’armée américaine aurait importé le virus en Chine. Cet article a été réalisé dans le cadre d’un partenariat avec le CFPJ pour le journal d’application de la promotion 53. Anne-Lys Thomas , Cyrine Ben Romdhane , Pierre Zéau Lire aussi Covid-19 : le virus provient-il d’un laboratoire chinois ? publié le 17/04/2020
Edité le 17-09-2020 à 19:06:50 par Xuan
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| Posté le 22-09-2020 à 06:49:15
| Deuxième vague de COVID-19 en Chine `` inévitable '': les meilleurs experts Source: Global Times Publié: 2020/9/21 17:09:57 https://www.globaltimes.cn/content/1201572.shtml Une deuxième vague d'épidémie de COVID-19 en Chine est "inévitable", a déclaré Zhang Wenhong, principal spécialiste des maladies infectieuses en Chine et chef de l'équipe médicale COVID-19 de Shanghai, bien que la Chine continentale n'ait signalé aucun nouveau cas domestique de COVID-19 depuis 16 août. "Nous devrions faire des plans pour au moins une autre année" , a déclaré Zhang. Lors d'un forum organisé dimanche par le Collège Antai de l'Université Jiao Tong de Shanghai, Zhang a analysé la situation et les défis auxquels la Chine est confrontée en matière de prévention des épidémies. Alors que des secondes vagues de COVID-19 ont émergé dans quelques pays européens, Zhang a noté que la Chine assistera également à une résurgence "inévitable" du virus, qui devrait se produire au cours de l'hiver prochain. Actuellement, la Chine risque d'importer l'épidémie. "Ces derniers jours, des équipes d'inspection de Pékin se sont rendues dans chaque province pour inspecter le système local de prévention du COVID-19, afin d'éviter que des cas importés dispersés ne se propagent largement" , a déclaré Zhang. Selon Zhang, la "non-fatalité" du COVID-19 est ce qui le rend "fatal" pour la prévention mondiale. "Le coronavirus est très contagieux, mais son taux de mortalité est relativement faible, contrairement à Ebola, au SRAS ou à la grippe aviaire H1N9." De l'avis de Zhang, le faible taux de mortalité a conduit à la propagation continue du virus dans le monde. Zhang s'attendait à ce que la pandémie se poursuive pendant assez longtemps. "Un virus moins contagieux existera toujours. Les pays occidentaux attendent un vaccin, qui protégera les personnes vulnérables et ramènera le taux de mortalité au niveau de la grippe habituelle." "Cependant, un déploiement massif de vaccins est difficile à réaliser en un an", a déclaré Zhang. "Nous devons élaborer des plans de prévention des épidémies pendant au moins un an." Plus tôt ce mois-ci, d'autres grands experts chinois des maladies se sont fait l'écho du point de vue selon lequel la pandémie allait très probablement continuer à se propager dans les mois à venir. Vendredi, le célèbre expert chinois des maladies respiratoires Zhong Nanshan a souligné lors d'un forum basé à Pékin par diffusion en continu que si une autre épidémie nationale survenait, la Chine continuerait à mettre en œuvre des mesures conjointes de prévention et de contrôle au niveau communautaire et un large dépistage des acides nucléiques, tout en traçant. contacts étroits et isolement des patients asymptomatiques. Chen Wei, chercheur de premier plan sur les vaccins, a souligné lors du forum l'importance de vaccins valides pour une éventuelle immunité collective. La Chine est sur le point de lancer un essai clinique plus large d'un vaccin pour les personnes de plus de 55 ans, selon Chen. La Chine continentale n'a signalé aucun nouveau cas domestique de COVID-19 depuis le 16 août.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18580 messages postés |
| Posté le 23-09-2020 à 13:33:08
