Sujet : émeutes ethniques au Xinjiang | | Posté le 07-07-2009 à 23:33:31
| La presse bourgeoise "très préoccupée" par les émeutes au Xinjiang , en oublierait presque l’enterrement en grandes pompes de Michael Jackson. selon l’AFP le 07/07/2009 L'Union européenne, "très préoccupée" par les troubles ethniques dans la région du Xianjiang en Chine, a appelé aujourd'hui "toutes les parties" à la retenue. "L'UE se déclare profondément préoccupée par les troubles survenus dans la région du Xinjiang en Chine. Elle déplore la perte de vies humaines et exprime sa sympathie aux familles des victimes", a déclaré la présidence suédoise de l'UE dans un communiqué. "L'UE lance un appel à toutes les parties pour qu'elles fassent preuve de retenue et demande que la situation trouve un dénouement pacifique", a-t-elle ajouté, réclamant aussi le respect des droits des personnes en détention. De quoi je me mêle ? L’UE se croirait-elle devenue le nouveau gendarme du monde pour donner des conseils à un pays étranger ? Quand on sait l’empressement de l’UE à promouvoir ou à soutenir dissidences, coups d’état, émeutes et autres « révolutions colorées » en dehors de la bergerie occidentale, le cynisme de sa compassion n’a pas de bornes. En particulier, les medias ont mis en avant la thèse d’une manifestation pacifique violemment réprimée par la police. Sur l’origine des troubles ethniques dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang :
Arrestations et explications suite aux émeutes au Xinjiang PUBLIÉ LE 07/07/2009 À 06:51 | © 2009 XINHUA / CHINE INFORMATIONS La police a arrêté 15 suspects liés au conflit survenu dans une usine du sud de la Chine qui a provoqué les émeutes meurtrières dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest) dimanche. Treize hommes, dont trois natifs du Xinjiang, ont été arrêtés pour avoir participé au conflit survenu entre des ouvriers dans une usine de jouets le 26 juin à Shaoguan, dans la province du Guangdong, a déclaré Liu Guoqiang, directeur adjoint du bureau de la sécurité publique de Shaoguan. Les deux autres hommes ont été arrêtés pour avoir diffusé sur internet des rumeurs selon lesquelles des employés originaires du Xinjiang avaient violé deux ouvrières de l'usine, a-t-il fait remarquer. La plupart des personnes arrêtées sont originaires du Guangdong. Plus de 400 agents de police sont toujours à la recherche d'autres suspects. Des officiels du gouvernement ont déclaré que le conflit de l'usine avait servi de prétexte aux émeutes à Urumqi, chef-lieu du Xinjiang, qui ont fait au moins 156 morts et plus de 1 000 blessés. Un officiel du Xinjiang a déclaré mardi que l'excès de main d'oeuvre de la région continuerait à rechercher du travail au Guangdong comme auparavant, soulignant qu'un événement tel que le conflit de l'usine n'affecterait pas la politique générale de l'emploi de la région. "Outre Shaoguan, de nombreuses villes côtières offrent également des opportunités d'emploi aux travailleurs migrants du Xinjiang et l'environnement professionnel y est toujours stable et normal", a déclaré Abdukeyum Muhammat, secrétaire adjoint du Comité du Parti communiste chinois (PCC) pour la préfecture de Kanji du Xinjiang. Des officiels du Xinjiang, à la tête d'une équipe de travail, sont arrivés à Shaoguan le 27 juin suite au conflit de l'usine. URUMQI, 6 juillet (Xinhua) -- Le bilan s'est alourdi à 140 morts dans les émeutes de dimanche soir à Urumqi, chef-lieu de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest), a annoncé lundi le gouvernement régional. Cinquante-sept personnes ont trouvé la mort sur place et les autres sont décédées plus tard à l'hôpital, a annoncé Liu Yaohua, chef de la police régionale, lundi lors d'une conférence de presse. D'après lui, le bilan des morts pourrait s'alourdir davantage. Au moins 828 personnes ont été blessées dans les émeutes survenues dimanche soir. Les émeutiers ont brûlé 261 véhicules à moteur dont 190 bus et au moins 10 taxis et deux voitures de police, a déclaré Liu. A 9H00 ce matin, plusieurs véhicules étaient toujours en feu dans les rues de la ville. Selon une enquête préliminaire, 203 magasins et 14 maisons ont été détruits dans les émeutes. La police a arrêté des centaines de personnes liées aux émeutes, dont 12 soupçonnées d'avoir attisé les violences dimanche soir, a précisé Liu. La police est toujours à la recherche de 90 suspects dans la ville. "La police a renforcé la sécurité dans les rues du centre-ville d'Urumqi ainsi que dans les bureaux des compagnies de gaz et d'électricité et des chaînes télévisées afin de prévenir des émeutes de grande envergure." Des postes de contrôle ont été établis dans les principaux secteurs de la ville ainsi que dans les préfectures voisines de Changji et de Turpan, afin de bloquer toute tentative de fuite, a indiqué Liu. Il a ajouté que plus de 100 responsables ethniques des régions adjacentes avaient été transférés à Urumqi afin d'interroger les suspects, en accord avec la loi.
Les violences à Urumqi ne sont pas une manifestation pacifique, indique le ministère chinois des A.E. BEIJING, 7 juilllet (Xinhua) -- Les violences survenues dimanche dans la Région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest) ne sont pas une manifestation pacifique mais "des meurtres, des pillages et des incendies diaboliques", a déclaré mardi Qin Gang, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. "Tout individu qualifiant les émeutes de manifestation pacifique essaie de confondre le noir et le blanc afin de tromper le public," a déclaré M. Qin, lors d'une conférence de presse régulière. Plus de 150 personnes sont mortes et environ 1 000 autres ont été blessées suite aux émeutes de dimanche soir à Urumqi, chef-lieu du Xinjiang. La police du Xinjiang a annoncé lundi disposer de preuves indiquant que la séparatiste et leader du Congrès mondial ouïgour Rebiya Kadeer avait fomenté les émeutes. Rebiya Kadeer, ancienne femme d'affaires chinoise, avait été arrêtée en 1999 pour atteinte à la sécurité de l'Etat. Elle avait été mise en liberté sous caution pour recevoir un traitement médical aux Etats-Unis. "Rebiya Kadeer est aussi impliquée dans de graves crimes économiques", a fait savoir M. Qin. Avant son départ pour les Etats-Unis, Rebiya avait promis de ne pas s'engager dans des activités portant atteinte à la sécurité de l'Etat. Grâce aux démarches du Bureau de l'Information du Conseil des Affaires d'Etat (gouvernement chinois), environ 60 journalistes étrangers se trouvaient au Xinjiang pour couvrir cet événement après les émeutes de dimanche. "La Chine a adopté une attitude ouverte et transparente, aidant les journalistes chinois et étrangers à couvrir les nouvelles au Xinjiang" , a souligné M. Qin, qui a souhaité que les médias rapportent la vérité de manière équitable. M. Qin a aussi recommandé aux journalistes de respecter les lois et les règlements concernés et de prêter attention à leur propre sécurité.
Punitions sévères pour les émeutiers Publié le 2009-07-07 15:06:27 | French. News. Cn URUMQI, 7 juillet (Xinhua) -- Un officiel du Xinjiang s'est engagé mardi à punir sévèrement les personnes impliquées dans les "émeutes les plus meurtrières depuis la fondation de la nouvelle Chine en 1949" . Les émeutes de dimanche à Urumqi ont fait 156 morts et plus de 1 000 blessés, soit le plus grand nombre de victimes dans un tel incident en six décennies. "Les émeutiers ont enfreint les lois tout en faisant du tort aux intérêts fondamentaux de tous les groupes ethniques de la Chine," a déclaré Li Zhi, chef du comité du Parti communiste chinois (PCC) pour Urumqi. La police du Xinjiang a arrêté 1 434 suspects suite aux émeutes meurtrières de dimanche, dont 1 379 hommes et 55 femmes. Les suspects n'ayant pas de casier judiciaire seront relâchés, mais la police continue de rechercher ceux qui sont toujours en fuite.
Edité le 07-07-2009 à 23:38:25 par Xuan |
| | Posté le 09-07-2009 à 07:41:00
| Lu sur http://www.michelcollon.info/index.php?option=com_content&view=article&id=2197:xinjiang-et-tibet-du-pareil-au-meme&catid=6:articles&Itemid=11 le site de Michel Collon L'info décodée : Mercredi, 08 Juillet 2009 16:12 Xinjiang et Tibet : du pareil au même Jean-Paul Desimpelaere Le dimanche 5 juillet 2009, de violentes émeutes ont secoué les rues d’Urumqi, capitale de la province chinoise du Xinjiang. Elles ont causé la mort de 156 personnes et ont blessé plus d’un millier d’autres. Ces chiffres dépassent de loin ceux des émeutes à Lhassa en mars 2008. -------------------------------- Le 7 juillet 2009 Pourtant le caractère des émeutes est similaire : des bandes de personnes descendent dans les rues, cassent, mettent le feu aux boutiques et tabassent les gens. D’après la police chinoise, environ 1500 personnes ont été arrêtées. Nul ne contredira que des tensions sociales et ethniques existent en Chine, mais qu’elles soient utilisées dans un jeu géostratégique à échelle internationale n’est pas souvent mentionné par nos médias. Voici quelques réflexions à ce propos, et encore plus précisément à propos du « front uni dalaï-lama – Xinjiang ». Dans nombre d’interviews (e.a. dans son allocution au Parlement européen, le 4 avril 2008), le 14ème dalaï-lama se dit concerné de près par « la lutte des Ouïgours du Xinjiang ». Il nomme cette région le « Turkestan oriental » et estime qu’elle devrait devenir indépendante. Durant les dix dernières années, de nombreuses associations de défense pour l’indépendance du « Turkestan oriental » ont surgi en Occident. Le comité central se nomme « World Uyghur Congress » et siège à Munich, en Allemagne. Leur présidente vit aux Etats-Unis et est fière de pouvoir annoncer que leur mouvement a pu se développer grâce au soutien de la « National Endowment for Democracy » (NED), la sœur jumelle de la CIA, mais pour les opérations « pacifiques ». Dans le bilan financier de la NED figurent quatre organisations ouïgours d’opposition à la Chine qui, ensemble, ont officiellement reçu plus de 500.000 $ en 2008. Voilà donc le lien avec le dalaï-lama : ils ont les mêmes sponsors. De plus, ils se concertent : la première conférence de « l’alliance » (Tibet, Turkestan oriental, Mongolie du Sud) eut lieu à New York le 16 octobre 1998 et réunissait des bonzes de l’administration Clinton, des représentants du dalaï-lama, des Ouïgours et des Mongols. Pour l’occasion, le dalaï-lama avait écrit ce message : « nos trois peuples ont des liens historiques forts ; à présent ils sont réunis dans la lutte contre l’occupation chinoise. L’empire soviétique s’est désintégré et les différents peuples ont retrouvé leur liberté. Aussi, suis-je optimiste pour l’avenir de nos nations respectives ». Le but de tout ceci me paraît assez clair : attiser et sponsoriser des conflits ethniques qui régulièrement éclatent dans différentes régions de la Chine, afin de la briser, la faire exploser, à l’exemple de l’Union Soviétique. Source: Tibetdoc http://www.tibetdoc.eu/spip/spip.php?article129 |
| | Posté le 09-07-2009 à 08:44:46
| En France une cinquantaine de séparatistes a manifesté selon les médias bourgeois. Aux USA : 150
Manifestation de partisans des séparatistes du Xinjiang à Washington WASHINGTON, 8 juillet (Xinhua) --Environ 150 partisans des séparatistes du Xinjiang ont manifesté mardi devant l'ambassade chinoise dans la ville de Washington, dans le but d'obtenir un soutien à leurs activités séparatistes. Brandissant des drapeaux et criant "indépendance du Xinjiang", la foule, dirigée par Rebiya Kadeer, a défilé sur trois kilomètres entre DuPont Circle et l'ambassade chinoise à Washington mardi soir. Mme Rebiya, actuel dirigeant du mouvement séparatiste " Congrès mondial ouïgour", est suspectée d'avoir orchestré une émeute sanglante dimanche à Urumqi, capitale de la région autonome ouïgour du Xinjiang en Chine. Cette émeute a fait 156 morts et un millier de blessés. Selon la police chinoise, des éléments montrent que cette organisation a provoqué cette émeute en lançant sur Internet des appels aux Ouïgours les invitant à "être courageux" et à "faire quelque chose de grandiose". Lors de la manifestation de mardi, Mme Rebiya a prononcé un discours enflammé appelant les gouvernements étrangers à soutenir leur mouvement séparatiste. Cette manifestation, surveillée étroitement par les forces de police et de sécurité américaines, s'est dispersée après trois heures. Rebiya Kadeer, née en 1951 à Altaï au Xinjiang, a pris la tête du Congrès mondial ouïgour en 2006, et réside actuellement aux Etats-Unis. |
| | Posté le 09-07-2009 à 23:32:06
| La réaction du Comité Permanent du Bureau Politique du PCC après les émeutes du Xinjiang :
Xinjiang: Le président chinois réunit le Comité permanent du Bureau politique du Comité central du PCC BEIJING, 9 juillet (Xinhua) -- Le président chinois Hu Jintao a réuni mercredi soir le Comité permanent du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) pour évoquer les émeutes du Xinjiang. D'après un communiqué publié jeudi, il a été confirmé lors de cette réunion que la stabilité du Xinjiang était "de la première importance et de la première urgence" et que les coupables devaient être "sévèrement punis" en vertu des textes en vigueur. Pour cette réunion, le président Hu Jintao, qui est aussi secrétaire général du Comité central du PCC a été contraint d'écourter son voyage en Europe et il est rentré à Beijing dans l'après-midi de mercredi. Le gouvernement "sévira fermement contre ceux qui se sont rendus coupables de crimes graves, tels que ceux qui ont attaqué physiquement des personnes, les vandales, les pilleurs et les incendiaires" afin de maintenir la stabilité sociale et sauvegarder les intérêts fondamentaux de la population du Xinjiang, ajoute ce communiqué. Le Comité permanent a demandé aux autorités compétentes "d'isoler et de sévir contre la poignée de responsables et d'unifier et d'éduquer la majorité des masses populaires". "Les instigateurs, les organisateurs, les coupables et les criminels violents qui se sont manifestés dans les émeutes doivent être sévèrement punis conformément aux textes en vigueur", souligne le communiqué. "Ceux qui ont été incités à participer aux émeutes et qui ont été trompés par les séparatistes doivent être éduqués." Les émeutes meurtrières survenues le 5 juillet à Urumqi, capitale du Xinjiang, ont un contexte politique "profond", fait savoir le communiqué. Il s'agit d'un crime violent et grave fomenté et organisé par les "trois forces" intérieures et extérieures que sont le terrorisme, le séparatisme et l'extrémisme. Les émeutes ont causé d'importantes pertes à la population et a beaucoup nui à l'ordre et à la stabilité locaux, indique le communiqué. Le Comité permanent a demandé au gouvernement local de rendre visite aux familles endeuillées, aux blessés innocents et à ceux ayant perdu leurs biens, pour leur offrir le soutien et de l'aide nécessaires. Dans les émeutes du 5 juillet, au moins 156 personnes ont été tuées et plus de 1 000 blessées. |
| | Posté le 10-07-2009 à 13:19:25
| Plusieurs éléments tendent à prouver la responsabilité de Rebiya Kadeer dans les émeutes du Xinjiang [French China Org] Derrière les émeutes meurtrières qui ont éclaté au Xinjiang le 5 juillet et qui, selon les sources gouvernementales, auraient fait 156 morts et plus de 1 000 blessés, se cache le Congrès ouïgour mondial, mouvement séparatiste dirigé par Rebiya Kadeer. Des preuves révèlent que les émeutes ont été organisées. Selon certaines sources, elles auraient été instiguées et organisées par le Congrès ouïgour mondial dirigé par Kadeer. Le Congrès s'est servi de l'affrontement, qui a éclaté dans une usine de la province du Guangdong le 26 juin entre des travailleurs ouïgours et Hans et au cours de laquelle deux Ouïgours ont été tués, pour semer le chaos. Le 1er juillet, le Congrès a tenu une réunion spéciale au cours de laquelle il a comploté pour semer le trouble en envoyant des messages par le biais d'Internet, de téléphones et de téléphones mobiles. Le 4 juillet, des personnes à l'intérieur du pays ont commencé à répandre sur Internet des messages encourageant la population à se rendre, le 5 juillet, sur la Place du Peuple d'Urumqi, capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, pour protester et soutenir les séparatistes vivant à l'étranger. Le 5 juillet à 1h06 du matin, la police d'Urumqi a été informée que certaines personnes diffusaient des informations illégales, appelant à un rassemblement le 5 juillet à 19 h sur la Place du Peuple. D'après des enregistrements téléphoniques, le 5 juillet à 11 h du matin, Kadeer aurait déclaré lors d'une conversation avec son jeune frère vivant à Urumqi : « Beaucoup de choses se sont passées, et nous savons tous que quelque chose va se produire à Urumqi demain soir ». Le 6 juillet, Kadeer a tenu une réunion d'urgence avec certains hauts membres du Congrès afin de mettre en place une stratégie, l'objectif étant de provoquer des manifestations à la fois en Chine et à l'étranger et de demander l'intervention des gouvernements étrangers et des institutions des droits de l'homme. Leurs manigances se sont immédiatement concrétisées, le lundi matin, par l'attaque du consulat de Chine à Munich (Allemagne) et l'après-midi, par les violences perpétrées par près de 150 séparatistes devant l'ambassade de Chine aux Pays-Bas. Tous ces faits accusent Kadeer, dont le parcours personnel comporte des preuves de son implication dans le mouvement séparatiste. Kadeer a été élue en 2006 présidente du Congrès, qui a été fondé en 2004 à Munich. Selon le gouvernement le Congrès, organisation qui prétend représenter les intérêts du peuple du Turkestan oriental, se consacre entièrement à l'organisation d'activités sécessionnistes au nom des droits de l'homme et de la démocratie. Née au Xinjiang en 1951, Kadeer, ancienne femme d'affaires, a illégalement fait fortune dans les années 1980 grâce à des évasions fiscales et à des fraudes. Elle fut condamnée à 8 ans d'emprisonnement en 2000 pour avoir illégalement divulgué des secrets d'État et a été relâchée sous caution en 2005 afin de suivre des soins médicaux aux États-Unis. Selon Wang Lequan, chef du Parti communiste du Xinjiang, elle serait immédiatement rentrée en contact avec des terroristes d'outre-mer, des séparatistes et des forces extrémistes. Kadeer a déclaré que le Congrès devrait saboter les activités organisées à l'occasion du 60e anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine qui aura lieu cette année au mois d'octobre. Présentée comme la « mère du peuple ouïgour » par les terroristes du Turkestan oriental, Kadeer se rend régulièrement en Allemagne et dans d'autres pays du nord de l'Europe pour y établir des contacts. « Le parcours de Kadeer lui permet d'obtenir la reconnaissance des forces du Turkestan oriental installées à l'étranger et son expérience de tirer profit des forces occidentales anti-chinoises », a déclaré Ma Dazheng, directeur du centre de développement et de recherche du Xinjiang relevant de l'Académie des Sciences sociales de Chine. « Les forces terroristes du Turkestan oriental présentent Kadeer comme une personnalité comparable au Dalaï-lama, capable de promouvoir son influence internationale ». C'est ce qu'a déclaré Pan Guang, spécialiste des questions internationales et directeur du Centre sur les Études internationales de Shanghai. « En fait, ce qu'ils veulent c'est suivre la lignée du Dalaï-lama afin d'internationaliser le soi-disant problème du Xinjiang », a-t-il déclaré en guise de conclusion. french.china.org.cn 2009/07/10 |
| | Posté le 12-07-2009 à 01:20:51
| Rebiya Kadeer se contredit Publié le 2009-07-11 par Xinhua BEIJING, 11 juillet (Xinhua) -- Niant leur rôle dans le massacre d'Urumqi qui a fait 184 morts, une femme en exil et son organisation basée à Washington D.C. étaient pourtant bien occupées avant et après la tragédie. Rebiya Kadeer, 58 ans, présidente du Congrès mondial ouïgour (CMO) qui entretient des relations étroites avec des organisations terroristes, a téléphoné à son frère avant les émeutes du Xinjiang, "prédisant" que "quelque chose d'énorme allait se produire". Après les émeutes, elle s'est empressée de rencontrer la presse internationale. Mais bien souvent, Rebiya Kadeer s'est montrée contradictoire dans ses accusations contre le gouvernement chinois, distribuant des rapports "non confirmés" de sources anonymes. Tout en se plaignant continuellement de la coupure des réseaux téléphoniques et de l'accès à internet par le gouvernement, sollicitant la pression internationale pour davantage de transparence, elle n'a pas hésité à proclamer que des "centaines d'Ouïgours étaient morts", se basant sur ses soi-disant contacts dans la capitale de la Région autonome ouïgoure du Xinjiang. L'une de ses principales sources "appartient au Turkestan oriental", foyer du Mouvement islamique du Turkestan oriental (MITO), considéré depuis 2002 par le département d'Etat américain comme une organisation terroriste. Le CMO a été formé par deux organisations, l'une d'entre elle étant le Congrès mondial de la jeunesse ouïgoure, également qualifiée d'organisation terroriste. Lors d'une interview conduite mardi par Al Jazeera, Kadeer a montré une photo sur laquelle figuraient les prétendus "manifestants pacifiques ouïgours" à Urumqi, montrant la façon dont ils ont été traités par la police. Il s'est avéré par la suite que la photo provenait d'un site chinois d'informations et que la photo avait été prise lors d'une manifestation dans la province du Hubei le 26 juin, sans aucun rapport avec les émeutes du Xinjiang. Le CMO, en coopération avec Kadeer, a publié le 8 juillet un article en anglais dans le Wall Street Journal, critiquant les pratiques du gouvernement central au Xinjiang et appelant les forces extérieures à intervenir. Tout comme ils l'avaient prévu, l'article a fait sensation. Mais à leur désarroi, ils ont également été exposés au regard scrutateur de millions de lecteurs à travers le monde. Le CMO, dont Rebiya Kadeer est présidente, a également appelé les Ouïgours du monde entier à perpétrer des attaques contre les ambassades, les consulats et même les groupes touristiques chinois. Tout en faisant l'éloge des Etats-Unis pour avoir toujours "pris la parole au nom des opprimés", Kadeer a appelé le pays à intervenir. Cependant, Kadeer a vite été rappelée, dans une réponse à l'article du Wall Street Journal, qu'elle avait été arrêtée en Chine "pour avoir financé le Turkestan oriental et participé à des activités en Chine en suivant les instructions du Turkestan oriental," considéré comme une organisation terroriste dans la plupart des pays dont les Etats-Unis, la Russie et la Chine. Kadeer, discréditée, aime cependant être sous les feux des projecteurs, mais elle doit garder à l'esprit que trop de publicité pourrait lui faire plus de mal que de bien, surtout si elle continue à mentir. |
