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Niemen | fraternité de combat ! | Jeune Communiste | | 18 messages postés |
| Posté le 27-10-2006 à 18:14:15
| allez : Dimitrov ou Chou en laî je pense pas que soit Marcel Cachin....... |
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gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 27-10-2006 à 19:47:46
| Allez là je vous mets sérieusement sur la piste, tout en me faisant plaisir citation tirée de la préface d'une de ses oeuvres! Aucun ouvrier en Angleterre - en France non plus, soit dit en passant - ne m'a jamais traité en étranger. J'ai eu le plus grand plaisir à vous voir exempts de cette funeste malédiction qu'est l'étroitesse nationale et la suffisance nationale et qui n'est rien d'autre en fin de compte qu'un égoïsme a grande échelle:
Message édité le 27-10-2006 à 19:50:19 par gorki |
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ossip | Ni révisionnisme ni gauchisme | Militant expérimenté | | 231 messages postés |
| Posté le 27-10-2006 à 20:58:52
| Je tente la deuxième épée: Engels...
-------------------- "On vit de bonne soupe et non de beau langage" (A. Marty) "Notre ennemi est chez nous" (Lénine, K. Liebknecht, A. Marty, P. Vaillant-Couturier) |
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gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 27-10-2006 à 22:10:17
| Bravo camarade Ossip La citation est tirée de la correspondance d’Engels. A mettre dans tous les classeurs et pour beaucoup à méditer sérieusement, une véritable leçon d’humilité. La seconde est tirée de son ouvrage : « la situation de la classe laborieuse en Angleterre » Le texte de la citation À la rédaction du Sozialdemokrat (13 septembre 1890). Le soussigné demande instamment que l'on publie la lettre suivante qui a été envoyée hier à l'actuelle rédaction du « Sächsische Arbeiter Zeitung ». « La rédaction sortante m'a réservé dans ce texte une grande surprise. Mais aussi à elle-même peut-être ! J'ignorerai tout jusqu'ici de l'existence d'une majorité de socialistes parlementaires petit bourgeois au sein du parti allemand. Quoi qu'il en soit, que la rédaction sortante « souhaite » tout ce qu'il lui plait, mais sans moi ! Si j'avais encore eu le moindre doute sur la nature de l'actuelle révolte des littérateurs et des étudiants dans notre parti allemand, il devrait disparaître devant l'impudence pyramidale de cette tentative de me rendre solidaire des jongleries de ces messieurs. Tous mes rapports avec la rédaction sortante se limitent à ceci : il y a quelques semaines, la rédaction sortante, sans que je lui demande rien m'a envoyé son journal, mais je n'ai pas cru utile de lui dire ce que j'y ai trouvé. Maintenant je suis bien obligé de le lui dire, et ce publiquement. Sur le plan théorique, j'y trouvai - et, en gros, cela s'applique aussi à tout le reste de la presse de l' « opposition » - un « marxisme » atrocement défiguré, qui se caractérise, premièrement, par une incompréhension quasi totale de la conception que l'on prétend précisément défendre; deuxièmement par une grossière méconnaissance de tous les faits historiques décisifs; troisièmement, par la conscience de sa propre supériorité incommensurable qui caractérise si avantageusement les littérateurs allemands. Marx lui-même a prévu cette sorte de disciples, lorsqu'il a dit à la fin des années 1870 d'un certain « marxisme » qui s'étalait chez maints Français : « Tout ce que je sais, c'est que moi je ne suis pas marxiste » ( 1 ) Sur le plan pratique, j'y trouvai que l'on se haussait carrément au dessus de toutes les difficultés réelles des luttes du parti et que, dans son imagination, on « sautait les difficultés » avec un total mépris de la mort, qui fait certes honneur au courage indompté de nos jeunes auteurs, mais qui, si on le transférait de l'imagination dans la réalité, serait capable d'enterrer le parti le plus fort où l'on se compte par millions, sous les tirs bien mérités de tous nos adversaires. Enfin, qu'une petite secte ne doit pas impunément se livrer à une telle politique de lycéens, c'est ce que ces messieurs ont aussi, appris par des épreuves non négligeables. Tous les griefs qu'ils ont accumulés depuis des mois contre la fraction ou la direction du parti se ramènent dans le meilleur des cas à de simples bagatelles. Mais s'il plait à ces messieurs de faire des chiures de mouches, ce n'est absolument pas une raison pour que les ouvriers allemands avalent des couleuvres pour les en remercier. ( 2 ) En somme, ils ont récolté ce qu'ils avaient semé. Abstraction faite de l'ensemble du contenu, toute la campagne avait été engagée avec de tels enfantillages, avec une telle mystification naïve de soi-même sur son importance propre, ainsi que sur l'état de choses et les idées ayant cours dans le parti, que l'issue en était claire dès le début. Que ces messieurs en retiennent la leçon ! Certains ont écrit des choses qui justifiaient toute sorte d'espoirs. La plupart d'entre eux pourraient faire quelque chose, s'ils étaient moins imbus de la perfection du niveau de développement qu'ils ont atteint pour l'heure. Qu'ils sachent et admettent que leur « formation académique » - qui nécessite de toute façon une sérieuse révision critique - ne leur confère