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 émeutes ethniques au Xinjiang

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Xuan
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   Posté le 13-03-2020 à 22:21:45   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

(COVID-19) Le Xinjiang dévoile des politiques de soutien en vue de favoriser l'emploi


French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-02/28/c_138827941.htm Publié le 2020-02-28 à 17:55


Un homme et son épouse se reposent dans leur maison du village de Qushou du bourg de Saybag dans le district de Moyu, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest), le 21 novembre 2019. (Photo : Zhao Ge)

Les habitants touchés par l'épidémie au Xinjiang recevront une aide à l'emploi, et l'assurance chômage sera versée à temps.

URUMQI, 28 février (Xinhua) -- La région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest) a augmenté les subventions à la sécurité sociale et a déployé une série de politiques de soutien pour favoriser l'emploi.
La région continuera de mettre en oeuvre diverses politiques de soutien à l'emploi pour les ménages pauvres dans le sud du Xinjiang, de coordonner et de résoudre leurs problèmes en temps utile, et de stabiliser l'emploi dans une plus large mesure, a déclaré vendredi le département régional des ressources humaines et de la sécurité sociale.
Selon le département, les habitants touchés par l'épidémie au Xinjiang recevront une aide à l'emploi, et l'assurance chômage sera versée à temps.

Pour les petites et moyennes entreprises et les employés confrontés à des difficultés temporaires de production et d'exploitation, le Xinjiang accordera la priorité à la mise en oeuvre des subventions pour l'assurance sociale et la formation professionnelle et d'autres politiques de soutien.

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(COVID-19) Le Xinjiang prend des mesures pour aider les travailleurs migrants à retourner au travail


French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-03/04/c_138842364.htm Publié le 2020-03-04 à 13:37
URUMQI, 4 mars (Xinhua) -- La région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) a pris une série de mesures pour aider les travailleurs migrants ruraux à retourner au travail dans le contexte de l'épidémie du nouveau coronavirus, ont indiqué les autorités locales.
Selon le département des ressources humaines et de la sécurité sociale du Xinjiang, la région avait fourni en février des trains et des autocars affrétés pour plus de 60.000 travailleurs migrants afin qu'ils retournent travailler au Xinjiang et dans d'autres régions de niveau provincial.
La région a mis en place des politiques préférentielles pour encourager les entreprises à forte intensité de main-d'oeuvre dans les quatre préfectures du sud du Xinjiang à recruter des employés locaux.
Le Xinjiang remboursera également l'assurance chômage aux entreprises pour stabiliser l'emploi. Au 29 février, le Xinjiang avait restitué 57,5 millions de yuans d'assurance chômage à 1.734 entreprises.

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   Posté le 13-03-2020 à 22:31:25   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Une américaine recherchée au Xinjiang pour fraude

Par Liu Xin Source: Global Times Publié: 2020/3/12 22:58:40
https://www.globaltimes.cn/content/1182481.shtml


Des artistes jouent de la musique à Kashi, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang ( nord-ouest de la Chine) , le 12 juin 2019. Photo: Xinhua

Certains politiciens américains ont fermé les yeux sur les méfaits de Sayragul Sauytbay, une criminelle présumée de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, et l'ont dépeinte comme une "combattante des droits de l'homme" pour s'immiscer dans les politiques chinoises au Xinjiang, ce qui est une méthode biaisée car les Etats-Unis sont fermement rejetés par le peuple du Xinjiang, a déclaré jeudi un porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang.
Le gouvernement régional du Xinjiang a tenu une conférence de presse jeudi, au cours de laquelle le porte-parole Elijan Anayt a décrit les crimes que Sayragul est soupçonnée d'avoir commis et les mensonges qu'elle avait répandus.
Le 4 mars, le département d'État américain a décerné à Sayragul Sauytbay le "Prix international des femmes de courage 2020" et a affirmé qu'elle "avait été forcée d'enseigner le chinois aux minorités ethniques dans un camp de détention" .
"Je tiens à réitérer que Sayragul Sauytbay figure sur la liste en ligne des autorités de sécurité publique du Xinjiang concernant les personnes recherchées pour des infractions présumées, notamment le franchissement illégal des frontières et la fraude sur les prêts" , a déclaré Elijan lors de la conférence de presse.
Sayragul Sauytbay n'a jamais travaillé dans aucun centre d'enseignement et de formation professionnels. Elle a inventé des mensonges pour confondre le public et salir le Xinjiang, un acte ignoble et ignoble en effet, a noté Elijan.

Le porte-parole du gouvernement régional a également réfuté les rumeurs sur les risques élevés de propagation du COVID-19 dans les centres d'enseignement et de formation professionnels du Xinjiang lors de la conférence de presse de jeudi.
Certaines forces du "Turkestan oriental" en dehors de la Chine disent des mensonges pour salir le Xinjiang, qui est " complètement ridicule à tous égards ", a déclaré jeudi le porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang, Elijan Anayt, lors d'une conférence de presse.
Récemment, certaines forces du "Turkestan oriental" en dehors de la Chine ont délibérément répandu des rumeurs sur le Xinjiang, sur un risque de propagation du COVID-19 dans ses centres d'enseignement et de formation professionnels, ajoutant que le Xinjiang cache la vérité de sa situation épidémique.
"Je tiens à souligner ici encore une fois que les centres d'enseignement et de formation professionnels établis dans le Xinjiang ne sont pas des" camps ", mais des institutions de déradicalisation de type scolaire mises en place conformément à la loi pour relever les graves menaces des attaques violentes et terroristes récurrentes" , a dit Elijan Anayt.

Shohrat Zakir, gouverneur de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, a annoncé lors d'un communiqué de presse le 9 décembre 2019 que tous les stagiaires avaient quitté les centres.
"Je ne peux pas m'empêcher de demander, comment un risque d'infection à grande échelle pourrait-il être possible dans les centres alors que tous les stagiaires ont déjà obtenu leur diplôme?" a demandé Elijan lors de la conférence de presse.


Edité le 13-03-2020 à 22:31:51 par Xuan




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   Posté le 13-03-2020 à 23:02:21   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

(COVID-19) La vie reprend son cours normal dans le Xinjiang


French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-03/12/c_138870548.htm Publié le 2020-03-12 à 17:41
URUMQI, 12 mars (Xinhua) -- La région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a complètement redémarré la production et la vie des habitants a repris son cours normal, la région n'ayant signalé aucun cas confirmé de COVID-19 pendant 23 jours consécutifs.
Mais des mesures doivent être mises en place pour prévenir toute infection importée, selon le centre régional de la prévention et du contrôle de l'épidémie de coronavirus.
Actuellement, 91,7% des grandes entreprises du Xinjiang avec un chiffre d'affaires annuel d'au moins 20 millions de yuans ont repris le travail, tandis que toutes les entreprises d'Etat administrées par les autorités centrales au Xinjiang ont recommencé à fonctionner.
Dans toute la région, les transports publics, les autocars, les trains et les avions ont tous repris leurs activités, alors que les entreprises reprennent progressivement leurs activités dans le cadre de mesures de désinfection strictes.

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   Posté le 15-03-2020 à 15:03:57   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

(COVID-19) Les élèves du Xinjiang recevront des masques gratuits à la réouverture des écoles


French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-03/15/c_138880403.htm Publié le 2020-03-15 à 19:11

URUMQI, 15 mars (Xinhua) -- La région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) distribuera gratuitement des masques aux élèves au début du nouveau semestre, qui a été reporté en raison de l'épidémie du nouveau coronavirus (COVID-19).
Environ 510.000 élèves des dernières années des écoles secondaires, primaires et professionnelles seront les premiers à rentrer à l'école le 16 mars au Xinjiang, selon le bureau régional de l'éducation.
Les autres élèves de la région devraient reprendre l'école le 23 mars, à l'exception des crèches et des universités, dont les dates de rentrée n'ont pas encore été annoncées.

Les autorités locales ont déclaré que les écoles locales organiseraient des classes de petite taille pour les élèves, suspendraient tous les rassemblements et adopteraient une gestion de confinement afin de minimiser les risques d'infection.
Liu Jian, directeur adjoint du bureau, a indiqué que les gouvernements locaux étaient occupés à préparer le matériel de prévention et de contrôle, tels que les masques, qui seront bientôt distribués dans les écoles. Les écoles locales sont autorisées à augmenter modérément les heures des cours, étant donné le retard du début du semestre.
Le Xinjiang n'a signalé aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 pendant 26 jours consécutifs, et le dernier patient atteint de COVID-19 dans la région est sorti de l'hôpital après sa guérison le 8 mars.

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marquetalia
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   Posté le 18-03-2020 à 23:15:17   Voir le profil de marquetalia (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à marquetalia   

Les USA appuient le Tibet mais pas les Ouïghours,liés à Al Qaeda.Éric Prince,le responsable de l ex société militaire privée Black Water,a repris du service,cette fois au Xinjiang.preuve que le complexe militaro-industriel u.s et les intérêts chinois convergent.pour se venger de la défaite américaine mal digérée en Afghanistan ?


Edité le 18-03-2020 à 23:19:59 par marquetalia




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Xuan
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   Posté le 05-04-2020 à 15:50:39   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Les personnes de bon sens doivent fermement lutter contre les fausses nouvelles concernant le Xinjiang (porte-parole)

http://french.xinhuanet.com/2020-04/01/c_138938694.htm
BEIJING, 1er avril (Xinhua) -- La porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hua Chunying a appelé mercredi les personnes de bon sens à résister aux fausses informations sur la politique chinoise au Xinjiang.
Mme Hua a fait ces remarques lors d'un point de presse, alors qu'elle était invitée à commenter un article de The Grayzone, site d'information indépendant américain, suggérant qu'une récente accusation sur le programme de "travail forcé" de la Chine dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang avait en réalité été lancée par une organisation australienne soutenue par les Etats-Unis.
"Cela montre que certaines personnes menaient leurs activités avec des intentions cachées" , a indiqué la porte-parole.