| Débat en Chine sur le prix du vaccin Les prix des vaccins en Chine sont publiés et les prix sont accusés de dépasser les attentes, attirant l'attention du public dnews Écrit par: Nancy 2020-09-23 13:04:00 La recherche et le développement du nouveau vaccin contre la pneumonie coronaire (COVID-19) a attiré l'attention du monde extérieur en permanence. Deux vaccins inactivés en Chine font actuellement l'objet d'une demande d'approbation conditionnelle auprès de l'autorité de réglementation pharmaceutique. Une fois approuvé, le prix maximum du vaccin est de 600 yuans (1 yuan équivaut à environ 0,1472 USD ou 0,126 €). Selon le média hongkongais "South China Morning Post" du 22 septembre, les deux vaccins inactivés actuels nécessitent deux injections, et le prix de chaque injection est de 300 yuans (soit 75,46 € ) Les vaccins inactivés de Sinopharm ont déjà été fournis volontairement à certaines entreprises publiques à l’étranger et à des groupes à haut risque à des fins d’utilisation volontaire. De nombreuses personnes travaillant à l’étranger, des diplomates et du personnel médical de première ligne les ont utilisés. Le China National Pharmaceutical Group a déclaré que des centaines de milliers de personnes avaient été vaccinées jusqu'à présent et qu'il n'y avait pas de réaction indésirable ou d'infection évidente. Parmi elles, des dizaines de milliers de personnes qui se sont rendues dans des pays et régions à haut risque d'outre-mer après le vaccin ont atteint zéro infection. Les deux vaccins du groupe Sinopharm sont tous entrés dans la troisième phase des essais en juillet et devraient être lancés fin décembre. Son président Liu Jingzhen a révélé une fois que la dose d'un vaccin est de 4 microgrammes, le taux de protection est de 100%, deux doses sont nécessaires et le prix devrait être inférieur à 1 000 yuans. Mais l'affirmation selon laquelle deux aiguilles valent moins de 1 000 yuans a suscité des discussions animées sur Internet car le prix a dépassé les attentes de nombreuses personnes. Une fois que les médias ont fixé un prix de 1 000 yuans, c'est déjà un chiffre effarant de calculer le coût actuel de 100 000 vaccinations d'urgence. Concernant la question du prix des vaccins, Yang Huichuan, vice-président de Sinopharm China Biotechnology Co., Ltd., a répondu un jour. Il a déclaré qu'avant le lancement officiel, ce produit n'a pas encore été tarifé, mais tiendra pleinement compte de son accessibilité, de sa sécurité, de son efficacité et de la capacité de payer des personnes pour déterminer son prix. Il est rapporté que le prix final des vaccins n'est pas entre les mains des sociétés de recherche et de développement de vaccins, et les agences gouvernementales de réglementation interviendront également dans la tarification. Zheng Zhongwei, chef de l'équipe de recherche et développement sur les vaccins de l'équipe de recherche sur le mécanisme conjoint de prévention et de contrôle du Conseil d'État de Chine, a clairement indiqué que le nouveau vaccin contre la pneumonie à couronne est un produit de santé publique et ne peut être basé que sur le coût. Le prix des vaccins ne sera pas affecté par l'offre et la demande du marché conventionnel, et le prix final sera certainement inférieur à la déclaration ci-dessus. Il est rapporté que la recherche et le développement de vaccins en Chine sont au premier plan dans le monde. À la suite de la cérémonie de lancement du nouveau vaccin inactivé de la Couronne aux Émirats arabes unis (phase III), organisée par Sinopharm Group le 23 juin, il est actuellement aux Émirats arabes unis, à Bahreïn, au Maroc, au Pérou et en Argentine. Plus de 10 pays, dont l'Égypte et l'Égypte, ont progressé de manière ordonnée. Plus de 50 000 personnes ont été inscrites dans le groupe de vaccination, et l'échantillon de population a maintenant couvert 125 pays. Les progrès dans tous les aspects sont à la pointe du monde. En ce qui concerne le prix du vaccin, le rapport indique que par rapport aux six autres nouveaux vaccins européens et américains contre la pneumonie coronarienne qui sont entrés dans des essais cliniques de phase III, il semble que le prix de la Chine ait un avantage sur d’autres vaccins. Les vaccins ne sont pas un luxe, le but de la vaccination est d'obtenir une protection immunitaire. Pour une société, si le nombre de groupes vaccinés n'atteint pas la majorité, elle ne pourra pas obtenir l'immunité collective, et des épidémies continueront de se produire, ce qui aura un impact majeur sur la vie économique de toute la société. Selon les dernières nouvelles, le niveau pertinent de la Chine discute actuellement de la possibilité de lancer des achats centralisés ou d'inclure les vaccins dans l'assurance médicale après la mise sur le marché des vaccins à la fin de l'année.
