| | | | | Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
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| Posté le 24-03-2020 à 11:52:50
| Echec de l'immunisation collective en Grande Bretagne. Le message de Xi est la communauté des destin, qui s'oppose à l'hégémonisme. Cette communauté des destin s'adresse aussi aux pays impérialistes, dans le cadre de l'anti-hégémonisme, et y compris au peuple américain : (COVID-19) La Chine et le Royaume-Uni conviennent de soutenir le rôle de l'OMS dans la lutte contre le COVID-19 BEIJING, 23 mars (Xinhua) -- Le président chinois Xi Jinping et le Premier ministre britannique Boris Johnson se sont entretenus par téléphone lundi soir, et ont exprimé leur soutien au rôle joué par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dans la lutte internationale contre la pandémie de COVID-19. Au nom du gouvernement et du peuple chinois, M. Xi a transmis sa sincère sympathie au gouvernement et au peuple britanniques dans leur lutte contre la maladie à coronavirus COVID-19. A la demande de la partie britannique, il a ensuite présenté les mesures de prévention et de contrôle de l'épidémie prises par la Chine. La Chine espère que le Royaume-Uni va renforcer sa coordination avec la partie chinoise, afin de réduire les risques de propagation de l'épidémie tout en garantissant la circulation des personnes et des marchandises nécessaires, a souligné M. Xi. La Chine est prête à apporter son aide et son soutien au Royaume-Uni, a-t-il poursuivi, tout en se déclarant convaincu que le Royaume-Uni, sous la direction de M. Johnson, allait remporter la victoire sur l'épidémie. Réitérant que le gouvernement chinois attachait une grande importance à la santé et à la sécurité des citoyens chinois à l'étranger, M. Xi a espéré que le Royaume-Uni prendrait des mesures concrètes et efficaces pour protéger la santé, la sécurité et les droits des ressortissants chinois présents sur son territoire, et plus particulièrement des étudiants chinois. Les virus ne reconnaissent ni frontières ni ethnies, et ce n'est qu'en travaillant ensemble que l'humanité pourra remporter la bataille, a souligné M. Xi. Il a appelé toutes les nations à renforcer leur coopération dans le cadre des Nations unies et du Groupe des vingt (G20), à améliorer le partage d'informations et d'expériences, à intensifier leur collaboration dans le domaine de la recherche scientifique, à soutenir le rôle joué par l'OMS et à améliorer la gouvernance mondiale en matière de santé. Tous les pays doivent également renforcer la coordination de leurs politiques macroéconomiques afin de stabiliser le marché, de maintenir la croissance économique, de veiller au bien-être des populations et de garder les chaînes d'approvisionnement mondiales ouvertes, stables et sûres, a ajouté le président chinois. Vaincre ensemble la pandémie de COVID-19 permettra à la Chine et au Royaume-Uni de développer une compréhension mutuelle plus profonde et un consensus plus large, et ne fera qu'élargir davantage encore leurs perspectives de coopération bilatérale, a indiqué M. Xi. Pour sa part, M. Johnson a félicité le gouvernement et le peuple chinois pour leurs réalisations remarquables en matière de prévention et de contrôle de l'épidémie, ainsi que pour leurs efforts acharnés et les immenses sacrifices qu'ils avaient consenties. Actuellement, la situation épidémique au Royaume-Uni est grave, a-t-il affirmé, ajoutant que la partie britannique était en train d'étudier et de s'inspirer des expériences de la Chine, et prenait des mesures de prévention et de contrôle scientifiques et efficaces. La partie britannique remercie en outre la Chine pour son aide et son soutien précieux, et fera de son mieux pour veiller à la santé et à la sécurité des ressortissants chinois au Royaume-Uni, notamment des étudiants, a-t-il indiqué. Le Premier ministre britannique a déclaré qu'il était entièrement d'accord avec M. Xi sur le fait qu'aucun pays ne pouvait tenir seul face à l'épidémie, et que tous les pays devaient au contraire renforcer leur coopération. Le Royaume-Uni soutient le rôle important de l'OMS, et espère que toutes les parties concernées approfondiront leur coopération au sein du G20 et des autres cadres multilatéraux, a-t-il ajouté. Soulignant que la Chine et le Royaume-Uni organiseraient cette année respectivement la 15e Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique et la 26e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, M. Johnson a déclaré que les deux parties devraient saisir ces opportunités pour renforcer la coopération internationale en matière de santé et de prévention des épidémies. Il a ajouté qu'il souhaitait rester en contact étroit avec M. Xi, et se rendre le plus tôt possible en Chine dès que l'épidémie serait terminée afin de promouvoir conjointement le développement des relations entre les deux pays.
Edité le 24-03-2020 à 11:54:47 par Xuan
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 24-03-2020 à 22:48:40
| Les PME, artisans et petits commerces gravement menacés La crise due à la pandémie affecte les petites entreprises. La prolongation de la quarantaine peut les étrangler définitivement, aboutissant à une concentration plus grande encore du capital. Voici une lettre adressée à la préfecture Auvergne Rhône Alpes - préfecture du Rhône le 23 mars, cosignée par le CPRIA commission paritaire régionale interprofessionnelle de l'artisanat, la CFDT, CAPEB (bâtiment), CFE -CGC, CGAD (alimentaire), CFTC, CNAMS (fabrication et services), CGT FO et U2P (entreprises de proximité). Objet : Dans l’artisanat, les organisations d’employeurs et les syndicats de salariés se mobilisent pour traiter de la spécificité des TPE. lettre ouverte au Préfet de région Auvergne-Rhône-Alpes Copie aux députés et sénateurs, envoi aux journalistes Monsieur le Préfet, Les organisations membres de la CPRIA Auvergne-Rhône-Alpes (Commission Paritaire Interprofessionnelle de l’Artisanat) souhaitent vous alerter sur la position intenable des entreprises de l’Artisanat, de leurs dirigeants, de leurs salariés et apprentis dans le cadre de la crise sanitaire qui frappe notre Pays et le reste du monde. Tout d’abord, nous constatons les injonctions contradictoires données, notamment au secteur du Bâtiment, incitant, d’une part, à la mesure de confinement généralisé de l’ensemble des citoyens telle qu’annoncée par le Président de la République et le Ministre de l’Intérieur le 12 mars et finalement une demande de poursuite d’activité des chantiers de BTP, annoncée par le gouvernement le 19 mars. Ceci crée nécessairement confusion générale et division entre professionnels ce qui n’est pas tenable. Pour le bâtiment nous attendons la publication du guide de l’OPPBTP qui permettra d’y voir plus clair sur les conditions du maintien du travail sur les chantiers. Globalement, il est plus que jamais nécessaire d’avoir une adaptation des mesures en fonction des secteurs, mais aussi en fonction des entreprises, des chantiers, des conditions de travail. Le dirigeant doit-il mettre en danger la vie de ses salariés, apprentis, de ses clients, ou de la sienne dès lors qu’il n’est pas en capacité d’observer les mesures de protection de santé au travail auxquelles s’ajoutent les mesures barrières (par exemple à 3 dans un camion de 3 m3, porter un matériel lourd seul…) ? Cette mise en danger serait-elle de nature à être incriminée devant les tribunaux pour mise en danger d’autrui ? Quelle responsabilité de l’Etat implique-t-elle ? Quelle est la portée des responsabilités que le gouvernement entend engager ? D’autre part : - bon nombre de négoces de matériaux ont fermé, - bon nombre de clients particuliers refusent l’accès aux chantiers, - bon nombre de salariés appliquent leur droit de retrait qui peut être demandé en fonction de leur état de santé et de leurs pathologies, mais aussi en raison de défaut d’application des mesures de sécurité en milieu collectif, - bon nombre de salariés doivent garder leurs enfants. Pour les commerces de bouche (boulangerie, boucherie…) le travail s’effectue en mode dit « dégradé » : - absence de protection (masques, gants), - certains salariés des équipes ont exercé leur droit de retrait ou gardent leurs enfants, - les entreprises ne travaillent plus avec la restauration collective/traditionnelle qui a fermé, - la clientèle de particuliers concentre ses achats vers les grandes surfaces pour limiter ses déplacements. De plus, dès lors que les CFA ont fermé à compter du 16 mars, les Chambres de métiers ont informé les entreprises qu’elles devaient accueillir les apprentis (dont les mineurs). Cette disposition autre que celle appliquée pour les lycéens de l’enseignement général et professionnel, engendre, de notre point de vue, une mise en danger incompréhensible et là aussi contradictoire avec les mesures de confinement, mais surtout une inéquité de traitement. Compte-tenu de la gravité de la crise sanitaire, il conviendrait d’obliger les apprentis à rester chez eux ; l’employeur devrait être déchargé de ses responsabilités pendant le temps où il est censé être responsable de l’apprenti, et le chômage partiel à temps plein devrait être la règle pour les apprentis. Par ailleurs, s’agissant des métiers de services dont les taxis-VSL, les dirigeants ou leurs salariés ne sont pas, à l’heure actuelle, équipés de matériels leur permettant d’exercer leur activité dans de bonnes conditions de sécurité. Concernant le soutien économique aux entreprises annoncé pour les commerces « non indispensables » : cafés, restaurants, coiffeurs, fleuristes, esthétique… le montant de la perte d’exploitation pourrait être compensé à hauteur de 1500 €. Nous considérons que la date de départ de calcul de la chute du chiffre d’affaires devrait être celle du début du confinement et non pas début mars. Nous notons aussi des mesures qui favorisent les grandes surfaces aux dépens des employeurs et des salariés de l’artisanat : en effet, l’obligation de fermer pour certains secteurs comme la fleuristerie a créé des distorsions de concurrence puisque les grandes surfaces ont pu poursuivre leur vente. D’autre part, comment les salariés de l’artisanat pourraient-ils bénéficier d’une prime de 1 000 euros alors que le chiffre d’affaires a chuté ? Quid d’un dédommagement pour les stocks confectionnés mais non vendus notamment pour les fêtes de Pâques (pâtissiers, chocolatiers, traiteurs …) ? Nous attirons aussi votre attention sur le nombre d’organisations professionnelles qui suggèrent la constitution d’un fonds d’assurances mutualisé exceptionnel en incluant dans le « cas de force majeure », la notion de «catastrophe sanitaire ». Monsieur le Préfet, les 9 organisations membres de la CPRIA soulignent : - le risque majeur de casse économique et sociale massive dans les TPE de l’Artisanat qui ne pourront pas supporter 2 mois sans activité, - l’absolue nécessité pour les chefs d’entreprises et pour les salariés d’avoir des interlocuteurs bien identifiés pour répondre à leurs interrogations, - le besoin de partager, en réunion téléphonique, comme cela se fait dans beaucoup d’autres régions, entre vos services, ceux du Conseil régional et avec les partenaires sociaux, nos informations et nos remontées de terrain afin de proposer aux TPE de l’Artisanat des solutions claires, cohérentes et adaptées à cette crise inédite. Il y a encore beaucoup de questions qui vont apparaître et beaucoup d’inconnu, nous restons à votre disposition pour tout échange selon des modalités à définir, dans un esprit de responsabilité, d’intérêt de la Nation, de sauvegarde de l’activité économique et sociale et de la protection des citoyens que nous sommes tous. Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Préfet, l’expression de notre parfaite considération.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 25-03-2020 à 08:27:35
| Trump s'enferre Voyant la reprise s'effectuer progressivement en Chine, Trump veut continuer à produire aux USA, quitte à en faire payer le prix en vies humaines au peuple US Coronavirus : à quoi joue Donald Trump, alors que les Etats-Unis pourraient devenir le nouvel épicentre de la pandémie ? https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-a-quoi-joue-donald-trump-alors-que-les-etats-unis-pourraient-devenir-le-nouvel-epicentre-de-la-pandemie_3882505.html Les Etats-Unis, où le nombre de personnes infectées par le Covid-19 explose, pourraient bientôt dépasser l'Europe, a prévenu mardi l'Organisation mondial de la santé. Mais les décisions de Donald Trump pour faire face à l'épidémie semblent déroutantes. Violaine JaussentFrance Télévisions Mis à jour le 24/03/2020 Coronavirus : Bolsonaro refuse de confiner le Brésil pour ne pas ruiner l'économie Il oscille entre appels à l'unité nationale, tweets vengeurs et calculs électoraux. Donald Trump envoie des signaux confus, voire illisibles, à une Amérique confrontée à l'avancée galopante du coronavirus. Selon le dernier rapport quotidien de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), publié lundi 23 mars dans la soirée, les Etats-Unis ont vu le nombre de personnes testées positives au Covid-19 et le nombre de morts doubler en 24 heures. Le pays comptait, mardi 24 mars en début d'après-midi, 600 morts et plus de 50 000 cas officiellement diagnostiqués, selon le comptage tenu par l'université Johns Hopkins, qui fait référence. Des chiffres qui font des Etats-Unis le troisième pays en nombre de cas recensés, derrière la Chine et l'Italie, avec un épicentre à New York, où sont enregistrés la majorité des décès. Malgré tout, le président américain critique les mesures de confinement recommandées par les autorités sanitaires. Mais à quoi joue Donald Trump ? Il souffle le chaud et le froid sur les mesures à prendre Le président américain a d'abord minimisé et moqué la menace sanitaire pendant plusieurs semaines. En campagne pour la présidentielle prévue à la fin de l'année, il a lancé devant une foule de supporters en Caroline du Sud : "Les démocrates ont politisé le coronavirus. Un de mes conseillers m'a dit : 'M. le président, ils ont essayé de vous avoir avec la Russie, Russie, Russie.' Ça n'a pas trop marché. Ils n'ont pas réussi. Ils ont essayé la supercherie de l'impeachment. Ils ont tout essayé. Ça, c'est leur nouveau canular." C'était le 28 février. Le lendemain, les Etats-Unis enregistraient un premier décès lié au Covid-19. Le 7 mars, lorsqu'un reporter lui a demandé s'il s'inquiétait de la propagation de l'épidémie, Donald Trump a répondu par la négative : "Pas du tout. On a fait du super boulot." https://youtu.be/G5TZ6fTYrsE Six jours plus tard, changement de ton. Donald Trump a décrété l'état d'urgence nationale face à l'ampleur de l'épidémie. Il s'est posé en président rassembleur d'un pays "en guerre". Jamais il n'a sous-estimé la menace du virus, assure-t-il. "C'est une pandémie. J'ai compris que c'était une pandémie longtemps avant qu'elle soit qualifiée de pandémie", a-t-il assuré. Le 11 mars, le président américain a annoncé que les Etats-Unis suspendaient pour trente jours l'entrée des voyageurs en provenance des zones à risque, dont la France. Mais dans le même temps, il n'a pas mobilisé immédiatement les ressources de la Maison Blanche habituellement utilisées en cas d'état d'urgence, selon le New York Times (article en anglais). Il commence tout juste à le faire et a annoncé, par exemple, la construction d'hôpitaux de campagne il y a seulement deux jours. Désormais, Donald Trump multiplie les messages ambigus sur les restrictions en place pour limiter la propagation du Covid-19. Alors que le maire de New York, Bill de Blasio, a réclamé l'envoi en urgence de "centaines de respirateurs et de centaines de milliers puis de millions de masques", Donald Trump a assuré, à contre-pied, vouloir arrêter les mesures de distanciation sociale pour préserver l'économie. Résultat : le pays le plus riche de la planète offre un spectacle de désunion. Il privilégie l'économie du pays (et la sienne) Aujourd'hui, près d'un Américain sur trois est visé par une mesure de confinement édictée par le gouverneur de son Etat. Les autorités de New York aimeraient encore aller plus loin et réclament un confinement national. Mais Donald Trump rechigne à imposer de telles mesures parce qu'il redoute leurs conséquences sur l'économie. Si la recherche d'un équilibre entre objectifs de santé publique et survie économique du pays est un débat légitime, la façon dont le locataire de la Maison Blanche multiplie les coups de barre sans cohérence apparente laisse ses adversaires – comme certains de ses alliés – sans voix. "Nous ne pouvons laisser le remède être pire que le mal lui-même", a-t-il lancé, dimanche soir, dans un tweet en lettres majuscules. Plus tard, il a même déclaré que les Etats-Unis allaient se rouvrir au monde des affaires, "très bientôt", "bien plus tôt que trois ou quatre mois comme quelqu'un le suggérait. Bien plus tôt". Pour faire face à cette crise sanitaire sans précédent, Donad Trump a une solution : un plan de relance massif, "le plus important de l'histoire américaine". Il prévoit de mobiliser 1 800 milliards de dollars, soit 10% du PIB américain, ou "une année complète de croissance française", selon Capital. Dans les grandes lignes, Donald Trump prévoit d'envoyer des chèques de 1 000 à 1 200 dollars pour chaque adulte et 500 dollars pour les enfants. Mais pour l'instant, ce plan est loin d'être adopté. Le gouvernement fédéral et les Etats avancent en ordre dispersé, car démocrates et républicains peinent à trouver un accord. Pendant ce temps, Donald Trump a annoncé vouloir relancer l'économie à tout prix. Ainsi, contre l'avis du corps médical, dont celui du docteur Anthony Fauci, expert mondialement reconnu des maladies infectieuses, qui conseille le locataire de la Maison Blanche, le président des Etats-Unis prône la fin de la distanciation sociale dès lundi prochain. Le Washington Post (article en anglais) y voit la défense de ses intérêts privés, et une décision prise après que quatre de ses plus gros hôtels et deux clubs privés ont été fermés. Pourtant, son discours commence à trouver une caisse de résonance auprès de plusieurs personnalités conservatrices, qui suggèrent que la mort de milliers de personnes âgées est peut-être un mal nécessaire pour éviter une longue dépression économique. A l'instar de ce lieutenant gouverneur du Texas, Dan Patrick : "Les grands-parents devraient être prêts à mourir pour sauver l'économie pour leurs petits-enfants." Il n'écoute que lui-même Pandémie ou pas, Donald Trump poursuit dans son style singulier. Début mars, le locataire de la Maison Blanche n'a pas hésité à affirmer qu'un vaccin serait disponible d'ici "trois à quatre mois". Avant d'être immédiatement repris par le Dr Anthony Fauci : "On n'aura pas un vaccin. On commencera les tests sur un vaccin." "Comme je vous l'ai dit, M. le président, il faudra un an à un an et demi avant de distribuer un vaccin efficace et sûr", a ajouté l'expert. Pas plus tard que lundi, Donald Trump a de nouveau vanté les mérites de la chloroquine, alors que l'utilisation de cet antipaludéen comme traitement contre le coronavirus est sujet à caution. "Ce serait un don du ciel si ça marchait. Cela changerait vraiment la donne. Nous verrons", a déclaré le président américain lors de son point presse quotidien. Or, après avoir entendu Donald Trump louer les effets prometteurs de ce médicament, un couple vivant en Arizona a ingéré une cuillère de phosphate de chloroquine. L'homme est mort, sa femme est hospitalisée. Face à cette crise sanitaire d'une ampleur sans précédent dans l'histoire politique moderne, Donald Trump a-t-il envisagé de solliciter ses prédécesseurs, comme eux-mêmes l'avaient fait avant lui lors de terribles catastrophes naturelles ? Barack Obama, George W. Bush, Bill Clinton ou Jimmy Carter pourraient-il être de bon conseil ? Le 45e président de l'histoire des Etats-Unis a répondu par la négative : "Je pense que nous faisons un travail extraordinaire (...). Je ne pense pas que j'apprendrais beaucoup de choses." Ce qui fait dire à David Axelrod, ancien conseiller de Barack Obama, qui s'est exprimé auprès de l'AFP : "Difficile de ne pas tirer une conclusion effrayante de ce spectacle : nous avons un énorme défi devant nous et un tout petit président."