Le site Internet a également déclaré n'avoir découvert "aucune preuve originale " de la part de travailleurs du soi-disant programme de "travail forcé ". Cependant, il cite des "témoignages " anonymes d'un "obscur" blog "d'extrême droite" de fanatiques religieux.
" Les personnes de bon sens et possédant un sens de la justice doivent distinguer le bien du mal et travailler ensemble pour lutter fermement contre les fausses informations comme celle-ci" , a-t-elle noté.

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Plaristes
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   Posté le 22-05-2020 à 17:26:34   Voir le profil de Plaristes (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Plaristes   

Xuan a écrit :

Utiliser les sources à conditions de faire la part du vrai et du faux, de ne pas reproduire les mensonges comme du pain béni, bref de ne pas propager l'intox.

https://observers.france24.com/fr/20190419-chine-mosquee-dome-minaret-detruit-musulman-repression

Cet article signale photos à l'appui la destruction d'une mosquée en titrant
En Chine, une mosquée démolie par les autorités : “L'ordre est de détruire tous les minarets et les dômes"

Pourquoi cette mosquée ? Quelle était l'activité de son imam? Et pourquoi la Chine n'a-t-elle PAS détruit "tous les minarets et les dômes", mais les a préservés en autorisant les cultes ?



Pourquoi des articles annonçant "Chine, destructions massives de mosquées dans le Xinjiang
Dans une enquête conjointe, le Guardian et le Bellingcat attestent, images satellites à l’appui, de la démolition systématique de mosquées par les autorités chinoises..."


article illustré par cette image :



La présence de deux policiers au premier plan est censée démontrer une dictature féroce, or on voit une foule de croyants défiler devant eux les mains dans les poches ou indifférents, et même en grossissant l'image on ne trouve pas les ruines du minaret.

Lors des attentats en France la police était bien plus nombreuse devant les synagogues ou d'autres édifices religieux, mais La Croix ne s'est jamais préoccupée des victimes ouïgours des terroristes islamistes.
Une rubrique a été ouverte sur ces questions.
On y trouve une vidéo justement sur ces attentats : https://news.cgtn.com/news/2019-12-05/Fighting-terrorism-in-Xinjiang-MaNLLDtnfq/index.html




Mais là, tu évites le sujet en tournant autour.
Je n'ai jamais dit que les mensonges de la Chine confirmait tous les dire de la propagande occidentale, juste que ça poussait les gens vers la dite propagande? Tu prêche à un convaincu sur point, surtout que je prône une laïcité gallicane sur les bords.

Mais là on avait la preuve concrète que des mosquées bâtiments historiques vieux de 800 ans, avait été rasées.

T'imagine en France si on rasait une cathédrale juste parc-que le padre était dans une secte catholique fasciste ultra dangereuse?

Concernant les preuves sont déjà sur ce sujet normalement.


Edité le 22-05-2020 à 19:16:22 par Plaristes




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Xuan
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   Posté le 22-05-2020 à 18:26:09   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Ne recommence pas avec les "mensonges de la Chine". La mosquée a été détruite comme "lieu religieux illégal" et toute la presse occidentale s'est mise à piailler que la Chine détruisait toutes les mosquées.
Il existe une loi sur le caractère privé de la religion qui ne tolère pas son utilisation à des fins politiques. Si on veut préserver une mosquée "de 800 ans" on ne s'en sert pas non plus comme instrument de propagande à des fins terroristes.

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Plaristes
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   Posté le 22-05-2020 à 19:41:14   Voir le profil de Plaristes (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Plaristes   

Et grâce à la propagande occidentale la Chine a été applaudie par l'extrême droite Française.

Après vous me rappeler des choses basiques... Alors c'est bien de les rappeler.
Mais vous parlez face à moi, pas un déb**us du PCM. Je sais que c'est complètement absurde même pour état comme la Chine, ayant un appareil d'état particulièrement puissant, ça aurait débile de faire ce qui était décrit dans la propagande occidentale, de plus la Chine est dans un paradigme néo-néo-confucéen paternaliste, principe de l'harmonie.

Xuan a écrit :

Il existe une loi sur le caractère privé de la religion qui ne tolère pas son utilisation à des fins politiques. Si on veut préserver une mosquée "de 800 ans" on ne s'en sert pas non plus comme instrument de propagande à des fins terroristes.


Vous savez qu'il est pété cet argument, c'est le genre d'argument utilisé pour massacrer du gilet jaune en France. Dans la même catégorie, je pourrais dire que les Chinois n'avait qu'à pas placer leur pays à côté de bases américaines, s'il veulent pas se faire agresser...

Non franchement avec l’appareil d'état chinois et les moyens qu'ils ont, ils aurait pu opérer de manière plus chirurgicale.. Généralement quand tu rase un mosquée ou un lieu de culte, c'est que tu veux faire passer un message politique Cartago delenda est.

Comment veux-tu rester crédible au près des masses en disant des chose pareilles?

Après ici en occident on l'influence chrétienne du libre arbitre, et le choix d'interprétation de la législation. Mais c'est sûr qu'il faudra trouver autre-chose si interrogé sur la question. Sinon on risque de passer pour de gros clown. Les gens vont bouffer le story telling des ONG d'ingérence après.

Enfin bref.....

Suite à votre réaction à ma définition du travail libre, en répétant des chose plus qu'évidente pour un marxiste, je crois que vous ne me considérez toujours pas comme marxiste.

Généralement il convient mieux de répéter ce qui est bien connu, parce-qu'il est trop bien connu, donc non connu ou mal connu. Pas de faire des qui proquo et de corriger une erreur qui n'était pas là en premier lieu.

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Xuan
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   Posté le 22-05-2020 à 23:02:01   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Le terrorisme en Chine et les gilets jaunes ça fait deux. Le terrorisme tue des innocents, vise la partition de la Chine et sert les visées impérialistes. La Chine n'a aucune tolérance pour ça.
Quant à ce qu'en disent l'extrême droite ou les ONG, je crois que les Chinois n'en ont réellement rien à battre, et qu'ils ne lisent pas le panorama de la presse occidentale avant de prendre une décision sur le terrorisme islamiste.
Déjà ils considèrent que ça fait partie de leurs affaires internes, donc les commentaires étrangers hostiles sont déjà déplacés pour les Chinois.
Après si les critiques deviennent trop virulentes il leur arrive de répondre, mais ce n'est pas pour justifier l'application de leur législation.
Je t'ai signalé une video sur ces attentats si tu penses que c'est du folklore.


Edité le 22-05-2020 à 23:11:57 par Xuan




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   Posté le 10-12-2021 à 23:27:06   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

http://www.capucinesauvage.info/debunkons-la-propagande-autour-des-ouighours/

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   Posté le 16-12-2021 à 21:23:30   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Le Maroc extrade vers la Chine un ouïghour


Un tribunal marocain a décidé que Yidiresi Aishan, une minorité musulmane ouïghoure chinoise, serait extradé vers la Chine pour suspicion d'"actes terroristes".
Selon l'Agence France-Presse, Miloud Kandil, l'avocat d'Edith Aishan, a révélé aux médias le 16 décembre : « La justice a confirmé hier (15 décembre) que mon client sera extradé (vers la Chine). Nous n'avons pas encore obtenu le verdict, mais psychologiquement, c'est très difficile pour lui."
Idijes Aishan, 34 ans, père de trois enfants, a été arrêté le 19 juillet alors qu'il arrivait à l'aéroport de Casablanca au Maroc en provenance de Turquie.

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pzorba75
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   Posté le 17-12-2021 à 05:15:32   Voir le profil de pzorba75 (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à pzorba75   

Actes terroristes en Chine ou Maroc? S'agissant du Maroc, il ne faut pas s'attendre à des jugements éclairés par les droits de l'homme. Ou cela se saurait!

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Xuan
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   Posté le 17-12-2021 à 07:35:51   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Non, en Chine. Le Maroc est un pays musulman mais il extrade un terroriste à la demande de la Chine. Cela signifie que le discours sur la "répression des musulmans au Xinjiang" ne reçoit pas l'écho voulu dans les pays musulmans, qui soutiennent la Chine dans leur majorité.
Le fait est que ces pays ont souffert du terrorisme islamiste.