aucun diplôme d'officier qui leur permettrait d'être élevés au grade correspondant au sein de notre parti; que, dans notre parti, chacun doit faire son service à la base; que des postes de confiance dans le parti ne se conquièrent pas par le simple talent littéraire et les connaissances théoriques, même si les deux conditions sont incontestablement réunies, car il faut encore être familiarisé avec les exigences de la lutte militante, savoir manier les armes les plus diverses dans la pratique politique, inspirer une confiance personnelle, faire preuve d'un zèle et d'une force de caractère à toute épreuve, et enfin, s'incorporer docilement dans les rangs de ceux qui combattent. En somme, il faut que ceux qui « ont été formés dans les universités sachent apprendre davantage des ouvriers que ceux-ci n'ont à apprendre d'eux. » Londres, le 7 septembre 1890. Frédéric Engels. Et qui va osez qualifier Engels d’ouvriériste ??? (Je plaisante) ( 1 et 2 ) souligné par moi Gorki
Message édité le 27-10-2006 à 22:11:54 par gorki |
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ossip | Ni révisionnisme ni gauchisme | Militant expérimenté | | 231 messages postés |
| Posté le 28-10-2006 à 20:52:04
| Vu que c'est mon tour, je propose l'énigme suivante: trouver à qui est dédié ce poème . Je commence par les derniers vers. "[...]Une âme bat dans chaque cartouche une bouche appelle dans le cri des hélices les plaines craquent sous leur pids d'oranges mûres on s'arrache aux pièges lumineux dela nuit aux mains de chloroforme de la bataille Tu apportes la vie la vie de vin rude et d'audace la vie en sandale de cordes - petite mêche de cheveux qu'on serre sur la poitrine - la vie comme un claquement de fouet la vie comme une balle de fusil la vie pour enflammer le monde."
-------------------- "On vit de bonne soupe et non de beau langage" (A. Marty) "Notre ennemi est chez nous" (Lénine, K. Liebknecht, A. Marty, P. Vaillant-Couturier) |
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Jameul | pas de justice pas de paix | Grand classique (ou très bavard) | 714 messages postés |
| Posté le 29-10-2006 à 10:58:50
| aux brigades internationales ??? |
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Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18613 messages postés |
| Posté le 29-10-2006 à 18:51:16
| Malraux aux républicains espagnols ?
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
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ossip | Ni révisionnisme ni gauchisme | Militant expérimenté | | 231 messages postés |
| Posté le 29-10-2006 à 19:32:45
| Vous êtes pas si loin que ça... surtout jameul. Le poème complet: "De longues mémoires de sang marchent derrière leurs conquêtes; Chaque tête qui tombe coûte un jour de faim chaque tête qui tombe ouvre une plaie de plus dans la brèche de leur coeur chaque homme qui tombe laisse une croix d'os une croix d'ombre et de chair vivante sur le mur des prisons de pierre Quand ils s'ouvraient les chemins de la chance à la pointe de leurs destroyers quand ils portaient leur salut de fer et d'or aux armées chancelantes de la haine alors tu mis tes deux poings nus et la force de ton front en travers des detroits et les conons se turent comme des bêtes malades. Les hommes qui descendaient l'escalier des montagnes ont appris ton nom dans l'éclatement des fusées. Les chaînes sont tombées soudain de leurs épaules. Ils se sont mis à chanter debout sur le rivage des villes blanches. C'est toi qui leur a enseigné le goût du pain le goût fu jour acide et des forêts le prix de la terre pour l'eau des moissons pour l'amour et le lait des enfants le prix de la terre chaude aux mains de la terre pour creuser les tranchées de la terre pour la naissance des peuples. Dans chaque maison brûle une lampe de pitié dans chaque maison chante la voix d'une femme assise. Aussi profond qu'on creuse on trouve ton souvenir; il est prêt à venir sur les lèvres il est à fleur d'eau dans toutes les mémoires dans l'argile blonde des kolkhoz dans les sillages de brume de la Baltique dans la poitrine des foules en marche dans toutes les fenêtres de l'avenir dans la racine des blés de France dans les nuits hâtives tendues sur l'Espagne dans le regard de piere blanche des milices. Tu délies les mains des villes tu ouvres les portes de feu des usines les portes de glace des frontières tu apportes des rêves aux enfants de Madrid et des fusils pour les hommes livrés aux mains étrangleuses des sierras. Tu veilles sur le sommeil des villes sur l'histoire à statues de cheveux blancs Tu fais taire dans le coeur des mères les couteaux sanglants des sirènes les poignards de l'aube les croix bourdonnantes des junkers et chaque soir tu viens poser tes mains sur leurs papières d'argent toi qui te souviens de ta mère clouée vive sur les bûchers. Une âme bat dans chaque cartouche une bouche appelle dans le cri des hélices les plaines craquent sous leur pids d'oranges mûres on s'arrache aux pièges lumineux dela nuit aux mains de chloroforme de la bataille Tu apportes la vie la vie de vin rude et d'audace la vie en sandale de cordes - petite mêche de cheveux qu'on serre sur la poitrine - la vie comme un claquement de fouet la vie comme une balle de fusil la vie pour enflammer le monde."