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| Posté le 25-03-2020 à 08:30:28
| Yi Jian: Le diable apparaît, l'Empire américain s'effondrera-t-il? Heure: 2020-03-24 18:03• Source: Chanet• Auteur: Yi Jian NB : traduction auto Google chinois /français - http://www.cwzg.cn/theory/202003/56239.html Le chercheur allemand de la Fondation Marshall, Jan Teshaw, a déclaré que Trump n'avait pas caché le nationalisme et les slogans "America First". Il a imputé le virus de la Nouvelle Couronne à la Chine, puis à l'Europe, ainsi qu'à ses diverses erreurs factuelles. L'expression «signifie que les États-Unis ne servent plus la planète». Depuis l'épidémie, l'image laide des États-Unis a été vue par tous les pays du monde, et l'administration Trump perdra la confiance du monde, y compris des alliés. Une épidémie a déchiré l'hypocrisie des États-Unis et le monde occidental tout entier subira une catastrophe. Si les États-Unis n'ont pas vraiment commencé à décliner auparavant, alors l'année de la nouvelle couronne doit être le point de départ du déclin des États-Unis! [Cet article est la contribution exclusive de l'auteur Yi Jian à Chawang] Yi Jian: Le diable apparaît, l'Empire américain s'effondrera-t-il? Récemment, avec l'éclosion aux États-Unis, le livre "L'effondrement de l'empire américain" publié par People's Publishing House en 2013 est devenu populaire. L'auteur de ce livre est John Galton, politologue norvégien. Il pense que "Les jours de l'empire américain sont rares. L'impérialisme américain est en train de s'effondrer, et les pays qui obéissent à ses paroles sont devenus moins nombreux qu'auparavant, et la concurrence est devenue plus intense." Il a solennellement annoncé au monde: "L'empire américain s'effondrera en 2020." En 1980, il a prédit que le mur de Berlin s'effondrerait dans dix ans, suivi de la fin de l'Union soviétique. Presque personne n'y croyait à l'époque. On estime que lorsque ce livre a été publié, peu de gens croyaient à sa théorie de l'effondrement de l'Empire américain. Si l'auteur est chinois, on estime que non seulement ce livre ne sera pas vendu, mais qu'il suscitera certainement des critiques. En regardant le moment présent, la théorie de l'effondrement de l'Empire américain a remplacé la théorie de l'effondrement de la Chine et a commencé à entrer dans la vision des gens. Ce qui sera discuté ensuite est, l'effondrement de l'empire américain juste pour entrer dans le champ de vision? Diable viral au-delà de l'imagination Il y a deux mois, qui aurait cru que la nouvelle épidémie de couronne allait exploser aux États-Unis à ce moment-là, et combien de personnes dans le pays ont fui aux États-Unis pour se réfugier. L'évolution rapide de l'épidémie et le renversement dramatique de la situation sont surprenants. Au 23 mars, le nombre de personnes infectées aux États-Unis dépassait les 43 000, se classant au troisième rang mondial après l'Italie. L'infection virale se propage par vagues et le nombre d'infections augmentera géométriquement avec le cycle d'infection virale (7-10 jours), se multipliant de vague en vague. Au fil du temps, la difficulté de contrôle augmentera considérablement et les États-Unis sont actuellement dans une phase à part entière. Même si cela fait 2 mois que Wuhan a annoncé la fermeture de la ville, il est étrange que les États-Unis n'aient pas adopté de mesures de prévention et de contrôle efficaces depuis longtemps, sauf que le 31 janvier, il a annoncé qu'il prendrait des mesures pour isoler son propre peuple qui avait visité la Chine dans les 14 jours. Mesures. Trump a toujours été convaincu que "le virus disparaîtra comme un miracle à mesure que la température augmentera" . Le 13 mars, les États-Unis ont déclaré l'état d'urgence. En conséquence, les nœuds clés de la prévention et de la lutte contre les épidémies ont été gaspillés. Cela n'a pas tenu compte de la situation rapportée par les médias et non encore reconnue par le gouvernement américain, c'est-à-dire que le nouveau virus de la couronne s'est propagé aux États-Unis. Si tel est le cas, l'épidémie aux États-Unis pourrait être bien pire qu'on ne l'imaginait. Matthew Biggstaff, analyste modèle aux Centers for Disease Control and Prevention, a présenté le développement de l'épidémie aux États-Unis en février. Selon son modèle analytique, le pire des cas aux États-Unis était de 1,7 million de décès par infections virales et de 21 millions de personnes. Traitement hospitalier. Selon le Dr James Lawler, professeur au University of Nebraska Medical Center, 96 millions de personnes pourraient être infectées et 480 000 morts aux États-Unis sur la base du schéma de transmission du virus. Le médecin du Congrès américain et de la Cour suprême, Brian Patrick Monaghan, a déclaré lors d'une séance à huis clos au Sénat le 10 mars que 70 à 150 millions d'Américains devraient être infectés, soit 25% à 50% de la population du pays. (320 millions) infectés. Anthony Fauci, directeur des National Institutes of Allergy and Infectious Diseases des National Institutes of Health et expert américain en contrôle des maladies, a déclaré aux médias le 15 mars que, dans le pire des cas, des millions de personnes pourraient mourir du virus. Bien que les États-Unis disposent d'une grande force nationale, le déclenchement de l'épidémie a été inévitable car il a manqué le meilleur moment pour la prévention et le contrôle. Ensuite, la pression des institutions médicales, le manque de fournitures médicales, de fournitures de protection, d'équipement de traitement et l'enquête sur un grand nombre de contacts étroits se produiront tous. Selon le New York Times, il n'y a actuellement que 924 000 lits d'hospitalisation aux États-Unis, sans parler d'une pénurie de personnel médical. Si le pire se produit, le système médical américain s'effondrera complètement, et même les États-Unis les plus puissants ne pourront pas contrôler l'épidémie en peu de temps. L'expérience de Wuhan montre qu'il faudra même 2 mois pour mobiliser des ressources médicales pour la prévention des épidémies dans tout le pays. Les États-Unis n'ont pas nos organisations locales basées sur le réseau et une équipe interminable de bénévoles. La durée de la lutte contre l'épidémie aux États-Unis sera une grande inconnue. Même si le vaccin sur lequel Trump s'appuie fortement peut être développé aussi rapidement que cinq mois plus tard, d'ici là, le nombre de personnes infectées est estimé à des millions. Le 18 octobre 2019, l'Université Johns Hopkins des États-Unis, conjointement avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill Gates, a organisé une campagne de déduction sur ordinateur contre l'épidémie à grande échelle du virus du SRAS à New York. Les conséquences économiques et sociales sont très graves, et l’impact global devrait se terminer dans 18 mois. L'épidémie de virus infectieux est différente des catastrophes naturelles et de la guerre habituelles. Parce qu'il s'agit d'une attaque contre le sujet social, c'est-à-dire les personnes, la destruction des activités sociales humaines est totale, et les conséquences directes sont l'arrêt social et l'effondrement du système d'exploitation économique. Selon l'analyse des médias étrangers, "Le virus attaque non seulement l’économie du pays malade, mais plonge également le marché mondial dans un mode de panique, affecte les chaînes de production et d’approvisionnement et a un effet aplatissant sur l’ensemble de la chaîne de valeur mondiale. Il s’agit d’une situation sans précédent, même lorsqu’il est consommé en temps de guerre. Il n'a jamais été aussi profondément touché. Cela conduira à un cercle vicieux, avec des activités commerciales arrêtées, la production ralentie, le chômage augmenté et la consommation atone, avec des effets catastrophiques sur tous les indicateurs économiques. " L'aggravation de l'épidémie aura un impact plus grave et plus profond sur les États-Unis socialement développés. Selon les rapports, 70% du PIB des États-Unis est le secteur des services, dont la valeur de sortie du divertissement, du cinéma, des sports et des médias représente 40%, qui est la plus grande industrie du secteur des services, l'immobilier représentant 17% et la finance 8,4%. En termes simples, l'économie américaine est "jouée" et les industries du cinéma, de la télévision, du divertissement, des sports et de la culture sont les premières industries à être le plus durement touchées par l'épidémie de virus. En mars, après que l'État a annoncé qu'il était entré dans un état d'urgence, toutes les activités de divertissement, sportives, sociales et commerciales avaient cessé et la consommation, le plus gros véhicule qui a conduit l'économie américaine, s'est complètement effondrée. La suspension de la demande des consommateurs entraînera inévitablement une contraction des investissements. Sans demande, aucun investissement ne peut être évoqué. L'industrie manufacturière américaine dépend fortement de la chaîne d'approvisionnement mondiale, et des épidémies locales et mondiales éclatent, ce qui rend la chaîne d'approvisionnement des produits difficile à maintenir. De même, le monde a chuté, la demande des consommateurs étrangers a chuté et les exportations devaient stagner. Par conséquent, la troïka qui conduit l'économie doit appuyer sur le bouton pause. À l'avenir, que la ville soit fermée ou que la construction se poursuive, en raison de la forte baisse de la demande des terminaux et de la perte de la force motrice du cycle économique, tous les horizons tomberont comme des dominos jusqu'à ce que toute la chaîne de l'industrie économique s'arrête. La consommation économique ne fera que maintenir la demande de produits de première nécessité et de fournitures de prévention des épidémies, et seule la demande restante maintiendra le fonctionnement de bas niveau des activités économiques de base de la société humaine. En fin de compte, le système économique s'effondrera complètement et le cycle économique sera facilement interrompu. S'il ne peut pas être redémarré dans un court laps de temps, la reprise peut être un processus de remaniement. Diable financier fréquent L'industrie financière est la source d'eau vive de l'économie américaine en augmentant continuellement son effet de levier, en mobilisant les investissements en capital et en stimulant le développement économique. Chaque fois qu'une crise économique se produit, la soi-disant méthode habituelle de sauvetage de marché de Wall Street consiste à libérer de la liquidité à grande échelle, à injecter de l'eau dans l'économie, à éviter toute obstruction du système financier et à empêcher l'effondrement du système financier en raison d'une chaîne de capital cassée. Parce que les États-Unis ont l'avantage d'imprimer la monnaie mondiale, le dollar américain, chaque fois qu'une crise financière survient, ils peuvent financer compulsivement le monde en libérant de l'eau, transférer sa crise nationale vers d'autres pays et utiliser l'argent d'autres pays pour payer une consommation excessive aux États-Unis. Une telle opération est le script standard pour le sauvetage de Wall Street. Par conséquent, après chaque crise financière, les grandes banques de Wall Street gagnent toujours beaucoup d'argent. L'épidémie du marché financier américain causée par l'épidémie a dépassé à plusieurs reprises les procédures sévères de son expert, de sorte que les mesures de sauvetage pour économiser le pétrole introduites par la Réserve fédérale ont échoué à plusieurs reprises. La politique d'assouplissement monétaire en bout de ligne a injecté des liquidités illimitées dans le système financier. Cette fois sera-t-elle la même qu'avant, après la crise, l'économie américaine sortira-t-elle de la crise et retrouvera-t-elle bientôt la prospérité grâce à une grande quantité d'eau injectée? Le monde supportera-t-il toujours les conséquences de la dévaluation de la monnaie et de l'inflation pour les États-Unis? Cette fois, la situation est manifestement différente de la crise économique précédente. La capacité des États-Unis à atteindre leurs objectifs dépend de la situation de la prévention et de la lutte contre les épidémies. Si l'épidémie passe rapidement et que le bouton de réinitialisation est enfoncé pour les activités socio-économiques, l'économie américaine pourrait renaître et reprendre son développement. Si l'épidémie ne peut pas passer rapidement et que la liquidité américaine n'est plus suffisante et que la boucle fermée ne sera pas bouclée, il sera difficile pour le flux de capitaux en dollars américains de véritablement couler. La chute mondiale a laissé d'autres pays avec une demande limitée pour le dollar. Parce que chaque pays n'a pas besoin d'acheter des armes américaines ou d'acheter de l'énergie américaine. Le marché doit se concentrer sur les fournitures médicales et les nécessités quotidiennes, et davantage d'achats de biens qui garantissent une vie de base. Ces produits ne sont pas les atouts de l'économie américaine. Si la contraction de la demande causée par l'épidémie dure longtemps, les multiples dollars américains resteront aux États-Unis, ce qui ne constituera pas la boucle fermée liquide requise pour la laine de laine. Certains analystes ont déclaré qu'à l'heure actuelle, la Fed n'a qu'une dernière décision pour acheter directement des actions, ce qui signifie que les actifs en dollars américains se déprécieront désormais considérablement. Certains médias ont également dit, comment maintenant que la Réserve fédérale émet 100 millions de dollars américains sur le compte de chaque Américain, le pouvoir d'achat de la consommation des résidents a augmenté de 100 millions de dollars américains, cela signifie-t-il que l'économie s'est développée? Évidemment non, cela ne fera qu'effondrer la monnaie. Déverser de l'argent par hélicoptère ne fera qu'effondrer le dollar plus rapidement. Certaines personnes ont analysé que la Fed a libéré 70 billions de yuans d'eau, mais les Américains disent que c'est inutile! Veuillez d'abord trouver un masque. La cause profonde de l'incapacité de l'économie américaine à faire face au nouveau virus de la couronne réside dans l'ignorance et la cupidité des capitalistes américains. L'idée de la suprématie de l'argent aux États-Unis a amené le gouvernement américain à croire que, tant que le boom financier de Wall Street, l'économie sera bonne. Comme chacun le sait, face à la vie et à la santé, s'appuyer uniquement sur la Réserve fédérale pour ouvrir la machine d'impression de billets en dollars américains pour promouvoir le prix des actifs en dollars américains n'est en fait pas le remède. Avec la propagation du nouveau virus de la couronne aux États-Unis, l'arnaque financière de Ponzi dans l'économie américaine pendant de nombreuses années sera également dévoilée. En d'autres termes, la pensée financière à cette époque aux États-Unis a non seulement échoué à guérir l'économie américaine, mais a également exposé les risques financiers et médicaux des États-Unis en même temps, exacerbant la Grande Dépression de l'économie américaine. En fait, après que Nixon a aboli unilatéralement l'étalon-or de Bretton Woods en 1971, l'économie américaine et le dollar américain ont été maintenus par la machine d'impression monétaire de la Réserve fédérale, et les seuls bénéficiaires sont l'élite financière de Wall Street. Pour la plupart des Américains et des devises mondiales, Le système de taux de change du dollar est une exploitation déloyale des devises. L'injection d'eau sans fond réduira encore davantage l'économie américaine et le crédit international du dollar américain au cours des dernières décennies. Le monde aura une perception subversive de l'économie américaine phare. Même la vérité que l'économie américaine est un "tigre de papier" sera révélée. Sur, le risque de crédit souverain américain augmente rapidement. Selon des rapports, récemment, la Chine a commencé à vendre la dette américaine, et d'autres pays occidentaux ont commencé à suivre activement. Démon racial qui est apparu Il y a une analyse des médias étrangers, "L'impact de l'épidémie sur tous les indicateurs économiques est catastrophique, mais l'impact sur les indicateurs sociaux peut être pire, surtout lorsque l'épidémie affecte des pays aux ressources de santé publique limitées. Le système capitaliste sera durement touché. Pour la plupart Pour les gens, cela peut signifier la barbarie générale du capitalisme. " Depuis l’épidémie, les opérations divines de Trump ont été enregistrées dans les médias nationaux. De la mi-janvier à la fin janvier, il est passé par trois étapes de confiance en soi, de secret et de panique. Le public a été informé plus tôt que << tout est sous contrôle et que le virus disparaîtra miraculeusement >> . À moyen terme, le vice-président Burns était responsable du travail de prévention des épidémies. Tout d'abord, il a demandé un calibre unifié. Même les experts ne peuvent pas librement faire des déclarations sur l'épidémie. , A déclaré l'état d'urgence. Le 19 mars, le président s'est personnellement engagé dans la bataille, s'exprimant sans image et nommant le terme stigmatisé racialement «virus de la Chine» . Le 20 mars, il a été répété à plusieurs reprises que le virus provenait de Chine et, malgré sa honte, il a tenté de se décharger de la responsabilité de la Chine pour une mauvaise prévention des épidémies. Le Washington Post a rapporté que les agences de renseignement américaines avaient émis des avertissements "inquiétants" concernant le nouveau virus de la couronne en janvier et février. Le 26 février, Trump a également déclaré que "dans quelques jours" les cas américains tomberaient à zéro. Un mois s'est maintenant écoulé et le nombre total de cas d'infection par le nouveau coronavirus aux États-Unis est devenu le troisième plus grand au monde. Le nombre de nouveaux cas d'infection par le nouveau coronavirus en Chine continentale a été réduit à un seul chiffre. Splash sur la Chine. En fait, Trump a abordé le sujet sensible de la discrimination raciale dans une panique, ce qui a déclenché une censure nationale. Même le Hillary anti-Chine est également sorti et a accusé Trump d'essayer de détourner l'attention du public et d'échapper à la responsabilité d'une mauvaise prévention des épidémies. Le New York Times a également écrit directement, "Ne laissez pas Trump s'enfuir" , l'accusant de renommer le nouveau virus de la couronne en "virus de Chine" afin de couvrir l'échec de la réponse à l'épidémie. L'ordre social américain s'appuie sur un système judiciaire solide pour maintenir la stabilité. Selon les statistiques étrangères, les deux indicateurs du nombre de détenus en prison et de la proportion de la population emprisonnée aux États-Unis ont toujours été les plus élevés au monde. En moyenne, il y a 655 détenus pour 100 000 habitants et plus de 70 millions d'adultes ont été incarcérés. Les statistiques des États-Unis, terre de liberté remplie de gloire et de rêves, sont vraiment choquantes. En tant que pays d'immigration multiethnique, tout problème de discrimination raciale peut provoquer l'opinion publique nationale et même provoquer des troubles civils. Au moment de l'épidémie à grande échelle, les tensions et la panique aux États-Unis ont commencé à couvrir les émotions sociales. Alors que l'épidémie s'aggrave à tout moment, Trump, en tant que président du pays, a prononcé le mot "virus de la Chine" , qui doit être malavisé dans la société et peut déclencher à tout moment des changements sensibles de conflit ethnique. Récemment, des rapports ont rapporté que les blancs et la culture chinoise aux États-Unis augmentaient rapidement dans les médias sociaux aux États-Unis, et qu'il y avait une augmentation inquiétante de la violence contre les Asiatiques. Selon les médias américains, les adeptes de groupes de suprématie blanche ou d'organisations similaires pourraient utiliser la situation instable actuelle de la pandémie de virus pour organiser des attaques. L'Associated Press a rapporté le 19 mars que des crimes de haine contre les Asiatiques avaient récemment explosé dans certaines grandes villes américaines. L'ABC a rapporté le 20 mars qu'une association inappropriée de groupes asiatiques avec le virus de la Nouvelle Couronne a provoqué de plus en plus de harcèlement et d'attaques contre des Américains d'origine asiatique. Le 24 mars, Trump, conscient de la gravité du problème, a dû tweeter pour changer sa parole, "La propagation du nouveau virus de la couronne n'est pas de leur faute de toute façon, et les Asiatiques travaillent également en étroite collaboration avec nous pour combattre la nouvelle couronne. Nous nous unirons pour vaincre le virus." Si la situation épidémique n'est pas bien maîtrisée, avec l'intensification de problèmes tels que le chômage, l'approvisionnement en biens et la pénurie de ressources médicales, l'insatisfaction sociale sera encore évacuée et divers facteurs d'instabilité sociale apparaîtront. Les problèmes ethniques peuvent devenir une cause de division sociale aux États-Unis. Source en désordre. C'est également après l'épidémie. Lorsque les résidents américains ont saisi des marchandises, contrairement à d'autres pays, de nombreux résidents, en particulier les résidents asiatiques, ont pris des armes à feu et des balles amassées. Dans le même temps, en raison de la lenteur des actions et de l'inaction du gouvernement fédéral, le conflit entre le gouvernement local et le gouvernement fédéral aux États-Unis s'est aggravé. Les chefs d'État de New York, de New York et de Florida City dans la zone la plus durement touchée ont à plusieurs reprises accusé le gouvernement fédéral de prévention des épidémies inefficace, d'action lente et même de nom public Blâme Trump. Le gouvernement de l'Utah ne s'est pas aligné sur le gouvernement fédéral et a rendu hommage et soutenu à plusieurs reprises à l'épidémie de défense nationale de Chine. Diables égoïstes effrayants alliés Après que Trump est arrivé au pouvoir, il a crié le slogan "Make America Great" et a adopté un comportement complètement égoïste. Le gouvernement américain a non seulement discrédité la Chine quel que soit son statut, mais a également facturé à ses alliés de la sécurité des "frais de protection". L'Europe, la France, l'Allemagne, le Japon, la Corée du Sud et d'autres gouvernements alliés étaient imparables, et ils ont subi beaucoup de pressions intérieures. Les différentes attitudes des pays européens à l'égard de l'adoption de la technologie 5G de Huawei ont montré que l'image des États-Unis aux yeux de leurs alliés a été considérablement réduite, et l'administration Trump consomme constamment la puissance douce des États-Unis en tant que leader des phares dans le monde occidental. Que le nouveau virus de la couronne soit originaire des États-Unis ou non, les États-Unis n'ont montré aucune image d'une grande puissance responsable et du rôle d'un leader mondial au moment critique d'une grave épidémie dans la plupart des pays du monde. Le New York Times des États-Unis a rapporté le 23 mars que la nouvelle crise des coronavirus s'intensifiant dans le monde, les États-Unis reculent et abandonnent leur rôle de longue date. Les agences américaines "semblent incapables de faire face à l'épidémie domestique" et adoptent une "action solo à la Trump" . Alors que la Chine tend la main à d'autres pays, les États-Unis "semblent peu disposés ou incapables de diriger" . Non seulement le bouche à oreille s'est répandu en Chine, mais il a également essayé de se débarrasser de l'incendie. Non seulement les alliés sont morts, mais ils ont également fait passer en contrebande des kits japonais et des masques allemands. Il a également ignoré les demandes d'assistance de l'Italie, de l'Espagne et d'autres pays durement touchés et a suspendu unilatéralement les vols avec l'Europe. Un récent article de l'historien israélien Yuval Herali affirme que l'actuel gouvernement américain a renoncé à son rôle de leader et même à ses plus proches alliés. Quand il interdit tous les voyageurs au départ de l'UE, il ne prend pas la peine d'en informer l'UE à l'avance, sans parler de la mesure drastique de négocier avec l'UE. Même si le gouvernement américain actuel change enfin de position et propose un plan d'action mondial, il est estimé que peu de gens suivront un leader qui ne prend jamais la responsabilité, n'admet jamais les erreurs, se donne tout le crédit et toute la responsabilité envers les autres. Le chercheur allemand de la Fondation Marshall, Jan Teshaw, a déclaré que Trump n'avait pas caché le nationalisme et les slogans "America First" . Il a imputé le virus de la Nouvelle Couronne à la Chine, puis à l'Europe, ainsi qu'à ses diverses erreurs factuelles. L'expression «signifie que les États-Unis ne servent plus la planète». Peter Westmarcott, ancien ambassadeur britannique à Washington, a déclaré: "Le point de vue de la plupart d'entre nous sur cette crise est ce que cela signifie pour nos familles, nos moyens de subsistance et l'avenir de notre pays", "En même temps, nous observons également comment les autres réagissent à cette crise", "La performance de Trump confirme fondamentalement ce que la partie atlantique pense de lui. Il est tout pour lui-même et ne prend pas la responsabilité des erreurs antérieures." Depuis l'épidémie, l'image laide des États-Unis a été vue par tous les pays du monde, et l'administration Trump perdra la confiance du monde, y compris des alliés. Une épidémie a déchiré l'hypocrisie des États-Unis et le monde occidental tout entier subira une catastrophe. Si les États-Unis n'ont pas vraiment commencé à décliner auparavant, alors l'année de la nouvelle couronne doit être le point de départ du déclin des États-Unis! John Galton a écrit sur la première page de L'effondrement de l'Empire américain, "Si vous retirez le joug impérialiste autour de votre cou, vous nagerez mieux. Retirez-le et ne vous noyez pas."