Edité le 23-09-2020 à 13:33:23 par Xuan
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| Grecfrites | Jeune Communiste | 235 messages postés |
| | Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18580 messages postés |
| Posté le 13-10-2020 à 14:13:45
| Intéressant, sauf la présentation dite "en caméra cachée", prétendument à l'insu des autorités, pour simuler un milieu répressif, et l'accent mis sur les classes aisées et non sur les classes populaires. Sinon la relation est assez semblable à ce que les médias chinois ont eux-mêmes rapporté. Les deux hôpitaux temporaires ont été construits en dix jours chacun. Je ne sais pas si le marché aux fruits de mer n'a pas été réouvert, en fait il n'est pas à l'origine de l'épidémie puisqu'une petite partie seulement des cas y ont transité. Par contre on a vu que la réglementation sur certains animaux a été sévèrement resserrée, c'est une conséquence du covid. D'autres marchés ont été mis en cause, à Pékin notamment, à cause de produits infectés. Les lanceurs d'alerte ont déjà été traités sur ce fil, Li Wenlian n'a pas été "le premier" à lancer une alerte. Déjà il ne s'adressait qu'à des amis, puis il pensait qu'il s'agissait du SRAS, et le rapport très officiel qui a servi à déclencher la procédure administrative - dont l'analyse génétique du virus au labo de Wuhan le 3 janvier - est antérieur. Quant aux deux charlots dont il est question, qui ont filmé des morts dans les couloirs et raconté des inepties sur les hôpitaux de campagne, ils ne méritent pas la moindre attention.
____________________________ Plus récemment un hôpital de Qingdao a signalé plusieurs cas de covid. L'agence de presse chinoise donne davantage de détail que le commnuiqué AFP. L’hôpital en question est destiné aux patients de COVID-19 d’outre-mer. "L’autorité sanitaire de Qingdao a déclaré qu’un programme de tests à l’échelle de la ville a été lancé. Toute la ville sera testée dans les cinq jours, soit environ 9 millions de personnes". La Chine dépiste une métropole entière après six cas de Covid-19 © AFP, STR La Chine menait lundi une campagne massive de dépistage de la métropole de Qingdao (9 millions d'habitants), après la découverte de six cas de Covid-19, ont indiqué les autorités sanitaires. Le pays asiatique, où le nouveau coronavirus a fait son apparition fin 2019, a depuis plusieurs mois endigué l'épidémie sur son sol grâce à de stricts contrôles, au port du masque généralisé, aux mesures de confinement et aux applications de traçage. Nationalement, seuls quelques nouveaux malades sont recensés chaque jour, la quasi-totalité étant des Chinois revenus de l'étranger et placés en quarantaine dès leur arrivée. Mais la découverte dimanche à Qingdao (est) de six cas de coronavirus d'origine locale alimente les craintes d'une résurgence de l'épidémie. Selon les autorités sanitaires locales, toutes les personnes contaminées semblent avoir un lien avec un hôpital de la ville qui traite des patients du Covid-19. Mais le foyer d'infection n'est pour le moment pas connu. La découverte a entraîné dans la foulée le dépistage de quelque 143.000 personnes pour tenter d'identifier les cas contact. La mairie a annoncé une campagne massive de dépistage dans cinq districts de Qingdao "sous trois jours" et de la totalité de la ville "sous cinq jours". Les autorités n'ont cependant pas précisé combien de personnes seraient testées exactement. Ville brassicole et balnéaire, Qingdao est connue dans le monde entier grâce à sa célèbre bière "Tsingtao" (ancienne transcription de son nom). La brasserie y a été créée sous la domination coloniale allemande (1898-1914). Chaque année, en été, de nombreux touristes se pressent à Qingdao à l'occasion de la fête de la bière, la plus importante manifestation du genre en Chine. Dans un pays globalement débarrassé du Covid-19, les amateurs de bière s'y étaient ainsi retrouvés en août, tombant les masques pour trinquer.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18580 messages postés |
| Posté le 21-10-2020 à 08:55:37