Message édité le 29-10-2006 à 19:50:45 par ossip
-------------------- "On vit de bonne soupe et non de beau langage" (A. Marty) "Notre ennemi est chez nous" (Lénine, K. Liebknecht, A. Marty, P. Vaillant-Couturier) |
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gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 30-10-2006 à 07:44:15
| Bonjour camarade Ossip Une réference commune: A ANDRE MARTY. ? |
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ossip | Ni révisionnisme ni gauchisme | Militant expérimenté | | 231 messages postés |
| Posté le 30-10-2006 à 12:30:07
| Bonjour et bien joué camarade gorki! Il s'agit bien d'un poème titré et dédié à André Marty. Il est de Jacques Béry, et a été publié dans le numéro 70 de la revue Commune, revue littéraire pour la défense de la culture , qui contenant des articles entre autre d'Aragon, de Georges Politzer, etc. Numéro daté de juin 1939.
Message édité le 30-10-2006 à 12:31:12 par ossip
-------------------- "On vit de bonne soupe et non de beau langage" (A. Marty) "Notre ennemi est chez nous" (Lénine, K. Liebknecht, A. Marty, P. Vaillant-Couturier) |
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gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 31-10-2006 à 09:18:59
| Bonjour à tous! et tant pis si je me trompe , disait un copain de boite quand réuni le matin autour d'un brasero (et oui j'ai connu des matins d'hiver ou après avoir mis en route ton poste de soudure tu devais poser tes mains sur la ferraille qui te glaçais les doigts,le seul moyen de chauffage était un bidon percé que chacun, compagnon d'infortune, à notre tour nous remplissions) en voyant arrivé le contremaître. Ma citation : « On assiste actuellement à une recrudescence sans précédent de divers courants anti-marxiste comme ceux des trotskistes et des anarchistes, qui en s’infiltrant dans les divers mouvements de masse, surtout de jeunes et d’intellectuels, tentent de pêcher en eau trouble, afin de détourner les masses de la juste voie et de les engager dans de périlleuses aventures qui conduisent à de graves défaites et d’ésillusons. »
Message édité le 31-10-2006 à 09:27:09 par gorki |
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KGB Shpion | Grand classique (ou très bavard) | 406 messages postés |
| Posté le 31-10-2006 à 10:57:50
| Staline ?