_____________________________________________ Le prochain marché baissier des actions américaines sera «le pire marché de ma vie»: Jim Rogers https://www.globaltimes.cn/content/1183911.shtml Par des journalistes de GT Source: Global Times Publié: 2020/3/26 22:38:35 Pendant l'éclatement de la pandémie mondiale qui a secoué les investisseurs mondiaux, le marché boursier chinois a "fait moins mal" que les autres marchés, y compris celui des États-Unis, car Pékin a "mieux fait" de stabiliser le marché des capitaux et de ne pas imprimer de " » , a déclaré Jim Rogers, investisseur renommé et président de Rogers Holdings, au Global Times. «La Chine a maintenu les taux d'intérêt jusqu'à présent, tandis que les États-Unis ont fait le contraire. De même, la Chine a dépensé beaucoup pour aider les choses, mais a été beaucoup plus saine jusqu'à présent que les États-Unis qui vont dépenser des sommes incroyablement énormes» ,dit Rogers. Le marché chinois des actions A a légèrement baissé jeudi. L'indice de référence de Shanghai Composite a légèrement baissé de 0,60% jeudi, tandis que l'indice des composants de Shenzhen et le ChiNext de style NASDAQ ont baissé de 0,84% et 0,55%, respectivement. Mercredi, le marché américain a affiché des performances mitigées. Le Dow Jones Industrial Average a bondi de 2,39%. Le S&P 500 a également augmenté de 1,15%. Mais le NASDAQ Composite, riche en technologies, a chuté de 0,45%. Au cours des 10 derniers jours, le disjoncteur clé s'est déclenché quatre fois sur le marché boursier américain. Rogers a noté qu'il y aura des rassemblements, d'autant plus que le gouvernement américain est de plus en plus désespéré pour soutenir les choses. Mais tous les boosts artificiels toujours plus nombreux ne feront qu'empirer les choses à la fin. Mercredi, les dirigeants de la Maison Blanche et du Sénat sont parvenus à un accord sur un plan de secours économique massif d'une valeur de plus de 1,8 billion de dollars pour l'économie américaine. Il s'agit du plus important plan de sauvetage de l'histoire des États-Unis. "[Les décideurs politiques américains] s'assurent que le prochain marché baissier des actions américaines sera le pire marché de ma vie" , a déclaré Rogers. Il a indiqué qu'en raison de la façon dont la Chine et les États-Unis ont abordé le virus, le rôle économique joué par les deux pays dans le monde va changer. Rogers a également prédit qu'il faudra plus de temps que prévu pour mettre fin aux turbulences sur les marchés des capitaux, en raison d'une dette incroyablement élevée et d'énormes excès de capitaux. Un total de 67 nouveaux cas de COVID-19 ont été signalés mercredi sur le continent chinois, tous des cas importés. Le nombre de cas de COVID-19 aux États-Unis était de 65285 à 19h00 (heure des États-Unis) mercredi, avec 926 décès, selon le Center for Systems Science and Engineering de l'Université Johns Hopkins. Rogers a déclaré que le gouvernement américain avait fait trop peu pour freiner la pandémie. "Le peu qu'il y a, c'est trop peu trop tard." " Les États-Unis ne sont pas préparés et n'ont pas agi rapidement et bien. Le monde connaît le virus depuis plus de trois mois, mais les États-Unis n'ont même pas pu tester un million de personnes la semaine dernière ", a déclaré Rogers. C'est un contraste frappant avec la Chine, qui a maîtrisé le virus en trois mois et aide maintenant d'autres pays, alors que les États-Unis ne peuvent pas résoudre leur propre situation,
_____________________________________________ Vidéo : New York, nouvelle zone à haut risque du Covid-19
Edité le 26-03-2020 à 20:58:21 par Xuan
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| Posté le 25-03-2020 à 17:01:06
| Extraits du dernier discours de Trump, illustrant les deux précédents. De toute évidence le redémarrage économique de la Chine lui est insupportable et il veut à tout prix empêcher les USA de s'enfoncer. C'est le peuple américain qui va payer la note : « Nous avons beaucoup appris, ce pays a acquis une grande discipline, par rapport à l’éloignement, par rapports aux poignées de main. Mais nous devons ouvrir notre pays parce que cela cause des problèmes qui, à mon avis pourraient être de plus gros problèmes. Nous avons une grippe saisonnière très active, beaucoup plus active que beaucoup d’autres. On semble se diriger vers 50 000 morts ou plus, pas des cas, 50 000 morts. Ce qui est …c’est beaucoup. Et si vous regardez les accidents de voiture, dont les chiffres sont bien plus hauts que tout ce dont nous parlons à présent, ça ne signifie pas que nous allons dire à tout le monde de ne plus conduire de voitures. Certaines parties de notre pays sont très peu affectées, très petits chiffres. Regardez le Nebraska, regardez l’Idaho, regardez l’Iowa, regardez. Je peux nommer de nombreux états qui gèrent très bien, et qui ne sont pas affectés dans la même mesure. Vous savez, la vie est fragile, les économies sont fragiles. Mais l’une des choses, c’est le taux de mortalité John. Quand nous avons débuté, personne ne connaissait rien à ce virus en particulier. Très très peu. Nous avons commencé à entendre le chiffre de 5%, c’est un chiffre astronomique. Le taux de mortalité est important pour moi, car je pense que nous sommes très substantiellement sous les 1 %. C’est toujours terrible, tout le concept de la mort est terrible. Mais il y a une énorme différence entre une chose en-dessous de 1 % et 4 ou 5 % ou même 3 %. L’avis des spécialistes N’oubliez pas que les médecins, si on écoute les médecins, ils disent de boucler le monde entier. Et quand nous le fermerons, ce sera merveilleux, et gardons-le fermé pendant quelques années. On ne peut faire ça. Et vous ne pouvez pas faire ça avec un pays, en particulier la première économie mondiale, et de loin. La première économie mondiale ne peut pas faire ça. Le Dr Fauci est-il d’accord avec vous sur la nécessité de réouvrir l’économie bientôt ? Il n’est pas en désaccord, nous avons eu une longue conversation. Et il comprend que notre pays paie un coût colossal en termes de vies et en termes d’économie, et en termes de nombreuses années pour rebâtir quelque chose qui était une machine bien huilée. Notre pays n’a pas été bâti pour être arrêté, ce n’est pas un pays qui a été bâti pour ça. L’hydroxychloroquine, ce sera distribué demain. Suivez ça de près, vous avez sûrement vu quelques articles sortis aujourd’hui dans lesquels un homme dont on pensait qu’il ne survivrait pas, il avait dit au revoir à sa famille, ils lui ont donné ce médicament juste un peu avant mais il pensait que c’était fini. Sa famille pensait qu’il allait mourir. Et… quelques heures plus tard, il s’est réveillé, il se sentait bien, puis il s’est réveillé à nouveau et se sentait vraiment bien. Il est en bonne forme, il est très heureux d’avoir eu ce médicament. »
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| Posté le 25-03-2020 à 19:44:02
| La loi de la jungle au Brésil de Bolsonaro : ce sont les gangs qui assurent le couvre-feu. La protection de la population est inexistante et l'Etat rejette le confinement. Article Global Times Les gangs appellent au couvre-feu alors que le coronavirus frappe les favelas de Rio Par Reuters-AFP Source: Reuters - AFP Publié: 2020/3/25 17:23:40 Les soirées dansantes "baile funk" ont été annulées. Certains marchés de drogues en plein air sont fermés aux affaires. Les gangs et les milices ont imposé des couvre-feux stricts. Le coronavirus arrive et les favelas sans loi de Rio de Janeiro se préparent à l'attaque. L'œuvre graffiti "Ethnicities" de l'artiste brésilien Eduardo Kobra est vue mardi dans la zone portuaire de Rio de Janeiro, au Brésil, au milieu de la pandémie de COVID-19. Photo: AFP Cité of Dieu, un complexe tentaculaire de bidonvilles rendu célèbre dans un film à succès du même nom en 2002, a enregistré le premier cas confirmé de coronavirus dans les favelas de Rio au cours du week-end. Maintenant, avec le cruel sous-financement du gouvernement de l'État et le président brésilien Jair Bolsonaro largement critiqué pour sa lenteur à répondre à l'épidémie, les gangs criminels qui ont longtemps dominé les favelas de Rio prennent leurs propres précautions contre le virus, selon des résidents et des articles de presse. Bolsonaro s'en est pris mardi à ce qu'il a appelé les politiques de quarantaine de la "terre brûlée" pour contenir la pandémie de coronavirus, affirmant qu'elles risquaient de ruiner l'économie. Deuxième ville du pays et la deuxième la plus touchée par le nouveau coronavirus, Rio a également pris des mesures de confinement drastiques, notamment la fermeture d'écoles, de restaurants et de ses plages et attractions touristiques. N'hésitant jamais à la controverse, le leader d'extrême droite a condamné les mesures de confinement prises par les autorités dans des endroits tels que Sao Paulo et Rio de Janeiro, affirmant qu'ils risquaient de tuer les emplois des gens dans un effort malavisé pour sauver des vies. "Certaines autorités étatiques et locales doivent abandonner le concept de la terre brûlée: bloquer les transports, fermer les entreprises et confiner les gens en masse" , a-t-il déclaré dans un discours national. "Nous devons préserver les emplois et les moyens de subsistance des familles." Selon le journal extra-régional de Rio, des gangsters de la Cité de Dieu circulent dans le bidonville, diffusant un message enregistré aux habitants. "Nous imposons un couvre-feu parce que personne ne prend cela au sérieux" , selon le message d'Extra mardi. "Quiconque est dans la rue en train de se défouler ou de se promener recevra une correction et servira d'exemple. Mieux vaut rester à la maison sans rien faire. Tel est le message." Reuters n'a pas été en mesure de confirmer la véracité du message enregistré, mais les habitants de la Cité de Dieu, qui ont refusé de donner leur nom par crainte de représailles, ont confirmé un couvre-feu le soir et d'autres restrictions. L'inquiétude des gangs face à l'épidémie fait écho aux craintes du pays concernant le sort des près de 15 millions d'habitants des favelas du Brésil confrontés à ce que certains ont surnommé "la maladie des riches" . Le coronavirus a atterri dans le pays avec des Brésiliens plus riches revenant d'Europe, mais migre rapidement vers des communautés plus pauvres, où les quartiers surpeuplés, la main-d'œuvre informelle et les services publics faibles menacent d'accélérer sa propagation. Les gangs de la drogue ou les paramilitaires rivaux agissent souvent comme des autorités de facto dans les favelas. Avec peu ou pas de présence du gouvernement dans les quartiers, les gangs appliquent les contrats sociaux. Ils se livrent également à des fusillades régulières entre eux et avec les forces de police. Au Brésil, quelque 40 millions de personnes n'ont pas accès à l'approvisionnement public en eau, tandis que 100 millions - près de la moitié de la population - vivent sans raccordement au traitement des eaux usées, selon l'Agence nationale des eaux du pays. "L'assainissement de base est catastrophique" , a déclaré Jefferson Maia, un résident de 27 ans de la Cité de Dieu. "Parfois, nous n'avons même pas d'eau pour nous laver les mains correctement. Nous sommes très préoccupés par le problème des coronavirus." Thamiris Deveza, un médecin de famille travaillant dans le complexe de bidonvilles d'Alemao à Rio, a déclaré que les résidents se plaignaient depuis deux semaines d'un manque d'eau dans leur maison, ce qui rend difficile pour eux de se laver les mains et de se protéger de la propagation rapide du virus. Elle a dit que de nombreuses pharmacies dans les quartiers étaient à court de désinfectant pour les mains. Lorsqu'il était disponible, le prix était prohibitif. Les cas de coronavirus à propagation rapide se développent rapidement au Brésil. Le pays a enregistré mercredi 2 247 cas confirmés, avec 46 décès liés, selon le ministère de la Santé, faisant du Brésil, la plus grande économie d'Amérique latine, le pays le plus durement touché par la pandémie à ce jour dans la région. L'état de Rio, où environ un cinquième de la population vit dans des favelas, compte désormais 305 cas. Le gouverneur Wilson Witzel a averti vendredi que le système de santé publique de l'Etat risquait de "s'effondrer" dans les 15 jours. Le maire de Rio, Marcelo Crivella, a déclaré que les autorités déposeraient du savon gratuit aux entrées des favelas de la ville et réinstalleraient les personnes âgées ayant des problèmes de santé dans les hôtels. La ville a déjà signé un accord pour sécuriser 400 chambres, a-t-il dit. "Les personnes les plus à risque doivent être protégées dès que possible" , a déclaré samedi Crivella aux journalistes. Mardi, l'unité d'assainissement urbain de Rio, Comlurb, a lancé un nettoyage plus complet de certaines des zones les plus traversées de la ville, y compris autour des hôpitaux, a ajouté le maire. Mais les favelas sont toujours susceptibles d'être un défi majeur de santé publique, a déclaré Edmilson Migowski, épidémiologiste à l'Université fédérale de Rio. "L'entrée du coronavirus dans des zones plus denses, moins planifiées et moins culturellement assistées pourrait être dévastatrice", a-t-il déclaré. "Là où l'eau, le savon et le détergent manquent, il sera difficile d'arrêter la propagation."
Edité le 25-03-2020 à 19:46:24 par Xuan
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| Posté le 25-03-2020 à 20:01:07
| Un porte-avion américain en Asie frappé de plein fouet par le coronavirus© CC0 / skeeze https://fr.sputniknews.com/international/202003251043385292-un-porte-avion-americain-en-asie-frappe-de-plein-fouet-par-le-coronavirus/ 08:44 25.03.2020e Trois militaires qui se trouvaient à bord du porte-avions américain Theodore Roosevelt ont été testés positifs au coronavirus, a annoncé mardi 24 mars lors d'un briefing au Pentagone le secrétaire par intérim à la Marine des États-Unis, Thomas Modly. «Trois cas de Covid-19 ont été identifiés parmi le personnel à bord du porte-avions Theodore Roosevelt. Ce sont les premiers cas de Covid-19 sur un navire en service. Ces personnes ont été mises en quarantaine et doivent être extraites par avion du navire. D’ailleurs, ils pourraient quitter le navire dès aujourd'hui» , a-t-il déclaré lors d'une conférence en ligne. A lire :Trump: «plus de personnes mourront» d'une «grave récession» que du Covid-19 De son côté, le chef d’État-major de la Marine des États-Unis, Michael Gilday, a déclaré que le porte-avions était entré dans le port il y a 15 jours. «Cependant, il est difficile d'associer les cas d'infection spécifiquement à cette visite au port. Nous avons des avions qui volent d'un navire à l'autre. Nous ne voulons donc pas affirmer que cela s'est passé exactement lors de cette escale au port» , a expliqué M.Gilday. Selon lui, le commandement du navire se concentre maintenant sur l'isolement de ceux avec qui les malades étaient en contact et n'a pas encore l'intention de mettre fin au service du porte-avions. Le site The Hill a indiqué qu’au total 5.000 militaires servaient sur le Theodore Roosevelt. Pour l’instant, le porte-avions se trouve dans la mer des Philippines. L’un des pays les plus touchés par le Covid-19 Détecté en décembre dernier en Chine, le coronavirus a déjà touché plus de 422.000 personnes et en a tué plus de 18.000. Avec 804 morts et plus de 55.000 cas de contamination, les États-Unis sont devenus l’un des pays les plus touchés par la pandémie.