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   Posté le 20-12-2021 à 00:11:20   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

des vidéos tournées par des étudiants étrangers https://www.youtube.com/watch?v=WtSqyAScW7c

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   Posté le 26-01-2022 à 20:49:15   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Une autre étude très documentée sur le Xinjiang, de Christophe Durandeau :

Comprendre la crise des Ouïghours

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   Posté le 29-01-2022 à 08:41:39   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Le site faire vivre met en ligne
https://lepcf.fr/Comprendre-la-crise-des-Ouighours?fbclid=IwAR1iOCIs1an_r39MfKBNTAaMfL4vU_s29N-1e74q-tg4_2BPNe-jC-DZEe8

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reportage de Joris Ivens & Marceline Loridan, 1976


Comment Yukong déplaça les montagnes - Les ouigours, minorité nationale, sinkiang

Pour la première fois, l’Occident découvrait la Chine de Mao. Yukong nous montre avec pudeur et réalisme l’âme de ce pays. C’est la Chine telle que la vivaient les Chinois à la fin de la Révolution culturelle. Cette œuvre monumentale constitue un document inestimable dans lequel on perçoit les germes de la Chine d’aujourd’hui.
https://www.youtube.com/watch?v=2yXhIom3nio

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   Posté le 06-02-2022 à 17:38:01   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

L’ouïghoure Dinigeer Yilamujiang est venue allumer la flamme olympique.


https://www.francetvinfo.fr/les-jeux-olympiques/jo-2022-dinigeer-yilamujiang-derniere-porteuse-de-la-flamme-une-ouighoure-dans-la-lumiere-olympique_4944426.html

Doigt d'honneur au monde libre ! s'est exclamé une ONG.
Une insulte en effet que cette rescapée du « génocide » puisse être mise en avant par la Chine

La cérémonie des JO ne s'en tenait d'ailleurs pas là puisqu'un tableau de petits pigeons blancs représentait un petit « pigeon perdu » ramené par sa sœur parmi ses frères, allusion très claire à Taiwan.


Edité le 06-02-2022 à 17:57:49 par Xuan




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   Posté le 10-02-2022 à 13:52:03   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Une visite de l'ONU au Xinjiang se précise après les JO

Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, rencontre Xi Jinping à propos de sa visite au Xinjiang


Écrit par : Lin Jin - dnews
2022-02-06 10:21:02

Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a déclaré le 5 février qu'il s'attendait à ce que la Chine autorise Michelle Bachelet, la haut-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, à effectuer une visite crédible au Xinjiang.
Selon le site officiel des Nations Unies, le 5 février, Guterres, qui a assisté aux Jeux olympiques d'hiver de Pékin, a rencontré le président chinois Xi Jinping et le ministre des Affaires étrangères Wang Yi le même jour.
Selon la source, Guterres a déclaré : "Nous attendons avec impatience l'engagement du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme avec le gouvernement chinois pour faciliter une visite crédible du Haut-Commissaire en Chine, y compris au Xinjiang" .

A midi ce jour-là, António Guterres a assisté au déjeuner de bienvenue organisé par Xi Jinping et son épouse Peng Liyuan pour les dignitaires internationaux assistant à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'hiver de Pékin au Grand Palais du Peuple.
António Guterres terminera sa visite en Chine le 6 février et rentrera à New York.
Plus tôt, Reuters a rapporté que le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme avait déclaré le 28 janvier que la Haut-Commissaire aux droits de l'homme Michelle Bachelet discutait avec la Chine d'une éventuelle visite au Xinjiang dans un proche avenir. Le "South China Morning Post" de Hong Kong a également cité des sources disant que la Chine avait accepté d'autoriser Bachelet à visiter le Xinjiang au cours du premier semestre de cette année après les Jeux olympiques d'hiver.

En réponse au rapport du South China Morning Post, le 28 janvier, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a répondu lors d'une conférence de presse régulière que la Chine accueillait Mme Bachelet, la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, pour visiter la Chine et le Xinjiang. La Chine a déjà lancé une invitation. Les deux parties ont été en communication à ce sujet. La position de la Chine est cohérente et claire.

Zhao Lijian a souligné que le but de la visite était de promouvoir les échanges et la coopération entre les deux parties. La Chine s'oppose à quiconque en profite pour la manipulation politique.
La Chambre des représentants du Japon adopte une résolution sur le Xinjiang liée à Hong Kong Ministère chinois des Affaires étrangères : Provocation politique grave
Ambassadeur de Chine en Afghanistan : Environ 500 tonnes de fournitures partent du Xinjiang pour aider l'Afghanistan
En plus de la visite au Xinjiang, les Nations Unies ont également annoncé que Guterres avait discuté des questions régionales avec les dirigeants chinois, en particulier la question afghane.

António Guterres a également félicité la Chine pour avoir accueilli les Jeux olympiques d'hiver, et a exprimé sa gratitude pour le ferme soutien de la Chine aux Nations Unies et au multilatéralisme. Renforcer la coopération sur le développement durable et les droits de l'homme.
Selon le site officiel du ministère chinois des Affaires étrangères, le 5 février, Xi Jinping a rencontré au Grand Palais du Peuple le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, qui se trouvait en Chine pour assister aux Jeux olympiques d'hiver de Pékin 2022.
Xi Jinping a souligné que l'accueil réussi des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de Beijing était l'engagement solennel de la Chine envers la communauté internationale.

Xi Jinping a déclaré qu'à l'heure actuelle et à l'avenir, trois événements majeurs dans le monde méritent une considération et une attention sérieuses : l'unité pour lutter contre l'épidémie, la promotion du développement et la promotion de la démocratie. Il a souligné qu'il n'existe pas de modèle de système fixe dans le monde, ni de modèle de développement unique. Tous les pays ont le droit de choisir une voie qui convient à leurs conditions nationales et aux besoins de leur population. La Chine continuera également à soutenir fermement le travail de l'ONU et, comme toujours, fera preuve d'une vue d'ensemble et d'une grande responsabilité pour sauvegarder la paix et le développement dans le monde.

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https://www.legrandsoir.info/xinjiang-un-temoignage-exclusif-sur-le-soi-disant-travail-force.html
18 février 2022

Xinjiang : un témoignage exclusif sur le soi-disant travail forcé !

WU Qiner


Cet universitaire taïwanais a étudié le Xinjiang pendant plus de 20 ans et a ri en entendant le mensonge des États-Unis. Le Taïwanais Dr Wu Qiner est chercheur à l'Academia Sinica, la plus haute institution d'enseignement et de recherche universitaires de Taïwan. Il a construit sa carrière sur les études ouïgoures. Il parle la langue ouïgoure et se rend plusieurs fois par an dans les communautés ouïgoures du Xinjiang. Voici la transcription d’une interview publiée le 2 avril 2021 en chinois.

Wang Yu, journaliste de Shenzhen TV & Direct News : Pourquoi l’affirmation concoctée par les forces antichinoises de l’Occident, en premier lieu les États-Unis, selon laquelle il y aurait du "travail forcé" au Xinjiang est-elle ridicule ?

WU QINER : Parce qu’ils ne connaissent pas du tout la situation au Xinjiang. Le fait est qu’il y a un problème de sous-emploi en Chine, surtout pour le Xinjiang, où le problème de sous-emploi est encore plus prononcé et où les paysans ont tous besoin de trouver des opportunités d’emploi. Dans le Xinjiang en particulier, ils doivent trouver un produit qu’ils peuvent vendre et qu’ils savent cultiver, ce qui n’est pas facile.

Ils aimeraient pouvoir cultiver du coton et le garder en bon état en le récoltant à la main. Ainsi, même avec la récolte manuelle, la plupart des personnes qui vont récolter sont principalement des agriculteurs chinois Han, parce qu’en fait, les agriculteurs chinois Han sont un peu moins exigeants que les agriculteurs ouïgours en termes de salaire, en particulier dans les quatre provinces que j’ai mentionnées, Gansu, Qinghai, Henan et Sichuan, et pour eux, la récolte manuelle est une très bonne occasion de gagner plus qu’environ six mois de frais de subsistance. Deux mois de récolte équivalent à plus de six mois, voire sept ou huit mois, de travail à la campagne. C’est une opportunité qui leur est tombée du ciel. Dans ce cas, il est difficile d’imaginer qu’ils seront "forcés" d’aller au Xinjiang pour cueillir du coton de manière "escortée". Je dirais que ce n’est pas rentable pour le gouvernement, sans parler du manque de main-d’œuvre au Xinjiang même. Bien que le Xinjiang n’ait pas une population importante dans son ensemble, il s’agit d’une très grande région, comparée à Taïwan, c’est 45 Taïwan, ou à l’Europe, c’est presque l’équivalent de trois France. Avec un territoire aussi vaste, il est très difficile de concentrer ses effectifs en un seul endroit.

En fait, je suis entré en contact avec l’industrie du coton du Xinjiang il y a une vingtaine d’années. À l’époque, en raison des problèmes de marché et de la pénurie de main-d’œuvre, le coton pourrissait souvent dans les champs de coton. Plus tard, une fois le marché monté, la récolte du coton est devenue une chose très recherchée. Étant donné la densité relativement faible de la population du Xinjiang, il n’était pas rare que les agriculteurs chinois Han soient engagés dans des travaux saisonniers, et il n’est tout simplement pas logique que le peuple ouïgour soit tenu d’effectuer ce que l’on appelle le "travail forcé" à la place.

Les questions relatives aux droits de l’homme dont les États-Unis et l’Occident accusent la Chine, en totale contradiction avec la situation réelle, sont bien sûr une plaisanterie de ce point de vue, et le fait qu’un pays doté de solides capacités en matière de renseignement et de recherche universitaire fasse une telle plaisanterie nous amène à nous interroger sur ses capacités étatiques et ses normes universitaires.

Wang Yu : Plus précisément, comment les forces occidentales antichinoises, menées par les États-Unis, imaginent-elles que le peuple ouïgour du Xinjiang est soumis au "travail forcé" ? Pourquoi ont-ils cette imagination bizarre ?

WU QINER : Selon eux, le coton du Xinjiang ne serait pas d’aussi bonne qualité s’il était récolté par des machines, et il y aurait beaucoup de feuilles mélangées avec lui, donc il doit être cueilli à la main pour avoir un bon standard.
Cela renvoie alors à la façon dont ils ont imaginé le Xinjiang.

Premièrement, ils s’imaginaient que le Xinjiang était composé d’un seul groupe ethnique, les Ouïghours, et ils ne pouvaient pas imaginer que le Xinjiang était multiethnique, avec presque 60 % de sa population composée de groupes ethniques autres que les Ouïghours.