| Les capitalistes chinois ont aussi amassé de très grands profits : La liste riche comprend plus de visages du secteur de la santé: rapport Hurun Par Qi Xijia Source: Global Times Publié: 2020/10/20 15:54:24 https://www.globaltimes.cn/content/1204056.shtml Selon un rapport publié mardi par le Hurun Research Institute, plus d'entrepreneurs du secteur de la santé se sont présentés sur la liste des personnes les plus riches de Chine cette année, indiquant l'énorme potentiel du pays dans le secteur médical et de la santé, ont déclaré des experts. Cette année a vu la plus forte augmentation de la richesse en 22 ans d'histoire de la liste, la richesse totale des riches auditeurs chinois augmentant de 54% pour atteindre 4000 milliards de dollars par rapport à l'année précédente. Jack Ma a conservé la première place avec 58,8 milliards de dollars pour la troisième année consécutive, suivi de Pony Ma, qui a vu sa richesse grimper de 50% à 57,4 milliards de dollars grâce à l'activité de jeu de Tencent et au puissant service Internet mobile Wechat. Zhong Shanshan, PDG de Nong Fu Spring, s'est classé troisième avec 53,7 milliards de dollars. "Les entrepreneurs chinois ont fait beaucoup mieux que prévu. Malgré l'épidémie de Covid-19, ils ont augmenté pour faire de nouveaux records", a déclaré mardi Rupert Hoogewerf, président et chercheur en chef de Hurun Report au Global Times. Notamment, les soins de santé ont dépassé l'immobilier pour devenir la deuxième plus grande source de richesse, contribuant à 10,9% de la richesse totale de la liste. La fabrication a dominé avec 23,8%, tandis que l'immobilier a chuté à 10,6%, contre 14,8% en 2019. Dans le secteur de la santé, 60% provenaient de soins de santé non traditionnels. Graphiques: GT "Le commerce de la vaccination, des équipements de protection individuelle (EPI) et des équipements médicaux tels que les respirateurs a augmenté de façon spectaculaire. C'est probablement la principale raison pour laquelle le secteur de la santé a tellement explosé", a déclaré Hoogewerf. Les résultats du rapport ont montré que Li Jianquan, président du fabricant de masques pour le visage Winner, a vu sa richesse se multiplier par 11 pour atteindre 5,6 milliards de dollars, faisant de lui l'étoile montante la plus rapide de la liste. Pendant ce temps, Jiang Rensheng, de Chongqing Zhifei Biological Products, a triplé sa richesse à 19,9 milliards de dollars, après que le régulateur chinois des médicaments a annoncé qu'il avait approuvé les essais cliniques humains de son vaccin Covid-19. An Kang, président du fabricant de médicaments anticorps Hualan Bio, a plus que doublé sa fortune à 7,6 milliards de dollars. Bien que le commerce international ait été affecté par la pandémie de coronavirus, les exportations chinoises de matériel médical ont augmenté rapidement et sont devenues un nouveau point positif dans le commerce extérieur du pays, ont déclaré des experts. "L'industrie chinoise de la santé et de la médecine s'est développée contre la tendance au milieu de Covid-19 grâce à sa réponse rapide et à son énorme puissance de fabrication", a déclaré mardi Cong Yi, professeur à l'Université des finances et d'économie de Tianjin au Global Times. "En tant que premier pays à maîtriser fermement la pandémie et à réaliser une reprise de travail radicale, la Chine a beaucoup exporté pour aider le monde à contenir la pandémie, ce qui a contribué à stimuler l'activité de l'industrie de la santé", a-t-il ajouté. Les données douanières ont montré que le volume des échanges de dispositifs médicaux en Chine avait augmenté de 2,98% pour atteindre 26,64 milliards de dollars au premier semestre. Les exportations ont connu une augmentation d'une année sur l'autre de 22,46% à 16,31 milliards de dollars. De mars à septembre, la Chine a exporté un total de 151 milliards de masques faciaux, 1,4 milliard de vêtements de protection, 230 millions de lunettes de protection, 209000 ventilateurs et 470 millions de kits de test, selon les données du ministère chinois du Commerce.