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| Posté le 25-03-2020 à 20:22:03
| COVID-19 aura un impact sérieux sur l'influence mondiale de l'armée américaine: des experts chinois Par Guo Yuandan Source: Global Times Publié: 2020/3/24 Alors que la nouvelle pneumonie à coronavirus (COVID-19) ravage le monde et le secrétaire américain à la Défense, Mark Esper, a admis lundi que la préparation au combat de l'armée américaine pourrait être affectée, des experts militaires chinois ont déclaré mardi que l'armée américaine pourrait subir un coup dur et perdre. son influence sur ses alliés. Esper a déclaré lundi que la maladie avait forcé l'armée américaine à annuler certains exercices d'entraînement et que le virus pourrait affecter sa préparation à mener des missions de combat s'il s'aggravait, a rapporté USA Today lundi. C'est la première fois que le Pentagone admet que COVID-19 pourrait potentiellement nuire à l'état de préparation de l'armée américaine au combat, bien qu'Esper ait insisté sur le fait que cela n'affecterait pas sa capacité à remplir ses missions aux États-Unis et à l'étranger. Lundi, le Pentagone a signalé 243 cas confirmés de COVID-19 au sein du département américain de la Défense, dont 133 cas de militaires en service actif, a rapporté CNBC. En comparaison avec les données des jours précédents, il est évident que l'armée américaine voit une augmentation rapide des cas de COVID-19, ce qui est conforme à la tendance croissante des infections aux États-Unis dans l'ensemble. Le Pentagone a mis en place des restrictions sur les voyages du personnel militaire américain, national et international, à partir du 16 mars, et Esper a annoncé lundi de nouvelles restrictions à l'entrée du personnel au Pentagone. Ces mesures auront inévitablement un impact sur la préparation au combat des États-Unis, selon les analystes. L'armée américaine a dû arrêter les ajustements réguliers du déploiement militaire à travers le monde, annuler ou reporter des exercices conjoints avec ses alliés, et réduire ou abandonner sa propre formation, ce qui portera un coup énorme à la préparation au combat de l'armée américaine, Song Zhongping, un expert militaire chinois et commentateur télévisé a déclaré mardi au Global Times. Étant donné que l'armée américaine suit une stratégie de déploiement mondiale, la pandémie de COVID-19 aura le plus grand impact sur sa préparation au combat, a déclaré Song, notant que les États-Unis ont des bases militaires dans le monde entier pour exercer leur influence internationale, mais maintenant la stratégie a échoué. et bon nombre de ses troupes doivent rester sur place et ne peuvent pas interagir aussi souvent avec ses alliés. À long terme, cela réduira l'influence de l'armée américaine parmi ses alliés, a déclaré Song, ajoutant que l'épidémie a révélé le fait que la capacité de l'armée américaine dans des situations autres que la guerre est en fait faible, et ses alliés, en particulier les membres de l'OTAN, n'ont pas pu recevoir de soutien des États-Unis. L'impact de l'épidémie de COVID-19 sur l'armée américaine se reflète également dans le conflit entre son déploiement mondial et la sécurité de son personnel, a déclaré Song. "Les Américains doivent reconsidérer et faire un choix entre le déploiement mondial et la sécurité de son personnel. Si l'armée américaine insiste sur le déploiement mondial, elle doit avoir suffisamment de mesures pour faire face à des crises comme cette épidémie" , a-t-il déclaré.
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| Posté le 26-03-2020 à 19:57:32
| Coronavirus: Les USA pourraient devenir le nouvel épicentre de l'épidémie, selon l'OMS https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/coronavirus-les-usa-pourraient-devenir-le-nouvel-%C3%A9picentre-de-l%C3%A9pid%C3%A9mie-selon-loms/ar-BB11CR4r 24/03/2020 GENEVE (Reuters) - L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait état mardi d'une "très forte accélération" de l'épidémie de coronavirus aux Etats-Unis. Prié de dire s'ils pourraient en devenir le nouvel épicentre, sa porte-parole Margaret Harris a répondu : "Nous assistons à une très forte accélération du nombre de cas aux Etats-Unis. Je pense donc qu'ils en ont le potentiel." Margaret Harris a également estimé que le bilan humain de l'épidémie au niveau mondial, actuellement de 14.510 décès, devrait "augmenter considérablement" au fur et à mesure que les nouveaux cas de contamination sont signalés à l'OMS. Selon l'OMS, 85% des nouveaux cas enregistrés au cours des dernières 24 heures étaient concentrés en Europe et aux Etats-Unis. (Emma Farge et Stephanie Nebehay, version française Jean-Stéphane Brosse et Jean-Philippe Lefief)
Edité le 26-03-2020 à 20:51:58 par Xuan
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| Posté le 26-03-2020 à 20:41:37
| Les trois péchés de Pompeo dans la lutte mondiale contre les virus: éditorial du Global Times Source: Global Times Publié: 2020/3/26 22:13:40 https://www.globaltimes.cn/content/1183908.shtml Le secrétaire d'État américain Mike Pompeo quitte une conférence de presse mardi au département d'État de Washington DC. Photo: AFP Dans un effort continu pour lancer des attaques vicieuses contre la Chine, le secrétaire d'État américain Mike Pompeo a parlé mercredi de nombreuses "menaces" présentées par le Parti communiste chinois (PCC), lors d'une conférence de presse, après une téléconférence vidéo avec ses homologues du G7. Il a affirmé que le PCC menaçait la santé et le mode de vie de l'Occident, exhortant chaque pays à travailler ensemble pour protéger l'ONU et d'autres organisations de "l'influence malveillante et de l'autoritarisme " de la Chine. Les remarques radicales de Pompeo sont une continuation de son état d'esprit de guerre froide envers la Chine et une tentative de boucs émissaires pour la mauvaise gestion par les États-Unis de l'épidémie de COVID-19. À sa grande honte, sa proposition de désigner le coronavirus comme «virus de Wuhan» a été rejetée par d'autres dirigeants du G7, On pense que les peuples de la Chine et des États-Unis ainsi que la communauté internationale ont déjà un jugement sur le gouvernement - chinois ou américain - qui réussit le mieux et qui mérite plus de critiques en termes de réponses à l'épidémie. Pour savoir comment Washington a miné la santé du peuple américain et joué un rôle négatif dans la lutte mondiale contre les coronavirus, nous avons résumé plusieurs erreurs commises par les États-Unis. Tout d'abord, le non-respect des obligations par le gouvernement américain au milieu de l'épidémie de coronavirus a conduit à un manque de transparence et de préparation, ce qui a rendu la spirale épidémique hors de contrôle. La lenteur de la réponse de Wuhan au début de l'épidémie est également due en partie à une mauvaise compréhension du nouveau coronavirus et de ses risques, en plus du problème des autorités locales. Mais comme la Chine a pleinement exposé sa situation au monde, les États-Unis auraient dû bien connaître la gravité du coronavirus. Le gouvernement fédéral américain, avec des politiciens comme Pompeo occupant des postes importants, est le principal responsable de la négligence et de l'inaction des États-Unis. On peut se rappeler que l'administration Trump a minimisé l'épidémie pendant des semaines et a affirmé que c'était le "canular" des démocrates. Pendant longtemps, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis n'ont pas connu la situation exacte de l'épidémie ni fourni de test de virus fiable, laissant les Américains et le reste du monde incertains du nombre de personnes infectées aux États-Unis. Le nombre de nouveaux cas infectés a dépassé 10 000 aux États-Unis mercredi, avec plus de 200 nouveaux décès liés aux coronavirus. La situation est totalement différente de ce que les dirigeants américains ont décrit. Deuxièmement, en tant que pays le plus puissant du monde et chef de file de l'Occident, les États-Unis devraient aider le monde occidental, mais ils n'ont pas répondu à ces attentes. Washington n'a rien dit d'autre que du bout des lèvres. Troisièmement, en plus de son incapacité en matière de prévention des épidémies et d'aide internationale, Washington est devenu un fauteur de troubles plutôt qu'un stimulant de la coopération internationale. Les États-Unis sont obsédés par l'attaque du système chinois. Les politiciens comme Pompeo ne se soucient pas autant de l'épidémie que de contenir la Chine. Le changement rapide de la situation est impensable pour eux - la Chine a mis le virus sous contrôle tandis que les États-Unis sont gravement touchés. Par conséquent, ils ont intensifié leurs mauvais tours pour tromper les Américains en attaquant la Chine plus violemment. Le monde entier espère voir la coopération sino-américaine pour lutter contre COVID-19. On peut dire que la pandémie ne peut être contenue sans la coopération entre les deux plus grandes économies. Pékin est disposé à mener une telle coopération, mais Washington a refusé à plusieurs reprises. S'engager dans une guerre des mots n'entraînera pas de coopération entre la Chine et les États-Unis. Les deux parties ont baissé la voix ces derniers jours, mais Pompeo a encore une fois intensifié les tensions en calomniant la Chine lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G7. Pompeo et les autres élites américaines doivent être responsables de l'endommagement de la coopération des superpuissances si la pandémie s'aggrave, tandis que la Chine ne peut pas se joindre aux États-Unis en raison de la guerre des mots. Les politiciens comme Pompeo se concentrent trop sur leurs intérêts politiques personnels. Ils resteront finalement dans les mémoires comme des modèles négatifs dans l'histoire de la bataille de l'humanité contre COVID-19.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 26-03-2020 à 20:47:09
| Texte intégral des remarques de M. Xi lors du sommet extraordinaire des dirigeants du G20 Source: Xinhua Publié: 2020/3/27 1:17:59 https://www.globaltimes.cn/content/1183925.shtml Lire aussi Xi propose de construire un réseau mondial de contrôle et de traitement des pandémies le plus solide Le président chinois Xi Jinping assiste au sommet extraordinaire des dirigeants virtuels du G20 sur COVID-19 via liaison vidéo à Pékin, capitale de la Chine, le 26 mars 2020. (Xinhua / Li Xueren) Le président chinois Xi Jinping a prononcé jeudi un discours intitulé "Travailler ensemble pour vaincre l'épidémie de COVID-19" lors du sommet extraordinaire des dirigeants du G20 via une liaison vidéo à Pékin. Travailler ensemble pour vaincre l'épidémie de COVID-19 Remarques de SE Xi Jinping Président de la République populaire de Chine lors du Sommet extraordinaire des dirigeants du G20 Pékin, 26 mars 2020 Votre Majesté le Roi Salman bin Abdulaziz Al Saud, Chers collègues, Je suis heureux de vous rejoindre. Permettez-moi tout d'abord d'exprimer ma sincère gratitude à Sa Majesté le Roi Salman et à l'Arabie saoudite pour avoir accompli un énorme travail de communication et de coordination afin de rendre ce sommet possible. Face à l'épidémie de COVID-19 qui nous a tous pris par surprise, le gouvernement chinois et le peuple chinois n'ont pas été découragés alors que nous nous acquittions de cette tâche redoutable. Depuis le premier jour de notre lutte contre l'épidémie, nous avons mis la vie et la santé des gens au premier plan. Nous avons agi selon le principe général de renforcer la confiance, de renforcer l'unité, d'assurer un contrôle et un traitement fondés sur la science et d'imposer des mesures ciblées. Nous avons mobilisé toute la nation, mis en place des mécanismes collectifs de contrôle et de traitement et agi avec ouverture et transparence. Ce que nous avons mené, c'est une guerre populaire contre l'épidémie. Nous avons mené une lutte acharnée et fait d'énormes sacrifices. Maintenant, la situation en Chine évolue régulièrement dans une direction positive. La vie et le travail reviennent rapidement à la normale. Encore, Au moment le plus difficile de notre lutte contre l'épidémie, la Chine a reçu l'aide et l'aide de nombreux membres de la communauté mondiale. De telles expressions d'amitié resteront dans les mémoires et seront chéries par le peuple chinois. Les maladies infectieuses majeures sont l'ennemi de tous. Au moment où nous parlons, l'épidémie de COVID-19 se propage dans le monde entier, ce qui représente une menace énorme pour la vie et la santé et pose un formidable défi à la sécurité mondiale de la santé publique. La situation est inquiétante et troublante. À un tel moment, il est impératif que la communauté internationale renforce la confiance, agisse avec unité et travaille ensemble dans une réponse collective. Nous devons intensifier globalement la coopération internationale et favoriser une plus grande synergie afin que l’humanité en tant que telle puisse gagner la bataille contre une maladie infectieuse aussi importante. Pour cela, je voudrais présenter quatre propositions. Premièrement, nous devons être résolus à mener une guerre mondiale totale contre l'épidémie de COVID-19. La communauté des nations doit agir rapidement pour endiguer la propagation du virus. À cet égard, je propose qu'une réunion des ministres de la santé du G20 soit convoquée le plus rapidement possible pour améliorer le partage d'informations, renforcer la coopération en matière de médicaments, de vaccins et de lutte contre les épidémies, et mettre un terme aux infections transfrontalières. Les membres du G20 doivent aider conjointement les pays en développement dotés de systèmes de santé publique faibles à améliorer la préparation et la riposte. Je propose une initiative d'assistance G20 COVID-19 pour un meilleur partage de l'information et une meilleure coordination des politiques et des actions avec le soutien de l'Organisation mondiale de la santé. Guidée par la vision de construire une communauté avec un avenir commun pour l'humanité, la Chine sera plus que prête à partager nos bonnes pratiques, Deuxièmement, nous devons apporter une réponse collective pour le contrôle et le traitement au niveau international. C'est un virus qui ne respecte aucune frontière. L'épidémie que nous combattons est notre ennemi commun. Tous doivent travailler ensemble pour construire le réseau mondial de contrôle et de traitement le plus solide que le monde ait jamais vu. La Chine a mis en place son centre de connaissances COVID-19 en ligne ouvert à tous les pays. Il est impératif que les pays mettent leurs forces en commun et accélèrent la recherche et le développement de médicaments, de vaccins et de capacités d’essai dans l’espoir de réaliser une percée rapide au bénéfice de tous. Des discussions sont également nécessaires concernant la mise en place de mécanismes régionaux de liaison d'urgence pour permettre une réponse plus rapide aux urgences de santé publique. Troisièmement, nous devons aider les organisations internationales à jouer leur rôle actif. La Chine aide l'OMS à diriger les efforts mondiaux pour développer un contrôle et un traitement scientifiquement fondés et appropriés et pour minimiser la propagation transfrontalière. J'appelle les membres du G20 à améliorer le partage d'informations anti-épidémiques avec le soutien de l'OMS et à promouvoir des protocoles de contrôle et de traitement qui soient complets, systématiques et efficaces. La plate-forme du G20 pour la communication et la coordination peut être utilisée pour intensifier le dialogue et l'échange de politiques, et une réunion de haut niveau sur la sécurité sanitaire internationale peut être convoquée en temps voulu. Pour la Chine, nous serons heureux de rejoindre d'autres pays et d'accroître le soutien aux organisations internationales et régionales concernées. Quatrièmement, nous devons renforcer la coordination internationale des politiques macroéconomiques. L'épidémie a perturbé la production et la demande à travers le monde. Les pays doivent exploiter et coordonner leurs politiques macroéconomiques pour contrer l'impact négatif et empêcher que l'économie mondiale ne sombre en récession. Nous devons mettre en œuvre des politiques budgétaires et monétaires fortes et efficaces pour maintenir nos taux de change essentiellement stables. Nous devons mieux coordonner la réglementation financière pour maintenir la stabilité des marchés financiers mondiaux. Nous devons conjointement maintenir la stabilité des chaînes industrielles et d'approvisionnement mondiales. À cet égard, la Chine entend accroître son approvisionnement en ingrédients pharmaceutiques actifs, en produits de première nécessité et en produits anti-épidémiques et autres sur le marché international. De plus, nous devons également protéger les femmes, les enfants, les personnes âgées, personnes handicapées et autres groupes vulnérables, et subvenir aux besoins fondamentaux des personnes. La Chine continuera de mener une politique budgétaire proactive et une politique monétaire prudente. Nous continuerons à faire avancer la réforme et l'ouverture, à élargir l'accès aux marchés, à améliorer l'environnement des affaires et à accroître les importations et les investissements à l'étranger pour contribuer à une économie mondiale stable. Je veux appeler tous les membres du G20 à prendre des mesures collectives - abaisser les tarifs, supprimer les barrières et faciliter la libre circulation des échanges. Ensemble, nous pouvons envoyer un signal fort et rétablir la confiance pour la reprise économique mondiale. Le G20 doit élaborer un plan d'action et mettre rapidement en place des mécanismes de communication et des dispositions institutionnelles pour la coordination des politiques macro-épidémiques. Chers collègues, Maintenant est un moment crucial, un moment pour nous de nous lever pour défier et agir avec rapidité. Je suis convaincu que grâce à la solidarité et à l'entraide, nous l'emporterons sur cette épidémie et nous embrasserons tous un avenir meilleur pour l'humanité! Je vous remercie.
Edité le 26-03-2020 à 20:51:16 par Xuan
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 27-03-2020 à 07:26:48
| (COVID-19) Les Etats-Unis deviennent le pays ayant le plus de cas confirmés de COVID-19 au monde (Université Johns Hopkins) French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-03/27/c_138921798.htm Publié le 2020-03-27 à 09:28 NEW YORK, 26 mars (Xinhua) -- Les Etats-Unis comptaient 82.404 cas confirmés de COVID-19 en date de jeudi 18h heure de l'Est (22h GMT), selon le tableau de bord interactif de l'Université Johns Hopkins. Ils dépassent ainsi la Chine pour devenir le pays ayant le plus de cas confirmés de COVID-19 dans le monde, d'après le Centre pour la science et l'ingénierie des systèmes (CSSE) de cette université américaine. Ce bilan national s'est alourdi de plus de 10.000 cas en moins de cinq heures. L'Etat de New York est devenu l'épicentre de la pandémie avec 37.802 cas signalés. Les Etats du New Jersey et de Californie ont rapporté 6.876 cas et 3.802 cas respectivement, selon l'université. Le bilan des morts liées au COVID-19 dans le pays s'est établi à 1.178, dont 281 dans la ville de New York et 100 dans le comté de Kings, dans l'Etat de Washington (nord-ouest). Les données du CSSE montrent que la Chine comptait 82.034 cas en date de jeudi 18h heure de l'Est (22h GMT). La Commission nationale de la santé (CNS) de la Chine a signalé 81.285 cas confirmés sur la partie continentale de la Chine en date de mercredi heure locale. D'autre part, 410 cas confirmés ont été signalés dans la Région administrative spéciale de Hongkong, 30 cas dans celle de Macao et 235 à Taiwan. Le bilan dans le monde s'est alourdi à 526.044 cas, dont 23.709 décès, selon le CSSE.