Deuxièmement, ils n’arrivaient pas à ’imaginer que ce travail collectif à grande échelle était une tradition culturelle du peuple chinois, c’est-à-dire que le travail acharné était considéré comme une vertu. La recherche de la richesse n’appartient pas seulement au gouvernement ; chaque citoyen a le droit de la rechercher.
L’Occident, quant à lui, imagine que "fabriquer autant de choses à la fois doit aller à l’encontre des souhaits de ce groupe minoritaire". Ils pensent que les minorités doivent être paresseuses et qu’elles devraient avoir le "droit d’être paresseuses". C’est ce qui s’est passé aux États-Unis, au Canada, dans les colonies européennes d’Afrique et d’Amérique latine. Il existe donc un faux stéréotype selon lequel les minorités sont “paresseuses”, qu’elles choisissent d’être heureuses et de "profiter de la vie", et que lorsqu’elles acceptent un travail de plus haute densité, "cela doit être en vertu d’une sorte de politique". Parce que leur propre expérience historique est telle, ils n’ont pas d’autre façon d’imaginer le Xinjiang.

Troisièmement, ils ont imaginé les relations communautaires au Xinjiang en fonction de leur propre expérience historique. Ils considèrent les minorités comme vulnérables et n’ont aucun moyen d’imaginer que la politique ethnique de la Chine les favorise.
Quatrièmement, la Chine chérit la "beauté" de ses minorités. Les pays d’Europe et d’Amérique du Nord, en revanche, sont complètement différents : ils considèrent les groupes minoritaires comme des êtres esthétiquement "handicapés". Par exemple, Trudeau, l’actuel Premier ministre du Canada, avait l’habitude de se peindre la peau en noir lorsqu’il était jeune, imitant ainsi les Noirs, en fait, de manière moqueuse. La discrimination culturelle à l’encontre des minorités n’existe pas en Chine, mais ils imaginent que c’est ainsi que les droits politiques, économiques et culturels des minorités sont supprimés en Chine. Mais la situation réelle est à l’opposé de ce qu’ils décrivent.

Observateur : Pouvez-vous nous dire lesquelles de vos descriptions sont inacceptables pour les internautes [taïwanais] ?

WU QINER : J’ai mentionné que les descriptions populaires de la "détention massive au Xinjiang" dans les médias aux États-Unis et dans d’autres pays manquaient de sources et de preuves fiables.

Les "camps de rééducation" présentés dans ce documentaire australien sont simplement des images du Xinjiang que l’on peut trouver sur Internet, montées et reconstruites pour alterner entre de vraies écoles et de vraies prisons, donnant au spectateur l’impression que c’est ce à quoi ressemblent réellement les "camps de rééducation". En outre, aucun des "témoins" interrogés dans le documentaire n’était un témoin oculaire, mais relayait plutôt les propos d’amis et d’"amis d’amis".
Cette attitude n’est manifestement pas conforme aux règles élémentaires du journalisme professionnel et de l’éthique journalistique et, d’un point de vue professionnel, elle est beaucoup moins crédible.

J’ai aussi dit que les documentaires peuvent avoir leur propre position politique, mais qu’ils doivent avoir des preuves ; ils peuvent aussi interpréter les preuves différemment, mais ils ne peuvent pas les fabriquer. En conséquence, un certain nombre d’internautes ont pensé que les “camps de concentration” et les "camps de rééducation" du Xinjiang étaient des propos tenus par des Américains et des Australiens et qu’ils ne pourraient jamais être faux, et qu’en remettant le documentaire en question de cette manière, je défendais la “dictature”. En remettant en cause le documentaire, je défends la “dictature”.

Dans l’interview, j’ai parlé du contexte de la création des centres d’enseignement et de formation professionnels et des détails du programme des centres d’enseignement et de formation professionnels, mais les internautes n’ont manifestement pas voulu comprendre le sens de tout cela, ni être intéressés par la vérification des faits, et ont directement défini ces descriptions de ma part comme "justifiant les atrocités chinoises". Comme vous le savez, dans l’environnement politique de Taïwan, c’est une accusation très grave.

J’ai également mentionné dans l’interview que la stratégie à long terme des États-Unis et de certains autres pays occidentaux consiste à contenir la Chine, et que derrière cette stratégie se cache un système vaste et complexe de confinement, comprenant des niveaux militaires et économiques, ainsi que des niveaux culturels et de propagande. Dans cette partie de la propagande culturelle, le soutien des services de renseignement est nécessaire, mais plus encore celui de la recherche universitaire approfondie.

Pendant la guerre froide, les études chinoises aux États-Unis, y compris les études sur le Xinjiang, ont surpassé celles de la Chine de l’époque à de nombreux égards, qu’il s’agisse des traditions de recherche, des ressources de recherche ou de l’apport des élites. Les États-Unis et les autres pays occidentaux de l’époque se sont appuyés sur ces études pour formuler leur politique à l’égard de la Chine, et la qualité de leurs décisions était relativement bonne.
Après la fin de la guerre froide, et surtout au cours de la dernière décennie, avec la croissance de l’économie chinoise, la tendance à l’accélération de la mondialisation et l’essor du cybermonde, l’inquiétude des États-Unis et de certains pays occidentaux a fortement augmenté et ils ont accru leurs investissements dans le travail de renseignement et la recherche universitaire connexe, mais la qualité du renseignement obtenu et la qualité de la recherche universitaire connexe ont diminué en raison de leur soif de réussite.

En termes de sources de renseignements, je pense que la communauté chinoise d’outre-mer devrait savoir que depuis les années 1980, il existe une industrie de l’immigration aux États-Unis, au Canada et en Australie, que l’on peut appeler la "chaîne de l’asile politique", dans laquelle des avocats aident les Chinois qui n’ont pas le statut de résident local en leur fournissant une filière pour demander la résidence permanente. Avant le début du 21e siècle, c’était principalement au nom du planning familial, où les gens étaient punis pour avoir des naissances excessives en Chine, et au cours des 10 dernières années, il s’agissait de la persécution des minorités ethniques.
Certains de ceux qui ont quitté le continent ont été remarqués par certaines agences de renseignement du pays pour fournir des informations qu’ils connaissaient, mais avec le temps, leur stock s’est épuisé et ils ont dû deviner ce que les agences de renseignement voulaient et aller dans les médias et sur Internet pour trouver des “preuves”. La plupart de ces personnes fournissent également des informations sur la Chine aux médias, le plus souvent en fonction des préférences de ces derniers, sans qu’il soit possible de vérifier l’exactitude de ces informations.

Les communautés chinoises des États-Unis, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande sont bien conscientes de cette industrie, tandis que leurs gouvernements s’efforcent de vérifier l’authenticité des cas d’asile politique, tout en se délectant des ressources politiques qu’ils recèlent. La population de Taïwan est largement ignorante et indifférente à ce sujet, et lorsqu’elle entend les cercles politiques et les médias européens et américains dire qu’ils disposent de "preuves tangibles" fournies par des universitaires et des témoins, elle pense qu’il n’y a pas lieu de douter. L’instinct naturel est de penser que je dis n’importe quoi et que je justifie la “dictature”.

Observateur : Si vous êtes interviewé par les médias taïwanais sur cette question du Xinjiang à l’avenir, continuerez-vous à l’expliquer au public de cette manière ?

WU QINER : Je fais de l’histoire, et je pense que la poursuite de la vérité et l’insistance sur celle-ci est une exigence fondamentale de la recherche historique. Mais je ne pense pas qu’il y aura beaucoup de médias taïwanais qui oseront m’interviewer, car les médias taïwanais sont soumis à une forte pression en ce moment. Il y avait autrefois certains médias désireux d’apprendre la vérité, mais ils sont soit soumis à une énorme pression politique, soit en train de plaisanter sur leur propre avenir. Par exemple, la Commission des communications de Taiwan a annulé la licence de Zhongtian News Channel à la fin de l’année dernière.
En 2001, Trudeau était professeur d’art dramatique dans une école secondaire privée de Vancouver. Il s’est déguisé en Aladin, personnage des “Mille et une nuits”, pour un événement intitulé “Mille et une nuits”.

Wang Yu : Pourquoi les forces antichinoises utilisent-elles fréquemment le Xinjiang comme point d’attaque ? Pourquoi ont-ils choisi de boycotter le coton du Xinjiang plutôt que d’autres industries du Xinjiang ?

WU QINER : Je pense que c’est le choix du Xinjiang qui est au centre des préoccupations, tout d’abord, parce que le choix du Xinjiang impliquerait un point d’entrée dans la politique chinoise. En fait, depuis le milieu du 19e siècle, c’est la stratégie commune des puissances occidentales lorsqu’elles sont arrivées en Asie, car elles ont découvert que la Chine était une entité très vaste avec une très longue histoire, et que sous cette histoire se cachait une valeur fondamentale, notamment la valeur du pluralisme et de la tolérance dans le confucianisme, qu’il leur était très difficile de subvertir.

Ils ont constaté que l’une des plus grandes faiblesses de la Chine résidait dans son pluralisme, car il existait de nombreux groupes de Chinois non han aux frontières, qui étaient éloignés du noyau politique de la Chine et souvent difficiles à atteindre. Il leur a ensuite été très facile de morceler ces régions et leurs populations, qui sont restées culturellement diverses. Nous voyons donc qu’historiquement, la Russie, la Grande-Bretagne et plus tard les États-Unis sont tous intervenus et l’ont utilisé comme point d’entrée pour briser la dynastie Qing et plus tard la République de Chine ; dans le même temps, la Mongolie intérieure, la Chine du Nord-Est et le Tibet sont tous devenus des points d’entrée pour la Russie, le Japon et la Grande-Bretagne pour briser la Chine, et je pense que c’était la norme.
Cependant, cette tendance est à nouveau reprise et utilisée par l’Occident au XXIe siècle.