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| Posté le 23-10-2020 à 21:05:57
| La Chine suspend le remboursement de la dette de 77 pays et régions en développement 20/06/2020 http://www.defenddemocracy.press/china-suspends-debt-repayment-for-77-developing-nations-regions/ 7 juin 2020 La Chine a annoncé la suspension du remboursement de la dette de 77 pays et régions en développement alors que la nation travaille avec d'autres membres du G20 pour mener à bien l'initiative d'allégement de la dette du G20 pour les pays à faible revenu, ont déclaré des responsables chinois lors d'un point de presse au Bureau d'information du Conseil d'État. le dimanche. Cette décision montre que la Chine assume activement sa responsabilité mondiale alors que les économies de nombreux pays en développement ont été battues par les retombées de la pandémie. Alors que certains pays occidentaux ont sali la Chine pour détourner ses faux pas dans la gestion du coronavirus, l'allégement de la dette aidera également d'autres pays à comprendre la position de la Chine de manière plus juste et objective. La Chine a annoncé en mai qu'elle fournirait 2 milliards de dollars sur deux ans pour aider d'autres pays à répondre à l'impact de la pandémie de coronavirus. Ma Zhaoxu, vice-ministre des Affaires étrangères, a déclaré que le fonds comprendra non seulement des fournitures médicales, mais aussi aider d'autres pays à redémarrer leurs économies. Ma a fait ce commentaire lors de la conférence de presse pour publier le livre blanc du gouvernement chinois sur «Combattre le COVID-19 Chine en action». Le fonds comprend à la fois une aide bilatérale et des dons multilatéraux, selon Ma. La Chine négocie une aide bilatérale avec les pays bénéficiaires dans le besoin de manière égale pour identifier les projets d'assistance destinés à aider les pays en développement à améliorer les normes de santé publique, à améliorer leurs moyens de subsistance et à reprendre leurs économies, a déclaré Ma. La Chine a fait des dons multilatéraux à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de 50 millions de dollars et a fourni une assistance à des organisations mondiales, notamment l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination. La Chine a également participé activement à la collecte de fonds organisée par le Fonds d'intervention de solidarité de l'OMS en Chine. Ma a également révélé lors de la conférence de presse que le mécanisme de coopération de la Chine avec 30 hôpitaux africains est actuellement en cours de mise en place. Song Guoyou, directeur du Centre pour la diplomatie économique de l'Université de Fudan, a déclaré dimanche au Global Times que la décision de la Chine est un bon exemple de construction d'une communauté d'avenir partagé pour le monde, un concept proposé par les dirigeants chinois. «C'est ce que la Chine pourrait faire selon nos capacités» , a déclaré Song. Il a noté que comme prochaine étape, si l'économie chinoise rebondit rapidement, Pékin pourrait envisager de renoncer à certaines dettes de certains pays en développement. Le livre blanc publié dimanche montre un bilan des efforts de la Chine dans sa propre lutte acharnée contre le coronavirus, explique son expérience avec le reste du monde et clarifie les idées sur la façon de lutter contre le virus dans le monde.