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| pzorba75 | Grand classique (ou très bavard) | 1224 messages postés |
| Posté le 27-03-2020 à 10:00:43
| Xuan a écrit :
(COVID-19) Les Etats-Unis deviennent le pays ayant le plus de cas confirmés de COVID-19 au monde (Université Johns Hopkins) French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-03/27/c_138921798.htm Publié le 2020-03-27 à 09:28 NEW YORK, 26 mars (Xinhua) -- Les Etats-Unis comptaient 82.404 cas confirmés de COVID-19 en date de jeudi 18h heure de l'Est (22h GMT), selon le tableau de bord interactif de l'Université Johns Hopkins. Ils dépassent ainsi la Chine pour devenir le pays ayant le plus de cas confirmés de COVID-19 dans le monde, d'après le Centre pour la science et l'ingénierie des systèmes (CSSE) de cette université américaine. Ce bilan national s'est alourdi de plus de 10.000 cas en moins de cinq heures. L'Etat de New York est devenu l'épicentre de la pandémie avec 37.802 cas signalés. Les Etats du New Jersey et de Californie ont rapporté 6.876 cas et 3.802 cas respectivement, selon l'université. Le bilan des morts liées au COVID-19 dans le pays s'est établi à 1.178, dont 281 dans la ville de New York et 100 dans le comté de Kings, dans l'Etat de Washington (nord-ouest). Les données du CSSE montrent que la Chine comptait 82.034 cas en date de jeudi 18h heure de l'Est (22h GMT). La Commission nationale de la santé (CNS) de la Chine a signalé 81.285 cas confirmés sur la partie continentale de la Chine en date de mercredi heure locale. D'autre part, 410 cas confirmés ont été signalés dans la Région administrative spéciale de Hongkong, 30 cas dans celle de Macao et 235 à Taiwan. Le bilan dans le monde s'est alourdi à 526.044 cas, dont 23.709 décès, selon le CSSE. |
Tous ces chiffres sont intéressants, et comparables si, et seulement si, ils sont établis en prenant les mêmes bases. Il semble que ce n'est pas le cas et les parties qui comparent leurs chiffres à d'autres se placent plus dans la propagande que dans l'analyse factuelle des données. Pour ma part, les champions olympiques, toutes catégories, de la propagande restent les américains, suivis des pays occidentaux, même le Vatican longtemps un dur à battre, est complètement hors jeu.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 27-03-2020 à 13:29:52
| D'une part ceux qui ne sont pas assurés ne peuvent pas se faire soigner, d'autre part les chiffres absolus doivent être rapportés à la population soit 1,43 milliards en Chine et 327,2 millions aux USA. dans la presse théorique chinoise. Traducteur: le vent du Pacifique. Cet article contenait à l'origine le compte public WeChat "Proletarian Translation Series" et Chanet a autorisé sa publication. L'article montre que dans certaines périodes le capitalisme peut réaliser des mesures "socialistes" pour sauver les meubles. [NB : traduction auto par Google chinois - français] Paul Kirkshot: crise et progrès social Heure: 2020-03-26 18:32 Source: Traductions prolétariennes Historiquement, la peste noire a changé la relation entre les serfs et leurs propriétaires, affaibli le servage et a considérablement augmenté les salaires. La peste a un taux de mortalité plus faible et est concentrée dans les groupes non actifs, mais le traumatisme psychologique de la peste, comme le traumatisme psychologique causé par la guerre totale, changera le champ idéologique dans lequel se déroulent les activités politiques. Les gouvernements et les classes sociales responsables des victimes verront leur réputation anéantie, et une telle perte de crédibilité ne peut être évitée qu'en s'appuyant sur des mesures plus radicales. Paul Kirkshot: crise et progrès social Lorsqu'une crise survient, qu'il s'agisse d'une guerre ou d'une maladie infectieuse, même un gouvernement bourgeois se rendra rapidement compte de la nécessité de la planification du travail et de la différence entre les secteurs nécessaires et non essentiels . Le Premier ministre Boris a utilisé les termes "guerre contre les virus" et "économie de guerre" lors d'une conférence de presse. Nous savons que, historiquement, la guerre du XXe siècle a forcé le gouvernement à intervenir et à organiser directement l'économie à des fins nationales. Les mesures adoptées pendant la Première Guerre mondiale attribuent les hommes et les femmes des forces concurrentielles à son pays. Le recrutement et les pertes en première ligne ont provoqué une énorme pénurie de main-d'œuvre, et la réponse du gouvernement est de mobiliser les femmes à ces postes professionnels qui étaient à l'origine occupés par des hommes. Assurer l'approvisionnement en biens essentiels relève à la fois de la responsabilité du marché et de l'État . Comme Otto Neurath, un économiste politique autrichien qui avait été impliqué dans le pilotage de l'économie allemande en temps de guerre pendant la Première Guerre mondiale, a déclaré que ce qui est nécessaire à la survie n'est pas de l'argent, mais des produits matériels. Cela est vite devenu évident. La main-d'œuvre dans tous les secteurs non essentiels a été supprimée. L'épidémie a contribué à une compréhension similaire. Après un certain temps, le gouvernement britannique est désormais contraint d'agir sur les grands secteurs économiques: l'hôtellerie, le tourisme et le transport aérien sont quasiment fermés. Ces industries sont fermées non pas parce qu'elles ne sont pas nécessaires, mais à cause des risques de contagion. Mais après la fermeture de l'école, le gouvernement a dû aller plus loin et fermer toutes les industries, sauf les secteurs nécessaires: NHS (National Medical Service System), transports, production et distribution alimentaires, énergie et infrastructures. Ces industries fermées sont comme des troupes de réserve qui n'ont pas été recrutées pendant la guerre. Tout comme l'économie de guerre, toutes les préoccupations concernant les contraintes budgétaires ont disparu immédiatement. Tant que cela sera nécessaire, le ministre des Finances investira autant qu'il réalisera que le vrai problème n'est pas l'argent, mais les personnes et les ressources . La principale préoccupation est la fourniture d'équipements, de bâtiments et de main-d'œuvre au NHS. Les services médicaux du NHS jouent le même rôle que les services militaires en temps de guerre, de sorte qu'une priorité absolue doit être accordée à l'allocation des ressources. Le secteur industriel sera incité à réorganiser les lignes de production pour fabriquer des ventilateurs au lieu des crachoirs. Des «soldats de réserve» - du personnel médical retraité - seront recrutés et du personnel auxiliaire sera recruté. En tant que biographe de Churchill (Boris Johnson a écrit le livre "The Churchill Spirit: How One Changed History" -Translator's Note), le Premier ministre britannique devrait connaître cette analogie. Comme l'a souligné James Meadway, la différence entre la situation actuelle et la guerre est que ce qui se fait actuellement n'est pas de maximiser la production, mais de la réduire, et de ne l' utiliser que pour la production des produits nécessaires à la survie. Isolez autant de personnes que possible . Au début de l'épidémie, il était impossible de prévoir comment les choses se passeraient, sauf pour dire que les victimes seraient catastrophiques. Le gouvernement britannique, comme le gouvernement italien, a reporté la mise en œuvre des mesures chinoises en janvier. Cela signifie que la Grande-Bretagne, comme l'Italie, fera plus de morts que la Chine. Dans le cas d'une augmentation exponentielle, c'est plus exponentiel. Pas 50% de plus, mais dix fois plus si vous avez de la chance, et même cent fois plus si vous n'avez pas de chance. Alors que cette crise se déroule, il y aura des changements plus drastiques dans les relations entre l'État et l'économie nationale. Nationalisation obligatoire, rachat de sociétés en faillite par l'État, essentiellement mise en œuvre certaine d'une forme de revenu de base universel (UBI) et mise en œuvre du système de rationnement. Historiquement, la peste noire a changé la relation entre les serfs et leurs propriétaires, affaibli le servage et a considérablement augmenté les salaires. La peste a un taux de mortalité plus faible et est concentrée dans les groupes en âge de travailler, mais le traumatisme psychologique de la peste, comme le traumatisme psychologique causé par la guerre totale, changera le champ idéologique dans lequel se déroulent les activités politiques. Les gouvernements et les classes sociales responsables des victimes verront leur réputation anéantie, et une telle perte de crédibilité ne peut être évitée qu'en s'appuyant sur des mesures plus radicales. Source d'origine: https://paulcockshott.wordpress.com/2020/03/20/crisis-and-social-advance/
Edité le 27-03-2020 à 13:49:14 par Xuan
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 27-03-2020 à 23:18:28
| Je signale cet article de la presse théorique, encore traduit du chinois au français par Google . Certaines expressions nous sont inconnues, mais on comprend quand même le sens général. Ce site publie quotidiennement de nouveaux articles de fond sur les questions nationales ou internationales, la réforme et les nationalisations, la penséemaotsétoung et son actualité, il fustige généralement la social-démocratie et le libéralisme, ou produit encore des textes philosophiques ou commente des classiques marxistes. l'article ci-dessous analyse l'évolution de la production électrique aux USA pour en déduire la tendance et l'état actuel des forces productives aux USA. Si on regarde la situation économique et financière, alors que l'Europe et plus encore les USA s'enfoncent dans la crise, alors que la Chine recommence à produire, on devine que les contradictions du monde impérialiste vont s'accentuer. Je signale à cette occasion deux vidéos de boursorama : Coronavirus : cet effet domino sur les marchés obligataires qui fait peur... (sur la dette à risque de certaines entreprises) L'économie américaine est-elle vraiment en train de tomber comme une pierre ? (en signalant les mesures financières dont le plan inouï de 2000 milliards de dollars, et le numéro d'équilibriste de Trump entre la crise sanitaire et financière) L'article conclut sur les différentes possibilités qui se présentent pour l'impérialisme américain, face au développement de la Chine : > développer la dette jusqu'à l'insolvabilité > réduire les coûts > fabriquer des devises > renverser les grandes puissances par des révolutions de couleur > recourir à la guerre L'auteur insiste sur le risque de guerre. L'article propose des contre mesures et des suggestions. Sur le même site : par Jiang Yong: la torpeur de la paix est l'ennemie de la sécurité nationale "Il y a toujours deux côtés à tout. Même pendant la période de "paix et développement", nous devons non seulement voir et lutter pour le côté "coopération", mais aussi voir et maîtriser l'autre côté de la "lutte". "Ce sont les pays occidentaux. Nous sommes prêts à coopérer avec eux aussi longtemps qu'ils le souhaitent. Nous sommes prêts à résoudre les problèmes existants pacifiquement." Nous voulons nous efforcer de coexister pacifiquement avec les pays occidentaux aux États-Unis. Idée ". Il est irréaliste de penser que les États-Unis et l'Occident abandonnent l'hégémonisme et la politique de puissance, et que le monde est bien sûr en paix" "La guerre et la paix sont deux manifestations de la politique. Ce sont deux contradictions qui "s'excluent mutuellement, mais sont également liées les unes aux autres et se transforment dans certaines conditions". "La paix est l'attente éternelle du peuple. La paix est comme l'air et la lumière du soleil, et il est difficile d'en bénéficier sans le savoir." [2] Cependant, le "dividende de la paix" n'est pas et ne peut pas être prié ou supplié, mais il est osé La lutte, le bon combat, la lutte sans relâche ont gagné. Le pacifisme du «monde est plat» et de la «famille du monde» ne peut que se paralyser comme des «grenouilles bouillies à l'eau tiède». La lutte des classes et l'impérialisme sont les racines de la guerre. L'hégémonisme et la politique de puissance ont soif de «dividendes de la guerre». Tant que la lutte des classes ou l'impérialisme existe, la guerre est inévitable. À l'ère contemporaine, la guerre inévitable n'est que sous une forme d'expression différente, c'est-à-dire que la << guerre de l'ombre>> se transforme de plus en plus en une << guerre des ombres>> et que la << guerre des ombres>> sous l'apparence pacifique s'est produite...". A noter : la loi US qui vient de sortir sur le statut de Taiwan et la réaction de la Chine l'accusation de narcotrafic contre Maduro Les USA passent le cap des 100 000 morts du covid-19 au moment où Trump veut redémarrer l'économie.
__________________________ http://www.cwzg.cn/theory/202003/56310.html Wang Lihua: Etudier la production d’électricité sur 100 ans aux USA : une période critique pour de grands changements ? • Heure: 2020-03-27 11:13 • • Source: Kunlun Strategy Research Institute • • Auteur: Wang Lihua La production d'électricité est un indicateur objectif du niveau de productivité. Si l'on regarde le taux de croissance de la production d'électricité aux États-Unis depuis un siècle, trois étapes se dégagent naturellement. Après 1972, le taux de croissance de la production d'électricité aux États-Unis a continué de baisser. De 2000 à aujourd'hui, la croissance a stagné ou même connu une croissance négative à long terme. La gravité de la crise a dépassé la Grande Dépression des années 30, ce qui indique que le système national américain actuel est devenu une marionnette pour le développement de la productivité. À cette époque, Roosevelt a fait passer la vie et la mort aux États-Unis grâce à la réforme radicale du New Deal. Plus tard, les nations du néolibéralisme se sont tournées vers la droite dans leur ensemble. Après des décennies de réaction institutionnelle, les résultats de la réforme du New Deal ont été épuisés, entraînant des conflits sociaux extrêmement aigus. Il est entré dans une période critique de nouvelles révolutions et guerres. Face à un si grand changement dans lequel coexistent danger et opportunité, la Chine doit réagir par de profonds changements. Tout d'abord, utilisez le taux de croissance de la production d'électricité pour tester la productivité des États-Unis Le marxisme estime que les forces productives sont le moteur fondamental du développement de la société humaine et le facteur le plus actif et révolutionnaire du développement historique. Le critère fondamental pour mesurer les progrès de la superstructure et des relations de production du pays dépend de la promotion et de la libération des forces productives. Du point de vue du macro-processus de la société humaine, si le développement des forces productives d'un pays est dans une certaine mesure entravé, trois types de résultats se produiront généralement: soit les relations de production obsolètes et rétrogrades seront modifiées par la révolution, soit les contradictions internes difficiles à surmonter par la guerre seront transférées, ou elles seront insurmontables. Le terrain médicinal a disparu dans la fumée historique . Cette vue peut être utilisée pour analyser les États-Unis aujourd'hui. Comment estimer avec précision le degré d'obstruction à la productivité? Maintenant, il est courant d'utiliser le PIB pour décrire le développement économique, et il est difficile de définir objectivement l'état de la productivité. Le PIB basé sur les statistiques des prix du marché est trop affecté par les variations de prix et les moyens monétaires pour mesurer avec précision la hausse et la baisse d'un pays, et même couvrir la vérité de fausses impressions. Tout comme les années précédentes, un PIB par habitant faisant autorité en 1948, qui a gonflé des milliers de fois sous la dynastie de la famille Chiang, était sans doute l'âge d'or du PIB par habitant le plus élevé de la Chine dans le monde. Loin d'atteindre le classement de l'époque, existe-t-il une objectivité aussi ridicule que le PIB? Le développement économique est le résultat des activités de production humaine et la productivité est la capacité de mener des activités de production. En ce sens, il existe une sorte de données qui permettent de quantifier plus facilement la productivité de base, qui est la quantité d'électricité ou d'énergie consommée par un pays [1]. La société humaine est déjà entrée dans l'ère de l'électrification. L'électricité est aujourd'hui la puissance de production la plus déterminante, directe et couvrant dans le monde. Presque toute la production sociale et la vie ne peuvent être séparées du soutien de l'électricité. La plupart des autres sources d'énergie telles que le charbon, le pétrole et le gaz naturel doivent être converties en électricité. Pour entrer en production. D'autres industries peuvent prioriser ou suspendre le développement pour une période de temps, mais le développement de l'électricité est une priorité pour le développement économique global du pays. D'une manière générale, le développement de la productivité sociale et de la croissance économique, y compris l'amélioration du niveau de vie, nécessitera inévitablement une augmentation correspondante de la production d'électricité. Si la croissance de la production d'électricité est lente ou négative, cela signifie également que le taux de productivité sociale et de croissance économique est réduit ou diminué . Sans un fort soutien électrique, il n'y aura pas de production et de vie modernes. Plus nous entrons dans la société industrialisée, informationnelle, en réseau et intelligente, plus nous devons quitter le soutien électrique. La production, la transmission et la consommation d'énergie sont achevées simultanément et instantanément. La quantité d'électricité produite ne doit pas être excessive ou insuffisante. La production d'électricité doit être équilibrée avec la production réelle et les besoins vivants. À l'exception d'une grande production d'électricité comme le Canada, la quantité de production d'électricité représente essentiellement la demande d'électricité qu'un pays a réalisée, et la quantité de production d'électricité est la productivité qui a déjà fait son travail. La science et la technologie doivent également jouer un rôle dans les activités de production réelles afin de devenir de véritables forces productives. Sinon, elles ne peuvent être que des forces productives potentielles et l'énergie électrique est nécessaire pour entraîner les forces productives réelles. La production d'électricité est reconnue comme un baromètre, un thermomètre et un annonciateur du développement économique. Elle peut également être considérée comme une mesure de la vitesse et du niveau de développement de la productivité . Par conséquent, l'étude de la loi de changement de la production d'électricité d'un pays peut refléter plus précisément sa productivité. Un pays dont la productivité de base est en baisse et le niveau de vie social stagnant ou déclinant ne peut et n'aura pas la force de maintenir l'hégémonie pendant longtemps. Deuxièmement, le taux de croissance de la production d'électricité aux États-Unis diminue depuis les années 1970 De 1917 à 2017, les données annuelles sur la production d'électricité aux États-Unis [2] sont complètes. Pour être intuitif et concis, et sans affecter le reflet des tendances de base, comparez l'évolution du taux de croissance de la production d'électricité aux États-Unis sur une période de cent ans avec une période de cinq ans. Condition [3]. En 1917, 43,429 milliards de kWh. Soit + 0,75 fois par rapport à 1912. 61,204 milliards de kWh en 1922, soit + 0,41 fois par rapport à 1917. 1013,90 milliards de kilowattheures en 1927, soit + 0,66 fois par rapport à 1922. 99,359 milliards de kWh en 1932, soit - 0,2 fois par rapport à 1927. En 1937, il était de 146,476 milliards de kilowattheures, soit une augmentation de 0,47 fois par rapport à 1932. En 1942, 233,146 milliards de kilowattheures, soit une augmentation de 0,59 fois par rapport à 1937. 3073,10 milliards de kilowattheures en 1947, soit une augmentation de 0,32 fois par rapport à 1942. En 1952, 463,055 milliards de kilowattheures, soit une augmentation de 0,51 fois par rapport à 1947. En 1957, 716,356 milliards de kilowattheures, une augmentation de 0,84 fois par rapport à 1952. 1946,526 milliards de kilowattheures en 1962, soit une augmentation de 0,32 fois par rapport à 1957. En 1967, il y avait 1 317 361 milliards de kilowattheures, soit 0,39 fois plus qu'en 1962. En 1972, 18533,90 milliards de kilowattheures, soit une augmentation de 0,41 fois par rapport à 1967. En 1977, 22110,31 milliards de kilowattheures, une augmentation de 0,19 fois par rapport à 1972. En 1982, il était de 23022,87 milliards de kilowattheures, soit 0,04 fois plus qu'en 1977. [4] En 1987, 27160,04 milliards de kilowattheures, soit une augmentation de 0,18 fois par rapport à 1982. En 31 314 856 millions de kilowattheures en 1992, une augmentation de 0,15 fois par rapport à 1987. En 1997, 35 262,29 milliards de kilowattheures, soit une augmentation de 0,13 fois par rapport à 1992. [5] En 2002, 3 789 435 millions de kWh, soit une augmentation de 0,10 fois par rapport à 1997. En 2007, 4 187 979 millions de kWh, soit une augmentation de 0,08 fois par rapport à 2002. 