Ajoutez à cela le fait que l’emplacement du Xinjiang est une partie incontournable du développement stratégique global de la Chine dans l’espace physique – la “Ceinture et la Route”. La ceinture économique de la route de la soie et la route maritime de la soie du XXIe siècle doivent toutes deux passer par le Xinjiang pour rejoindre le Pakistan et, de là, l’océan Indien ; il s’agit donc d’une entité spatiale. En d’autres termes, si la Chine veut sortir de son confinement en Asie orientale et se connecter au monde par l’intermédiaire de l’Asie centrale, le Xinjiang est la voie à suivre.

Quant à savoir pourquoi le coton, c’est la deuxième étape. L’Occident panique après que le coton du Xinjiang, qui représente une augmentation considérable de l’industrie textile chinoise, soit devenu une présence incontournable pour l’ensemble de l’industrie mondiale du coton. La qualité croissante du coton du Xinjiang, la qualité croissante des textiles produits en Chine et la demande croissante de coton du Xinjiang de la part des principales organisations mondiales du secteur du textile et de l’habillement ont conduit la Chine à commencer progressivement à avoir un pouvoir de fixation des prix sur le coton. En d’autres termes, le monde doit se tourner vers l’industrie chinoise du coton.
Cette situation, si vous allez sévir sur l’industrie du coton du Xinjiang, d’un point de vue à court terme, il s’agit d’un coup porté à l’industrie textile du coton dans le Xinjiang ; plus généralement, c’est un coup dur à l’ensemble de l’industrie textile chinoise ; et en fin de compte, le coup est dirigé contre l’ensemble de l’économie et de l’industrie chinoise dont la grande direction stratégique est dirigée vers l’ouest. Bien sûr, il s’agit d’une piste dans leur imagination, mais sa réalisation dépend de la réaction de la Chine et de celle du marché mondial, dont une partie n’est pas entièrement sous le contrôle de la politique occidentale.

Wang Yu : Parlez-nous de votre expérience d’étude du Xinjiang ?

WU QINER : Je me suis rendu au Xinjiang à de nombreuses reprises, et j’ai été dans les parties nord et sud du Xinjiang, dans différents comtés et villes, et dans des endroits où vivent différents groupes ethniques à de nombreuses reprises. J’ai commencé mes recherches sur l’histoire moderne du Xinjiang dans les années 1990, de la dynastie Qing à la période de la République de Chine, puis de la période de la République de Chine à la République populaire de Chine. J’ai effectué ce type de recherche sur des périodes qui n’étaient pas disponibles dans le monde à l’époque, en me fondant sur la nécessité de comprendre non seulement le passé du Xinjiang, mais aussi de saisir la situation actuelle dans le Xinjiang, afin de pouvoir retourner poser des questions historiques et répondre à des phénomènes que l’histoire ne pouvait expliquer.

J’ai donc eu des contacts plus approfondis avec le Xinjiang et j’y suis personnellement très attaché. Je pense que le Xinjiang n’est pas seulement l’une des plus grandes régions provinciales de Chine, c’est aussi l’une des plus belles régions de Chine, pas seulement la plus belle de Chine, mais je pense qu’il n’y a pas beaucoup de régions en Eurasie qui sont aussi belles que le Xinjiang. En outre, j’aime beaucoup les habitants du Xinjiang, notamment les Ouïgours, les Kazakhs et les autres Mongols, Hebs et Dawols, qui sont très charmants. Parmi eux, les Ouïghours, qui ont la plus grande population, je pense qu’ils sont très naïfs, romantiques, hospitaliers, de plus en plus travailleurs, et tellement polyvalents et talentueux en langues, que je n’ai pratiquement aucune barrière avec eux, et nous nous entendons bien et devenons de très bons amis.

Wang Yu : Comment voyez-vous les forces antichinoises de l’Occident, représentées par les États-Unis, qui portent constamment atteinte aux intérêts vitaux du peuple ouïgour sous le couvert des "droits de l’homme" ?

WU QINER : Nous pouvons être ignorants si nous interprétons l’Occident d’un point de vue positif ; mais en fait, ils sont hypocrites car ils privent en réalité les travailleurs ouïghours de leurs droits et intérêts.
Je voudrais dire que la politique de réduction de la pauvreté du gouvernement chinois a surtout profité aux agriculteurs ouïgours du Xinjiang, et que les bénéficiaires les plus directs du développement de l’industrie du coton dans le Xinjiang sont aussi des agriculteurs ouïgours. Je suis donc vraiment heureux de les voir sortir de la pauvreté grâce à la culture du coton au fil des ans.

Les sanctions de l’Occident font semblant de se soucier, en apparence, des Ouïghours, mais les agriculteurs ouïghours du Xinjiang doivent être les premiers à souffrir des sanctions sur le coton au Xinjiang. Je pense donc que la soi-disant sollicitude de l’Occident à l’égard des Ouïgours aboutira en fait au même résultat que la répression occidentale des musulmans dans d’autres parties du monde et, finalement, elle touchera également les musulmans chinois, notamment les compatriotes ouïgours en Chine. Sur le plan émotionnel, c’est également très inacceptable pour moi.


Wu QINER
Wu Quiner est journaliste, universitaire et chercheur de Taïwan.
Editeur : Zhu Gabei
Source : https://news.sina.com.cn/c/2021-04-03/doc-ikmxzfmk1928697.shtml

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Xuan
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   Posté le 24-05-2022 à 23:32:51   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Wang Yi rencontre le chef des droits de l'homme de l'ONU à Guangzhou, demande une compréhension mutuelle et dissipe la désinformation

Par Global Times
Publié : 24 mai 2022 11:56 Mis à jour : 24 mai 2022 11:50

https://www.globaltimes.cn/page/202205/1266417.shtml

Le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré la chef des droits de l'homme de l'ONU Michelle Bachelet à Guangzhou le lundi. Photo : ministère chinois des Affaires étrangères


Le conseiller d'Etat chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a déclaré qu'il espérait que la visite en Chine de la cheffe des droits de l'homme de l'ONU, Michelle Bachelet, renforcerait la coopération avec l'ONU en matière de droits de l'homme sur la base du respect mutuel et de l'égalité, et dissiperait certaines informations erronées sur la Chine sur le terrain.

Lors d'une rencontre avec Bachelet à Guangzhou lundi, M. Wang a déclaré que c'était la première fois en 17 ans que la Chine accueillait un haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, ce qui est d'une importance historique pour les deux.

Wang a noté que certains pays et forces anti-chinoises diffusent de fausses informations sur la Chine et lancent des attaques sans fondement et discréditent la Chine. Leur objectif est de contenir et de réprimer la Chine en politisant et en militarisant la question des droits de l'homme. Mais les faits parleront d'eux-mêmes; les rumeurs et les mensonges échoueront, a déclaré Wang à Bachelet.

M. Wang a déclaré qu'il espérait que la visite de Bachelet en Chine lui permettrait de mieux comprendre les idées, les voies et les réalisations de développement de la Chine, ainsi que les progrès réalisés par la Chine en matière de droits de l'homme.

Bachelet entreprendra son voyage prévu dans la région nord-ouest du Xinjiang.

M. Wang a présenté le parcours de développement de la Chine et les croyances en matière de gouvernance du Parti communiste chinois sur la base des 5.000 ans de tradition civilisée du pays, soulignant que le PCC place toujours le peuple au centre et place l'aspiration du peuple à une vie meilleure comme son objectif.

La Chine a toujours accordé la priorité absolue à la protection des droits légitimes et de la sécurité des citoyens chinois, y compris des minorités ethniques, a déclaré M. Wang.

Plusieurs données sont mises en évidence.

La Chine nourrit un cinquième de la population mondiale sur moins de 9 % des terres du monde. Il a également construit le plus grand réseau de soins de santé d'assurance sociale au monde.

La Chine a résolu le problème de la pauvreté absolue, a atteint l'objectif de réduction de la pauvreté fixé par l'Agenda 2030 des Nations Unies pour le développement durable avec 10 ans d'avance et a fait entrer plus de 1,4 milliard de Chinois dans une société modérément prospère à tous égards.

La Chine est le seul grand pays au monde à avoir continuellement formulé et mis en œuvre les quatre phases des plans d'action nationaux pour les droits de l'homme ; les droits de tous les groupes ethniques à gérer les affaires de l'État sur un pied d'égalité sont garantis par la loi et le développement des régions où vivent les groupes ethniques est soutenu par diverses méthodes.




Le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré la chef des droits de l'homme de l'ONU Michelle Bachelet à Guangzhou le lundi. Photo : ministère chinois des Affaires étrangères
Le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré la chef des droits de l'homme de l'ONU Michelle Bachelet à Guangzhou le lundi. Photo : ministère chinois des Affaires étrangères


M. Wang a en outre déclaré qu'il considérait la visite du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme comme une opportunité et que la Chine souhaitait avoir des discussions avec le Haut-Commissariat aux droits de l'homme (HCDH) sur une future coopération constructive basée sur le respect mutuel et l'égalité.