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| Posté le 16-11-2020 à 13:58:34
| Covid-19 : une étude avance que le virus circulait en Italie dès septembre 2019 Une étude menée par l'Institut national du cancer italien suggère l'existence de malades du Covid-19 dès septembre 2019, cinq mois avant le premier cas officiellement signalé en Italue. Article rédigé par franceinfo avec Reuters France Télévisions Publié le 15/11/2020 19:36 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-une-etude-avance-que-le-virus-circulait-en-italie-des-septembre-2019_4182533.html L'épidémie de Covid-19 a-t-elle circulé à bas bruit bien avant les cas repérés dans la ville chinoise de Wuhan, en décembre 2019 ? Une étude de l'Institut national du cancer italien, publiée mercredi 11 novembre, avance que le virus était présent en Italie dès septembre 2019. Dans ce pays, le premier cas officiel de Covid-19 avait été signalé le 21 février 2020, près de Milan, en Lombardie. L'étude s'appuie sur un panel de 959 patients qui participaient à un dépistage du cancer du poumon entre septembre 2019 et mars 2020. Les résultats de l'étude suggèrent que 11,6% d'entre eux avaient développé des anticorps contre le Covid-19, bien avant février. Une recherche spécifique des anticorps contre le Covid-19 a ensuite été menée par l'Université de Sienne. Les résultats tendent à montrer l'apparition d'anticorps chez quatre patients lors de la première semaine d'octobre 2019, suggérant ainsi qu'ils avaient été infectés au Covid-19 en septembre, a déclaré Giovanni Apolone, co-auteur de l'étude, à l'agence Reuters. Pour l'heure, l'origine exacte du virus reste encore largement méconnue. En France, des études ont montré que des patients avaient contracté le Covid-19 au début du mois de décembre 2019.
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| Posté le 25-11-2020 à 13:49:22
| La décision de fermer le marché de fruits de mer de Huanan à Wuhan en janvier a été prise `` après de vives disputes '' Source: Global Times Publié: 2020/11/25 15:04:40 https://www.globaltimes.cn/content/1207998.shtml Le marché des fruits de mer de Huanan à Wuhan, capitale de la province du Hubei en Chine centrale et épicentre des nouveaux coronavirues, serait à l'origine du virus. Photos: photo CNS Il a été démontré que la fermeture du marché des fruits de mer de Huanan à Wuhan au début de l'épidémie était la bonne décision prise par des experts chinois et des responsables gouvernementaux, après des débats passionnés qui ont duré moins de 12 heures, a révélé un épidémiologiste de haut niveau. Wu Zunyou, épidémiologiste en chef au Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, a révélé mercredi que des experts de Pékin et des experts locaux de Wuhan avaient eu des différends passionnés sur la fermeture du marché des fruits de mer de Huanan à Wuhan, mais sont parvenus à un consensus en moins de 12 heures. Au 31 décembre 2019, Wuhan n'avait identifié que 27 infections liées au marché. La décision de fermer le marché a été prise à minuit le 1er janvier, a-t-il déclaré. Wu a décrit comment les experts se sont disputés et comment la décision a été prise mercredi. Il a dit qu'au départ, certains experts locaux ont fait valoir qu'il semblerait que "nous faisions des histoires" si le marché des fruits de mer de Huanan était fermé. Il a ajouté que se persuader n'était pas facile, surtout quand il n'y avait pas suffisamment de preuves pour étayer leurs décisions. La discussion sur l'opportunité de fermer le marché a duré jusqu'à 4 heures du matin le 1er janvier. Finalement, c'est Liang Wannian, un fonctionnaire de la Commission nationale de la santé, qui a fait le dernier appel. Liang a déclaré qu'ils devaient voir la fermeture du marché comme une façon de penser en bout de ligne. "Nous pourrions le fermer maintenant. Si nous nous trompons, nous pouvons le rouvrir. Mais si nous ne le fermons pas, nous pourrions rater l'occasion", a révélé Wu, citant les commentaires de Liang à l'époque. "La fermeture du marché a déterminé l'ampleur de l'épidémie de Wuhan", a noté Wu. Global Times
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| Posté le 27-11-2020 à 23:48:06