4 095,032 milliards de kWh en 2012, soit une augmentation de -0,02 fois par rapport à 2007. En 2017, 40905,82 milliards de kWh, soit une augmentation de -0,001 fois par rapport à 2012. Tout au long de l'histoire centenaire des États-Unis, il y a une tendance très évidente dans la production d'électricité, à savoir que le taux de croissance ralentit de plus en plus jusqu'à ce qu'il stagne . Fondamentalement, il peut être divisé en trois périodes de temps naturelles: La première période: De 1917 à 1972, tous les cinq ans, le multiple de croissance était plus de 0,32 fois sauf un an. Au cours de ces 55 années, la quantité d'électricité produite aux États-Unis a augmenté de 41,68 fois, avec une augmentation annuelle moyenne de 0,76 fois. La deuxième période: De 1972 à 2002, tous les cinq ans, le taux de croissance est plus de 0,10 fois. Au cours des 30 dernières années, la production d'électricité aux États-Unis a augmenté de 1,09 fois, avec une augmentation annuelle moyenne de 0,04 fois. Troisième période: De 2002 à 2017, tous les cinq ans, le multiple de croissance est inférieur à 0,10. Au cours des 15 dernières années, la production d'électricité aux États-Unis a augmenté de 0,05 fois, avec une augmentation annuelle moyenne de 0,003 fois. Parmi eux, la croissance négative a été de 2007 à 2017. Du point de vue du taux de croissance annuel moyen de la production d'électricité, le premier étage est 19 fois supérieur à celui du deuxième étage et 253,33 fois supérieur à celui du troisième étage. En d'autres termes, depuis les années 1970, le taux de croissance de la production d'électricité aux États-Unis a considérablement diminué. Surtout aux États-Unis après le XXIe siècle, le taux de croissance de la production d'électricité a presque stagné . En regardant l'histoire, on peut voir q u'après les années 1970, c'est précisément la période historique où la classe dirigeante américaine a ajusté sa politique nationale, a nié les résultats du Roosevelt New Deal pendant la Grande Dépression et a vigoureusement promu le néolibéralisme . On pense généralement que cet ajustement répond aux exigences de l'époque, résout les inconvénients de l'intervention de l'État et des politiques de bien-être dans le passé et favorise le développement économique. Cependant, à en juger par le taux de croissance de la production d'électricité aux États-Unis, c'est exactement la productivité marquée par l'électricité, et son taux de développement continue de baisser jusqu'au début de la stagnation. L'économie libre annoncée par le néolibéralisme n'apporte qu'une fête du capital, pas l'évangile du pays et du peuple. La liberté du capital monopolistique d'exploiter la société a été libérée et la répartition des richesses s'est rapidement inclinée vers le capital. Au cours des 30 années allant de 1989 à 2018, la richesse des 10% des ménages les plus riches est passée à 70%, tandis que les 50% les plus faibles de la croissance nette de la richesse des ménages étaient essentiellement nuls, et plus de 40% des Américains avaient des difficultés à se payer un logement, de la nourriture et des soins médicaux. En termes de frais de subsistance de base, 65 millions de personnes ont abandonné le traitement lorsqu'elles sont tombées malades en raison des frais médicaux élevés. Même le Fonds américain de protection de l'enfance a critiqué le fait que dans le pays le plus riche du monde, il y a en fait plus d'un cinquième des enfants qui doivent faire face à la cruelle réalité tous les jours: que manger ensuite et où dormirez-vous ce soir? [6] Une telle société avec une polarisation croissante entre les riches et les pauvres non seulement n'émancipera ni n'encouragera les forces productives, mais créera aussi une société sévèrement endémique dans les forces productives . 3. La stagnation de la croissance de la production d'électricité aux États-Unis à ce stade est plus grave que pendant la Grande Dépression En près de 20 ans, de 2000 à 2018, la quantité d'électricité produite aux États-Unis n'a augmenté que de 0,12 fois. Parmi eux, 2007 a augmenté de 0,09 fois par rapport à 2000, et la situation était encore plus grave en 2017 qu'en 2007, avec un taux de croissance de -0,02 fois. Au cours de chacune de ces 10 années, la production d'électricité en 2007 n'a pas dépassé 2007 et n'a dépassé que légèrement 0,0098 fois en 2018 . Voici l'augmentation annuelle de la production d'électricité aux États-Unis après 2000: En 2000, 3,358868 billions de kWh, une augmentation de 0,03 fois par rapport à l'année précédente. En 2001, 37 587 billions de kWh, soit une augmentation de -0,2 fois par rapport à l'année précédente. En 2002, 3 789 435 millions de kWh, soit une augmentation de 0,03 fois par rapport à l'année précédente. En 2003, 3 889 605 billions de kWh, soit une augmentation de 0,003 fois par rapport à l'année précédente. En 2004, 39,867 milliards de kWh, soit une augmentation de 0,02 fois par rapport à l'année précédente. En 2005, 40 802,01 milliards de kWh, soit une augmentation de 0,02 fois par rapport à l'année précédente. En 2006, 40 831 200 kWh, une augmentation de 0,0007 fois par rapport à l'année précédente. En 2007, 4 187 979 millions de kWh, soit une augmentation de 0,001 fois par rapport à l'année précédente. En 2008, 41 522,09 milliards de kWh, soit une augmentation de -0,01 fois par rapport à l'année précédente. En 2009, 39 384 400 kWh, soit une augmentation de -0,04 fois par rapport à l'année précédente. En 2010, 41 510 370 millions de kWh, soit une augmentation de 0,04 fois par rapport à l'année précédente. En 2011, 41328,92 milliards de kWh, soit une augmentation de -0,004 fois par rapport à l'année précédente. 4 095 032 milliards de kWh en 2012, soit une augmentation de -0,01 fois par rapport à l'année précédente. En 2013, 41 238,40 milliards de kWh, soit une augmentation de -0,01 fois par rapport à l'année précédente. En 2014, 4 468,818 milliards de kWh, une augmentation de 0,01 fois par rapport à l'année précédente. En 2015, 41,427 milliards de kWh, soit une augmentation de -0,0006 fois par rapport à l'année précédente. En 2016, 41 431 977 millions de kWh, soit une augmentation de -0,0003 fois par rapport à l'année précédente. En 2017, 4 905 582 millions de kWh, soit une augmentation de -0,01 fois par rapport à l'année précédente. En 2018, 42291,173 milliards de kWh, soit une augmentation de 0,03 fois par rapport à l'année précédente. [7] Bien que l'opinion publique regorge de descriptions optimistes de l'économie américaine et semble être en plein essor, à en juger par le taux de croissance de la production d'électricité, la récession économique aux États-Unis ces dernières années est beaucoup plus grave que lors de la Grande Dépression des années 1930 . En comparant le taux de croissance de la production d'électricité de 1929 à 1935 [8], nous pouvons réaliser ce problème. En 1929, 116,747 milliards de kWh, soit une augmentation de 0,08 fois par rapport à l'année précédente. En 1930, 114,637 milliards de kWh, soit une augmentation de -0,02 fois par rapport à l'année précédente. En 1931, il était de 109,373 milliards de kWh, soit une augmentation de -0,05 fois par rapport à l'année précédente. En 1932, 99,359 milliards de kWh, soit une augmentation de -0,09 fois par rapport à l'année précédente. En 1933, il était de 102,655 milliards de kilowattheures, une augmentation de 0,03 fois par rapport à l'année précédente. En 1934, il était de 110,04 milliards de kWh, soit une augmentation de 0,08 fois par rapport à l'année précédente. En 1935, 118,935 milliards de kilowattheures, soit une augmentation de 0,08 fois par rapport à l'année précédente. Pendant la Grande Dépression de 1929 à 1933, l'année de croissance négative de la production d'électricité aux États-Unis n'était que de 3 ans, et après 5 ans jusqu'en 1935, elle a dépassé son pic historique et a commencé à croître. La période de croissance négative de la production d'électricité est cette fois de 8 ans, et a oscillé dans le creux de 2007 à 2017 , et n'a que légèrement dépassé le pic historique de 2018. La période de stagnation et de déclin de la production d'électricité a déjà doublé celle de la Grande Dépression du siècle dernier . Lors de la dernière Grande Dépression, l'approche américaine a annulé l'économie libérale et favorisé de manière drastique le New Deal de Roosevelt. Cette nouvelle politique est révolutionnaire, conforme aux exigences du développement des forces productives sociales, absorbant et s'appuyant sur certaines idées et pratiques socialistes, transformant les États-Unis du capitalisme libre primitif et barbare en capitalisme moderne, assurant ainsi la reprise et la croissance après la Grande Dépression. . Mais après des décennies de difficultés, ils ont rejeté les progrès de cette idéologie et de ce système. À partir des années 1970 et 1980, la classe dirigeante américaine a levé collectivement le drapeau du néolibéralisme vers la droite. Ramenez les États-Unis aux "États-Unis avant la prise du pouvoir par les socialistes (avant l'arrivée au pouvoir de Roosevelt)" . Bien que ce type de changement rétrograde ait été encouragé par l'opinion publique contrôlée par le capital monopolistique , les problèmes économiques et sociaux à l'intérieur sont devenus de plus en plus graves et s'intensifient . Seulement en 2019, les États-Unis a eu lieu à partir de 415 tirs de masse, un total de 39,052 personnes sont mortes dans la violence liée aux armes à feu, une moyenne quotidienne de près de 107 personnes, soit une personne toutes les 15 minutes [9] a été abattu, a tiré l'équivalent d'une année Les dégâts d'une guerre à grande échelle, est-ce juste un problème général de contrôle des armes à feu? Peut-on imaginer cette horreur en Chine? N'est-ce pas là une manifestation concrète de l'extrême intensification des contradictions sociales? Après plus de 40 ans de réaction systémique, les principes de base de la réforme du New Deal américain sont pratiquement épuisés. La récession économique qui est entrée dans le XXIe siècle dure depuis près de 20 ans, et l'augmentation annuelle moyenne de la production d'électricité n'a été que de 0,003 fois. Même sans croissance négative, elle est proche de la stagnation Déjà. Cette situation montre clairement que les effets positifs du système social américain actuel sur les forces productives ont progressivement disparu, et c'est devenu un problème qui limite sérieusement le développement des forces productives. S'il n'y a pas de changement révolutionnaire, des problèmes majeurs se produiront dans un proche avenir . La question est de savoir si les États-Unis peuvent mener des réformes comme le New Deal de Roosevelt il y a 80 ans? Au cours des dernières élections et des élections de cette année, certains candidats socialistes ont émergé, dont Trump , qui a fait de son mieux pour sauver les États-Unis au moyen de mesures décisives, et a même injustement extorqué ses alliés et partenaires. Extorsion, cela devrait sans aucun doute être le reflet d'une crise majeure à laquelle sont confrontés les États-Unis . Mais ont-ils la détermination et la vision de la réforme de Roosevelt? Leur approche peut-elle surpasser la vitesse de la récession américaine? Peuvent-ils surmonter le contre-courant néolibéral qui est promu comme "la Bible" par le capital monopolistique? Aussi, face à des changements aussi profonds, la Chine peut-elle forcer les États-Unis et le monde à se tourner vers la gauche comme le socialisme soviétique à l'époque? Trump a reconnu qu'un système comme la Chine n'est pas compétitif aux États-Unis, mais ils ne sont pas déterminés à réformer le système social rigide et arriéré des États-Unis. Au lieu de cela, ils ont fantasmé et ont fortement demandé à la Chine de changer le système qui les avait particulièrement effrayés . Les forces du capital compradore corrompues de la Chine, ainsi que le soutien public anti-communiste pro-américain et certaines personnes dans les cercles politiques et économiques, semblent soutenir particulièrement les affirmations de Trump. Ils croient que le système américain est parfait, que le système actuel de la Chine est injuste envers les États-Unis et que les exigences politiques et économiques des États-Unis pour la Chine sont conformes à l'orientation de la réforme de la Chine. L'Amérique peut satisfaire le système. Avec l'aide des pressions extérieures des États-Unis, ils "ont forcé les réformes de la Chine" et ont publiquement exigé que le parti et l'État abandonnent et modifient le système de base du socialisme aux caractéristiques chinoises, et mettent en œuvre la privatisation, la commercialisation et la libéralisation complètes requises par les États-Unis. La norme de leur argument ne semble être que le dogme néolibéral qui a puer le monde, pas les intérêts fondamentaux de la Chine et les conclusions pratiques du peuple chinois . Quatrièmement, la croissance du PIB américain est sérieusement déviée du montant de la production d'électricité et de la dette publique On pense généralement que le PIB est un signe de hausse et de baisse économiques, mais il y a au moins deux facteurs qui déterminent la croissance du PIB: l'un est l'augmentation de volume provoquée par le développement de la production, et l'autre est l'augmentation de prix causée par la sur-émission de monnaie. La croissance soutenue par la production d'électricité est une croissance de la richesse réelle; la croissance soutenue par les billets de banque multi-imprimés n'est rien de plus qu'une bulle financière; et l'utilisation de la dette intérieure et extérieure pour résoudre les problèmes immédiats grâce aux découverts à l'avenir . Quelle que soit la méthode utilisée, la productivité d'un pays marqué par la production d'électricité n'augmente pas et la richesse réelle de la production matérielle n'augmente pas, mais uniquement la croissance du PIB. La richesse de cette personne, ce genre de croissance du PIB n'est plus de l'argent réel, mais un "titler" ou une bulle de richesse. Ci-dessous, nous utilisons les trois périodes naturelles pendant lesquelles la production d'électricité centenaire des États-Unis [10] se produit pour analyser la relation entre la croissance du PIB [11] et la production d'électricité, et comprendre le degré d'écart entre la croissance du PIB américain et la croissance réelle de la productivité. Comparez ensuite le PIB à la dette publique [12] pour comprendre le degré d'écart entre les besoins financiers de l'opération de l'État américain et le développement économique. Le besoin à long terme d'une entreprise de joindre les deux bouts va être mis en faillite et réorganisé. Même si elle a encore des brevets technologiques et des avantages commerciaux, elle ne peut pas sauver son sort. Vous pouvez également faire une analyse. Dans un souci de simplicité et d'intuitivité, une période de 5 ans est utilisée: En 1917, le PIB total était de 597,02 et la dette de 57,18, soit 10%. En 1922, le PIB total était de 734,32, et la dette était de 229,63, représentant 31%. En 1927, le PIB total était de 955,44 et la dette était de 185,12, soit 19%. En 1932, le PIB total était de 595,32, et la dette était de 194,87, représentant 33%. En 1937, le PIB total était de 930,29 et la dette était de 364,25, soit 39%. En 1942, le PIB total était de 1659,97, et la dette était de 724,22, représentant 44%. En 1947, le PIB total était de 2498,45 et la dette était de 2582,86, soit 103%. En 1952, le PIB total était de 3 767,28 et la dette était de 2591,05, soit 70%. En 1957, le PIB total était de 4748,51 et la dette était de 2705,27, représentant 57%. En 1962, le PIB total était de 6050,15 et la dette était de 2982,01, soit 49%. En 1967, le PIB total était de 8617,31 et la dette était de 3262,21, représentant 38%. En 1972, le PIB total était de 12824,49 et la dette était de 4272,60, soit 33%. En 1977, le PIB total était de 20859,51 et la dette était de 6988,40, soit 34%. En 1982, le PIB total était de 33 449,91 et la dette était de 11 420,34, soit 34%. En 1987, le PIB total était de 48702,17 et la dette était de 23502,77, représentant 48%. En 1992, le PIB total était de 65392,99 et la dette était de 40646,21, soit 62%. En 1997, le PIB total était de 86 085,15 et la dette était de 54 131,46, soit 63%. En 2002, le PIB total était de 109775,14 et la dette de 62282,36, soit 57%. En 2007, le PIB total était de 144776,35 et la dette était de 90076,53, représentant 62%. En 2012, le PIB total était de 161512,55 et la dette était de 164327,29, représentant 102%. En 2017, le PIB total était de 193868,01 et la dette était de 204927,47, représentant 106%. Le PIB total en 2018 était de 204941,00 et la dette était de 219740,96 [13], représentant 107%. La première période: de 1917 à 1972. Le PIB des États-Unis a augmenté de 20,48 fois, avec une augmentation annuelle moyenne de [14] 0,37 fois, la production d'électricité a augmenté de 41,68 fois, avec une croissance annuelle moyenne de 0,76 fois. Le taux de croissance annuel moyen de la production d'électricité est de 2,05 fois le PIB. Deuxième période: de 1972 à 2002. Le PIB des États-Unis a augmenté de 7,56 fois, avec un taux de croissance annuel moyen de 0,25 fois; la quantité de production d'électricité a augmenté de 1,09 fois et le taux de croissance annuel moyen était de 0,04 fois. Le taux de croissance annuel moyen de la production d'électricité est de 0,16 fois le PIB et le taux de croissance du PIB est de 6,25 fois la production d'électricité. La troisième période : de 2002 à 2017. Le PIB des États-Unis a augmenté de 0,77 fois, avec un taux de croissance annuel moyen de 0,05 fois; le volume de production d'électricité a augmenté de 0,05 fois, avec un taux de croissance annuel moyen de 0,003 fois. Le taux de croissance annuel moyen de la production d'électricité est de 0,06 fois le PIB et le taux de croissance du PIB est de 16,67 fois. Nous avons vu que le taux de croissance du PIB aux États-Unis depuis cent ans est passé de 0,37 fois par an à 0,25 fois par an, puis à 0,05 fois par an. La vitalité du système est de plus en plus dans l'impasse et aucune réforme n'est trop tardive. Nous avons également vu que le taux de croissance de la production d'électricité aux États-Unis depuis une centaine d'années est passé de 2,05 fois le PIB, et à son tour le taux de croissance du PIB a été de 6,25 fois celui de la production d'électricité, qui est maintenant 16,67 fois celui de la production d'électricité. Surtout après 1972, la croissance du PIB des États-Unis devient de plus en plus bizarre: il semble que la croissance de la productivité marquée par la quantité d'électricité produite ne soit pas nécessaire pour la garantir . Centennial US génération d'électricité, PIB et ratio de croissance de la dette publique : 93,19 fois la croissance de la production d'électricité, 323,73 fois la croissance du PIB, 3 582,90 fois la croissance de la dette publique. Parmi eux, le taux de croissance du PIB est de 3,47 fois celui de la production d'électricité et le taux de croissance de la dette est de 11,07 fois celui du PIB, soit 38,45 fois celui de la production d'électricité . Le fait indéniable est que le taux de croissance de la productivité des États-Unis, marqué par l'électricité, est beaucoup plus faible que le taux de croissance du PIB américain; le taux de croissance fiscale des États-Unis basé sur le PIB est également beaucoup plus faible que le taux de croissance des dépenses budgétaires publiques . Depuis le début du 21e siècle, de 2000 à 2018, la production d'électricité aux États-Unis n'a augmenté que de 0,10 fois en 18 ans, tandis que le PIB a augmenté de 0,99 fois [15] et la dette publique a augmenté de 2,87 fois [16]. En termes de taux de croissance, le PIB représente 9,9 fois le volume de production d'électricité et la dette publique est de 2,89 fois le PIB. Le niveau de la dette a dépassé le PIB total pendant 7 années consécutives. Après 1971, le Congrès a approuvé 80 fois l'augmentation du plafond de la dette et la production d'électricité stagne depuis près de 20 ans. Un changement aussi important doit attirer une grande attention . Le faible taux de croissance de la production d'électricité aux États-Unis n'affecte pas la croissance du PIB et ne dépend pas de la croissance de la productivité pour favoriser la croissance du PIB. Sur quel type de bonnes stratégies peut-il s'appuyer? Le mystère est que plus de 85% du PIB américain provient de l'industrie des services centrée sur la finance [17]. En raison de l'hégémonie financière mondiale du dollar américain, les États-Unis sont devenus un empire financier qui intègre la << banque centrale >> mondiale, les banques commerciales mondiales et le comportement d'investissement mondial. Les pays du monde sont principalement responsables de la production et du commerce. Les États-Unis sont principalement responsables de l'impression, du prêt, de l'investissement et du règlement. Les marchandises nécessaires sont données en dollars américains, car le dollar américain peut être utilisé pour le commerce international. Les dollars américains excédentaires sont toujours placés aux États-Unis, et les États-Unis n'ont qu'à imprimer des dollars américains pour acheter la consommation. Ils peuvent également augmenter ou diminuer les taux d'intérêt, par le biais d'un assouplissement quantitatif ou d'un resserrement monétaire. Cisailler la laine périodiquement vers d'autres pays. Diverses méthodes inhumaines, notamment le recours à la guerre, créent des crises politiques et économiques dans les pays cibles de l'ouverture financière. Le prix de réserve est copié pour former d'énormes gains d'actifs, et des pillages financiers et patrimoniaux sont effectués. Et tout cela est géré par un petit nombre d'oligarques financiers aux États-Unis, et c'est la condition suprême pour répondre à leurs intérêts privés. Le dollar américain est la "machine à récolter" dans le cycle économique international. [18] Plus les dollars américains sont utilisés et stockés dans le commerce international, plus les taxes de frappe et les taxes sur l'inflation perçues par les États-Unis sont élevées. Le plus. Aujourd'hui, les États-Unis sont passés d'un grand pays de production industrielle à un empire financier et alimentaire, ce qui a apporté des avantages incomparables aux États-Unis et a également posé un énorme dilemme dans la stagnation du développement de la productivité . Alors que la productivité des États-Unis continue de baisser, ce mode de vie perd de son soutien, ce qui constitue une énorme menace suffisante pour provoquer un effondrement. Les États-Unis doivent procéder à des ajustements politiques et à des révolutions institutionnelles majeurs, mais ils ne disposent pas désormais d'une introspection suffisante, mais ils blâment plutôt leurs difficultés. Une telle poursuite de cette réflexion deviendra une force destructrice énorme et imprévisible pour le monde. (à suivre)
Edité le 28-03-2020 à 00:26:25 par Xuan
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 27-03-2020 à 23:51:08