Le développement de la cause internationale des droits de l'homme doit être fondé sur le respect mutuel, l'équité et la justice, rechercher la vérité à partir des faits, rester ouvert et inclusif, plutôt que de politiser la question, d'agir avec deux poids deux mesures, de dérailler avec les conditions nationales et le stade de développement du pays, ou jouer avec la confrontation entre les camps, a noté Wang.

Il a ajouté que ces grands pays, en particulier, devraient montrer l'exemple en pratiquant le multilatéralisme, en respectant les buts et principes de la Charte des Nations Unies, en respectant le droit international et en protégeant l'équité et la justice internationales. L'institution multilatérale des droits de l'homme devrait devenir une scène de coopération et de dialogue, plutôt qu'un nouveau champ de bataille pour la division et la confrontation.

Dans leur discours, Mme Bachelet a félicité les réalisations de la Chine en matière de développement économique et de protection des droits de l'homme, et a salué le rôle positif de la Chine dans le soutien du multilatéralisme, la collecte de fonds pour le développement et le développement durable.

Bachelet a déclaré que le HCDH attache une grande importance au rôle de la Chine dans les droits de l'homme et espère que la visite pourra renforcer la compréhension et la confiance mutuelles afin de répondre aux défis mondiaux et de stimuler ensemble le développement international des droits de l'homme.

La nouvelle de la visite de Bachelet en Chine a attiré une large attention, alors que les forces anti-chinoises aux États-Unis et dans certains pays occidentaux ont intensifié leurs efforts pour faire la publicité des accusations sans fondement de « génocide » contre la région chinoise du Xinjiang, qui ont été réfutées à plusieurs reprises par la Chine.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, lors de la conférence de presse de mardi, a critiqué les récents commentaires du porte-parole du département d'État américain et de l'ambassadeur britannique en Chine, soulignant que leur véritable intention de mettre en scène une farce politique en relation avec la visite de Bachelet n'est jamais de se soucier de la vérité mais faire du battage médiatique sur les soi-disant problèmes liés au Xinjiang afin qu'ils puissent salir la Chine.

Wang Wenbin a noté qu'avant la visite de Bachelet, certains pays, dont les États-Unis et le Royaume-Uni, faisaient pression sur le Haut-Commissaire des Nations Unies pour qu'il mène une "enquête" au Xinjiang sur la base d'une présomption de culpabilité, et lorsque Bachelet est arrivée en Chine, ces pays avaient l'intention de créer toutes sortes de obstacles pour pointer du doigt la visite de Bachelet.

Se soucient-ils des droits de l'homme ou considèrent-ils simplement les droits de l'homme comme une question qui peut être politisée, militarisée et instrumentalisée ? Ce qui les inquiète vraiment, c'est que lorsque le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme verra la situation réelle au Xinjiang, leurs mensonges et rumeurs fabriqués seront détruits et leur tentative de contenir la Chine avec des problèmes liés au Xinjiang fera faillite, a noté Wang Wenbin.

Le "mensonge du siècle" inventé par ces forces aux arrière-pensées sur le Xinjiang est un véritable reflet des violations des droits de l'homme commises par les États-Unis et le Royaume-Uni. Il est temps pour eux d'affronter et de corriger leurs propres problèmes systémiques chroniques de droits de l'homme, a déclaré Wang Wenbin, appelant l'ONU à faire une évaluation objective des problèmes de droits de l'homme aux États-Unis et au Royaume-Uni et à soumettre les rapports correspondants.

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   Posté le 26-05-2022 à 14:23:22   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Xi Jinping rencontre la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme Michelle Bachelet

Source : Xinhuanet 2022-05-25 14:20:22

http://www.qstheory.cn/yaowen/2022-05/25/c_1128682426.htm
Source : Xinhua 2022-05-25 14:20:22
BEIJING, 25 mai (Xinhua) -- Le président Xi Jinping a rencontré par vidéo la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Michelle Bachelet, à Beijing le 25 mai.

Xi a souhaité la bienvenue à Mme Bachelet en Chine et, dans le contexte de l'histoire et de la culture chinoises, a présenté un compte rendu approfondi des principales questions concernant le développement de la cause des droits de l'homme en Chine et a exprimé la position de principe selon laquelle le Parti et le gouvernement chinois s'engagent à sauvegarder et à protéger les droits de l'homme sur tous les fronts. Xi a souligné que depuis le jour de sa naissance, le Parti communiste chinois s'est donné pour mission originelle d'œuvrer pour le bonheur du peuple chinois et le rajeunissement de la nation chinoise, et qu'il se bat pour les intérêts du peuple depuis plus de 100 ans. L'aspiration du peuple à une vie meilleure est le but de notre lutte. Après une lutte longue et ardue, la Chine a réussi à développer une voie de développement des droits de l'homme conforme à la tendance de l'époque et adaptée à ses conditions nationales. Nous avons continué à développer la démocratie populaire dans son intégralité, à promouvoir la protection des droits de l'homme dans le cadre de l'État de droit et à sauvegarder la justice sociale, et le peuple chinois a bénéficié de droits démocratiques plus larges, plus complets et plus exhaustifs. Les droits de l'homme du peuple chinois ont été sauvegardés comme jamais auparavant.

Xi Jinping a souligné qu'il n'y a pas de meilleure protection des droits de l'homme, mais seulement une meilleure. La Chine est disposée à s'engager activement dans le dialogue et la coopération en matière de droits de l'homme avec toutes les parties sur la base de l'égalité et du respect mutuel, à élargir le consensus, à réduire les différences, à apprendre les uns des autres et à réaliser des progrès communs, afin de faire progresser conjointement la cause internationale des droits de l'homme dans l'intérêt de tous les peuples. À l'heure actuelle, le plus important est de bien faire quatre choses.

La première est d'adhérer au peuple comme centre. Nous devons prendre les intérêts du peuple comme point de départ et point d'ancrage, nous occuper constamment des intérêts les plus directs et les plus réalistes du peuple, et nous efforcer de permettre au peuple de mener une vie heureuse, ce qui est le plus grand droit de l'homme. La bonne ou mauvaise situation des droits de l'homme dans un pays dépend de la sauvegarde des intérêts de sa population et du renforcement de son sentiment d'accès, de bonheur et de sécurité. Nous devons laisser le peuple être véritablement maître chez lui et devenir les principaux participants, promoteurs et bénéficiaires du développement des droits de l'homme.

Deuxièmement, nous devons respecter la voie de développement des droits de l'homme de chaque pays. Les droits de l'homme sont historiques, concrets et réalistes, et chaque pays a des conditions nationales différentes, des différences historiques et culturelles, des systèmes sociaux et des niveaux de développement économique et social. Ils doivent et peuvent donc uniquement explorer leur propre voie de développement des droits de l'homme à la lumière de leurs propres réalités et des besoins de la population. S'écarter de la réalité et copier en gros le modèle de système d'autres pays ne sera pas seulement inacceptable, mais entraînera également des conséquences désastreuses et, en fin de compte, les masses populaires en souffriront. Il existe de nombreux exemples à cet égard, et nous devrions en tirer des leçons.

Troisièmement, nous devons trouver un équilibre entre tous les types de droits de l'homme. Les droits de l'homme sont complets et riches en connotations, et doivent être abordés de manière globale et promus de manière systématique. Pour les pays en développement, le droit à la survie et au développement est le premier droit de l'homme. Il convient de s'efforcer de parvenir à un développement de meilleure qualité, plus efficace, plus équitable, plus durable et plus sûr, de manière à assurer une protection solide au développement des droits de l'homme.

Quatrièmement, nous devons renforcer la gouvernance mondiale des droits de l'homme. La promotion et la protection des droits de l'homme sont une cause pour toute l'humanité et nécessitent les efforts conjoints de tous. Il n'existe pas de "pays idéal" parfait en matière de droits de l'homme, et il n'y a pas besoin d'un "professeur" qui dise aux autres pays ce qu'ils doivent faire, sans parler de la politisation et de l'instrumentalisation des questions relatives aux droits de l'homme, de la pratique du "deux poids, deux mesures" et de l'utilisation des droits de l'homme comme excuse pour s'immiscer dans les affaires intérieures des autres pays. Nous devons respecter les objectifs et les principes de la Charte des Nations unies, promouvoir les valeurs communes à toute l'humanité et pousser la gouvernance mondiale des droits de l'homme dans une direction plus équitable, plus juste, plus raisonnable et plus inclusive. La Chine continuera à soutenir les Nations unies dans leurs efforts positifs pour promouvoir la cause des droits de l'homme internationaux.

Mme Bachelet a exprimé sa gratitude à la partie chinoise pour avoir accueilli ma visite en Chine malgré les difficultés de l'épidémie. J'admire les efforts et les réalisations de la Chine en matière d'éradication de la pauvreté, de protection des droits de l'homme et de développement économique et social, et j'apprécie le rôle important qu'elle a joué dans le maintien du multilatéralisme, la résolution des problèmes mondiaux tels que le changement climatique et la promotion du développement durable à l'échelle mondiale. Le Bureau est prêt à renforcer la communication et la coopération avec la Chine et à déployer des efforts conjoints pour promouvoir la cause mondiale des droits de l'homme.

Ding Xuexiang, Yang Jiechi et Wang Yi (à Guangzhou) ont participé à la réunion.

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La chef des droits de l'homme de l'ONU appelée à voir objectivement le développement du Xinjiang malgré la pression américaine

Par les journalistes du personnel de GT
Publié : 25 mai 2022 23:11

https://www.globaltimes.cn/page/202205/1266569.shtml

Alors que la chef des droits de l'homme de l'ONU, Michelle Bachelet, est sur le point de se rendre dans la région du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, le gouvernement américain et les forces anti-chinoises ont pris des mesures actives - soit en s'opposant à la visite, soit en publiant un soi-disant document divulgué du Xinjiang pour faire de Bachelet leur marionnette, négliger ce qu'elle verra au Xinjiang et tirer la conclusion d'un "génocide" avec leurs récits.