| La guerre de l'opinion publique occidentale contre les vaccins est méchante: éditorial du Global Times Source: Global Times Publié: 2020/11/27 23:03:34 https://www.globaltimes.cn/content/1208286.shtml Les pays occidentaux, en particulier les institutions d'opinion publiques américaines, lancent une campagne de signalement injuste autour du vaccin COVID-19, remettant en question les progrès du vaccin chinois et exagérant les progrès réalisés par les sociétés pharmaceutiques américaines et occidentales. Les nouvelles positives annoncées par le fabricant de médicaments américain Pfizer et d'autres sociétés ont même fortement stimulé le marché boursier. Mais le fait est que les progrès des vaccins réalisés par les entreprises américaines et occidentales sont au même niveau que ceux des entreprises chinoises. Mais les vaccins des deux côtés ont été traités de manière totalement différente par l'opinion publique américaine et occidentale. La recherche et le développement de vaccins chinois progressent très rapidement et la Chine compte cinq vaccins candidats COVID-19 en phase 3. Le problème est que la Chine a généralement maîtrisé l'épidémie, de sorte que le pays manque de conditions pour les essais cliniques de phase 3. Les essais doivent être menés dans des pays étrangers en situation d'épidémie grave, ce qui nécessite une coordination supplémentaire et a entraîné un retard. En raison de l'urgence de l'épidémie, tous les pays ont accéléré le rythme de la recherche et du développement, ainsi que les progrès de la mise en pratique des vaccins. Dans des circonstances normales, il faut plusieurs années pour qu'un vaccin soit complètement développé. Mais certaines entreprises américaines postulent déjà pour la commercialisation du vaccin. Tout en s'assurant qu'il n'y a pas d'effets secondaires, la Chine a également élargi la portée de l'utilisation urgente des vaccins parmi le personnel médical et d'autres personnes sensibles. Certaines institutions d'opinion publique américaines ont soutenu l'utilisation accélérée des vaccins nationaux, et le marché des capitaux a accueilli avec enthousiasme cette accélération. Tous ces éléments ont formé un «mouvement de déification» autour des vaccins américains. Mais ils ont montré une attitude complètement différente envers les vaccins chinois. Ils ont déclaré que la vaccination par la Chine de certaines personnes sensibles montre son "irresponsabilité" car elle peut mettre en danger leur sécurité. Ils ont également délibérément lié l'expansion de la vaccination au fait que les entreprises chinoises n'ont pas encore annoncé les données des essais cliniques de phase 3, en utilisant un «montage» pour donner l'impression que la Chine utilise délibérément des vaccins de qualité inférieure. La Chine ne tiendra-t-elle pas compte de la santé et de la vie du grand public dans un but lucratif? Comment les institutions de l'opinion publique américaines et occidentales osent-elles répandre de tels doutes? Depuis l'éclosion du COVID-19, la Chine a mené la campagne la plus résolue de suppression du virus et a sauvé de nombreuses vies. cependant, L'administration Trump a préféré protéger le marché boursier plutôt que la vie des gens. Nous soupçonnons que les sociétés pharmaceutiques américaines, les institutions d’opinion publique et le marché boursier ont des liens avec les politiciens parce qu’ils sont également motivés par des intérêts. Attaquer les vaccins chinois renforce ces intérêts. C'est l'appel de l'intérêt commun de l'humanité que le vaccin chinois accélérera son succès et jouera un rôle important dans la nouvelle étape de la prévention et du contrôle mondiaux. Pékin a annoncé que la Chine ferait de ses vaccins un produit public mondial. Ceci est d'une grande importance pour assurer l'approvisionnement mondial en vaccins et empêcher un ou deux vaccins occidentaux de rechercher un monopole. Les vaccins doivent être abordables pour les populations de tous les pays. Les vaccins chinois sont une force importante pour garantir l'équité dans la prochaine étape de la prévention de la pandémie. La Chine doit renforcer la publicité de ses propres vaccins, et les pays en développement devraient également soutenir les vaccins chinois pour accélérer les essais et parvenir à la commercialisation dès que possible. En raison de leur égoïsme, les États-Unis et certains autres pays ne coopèrent pas avec les essais cliniques de phase 3 des vaccins chinois. Alors que les vaccins chinois se déplacent vers la ligne de front de la lutte contre le COVID-19, ces pays en développement partagent le bonheur et le malheur avec la Chine. Quelle que soit la qualité du vaccin, il est impossible de l'utiliser seul pour maîtriser le COVID-19 très contagieux. Avec son organisation, la Chine a gagné la bataille clé pour contenir l'épidémie, et nous avons fait de notre mieux au monde. Il est impossible que la Chine prenne du retard dans la recherche sur les vaccins. Ceux qui dénigrent les vaccins de la Chine finiront par redevenir la risée.
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