| [suite) V. Mesures que les États-Unis pourraient prendre dans leur situation actuelle Premièrement, le développement rapide de la production augmente les impôts et réduit la dette . Dans l'état actuel des États-Unis, c'est presque un cauchemar. S'il n'y a pas de révolution politique et de révolution technologique qui libère et développe des forces productives, elle ne peut que développer la dette jusqu'à l'insolvabilité sur la voie établie, et finalement provoquer des défauts de paiement massifs et l'effondrement du dollar. Le déficit budgétaire américain a atteint 1,2 billion de dollars américains en 2019, soit une augmentation de 50% par rapport à 2016 avant que Trump n'entre en fonction, et les intérêts débiteurs atteindront 724 milliards de dollars américains d'ici 2025, dépassant les dépenses militaires . Des universitaires américains disent: "Les finances des États-Unis se sont engagées sur une route de non-retour". [19] Deuxièmement, le gouvernement américain a réduit les dépenses . Réduire considérablement les dépenses administratives et de la fonction publique, et réduire les dépenses militaires, les infrastructures, l'éducation, les soins médicaux, la sécurité publique et l'assistance sociale. Cela entraînera non seulement un chaos social et des contradictions à grande échelle, mais conduira également à une nouvelle dissolution du statut hégémonique américain et à toucher la bureaucratie Les intérêts fondamentaux de multiples groupes d'intérêt, tels que les groupes administratifs et les groupes militaro-industriels, ont prouvé que les États-Unis ne peuvent pas rationaliser leur administration. Le petit gouvernement et la grande société qu'ils ont préconisés ne sont pas pour que les divers groupes d'intérêt bureaucratiques réduisent la nourriture, mais pour le transfert de plus de pouvoir public au capital afin que cette bourgeoisie monopoliste puisse prendre davantage au peuple. Troisièmement, l'impression de billets de banque et d'eau pour laver les dettes. Cela ne peut être limité qu'à une certaine échelle. En raison de l'hégémonie mondiale de l'économie, de la politique, de la technologie et du dollar américain, les États-Unis ont imprimé un grand nombre de billets de banque plusieurs fois le niveau de leur propre production et développement et de leur richesse réelle, et ont coupé de la laine dans le monde entier par des moyens financiers. En conséquence, les pays du monde entier sont vigilants et commencent à dé-dollariser. Si vous augmentez l'impression des billets de banque, cela équivaudra à accélérer l'extinction. Dans la nouvelle épidémie de la couronne, le marché boursier américain a connu un nombre sans précédent d'effondrements consécutifs. Même la libération d'une grande quantité de devises pour sauver le marché n'a aucun effet. Cela reflète non seulement l'impact de l'épidémie sur les États-Unis, mais une importante flambée de problèmes qui ont été difficiles à réapparaître pendant de nombreuses années . Il y a des pertes encore plus présomptueuses, qui expliquent directement les bons du Trésor américain achetés par d'autres pays . Les législateurs américains ont même suggéré que nous devions commencer par obliger la Chine à payer le fardeau et le coût du nouveau virus de la couronne aux États-Unis. Je pense que nous pouvons le faire de plusieurs manières. Le président devrait obliger la Chine à réduire ou à annuler une grande partie de la dette américaine [20]. Dans des enquêtes menées par certaines agences [21], 42% à 54% des électeurs américains ont déclaré que la Chine devait aider à payer certains des coûts financiers encourus par le soi-disant coronavirus de Wuhan et certains des coûts du coronavirus dans le monde. Le quatrième est de renverser les grandes puissances à travers la révolution des couleurs . Les États-Unis ont goûté à la douceur de réussir à renverser et à désintégrer l'Union soviétique. Ils ont toujours rêvé de la Chine. S'ils réussissent à renverser une économie de masse suffisante comme la Chine, ils tueront efficacement leurs porcs et mangeront de la viande pour prolonger leur vie. Depuis longtemps, les États-Unis espèrent réaliser un coup d'État anticommuniste de style soviétique en Chine vers 2015 [22]. Tout en avançant dans une évolution pacifique et en attendant une stratégie, ils ont mené un grand nombre d'opinions publiques, de forces dorsales, de fondations économiques et Travaux préparatoires sur les mécanismes institutionnels. Mais ils ne s'attendaient pas pleinement à ce que le Parti communiste chinois et le peuple chinois choisissent correctement un leader fort et central avec le camarade Xi Jinping comme noyau, brisant une série de pièges et de pièges qu'ils ont mis en place et brisant la détérioration et la décoloration imminentes de la Chine arrogante et optimiste. Rêves fous . Ainsi, alors que les États-Unis sont extrêmement déçus, ils font tout Depuis le 18e Congrès national du PCC, il ont produit à plusieurs reprises des incidents politiques, économiques, d'opinion publique, des troubles sociaux et ethniques, y compris des émeutes débridées à Hong Kong, et dans la guerre de résistance contre les épidémies, il devrait être utilisé pour pousser le mur d'épaves, etc., afin de stimuler et de faire exploser des conflits sociaux par le biais de forces internes . En fait, la fondation des émeutes à Hong Kong s'est également accumulée pendant longtemps sur le continent. De nombreuses positions et droits que Hong Kong n'a pas regagnés ont en fait beaucoup perdu en Chine continentale. Bien que la situation ait beaucoup changé depuis le début de la nouvelle ère, le contexte économique, politique et culturel De nombreux domaines tels que la société ne doivent pas être optimistes. Ces rebelles désespérés à l'intérieur et à l'extérieur du parti sont prêts dans une large mesure. Une force qui peut déformer et dévier l'histoire de la direction du Parti communiste chinois dans la révolution et la construction du peuple chinois, une force qui peut diaboliser le chef du peuple, le président Mao, dans toutes les directions, et une force qui peut délibérément susciter un sentiment social envers le parti et le pays dans cette grande guerre de résistance contre les épidémies Les forces sont des êtres subversifs extrêmement dangereux. Ils ont un ensemble de systèmes théoriques qui occupent une position considérable et pénètrent dans divers domaines. Il existe toutes sortes d'organisations de gangs et de réseaux bien connus. Ils ont une base économique qui est bonne pour le vent et la pluie. Ils ont une position vocale pour l'opinion publique, et ils ne peuvent pas attendre. Ils ne se sont pas arrêtés depuis des années, ils ont constamment ouvertement fait connaître épées et arcs, et même délibérément créé des incidents d'opinion publique. Les relations entre le Comité central du Parti et un certain groupe ont utilisé divers moyens pour intensifier les contradictions sociales. Y compris dans cette guerre de résistance contre l'épidémie, ils ont manipulé l'opinion publique à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Ils ont pris position et ont détesté le pays et les États-Unis. Ils étaient très anticommunistes et anti-peuples. Ils ont même déformé les faits et fabriqué des mensonges pour inciter aux émotions sociales. Soyez très explicite et autoritaire. Le Comité central du Parti avec le camarade Xi Jinping comme noyau, a pris des décisions décisives en temps de crise, a saisi la clé de la fermeture de la ville, concentré et combattu Wuhan, organisé toutes les parties pour protéger l'approvisionnement, mobilisé le pays pour éviter la mort, transformé la marée en un ralentissement, transformé le passif en actif et battu Après une belle guerre populaire, une guerre générale et une guerre de résistance, elle a gagné l'amour sincère du peuple et a remporté une grande victoire de renommée mondiale . L'État Beacon, qu'ils préconisent depuis des décennies, a complètement perdu son slip . Mais l'épine dorsale de la nation de la haine anti-communiste n'a pas changé sa position face aux faits, et il n'exclut pas qu'ils feront un grand pas à un certain moment pour pousser le mur et couler le navire. Cinquièmement, recourir à la guerre pour changer le schéma . Dans un pays impérialiste, lorsque les conflits internes s'intensifient et ne peuvent être résolus normalement, cette approche extrême est souvent utilisée pour transférer des contradictions. Lorsque les États-Unis continueront de lancer des guerres partielles à petite échelle qui ne peuvent pas résoudre le problème, quel genre de planification de guerre mènera-t-il? Le déclenchement des deux guerres mondiales précédentes était le produit des contradictions internes inconciliables des pays impérialistes. La prémisse de ceci est qu'il doit y avoir un certain degré de victoire dans la comparaison des forces statiques. Les États-Unis ont-ils une telle certitude? Le pouvoir des alliés peut-il être combiné pour une grande guerre de pouvoir? Est-ce risqué lorsque vous n'êtes pas sûr de gagner? Cela fera-t-il défaillir Zhihui? Serait-il désespéré d'adopter un nouveau moyen de guerre pour exterminer l'humanité? Tels que la guerre biologique, la guerre génétique, la guerre de la peste, la guerre alimentaire, la guerre météorologique, la guerre financière, la cyber-guerre, etc. Trump a insisté sur le fait que le nouveau virus de la couronne venait de Chine, incitant à la haine nationale avec des accusations non fondées. Est-il difficile de dire qu'il crée une opinion publique pour la guerre? Ils discutent même du sujet: retenir les bons du Trésor américain achetés par la Chine pour payer la Chine pour la propagation de l'épidémie, les deux parties finiront-elles par évoluer vers une résolution de conflit? En fait, les États-Unis ont depuis longtemps annoncé publiquement une raison de faire la guerre, c'est-à-dire qu'ils ne peuvent pas contester l'ordre international dirigé par les États-Unis, qui est essentiellement adapté à la Chine. Bien que certaines personnes veuillent embrasser le monde avec des vœux pieux et qu'il y ait ces élites droites qui ne peuvent pas répondre à leurs attentes, elles ne veulent pas que quiconque dise un demi-mot sur les États-Unis, et elles ne veulent pas connaître la méchanceté de la classe dirigeante américaine. Elles craignent que l'effondrement de l'image américaine ne les affecte. Le plaidoyer est orienté, mais l'histoire de la société humaine a déjà cruellement prouvé que lorsque les forces du mal internationales deviendront folles, elles feront tout. Six, quelques contre-mesures et suggestions Les États-Unis ont toujours un solide avantage national. Mais nous devons regarder l'essence à travers le phénomène, voir son déclin continu et sa grande crise, et ne pas être intimidés par l'apparence agressive. La période d'opportunité stratégique pour le développement pacifique de la Chine n'est pas inhérente, ni exprimée à travers des gadgets, mais elle est gagnée dans le concours et la lutte des grandes puissances et en prenant l'initiative de changer la fortune des choses. Ce n'est que par une planification et une lutte actives et approfondies que nous pourrons gagner plus d'amis et de paix, sinon nous perdrons des amis et la paix. (1) La bannière de la communauté de la destinée humaine doit être haute . Avec plus d’aide et moins d’aide, nous devons tenir fermement la bannière de la moralité dans le contexte des changements sans précédent du monde en un siècle. Maintenir, obéir et obéir à l'hégémonie des États-Unis est contraire aux intérêts nationaux croissants de la Chine, aux intérêts fondamentaux des peuples du monde, aux exigences de la société humaine pour l'équité et la justice, et aux idéaux mondiaux des communistes . S'opposer résolument à l'hégémonisme américain, affaiblir efficacement le pouvoir et l'influence hégémoniques des États-Unis, s'efforcer de bâtir une relation étatique plus démocratique et égale et de bâtir une communauté de destin humain pour une coexistence pacifique et des avantages mutuels. C'est l'intérêt fondamental du peuple chinois et la grande majorité des pays du monde. L'intérêt fondamental est également une tendance imparable dans le monde. Surtout dans cette lutte épidémique mondiale contre le nouveau virus de la couronne, la vérité objective de la communauté du destin humain dans la nouvelle ère a été encore prouvée . Nous devons fondamentalement clarifier la logique et la logique de la communauté du destin humain, nous opposer résolument aux traîtres qui n'ont pas de principe, pas de ligne de fond, et de deuil et d'humiliation, critiquer et clarifier à fond la théorie de la reddition sans guerre et sans échec, et exposer résolument la rétrogression de l'Amérique qui détruit les intérêts communs de l'homme. Conduisez. Il est nécessaire d'établir un plan d'action composé d'une série de politiques et de lignes directrices, y compris l'initiative Ceinture et route, pour véritablement transformer la grande bannière et le grand idéal en base d'action pratique et la mettre en œuvre dans diverses tâches. ( 2) Il est nécessaire d'accélérer le processus international de dénonciation du dollar . Le dollar américain est le pilier qui soutient l'hégémonie américaine, et c'est la pierre angulaire des États-Unis de maintenir l'hégémonie dans des conditions de baisse de la productivité. Les pays du monde qui s'opposent à l'exploitation des États-Unis avec des dollars américains peuvent former un consensus sur la base de la sauvegarde des intérêts communs. L'essence de l'échange sur le marché est l'échange de la valeur du travail. Des relations économiques et commerciales équitables entre les pays devraient être des échanges de produits qui contiennent de la valeur et de la valeur d'usage . L'égalité nationale requiert inévitablement l'égalité monétaire, non pas que les États-Unis soient responsables de l'impression de l'argent et de la consommation, et que la Chine et d'autres pays dans le monde soient responsables de la production de richesse en échange de dollars. En développant vigoureusement la technologie de la blockchain, en accélérant la recherche et l'utilisation des monnaies numériques universelles dans le monde, en accélérant la mise en place de nouvelles spécifications de devises mondiales, en accélérant la mise en place de systèmes de paiement en monnaie sécurisés et partagés , en permettant aux monnaies de tous les pays de jouir de droits égaux et en empêchant les États-Unis d'utiliser des moyens financiers Tondre partout dans le monde. (3) Nous devons être préparés aux luttes militaires pour gagner des nations puissantes . La lutte canine au sein du groupe de domination du capital monopoliste américain est morte ou vivante, mais elle est très cohérente avec l'attitude de la Chine de contenir le développement de la Chine en tant qu'ennemi. Ces dernières années, presque toutes les méthodes pour nous supprimer n'ont pas atteint leur objectif, et maintenant il n'y a plus que l'option d'une frappe militaire directe . Les États-Unis ont déployé des forces militaires à grande échelle autour de la Chine et renversé de façon imprudente le problème de Taiwan. Il a déjà brisé nos résultats et notre ligne rouge. Y compris la planification et l'organisation publiques d'émeutes à grande échelle à Hong Kong, la menace d'humiliation au Xinjiang, au Tibet et les négociations commerciales, et la performance de la nouvelle attaque du virus de la couronne contre la nation chinoise, cela montre que les États-Unis sont devenus une ose de piétiner l'homme Un pays avec tous les résultats de la société et une perte de santé mentale de base. Le président Mao avait déjà dit sèchement: " L'impérialisme américain est très arrogant. Il doit être déraisonnable là où il peut être déraisonnable. S'il est raisonnable, il sera forcé ." [23] Nous ne devons jamais mettre de l'espoir Pour la bonté des États-Unis, nous devons résolument abandonner l'illusion de la paix des auto-stupéfiants. Dans un monde où aucune guerre à grande échelle n'a eu lieu au cours des six à sept dernières décennies, et dans le contexte de l'endiguement résolu des États-Unis du développement de la Chine et du grand rajeunissement de la nation chinoise en tant que politique nationale établie, le déclenchement d'une guerre à grande échelle n'est pas un événement rare . Il est urgent que nous resserrions les cordes de la préparation à la guerre, notamment que nous devrions réaliser la réunification complète de la province de Taiwan et de la mère patrie dans un avenir pas trop lointain. Ce n'est que lorsque vous êtes prêt à combattre grand et à gagner, et à laisser l'ennemi craindre et n'oser pas agir facilement, qu'il sera possible de freiner le déclenchement d'une guerre à grande échelle, d'achever la mission unifiée et de maintenir la sécurité nationale et la paix mondiale. (4) Le noyau de la direction du parti doit être maintenu relativement stable . La période à venir sera une période de grands changements dans la structure mondiale. Les relations entre les grandes puissances et l'équilibre des diverses forces deviendront plus compliquées. Les profondes contradictions impliquées dans la gouvernance du pays seront plus difficiles à gérer. Un peu de négligence entraînera une crise majeure ou même la mort à l'aube . Depuis le 18e Congrès national du PCC, le parti et le pays ont accompli des progrès importants dans divers domaines tels que la mise en avant, l'élimination de la source d'origine, l'élimination des maux, la lutte contre la corruption, le développement innovant, la lutte contre la pauvreté et la construction du système. Il a montré la forte direction du Comité central du Parti et la sagesse de la prise de décision, et a démontré les avantages institutionnels de la Chine et son grand style de pays. Cependant, les problèmes réels ne peuvent être ignorés. Bien que les forces subversives , à l'intérieur comme à l'extérieur, soient déjà des rats qui traversent la rue parmi la majorité des membres du parti et du peuple, leur énergie et leur influence dans certaines régions sont toujours solides . Le fondement politique et économique et la Chine centrée sur le peuple Le développement d'un système socialiste caractéristique n'a pas encore atteint un niveau qui assurera à long terme l'ensemble du parti et le peuple du pays. Pour consolider et faire avancer la réforme et le développement identifiés dans la nouvelle ère, il reste encore un long chemin à parcourir. Le noyau de la direction du parti devra rester relativement stable pour que les dirigeants matures et stables et le peuple mènent de grandes luttes et réalisent de grands rêves . C'est l'aspiration du cœur du parti, de l'armée et du peuple, et c'est aussi une question de vie ou de mort pour le parti et le pays. Les arrangements et les préparatifs doivent être faits sur la base d'un consensus. Notes : [1] D'une manière générale, la production d'électricité d'un pays est égale à sa consommation électrique. Cependant, certains pays sont des exportateurs d'électricité, par exemple le Canada est un grand exportateur d'électricité. La quantité d'électricité produite ne représente pas les besoins réels de productivité du pays. Certains pays ont importé et exporté de l'électricité internationale. La consommation réelle d'électricité de ces pays devrait être leur propre production d'électricité plus les importations nettes d'électricité. [2] Les données utilisées sont généralement arrondies à deux décimales. Pour une expression plus précise, lorsque deux ou trois chiffres après la virgule décimale sont nuls, trois ou quatre chiffres sont réservés après la virgule décimale. [3] 1912-1992 Source des données: [Anglais] BR Mitchell, traduit par He Liping: Palgrave World History Statistics (Volume américain 1750-1993), Economic Science Press 2002, p. 412 , P. 415. [4] Déficit, qui représente les données annuelles avec une croissance négative, données annuelles sans revenir au niveau le plus élevé précédent. [5] Source de données après 1997: "Bilan de l'offre et de la demande d'énergie électrique (1949-2018)" par l'Energy Information Administration du Département américain de l'énergie, données annuelles = production nette totale d'électricité + importations commerciales nettes d'électricité. Horlogerie Beihai Home. Tiré du rapport du 13 mars du Bureau d'information du Conseil d'État sur les violations des droits de l'homme aux États-Unis. [7] Source de données sur la production d'énergie 2018: site Web de la U.S.Energy Information Administration [8] Source des données: [Anglais] BR Mitchell, éd. He Liping, Trans.: Palgrave World Historical Statistics (Volume américain 1750-1993), Economic Science Press, 2002, p. 412. [9] Extrait du «Report on Human Rights Violations in the United States 2019» publié par le State Council Information Office le 13 mars. [10] Pour les données de production d'électricité, voir ci-dessus. Le PIB et les unités de la dette nationale sont des «milliards de dollars». [11] Source de données: 360 Personal Library, 1er février 2018. La bibliothèque Wen Xia a publié un article: "Résumé du PIB aux États-Unis au cours de l'année et du PIB par habitant (1790-2017)". La source de données du graphique répertoriée ici est publiée par le US Bureau of Economic Analysis le 26 janvier. Création de graphiques: Beihaiju. Dans "Palgrave World History Statistics (American Volume 1750-1993)", la plupart des pays répertoriés aux États-Unis et dans d'autres pays sont du PNB, et il n'y a pas de données sur le PIB. [12] Source de données: 360 Personal Library, 21 mai 2018 Qin Yecheng a publié un article: "United States 1791-2010 Treasury Bond Data". La source des données du graphique est répertoriée ici: US Treasury. Tabulation: Beihaiju. [13] Source de données sur la dette publique américaine 2010-2018: site Internet de la CEIC [14] La période de l'année étant différente sur de grandes périodes, le taux de croissance annuel moyen peut être comparé au cours de la même période. [15] Le PIB en 2000 était de 102 847,79 milliards de yuans. Source de données: 360 Personal Library, 1er février 2018 La bibliothèque Wen Xia a publié un article: "Résumé du PIB américain et du PIB par habitant (1790-2017)". La source de données du graphique répertoriée ici est publiée par le US Bureau of Economic Analysis le 26 janvier. Création de graphiques: Beihaiju. [16] En 2000, la dette du gouvernement américain était de 56741178 millions de yuans. Source de données: 360 Personal Library, 21 mai 2018 Qin Yecheng a téléchargé un article: "US Treasury Data 1791-2010". Source des données du graphique: US Treasury. Tabulation: Beihaiju. [17] Huang Qifan: évolution de la dette publique des États-Unis et importance du risque au cours de la dernière décennie - Discours au Forum mondial de la finance de Shanghai le 15 octobre 2018 [18] Chen Wenling: "Analysis of the Economic Weapons and Action Codes of America's Looting World Wealth", publié à l'origine dans "Academic Frontiers". [19] "Reference News Network" 2020-01-23 00:20:01, selon le site Internet "Japan Economic News", publié le 22 janvier. [20] Dans la soirée du 16 mars 2020, l'hôte Tucker Carlson a communiqué avec le député Jim Banks sur le programme "Tucker Carlson Tonight" pour discuter de ce que l'on appelle "si la Chine Responsable du nouveau virus de la couronne. " L'information du public montre que Jim Banks est né en 1979 et est un républicain de l'Indiana. Il a servi dans l'armée américaine avant d'entrer en politique et est candidat au Parti républicain en Indiana depuis 2016. [21] 17 mars 2020, a rapporté le "Washington Examiner" des États-Unis. [22] C'est la prédiction de Henry Rowen. Son expérience comprend le vice-secrétaire à la défense, le directeur de la National Security Agency, le président du National Intelligence Board du gouvernement Reagan et le président de la Rand Corporation. Il a également pris sa retraite en tant que directeur du Asia-Pacific Research Center de l'Université de Stanford. Il a prédit: la Chine rejoindra le Democracy Club en 2015. [23] Volume 6 des essais militaires de Mao Zedong, Military Science Press, Central Document Publishing House, édition 1993, p. 354. [Wang Lihua, vice-doyen et secrétaire général, chercheur principal de l'Institut Kunlun. Cet article contenait à l'origine le compte public WeChat «Kunlun Ce Research Institute» et a autorisé Chanet à le publier.