| | Posté le 17-07-2009 à 21:47:00
| « Le Quotidien du Peuple » : les séparatistes du Xinjiang sont soutenus depuis longtemps par les Etats-Unis et l'Allemagne Un article du « Quotidien du Peuple », publié le 15 juillet, précise que les Etats-Unis et l'Allemagne soutiennent depuis longtemps les séparatistes en Chine, dont ceux du Xinjiang, pour freiner le développement du pays. Selon l'article, le porte-parole du département d'Etat américain, Ian Kelly, a confié le 13 juillet que le Congrès mondial des Ouïghours de Rebiya Kadeer reçoit chaque année la somme de 200 000 dollars de la Dotation nationale en faveur de la démocratie, financée principalement par le Congrès américain. L'article souligne que le Congrès mondial des Ouïghours a son siège à Munich, en Allemagne. Le premier président du Congrès mondial des Ouïghours a été mis en place par les Etats-Unis et l'Allemagne. Selon le site Internet allemand german-foreign-policy.com, les Etats-Unis et l'Allemagne soutiennent depuis longtemps les séparatistes en Chine, dont ceux du Xinjiang, pour freiner le développement du pays. L'article précise qu'il est raisonnable que la Chine demande l'arrêt du soutien financier aux « trois forces » (les séparatistes ethniques, les extrémistes religieux et les terroristes) et des interventions dans les affaires intérieures du pays. |
| | Posté le 26-09-2009 à 23:10:03
| Que se passe-t-il dans le Xinjiang ? par Domenico Losurdo 14 juillet 2009 Le blog de Domenico Losurdo Vous vous souvenez de ce qui arrivait pendant les années de guerre froide, et surtout dans sa phase finale ? La presse occidentale n’avait de cesse d’agiter le thème des réfugiés qui fuyaient la dictature communiste pour conquérir leur liberté. Dans la seconde moitié des années 1970, après la défaite infligée au gouvernement fantoche de Saigon et aux troupes d’occupation étasuniennes, le Vietnam enfin réunifié était décrit comme une énorme prison, d’où s’enfuyaient désespérés les boat people, entassés sur des bateaux de fortune au péril de leur vie. Et, avec les variations dévolues à chaque cas, ce motif était récurrent à propos de Cuba, de la République Démocratique Allemande et de tout autre pays « excommunié » par le « monde libre ». Aujourd’hui, tout le monde peut constater à quel point, depuis les régions orientales de l’Allemagne, de Pologne, Roumanie, Albanie etc., malgré la liberté finalement conquise, le flux migratoire vers l’Occident continue voire s’accentue ultérieurement. Si ce n’est que ces migrants ne sont plus accueillis comme des combattants de la cause de la liberté, mais souvent repoussés comme des délinquants, du moins potentiels. Les modalités de la grande manipulation se révèlent à présent claires et évidentes : la fuite du Sud vers le Nord de la planète, de la zone moins développée (où se situait aussi le « camp socialiste » ) vers la zone plus riche et développée, ce processus économique a été transfiguré par les idéologues de la guerre froide comme une entreprise politique et morale épique, exclusivement inspirée par le désir sublime d’atteindre la terre promise, à savoir le « monde libre ». Une manipulation analogue est encours sous nos yeux. Comment expliquer les graves incidents qui en mars 2008 se sont déroulés au Tibet et qui, à une plus grande échelle, ont éclaté ces jours-ci au Xinjiang ? En Occident, la « grande » presse d’ « information » mais aussi la « petite » presse de « gauche » n’ont pas de doute : tout s’explique par la politique liberticide du gouvernement de Pékin. Et pourtant, un fait devrait nous faire réfléchir : le fait que la fureur des manifestants, bien plus que les institutions d’Etat, prenne pour cible les Hans, et surtout les magasins des Hans. Et pourtant, on peut lire sur n’importe quel livre d’histoire que dans le Sud-Est asiatique (dans des pays comme l’Indonésie, la Thaïlande, la Malaisie) la minorité chinoise, qui grâce souvent à son passé de culture d’entrepreneurs exerce un poids économique nettement supérieur à sa dimension démographique, est régulièrement « bouc émissaire et victime de véritables pogroms »[1]. Oui, dans le Sud-Est asiatique « la réussite économique des Hua qiao (des chinois d’outre-mer) s’est en effet accompagnée de jalousies, qui aboutissent régulièrement à des explosions de violence anti-chinoises qui viennent parfois troubler les relations diplomatiques. Ce fut le cas notamment en Malaisie, tout au long des années 1960, et en Indonésie en 1965, lorsque les troubles internes sont prétexte au massacre de plusieurs centaines de milliers de personnes. Trente ans plus tard, les émeutes qui entourent la chute du dictateur Suharto en Indonésie qui s’en prennent systématiquement à la communauté chinoise, viennent rappeler la fragilité de la situation»[2]. Ce n’est pas un hasard si la haine contre les Chinois a souvent été comparée à la haine contre les juifs. Avec le développement extraordinaire que sont en train de connaître le Tibet et le Xinjiang, dans ces régions aussi tendent à se reproduire les pogroms contre les Hans, qui sont attirés par les nouvelles opportunités économiques et qui voient souvent leurs efforts couronnés de succès. Le Tibet et le Xinjiang attirent les Hans de la même façon que Pékin, Shangai et les villes les plus avancées de la Chine attirent les entrepreneurs et les techniciens occidentaux (ou Chinois d’outre-mer) : ceux-ci jouent souvent un rôle important dans des secteurs où ils peuvent encore faire valoir leur spécialisation supérieure. Cela n’a pas de sens d’expliquer les graves incidents au Tibet et au Xinjiang par la théorie de l’ « invasion » han, théorie qui ne fonctionne certes pas pour le Sud-Est asiatique. Par ailleurs, même en Italie et en Europe, la lutte contre l’ « invasion » est le cheval de bataille des xénophobes. Mais revenons maintenant au Xinjiang. Voilà comment a été décrite la situation en cours, en 1999, sur la revue « Limes », par le général italien Fabio Mini : un extraordinaire développement est en cours et le gouvernement central chinois est engagé à « «financer, presque sans se préoccuper du retour sur investissement, d’immenses travaux d’infrastructure». A ce qu’il semble, le développement économique va de pair avec le respect de l’autonomie : «La police locale est composée pour la majeure partie de ouigours». Malgré cela, l’agitation séparatiste ne manque pas, «partiellement financée par des extrémistes islamistes, comme les talibans afghans». Il s’agit d’un mouvement qui «se mêle à la délinquance commune», et qui se couvre d’«infamies». Les attentats semblent prendre d’abord pour cible les «ouigours tolérants ou "collaborateurs"», ou les «postes de police», contrôlés, comme nous l’avons vu par les ouigours. Dans tous les cas, concluait le général Mini, qui ne cachait pourtant pas ses sympathies géopolitiques pour la perspective séparatiste, «si les habitants du Xinjiang étaient appelés aujourd’hui à un referendum sur l'indépendance, ils voteraient probablement en majorité contre». Et aujourd’hui ? Sur la « Stampa » Francesco Sisci écrit de Pékin : « De nombreux Hans d’Urumqi se plaignent des privilèges dont jouissent les ouigours. Ceux-ci, en effet, en tant que minorité nationale musulmane, à niveau égal, ont des conditions de travail et de vie bien meilleures que leurs collègues hans. Un ouigour a la permission, au bureau, d’interrompre plusieurs fois par jour son travail pour accomplir les cinq prières musulmanes traditionnelles quotidiennes […] Ils peuvent en outre ne pas travailler le vendredi, jour férié musulman. En théorie, ils devraient récupérer cette journée en travaillant le dimanche. Mais, de fait, le dimanche, les bureaux sont déserts […] Un autre aspect douloureux pour les Hans, soumis à la dure politique familiale qui impose encore l’enfant unique, est le fait que les ouigours peuvent avoir deux ou trois enfants. En tant que musulmans, ensuite, ils ont des allocations en plus de leur salaire, étant donné que, ne pouvant pas manger de porc, ils doivent se replier sur l’agneau, qui est plus cher ». Cela n’as pas de sens, alors, comme le fait la propagande pro-impérialiste, d’accuser le gouvernement de Pékin de vouloir effacer l’identité nationale et religieuse des ouigours. Evidemment, outre, d’un côté, le danger représenté par des minorités empoisonnées, dans certains secteurs, par le fondamentalisme, et d’un autre côté excitées par l’Occident, il faut ne pas oublier le danger du chauvinisme han, qui se fait aussi sentir ces jours-ci : et c’est un problème sur lequel le Parti communiste chinois a toujours attiré l’attention, de Mao Tsé Toung à Hu Jintao. Ceux qui, à gauche, sont enclins à transfigurer le séparatisme des Ouigours feraient bien de lire l’interview donnée, quelques semaines avant les derniers événements, par Rebiya Kadeer, la leader du mouvement séparatiste ouigour. Depuis son exil étasunien, parlant avec une journaliste italienne, voici comment s’exprime la dame susnommée : « Tu le vois, tu te comportes comme moi, tu as la même peau blanche que moi : tu es indoeuropéenne, tu voudrais être opprimée par un communiste à la peau jaune ? ». Comme on le voit, l’argument décisif n’est pas la condamnation de l’ « invasion » han et n’est même pas l’anticommunisme. Plutôt, la mythologie aryenne, ou « indoeuropéenne », exprime-t-elle toute sa répugnance pour les barbares à la « peau jaune ». Références bibliographiques Jean-Vincent Brisset, 2002 La Chine, une puissance encerclée ? PUF, Paris. Jean-François Dufour, 1999 Géopolitique de la Chine, Complexe, Bruxelles. Fabio Mini, 1999 Xinjiang o Turkestan orientale ? (« Xinjiang ou Turkestan oriental ? » ) In « Limes. Rivista italiana di geopolitica », n° 1, p. 83-96. Antonella Rampino, 2009 La leader dei turchi del Xinjiang : « La gentilezza ci sta uccidendo », ( La leader des Tucs du Xinjiang : « la gentillesse est en train de nous tuer » ) in « La Stampa » du 8 mai, p. 21. Francesco Scici, 2009 Perchè uno han non sproserà mai una uigura » (Pourquoi un han n’épousera jamais une ouigour) in « La Stampa » du 8 juillet, p. 17 Reçu de l’auteur et traduit par Marie-Ange Patrizio. L’article a été publié mardi 7 juillet en italien sur le site de Domenico Losurdo : Che succede nello Xinjiang ? http://www.domenicolosurdoblogxingjiang.blogspot.com/ Notes [1] Brisset 2002, p. 68. [ 2] Dufour 1999, pp. 106-7. |
| | Posté le 10-10-2009 à 20:13:27
| Un homme condamné à mort pour son implication dans la bagarre dans une usine de jouets au Guangdong Publié le 2009-10-10 dans French. News. Cn Un homme a été condamné à la peine de mort et un autre à perpétuité, pour leur implication dans la bagarre du 26 juin dans une usine de jouets de la province méridionale du Guangdong, qui avait fait deux morts, ont annoncé samedi des tribunaux locaux. GUANGZHOU, 10 octobre (Xinhua) -- Un homme a été condamné à la peine de mort et un autre à perpétuité, pour leur implication dans la bagarre du 26 juin dans une usine de jouets de la province méridionale du Guangdong, qui avait fait deux morts, ont annoncé samedi des tribunaux locaux. Deux tribunaux locaux de la ville de Shaoguan, dans le Guangdong, ont condamné samedi neuf autres personnes à des peines de prison allant de cinq à huit ans en jugement de première instance, concernant la bagarre dans l'usine de jouets Xuri à Shaoguan. Le Tribunal populaire intermédiaire de Shaoguan a jugé que Xiao Jianhua était le meneur de la bagarre, et avait incité ses collègues à se battre dans le conflit qui avait finalement opposé des ouvriers Hans et ouïgours. Deux ouvriers ouïgours de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, Aximujiang Aimaiti et Sadikejiang Kaze, avaient été battus à mort. Trois personnes ont également été blessées grièvement et six autres légèrement. Le tribunal a indiqué que la bagarre avait pour origine la poursuite d'une jeune femme Han du nom de Huang par un ouvrier ouïgour. Ce dernier a ensuite été retrouvé par d'autres ouvriers. Xiao Jianhua et ses complices ont utilisé des barres en fer pour battre les ouvriers ouïgours et empêcher les secours d'intervenir. |
| | Posté le 03-02-2013 à 21:13:00
| certaines organisations ouighoures sont liées à al-qaeda que les usa sont sensés combattre,n est ce pas? |
| | Posté le 03-02-2013 à 22:41:37
| Le combat des USA "contre le terrorisme islamiste" est assez ambigu et relève d'un double jeu. Il s'avère que les USA ont fait l'instruction de ces combattants, les ont armés et financés à maintes occasions. |
| | Posté le 03-02-2013 à 22:42:53
| en afghanistan puis en bosnie pour refouler la russie et la serbie. |
| | Posté le 06-07-2019 à 16:42:58
| Concernant l'islamisme radical et le terrorisme dans certaines régions, la Chine a cherché les causes de son développement et s'est engagée dans une double voie : la rééducation d'une part, le progrès économique et la formation professionnelle d'autre part.
________________________ Ouïghours : Erdogan prône une solution tenant compte des « sensibilités » des deux parties http://www.armenews.com/spip.php?page=article&id_article=15247 Ankara, 4 juil 2019 (AFP) - Le président turc Recep Tayyip Erdogan a prôné après une visite en Chine une solution à la situation des Ouïghours au Xinjiang « tenant compte des sensibilités » des deux parties, selon des propos rapportés par la presse jeudi. "Je pense que l’on peut trouver une solution en tenant compte des sensibilités de chacun" , a déclaré M. Erdogan dans une interview accordée à plusieurs journaux avant son retour en Turquie. Depuis une série d’attentats sanglants au Xinjiang attribués à des membres de la minorité turcophone des Ouïghours, le gouvernement chinois impose des mesures de sécurité draconiennes dans cette vaste région, frontalière de l’Asie centrale et du Pakistan. La Chine est soupçonnée d’avoir interné dans le territoire jusqu’à un million de personnes dans des camps de rééducation. Pékin dément ce chiffre et parle de « centres de formation professionnelle » destinés à lutter contre la radicalisation islamiste. Jusqu’à présent, la Turquie est le seul pays musulman à avoir fermement dénoncé l’existence de ces structures, le ministère des Affaires étrangères qualifiant de « honte pour l’humanité » le traitement réservé aux Ouïghours. L’agence officielle chinoise Chine nouvelle a affirmé que lors de sa visite à Pékin et sa rencontre mardi avec le président chinois Xi Jinping, M. Erdogan a déclaré que les gens vivaient « heureux » au Xinjiang, une apparente volte-face. Sans commenter les propos rapportés, le chef de l’Etat turc a toutefois déploré, selon l’interview publiée jeudi, l’approche « émotionnelle » de certains, qui affecte selon lui les relations bilatérales entre Ankara et Pékin et en fait « payer le prix » à la Turquie et à ses citoyens. Lors de son déplacement en Chine, M. Erdogan a indiqué à ses interlocuteurs qu’Ankara souhaitait que "les Ouïghours puissent vivre dans la paix et la prospérité« en Chine et »transmis ses points de vue et attentes à ce sujet" , a assuré mercredi le directeur de la communication de la présidence turque, Fahrettin Altun. M. Altun a en outre indiqué que Pékin avait invité la Turquie à envoyer une délégation au Xinjiang pour y « observer la situation » , ajoutant que M. Erdogan avait reçu cette proposition de manière « positive » . par Ara Toranian le vendredi 5 juillet 2019 © armenews.com 2019
Edité le 08-09-2019 à 20:24:47 par Xuan |
| | Posté le 06-07-2019 à 19:14:33
| De la même façon,les tensions au Tibet crispent les relations sino-indiennes |
| | Posté le 08-07-2019 à 20:37:11
| Les relations sino-turques tournent autour du Xinjiang Par Wang Yan Source: Global Times Publié le 2019/7/8 20:18:40 http://www.globaltimes.cn/content/1157193.shtml La visite du président turc Recep Tayyip Erdogan en Chine, le 2 juillet, a rétabli une certaine confiance dans le marché boursier turc et a entraîné une hausse de la valeur d'une livre en baisse. À Beijing, Erdogan a rencontré le président Xi Jinping. Le dirigeant turc, qui affronte chez lui des obstacles politiques, a déclaré à son retour en Turquie que la coopération dans les domaines du commerce, de l'investissement, du tourisme et d'autres domaines avec la Chine serait renforcée. Les médias turcs ont déclaré que la visite d'Erdogan en Chine avait conduit à une hausse de la lire turque à 5.62 par rapport au dollar américain le 2 juillet et à une hausse de 100 000 points par la bourse de Borsa à Istanbul. La visite éclair d'Erdogan n'a pas seulement conduit à un retour en arrière dans les relations bilatérales après des remarques sur le Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine (La région autonome ouïghour) établie par un porte-parole du ministère des Affaires étrangères turc a détérioré les relations, mais a également marqué un consensus politique plus profond entre la Chine et la Turquie. Lors de sa rencontre avec Xi, Erdogan a réaffirmé le ferme attachement de la Turquie à la politique de la "Chine unique". Il a dit qu'il était vrai que les gens de tous les groupes ethniques menaient une vie prospère et heureuse au Xinjiang, soulignant que la Turquie était opposée à toute tentative de réduire le fossé entre les deux pays. Il a également affirmé que la Turquie était disposée à renforcer la confiance mutuelle et à renforcer la coopération en matière de sécurité avec la Chine. La politique de la Chine à l'égard du Xinjiang fait partie de ses affaires intérieures qu'aucun autre pays n'a le droit d'intervenir. Erdogan ' L’amitié séculaire entre la Chine et la Turquie remonte à l’époque ancienne de la Route de la soie . Par exemple, la prononciation du mot "thé" en chinois est très similaire à celle prononcée en turc et le théâtre d'ombres chinois a été introduit en Turquie via la Route de la Soie et est devenu un modèle d'art populaire turc. Depuis la fondation de la République populaire de Chine en 1949, les relations sino-turques sont fondées sur la coopération et se caractérisent par un développement constructif et inclusif. En août 1971, la Chine et la Turquie ont noué des relations diplomatiques et renforcé leurs relations bilatérales de manière stratégique en octobre 2010. Par conséquent, les relations de coopération stratégique ont évolué de manière historique. Actuellement, avec 1 000 ans d’amitié basée sur la Route de la soie, la proposition de la Chine L’ initiative Belt and Road (BRI) a laissé entrevoir un important potentiel de coopération entre les deux pays. Les relations sino-turques ont chuté trois fois depuis le début du XXIe siècle à cause de la question du Xinjiang, devenue un baromètre pour observer cette relation. La diplomatie est basée sur les intérêts fondamentaux d'un pays. La non-ingérence de la Turquie dans la question du Xinjiang constitue la base d'une coopération gagnant-gagnant avec la Chine. Comme Xi l'a dit, la Chine et la Turquie devraient renforcer la confiance stratégique mutuelle et respecter leurs intérêts fondamentaux et leurs préoccupations majeures sur des questions telles que la souveraineté, l'indépendance et l'intégrité territoriale. Les deux pays devraient également consolider les fondements politiques de la coopération stratégique et veiller à ce que les relations bilatérales restent toujours stables. Il y a un dicton qui dit: juge une personne par ses actes, pas seulement par ses paroles. On espère que la Chine et la Turquie maintiendront leur consensus sur la question du Xinjiang par le biais d'une coopération politique soutenue et développeront des relations plus étroites fondées sur les principes de respect, de confiance et d'avantages mutuels. L'approfondissement des relations sino-turques offrira non seulement plus d'opportunités aux deux pays, mais apportera également une contribution à la paix et à la stabilité mondiales. L'auteur est docteur en droit et chercheur adjoint à l'Université normale du Xinjiang. opinion@globaltimes.com.cn |
| | Posté le 08-07-2019 à 20:43:35
| les bases des terroristes ouighours se trouvent en Afghanistan,une fois que les Brics auront ramené ce pays dans les rangs,cet avant poste de la guerre u.s contre Pékin sera démantelé.les séparatistes baloutches,qui visent la présence chinoise au Pakistan,commettent également leurs méfaits depuis l Afghanistan,avec la complicité des Américains.