Message édité le 31-10-2006 à 10:58:26 par KGB Shpion
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gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 31-10-2006 à 18:28:35
| Bonsoir KGB Shpion non! |
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Jameul | pas de justice pas de paix | Grand classique (ou très bavard) | 714 messages postés |
| Posté le 31-10-2006 à 18:40:48
| un petit indice peut etre ? jusqu'à présent j'ai trouvé la citation assez intemporelle... |
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gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 31-10-2006 à 21:16:16
| Sous la forme d'une charade alors! Mon premier est le contraire de l'endroit (Enver) Mon second est héros d'une bande déssinée (Nasdine hodja) C'EST CADEAUX
Message édité le 31-10-2006 à 22:30:00 par gorki |
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Julien Lahaut | Jeune Communiste | 135 messages postés |
| Posté le 31-10-2006 à 21:23:18
| Enver Hodja ? si je rates ça c'est que je suis vraiment mauvais |
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gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 31-10-2006 à 22:28:00
| Julien Lahaut a écrit :
Enver Hodja ? si je rates ça c'est que je suis vraiment mauvais |
Non tu es bon La citation est effectivement tirée de son rapport au VI congrés du PTA Pour la charade c'était simple voir dessus. Bonne nuit à tous, tiens ça me fais penser à un truc! à cette intervention d'un ouvrier dans un débat (où la discution finie par tourner autour des spéculateurs boursiers) qui termina sont inervention par: " moi toute les nuits ça m'est difficile de trouver le sommeil quant je pense qu'il y en a plus qui gagnent des centaines de fois plus en dormant que ce que moi je touche en bossant" |
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Finimore | Grand classique (ou très bavard) | | 2655 messages postés |
| Posté le 01-11-2006 à 11:30:53
| gorki a écrit :
Mon second est héros d'une bande déssinée (Nasdine hodja) C'EST CADEAUX |
L'insaisissable Nasdine Hodja crée par Roger Lécureux (Les pionniers de l'espérance) dessiné par René Bastard -puis Pierre Leguen- fut publié dans Vaillant. Dans le très bien informé livre d'Hervé Cultru "Vaillant 1942-1969: La véritable histoire d'un journal mythique" il y a plusieurs pages consacrées à Nasdine Hodja (pages 64 à 67). L'insaisissable Nasdine Hodja fut également édité en albums.
-------------------- Ni révisionnisme, Ni gauchisme UNE SEULE VOIE:celle du MARXISME-LENINISME (François MARTY) Pratiquer le marxisme, non le révisionnisme; travailler à l'unité, non à la scission; faire preuve de franchise de droiture ne tramer ni intrigues ni complots (MAO) |
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Julien Lahaut | Jeune Communiste | 135 messages postés |
| Posté le 01-11-2006 à 13:44:24
| Vu que je pars ce soir et jusque samedi , je laisse la main pour la prochaine devinette |
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Jameul | pas de justice pas de paix | Grand classique (ou très bavard) | 714 messages postés |
| Posté le 02-11-2006 à 09:27:30
| "y a rien de pire qu'une révolution raté, une révolution raté ça fait peur comme une révolution mais ça ne change rien" |
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sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 02-11-2006 à 12:21:07
| diderot ? |
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Jameul | pas de justice pas de paix | Grand classique (ou très bavard) | 714 messages postés |
| Posté le 02-11-2006 à 15:16:04
| non c est plus récent |
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CMC | Grand classique (ou très bavard) | 171 messages postés |
| Posté le 02-11-2006 à 17:08:54
| Un peu en rapport avec la question de Jameul: Qui a écrit: "Dans les pays capitalistes, à condition que dans ceux-ci ne règne pas le fascisme ou qu'ils ne soient pas en guerre, les conditions sont les suivantes: A l'intérieur règne une démocratie bourgeoise, non le féodalisme; dans leurs rapports externes, ces pays ne sont pas opprimés par d'autres nations. A partir de ces caractéristiques, la tâche des partis prolétariens dans les pays capitalistes est d'éduquer les ouvriers et d'accumuler des forces au travers d'une longue lutte légale et de se préparer ainsi à renverser définitivement le capitalisme. Dans ces pays, il s'agit de conduire une longue lutte légale, de se servir de la tribune parlementaire, de recourir aux grèves économiques et politiques, d'organiser les syndicats et d'éduquer les ouvriers. Là, les formes d'organisation sont légales et les formes de lutte ne sont pas sanglantes ( on ne recourt pas à la guerre). Par rapport au problème de la guerre, tout parti communiste lutte contre toute guerre impérialiste conduite par son propre pays. Si une telle guerre survient, sa politique vise à la défaite du gouvernement réactionnaire de son pays. L'unique guerre qu'il veut, c'est la guerre civile pour laquelle il se prépare. Mais il n'est pas nécessaire de passer à l'insurrection tant que la bourgeoisie n'est pas réduite à l'impuissance, tant que la majorité des ouvriers n'est pas décidée à conduire une insurrection armée et une guerre et tant que les masses citadines n'apportent pas leur soutien au prolétariat. Et quand vient le moment de l'insurrection et de la guerre, il faut d'abord occuper les villes et avancer dans les campagnes; non le contraire. Tout ceci a été établi par les partis communistes des pays capitalistes et la Révolution d'Octobre en Russie en a démontré la justesse." traduit de l'italien. Excuses si quelques détails sont légèrement différents d'autres traductions. |
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Jameul | pas de justice pas de paix | Grand classique (ou très bavard) | 714 messages postés |
| Posté le 03-11-2006 à 20:11:21
| Hoxa? |
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CMC | Grand classique (ou très bavard) | 171 messages postés |
| Posté le 03-11-2006 à 21:26:56
| Hé non... |
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