Les analystes ont appelé le chef de l'ONU à maintenir la ligne de fond de la justice et à voir objectivement le développement du Xinjiang.

Le président chinois Xi Jinping s'est entretenu mercredi par liaison vidéo avec Bachelet. Xi a parlé du développement des droits de l'homme en Chine et a souligné que chaque pays devrait être autorisé à explorer des voies appropriées de développement des droits de l'homme en fonction des réalités nationales et a mis en garde contre certains pays qui donnent des leçons aux autres sur les droits de l'homme, politisent la question et l'utilisent comme un outil pour appliquer doubles standards.

Bachelet a remercié Xi pour avoir accueilli sa visite malgré le défi COVID. Bachelet a déclaré qu'elle aura de nombreux engagements et une communication directe avec le gouvernement chinois et les gens de différents secteurs au cours de ce voyage pour mieux comprendre la Chine.

Mme Bachelet a également exprimé son admiration pour les efforts de la Chine pour éliminer la pauvreté, protéger les droits de l'homme et réaliser le développement économique et social, ainsi que pour ses efforts pour défendre le multilatéralisme, faire face aux défis mondiaux tels que le changement climatique et promouvoir le développement durable dans le monde.

Le voyage de Bachelet est le premier en Chine d'un haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme depuis 2005.

Parallèlement au séjour de Bachelet en Chine, les États-Unis et certaines forces anti-chinoises entament une nouvelle vague de désinformation contre la politique chinoise au Xinjiang et font pression sur les droits de l'homme de l'ONU. chef.

Le porte-parole du département d'État américain, Ned Price, a déclaré mardi lors d'un point de presse que c'était une "erreur" pour Bachelet de se rendre en Chine, affirmant que les États-Unis ne s'attendent pas à ce que la Chine accorde l'accès nécessaire pour "conduire une évaluation complète et non manipulée de l'environnement des droits de l'homme » au Xinjiang.

En réponse, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a déclaré mercredi que l'accueil de la visite de Bachelet par la Chine avait été cohérent et que ce sont les États-Unis qui ont été changeants sur la question - c'est celui qui a sauté le plus haut pour exiger que Bachelet se rende en Chine et maintenant il est la voix la plus forte pour s'opposer à la visite.

Pourquoi les États-Unis sont-ils si changeants ? La réponse est simple : ils craignent que ses mensonges sur le « génocide » ou le « travail forcé » dans la région du Xinjiang ne soient démystifiés et c'est pourquoi ils multiplient les mensonges pour salir la Chine et induire en erreur la communauté internationale, a déclaré Wang, notant que peu importe combien de mensonges les États-Unis ont faits, la prospérité et la vie heureuse des résidents locaux ne peuvent être dissimulées.

Les États-Unis tentent d'entraîner Bachelet à suivre le récit des États-Unis au Xinjiang, ainsi que le dernier battage médiatique des forces anti-chinoises sur les sujets du Xinjiang, a déclaré Jia Chunyang, expert aux Instituts chinois des relations internationales contemporaines, au Global Times.

Les États-Unis font pression sur Bachelet pour qu'elle agisse comme sa marionnette et néglige ce qu'elle voit dans la région pour tisser la conclusion d'un "génocide", ont déclaré des analystes, soulignant que les États-Unis sont le seul pays qui accuse publiquement la Chine de "génocide" et a interdit tous les produits du Xinjiang.

Parallèlement à la visite de Bachelet en Chine, le célèbre colporteur de rumeurs Adrian Zenz et un groupe de médias occidentaux ont publié des rapports sur des soi-disant fuites de fichiers de police et ont lancé une politique de "tirer pour tuer" envers les groupes ethniques de la région.

Cependant, en lisant les fichiers téléchargés en ligne par Zenz, les experts ont découvert que Zenz avait utilisé ses anciennes tactiques, notamment en interprétant mal les discours et en mélangeant des exercices antiterroristes de la police locale avec des opérations policières.

Certains internautes étrangers ont également souligné que des caractères chinois traditionnels qui ne sont pas couramment utilisés en Chine continentale figuraient dans certains documents, ce qui faisait allusion à la forte possibilité de contrefaçon.

Malgré l'interview de Zenz avec la BBC disant que ces fichiers sont "non expurgés" et "bruts", certains internautes l'ont surpris pour avoir examiné les documents mercredi et des modifications ont été apportées après que certaines failles aient été repérées par les internautes. De plus, un internaute "Yang Weili", qui a téléchargé les documents que Zenz a téléchargés en ligne, a publié des captures d'écran des attributs du fichier et a découvert que les documents avaient été modifiés par de nombreuses personnes, dont Zenz et Ilshat Kokbore.

Ilshat Kokbore est le président de l'Uyghur American Association (UAA),, un réseau soutenu par les États-Unis cherchant à séparer la région du Xinjiang de la Chine.

Jia a souligné que ce n'était pas la première fois que l'on assistait à une coopération aussi rapide et harmonieuse entre les universitaires anti-chinois, les médias et les politiciens américains.

C'est le vieux livre de jeu des États-Unis de se préparer à tout résultat qui irait à l'encontre de ses allégations. Des scénarios similaires se sont produits lorsqu'elle a fait pression sur l'OMS pour qu'elle se rende à Wuhan pour le traçage des origines du coronavirus et lorsque les conclusions des experts ne correspondaient pas à ses attentes, elle s'est opposée aux visites et a nié les résultats, Wang Jiang, éminent chercheur à l'Institut pour la région frontalière de la Chine, l'Université normale du Zhejiang, a déclaré au Global Times.

Mais les États-Unis devraient préciser une chose : soit l'invitation de la Chine à Bachelet, soit la décision de Bachelet de se rendre en Chine a été motivée par la pression américaine. Il s'agit d'une visite pour une meilleure communication et basée sur le respect mutuel, a déclaré Wang Jiang, notant que l'ouverture et la transparence de la Chine sur la région du Xinjiang sont cohérentes avec divers rapports, documentaires et livres blancs sur la région.

Selon les données du gouvernement régional du Xinjiang, depuis la fin de 2018, la région a invité plus de 2 000 personnes de plus de 100 pays à visiter et en 2021, malgré la COVID-19, la région a reçu plusieurs groupes de médias étrangers.

Certains visiteurs étrangers ont exprimé leur surprise après avoir vu les développements dans la région et beaucoup de ceux qui connaissaient la grave situation précédente en matière de lutte contre le terrorisme se sont également réjouis de voir les changements fondamentaux dans la région.

Le développement rapide du Xinjiang a mis en évidence la voie suivie par la Chine en matière de droits de l'homme en plaçant les personnes au centre et en faisant bénéficier les résidents locaux des développements sociaux. Après des efforts ardus pour lutter contre le terrorisme, les habitants du Xinjiang jouissent de la stabilité et de la prospérité, a déclaré Wang Jiang, notant que les développements dans la région impressionneront ceux qui ne sont jamais venus ou qui ont des malentendus à ce sujet.

L'experte a exprimé l'espoir que la chef des droits de l'homme de l'ONU ait une évaluation objective lors de son voyage et tire des conclusions justifiées et justes sans être induite en erreur ou sous la pression d'autres pays ou forces.

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   Posté le 30-05-2022 à 16:26:15   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Le chef des droits de l'homme de l'ONU conclut sa visite en Chine après de larges interactions avec tous les secteurs
L'accusation de "manipulation" des États-Unis est mise à nu. Et cela montre qu'ils se soucient de la politique, pas des droits de l'homme

Par
Liu Xin
Publié : 29 mai 2022 22:20
https://www.globaltimes.cn/page/202205/1266844.shtml


Le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré la chef des droits de l'homme de l'ONU Michelle Bachelet à Guangzhou le lundi.

La chef des droits de l'homme de l'ONU, Michelle Bachelet, a terminé sa visite de six jours en Chine , y compris dans la région du Xinjiang, mais sa déclaration qui a mis en évidence les vastes interactions de son équipe avec des personnes de différents secteurs en Chine et les progrès accomplis dans la facilitation des échanges futurs entre Pékin et Genève a semblé avoir déçu les États-Unis. Pendant ce temps, les forces anti-chinoises qui tentent d'utiliser la visite pour justifier l'allégation de "génocide" contre la Chine tentent maintenant de nier la visite de Bachelet et attaquent la Chine pour avoir "manipulé" son voyage à des fins de propagande.

De telles attaques éhontées à la fois contre le Haut-Commissaire des Nations Unies et contre la Chine montrent clairement que cette communauté internationale tente de manipuler le Haut-Commissariat des Nations Unies, ont déclaré des analystes, notant que l'allégation de "génocide" au Xinjiang est absolument ridicule et a été fabriquée à des fins politiques. Ni la visite de Bachelet ni les visites de quiconque défendant la vérité ne mettront fin au battage publicitaire des forces américaines et anti-chinoises sur la question.

Samedi soir, Bachelet a tenu une conférence de presse pour publier une déclaration sur sa visite de six jours en Chine, au cours de laquelle elle a noté que pour la première fois en 17 ans, un haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme s'est rendu en Chine et s'est entretenu directement avec les plus hauts responsables du gouvernement et d'autres interlocuteurs sur les questions clés des droits de l'homme en Chine et dans le monde.