Edité le 25-01-2020 à 14:14:24 par marquetalia |
| | Posté le 12-07-2019 à 09:26:47
| La double norme entrave le travail de lutte contre le terrorisme Par Liu Xin Source: Global Times Publié le 2019/7/11 19:33:41 http://www.globaltimes.cn/content/1157568.shtml Lettre de 22 nations basée sur des "conjectures sans fondement" Un groupe de médias d'Indonésie et de Malaisie s'est entretenu avec des stagiaires dans un centre d'éducation et de formation professionnelle situé à Hotan, en février, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang , en Chine du Nord-Ouest . Photo: Liu Xin / GT La Chine a publié jeudi une réponse sévère aux pays qui ont signé une lettre commune aux Nations unies critiquant les politiques de la Chine dans la région autonome du Xinjiang, des observateurs affirmant que leurs critiques étaient fondées sur des conjectures sans fondement et que le double respect des droits de l'homme entraverait la lutte mondiale contre le terrorisme. travail. Human Rights Watch a publié mercredi une lettre conjointe signée par 22 pays au sein de la plus haute instance des droits de l'homme des Nations unies, appelant la Chine à "mettre fin à ses détentions arbitraires massives et aux violations des droits des musulmans dans la région du Xinjiang" . Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Geng Shuang, a déclaré lors d'une conférence de presse jeudi que la Chine s'opposait fermement aux 22 pays politisant les droits de l'homme et les exhortait à abandonner leurs partis pris et à cesser leurs ingérences dans les affaires intérieures de la Chine sous le prétexte de problèmes liés au Xinjiang. M. Geng a qualifié les accusations de mépris de la vérité et de calomnies sans fondement et d'attaques contre la Chine, et a souligné que la Chine avait invité des membres du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme à se rendre dans le Xinjiang. Les 22 pays comprennent 18 pays européens, le Japon, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Une source proche de la délégation chinoise au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies (UNHRC) a déclaré au Global Times que la Chine n'était pas le pays visé par l'Examen périodique universel à l'ONU et que les 22 pays pourraient vouloir faire valoir la politique chinoise au Xinjiang en publiant la lettre commune maintenant. La Chine a invité de nombreux diplomates et journalistes étrangers dans le Xinjiang et leur a montré les centres d'éducation et de formation, dans l'espoir d'aider la communauté internationale à obtenir plus d'informations sur ce qui se passe réellement au Xinjiang, a indiqué cette source. "Les 22 pays, tous développés, ne peuvent pas représenter le monde entier. La sécurité et la stabilité sont indispensables pour que les citoyens puissent jouir de leurs droits fondamentaux et la vision que nous prenons convient pour les intérêts de la majorité de la société" , a déclaré Qian Jinyu, doyen exécutif de la Human Rights Institution. de l'Université de science politique et de droit du Nord-Ouest basée dans la province du Shaanxi, a déclaré au Global Times. "Les envoyés qui ont signé la lettre commune ne sont jamais allés au Xinjiang. Ils n'ont jamais parlé à des stagiaires dans les centres d'éducation et de formation professionnelle, et ils n'ont pas eu une image complète de ce qui se passe au Xinjiang. Leur compréhension des centres de formation est basée sur rapports biaisés " , a déclaré Qian. Il a noté qu'il y avait trois types de stagiaires dans les centres: les personnes incitées, contraintes ou incitées à participer à des activités terroristes ou extrémistes dans des circonstances qui n'étaient pas suffisamment graves pour constituer un crime; ceux qui ont participé à des activités terroristes ou extrémistes qui présentaient un danger réel mais n’avaient pas causé de préjudice réel; ceux qui ont été reconnus coupables et condamnés à des peines de prison pour crimes terroristes ou extrémistes et après avoir purgé leur peine ont été jugés comme constituant toujours une menace potentielle pour la société. "Cela montre que le lancement de centres de formation n'est pas une" détention arbitraire "d'un groupe ethnique, mais vise à aider ceux qui ont besoin d'aide pour se débarrasser de l'influence de l'extrémisme et retrouver une vie normale" , a déclaré Qian. Mijiti Mermoti, directrice d'un centre d'éducation et de formation professionnelle à Kashi, a déclaré que le centre de formation ne ciblait aucun groupe ethnique ni aucune religion. Le journaliste du Global Times a rencontré Paher Tursun dans un centre de formation situé dans le comté de Shule, dans la préfecture de Hotan, dans le Xinjiang. Tursun a déclaré qu'il n'était pas musulman. Il a été envoyé au centre parce que, par curiosité, il a visionné des vidéos diffusant l'extrémisme et les a partagées avec ses amis. Une stagiaire commence à peindre dans un centre de formation en février. Photo: Liu Xin / GT Mettre l'accent sur ses propres menaces "La critique de ces émissaires étrangers sur la politique chinoise dans la province du Xinjiang est basée sur des conjectures sans fondement et sur de fausses informations diffusées par certains médias occidentaux. Les doubles normes adoptées par certains pays occidentaux sont devenues le principal obstacle à la lutte antiterroriste mondiale" . Li Wei, un expert de la lutte contre le terrorisme à l'Institut chinois des relations internationales contemporaines à Beijing, a déclaré jeudi au Global Times. Les récents attentats terroristes perpétrés dans les pays développés, notamment un attentat en Nouvelle-Zélande en mars, au cours duquel un homme armé de droite a attaqué deux mosquées et tué 51 personnes, ont montré que certains pays développés rencontraient des difficultés pour traiter leurs immigrants et faire face aux menaces terroristes dans leur propre pays, a déclaré Li. "Au lieu de se concentrer sur la résolution de leurs propres problèmes, ils critiquent la politique de la Chine dans le Xinjiang, qui a permis d'instaurer la stabilité et la paix dans la région et de protéger efficacement les droits des résidents locaux à une vie et à un développement en toute sécurité" , a déclaré Li. La lettre commune et les critiques persistantes à l'encontre de la politique chinoise dans la province du Xinjiang montrent que certains pays développés espèrent que les pays en développement resteront dans la tourmente et que le développement stagnera, ce qui ira dans le sens des intérêts des pays développés. Et c'est une pratique inhumaine, a déclaré Li. En marge de la 41ème session du CDH, la Chine a invité des ressortissants du Xinjiang et des émissaires des Nations Unies qui s'étaient rendus au Xinjiang à faire part de leurs expériences au Xinjiang. Un grand nombre d'entre eux ont déclaré que le Xinjiang avait pour priorité de protéger les intérêts de tous les groupes ethniques et de prendre des mesures pour lutter contre le terrorisme et l'extrémisme, a rapporté chinanews.com le 3 juillet. Des envoyés de nombreux pays, dont la Russie, l'Algérie, le Laos, la Serbie et le Pakistan ont partagé leur expérience au Xinjiang et ont loué les efforts du gouvernement régional en matière de lutte contre la pauvreté, de protection de la liberté de religion et d'effet des mesures de lutte contre le terrorisme. La lettre conjointe a également appelé "la Chine à faire respecter ses lois nationales et ses obligations internationales et à respecter les droits de l'homme et les libertés fondamentales, y compris la liberté de religion ou de conviction" . Selon un livre blanc publié par le Bureau d'information du Conseil d'Etat, le gouvernement régional du Xinjiang a donné la priorité à la prise de mesures de lutte contre le terrorisme et à la réduction de la radicalisation conformément aux lois, notamment la création de centres d'éducation et de formation professionnelle. Les stagiaires signent des accords avec les centres d’éducation et de formation avant de s’y rendre. L’accord présenté par un stagiaire du Global Times montre qu’il contient des objectifs et des méthodes de formation, des critères pour l’achèvement du programme et des méthodes d’évaluation. "Le gouvernement et le peuple chinois ont le droit de parler des politiques du Xinjiang. Face aux menaces terroristes et extrémistes, le Xinjiang a pris une série de mesures, notamment la création de centres de formation, qui aider à améliorer la sécurité dans la région " . Il n'y a pas eu d'attaque violente dans le Xinjiang depuis plus de deux ans et le sentiment de sécurité et de bonheur des résidents locaux s'est considérablement amélioré. Et ils soutiennent sincèrement les mesures du gouvernement, a ajouté Geng. Les traditions des personnes religieuses du Xinjiang ont été pleinement respectées. Par exemple, les habitants du Xinjiang ont un jour de congé pour célébrer l'Aïd al-Fitr le 5 juin. Pour les victimes auto-proclamées, qui ont déclaré s'être «échappées» des centres de formation et ont raconté leurs histoires à certains médias occidentaux, le gouvernement chinois a confirmé qu'elles avaient fabriqué leurs histoires. Si les centres de formation sont vraiment des "camps de concentration" comme ils l'ont décrit, comment pourraient-ils réussir à échapper à la "surveillance stricte" du gouvernement? Certains médias occidentaux ont choisi de ne pas vérifier les données, ont indiqué des experts. Les personnes vivant dans le Xinjiang devraient avoir le droit de dire si elles sont heureuses et non celles qui ont d'autres objectifs politiques ou qui recherchent des gains personnels sous prétexte de prendre soin des habitants du Xinjiang, ont-ils déclaré. |
| | Posté le 23-07-2019 à 14:54:13
| Des journalistes de 24 pays en visite au Xinjiang Source: Xinhua Publié le: 2019/7/23 16:58:48 http://www.globaltimes.cn/content/1158858.shtml Un groupe de journalistes de 24 pays ont visité la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine , du 14 au 22 juillet, à l'invitation du Bureau d'information du Conseil des Affaires d'Etat de Chine. Pendant le voyage, les journalistes de Chine, des États-Unis, de Russie, d'Italie, du Japon, d'Arabie saoudite, de Turquie et d'Iran ont eu de nombreux contacts avec des agriculteurs, des étudiants, des religieux, des ouvriers et des stagiaires dans des centres de formation professionnelle. . Ils ont convenu que le gouvernement chinois avait progressé dans la répression et la prévention du terrorisme conformément à la loi, en protégeant la liberté religieuse de ses citoyens, en préservant la culture traditionnelle des groupes ethniques mineurs et en améliorant les moyens de subsistance de la population. Efforts antiterroristes Depuis les années 1990, les "trois forces" du terrorisme, du séparatisme et de l'extrémisme, tant au pays qu'à l'étranger, ont planifié et organisé des milliers d'activités terroristes violentes et porté gravement atteinte à la stabilité, à la solidarité et au progrès du Xinjiang, en portant atteinte aux droits fondamentaux de la vie, de la santé et de la santé. propriété et développement pour les habitants du Xinjiang. Au centre international des congrès et des expositions du Xinjiang, la délégation des médias a visionné une exposition sur les principaux cas de terrorisme dans la région. Edvard Chesnokov, directeur adjoint du département de l'information internationale de Komsomolskaya Pravda, un journal russe, a déclaré que le terrorisme constituait une menace mondiale, que la lutte contre le terrorisme et la construction d'une société pacifique étaient les objectifs communs de tous les pays. Au cours des dernières années, le Xinjiang s'est concentré sur la prévention du terrorisme en s'attaquant à la source des problèmes. Il vise à prévenir les attaques terroristes en fournissant une plate-forme pour les personnes qui ont été influencées par des idées extrémistes et ont commis des crimes mineurs afin qu’elles puissent transformer leurs pensées, apprendre le mandarin, renforcer la sensibilisation aux lois et maîtriser les compétences professionnelles. Il n'y a pas eu de crimes terroristes violents au Xinjiang au cours des 30 derniers mois, ont déclaré les autorités. "Les mesures préventives prises par le gouvernement chinois contre le terrorisme ont été efficaces et ont servi de modèle à d'autres pays" , a déclaré Obidov Mukhammad Dalimovich, président de la branche régionale de Fergana de l'Union créative des journalistes d'Ouzbékistan. Dans les centres d’enseignement et de formation professionnels de la ville d’Artux et des comtés de Shule, Wensu et Moyu, les journalistes se sont enquis de manière très détaillée de la vie et de l’éducation des stagiaires. Les stagiaires étudient le mandarin, maîtrisent les lois et suivent des cours pratiques de couture, de réparation automobile, de coiffure, de commerce électronique, de travaux électriques, de plantation et d’agriculture. Au centre du comté de Shule, les journalistes ont été impressionnés par les bâtiments spacieux, les installations d'hébergement bien équipées ainsi que par les spectacles de danse ethnique des stagiaires. "C'est une école, pas un camp de concentration" , a déclaré Paolo Salom, directeur adjoint du département international du journal italien Corriere Della Sera. «C’est un endroit où les gens apprennent non seulement les lois et les règlements, mais aussi comment trouver un emploi et s’adapter à la société moderne. Vaincre l’extrémisme grâce à l’éducation est sans aucun doute la bonne solution." Abdulaziz Raddad A. Alrabie, directeur du bureau de la Mecque à Okaz, un journal saoudien, a déclaré que le centre d'enseignement et de formation professionnels n'est en aucun cas un "camp de concentration", mais une école où les personnes aux idées extrémistes sont transformées. "J'ai vu de vrais sourires sur les visages des stagiaires que j'ai interviewés, et je peux dire qu'ils sont satisfaits de leur vie et qu'ils étudient au centre" , a déclaré Alrabie. CULTURE, Au cours de la visite de neuf jours, la délégation a visité un certain nombre d'institutions religieuses, notamment l'Institut islamique du Xinjiang dans la capitale régionale Urumqi et la mosquée Id Kah à Kashgar, et s'est enquise de la formation du personnel religieux et de l'entretien des lieux de culte. Khaled Jihad Abdul-Razzaq Al-Saleh, journaliste du journal saoudien Al-Watan, a déclaré qu'il n'avait vu aucune personne ici victime d'une atteinte à la liberté de religion et que les musulmans du Xinjiang jouissent de la liberté de pratiquer leur religion. Hachemi Seyedeh Sepideh Seyed Hashem, un journaliste de l'Agence de presse des étudiants iraniens, a salué les mesures prises par le gouvernement chinois pour protéger la liberté de religion. "C'est bien de voir que tout le monde est libre de choisir ses propres croyances religieuses" , a-t-elle déclaré. Les journalistes ont également visité la troupe d'art du Xinjiang Muqam à Urumqi, le bazar de l'artisanat de la vieille ville de Kashgar et le centre de recherche en broderie de Kirghiz dans la préfecture autonome de Kizilsu. Ils ont interviewé des artistes et des artisans locaux et ont assisté à un certain nombre de représentations culturelles des artistes. Sakchai Pruedthipak, président du site web des médias sociaux thaïlandais www.salika.co, a déclaré que les représentations témoignaient des efforts déployés par le gouvernement chinois pour conserver les traditions et les cultures ethniques. Syed Jawwad, PDG de Embassy News en Inde, a visionné des images de la performance sur les médias sociaux, après avoir visionné un drame dansé au Xinjiang Grand Theatre, dans la ville de Changji. Il a recueilli plus de 300 réponses en deux heures sur les réseaux sociaux. "Le drame montre différentes sortes de danses ethniques. C'était magique et éblouissant" , a déclaré Jawwad. "Le Xinjiang est un endroit où vous pouvez trouver autant de cultures différentes. Je recommanderai vivement à quiconque aime la culture de visiter le Xinjiang." MOYENS DE VIE AMÉLIORÉS Le Xinjiang est la plus grande région de la Chine en termes de masse continentale et aussi l'une des moins développées. Les journalistes ont visité le grand bazar d'Urumqi, la zone de développement économique de Kashgar et des usines de village du sud du Xinjiang et ont été impressionnés par les progrès économiques et sociaux réalisés dans la région. "Le Xinjiang a maintenant des usines modernes et des infrastructures améliorées. Les habitants vivent dans des maisons bien entretenues, travaillent dans des usines et ont des revenus stables. Ils sont confiants pour l'avenir" , a déclaré Dalimovich, qui s'est rendu à Xinjiang à plusieurs reprises. Abrar Naseem Wahla, un présentateur de la télévision pakistanaise, a déclaré avoir vu les autorités locales du Xinjiang intensifier la construction d'infrastructures, telles que la construction de routes, d'hôpitaux et de centres touristiques, et s'employer à créer davantage d'emplois pour les résidents locaux. La délégation s'est également rendue à Kekeya dans la préfecture d'Aksu, un lieu situé au bord du désert de Taklimakan. Autrefois notoire pour les tempêtes de sable constantes, Kekeya a constaté une nette amélioration de son environnement naturel grâce à un projet de boisement lancé en 1986 qui a érigé un "mur végétal" d'environ 77 000 hectares entre le désert et les villes voisines. "Je suis heureux de voir que le désert a été converti en champs verts grâce aux efforts du gouvernement chinois et de la population locale. Un tel environnement aide les gens à mieux vivre" , a déclaré Chesnokov. |
| | Posté le 12-08-2019 à 23:26:31
| Un journaliste turc rejette les fausses informations occidentales sur la région chinoise du Xinjiang http://french.xinhuanet.com/2019-08/11/c_138301355.htm ISTANBUL, 11 août (Xinhua) -- Au cours de sa première visite dans la région autonome ouïghoure chinoise du Xinjiang le mois dernier, Tunc Akkoc, un journaliste turc, a vu un Xinjiang différent de celui dont on parle dans les médias occidentaux. "Ce que j'ai vu là-bas est à l'opposé des informations publiées par les médias occidentaux" , a confié à Xinhua le directeur général du journal turc Aydinlik dans une interview, citant les articles dans la presse occidentale qui affirment que les Ouïghours sont "muselés" dans les centres d'éducation et de formation professionnelles et que les groupes ethniques subissent une "répression" . Pendant son séjour de neuf jours à partir du 14 juillet au Xinjiang, M. Akkoc et plusieurs journalistes d'autres pays ont visité trois villes dans la région, dont le chef-lieu régional Urumqi. Pendant leur visite dans deux centres d'éducation et de formation professionnelles à Hotan et à Aksu, il a eu l'occasion de se déplacer librement et de parler avec environ 30 apprentis. D'après M. Akkoc, les lieux qu'il a visité sont "ornés par la culture ouïghoure" et il "n'a vu aucune pression" . "De la musique ouïghoure est jouée dans les rues" , a-t-il justifié, précisant que "les habitants parlent la langue ouïghoure" . Pendant son séjour au Xinjiang, le journaliste turc et ses collègues ont beaucoup voyagé et ont eu l'occasion de visiter des usines, des hôpitaux et des marchés. Ils ont marché seuls dans les rues, librement, sans être accompagnés. A ses yeux, les habitants jouissent "de vraies activités sociales". "Nous avons vu beaucoup de gens jouer d'instruments de musique et nous avons vu des gens danser dans la rue" , a-t-il salué, notant que des centaines de personnes fréquentent les marchés de nuit avec leur famille après le travail. Il a également ressenti "un certain calme" qui prévaut dans les endroits où il s'est rendu, affirmant qu' "il n'y a pas de troubles majeurs dans les lieux publics et la paix domine" . "Le gouvernement central chinois se concentre sur la région autonome ouïghoure du Xinjiang" , a-t-il déclaré, expliquant qu'il a eu "la possibilité d'obtenir des informations sur de nouveaux projets. Un processus de développement à grande échelle est en cours." Evoquant "une grande modernisation" dans les centres de formation, le journaliste a noté que ces centres "mettent l'accent sur la loi" . Selon les apprentis, ils apprennent ce qu'est la loi, ce qu'est un crime et ce qui n'est pas un crime. Les centres soulignent également l'importance de la science en utilisant les méthodes scientifiques dans tous les domaines, lui ont-ils expliqué. "Tout le monde apprend un métier" , a poursuivi M. Akkoc, ajoutant que "ces centres sont d'énormes réserves pour l'emploi et le taux de chômage a chuté de façon spectaculaire par rapport à il y a trois ans. Ces centres enseignent près de 20 métiers" . |
| | Posté le 03-09-2019 à 20:56:29
| Pour voir les illustrations et les vidéos : https://worldaffairs.blog/2019/07/05/xinjiang-and-uyghurs-what-youre-not-being-told/?fbclid=IwAR15p-B57L Voici un plaidoyer chinois à propos du Xinjiang, en le lisant l’approche générale me paraît convaincante mais il me semble sans vouloir contredire nos camarades chinois qu’elle le serait d’autant plus si nous Français une fois pour toutes nous comprenions disons une mentalité chinoise largement partagée par le peuple chinois, y compris les minorités. D’abord une solide rationalité qui voit dans la misère et le sous-développement le terreau fertile de tous les troubles sociaux attisés par l’étranger. C’est vrai pour le Xinjiang mais également pour Hong Kong où les Chinois ne sous-estiment pas l’impact des problèmes économiques sur la révolution de « couleur », s’il n’est pas question à Hong Kong de sous-développement, il y a baisse du niveau de vie par rapport à la Chine continentale. Pour les chinois ce sont ces questions qu’il faut résoudre en priorité, c’est le rôle de l’Etat chinois que de favoriser pour tous une société de moyenne aisance, des équipements structurels, de l’éducation. Ensuite, le problème pour le gouvernement chinois n’est pas un problème religieux, c’est un problème d’unité nationale. Les échos qui me parviennent qu’il s’agisse de Said belguindoun qui a passé deux mois dans cette province ou de Marianne, ils vont dans le même sens, la Chine veille a son unité et le parti unique en est la garantie, c’est une société qui va bien et offre des perspectives à ses citoyens, mais qui connait une telle vitesse de transformation dans un contexte géopolitique hostile que l’expérimentation, l’apprentissage rapide à la fois de soi-même et de l’apport de l’occident laisse celui qui demeure un touriste désorienté. En tous les cas pour un sociologue, la Chine est incontestablement le terrain le plus passionnant aujourd’hui et je n’ai qu’un regret celui que le temps qui m’est imparti biologiquement soit si court (note de Danielle Bleitrach) Chine : XINJIANG ET LES OUÏGOURS – QU’EST-CE QU’ON NE VOUS DIT PAS 01 Sep «Un million de musulmans ouïghours dans des camps de concentration!»… «Un nettoyage ethnique et un génocide culturel!» … Les médias occidentaux utilisent très efficacement des expressions émotionnelles. Mais quelle est la vraie histoire? Allons au-delà de l’exagération, de la distorsion et du sensationnalisme. Tout d’abord, les médias ne montreront jamais les régions pacifiques et prospères du Xinjiang: Et les médias occidentaux ne parleront pas des milliards de dollars que la Chine a investis dans le Xinjiang, de la modernisation des villes, de la construction de 21 aéroports, de la liaison avec la région avec des trains à grande vitesse, etc. Et il y a aussi des milliers de mosquées dans le Xinjiang, dont l’histoire remonte à plus de 2000 ans, lorsque l’ancienne Route de la soie reliait la Chine à l’Italie et à la Grèce. En Chine, des mosquées construites au 10ème siècle témoignent de la tolérance et du respect des droits religieux dans la société chinoise. Deux pépites d’information sont également à retenir: le Xinjiang est une région très vaste – quatre fois plus grande que la Californie (!); et les Ouïghours ne représentent qu’environ 40% de la population du Xinjiang. Maintenant, décomposons les faits. Il existe quatre types de musulmans ouïghours: 1. Ouïghours bien éduqués, musulmans modérés / laïcs 2. Ouïghours de la classe moyenne pauvre 3. Les nomades 4. Séparatistes et terroristes Ouïghours modérés / séculiers Ce sont des musulmans de la classe moyenne ou de la classe moyenne supérieure qui mènent une vie normale, ont un bon travail et s’intègrent facilement à la culture chinoise. Il y a même des musiciens ouïghours populaires, des animateurs de télévision, des rappeurs (!), Etc. en Chine. Voici deux actrices ouïghours célèbres – Guli Nazha et Dilraba Dilmurat. Les enfants ouïghours issus de familles instruites vont à l’école, mènent une vie normale et s’amusent beaucoup sur les médias sociaux comme Tik Tok («Douyin» en Chine): https://videos.files.wordpress.com/PUMpCk2Q/fun-combo-hi-res-cropped_dvd.mp4 Et voici un mariage ouïghour de la classe supérieure, pour lequel la famille a évidemment dépensé beaucoup d’argent! https://videos.files.wordpress.com/qtB6TK4X/uyghur-wedding-in-urumqi-xinjiang_dvd.mp4 Ouïghours de la classe ouvrière Il existe également de nombreux Ouïghours de la classe ouvrière qui possèdent des restaurants et des boutiques de souvenirs ou travaillent comme artistes et artisans dans des lieux touristiques. Leur vie n’est pas mauvaise et la plupart d’entre eux ne rencontrent pas de problèmes avec le gouvernement. voici un rapide diaporama: La viande halal dans le Xinjiang Vraiment Pauvres Ouïghours Ensuite, il y a vraiment de très pauvres Ouïghours qui vivent dans des bidonvilles. Ce sont des cibles privilégiées pour le recrutement par les djihadistes. Bon nombre de ces enfants ouïghours travaillent dans la rue et cirer des chaussures ou aider leur famille à des tâches ingrates, comme s’occuper d’ânes ou d’autres animaux. Lorsque le gouvernement chinois ordonne à ces enfants d’aller à l’école, les médias occidentaux crient au meurtre. Quelle hypocrisie! Si ces Ouïghours viennent aux États-Unis, les enfants seront également obligés d’aller à l’école. Voici une école à laquelle le «pervers PCC» oblige les enfants ouïghours à aller: La plupart de ces enfants ne parlent même pas le chinois, ce qui limite considérablement leur capacité à trouver un emploi plus tard, à l’âge adulte. Ainsi, quand ils apprennent le chinois à l’école, la propagande occidentale crie «un génocide culturel». Une pure idiotie! La BBC admet que le gouvernement « communiste » (gasp!) A dépensé 1,2 milliard de dollars au cours des cinq dernières années pour rénover et construire de nouvelles écoles pour enfants au Xinjiang. Cela devrait être applaudi, pas diabolisé! Le gouvernement chinois a fait un travail phénoménal en retirant 1,85 million de musulmans ouïghours de la pauvreté entre 2014 et 2017. Bien entendu, les médias occidentaux n’en parleront jamais. Ouïghours Nomades Ensuite, il y a des Ouïghours qui sont des éleveurs et des nomades dans la vaste région du Xinjiang. Voici un diaporama rapide: Bien que cela semble romantique, leurs vies ne sont pas compatibles avec les temps modernes. La plupart d’entre eux sont bloqués dans l’extrême pauvreté et leurs enfants grandissent également complètement analphabètes. Parfois, le gouvernement chinois déplace des dizaines de milliers de ces personnes dans les villes et leur fournit des emplois, des logements gratuits, des soins de santé, etc. Bien sûr, les médias américains parleront de «nettoyage ethnique». d’autres régions sortent de l’extrême pauvreté par des projets de réinstallation similaires ). Nombre de ces nomades apprécient cette nouvelle vie : «Avec le chauffage central, le gaz, l’eau courante, Internet et la télévision par câble, nous n’avons plus besoin de nous inquiéter de choses qui nous ont perturbés dans le passé.» Parfois, si les parents ne veulent pas abandonner leur vie de nomade, le gouvernement peut transférer les enfants dans des internats où ils ont droit à un logement, des repas et une éducation gratuits. Séparatistes et terroristes Ce qui n’est pas mentionné dans les principaux médias, c’est que l’Occident caresse le séparatisme au Xinjiang depuis les années 1950! Lorsque les communistes chinois ont gagné en 1949 (en vainquant la faction soutenue par les États-Unis, qui a ensuite créé Taïwan), les États-Unis ont commencé à armer / financer des séparatistes au Tibet et au Xinjiang. Les États – Unis ont apporté un grand nombre de ces extrémistes en Allemagne dans les années 1970 et les a aidés fomenter un mouvement pour « Turkestan ». À l’ heure actuelle, le soi-disant « Congrès mondial ouïgour » (WUC) est financé et glorifié par le gouvernement américain par les ONG comme le National Endowment of Democracy (NED) – qui a également joué un rôle majeur dans les affrontements sur la place Tiananmen en 1989 ( voir mon article ). BTW, l’histoire de « 1 million de musulmans dans les camps de concentration » (parfois 2 ou 3 millions!) Est tirée des témoignages de membres de la WUC. Cependant, à la consternation des propagandistes, aucun pays musulman n’achète le récit des «camps de concentration». La Turquie est la plus proche des Ouïghours, d’origine turkique. Le dirigeant turc Erdogan était en Chine il y a quelques jours et a déclaré que les centres de rééducation ouïghour n’affecteraient pas les relations sino-turques. L’Indonésie – le plus grand pays musulman du monde – a également déclaré comprendre la situation difficile de la Chine face aux séparatistes. De même, le Pakistan, le Bangladesh, la Malaisie et même l’Arabie saoudite ont rejeté les récits sensationnels. De nombreux diplomates et journalistes ont visité ces camps et en sont ressortis rassurés. Une autre perspective historique: après la fin de la guerre des Moudjahidines en Afghanistan en 1989, bon nombre de ces combattants se sont rendus en Asie centrale. Et la maladie du wahhabisme s’est étendue au Xinjiang également. De 2009 à 2015, il y a eu beaucoup d’attaques terroristes de la part des djihadistes ouïghours (voici un exemple ). C’est alors que la Chine a décidé de vraiment sévir. Au plus fort de la guerre en Syrie , environ 18 000 musulmans ouïghours radicalisés se sont rendus en Syrie et ont rejoint l’Etat islamique pour combattre Assad. Camp d’enfants de terroristes ouïghours Les radicaux ouïghours et leur école de filles Conclusion Le Xinjiang a également de nombreuses implications économiques. L’Initiative de ceinture et de route de Chine (BRI) regroupe chaque année des milliers de trains de marchandises et de camions transportant des marchandises entre la Chine et l’Europe. et la plupart de ces trains et camions passent par le Xinjiang. De nombreux oléoducs et gazoducs d’Asie centrale traversent le Xinjiang pour alimenter l’économie industrielle chinoise. Un Xinjiang instable va faire des ravages sur l’économie chinoise. Le gouvernement chinois essaie d’aider les pauvres et de combattre les djihadistes en même temps. Alors que l’Occident pleure des larmes de crocodile, les Ouïghours dansent et chantent sur «Uyghur Got Talent»: https://videos.files.wordpress.com/GLXqnCR4/uyghur-got-talent-5_dvd.mp4 Les États-Unis doivent vraiment redéfinir leur politique étrangère, qui repose désormais sur le chaos, la confrontation, les guerres, les stratégies de division et de conquête machiavéliques et une propagande sans fin. Les États-Unis ont besoin d’une approche positive basée sur la coopération, la concurrence amicale et les politiques éthiques. Article de blog connexe: Le Xinjiang en images (diaporama)
Edité le 08-09-2019 à 20:54:55 par Xuan |
| | Posté le 11-11-2019 à 15:51:00
| Il y a ,il me semble,une association pro-ouighoure à Farebersviller en Moselle,.se dirige t on vers l alliance du sabre et du goupillon-et du croissant-,visant à soutenir les Ouïghours,les Tibétains,le Hong Konger Front et les chrétiens de Chine pour dépecer ce pays ?Jean Luc Mélenchon va t il,de facto,cautionner le djihad au Xinjiang de par la présence possible d islamistes radicaux qui ont peut être défilé hier contre l islamophobie à ses côtés ?