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| Posté le 28-03-2020 à 08:54:28
| Si on lit ce qui précède, la Chine lutte pour la paix mais s'attend à la guerre http://french.xinhuanet.com/2020-03/27/c_138923930.htm Xi et Trump discutent par téléphone du COVID-19 et des relations sino-américaines French.xinhuanet.com | Publié le 2020-03-27 à 23:22 BEIJING, 27 mars (Xinhua) -- Le président chinois Xi Jinping s'est entretenu vendredi au téléphone avec son homologue américain, Donald Trump, au sujet de la coopération en matière de lutte contre l'épidémie de COVID-19 et des relations sino-américaines. M. Xi a souligné que la Chine partageait ses informations sur le COVID-19 de manière ouverte, transparente et responsable avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et avec des pays, dont les Etats-Unis, depuis le début de l'épidémie. Selon M. Xi, la Chine n'a pas traîné dans la publication des informations telles que la séquence génétique du virus, et a également partagé sans réserve son expérience sur la prévention, le confinement et le traitement du COVID-19, et a fourni autant de soutien et d'assistance que possible aux pays demandeurs. Il a ajouté que la Chine continuerait à agir ainsi et travaillerait avec la communauté internationale pour vaincre la pandémie. Les épidémies ne connaissent ni frontière ni nation et sont un ennemi commun de l'humanité, a noté le président, ajoutant que ce n'est qu'en apportant une réponse collective que la communauté internationale pourrait les endiguer. En additionnant les efforts conjoints de toutes les parties, le sommet extraordinaire des dirigeants du G20 sur le COVID-19 jeudi a mis au jour de nombreux consensus et a débouché sur des résultats positifs, a déclaré M. Xi. Il a également exprimé l'espoir que toutes les parties renforceraient leur coordination et leur coopération, mettraient en œuvre les résultats obtenus et renforceraient vigoureusement la coopération internationale contre les épidémies et la stabilisation de l'économie mondiale. La Chine, a-t-il ajouté, est disposée à travailler avec les Etats-Unis et d'autres acteurs pour continuer à aider l'OMS à jouer un rôle important, à améliorer le partage d'informations et d'expériences sur la prévention et la lutte contre les épidémies, à accélérer la coopération en matière de recherche scientifique ainsi qu'à améliorer la gouvernance en matière de santé mondiale. M. Xi a également appelé à des efforts concertés pour renforcer la coordination des politiques macroéconomiques, afin de stabiliser les marchés, de maintenir la croissance, de protéger le bien-être des populations et d'assurer l'ouverture, la stabilité et la sécurité des chaînes d'approvisionnement dans le monde. Sur la demande de son interlocuteur, M. Xi a présenté en détail les mesures que la Chine avait prises pour prévenir et contrôler la propagation de l'épidémie. Il a déclaré qu'il suivait de près la situation, et était préoccupé par le développement de l'épidémie de COVID-19 aux Etats-Unis et avait remarqué que M. Trump appliquait en réponse à celle-ci une série de politiques et de mesures. Le peuple chinois, a indiqué M. Xi, espère sincèrement que les Etats-Unis contiendront la propagation de l'épidémie dans un délai rapproché, afin de réduire les pertes infligées par la maladie au peuple américain. La Chine a toujours maintenu une attitude active en ce qui concerne la collaboration internationale en matière de prévention et de contrôle des épidémies, a déclaré M. Xi, ajoutant que dans les circonstances actuelles, la Chine et les Etats-Unis devraient s'unir contre la pandémie de COVID-19. Les services de santé et les experts médicaux des deux pays ont maintenu leur communication sur la situation pandémique mondiale et la coopération bilatérale contre l'épidémie, a dit M. Xi, ajoutant que la Chine était disposée à continuer le partage, sans réserve, de ses informations et son expérience pertinentes sur le sujet avec les Etats-Unis. Notant que certaines provinces et entreprises chinoises avaient fourni aux Etats-Unis une assistance en fournitures médicales, M. Xi a déclaré que la Chine comprenait la situation actuelle des Etats-Unis et était prête à fournir un soutien dans la mesure de ses capacités. Il y a actuellement un grand nombre de ressortissants chinois aux Etats-Unis, y compris des étudiants, et le gouvernement chinois attache une grande importance à leur sécurité et à leur santé, a souligné M. Xi, exprimant son espoir que la partie américaine prendrait des mesures pratiques et efficaces pour préserver leur sécurité et leur santé. M. Xi a souligné que les relations sino-américaines se trouvaient à présent à un tournant important, et que les deux pays auraient tout à gagner à coopérer et tout à perdre en cas de confrontation. Appelant les Etats-Unis à prendre des mesures de fond pour améliorer les relations bilatérales, M. Xi a invité à ce que les deux parties travaillent ensemble pour renforcer la coopération dans la lutte contre les épidémies et dans d'autres domaines, et développer une relation apaisée de non-confrontation, de respect mutuel et de coopération gagnant-gagnant. M. Trump a pour sa part déclaré qu'il avait écouté attentivement le discours de M. Xi lors du sommet extraordinaire des dirigeants du G20 sur le COVID-19, et appréciait les points de vue et les propositions de M. Xi avec d'autres dirigeants. M. Trump a interrogé M. Xi en détail sur les mesures prises par la Chine dans la lutte contre l'épidémie, soulignant que les deux pays étaient confrontés au défi de l'épidémie de COVID-19, et s'est dit ravi de voir les progrès positifs accomplis par la Chine dans la lutte contre la maladie. Soulignant que l'expérience de la Chine était très éclairante pour lui, M. Trump a déclaré qu'il ferait des efforts personnels pour faire en sorte que les Etats-Unis et la Chine puissent éviter les distractions et se concentrer sur la coopération contre le COVID-19. Selon M. Trump, les Etats-Unis sont reconnaissants envers la Chine d'avoir fourni du matériel médical pour la lutte contre l'épidémie et promu les échanges bilatéraux en matière de soins médicaux et de santé, y compris la coopération dans la recherche et le développement de médicaments efficaces contre la maladie. M. Trump a dit avoir déclaré publiquement sur les réseaux sociaux que le peuple américain respectait et aimait beaucoup le peuple chinois et que les étudiants chinois étaient d'une grande importance pour le secteur éducatif américain. Les Etats-Unis protégeront les ressortissants chinois sur leur sol, y compris les étudiants chinois, a-t-il ajouté. Les deux chefs d'Etat ont convenu de maintenir leur communication sur des sujets d'intérêt commun.
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| Posté le 28-03-2020 à 20:59:00
| Les élites politiques américaines tentent de sauver l'économie avant la vie des gens Par Zhang Tengjun Source: Global Times Publié: 2020/3/28 18:48:40 https://www.globaltimes.cn/content/1184026.shtml Jeudi, les travailleurs médicaux regardent le Elmhurst Hospital Center de Queens, New York. Elmhurst a rapporté que 13 patients COVID-19 sont décédés à l'hôpital en 24 heures, selon des responsables locaux. Vendredi, les États-Unis ont enregistré plus de cas confirmés de coronavirus que tout autre pays. Photo: AFP Les cas confirmés de COVID-19 aux États-Unis ont dépassé celui de la Chine, faisant du premier le pays le plus infecté au monde. Dans une situation épidémique aussi sombre, le président américain Donald Trump a déclaré mardi qu'il espérait "ouvrir le pays" d'ici le 12 avril, dimanche de Pâques. Le plan place évidemment les intérêts politiques au-dessus de la santé de millions d'Américains. En Chine, avec un leadership et une exécution solides du niveau central au niveau local, le gouvernement s'est consacré à tout prix à la maîtrise des épidémies, même au détriment des intérêts économiques, pour protéger sa population contre les dommages causés par le virus. En revanche, aux États-Unis, de nombreux politiciens au pouvoir se soucient davantage de leurs propres avantages à court terme - comme s'ils peuvent être réélus ou non, et mettent toujours leurs intérêts personnels au-dessus de la santé et même de la vie des Américains. Depuis que l'épidémie s'est propagée aux États-Unis, la plupart des mesures de confinement de l'administration Trump ont été prises en tenant compte de leurs agendas politiques. Initialement, la stratégie de l'administration Trump était de se prémunir par tous les moyens contre tout impact négatif sur l'économie et la société américaines que l'épidémie pourrait éventuellement avoir, car la panique du public pourrait nuire à ses sondages. Plus précisément, il a minimisé les risques d'épidémie et a géré l'épidémie très lentement. Divers problèmes, comme une mauvaise coordination interne et une grave pénurie de kits de test, sont apparus et ont ainsi fait perdre au pays un temps précieux. La réponse de son gouvernement à ce stade était essentiellement un manquement au devoir. Alors que l'épidémie commençait à devenir incontrôlable, de nombreux États américains ont commencé à prendre des mesures. Et l'administration Trump a finalement adopté des mesures fortes, telles que la déclaration d'une urgence nationale, la publication d'un plan de relance économique et la publication de directives de 15 jours sur la distanciation sociale. Ces étapes ont été plus probablement forcées par les changements de la situation et, surtout, par les turbulences du marché boursier. L'effondrement a sonné l'alarme pour Trump, lui faisant réaliser qu'une réponse lente ne fera que nuire à l'économie, puis à sa réélection. Le nombre d'infections confirmées au COVID-19 aux États-Unis a dépassé 100 000 vendredi, avec une augmentation quotidienne de plus de 10 000 pendant plusieurs jours. L'empressement de Trump à assouplir les lignes directrices en matière de distanciation sociale en ce moment révèle le dilemme auquel il est confronté: il est difficile de tracer une fine ligne entre la lutte contre l'épidémie et la sauvegarde de l'économie. D'une part, si le virus continue de se propager rapidement, les Américains perdront confiance en lui. De l'autre, s'il prend des mesures extrêmes, même si l'épidémie est maîtrisée assez rapidement, l'économie en souffrira et sa popularité languira, car la croissance économique et le marché boursier étaient au cœur des chances de Trump. Aux États-Unis, certains ont appelé à un verrouillage de l'ensemble du pays et à la suspension de la plupart des activités économiques. Mais l'administration Trump hésite manifestement à aller aussi loin. Le plan du président est probablement un test de l'opinion publique, vérifiant s'il est possible de réparer les dommages économiques et de soutenir sa réélection. Cependant, le délai de Pâques de Trump a déjà suscité des critiques de la part des responsables locaux et il est très peu probable qu'il soit réalisé. Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a déclaré: "Si vous demandez au peuple américain de choisir entre la santé publique et l'économie, ce n'est pas un concours, aucun Américain ne dira d'accélérer l'économie au détriment de la vie humaine, car aucun Américain ne dira comment une vie vaut bien. " Au stade actuel où de nombreux États américains sont en état d'urgence, l'appel de Trump à la reprise du travail n'aura guère de réponse. Tout au plus, certaines agences et institutions gouvernementales au niveau fédéral pourraient se rétablir à la demande de Trump.
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| Posté le 04-04-2020 à 13:22:21
| La Chine insiste sur la crise irréversible dont les manifestations sont de plus en plus évidentes. Le but n'est pas seulement de démontrer l'échec répété du capitalisme, mais d'alerter sur les risque pour les peuples du monde. Le chômage monte en flèche, symbole de l'échec de la politique économique de Trump Source: Global Times Publié: 2020/4/3 13:00:59
________________________________________ https://www.globaltimes.cn/content/1184608.shtml Une douloureuse récession américaine se profile dans la foulée de la crise de santé publique causée par la pandémie de COVID-19 et l'échec de l'administration Trump à réagir rapidement. Et, les politiques économiques de l'administration font partie de la raison pour laquelle l'économie américaine est si exposée, ont déclaré vendredi des économistes chinois. Un nombre record de 6,65 millions de personnes ont déposé des demandes de prestations de chômage aux États-Unis la semaine dernière, reflétant comment les retombées de la pandémie COVID-19 pourraient paralyser l'économie américaine. Le nombre a doublé, passant de 3,3 millions de réclamations déposées il y a à peine une semaine. Les premières demandes de prestations de chômage ont bondi de plus de 3 000% depuis début mars, selon CNN. Les économistes chinois ont déclaré qu'une récession américaine était déjà arrivée, et cela a beaucoup à voir avec la politique économique annoncée par le président américain Donald Trump, qui vante «l'Amérique d'abord » et l'anti-mondialisation. " La guerre commerciale incessante de Trump avec la Chine et d'autres économies et la négligence à regarder les vrais problèmes structurels de l'économie américaine ont gâché la possibilité de réparer l'économie" , a déclaré Hu Qimu, chercheur principal au Sinosteel Economic Research Institute, au Global Times. Vendredi. "Satisfaite d'une prospérité bouillonnante de l'économie américaine tout en ignorant les problèmes sous-jacents, l'équipe économique de Trump est maintenant directement exposée aux assauts aveugles de la pandémie" , a déclaré Hu. «Jusqu'à aujourd'hui, la politique commerciale de Trump est toujours axée sur le politiquement correct, détournant la responsabilité de l'administration. Sa guerre commerciale et ses mesures pour freiner les exportations de haute technologie continueront de peser sur ses grandes entreprises, qui entrent maintenant dans un état de semi-fermeture », a déclaré Tian Yun, directeur adjoint de la Beijing Economic Operation Association. Face à une crise sanitaire qui explose chez eux, de hauts responsables américains réfléchissent à de nouveaux obstacles pour empêcher les entreprises américaines de vendre certains produits de haute technologie tels que les semi-conducteurs à Huawei en Chine, selon les médias. " La mondialisation économique est irréversible. Les économies mondiales sont étroitement liées ", a ajouté M. Hu. " Seule une coopération gagnant-gagnant dans un cadre multilatéral peut assurer la prospérité commune. " En raison de la nature de l'économie américaine en tant qu'économie basée sur les services, les 6,6 millions de demandes sans emploi ne sont sûrement que la pointe de l'iceberg, a déclaré Tian. "Et comme les services sont basés sur l'interaction entre les gens, on peut s'attendre à ce que l'économie américaine prenne beaucoup plus de temps à se remettre sur pied, par rapport à l'économie manufacturière chinoise" , a déclaré Tian. Les politiques économiques américaines actuelles, comme les récentes mesures de relance monétaire de la Fed, ne seront pas en mesure de faire face aux périls auxquels est confrontée l'économie américaine, a déclaré vendredi Tian au Global Times. Goldman Sachs affirme que les taux de chômage aux États-Unis pourraient culminer à 15%, le PIB plongeant d'un record de 34% au deuxième trimestre 2020. La vague de chômage ne sera pas temporaire et son impact se fera sentir pendant deux ans ou plus, a déclaré vendredi au Global Times Zhou Xuezhi, chercheur à l'Académie chinoise des sciences sociales. Cependant, Zhou a noté que les politiques économiques de Trump ne manquent pas de partisans aux États-Unis, il est donc peu probable que Trump remodèle les politiques économiques américaines en raison de la pandémie. Ayant traversé un verrouillage strict à l'échelle nationale, la Chine a largement maîtrisé la pandémie et est maintenant sur la bonne voie pour redémarrer ses activités commerciales à l'échelle nationale. Le taux de chômage en Chine a atteint un sommet de 6,2% en février, contre 5,3% en janvier. Avec la reprise continue du travail, le taux de chômage en Chine s'améliorera au cours du deuxième semestre, a déclaré un responsable du Bureau national des statistiques lors d'une conférence de presse le 16 mars.
Edité le 04-04-2020 à 13:22:45 par Xuan
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| Posté le 05-04-2020 à 15:39:43
| Wall Street rattrapée par la remontée brutale du chômage aux Etats-Unis AFP•03/04/2020 à 22:50 https://www.boursorama.com/bourse/actualites/wall-street-rattrapee-par-la-remontee-brutale-du-chomage-aux-etats-unis-909b22bf098d7157cc6fe3383cf4d682 La Bourse de New York a fini dans le rouge vendredi après un début de séance en dents de scie, les chiffres pires que prévu sur l'emploi américain reléguant au second plan le rebond du pétrole. Son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, a perdu 1,69% pour finir à 21.052,53 points tandis que le Nasdaq, à forte coloration technologique, a reculé de 1,53%, à 7.373,08 points, et l'indice élargi S&P 500 de 1,51%, à 2.488,61 points. Les acteurs du marché ont été pris de court par les statistiques officielles sur l'emploi américain, premier reflet des effets dévastateurs de la crise sanitaire qui paralyse une bonne partie de l'économie mondiale depuis plusieurs semaines. Le taux de chômage, qui était tombé en février à 3,5%, le niveau le plus bas en 50 ans, est brutalement remonté à 4,4%. Quelque 701.000 emplois ont été détruits sur le mois, du jamais vu depuis mars 2009, en pleine crise financière. Et l'addition devrait s'alourdir puisque le rapport n'inclut pas les deux dernières semaines, qui ont vu près de 10 millions de nouveaux demandeurs d'allocations chômages. ... "Les chiffres sur les demandes hebdomadaires d'allocations chômage (publiés jeudi) étaient déjà impressionnants. Mais le rapport mensuel sur l'emploi a encore plus surpris le marché car il suggère que les licenciements ont eu lieu encore plus tôt que prévu" , remarque Quincy Krosby de Prudential Financial. "La question est désormais d'évaluer la sévérité et l'ampleur de la récession et de savoir si le marché a vraiment déjà pris en compte toutes les mauvaises nouvelles" , ajoute-t-elle. "Si ce n'est pas le cas, on pourrait connaître un nouveau mouvement de baisse ", prédit la spécialiste...
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| Posté le 05-04-2020 à 16:27:25
| Une vidéo Aux États-Unis la situation empire d'heure en heure mais toujours pas de confinement complet Sur cette vidéo le limogeage du commandant de bord du porte-avion nucléaire l'uss Theodore Roosvelt, pour avoir demandé d'évacuer sur l'île de Guam les 4000 soldats à bord (une centaine positifs au covid-19) "nous ne sommes pas en guerre, il n'y a aucune raison pour que des marins meurent" Les soldats acclament le départ de "cap'tain Crozier"
Edité le 05-04-2020 à 16:54:40 par Xuan
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