Pendant le séjour de Bachelet, le président chinois Xi Jinping a eu une réunion vidéo avec elle et a parlé de questions clés relatives aux droits de l'homme le 25 mai, et le 23 mai, le conseiller d'État et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré Bachelet à Guangzhou, dans la province du Guangdong.

Lors de son voyage dans la région chinoise du Xinjiang, Bachelet a déclaré lors de la conférence de presse qu'ils avaient visité la prison de Kashi et un centre d'enseignement et de formation professionnels qui avait été démantelé, et qu'ils avaient parlé à d'anciens stagiaires. Ils ont également communiqué avec des organisations de la société civile, des universitaires et des chefs communautaires et religieux. Lors de ses entretiens avec des responsables gouvernementaux, le responsable de l'ONU a fait part de ses inquiétudes quant à l'application des mesures de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation.

Samedi, le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Ma Zhaoxu a déclaré aux médias que la visite de Bachelet avait été l'occasion d'observer et de découvrir de première main le vrai Xinjiang au milieu de nombreux mensonges sensationnels racontés par certains pays occidentaux et des éléments anti-chinois prétextant le Xinjiang pour contenir la Chine.

Les nuages ne peuvent pas éclipser le soleil, et la vérité démystifiera tous les mensonges, a souligné Ma, ajoutant qu'en termes de protection des droits de l'homme, personne ne peut prétendre être parfait et qu'il y a toujours place à l'amélioration. La Chine suivra inébranlablement la voie du développement des droits de l'homme qui convient à ses conditions nationales, a-t-il ajouté.


Farce américaine

Lors de la conférence de presse, Bachelet a réitéré que son voyage en Chine n'était "pas une enquête", et a noté que toutes leurs rencontres avec les habitants de la région du Xinjiang étaient "non supervisées" et "organisées par nous-mêmes".

La visite de Mme Bachelet dans la région du Xinjiang n'est qu'une partie des efforts du Haut-Commissaire pour parler à un large éventail de personnes, des hauts fonctionnaires aux citoyens ordinaires, pour en savoir plus sur la Chine et pour faciliter les interactions futures entre Pékin et Genève, a déclaré au Global Times Wang Jiang, un éminent chercheur à l'Institut des régions frontalières de Chine de l'Université normale du Zhejiang.

Cependant, les États-Unis ont ignoré le sens du voyage et se sont concentrés uniquement sur des sujets concernant le Xinjiang, exprimant leur opposition après avoir constaté que la déclaration de Bachelet ne correspondait pas à son allégation de "génocide". "Maintenant, nous pouvons voir qui essaie de manipuler le haut-commissaire", a déclaré Wang Jiang.

Quelques heures après que Bachelet ait publié sa déclaration sur sa visite en Chine et dans sa région du Xinjiang, et fait état samedi de son expérience de discussions "non supervisées" et ouvertes avec un large éventail de personnes dans la région, le secrétaire d'État américain Antony Blinken a publié une déclaration pour exprimer ses "préoccupations" sur les "efforts de la Chine pour restreindre et manipuler" la visite de Bachelet et a également affirmé qu'un "génocide" était en cours dans la région.

Les analystes ont qualifié les remarques de Blinken de pratiques habituelles après qu’il ait échoué à faire pression sur le chef des droits de l'homme de l'ONU pour en faire une marionnette américaine et soutienne son allégation de "génocide" contre la région du Xinjiang. Ils ont souligné que répéter les mensonges des forces anti-chinoises soutenues par les États-Unis ne rendra pas ces mensonges plus réels, mais cela ne fait qu'exposer l’utilisation malveillante des sujets relatifs aux droits de l'homme pour attaquer la Chine.
Ils ont noté que les "préoccupations" de Blinken énumérées dans la déclaration ont été exposées comme des mensonges et de la désinformation et ont été démystifiées par des universitaires, des médias et le gouvernement chinois. Par exemple, l'allégation de plus d'un million de personnes "détenues".
Jeffrey Sachs, professeur d'économie à l'Université de Columbia à New York et également conseiller principal de l'ONU, a écrit dans un e-mail au Global Times que la mission de Bachelet à l'ONU "ne devrait pas être attaquée ou critiquée par le gouvernement des États-Unis avant même que le voyage n'ait lieu !"
Il a déclaré que les questions liées à la Déclaration universelle des droits de l'homme devraient être abordées dans le cadre des processus de l'ONU et " non utilisées pour aggraver les tensions géopolitiques" .
La déclaration de Blinken n'est que la dernière farce que les États-Unis et certaines forces anti-chinoises ont créée récemment. Avant et pendant la visite de Bachelet en Chine, ils ont exprimé leur opposition à sa visite - un revirement aux précédents appels véhéments à une visite dans la région - et affirmé que la "crédibilité" de la chef des droits de l'homme est en jeu car elle serait "dupée" par La Chine est utilisée comme un "outil de propagande". Certains ont également exhorté le Haut-Commissariat à publier son rapport sur les "violations des droits de l'homme" dans la région chinoise du Xinjiang.
Depuis l'année dernière, les forces anti-chinoises, en particulier le Congrès mondial ouïghour soutenu par les États-Unis, ont rassemblé des dizaines d'organisations pour faire pression sur le Haut-Commissariat afin qu'il fasse enquête sur le "génocide" sur une liste fournie par le "Tribunal ouïghour" - une autre farce organisé par le WUC, que les analystes ont critiqué pour avoir des objectifs politiques forts.

Le Haut-Commissariat dispose de son propre fonctionnement indépendant. En partant du principe que la souveraineté de la Chine doit être respectée, il y a quelques questions liées au Xinjiang chinois. Zhu Ying, professeur à l'Institut Baize de l'Université de sciences politiques et de droit du Sud-Ouest a déclaré au Global Times que des rapporteurs spécialisés et des experts travaillent au sein d’une équipe de coordination pour évaluer les politiques ethniques et religieuses de la Chine, et les mesures de lutte contre le terrorisme et la déradicalisation.

Les rapporteurs n'ont rien trouvé qui ressemble à un "génocide" au Xinjiang. Les pays occidentaux et les États-Unis ont peut-être vu le rapport, c'est pourquoi ils ont lancé de telles attaques contre la Chine, tentant de clouer l'allégation de "génocide" contre la Chine en mettant en avant des individus prétendument disparus ou le "travail forcé", a déclaré Zhu.

Mais les médias occidentaux ne peuvent pas représenter l'opinion publique internationale ni manipuler le Haut-Commissaire, a déclaré Zhu, notant que Bachelet a tenu la conférence de presse en ligne pour rejeter la désinformation rampante et a également réitéré la position et les fonctions du Haut-Commissaire.
« Vous ne pouvez pas trouver quelque chose qui n'existe pas ! Il n'y a pas de génocide dans le Xinjiang chinois et quiconque fait pression sur Bachelet pour qu'elle « fouille les poubelles » dans la région utilise en fait le haut-commissaire comme un outil politique » , a déclaré à Global Times Chang Jian, directeur de la recherche au Center for Human Rights de l'Université Nankai de Tianjin.

Chang a noté que Mme Bachelet avait fait part de ses inquiétudes quant à la recherche d'un équilibre entre la lutte contre le terrorisme et la protection des droits de l'homme, et la Chine lui a également expliqué les mesures prises par la Chine dans ce domaine et les raisons qui les sous-tendent.
"Alors que la communauté internationale explore de meilleures voies dans ce domaine, la Chine est toujours à l'écoute des voix des autres. Mme Bachelet offre des conseils en tant que haut-commissaire, ce qui est une bonne occasion d'avoir une meilleure communication et de promouvoir la protection des droits de l'homme, mais les États-Unis ne l'admettront jamais », a déclaré Chang.

Dans la déclaration de samedi, Mme Bachelet a mentionné les "énormes réalisations de la Chine" en matière de réduction de la pauvreté et d'éradication de l'extrême pauvreté, ainsi que ses efforts en faveur de l'Agenda multilatéral 2030 et des Objectifs de développement durable, tant au niveau national qu'international.
La Haut-Commissaire a également noté que son bureau et la Chine avaient convenu d'établir un dialogue régulier et de créer un groupe de travail pour faciliter les échanges et la coopération de fond.

Les analystes ont noté que la visite de Bachelet est un bon début pour que la Chine et le Haut-Commissaire aient une communication plus franche et pour que les responsables de l'ONU acquièrent une meilleure compréhension de la région du Xinjiang. Cependant, c'est ce que les forces américaines et anti-chinoises ne veulent pas voir et elles pourraient salir davantage la Chine après la visite de Bachelet.

Alors que les États-Unis prêtaient une attention particulière à la visite de Bachelet dans le Xinjiang en Chine, une tragédie provoquée par une fusillade dans une école primaire américaine, tuant au moins 19 enfants, a révélé le grave racisme et les violations des droits de l'homme aux États-Unis.
Bachelet a déclaré lors de la conférence de presse que le meurtre au Texas était très triste. Cela montre que le problème n'a pas été résolu et que tout le monde devrait continuer à lutter contre la discrimination raciale."

Wang Jiang a noté qu'il est également ironique et ridicule de voir les "préoccupations" de Blinken concernant les personnes vivant dans le Xinjiang en Chine, une région éloignée des États-Unis, mais ne prenant pas le temps de s'occuper des graves violations des droits de l'homme aux États-Unis ou même de protéger les Américains. enfants.
"Quand ils ne peuvent pas assurer la sécurité des enfants, comment les États-Unis peuvent-ils se qualifier de pays civilisé et pointer du doigt les droits de l'homme des autres pays ? " demanda-t-il.

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