Edité le 11-11-2019 à 17:07:55 par marquetalia |
| | Posté le 12-11-2019 à 23:30:28
| Il te semble que c'est peut-être possible... Avec tes effets d'annonce, tes conditionnels et tes peut-être, tu ressembles de plus en plus à un pigiste de des magazines people
Edité le 12-11-2019 à 23:32:35 par Xuan |
| | Posté le 28-11-2019 à 21:32:34
| http://m.rfi.fr/asie-pacifique/20191127-xinjiang-ouighours-genocide-culturel-chine |
| | Posté le 28-11-2019 à 21:34:50
| Ça utilise clairement le mot de génocide. C’est vraiment du parole contre parole. |
| | Posté le 29-11-2019 à 09:23:19
| Cela m étonnerait que la Chine Populaire eclate aux Xinjiang et au Xizang,on n est pas dans le contexte de l Urss de 1991-1992,quand la Russie a perdu les Pays Baltes,qui contenaient pourtant à l époque-et encore maintenant-un pourcentage important de Russophones, surtout la Lettonie.
Edité le 29-11-2019 à 12:08:14 par marquetalia |
| | Posté le 30-11-2019 à 22:19:41
| Les Usa ne soutiennent plus les Ouïghours,ces derniers sont depuis belle lurette liés à Al Qaeda.Concernant le Tibet,le Dalaï lama revendique seulement l autonomie.
Edité le 30-11-2019 à 23:00:53 par marquetalia |
| | Posté le 30-11-2019 à 23:05:15
| Le plus grand danger pour l intégrité territoriale chinoise vient du séparatisme mandchou, téléguidé par les ultranationalistes japonais.ils veulent recréer le régime fantoche du Manchukuo,qui était reconnu par l entité pédophile vaticane dès sa création en 1931-32, ainsi que par l Italie de Mussolini et l Allemagne nazie.
Edité le 30-11-2019 à 23:06:27 par marquetalia |
| | Posté le 01-12-2019 à 07:21:39
| marquetalia a écrit :
Le plus grand danger pour l intégrité territoriale chinoise vient du séparatisme mandchou, téléguidé par les ultranationalistes japonais.ils veulent recréer le régime fantoche du Manchukuo,qui était reconnu par l entité pédophile vaticane dès sa création en 1931-32, ainsi que par l Italie de Mussolini et l Allemagne nazie. |
Quel est l'intérêt de rappeler "l' entité pédophile vaticane"? Plus utile de montrer le rôle du Vatican dans le soutien continuel des régimes fascistes ou impérialistes. |
| | Posté le 01-12-2019 à 08:07:13
| La plupart des curés sont des pointeurs.et après ils veulent donner des leçons de morale en critiquant les couples lesbiens, traités de "déviants"! |
| | Posté le 01-12-2019 à 09:09:01
| Le Vatican a appuyé , avant et pendant la Seconde Guerre mondiale,en plus du Manchukuo de Pu Yi,la Grande Croatie de Ante Pavelic,ainsi que le régime fasciste de Slovaquie, dirigée à l époque par un prêtre intégriste.il et indéniable qu aujourd'hui,la frange réactionnaire du Saint Siege soutient l extrême droite qui veut écraser les Indios en Bolivie, essentiellement des descendants d Oustachis croates.l ordre nouveau s installe dans ce pays, à cause de l Ue de l eurofascisation et du fondamentaliste évangéliste Donald Trump,un régime d apartheid va s y installer.
Edité le 01-12-2019 à 10:11:38 par marquetalia |
| | Posté le 01-12-2019 à 09:09:37
| Nous sommes des communistes,nous n allons quand-même pas haïr le peuple ! |
| | Posté le 01-12-2019 à 10:44:15
| marquetalia a écrit :
Le Vatican ... la frange réactionnaire du Saint-Siège |
Je ne vois pas l'intérêt de découper en franges les dirigeants du Vatican, cette institution est réactionnaire depuis qu'elle existe et c'est sa principale raison d'être. À part retarder le progrès quelque soit sa forme, Le Vatican n'a jamais rien entrepris. Les progressistes doivent rejeter les sous marins du Vatican, tout particulièrement les syndicalistes dits chrétiens prêts à tous les compromis et toutes les trahisons. |
| | Posté le 01-12-2019 à 11:51:12
| Il y a pourtant le courant de pensée de la théologie de la Libération,dont le sandinisme au Nicaragua se revendiquait-et se revendique encore.
Edité le 01-12-2019 à 11:51:38 par marquetalia |
| | Posté le 02-12-2019 à 13:08:02
| Un autre courant de pensée me traverse l'esprit : Le sujet concerne le Xinjiang et la lutte de la rpc contre le terrorisme islamiste. Rien à voir avec le st siège. Encore une fois tu pars en vrille. L'actualité récente montre que les puissances impérialistes ne font rien pour éradiquer l'idéologie terroriste et relâchent des individus dangereux qui réitèrent après un stage en tôle de quelques années. C'est ce qui s'est produit à Londres. Mais ca n'empêche pas la presse bourgeoise de donner des lecons à la Chine
Edité le 02-12-2019 à 13:09:08 par Xuan |
| | Posté le 02-12-2019 à 13:56:21
| J ai fait allusion au "Saint Siege"car celui ci soutenait le régime fantoche mandchou des les années 30,et que le Manchukuo risque de se recréer, surtout si les Nippons se réarment,et s allient aux indépendantistes Ouïghours et Hong kongais.par contre,un article du Diplo de ce mois ci atteste que la Chine Populaire laisse les Tibétains pratiquer leurs cultes, contrairement aux analyses tordues de certains en Europe occidentale et en Amérique du Nord.idem pour Macao,dont les dirigeants chinois vantent les mérites de l attachement au pouvoir central de Pékin.
Edité le 25-01-2020 à 14:12:03 par marquetalia |
| | Posté le 02-12-2019 à 14:34:30
| Le Vatican a gardé sa politique étrangère proimperialiste en Asie,elle est le principal appui diplomatique mondial à l entité anticommuniste formosane.le problème est que Shinzo Abe,puis son successeur fin 2021,et Trump enverront leurs flottes afin de combattre aux côtés de Taiwan, à moins que le Kuomintang ne soit élu le mois prochain à Taipei,pour un principe un pays,deux systèmes.il se peut que la Chine récupére Taiwan sans le moindre coup de canon,dixit un article du journal le Monde d il y a près d une dizaine d'années,si ce n est pas plus, évidemment le journal bourgeois bobo pro réformes sociétales le Monde....
Edité le 02-12-2019 à 18:03:06 par marquetalia |
| | Posté le 04-12-2019 à 10:01:11
| Grecfrites a écrit :
Ça utilise clairement le mot de génocide. C’est vraiment du parole contre parole. |
A noter ceci : A propos du Tibet les imperialistes ont d'abord parlé de genocide Comme la population tibetaine a en fait augmente et que les chiffres etaient aberrants le discours a change et ils sont passe au genocide "culturel" tout aussi mensonger puisque le tibetzin est au programme scolaire Meme topo au xinjiang |
| | Posté le 04-12-2019 à 16:44:21
| Juste au passage,le Npa et la Cnt contribuent à la campagne de dénigrement de la République Populaire de Chine au Tibet et au Xinjiang,idem pour le Monde Diplomatique ,le journal altermondialiste également à Hong Kong et à Formose.
Edité le 10-12-2019 à 10:50:44 par marquetalia |
| | | | Posté le 09-12-2019 à 22:44:01
| Xinjiang : plus de 9 000 ménages disent adieu à leur maison délabrée le Quotidien du Peuple en ligne | 09.12.2019 15h41 http://french.peopledaily.com.cn/Economie/n3/2019/1209/c31355-9639173.html Au total, 9 355 ménages ont fait leurs adieux à leurs maisons délabrées et ont emménagé dans de nouvelles dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) cette année, marquant la fin de la situation dans laquelle des habitants pauvres vivaient dans des maisons délabrées de la région. La famille de Sherihan Heyt, qui habite dans le village d'Aratax, dans le comté de Shache, est l'une de ces 9 355 personnes. La famille de Sherihan vivait au fin fond des monts Kunlun depuis des générations. Avec beaucoup d'excitation, Sherihan est en train de ranger sa nouvelle maison de 80 mètres carrés, qui est équipée de meubles et d'appareils électroménagers tels qu'une table de bout, un canapé, un meuble TV et un réfrigérateur. Photo aérienne combinée montrant le lieu de résidence des habitants avant la réinstallation le 8 juillet 2019 (en haut) et un site de réinstallation pour les habitants le 4 juillet 2019 (en bas) dans le comté autonome tadjik de Taxkorgan, dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine). (Hu Huhu / Xinhua) « Notre ancienne maison n'était pas loin d'ici » , a expliqué Sherihan. « L'ancienne maison, la cour et la bergerie étaient souvent inondées pendant les saisons des pluies. Certains des murs de notre ancienne maison d'argile se sont effondrés et la maison s'est délabrée » . Cependant, des changements ont eu lieu ces dernières années. Les villageois ont emménagé dans de nouvelles maisons et de nouvelles routes ont été construites. « Quand je suis arrivé ici il y a plusieurs années, il n'y avait que des routes boueuses et caillouteuses et pas d'électricité ni d'eau courante », se souvient Li Xuebiao, secrétaire du Parti du village. « Tant de grands changements ont eu lieu ces dernières années. Un changement majeur est que nous n'avons plus à nous soucier des inondations » , a déclaré Sherihan tout en pointant dans la direction d'un projet de conservation en cours dans une vallée non loin du village. Le projet de conservation de l'eau d'Aratax mentionné par Sherihan est le plus grand projet de conservation de l'eau en construction au Xinjiang. Une fois achevé, il jouera un rôle complet dans la lutte contre les inondations, l'irrigation et la production d'électricité. Le Xinjiang a fait de gros efforts pour rénover les maisons délabrées de la région de 2014 à 2018 et a achevé la rénovation de 395 400 ménages. La région a alloué plus de 2 milliards de yuans (environ 282 millions de dollars) de subventions cette année pour rénover des maisons délabrées dans ses zones rurales. Dans le même temps, un total de 2,31 millions de personnes sont sorties de la pauvreté au cours de la période, le taux de pauvreté étant tombé à 6,1% contre 19,4% auparavant. (Rédacteurs :Xiao Xiao, Yishuang Liu)
Edité le 09-12-2019 à 22:45:26 par Xuan |
| | Posté le 10-12-2019 à 13:03:37
| Les efforts de lutte contre le terrorisme protègent de manière efficace les droits de l'homme au Xinjiang (COMMENTAIRE) http://french.xinhuanet.com/2019-12/05/c_138608618.htm BEIJING, 5 décembre (Xinhua) -- Une série d'efforts de lutte contre le terrorisme imposés par la situation au Xinjiang se sont avérés efficaces dans la protection du droit à la vie, à la santé et au développement du peuple, ainsi qu'au maintien de la paix et de la stabilité de la région. Victime à maintes reprises d'attaques terroristes, cette vaste région a obtenu d'importants progrès grâce à l'application des politiques et mesures de lutte contre le terrorisme. Les souvenirs des attaques terroristes au Xinjiang sont encore trop frais pour être oubliés. Selon des statistiques incomplètes, de 1990 à la fin 2016, les forces séparatistes, terroristes et extrémistes ont lancé des milliers d'attaques terroristes au Xinjiang, tuant un grand nombre d'innocents et des centaines de policiers et causant des dégâts matériels incalculables. Afin d'empêcher que le terrorisme, le séparatisme et l'extrémisme ne dévastent la région, le Xinjiang a adopté des mesures cohérentes et résolues contre ces "forces du mal", afin de protéger les droits et la sécurité de la population. Conformément à la Constitution et aux lois pertinentes, le Xinjiang a publié une série de règlements locaux en tenant compte des réalités locales, offrant une arme juridique puissante pour lutter contre le terrorisme et l'extrémisme. Les centres d'éducation et de formation professionnelles établis au Xinjiang ont également joué un rôle important dans la lutte contre le terrorisme et dans les efforts de déradicalisation. De nature préventive, ces centres aident les personnes qui sont trompées par les forces terroristes ou même qui y ont participé et qui ont commis des infractions mineures à se débarrasser des idéologies extrémistes et à acquérir des compétences professionnelles. Grâce à ces efforts, il n'y a pas eu une seule attaque terroriste violente au Xinjiang pendant trois années consécutives. Le droit à la vie, à la santé et au développement du peuple a été entièrement garanti. La région fait des efforts constants pour améliorer les droits de l'homme et les conditions de vie. La population de tous les groupes ethniques au Xinjiang bénéficie d'une liberté totale de croyance religieuse. Les activités religieuses normales sont protégées conformément à la loi. Au Xinjiang, il y a plus de 24.000 mosquées, soit une mosquée pour 530 musulmans en moyenne. Les services publics, tels que les examens de santé gratuits pour tous, l'assurance contre les maladies graves, l'éducation préscolaire gratuite pour les enfants dans les zones rurales, et les projets de logement pour les bergers et les agriculteurs, ont permis à la population d'avoir un sentiment fort de satisfaction et de bonheur. Cependant, ces faits importants et essentiels ont été ignorés par certaines forces anti-Chine, qui ferment les yeux sur les lourdes pertes humaines dans les attaques terroristes et tous les progrès réalisés par le Xinjiang. Seuls les habitants au Xinjiang connaissent le mieux la situation réelle de la région et sont les mieux placés pour en parler, et aucune force ne peut arrêter la région de progresser.
___________________ La mascarade malintentionnée et interventionniste de Washington sur le Xinjiang http://french.xinhuanet.com/2019-12/05/c_138606101.htm BEIJING, 4 décembre (Xinhua) -- La Chambre des représentants américaine a approuvé mardi un projet de loi scandaleusement infondé et biaisé sur la Région autonome ouïgoure du Xinjiang (ouest de la Chine) dans une nouvelle tentative flagrante d'utiliser les droits de l'Homme comme prétexte pour intervenir dans les affaires internes de la Chine. Ce projet de loi, qui regorge de mensonges, d'arrogance et de préjugés, ne trompera pourtant pas les yeux avertis et cette démarche antichinoise de Washington, comme toutes les mascarades similaires du passé, est vouée à l'échec et se couvrira de ridicule. Pour commencer, les questions liées au Xinjiang ne portent pas sur les droits de l'Homme, l'ethnicité ou la religion, mais sur la lutte contre la violence, le terrorisme et le séparatisme, le maintien de la stabilité et la sécurité, ainsi que la protection du développement économique et social de la région. Le Xinjiang est l'un des principaux champs de bataille de la Chine dans son combat contre le terrorisme. Les archives officielles montrent qu'entre les années 1990 et 2016, des milliers d'activités terroristes violentes ont eu lieu dans la région, ôtant la vie à de nombreux innocents et causant d'importants dégâts matériels. C'était une situation désastreuse qu'aucun gouvernement responsable dans le monde ne tolérerait sur son propre territoire. Les Nations Unies, dans leur "Plan d'action pour la prévention de l'extrémisme violent" de 2015, ont appelé tous les pays du monde à élargir leurs réponses, à agir plus tôt et à éliminer les facteurs de l'extrémisme violent tels que la pauvreté, le manque d'opportunités socio-économiques ou encore la distorsion et le mauvais usage des croyances. Les efforts multi-volets de la Chine dans la lutte contre les forces du séparatisme, de l'extrémisme et du terrorisme sont conformes au plan d'action onusien et ont permis de formidables progrès. Grâce à ces mesures, le Xinjiang n'a pas connu une seule attaque terroriste violente durant trois années consécutives. Prenons pour exemple le programme de formation professionnelle du Xinjiang. Il a pour objectif de fournir aux personnes influencées par les enseignements extrémistes religieux et terroristes une éducation en mandarin, une compréhension de la loi et une formation professionnalisante. De nombreux étudiants ont trouvé un emploi, lancé leur propre entreprise ou poursuivi leurs études dans des établissements professionnels après avoir terminé le programme. Quant à la situation des droits de l'Homme au Xinjiang, les faits sont plus éloquents que les mots. Beijing a toujours attaché une grande importance au renforcement de la stabilité et du développement dans la région et à l'amélioration du bien-être de ses 25 millions d'habitants. Au cours des 64 dernières années depuis l'établissement de la région autonome, son économie s'est développée à grande vitesse et des millions de résidents sont sortis de la pauvreté. Malgré la perpétuelle campagne de dénigrement de Washington, le respect des droits de l'Homme au Xinjiang est de plus en plus reconnu à l'échelle internationale. Depuis la fin de l'année dernière, des dizaines de groupes d'envoyés étrangers, de responsables de l'ONU et de représentants d'organisations internationales, de médias et de groupes religieux se sont rendus au Xinjiang. Les mesures globales adoptées par le gouvernement de la région autonome et les résultats tangibles de la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme ont remporté un large soutien et une reconnaissance étendue. La diffamation et l'ingérence de Washington ne terniront pas les progrès antiterroristes au Xinjiang et n'atténueront pas la détermination de Beijing à maintenir la stabilité dans la région, préserver sa souveraineté nationale et protéger les droits légitimes du pays à la sécurité et au développement. Les Américains connaissent bien le malheur des attentats terroristes. Les hommes politiques de Washington doivent donc se joindre à la Chine et aux autres pays du monde pour vaincre tous les types de terrorisme et d'extrémisme. Ils devraient au moins ne pas miner les efforts des autres dans la lutte contre cette menace commune à toute l'humanité. |
| | Posté le 22-01-2020 à 18:03:26
| Le Xinjiang nie tout « placement forcé en internat » d'étudiants le Quotidien du Peuple en ligne 22.01.2020 13h54 http://french.peopledaily.com.cn/n3/2020/0122/c31357-9651102.html La Région autonome ouïgoure du Xinjiang n'a jamais forcé les élèves de groupes ethniques à aller dans des pensionnats, comme le prétendent certains médias occidentaux, et la promotion du chinois standard parlé et écrit ne vise pas à « éradiquer la culture des minorités ethniques » , ni « à remplacer l'ouïghour par le chinois » et pas davantage « à apprendre aux étudiants à haïr leurs parents et leur culture » , ont déclaré des responsables du Xinjiang. Le Xinjiang a accéléré le développement des internats, une partie importante de ses efforts pour faire avancer le développement équilibré de l'enseignement obligatoire. Cette décision a effectivement résolu le problème de la scolarisation des enfants dans les zones agricoles et d'élevage isolées, a déclaré le 20 janvier Elijan Anayit, porte-parole du gouvernement régional, lors d'une conférence de presse tenue à Urumqi, la capitale régionale. Un garçon prend un déjeuner gratuit dans une école du comté de Yutian, dans la Région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 19 novembre 2019. (Photo / Xinhua) À la fin de 2018, les internats représentaient 12,9% des élèves du primaire et 44,7% des élèves du premier cycle du secondaire au Xinjiang, le taux d'internat se situant dans la moyenne parmi les provinces occidentales et les régions autonomes et à peu près le même que la moyenne nationale, a-t-il ajouté. Tout en aidant les étudiants à maîtriser le chinois standard parlé et écrit conformément à la loi afin qu'ils puissent mieux s'intégrer dans la société moderne, le droit des étudiants d'apprendre et d'utiliser leur langue maternelle et leurs systèmes écrits est entièrement protégé, a de son côté souligné Aniwar Abulimit, directeur du Bureau de l'éducation de la préfecture de Kashgar, dans le sud du Xinjiang. « Nous proposons des matières sur les langues ethniques dans les écoles primaires et secondaires, et enseignons l'ouïghour, le kazak, le kirgiz, le mongol, le xibe, etc. protégeant ainsi les droits des étudiants des groupes ethniques à apprendre leur propre langue et à promouvoir efficacement l'héritage et le développement des langues et des cultures des minorités ethniques » , a ajouté M. Aniwar. La conception des programmes et les examens des écoles primaires et intermédiaires ont également inclus des matières de langues ethniques. Les écoles sont également encouragées à organiser des activités culturelles traditionnelles des groupes ethniques. Ces efforts ont effectivement favorisé l'héritage et le développement des langues et cultures ethniques, a noté M. Elijan. « Le fait de demander ou non un internat est entièrement un choix volontaire des étudiants et de leurs parents sans un prétendu internat forcé » , a déclaré Kadeerdin Kahar, directeur d'un pensionnat primaire dans un village du comté de Hotan, dans la préfecture de Hotan, dans le sud du Xinjiang. Jiapar Abdula, une agricultrice du canton de Bageqi, dans le comté de Hotan, a déclaré qu'elle avait décidé d'envoyer ses enfants dans un pensionnat primaire parce qu'elle était occupée par les travaux agricoles et que sa maison est loin de toute école. « Mes enfants sont très heureux à l'école et leurs notes s'améliorent » , a-t-elle affirmé. « De plus, ils peuvent manger et étudier gratuitement à l'école. C'est une grande faveur pour ma famille » , a-t-elle ajouté. Rédacteurs :Yishuang Liu |
| | Posté le 03-03-2020 à 18:06:40
| Ici on trouve naturel de commémorer les attentats du Bataclan mais on ignore avec mépris les attentats qui ont frappé la Syrie, quant à la Chine c'est tout juste si les terroristes ne sont pas qualifiés de "démocrates" Une vidéo sur le terrorisme au Xinjiang. Les attentats terroristes islamistes ont frappé les masses avec une rare intensité : https://news.cgtn.com/news/2019-12-05/Fighting-terrorism-in-Xinjiang-MaNLLDtnfq/index.html Lutter contre le terrorisme au Xinjiang "Entre 1990 et 2016, des milliers d'attaques terroristes ont secoué la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, tuant un grand nombre de personnes innocentes et des centaines de policiers. Des coups de couteau et des bombardements horribles ont secoué la terre autrefois connue comme un centre commercial sur l'ancienne route de la soie en Chine. Les dommages causés aux communautés locales étaient incalculables tandis que la stabilité dans la région s'est rapidement détériorée. Les autorités ont fait de gros efforts pour rétablir la paix sur cette terre. Dans cet exposé exclusif de CGTN, nous vous montrons des images inédites documentant les tragédies effrayantes du Xinjiang et la résilience de son peuple."
Edité le 03-03-2020 à 18:13:50 par Xuan |
| | Posté le 03-03-2020 à 20:50:53
| Xuan a écrit :
Concernant l'islamisme radical et le terrorisme dans certaines régions, la Chine a cherché les causes de son développement et s'est engagée dans une double voie : la rééducation d'une part, le progrès économique et la formation professionnelle d'autre part.
________________________ Ouïghours : Erdogan prône une solution tenant compte des « sensibilités » des deux parties http://www.armenews.com/spip.php?page=article&id_article=15247 Ankara, 4 juil 2019 (AFP) - Le président turc Recep Tayyip Erdogan a prôné après une visite en Chine une solution à la situation des Ouïghours au Xinjiang « tenant compte des sensibilités » des deux parties, selon des propos rapportés par la presse jeudi. "Je pense que l’on peut trouver une solution en tenant compte des sensibilités de chacun" , a déclaré M. Erdogan dans une interview accordée à plusieurs journaux avant son retour en Turquie. Depuis une série d’attentats sanglants au Xinjiang attribués à des membres de la minorité turcophone des Ouïghours, le gouvernement chinois impose des mesures de sécurité draconiennes dans cette vaste région, frontalière de l’Asie centrale et du Pakistan. La Chine est soupçonnée d’avoir interné dans le territoire jusqu’à un million de personnes dans des camps de rééducation. Pékin dément ce chiffre et parle de « centres de formation professionnelle » destinés à lutter contre la radicalisation islamiste. Jusqu’à présent, la Turquie est le seul pays musulman à avoir fermement dénoncé l’existence de ces structures, le ministère des Affaires étrangères qualifiant de « honte pour l’humanité » le traitement réservé aux Ouïghours. L’agence officielle chinoise Chine nouvelle a affirmé que lors de sa visite à Pékin et sa rencontre mardi avec le président chinois Xi Jinping, M. Erdogan a déclaré que les gens vivaient « heureux » au Xinjiang, une apparente volte-face. Sans commenter les propos rapportés, le chef de l’Etat turc a toutefois déploré, selon l’interview publiée jeudi, l’approche « émotionnelle » de certains, qui affecte selon lui les relations bilatérales entre Ankara et Pékin et en fait « payer le prix » à la Turquie et à ses citoyens. Lors de son déplacement en Chine, M. Erdogan a indiqué à ses interlocuteurs qu’Ankara souhaitait que "les Ouïghours puissent vivre dans la paix et la prospérité« en Chine et »transmis ses points de vue et attentes à ce sujet" , a assuré mercredi le directeur de la communication de la présidence turque, Fahrettin Altun. M. Altun a en outre indiqué que Pékin avait invité la Turquie à envoyer une délégation au Xinjiang pour y « observer la situation » , ajoutant que M. Erdogan avait reçu cette proposition de manière « positive » . par Ara Toranian le vendredi 5 juillet 2019 © armenews.com 2019 |
Quand j'ai vu ça au JT j'avais trouvé ça fort de café vu ce qui se passe en Turquie.... Genre personne n'a levé un sourcil normal. http://french.peopledaily.com.cn/n3/2020/0122/c31357-9651102.html Le lien est cassé je crois que le site a de gros problèmes.. La dernière fois que j'ai eu ça sur un site socialiste ce n'était pas une interruption temporaire mais une fermeture complète ! |
| | Posté le 12-03-2020 à 21:33:21
| https://twitter.com/shawnwzhang/status/1113148584310927360?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1113148584310927360&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.la-croix.com%2FReligion%2FIslam%2FChine-destructions-massives-mosquees-Xinjiang-2019-05-10-1201020947 Je me tiens quand même.... On ne nous dit pas tout.... Puis juste pour être sûr je cherche le nom de la mosqué sur google map... https://www.google.com/maps/search/Keriya+Aitika+Mosque+googlemaps/@10.2438387,-76.4474595,3z/data=!3m1!4b1 Eeeeeeeerrrrrrrrrrmmmmmmmm USA.... Je sens des magouilles que j'ai déjà vu en Syrie.... Avec ces ONG d'ingérence.... Apparament remplacé par un hôpital.... Qui a été démonté après la crise du corna virus... Un mosquée vieille de 800 ans apparemment. Il semble que la chine démoli pour des prétextes ridicules les mosquées sur sa frontière est uniquement.... Il y a des enjeux territoriaux... C’est la position qu'on aurait du prendre depuis le début.... Ne pas croire complètement les deux partis et confronter les versions des faits. Plutôt que d'avoir un soutient inconditionnel du PCC. On a déjà vue la Russie mentir sur la Syrie même s'il disaient majoritairement la vérité...
Edité le 12-03-2020 à 21:46:29 par Plaristes |
| | Posté le 12-03-2020 à 23:22:53
| Dans l'article signalé par Grecfrites http://m.rfi.fr/asie-pacifique/20191127-xinjiang-ouighours-genocide-culturel-chine Ce que prétend décrire rfi n'est pas un génocide mais un "génocide culturel" selon l'expression employée aussi pour le Tibet, avec des "mesures d'internement. La source de l'article s'appelle Adrian Zenz qui parle de « génocide culturel » et de ses "estimations". Le "Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ)" est basé à Washington, et issu du Center for Public Integrity "progressiste et libéral", qui fut financé par Soros. Les sources sont dites établies "sur la base de fuites de documents classifiés du gouvernement chinois" ... On lit "Il y a aussi une signature clé sur les documents: Zhu Hailun , chef de la commission politique et juridique du Xinjiang. Deux personnes à qui nos sources ont parlé ont dit avoir vu la signature de Zhu et sont certaines que c'est sa signature et son écriture. Ils ont fourni des explications convaincantes sur la façon dont ils ont rencontré des signatures". Si c'est convaincant alors... On lit dans l'interview d'Adrian Zenz : "on peut parler de génocide, puisque ces internements forcés ont pour but d’exterminer une identité et les racines culturelles des Ouïghours et des Kazakhs. La dernière fois que l’on a vu un internement aussi massif et systématique d’un groupe ethnique et religieux, c’était pendant l’Holocauste, sous les nazis." C'est clairement outrancier et mensonger, l'holocauste était le massacre physique des juifs et non leur "internement forcé" . Or rfi parle d' "exterminer une identité et les racines culturelles" et non des personnes physiques. On voit sur la photo des musulmans vêtus comme des musulmans et sortir d'une mosquée : où se trouve l'extermination de l'identité et de la culture là-dedans ? Adrian Zenz essaie d'assimiler la politique chinoise envers les Ouïghours et l'holocauste avec un raisonnement qui ne tient pas la route et qui laisse un sérieux doute sur ses propres "estimations" Et rfi reprend sans sourciller, mais sa ligne éditoriale est anti chinoise depuis fort longtemps. Il faudrait que rfi explique pourquoi de nombreuses mosquées existent là-bas, dans lesquelles la population pratique sa religion, et pourquoi la population elle très fréquemment vêtue de ses habits traditionnels. Le commentaire sous la photo dit "Des policiers chinois surveillent la sortie de la mosquée de Kashgar" . Dans quel but ? Dans la vidéo que j'ai signalée plus haut, on voit que des attentats islamistes ont frappé des passants y compris musulmans et leurs lieux de culte. Est-ce normal que la police surveille ces lieux dans ces conditions ou bien s'agit-il de mesures d'intimidation ? En France la police a surveillé des synagogues, personne n'a parlé de génocide culturel. De fait il est parfaitement exact que le PCC essaie de briser non pas la population, mais les terroristes, de les convaincre de renoncer à leurs exactions. En France les terroristes sont enfermés dans des prisons où ils font du prosélytisme, de sorte que les prisons elles-mêmes sont des nids de recrutement. Parallèlement la Chine considère que la grande pauvreté, particulièrement répandue dans ces régions, est un terreau où se développe le terrorisme. Et cette pauvreté est liée au manque de formation professionnelle et au retard économique de régions plutôt arriérées du point de vue du mode de production. L'article http://french.peopledaily.com.cn/n3/2020/0122/c31357-9651102.html qui est toujours en ligne indique : ....Le Xinjiang a accéléré le développement des internats, une partie importante de ses efforts pour faire avancer le développement équilibré de l'enseignement obligatoire. Cette décision a effectivement résolu le problème de la scolarisation des enfants dans les zones agricoles et d'élevage isolées, a déclaré le 20 janvier Elijan Anayit, porte-parole du gouvernement régional, lors d'une conférence de presse tenue à Urumqi, la capitale régionale. la fin de 2018, les internats représentaient 12,9% des élèves du primaire et 44,7% des élèves du premier cycle du secondaire au Xinjiang, le taux d'internat se situant dans la moyenne parmi les provinces occidentales et les régions autonomes et à peu près le même que la moyenne nationale, a-t-il ajouté. Tout en aidant les étudiants à maîtriser le chinois standard parlé et écrit conformément à la loi afin qu'ils puissent mieux s'intégrer dans la société moderne, le droit des étudiants d'apprendre et d'utiliser leur langue maternelle et leurs systèmes écrits est entièrement protégé, a de son côté souligné Aniwar Abulimit, directeur du Bureau de l'éducation de la préfecture de Kashgar, dans le sud du Xinjiang. « Nous proposons des matières sur les langues ethniques dans les écoles primaires et secondaires, et enseignons l'ouïghour, le kazak, le kirgiz, le mongol, le xibe, etc. protégeant ainsi les droits des étudiants des groupes ethniques à apprendre leur propre langue et à promouvoir efficacement l'héritage et le développement des langues et des cultures des minorités ethniques » , a ajouté M. Aniwar. La conception des programmes et les examens des écoles primaires et intermédiaires ont également inclus des matières de langues ethniques. Les écoles sont également encouragées à organiser des activités culturelles traditionnelles des groupes ethniques. Ces efforts ont effectivement favorisé l'héritage et le développement des langues et cultures ethniques, a noté M. Elijan. « Le fait de demander ou non un internat est entièrement un choix volontaire des étudiants et de leurs parents sans un prétendu internat forcé » , a déclaré Kadeerdin Kahar, directeur d'un pensionnat primaire dans un village du comté de Hotan, dans la préfecture de Hotan, dans le sud du Xinjiang. Jiapar Abdula, une agricultrice du canton de Bageqi, dans le comté de Hotan, a déclaré qu'elle avait décidé d'envoyer ses enfants dans un pensionnat primaire parce qu'elle était occupée par les travaux agricoles et que sa maison est loin de toute école. « Mes enfants sont très heureux à l'école et leurs notes s'améliorent » , a-t-elle affirmé. « De plus, ils peuvent manger et étudier gratuitement à l'école. C'est une grande faveur pour ma famille » , a-t-elle ajouté.[/i]
Edité le 12-03-2020 à 23:44:00 par Xuan |
| | Posté le 13-03-2020 à 13:28:04
| "Le commentaire sous la photo dit "Des policiers chinois surveillent la sortie de la mosquée de Kashgar" . Dans quel but ? Dans la vidéo que j'ai signalée plus haut, on voit que des attentats islamistes ont frappé des passants y compris musulmans et leurs lieux de culte. Est-ce normal que la police surveille ces lieux dans ces conditions ou bien s'agit-il de mesures d'intimidation ? En France la police a surveillé des synagogues, personne n'a parlé de génocide culturel. " Oui mais là ce sont de vieilles mosquées aussi vieilles que nos églises et cathédrales catholiques ! Et elle se font belle et bien rasées.... Pour des prétextes à la con en plus. Je connais la propagande U.S.A et de ces ONG d'ingérence, mais ça aurait con de ma part de ne pas soupcener le gouvernement chinois d'excès de zèle qui pour toi te semble une impossibilité évidente. Toutes ces mosquées qui se font rasées sont très proches de la frontière. Et ce sont sur ces cas que la propagande occidentale insiste pour faire son story telling. Le mobile exacte de ces actions est encore à découvrir, ce n'est peut-être pas quelque chose d’aussi rationnel qu'on ne le pense ! Mais ça à l'air d'être en lien avec cette zone entre le Pakistan et la chine... Les problèmes ethniques avancés par la propagande occidentale ne sont peut-être pas ceux que l'ont rencontre sur le terrain....
Edité le 13-03-2020 à 13:28:20 par Plaristes |
| | Posté le 13-03-2020 à 15:26:03
| Il existe aussi des mosquées en France qui servent d'école pour l'islamisme radical. La proximité avec le Pakistan est-elle en lien comme tu dis ? Je n'ai pas de réponse. Je me suis posé depuis très longtemps des questions sur la Chine. J'ai soutenu la GRPC. J'ai appris qu'il y avait eu des excès très graves. Je me suis de nouveau interrogé sur la ligne de Deng Siao Ping. J'ai dénoncé les attaques de la gauche libérale occidentale contre les JO de Pékin, après les troubles fomentés - dans ce but - au Tibet par le Dalaï Lama... La réalité n'est pas simple et il faut se fier aux faits. Mais ils ne sont pas toujours accessibles. D'autre part le PCC n'est pas une assemblée de clones. Il y existe des positions quasi libérales comme d'autres qui les dénoncent vertement au nom de la lutte de classe. Ce qui compte est le point de vue officiel mais il faut savoir qu'il reflète et répond aussi à ces débats internes. Depuis près de 15 ans je suis la presse chinoise en ligne. J'ai constaté très souvent que les chinois font ce qu'ils disent et qu'ils disent ce qu'ils font. Excepté le genre de fake news auxquels les médias occidentaux se sont livrés sur le Tibet ou les Ouïghours, les critiques faites à la Chine sont d'abord relatées par la presse chinoise elle-même, et l'occident les reprend comme si c'était un scoop en ajoutant des gros titres, des conclusions fatalistes et des sermons sur le totalitarisme.
Edité le 13-03-2020 à 15:42:31 par Xuan |
| | Posté le 13-03-2020 à 18:54:29
| "Il existe aussi des mosquées en France qui servent d'école pour l'islamisme radical." Oui mais généralement elles ont moins d'un siècle voir deux grand maximum ! On peut fermer renommer un établissement sans avoir à littéralement le raser de la carte, et cette possibilité doit être prise en compte quand ce sont des monument qui font parti du patrimoine. "Depuis près de 15 ans je suis la presse chinoise en ligne. J'ai constaté très souvent que les chinois font ce qu'ils disent et qu'ils disent ce qu'ils font. Excepté le genre de fake news auxquels les médias occidentaux se sont livrés sur le Tibet ou les Ouïghours, les critiques faites à la Chine sont d'abord relatées par la presse chinoise elle-même, et l'occident les reprend comme si c'était un scoop en ajoutant des gros titres, des conclusions fatalistes et des sermons sur le totalitarisme." J'avais une vision similaire, mais depuis que je suis tombé sur étude qui visait à prouver que les calomnies colportés sur la chine étaient fausse et que la chine n'était pas une dictature, mais a fini par tomber sur des chose très compromettantes, techniquement on ne pourra sortir de la dictature qu'avec le communisme aboutit, et la société choisie.... Mais je pense que là, quand on oppose dictature et démocratie, on oppose en faîtes dictature du plus petit nombre et dictature du plsu grand nombre. Et pour moi la Chine st une dictature du petit nombre qui de part son système néo-impérial achète l'approbation des gens (d'où le système black miror qui mesure et contrôle cette approbation...) Xi est un prince rouge... Dans les ex pays de l'URSS ou pays de l'est si on est nostalgique de l'URSS qu'ont vomit sur gorbatchef, on parle mal des communistes. Car le mot communiste veut dire "gas du parti" c'est à dire les collabos qui ont vendu leur peuple au néolibéralisme.... Il a une certaine dent contre Mao et fait parti du mouvement qui était pour la restauration capitaliste. C'est un véritable as du double discour. Le faîtes qu'il était envoyé en ré-éducation par le travail où il devait montré un certain zèle révolutionnaire l'a rendu maître de la technique. C'est dur à croire mais il faut voir les magouilles du comité permanent. La dictature du prolétariat des ouvrier et des paysan ne peux s'opérer dans ce système néo-iméprial où le PCC est dirigé non pas par les masses mais ce comité permanent qui contrôle partiellement les masses... La dictature du PCC sur la chine c'est la dictature de ce petit comité permanent qui sous prétexte de jouer au CDR cubain concentre tous les pouvoirs et organise de la manipulation de masse. On est en gros dans ce qu'aurait été l'URSS décadente de Brejnev après 40 ans de pourrissement supplémentaire sans Gorbatchev.... Les Maoïstes vraiment fidèle à Mao de manière la plus honnête et authentique qui soit sont mis en taule. Simplement car ils brisent l'illusion Et le double discour de Xi-Wing Ping... J'ai une très grande méfiance envers le gouvernement chinois.... Ils sont bien plus subtiles et intelligents que les propagandistes occidentaux.... Et les manipulations de la CIA.... Il n'ont pas cette stratégie du chaos. les éliminations politiques sont ciblée chirurgicales Là où la CIA mise sur le boxon et les bavures en espérant tirer profit du chaos... Le gouvernement chinois s'innocente avec les personnes épargnée de l'opération... Ils sont maîtres du double discours et bien plus redoutables que leur homologues occidentaux. Ici quand nos service secret Français affirme que X personnes en Afrique est mort naturellement après être retrouvé en jean dans un fleuve alors qu'il était partit en jogging faire son footing du Matin... On hausse des sourcils.... Et on râle. En chine les disparitions sont réelles et ça ne cible pas que des agents occidentaux faisant de l'ingérence.... Il me sera dur de retrouver mes sources, car elles contredisent grandement le story telling occidental. Les gourous de la guerre froide culturelle en occident se souvient du faîte que le printemps de Prague à immortalisé le communisme, un communisme authentique et local et non importé d'une Russie qui joue aux Zorros avec des états fantoches à l'ouest. Ils veulent éviter ce phénomène.... Pour voir ce dont je parle il faut oublier les magouilles des U.S.A au Tibet & co... Ou au pire les considérer comme une possibilité et non une évidence. Et jeter le regard sur des personnalités qui subissent la répression sans être liées à ces magouilles de la CIA... Étudier le contrôle de la presse en chine... Ça rien avoir avec ce qui est fait en Russie avec RT. Coire que al révolution culturelle est terminée est une erreur, elle a juste pris une forme plus subtile et plus douce. Agile et habile capable de changer de position selon les besoins et circonstances. C'est cette agilité et mobilité qui la rends invisible, quand on la suspecte quelque-part elle n'est déjà plus là. |
| | Posté le 13-03-2020 à 20:56:21
| Tu affirmes beaucoup de choses que tu ne démontres pas. Et tu avances pas mal d'accusations gratuites et de contre-vérités. Il y a plusieurs fils sur la Chine avec de nombreux exemples. Xi avance en particulier deux mots d'ordre "servir le peuple" et "partir des faits", qui sont des leitmotivs chez Mao. Tu dis "Il me sera dur de retrouver mes sources, car elles contredisent grandement le story telling occidental." Ben non, c'est mot pour mot tout ce qu'on peut trouver dans les poubelles des médias bourgeois depuis que Xi est au pouvoir, avec son contraire aussi quand ils s'aperçoivent que Xi peut être méchant avec les capitalistes. C'est peut-être là que résident tes difficultés, à répéter tout ce que tu lis tu finis par reproduire leurs contradictions. Et toi-même tu te contredis en disant que la révolution culturelle "a juste pris une forme plus subtile et plus douce" , après avoir affirmé que Xi "a une certaine dent contre Mao et fait parti du mouvement qui était pour la restauration capitaliste" Si on veut parler de double discours tu te poses là. Quand tu donneras quelques exemples factuels on reprendra la discussion. Je te rappelle que ce fil concerne le Xinjiang et qu'il y a d'autres fils sur la Chine sur le forum, histoire de ne pas parler de tout partout.
Edité le 13-03-2020 à 20:58:44 par Xuan |
| | Posté le 13-03-2020 à 22:21:45
| (COVID-19) Le Xinjiang dévoile des politiques de soutien en vue de favoriser l'emploi French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-02/28/c_138827941.htm Publié le 2020-02-28 à 17:55 Un homme et son épouse se reposent dans leur maison du village de Qushou du bourg de Saybag dans le district de Moyu, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest), le 21 novembre 2019. (Photo : Zhao Ge) Les habitants touchés par l'épidémie au Xinjiang recevront une aide à l'emploi, et l'assurance chômage sera versée à temps. URUMQI, 28 février (Xinhua) -- La région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest) a augmenté les subventions à la sécurité sociale et a déployé une série de politiques de soutien pour favoriser l'emploi. La région continuera de mettre en oeuvre diverses politiques de soutien à l'emploi pour les ménages pauvres dans le sud du Xinjiang, de coordonner et de résoudre leurs problèmes en temps utile, et de stabiliser l'emploi dans une plus large mesure, a déclaré vendredi le département régional des ressources humaines et de la sécurité sociale. Selon le département, les habitants touchés par l'épidémie au Xinjiang recevront une aide à l'emploi, et l'assurance chômage sera versée à temps. Pour les petites et moyennes entreprises et les employés confrontés à des difficultés temporaires de production et d'exploitation, le Xinjiang accordera la priorité à la mise en oeuvre des subventions pour l'assurance sociale et la formation professionnelle et d'autres politiques de soutien.
________________________ (COVID-19) Le Xinjiang prend des mesures pour aider les travailleurs migrants à retourner au travail French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-03/04/c_138842364.htm Publié le 2020-03-04 à 13:37 URUMQI, 4 mars (Xinhua) -- La région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) a pris une série de mesures pour aider les travailleurs migrants ruraux à retourner au travail dans le contexte de l'épidémie du nouveau coronavirus, ont indiqué les autorités locales. Selon le département des ressources humaines et de la sécurité sociale du Xinjiang, la région avait fourni en février des trains et des autocars affrétés pour plus de 60.000 travailleurs migrants afin qu'ils retournent travailler au Xinjiang et dans d'autres régions de niveau provincial. La région a mis en place des politiques préférentielles pour encourager les entreprises à forte intensité de main-d'oeuvre dans les quatre préfectures du sud du Xinjiang à recruter des employés locaux. Le Xinjiang remboursera également l'assurance chômage aux entreprises pour stabiliser l'emploi. Au 29 février, le Xinjiang avait restitué 57,5 millions de yuans d'assurance chômage à 1.734 entreprises. |
| | Posté le 13-03-2020 à 22:31:25
| Une américaine recherchée au Xinjiang pour fraude Par Liu Xin Source: Global Times Publié: 2020/3/12 22:58:40 https://www.globaltimes.cn/content/1182481.shtml Des artistes jouent de la musique à Kashi, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang ( nord-ouest de la Chine) , le 12 juin 2019. Photo: Xinhua Certains politiciens américains ont fermé les yeux sur les méfaits de Sayragul Sauytbay, une criminelle présumée de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, et l'ont dépeinte comme une "combattante des droits de l'homme" pour s'immiscer dans les politiques chinoises au Xinjiang, ce qui est une méthode biaisée car les Etats-Unis sont fermement rejetés par le peuple du Xinjiang, a déclaré jeudi un porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang. Le gouvernement régional du Xinjiang a tenu une conférence de presse jeudi, au cours de laquelle le porte-parole Elijan Anayt a décrit les crimes que Sayragul est soupçonnée d'avoir commis et les mensonges qu'elle avait répandus. Le 4 mars, le département d'État américain a décerné à Sayragul Sauytbay le "Prix international des femmes de courage 2020" et a affirmé qu'elle "avait été forcée d'enseigner le chinois aux minorités ethniques dans un camp de détention" . "Je tiens à réitérer que Sayragul Sauytbay figure sur la liste en ligne des autorités de sécurité publique du Xinjiang concernant les personnes recherchées pour des infractions présumées, notamment le franchissement illégal des frontières et la fraude sur les prêts" , a déclaré Elijan lors de la conférence de presse. Sayragul Sauytbay n'a jamais travaillé dans aucun centre d'enseignement et de formation professionnels. Elle a inventé des mensonges pour confondre le public et salir le Xinjiang, un acte ignoble et ignoble en effet, a noté Elijan. Le porte-parole du gouvernement régional a également réfuté les rumeurs sur les risques élevés de propagation du COVID-19 dans les centres d'enseignement et de formation professionnels du Xinjiang lors de la conférence de presse de jeudi. Certaines forces du "Turkestan oriental" en dehors de la Chine disent des mensonges pour salir le Xinjiang, qui est " complètement ridicule à tous égards ", a déclaré jeudi le porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang, Elijan Anayt, lors d'une conférence de presse. Récemment, certaines forces du "Turkestan oriental" en dehors de la Chine ont délibérément répandu des rumeurs sur le Xinjiang, sur un risque de propagation du COVID-19 dans ses centres d'enseignement et de formation professionnels, ajoutant que le Xinjiang cache la vérité de sa situation épidémique. "Je tiens à souligner ici encore une fois que les centres d'enseignement et de formation professionnels établis dans le Xinjiang ne sont pas des" camps ", mais des institutions de déradicalisation de type scolaire mises en place conformément à la loi pour relever les graves menaces des attaques violentes et terroristes récurrentes" , a dit Elijan Anayt. Shohrat Zakir, gouverneur de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, a annoncé lors d'un communiqué de presse le 9 décembre 2019 que tous les stagiaires avaient quitté les centres. "Je ne peux pas m'empêcher de demander, comment un risque d'infection à grande échelle pourrait-il être possible dans les centres alors que tous les stagiaires ont déjà obtenu leur diplôme?" a demandé Elijan lors de la conférence de presse.
Edité le 13-03-2020 à 22:31:51 par Xuan |
| | Posté le 13-03-2020 à 23:02:21
| (COVID-19) La vie reprend son cours normal dans le Xinjiang French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-03/12/c_138870548.htm Publié le 2020-03-12 à 17:41 URUMQI, 12 mars (Xinhua) -- La région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a complètement redémarré la production et la vie des habitants a repris son cours normal, la région n'ayant signalé aucun cas confirmé de COVID-19 pendant 23 jours consécutifs. Mais des mesures doivent être mises en place pour prévenir toute infection importée, selon le centre régional de la prévention et du contrôle de l'épidémie de coronavirus. Actuellement, 91,7% des grandes entreprises du Xinjiang avec un chiffre d'affaires annuel d'au moins 20 millions de yuans ont repris le travail, tandis que toutes les entreprises d'Etat administrées par les autorités centrales au Xinjiang ont recommencé à fonctionner. Dans toute la région, les transports publics, les autocars, les trains et les avions ont tous repris leurs activités, alors que les entreprises reprennent progressivement leurs activités dans le cadre de mesures de désinfection strictes. |
| | Posté le 15-03-2020 à 15:03:57
| (COVID-19) Les élèves du Xinjiang recevront des masques gratuits à la réouverture des écoles French.xinhuanet.com http://french.xinhuanet.com/2020-03/15/c_138880403.htm Publié le 2020-03-15 à 19:11 URUMQI, 15 mars (Xinhua) -- La région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) distribuera gratuitement des masques aux élèves au début du nouveau semestre, qui a été reporté en raison de l'épidémie du nouveau coronavirus (COVID-19). Environ 510.000 élèves des dernières années des écoles secondaires, primaires et professionnelles seront les premiers à rentrer à l'école le 16 mars au Xinjiang, selon le bureau régional de l'éducation. Les autres élèves de la région devraient reprendre l'école le 23 mars, à l'exception des crèches et des universités, dont les dates de rentrée n'ont pas encore été annoncées. Les autorités locales ont déclaré que les écoles locales organiseraient des classes de petite taille pour les élèves, suspendraient tous les rassemblements et adopteraient une gestion de confinement afin de minimiser les risques d'infection. Liu Jian, directeur adjoint du bureau, a indiqué que les gouvernements locaux étaient occupés à préparer le matériel de prévention et de contrôle, tels que les masques, qui seront bientôt distribués dans les écoles. Les écoles locales sont autorisées à augmenter modérément les heures des cours, étant donné le retard du début du semestre. Le Xinjiang n'a signalé aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 pendant 26 jours consécutifs, et le dernier patient atteint de COVID-19 dans la région est sorti de l'hôpital après sa guérison le 8 mars. |
| | Posté le 18-03-2020 à 23:15:17
| Les USA appuient le Tibet mais pas les Ouïghours,liés à Al Qaeda.Éric Prince,le responsable de l ex société militaire privée Black Water,a repris du service,cette fois au Xinjiang.preuve que le complexe militaro-industriel u.s et les intérêts chinois convergent.pour se venger de la défaite américaine mal digérée en Afghanistan ?
Edité le 18-03-2020 à 23:19:59 par marquetalia |
| | Posté le 05-04-2020 à 15:50:39
| Les personnes de bon sens doivent fermement lutter contre les fausses nouvelles concernant le Xinjiang (porte-parole) http://french.xinhuanet.com/2020-04/01/c_138938694.htm BEIJING, 1er avril (Xinhua) -- La porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hua Chunying a appelé mercredi les personnes de bon sens à résister aux fausses informations sur la politique chinoise au Xinjiang. Mme Hua a fait ces remarques lors d'un point de presse, alors qu'elle était invitée à commenter un article de The Grayzone, site d'information indépendant américain, suggérant qu'une récente accusation sur le programme de "travail forcé" de la Chine dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang avait en réalité été lancée par une organisation australienne soutenue par les Etats-Unis. "Cela montre que certaines personnes menaient leurs activités avec des intentions cachées" , a indiqué la porte-parole. Le site Internet a également déclaré n'avoir découvert "aucune preuve originale " de la part de travailleurs du soi-disant programme de "travail forcé ". Cependant, il cite des "témoignages " anonymes d'un "obscur" blog "d'extrême droite" de fanatiques religieux. " Les personnes de bon sens et possédant un sens de la justice doivent distinguer le bien du mal et travailler ensemble pour lutter fermement contre les fausses informations comme celle-ci" , a-t-elle noté. |
| | Posté le 22-05-2020 à 17:26:34
| Xuan a écrit :
Utiliser les sources à conditions de faire la part du vrai et du faux, de ne pas reproduire les mensonges comme du pain béni, bref de ne pas propager l'intox. https://observers.france24.com/fr/20190419-chine-mosquee-dome-minaret-detruit-musulman-repression Cet article signale photos à l'appui la destruction d'une mosquée en titrant En Chine, une mosquée démolie par les autorités : “L'ordre est de détruire tous les minarets et les dômes" Pourquoi cette mosquée ? Quelle était l'activité de son imam? Et pourquoi la Chine n'a-t-elle PAS détruit "tous les minarets et les dômes", mais les a préservés en autorisant les cultes ? Pourquoi des articles annonçant "Chine, destructions massives de mosquées dans le Xinjiang Dans une enquête conjointe, le Guardian et le Bellingcat attestent, images satellites à l’appui, de la démolition systématique de mosquées par les autorités chinoises..." article illustré par cette image : La présence de deux policiers au premier plan est censée démontrer une dictature féroce, or on voit une foule de croyants défiler devant eux les mains dans les poches ou indifférents, et même en grossissant l'image on ne trouve pas les ruines du minaret. Lors des attentats en France la police était bien plus nombreuse devant les synagogues ou d'autres édifices religieux, mais La Croix ne s'est jamais préoccupée des victimes ouïgours des terroristes islamistes. Une rubrique a été ouverte sur ces questions. On y trouve une vidéo justement sur ces attentats : https://news.cgtn.com/news/2019-12-05/Fighting-terrorism-in-Xinjiang-MaNLLDtnfq/index.html |
Mais là, tu évites le sujet en tournant autour. Je n'ai jamais dit que les mensonges de la Chine confirmait tous les dire de la propagande occidentale, juste que ça poussait les gens vers la dite propagande? Tu prêche à un convaincu sur point, surtout que je prône une laïcité gallicane sur les bords. Mais là on avait la preuve concrète que des mosquées bâtiments historiques vieux de 800 ans, avait été rasées. T'imagine en France si on rasait une cathédrale juste parc-que le padre était dans une secte catholique fasciste ultra dangereuse? Concernant les preuves sont déjà sur ce sujet normalement.
Edité le 22-05-2020 à 19:16:22 par Plaristes |
| | Posté le 22-05-2020 à 18:26:09
| Ne recommence pas avec les "mensonges de la Chine". La mosquée a été détruite comme "lieu religieux illégal" et toute la presse occidentale s'est mise à piailler que la Chine détruisait toutes les mosquées. Il existe une loi sur le caractère privé de la religion qui ne tolère pas son utilisation à des fins politiques. Si on veut préserver une mosquée "de 800 ans" on ne s'en sert pas non plus comme instrument de propagande à des fins terroristes. |
| | Posté le 22-05-2020 à 19:41:14
| Et grâce à la propagande occidentale la Chine a été applaudie par l'extrême droite Française. Après vous me rappeler des choses basiques... Alors c'est bien de les rappeler. Mais vous parlez face à moi, pas un déb**us du PCM. Je sais que c'est complètement absurde même pour état comme la Chine, ayant un appareil d'état particulièrement puissant, ça aurait débile de faire ce qui était décrit dans la propagande occidentale, de plus la Chine est dans un paradigme néo-néo-confucéen paternaliste, principe de l'harmonie.
Xuan a écrit :
Il existe une loi sur le caractère privé de la religion qui ne tolère pas son utilisation à des fins politiques. Si on veut préserver une mosquée "de 800 ans" on ne s'en sert pas non plus comme instrument de propagande à des fins terroristes. |
Vous savez qu'il est pété cet argument, c'est le genre d'argument utilisé pour massacrer du gilet jaune en France. Dans la même catégorie, je pourrais dire que les Chinois n'avait qu'à pas placer leur pays à côté de bases américaines, s'il veulent pas se faire agresser... Non franchement avec l’appareil d'état chinois et les moyens qu'ils ont, ils aurait pu opérer de manière plus chirurgicale.. Généralement quand tu rase un mosquée ou un lieu de culte, c'est que tu veux faire passer un message politique Cartago delenda est. Comment veux-tu rester crédible au près des masses en disant des chose pareilles? Après ici en occident on l'influence chrétienne du libre arbitre, et le choix d'interprétation de la législation. Mais c'est sûr qu'il faudra trouver autre-chose si interrogé sur la question. Sinon on risque de passer pour de gros clown. Les gens vont bouffer le story telling des ONG d'ingérence après. Enfin bref..... Suite à votre réaction à ma définition du travail libre, en répétant des chose plus qu'évidente pour un marxiste, je crois que vous ne me considérez toujours pas comme marxiste. Généralement il convient mieux de répéter ce qui est bien connu, parce-qu'il est trop bien connu, donc non connu ou mal connu. Pas de faire des qui proquo et de corriger une erreur qui n'était pas là en premier lieu. |
| | Posté le 22-05-2020 à 23:02:01
| Le terrorisme en Chine et les gilets jaunes ça fait deux. Le terrorisme tue des innocents, vise la partition de la Chine et sert les visées impérialistes. La Chine n'a aucune tolérance pour ça. Quant à ce qu'en disent l'extrême droite ou les ONG, je crois que les Chinois n'en ont réellement rien à battre, et qu'ils ne lisent pas le panorama de la presse occidentale avant de prendre une décision sur le terrorisme islamiste. Déjà ils considèrent que ça fait partie de leurs affaires internes, donc les commentaires étrangers hostiles sont déjà déplacés pour les Chinois. Après si les critiques deviennent trop virulentes il leur arrive de répondre, mais ce n'est pas pour justifier l'application de leur législation. Je t'ai signalé une video sur ces attentats si tu penses que c'est du folklore.
Edité le 22-05-2020 à 23:11:57 par Xuan |
| | | | Posté le 16-12-2021 à 21:23:30
| Le Maroc extrade vers la Chine un ouïghour Un tribunal marocain a décidé que Yidiresi Aishan, une minorité musulmane ouïghoure chinoise, serait extradé vers la Chine pour suspicion d'"actes terroristes". Selon l'Agence France-Presse, Miloud Kandil, l'avocat d'Edith Aishan, a révélé aux médias le 16 décembre : « La justice a confirmé hier (15 décembre) que mon client sera extradé (vers la Chine). Nous n'avons pas encore obtenu le verdict, mais psychologiquement, c'est très difficile pour lui." Idijes Aishan, 34 ans, père de trois enfants, a été arrêté le 19 juillet alors qu'il arrivait à l'aéroport de Casablanca au Maroc en provenance de Turquie. |
| | Posté le 17-12-2021 à 05:15:32
| Actes terroristes en Chine ou Maroc? S'agissant du Maroc, il ne faut pas s'attendre à des jugements éclairés par les droits de l'homme. Ou cela se saurait! |
| | Posté le 17-12-2021 à 07:35:51
| Non, en Chine. Le Maroc est un pays musulman mais il extrade un terroriste à la demande de la Chine. Cela signifie que le discours sur la "répression des musulmans au Xinjiang" ne reçoit pas l'écho voulu dans les pays musulmans, qui soutiennent la Chine dans leur majorité. Le fait est que ces pays ont souffert du terrorisme islamiste. |
| | | | | | | | Posté le 04-02-2022 à 23:39:32
| reportage de Joris Ivens & Marceline Loridan, 1976 Comment Yukong déplaça les montagnes - Les ouigours, minorité nationale, sinkiang Pour la première fois, l’Occident découvrait la Chine de Mao. Yukong nous montre avec pudeur et réalisme l’âme de ce pays. C’est la Chine telle que la vivaient les Chinois à la fin de la Révolution culturelle. Cette œuvre monumentale constitue un document inestimable dans lequel on perçoit les germes de la Chine d’aujourd’hui. https://www.youtube.com/watch?v=2yXhIom3nio |
| | | | Posté le 10-02-2022 à 13:52:03
| Une visite de l'ONU au Xinjiang se précise après les JO Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, rencontre Xi Jinping à propos de sa visite au Xinjiang Écrit par : Lin Jin - dnews 2022-02-06 10:21:02 Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a déclaré le 5 février qu'il s'attendait à ce que la Chine autorise Michelle Bachelet, la haut-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, à effectuer une visite crédible au Xinjiang. Selon le site officiel des Nations Unies, le 5 février, Guterres, qui a assisté aux Jeux olympiques d'hiver de Pékin, a rencontré le président chinois Xi Jinping et le ministre des Affaires étrangères Wang Yi le même jour. Selon la source, Guterres a déclaré : "Nous attendons avec impatience l'engagement du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme avec le gouvernement chinois pour faciliter une visite crédible du Haut-Commissaire en Chine, y compris au Xinjiang" . A midi ce jour-là, António Guterres a assisté au déjeuner de bienvenue organisé par Xi Jinping et son épouse Peng Liyuan pour les dignitaires internationaux assistant à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'hiver de Pékin au Grand Palais du Peuple. António Guterres terminera sa visite en Chine le 6 février et rentrera à New York. Plus tôt, Reuters a rapporté que le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme avait déclaré le 28 janvier que la Haut-Commissaire aux droits de l'homme Michelle Bachelet discutait avec la Chine d'une éventuelle visite au Xinjiang dans un proche avenir. Le "South China Morning Post" de Hong Kong a également cité des sources disant que la Chine avait accepté d'autoriser Bachelet à visiter le Xinjiang au cours du premier semestre de cette année après les Jeux olympiques d'hiver. En réponse au rapport du South China Morning Post, le 28 janvier, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a répondu lors d'une conférence de presse régulière que la Chine accueillait Mme Bachelet, la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, pour visiter la Chine et le Xinjiang. La Chine a déjà lancé une invitation. Les deux parties ont été en communication à ce sujet. La position de la Chine est cohérente et claire. Zhao Lijian a souligné que le but de la visite était de promouvoir les échanges et la coopération entre les deux parties. La Chine s'oppose à quiconque en profite pour la manipulation politique. La Chambre des représentants du Japon adopte une résolution sur le Xinjiang liée à Hong Kong Ministère chinois des Affaires étrangères : Provocation politique grave Ambassadeur de Chine en Afghanistan : Environ 500 tonnes de fournitures partent du Xinjiang pour aider l'Afghanistan En plus de la visite au Xinjiang, les Nations Unies ont également annoncé que Guterres avait discuté des questions régionales avec les dirigeants chinois, en particulier la question afghane. António Guterres a également félicité la Chine pour avoir accueilli les Jeux olympiques d'hiver, et a exprimé sa gratitude pour le ferme soutien de la Chine aux Nations Unies et au multilatéralisme. Renforcer la coopération sur le développement durable et les droits de l'homme. Selon le site officiel du ministère chinois des Affaires étrangères, le 5 février, Xi Jinping a rencontré au Grand Palais du Peuple le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, qui se trouvait en Chine pour assister aux Jeux olympiques d'hiver de Pékin 2022. Xi Jinping a souligné que l'accueil réussi des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de Beijing était l'engagement solennel de la Chine envers la communauté internationale. Xi Jinping a déclaré qu'à l'heure actuelle et à l'avenir, trois événements majeurs dans le monde méritent une considération et une attention sérieuses : l'unité pour lutter contre l'épidémie, la promotion du développement et la promotion de la démocratie. Il a souligné qu'il n'existe pas de modèle de système fixe dans le monde, ni de modèle de développement unique. Tous les pays ont le droit de choisir une voie qui convient à leurs conditions nationales et aux besoins de leur population. La Chine continuera également à soutenir fermement le travail de l'ONU et, comme toujours, fera preuve d'une vue d'ensemble et d'une grande responsabilité pour sauvegarder la paix et le développement dans le monde. |
| | Posté le 19-02-2022 à 18:03:40
| https://www.legrandsoir.info/xinjiang-un-temoignage-exclusif-sur-le-soi-disant-travail-force.html 18 février 2022 Xinjiang : un témoignage exclusif sur le soi-disant travail forcé ! WU Qiner Cet universitaire taïwanais a étudié le Xinjiang pendant plus de 20 ans et a ri en entendant le mensonge des États-Unis. Le Taïwanais Dr Wu Qiner est chercheur à l'Academia Sinica, la plus haute institution d'enseignement et de recherche universitaires de Taïwan. Il a construit sa carrière sur les études ouïgoures. Il parle la langue ouïgoure et se rend plusieurs fois par an dans les communautés ouïgoures du Xinjiang. Voici la transcription d’une interview publiée le 2 avril 2021 en chinois. Wang Yu, journaliste de Shenzhen TV & Direct News : Pourquoi l’affirmation concoctée par les forces antichinoises de l’Occident, en premier lieu les États-Unis, selon laquelle il y aurait du "travail forcé" au Xinjiang est-elle ridicule ? WU QINER : Parce qu’ils ne connaissent pas du tout la situation au Xinjiang. Le fait est qu’il y a un problème de sous-emploi en Chine, surtout pour le Xinjiang, où le problème de sous-emploi est encore plus prononcé et où les paysans ont tous besoin de trouver des opportunités d’emploi. Dans le Xinjiang en particulier, ils doivent trouver un produit qu’ils peuvent vendre et qu’ils savent cultiver, ce qui n’est pas facile. Ils aimeraient pouvoir cultiver du coton et le garder en bon état en le récoltant à la main. Ainsi, même avec la récolte manuelle, la plupart des personnes qui vont récolter sont principalement des agriculteurs chinois Han, parce qu’en fait, les agriculteurs chinois Han sont un peu moins exigeants que les agriculteurs ouïgours en termes de salaire, en particulier dans les quatre provinces que j’ai mentionnées, Gansu, Qinghai, Henan et Sichuan, et pour eux, la récolte manuelle est une très bonne occasion de gagner plus qu’environ six mois de frais de subsistance. Deux mois de récolte équivalent à plus de six mois, voire sept ou huit mois, de travail à la campagne. C’est une opportunité qui leur est tombée du ciel. Dans ce cas, il est difficile d’imaginer qu’ils seront "forcés" d’aller au Xinjiang pour cueillir du coton de manière "escortée". Je dirais que ce n’est pas rentable pour le gouvernement, sans parler du manque de main-d’œuvre au Xinjiang même. Bien que le Xinjiang n’ait pas une population importante dans son ensemble, il s’agit d’une très grande région, comparée à Taïwan, c’est 45 Taïwan, ou à l’Europe, c’est presque l’équivalent de trois France. Avec un territoire aussi vaste, il est très difficile de concentrer ses effectifs en un seul endroit. En fait, je suis entré en contact avec l’industrie du coton du Xinjiang il y a une vingtaine d’années. À l’époque, en raison des problèmes de marché et de la pénurie de main-d’œuvre, le coton pourrissait souvent dans les champs de coton. Plus tard, une fois le marché monté, la récolte du coton est devenue une chose très recherchée. Étant donné la densité relativement faible de la population du Xinjiang, il n’était pas rare que les agriculteurs chinois Han soient engagés dans des travaux saisonniers, et il n’est tout simplement pas logique que le peuple ouïgour soit tenu d’effectuer ce que l’on appelle le "travail forcé" à la place. Les questions relatives aux droits de l’homme dont les États-Unis et l’Occident accusent la Chine, en totale contradiction avec la situation réelle, sont bien sûr une plaisanterie de ce point de vue, et le fait qu’un pays doté de solides capacités en matière de renseignement et de recherche universitaire fasse une telle plaisanterie nous amène à nous interroger sur ses capacités étatiques et ses normes universitaires. Wang Yu : Plus précisément, comment les forces occidentales antichinoises, menées par les États-Unis, imaginent-elles que le peuple ouïgour du Xinjiang est soumis au "travail forcé" ? Pourquoi ont-ils cette imagination bizarre ? WU QINER : Selon eux, le coton du Xinjiang ne serait pas d’aussi bonne qualité s’il était récolté par des machines, et il y aurait beaucoup de feuilles mélangées avec lui, donc il doit être cueilli à la main pour avoir un bon standard. Cela renvoie alors à la façon dont ils ont imaginé le Xinjiang. Premièrement, ils s’imaginaient que le Xinjiang était composé d’un seul groupe ethnique, les Ouïghours, et ils ne pouvaient pas imaginer que le Xinjiang était multiethnique, avec presque 60 % de sa population composée de groupes ethniques autres que les Ouïghours. Deuxièmement, ils n’arrivaient pas à ’imaginer que ce travail collectif à grande échelle était une tradition culturelle du peuple chinois, c’est-à-dire que le travail acharné était considéré comme une vertu. La recherche de la richesse n’appartient pas seulement au gouvernement ; chaque citoyen a le droit de la rechercher. L’Occident, quant à lui, imagine que "fabriquer autant de choses à la fois doit aller à l’encontre des souhaits de ce groupe minoritaire". Ils pensent que les minorités doivent être paresseuses et qu’elles devraient avoir le "droit d’être paresseuses". C’est ce qui s’est passé aux États-Unis, au Canada, dans les colonies européennes d’Afrique et d’Amérique latine. Il existe donc un faux stéréotype selon lequel les minorités sont “paresseuses”, qu’elles choisissent d’être heureuses et de "profiter de la vie", et que lorsqu’elles acceptent un travail de plus haute densité, "cela doit être en vertu d’une sorte de politique". Parce que leur propre expérience historique est telle, ils n’ont pas d’autre façon d’imaginer le Xinjiang. Troisièmement, ils ont imaginé les relations communautaires au Xinjiang en fonction de leur propre expérience historique. Ils considèrent les minorités comme vulnérables et n’ont aucun moyen d’imaginer que la politique ethnique de la Chine les favorise. Quatrièmement, la Chine chérit la "beauté" de ses minorités. Les pays d’Europe et d’Amérique du Nord, en revanche, sont complètement différents : ils considèrent les groupes minoritaires comme des êtres esthétiquement "handicapés". Par exemple, Trudeau, l’actuel Premier ministre du Canada, avait l’habitude de se peindre la peau en noir lorsqu’il était jeune, imitant ainsi les Noirs, en fait, de manière moqueuse. La discrimination culturelle à l’encontre des minorités n’existe pas en Chine, mais ils imaginent que c’est ainsi que les droits politiques, économiques et culturels des minorités sont supprimés en Chine. Mais la situation réelle est à l’opposé de ce qu’ils décrivent. Observateur : Pouvez-vous nous dire lesquelles de vos descriptions sont inacceptables pour les internautes [taïwanais] ? WU QINER : J’ai mentionné que les descriptions populaires de la "détention massive au Xinjiang" dans les médias aux États-Unis et dans d’autres pays manquaient de sources et de preuves fiables. Les "camps de rééducation" présentés dans ce documentaire australien sont simplement des images du Xinjiang que l’on peut trouver sur Internet, montées et reconstruites pour alterner entre de vraies écoles et de vraies prisons, donnant au spectateur l’impression que c’est ce à quoi ressemblent réellement les "camps de rééducation". En outre, aucun des "témoins" interrogés dans le documentaire n’était un témoin oculaire, mais relayait plutôt les propos d’amis et d’"amis d’amis". Cette attitude n’est manifestement pas conforme aux règles élémentaires du journalisme professionnel et de l’éthique journalistique et, d’un point de vue professionnel, elle est beaucoup moins crédible. J’ai aussi dit que les documentaires peuvent avoir leur propre position politique, mais qu’ils doivent avoir des preuves ; ils peuvent aussi interpréter les preuves différemment, mais ils ne peuvent pas les fabriquer. En conséquence, un certain nombre d’internautes ont pensé que les “camps de concentration” et les "camps de rééducation" du Xinjiang étaient des propos tenus par des Américains et des Australiens et qu’ils ne pourraient jamais être faux, et qu’en remettant le documentaire en question de cette manière, je défendais la “dictature”. En remettant en cause le documentaire, je défends la “dictature”. Dans l’interview, j’ai parlé du contexte de la création des centres d’enseignement et de formation professionnels et des détails du programme des centres d’enseignement et de formation professionnels, mais les internautes n’ont manifestement pas voulu comprendre le sens de tout cela, ni être intéressés par la vérification des faits, et ont directement défini ces descriptions de ma part comme "justifiant les atrocités chinoises". Comme vous le savez, dans l’environnement politique de Taïwan, c’est une accusation très grave. J’ai également mentionné dans l’interview que la stratégie à long terme des États-Unis et de certains autres pays occidentaux consiste à contenir la Chine, et que derrière cette stratégie se cache un système vaste et complexe de confinement, comprenant des niveaux militaires et économiques, ainsi que des niveaux culturels et de propagande. Dans cette partie de la propagande culturelle, le soutien des services de renseignement est nécessaire, mais plus encore celui de la recherche universitaire approfondie. Pendant la guerre froide, les études chinoises aux États-Unis, y compris les études sur le Xinjiang, ont surpassé celles de la Chine de l’époque à de nombreux égards, qu’il s’agisse des traditions de recherche, des ressources de recherche ou de l’apport des élites. Les États-Unis et les autres pays occidentaux de l’époque se sont appuyés sur ces études pour formuler leur politique à l’égard de la Chine, et la qualité de leurs décisions était relativement bonne. Après la fin de la guerre froide, et surtout au cours de la dernière décennie, avec la croissance de l’économie chinoise, la tendance à l’accélération de la mondialisation et l’essor du cybermonde, l’inquiétude des États-Unis et de certains pays occidentaux a fortement augmenté et ils ont accru leurs investissements dans le travail de renseignement et la recherche universitaire connexe, mais la qualité du renseignement obtenu et la qualité de la recherche universitaire connexe ont diminué en raison de leur soif de réussite. En termes de sources de renseignements, je pense que la communauté chinoise d’outre-mer devrait savoir que depuis les années 1980, il existe une industrie de l’immigration aux États-Unis, au Canada et en Australie, que l’on peut appeler la "chaîne de l’asile politique", dans laquelle des avocats aident les Chinois qui n’ont pas le statut de résident local en leur fournissant une filière pour demander la résidence permanente. Avant le début du 21e siècle, c’était principalement au nom du planning familial, où les gens étaient punis pour avoir des naissances excessives en Chine, et au cours des 10 dernières années, il s’agissait de la persécution des minorités ethniques. Certains de ceux qui ont quitté le continent ont été remarqués par certaines agences de renseignement du pays pour fournir des informations qu’ils connaissaient, mais avec le temps, leur stock s’est épuisé et ils ont dû deviner ce que les agences de renseignement voulaient et aller dans les médias et sur Internet pour trouver des “preuves”. La plupart de ces personnes fournissent également des informations sur la Chine aux médias, le plus souvent en fonction des préférences de ces derniers, sans qu’il soit possible de vérifier l’exactitude de ces informations. Les communautés chinoises des États-Unis, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande sont bien conscientes de cette industrie, tandis que leurs gouvernements s’efforcent de vérifier l’authenticité des cas d’asile politique, tout en se délectant des ressources politiques qu’ils recèlent. La population de Taïwan est largement ignorante et indifférente à ce sujet, et lorsqu’elle entend les cercles politiques et les médias européens et américains dire qu’ils disposent de "preuves tangibles" fournies par des universitaires et des témoins, elle pense qu’il n’y a pas lieu de douter. L’instinct naturel est de penser que je dis n’importe quoi et que je justifie la “dictature”. Observateur : Si vous êtes interviewé par les médias taïwanais sur cette question du Xinjiang à l’avenir, continuerez-vous à l’expliquer au public de cette manière ? WU QINER : Je fais de l’histoire, et je pense que la poursuite de la vérité et l’insistance sur celle-ci est une exigence fondamentale de la recherche historique. Mais je ne pense pas qu’il y aura beaucoup de médias taïwanais qui oseront m’interviewer, car les médias taïwanais sont soumis à une forte pression en ce moment. Il y avait autrefois certains médias désireux d’apprendre la vérité, mais ils sont soit soumis à une énorme pression politique, soit en train de plaisanter sur leur propre avenir. Par exemple, la Commission des communications de Taiwan a annulé la licence de Zhongtian News Channel à la fin de l’année dernière. En 2001, Trudeau était professeur d’art dramatique dans une école secondaire privée de Vancouver. Il s’est déguisé en Aladin, personnage des “Mille et une nuits”, pour un événement intitulé “Mille et une nuits”. Wang Yu : Pourquoi les forces antichinoises utilisent-elles fréquemment le Xinjiang comme point d’attaque ? Pourquoi ont-ils choisi de boycotter le coton du Xinjiang plutôt que d’autres industries du Xinjiang ? WU QINER : Je pense que c’est le choix du Xinjiang qui est au centre des préoccupations, tout d’abord, parce que le choix du Xinjiang impliquerait un point d’entrée dans la politique chinoise. En fait, depuis le milieu du 19e siècle, c’est la stratégie commune des puissances occidentales lorsqu’elles sont arrivées en Asie, car elles ont découvert que la Chine était une entité très vaste avec une très longue histoire, et que sous cette histoire se cachait une valeur fondamentale, notamment la valeur du pluralisme et de la tolérance dans le confucianisme, qu’il leur était très difficile de subvertir. Ils ont constaté que l’une des plus grandes faiblesses de la Chine résidait dans son pluralisme, car il existait de nombreux groupes de Chinois non han aux frontières, qui étaient éloignés du noyau politique de la Chine et souvent difficiles à atteindre. Il leur a ensuite été très facile de morceler ces régions et leurs populations, qui sont restées culturellement diverses. Nous voyons donc qu’historiquement, la Russie, la Grande-Bretagne et plus tard les États-Unis sont tous intervenus et l’ont utilisé comme point d’entrée pour briser la dynastie Qing et plus tard la République de Chine ; dans le même temps, la Mongolie intérieure, la Chine du Nord-Est et le Tibet sont tous devenus des points d’entrée pour la Russie, le Japon et la Grande-Bretagne pour briser la Chine, et je pense que c’était la norme. Cependant, cette tendance est à nouveau reprise et utilisée par l’Occident au XXIe siècle. Ajoutez à cela le fait que l’emplacement du Xinjiang est une partie incontournable du développement stratégique global de la Chine dans l’espace physique – la “Ceinture et la Route”. La ceinture économique de la route de la soie et la route maritime de la soie du XXIe siècle doivent toutes deux passer par le Xinjiang pour rejoindre le Pakistan et, de là, l’océan Indien ; il s’agit donc d’une entité spatiale. En d’autres termes, si la Chine veut sortir de son confinement en Asie orientale et se connecter au monde par l’intermédiaire de l’Asie centrale, le Xinjiang est la voie à suivre. Quant à savoir pourquoi le coton, c’est la deuxième étape. L’Occident panique après que le coton du Xinjiang, qui représente une augmentation considérable de l’industrie textile chinoise, soit devenu une présence incontournable pour l’ensemble de l’industrie mondiale du coton. La qualité croissante du coton du Xinjiang, la qualité croissante des textiles produits en Chine et la demande croissante de coton du Xinjiang de la part des principales organisations mondiales du secteur du textile et de l’habillement ont conduit la Chine à commencer progressivement à avoir un pouvoir de fixation des prix sur le coton. En d’autres termes, le monde doit se tourner vers l’industrie chinoise du coton. Cette situation, si vous allez sévir sur l’industrie du coton du Xinjiang, d’un point de vue à court terme, il s’agit d’un coup porté à l’industrie textile du coton dans le Xinjiang ; plus généralement, c’est un coup dur à l’ensemble de l’industrie textile chinoise ; et en fin de compte, le coup est dirigé contre l’ensemble de l’économie et de l’industrie chinoise dont la grande direction stratégique est dirigée vers l’ouest. Bien sûr, il s’agit d’une piste dans leur imagination, mais sa réalisation dépend de la réaction de la Chine et de celle du marché mondial, dont une partie n’est pas entièrement sous le contrôle de la politique occidentale. Wang Yu : Parlez-nous de votre expérience d’étude du Xinjiang ? WU QINER : Je me suis rendu au Xinjiang à de nombreuses reprises, et j’ai été dans les parties nord et sud du Xinjiang, dans différents comtés et villes, et dans des endroits où vivent différents groupes ethniques à de nombreuses reprises. J’ai commencé mes recherches sur l’histoire moderne du Xinjiang dans les années 1990, de la dynastie Qing à la période de la République de Chine, puis de la période de la République de Chine à la République populaire de Chine. J’ai effectué ce type de recherche sur des périodes qui n’étaient pas disponibles dans le monde à l’époque, en me fondant sur la nécessité de comprendre non seulement le passé du Xinjiang, mais aussi de saisir la situation actuelle dans le Xinjiang, afin de pouvoir retourner poser des questions historiques et répondre à des phénomènes que l’histoire ne pouvait expliquer. J’ai donc eu des contacts plus approfondis avec le Xinjiang et j’y suis personnellement très attaché. Je pense que le Xinjiang n’est pas seulement l’une des plus grandes régions provinciales de Chine, c’est aussi l’une des plus belles régions de Chine, pas seulement la plus belle de Chine, mais je pense qu’il n’y a pas beaucoup de régions en Eurasie qui sont aussi belles que le Xinjiang. En outre, j’aime beaucoup les habitants du Xinjiang, notamment les Ouïgours, les Kazakhs et les autres Mongols, Hebs et Dawols, qui sont très charmants. Parmi eux, les Ouïghours, qui ont la plus grande population, je pense qu’ils sont très naïfs, romantiques, hospitaliers, de plus en plus travailleurs, et tellement polyvalents et talentueux en langues, que je n’ai pratiquement aucune barrière avec eux, et nous nous entendons bien et devenons de très bons amis. Wang Yu : Comment voyez-vous les forces antichinoises de l’Occident, représentées par les États-Unis, qui portent constamment atteinte aux intérêts vitaux du peuple ouïgour sous le couvert des "droits de l’homme" ? WU QINER : Nous pouvons être ignorants si nous interprétons l’Occident d’un point de vue positif ; mais en fait, ils sont hypocrites car ils privent en réalité les travailleurs ouïghours de leurs droits et intérêts. Je voudrais dire que la politique de réduction de la pauvreté du gouvernement chinois a surtout profité aux agriculteurs ouïgours du Xinjiang, et que les bénéficiaires les plus directs du développement de l’industrie du coton dans le Xinjiang sont aussi des agriculteurs ouïgours. Je suis donc vraiment heureux de les voir sortir de la pauvreté grâce à la culture du coton au fil des ans. Les sanctions de l’Occident font semblant de se soucier, en apparence, des Ouïghours, mais les agriculteurs ouïghours du Xinjiang doivent être les premiers à souffrir des sanctions sur le coton au Xinjiang. Je pense donc que la soi-disant sollicitude de l’Occident à l’égard des Ouïgours aboutira en fait au même résultat que la répression occidentale des musulmans dans d’autres parties du monde et, finalement, elle touchera également les musulmans chinois, notamment les compatriotes ouïgours en Chine. Sur le plan émotionnel, c’est également très inacceptable pour moi. Wu QINER Wu Quiner est journaliste, universitaire et chercheur de Taïwan. Editeur : Zhu Gabei Source : https://news.sina.com.cn/c/2021-04-03/doc-ikmxzfmk1928697.shtml |
| | Posté le 24-05-2022 à 23:32:51
| Wang Yi rencontre le chef des droits de l'homme de l'ONU à Guangzhou, demande une compréhension mutuelle et dissipe la désinformation Par Global Times Publié : 24 mai 2022 11:56 Mis à jour : 24 mai 2022 11:50 https://www.globaltimes.cn/page/202205/1266417.shtml Le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré la chef des droits de l'homme de l'ONU Michelle Bachelet à Guangzhou le lundi. Photo : ministère chinois des Affaires étrangères Le conseiller d'Etat chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a déclaré qu'il espérait que la visite en Chine de la cheffe des droits de l'homme de l'ONU, Michelle Bachelet, renforcerait la coopération avec l'ONU en matière de droits de l'homme sur la base du respect mutuel et de l'égalité, et dissiperait certaines informations erronées sur la Chine sur le terrain. Lors d'une rencontre avec Bachelet à Guangzhou lundi, M. Wang a déclaré que c'était la première fois en 17 ans que la Chine accueillait un haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, ce qui est d'une importance historique pour les deux. Wang a noté que certains pays et forces anti-chinoises diffusent de fausses informations sur la Chine et lancent des attaques sans fondement et discréditent la Chine. Leur objectif est de contenir et de réprimer la Chine en politisant et en militarisant la question des droits de l'homme. Mais les faits parleront d'eux-mêmes; les rumeurs et les mensonges échoueront, a déclaré Wang à Bachelet. M. Wang a déclaré qu'il espérait que la visite de Bachelet en Chine lui permettrait de mieux comprendre les idées, les voies et les réalisations de développement de la Chine, ainsi que les progrès réalisés par la Chine en matière de droits de l'homme. Bachelet entreprendra son voyage prévu dans la région nord-ouest du Xinjiang. M. Wang a présenté le parcours de développement de la Chine et les croyances en matière de gouvernance du Parti communiste chinois sur la base des 5.000 ans de tradition civilisée du pays, soulignant que le PCC place toujours le peuple au centre et place l'aspiration du peuple à une vie meilleure comme son objectif. La Chine a toujours accordé la priorité absolue à la protection des droits légitimes et de la sécurité des citoyens chinois, y compris des minorités ethniques, a déclaré M. Wang. Plusieurs données sont mises en évidence. La Chine nourrit un cinquième de la population mondiale sur moins de 9 % des terres du monde. Il a également construit le plus grand réseau de soins de santé d'assurance sociale au monde. La Chine a résolu le problème de la pauvreté absolue, a atteint l'objectif de réduction de la pauvreté fixé par l'Agenda 2030 des Nations Unies pour le développement durable avec 10 ans d'avance et a fait entrer plus de 1,4 milliard de Chinois dans une société modérément prospère à tous égards. La Chine est le seul grand pays au monde à avoir continuellement formulé et mis en œuvre les quatre phases des plans d'action nationaux pour les droits de l'homme ; les droits de tous les groupes ethniques à gérer les affaires de l'État sur un pied d'égalité sont garantis par la loi et le développement des régions où vivent les groupes ethniques est soutenu par diverses méthodes. Le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré la chef des droits de l'homme de l'ONU Michelle Bachelet à Guangzhou le lundi. Photo : ministère chinois des Affaires étrangères Le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré la chef des droits de l'homme de l'ONU Michelle Bachelet à Guangzhou le lundi. Photo : ministère chinois des Affaires étrangères M. Wang a en outre déclaré qu'il considérait la visite du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme comme une opportunité et que la Chine souhaitait avoir des discussions avec le Haut-Commissariat aux droits de l'homme (HCDH) sur une future coopération constructive basée sur le respect mutuel et l'égalité. Le développement de la cause internationale des droits de l'homme doit être fondé sur le respect mutuel, l'équité et la justice, rechercher la vérité à partir des faits, rester ouvert et inclusif, plutôt que de politiser la question, d'agir avec deux poids deux mesures, de dérailler avec les conditions nationales et le stade de développement du pays, ou jouer avec la confrontation entre les camps, a noté Wang. Il a ajouté que ces grands pays, en particulier, devraient montrer l'exemple en pratiquant le multilatéralisme, en respectant les buts et principes de la Charte des Nations Unies, en respectant le droit international et en protégeant l'équité et la justice internationales. L'institution multilatérale des droits de l'homme devrait devenir une scène de coopération et de dialogue, plutôt qu'un nouveau champ de bataille pour la division et la confrontation. Dans leur discours, Mme Bachelet a félicité les réalisations de la Chine en matière de développement économique et de protection des droits de l'homme, et a salué le rôle positif de la Chine dans le soutien du multilatéralisme, la collecte de fonds pour le développement et le développement durable. Bachelet a déclaré que le HCDH attache une grande importance au rôle de la Chine dans les droits de l'homme et espère que la visite pourra renforcer la compréhension et la confiance mutuelles afin de répondre aux défis mondiaux et de stimuler ensemble le développement international des droits de l'homme. La nouvelle de la visite de Bachelet en Chine a attiré une large attention, alors que les forces anti-chinoises aux États-Unis et dans certains pays occidentaux ont intensifié leurs efforts pour faire la publicité des accusations sans fondement de « génocide » contre la région chinoise du Xinjiang, qui ont été réfutées à plusieurs reprises par la Chine. Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, lors de la conférence de presse de mardi, a critiqué les récents commentaires du porte-parole du département d'État américain et de l'ambassadeur britannique en Chine, soulignant que leur véritable intention de mettre en scène une farce politique en relation avec la visite de Bachelet n'est jamais de se soucier de la vérité mais faire du battage médiatique sur les soi-disant problèmes liés au Xinjiang afin qu'ils puissent salir la Chine. Wang Wenbin a noté qu'avant la visite de Bachelet, certains pays, dont les États-Unis et le Royaume-Uni, faisaient pression sur le Haut-Commissaire des Nations Unies pour qu'il mène une "enquête" au Xinjiang sur la base d'une présomption de culpabilité, et lorsque Bachelet est arrivée en Chine, ces pays avaient l'intention de créer toutes sortes de obstacles pour pointer du doigt la visite de Bachelet. Se soucient-ils des droits de l'homme ou considèrent-ils simplement les droits de l'homme comme une question qui peut être politisée, militarisée et instrumentalisée ? Ce qui les inquiète vraiment, c'est que lorsque le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme verra la situation réelle au Xinjiang, leurs mensonges et rumeurs fabriqués seront détruits et leur tentative de contenir la Chine avec des problèmes liés au Xinjiang fera faillite, a noté Wang Wenbin. Le "mensonge du siècle" inventé par ces forces aux arrière-pensées sur le Xinjiang est un véritable reflet des violations des droits de l'homme commises par les États-Unis et le Royaume-Uni. Il est temps pour eux d'affronter et de corriger leurs propres problèmes systémiques chroniques de droits de l'homme, a déclaré Wang Wenbin, appelant l'ONU à faire une évaluation objective des problèmes de droits de l'homme aux États-Unis et au Royaume-Uni et à soumettre les rapports correspondants. |
| | Posté le 26-05-2022 à 14:23:22
| Xi Jinping rencontre la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme Michelle Bachelet Source : Xinhuanet 2022-05-25 14:20:22 http://www.qstheory.cn/yaowen/2022-05/25/c_1128682426.htm Source : Xinhua 2022-05-25 14:20:22 BEIJING, 25 mai (Xinhua) -- Le président Xi Jinping a rencontré par vidéo la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Michelle Bachelet, à Beijing le 25 mai. Xi a souhaité la bienvenue à Mme Bachelet en Chine et, dans le contexte de l'histoire et de la culture chinoises, a présenté un compte rendu approfondi des principales questions concernant le développement de la cause des droits de l'homme en Chine et a exprimé la position de principe selon laquelle le Parti et le gouvernement chinois s'engagent à sauvegarder et à protéger les droits de l'homme sur tous les fronts. Xi a souligné que depuis le jour de sa naissance, le Parti communiste chinois s'est donné pour mission originelle d'œuvrer pour le bonheur du peuple chinois et le rajeunissement de la nation chinoise, et qu'il se bat pour les intérêts du peuple depuis plus de 100 ans. L'aspiration du peuple à une vie meilleure est le but de notre lutte. Après une lutte longue et ardue, la Chine a réussi à développer une voie de développement des droits de l'homme conforme à la tendance de l'époque et adaptée à ses conditions nationales. Nous avons continué à développer la démocratie populaire dans son intégralité, à promouvoir la protection des droits de l'homme dans le cadre de l'État de droit et à sauvegarder la justice sociale, et le peuple chinois a bénéficié de droits démocratiques plus larges, plus complets et plus exhaustifs. Les droits de l'homme du peuple chinois ont été sauvegardés comme jamais auparavant. Xi Jinping a souligné qu'il n'y a pas de meilleure protection des droits de l'homme, mais seulement une meilleure. La Chine est disposée à s'engager activement dans le dialogue et la coopération en matière de droits de l'homme avec toutes les parties sur la base de l'égalité et du respect mutuel, à élargir le consensus, à réduire les différences, à apprendre les uns des autres et à réaliser des progrès communs, afin de faire progresser conjointement la cause internationale des droits de l'homme dans l'intérêt de tous les peuples. À l'heure actuelle, le plus important est de bien faire quatre choses. La première est d'adhérer au peuple comme centre. Nous devons prendre les intérêts du peuple comme point de départ et point d'ancrage, nous occuper constamment des intérêts les plus directs et les plus réalistes du peuple, et nous efforcer de permettre au peuple de mener une vie heureuse, ce qui est le plus grand droit de l'homme. La bonne ou mauvaise situation des droits de l'homme dans un pays dépend de la sauvegarde des intérêts de sa population et du renforcement de son sentiment d'accès, de bonheur et de sécurité. Nous devons laisser le peuple être véritablement maître chez lui et devenir les principaux participants, promoteurs et bénéficiaires du développement des droits de l'homme. Deuxièmement, nous devons respecter la voie de développement des droits de l'homme de chaque pays. Les droits de l'homme sont historiques, concrets et réalistes, et chaque pays a des conditions nationales différentes, des différences historiques et culturelles, des systèmes sociaux et des niveaux de développement économique et social. Ils doivent et peuvent donc uniquement explorer leur propre voie de développement des droits de l'homme à la lumière de leurs propres réalités et des besoins de la population. S'écarter de la réalité et copier en gros le modèle de système d'autres pays ne sera pas seulement inacceptable, mais entraînera également des conséquences désastreuses et, en fin de compte, les masses populaires en souffriront. Il existe de nombreux exemples à cet égard, et nous devrions en tirer des leçons. Troisièmement, nous devons trouver un équilibre entre tous les types de droits de l'homme. Les droits de l'homme sont complets et riches en connotations, et doivent être abordés de manière globale et promus de manière systématique. Pour les pays en développement, le droit à la survie et au développement est le premier droit de l'homme. Il convient de s'efforcer de parvenir à un développement de meilleure qualité, plus efficace, plus équitable, plus durable et plus sûr, de manière à assurer une protection solide au développement des droits de l'homme. Quatrièmement, nous devons renforcer la gouvernance mondiale des droits de l'homme. La promotion et la protection des droits de l'homme sont une cause pour toute l'humanité et nécessitent les efforts conjoints de tous. Il n'existe pas de "pays idéal" parfait en matière de droits de l'homme, et il n'y a pas besoin d'un "professeur" qui dise aux autres pays ce qu'ils doivent faire, sans parler de la politisation et de l'instrumentalisation des questions relatives aux droits de l'homme, de la pratique du "deux poids, deux mesures" et de l'utilisation des droits de l'homme comme excuse pour s'immiscer dans les affaires intérieures des autres pays. Nous devons respecter les objectifs et les principes de la Charte des Nations unies, promouvoir les valeurs communes à toute l'humanité et pousser la gouvernance mondiale des droits de l'homme dans une direction plus équitable, plus juste, plus raisonnable et plus inclusive. La Chine continuera à soutenir les Nations unies dans leurs efforts positifs pour promouvoir la cause des droits de l'homme internationaux. Mme Bachelet a exprimé sa gratitude à la partie chinoise pour avoir accueilli ma visite en Chine malgré les difficultés de l'épidémie. J'admire les efforts et les réalisations de la Chine en matière d'éradication de la pauvreté, de protection des droits de l'homme et de développement économique et social, et j'apprécie le rôle important qu'elle a joué dans le maintien du multilatéralisme, la résolution des problèmes mondiaux tels que le changement climatique et la promotion du développement durable à l'échelle mondiale. Le Bureau est prêt à renforcer la communication et la coopération avec la Chine et à déployer des efforts conjoints pour promouvoir la cause mondiale des droits de l'homme. Ding Xuexiang, Yang Jiechi et Wang Yi (à Guangzhou) ont participé à la réunion. |
| | Posté le 26-05-2022 à 14:47:59
| La chef des droits de l'homme de l'ONU appelée à voir objectivement le développement du Xinjiang malgré la pression américaine Par les journalistes du personnel de GT Publié : 25 mai 2022 23:11 https://www.globaltimes.cn/page/202205/1266569.shtml Alors que la chef des droits de l'homme de l'ONU, Michelle Bachelet, est sur le point de se rendre dans la région du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, le gouvernement américain et les forces anti-chinoises ont pris des mesures actives - soit en s'opposant à la visite, soit en publiant un soi-disant document divulgué du Xinjiang pour faire de Bachelet leur marionnette, négliger ce qu'elle verra au Xinjiang et tirer la conclusion d'un "génocide" avec leurs récits. Les analystes ont appelé le chef de l'ONU à maintenir la ligne de fond de la justice et à voir objectivement le développement du Xinjiang. Le président chinois Xi Jinping s'est entretenu mercredi par liaison vidéo avec Bachelet. Xi a parlé du développement des droits de l'homme en Chine et a souligné que chaque pays devrait être autorisé à explorer des voies appropriées de développement des droits de l'homme en fonction des réalités nationales et a mis en garde contre certains pays qui donnent des leçons aux autres sur les droits de l'homme, politisent la question et l'utilisent comme un outil pour appliquer doubles standards. Bachelet a remercié Xi pour avoir accueilli sa visite malgré le défi COVID. Bachelet a déclaré qu'elle aura de nombreux engagements et une communication directe avec le gouvernement chinois et les gens de différents secteurs au cours de ce voyage pour mieux comprendre la Chine. Mme Bachelet a également exprimé son admiration pour les efforts de la Chine pour éliminer la pauvreté, protéger les droits de l'homme et réaliser le développement économique et social, ainsi que pour ses efforts pour défendre le multilatéralisme, faire face aux défis mondiaux tels que le changement climatique et promouvoir le développement durable dans le monde. Le voyage de Bachelet est le premier en Chine d'un haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme depuis 2005. Parallèlement au séjour de Bachelet en Chine, les États-Unis et certaines forces anti-chinoises entament une nouvelle vague de désinformation contre la politique chinoise au Xinjiang et font pression sur les droits de l'homme de l'ONU. chef. Le porte-parole du département d'État américain, Ned Price, a déclaré mardi lors d'un point de presse que c'était une "erreur" pour Bachelet de se rendre en Chine, affirmant que les États-Unis ne s'attendent pas à ce que la Chine accorde l'accès nécessaire pour "conduire une évaluation complète et non manipulée de l'environnement des droits de l'homme » au Xinjiang. En réponse, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a déclaré mercredi que l'accueil de la visite de Bachelet par la Chine avait été cohérent et que ce sont les États-Unis qui ont été changeants sur la question - c'est celui qui a sauté le plus haut pour exiger que Bachelet se rende en Chine et maintenant il est la voix la plus forte pour s'opposer à la visite. Pourquoi les États-Unis sont-ils si changeants ? La réponse est simple : ils craignent que ses mensonges sur le « génocide » ou le « travail forcé » dans la région du Xinjiang ne soient démystifiés et c'est pourquoi ils multiplient les mensonges pour salir la Chine et induire en erreur la communauté internationale, a déclaré Wang, notant que peu importe combien de mensonges les États-Unis ont faits, la prospérité et la vie heureuse des résidents locaux ne peuvent être dissimulées. Les États-Unis tentent d'entraîner Bachelet à suivre le récit des États-Unis au Xinjiang, ainsi que le dernier battage médiatique des forces anti-chinoises sur les sujets du Xinjiang, a déclaré Jia Chunyang, expert aux Instituts chinois des relations internationales contemporaines, au Global Times. Les États-Unis font pression sur Bachelet pour qu'elle agisse comme sa marionnette et néglige ce qu'elle voit dans la région pour tisser la conclusion d'un "génocide", ont déclaré des analystes, soulignant que les États-Unis sont le seul pays qui accuse publiquement la Chine de "génocide" et a interdit tous les produits du Xinjiang. Parallèlement à la visite de Bachelet en Chine, le célèbre colporteur de rumeurs Adrian Zenz et un groupe de médias occidentaux ont publié des rapports sur des soi-disant fuites de fichiers de police et ont lancé une politique de "tirer pour tuer" envers les groupes ethniques de la région. Cependant, en lisant les fichiers téléchargés en ligne par Zenz, les experts ont découvert que Zenz avait utilisé ses anciennes tactiques, notamment en interprétant mal les discours et en mélangeant des exercices antiterroristes de la police locale avec des opérations policières. Certains internautes étrangers ont également souligné que des caractères chinois traditionnels qui ne sont pas couramment utilisés en Chine continentale figuraient dans certains documents, ce qui faisait allusion à la forte possibilité de contrefaçon. Malgré l'interview de Zenz avec la BBC disant que ces fichiers sont "non expurgés" et "bruts", certains internautes l'ont surpris pour avoir examiné les documents mercredi et des modifications ont été apportées après que certaines failles aient été repérées par les internautes. De plus, un internaute "Yang Weili", qui a téléchargé les documents que Zenz a téléchargés en ligne, a publié des captures d'écran des attributs du fichier et a découvert que les documents avaient été modifiés par de nombreuses personnes, dont Zenz et Ilshat Kokbore. Ilshat Kokbore est le président de l'Uyghur American Association (UAA),, un réseau soutenu par les États-Unis cherchant à séparer la région du Xinjiang de la Chine. Jia a souligné que ce n'était pas la première fois que l'on assistait à une coopération aussi rapide et harmonieuse entre les universitaires anti-chinois, les médias et les politiciens américains. C'est le vieux livre de jeu des États-Unis de se préparer à tout résultat qui irait à l'encontre de ses allégations. Des scénarios similaires se sont produits lorsqu'elle a fait pression sur l'OMS pour qu'elle se rende à Wuhan pour le traçage des origines du coronavirus et lorsque les conclusions des experts ne correspondaient pas à ses attentes, elle s'est opposée aux visites et a nié les résultats, Wang Jiang, éminent chercheur à l'Institut pour la région frontalière de la Chine, l'Université normale du Zhejiang, a déclaré au Global Times. Mais les États-Unis devraient préciser une chose : soit l'invitation de la Chine à Bachelet, soit la décision de Bachelet de se rendre en Chine a été motivée par la pression américaine. Il s'agit d'une visite pour une meilleure communication et basée sur le respect mutuel, a déclaré Wang Jiang, notant que l'ouverture et la transparence de la Chine sur la région du Xinjiang sont cohérentes avec divers rapports, documentaires et livres blancs sur la région. Selon les données du gouvernement régional du Xinjiang, depuis la fin de 2018, la région a invité plus de 2 000 personnes de plus de 100 pays à visiter et en 2021, malgré la COVID-19, la région a reçu plusieurs groupes de médias étrangers. Certains visiteurs étrangers ont exprimé leur surprise après avoir vu les développements dans la région et beaucoup de ceux qui connaissaient la grave situation précédente en matière de lutte contre le terrorisme se sont également réjouis de voir les changements fondamentaux dans la région. Le développement rapide du Xinjiang a mis en évidence la voie suivie par la Chine en matière de droits de l'homme en plaçant les personnes au centre et en faisant bénéficier les résidents locaux des développements sociaux. Après des efforts ardus pour lutter contre le terrorisme, les habitants du Xinjiang jouissent de la stabilité et de la prospérité, a déclaré Wang Jiang, notant que les développements dans la région impressionneront ceux qui ne sont jamais venus ou qui ont des malentendus à ce sujet. L'experte a exprimé l'espoir que la chef des droits de l'homme de l'ONU ait une évaluation objective lors de son voyage et tire des conclusions justifiées et justes sans être induite en erreur ou sous la pression d'autres pays ou forces. |
| | Posté le 30-05-2022 à 16:26:15
| Le chef des droits de l'homme de l'ONU conclut sa visite en Chine après de larges interactions avec tous les secteurs L'accusation de "manipulation" des États-Unis est mise à nu. Et cela montre qu'ils se soucient de la politique, pas des droits de l'homme Par Liu Xin Publié : 29 mai 2022 22:20 https://www.globaltimes.cn/page/202205/1266844.shtml Le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré la chef des droits de l'homme de l'ONU Michelle Bachelet à Guangzhou le lundi. La chef des droits de l'homme de l'ONU, Michelle Bachelet, a terminé sa visite de six jours en Chine , y compris dans la région du Xinjiang, mais sa déclaration qui a mis en évidence les vastes interactions de son équipe avec des personnes de différents secteurs en Chine et les progrès accomplis dans la facilitation des échanges futurs entre Pékin et Genève a semblé avoir déçu les États-Unis. Pendant ce temps, les forces anti-chinoises qui tentent d'utiliser la visite pour justifier l'allégation de "génocide" contre la Chine tentent maintenant de nier la visite de Bachelet et attaquent la Chine pour avoir "manipulé" son voyage à des fins de propagande. De telles attaques éhontées à la fois contre le Haut-Commissaire des Nations Unies et contre la Chine montrent clairement que cette communauté internationale tente de manipuler le Haut-Commissariat des Nations Unies, ont déclaré des analystes, notant que l'allégation de "génocide" au Xinjiang est absolument ridicule et a été fabriquée à des fins politiques. Ni la visite de Bachelet ni les visites de quiconque défendant la vérité ne mettront fin au battage publicitaire des forces américaines et anti-chinoises sur la question. Samedi soir, Bachelet a tenu une conférence de presse pour publier une déclaration sur sa visite de six jours en Chine, au cours de laquelle elle a noté que pour la première fois en 17 ans, un haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme s'est rendu en Chine et s'est entretenu directement avec les plus hauts responsables du gouvernement et d'autres interlocuteurs sur les questions clés des droits de l'homme en Chine et dans le monde. Pendant le séjour de Bachelet, le président chinois Xi Jinping a eu une réunion vidéo avec elle et a parlé de questions clés relatives aux droits de l'homme le 25 mai, et le 23 mai, le conseiller d'État et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a rencontré Bachelet à Guangzhou, dans la province du Guangdong. Lors de son voyage dans la région chinoise du Xinjiang, Bachelet a déclaré lors de la conférence de presse qu'ils avaient visité la prison de Kashi et un centre d'enseignement et de formation professionnels qui avait été démantelé, et qu'ils avaient parlé à d'anciens stagiaires. Ils ont également communiqué avec des organisations de la société civile, des universitaires et des chefs communautaires et religieux. Lors de ses entretiens avec des responsables gouvernementaux, le responsable de l'ONU a fait part de ses inquiétudes quant à l'application des mesures de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation. Samedi, le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Ma Zhaoxu a déclaré aux médias que la visite de Bachelet avait été l'occasion d'observer et de découvrir de première main le vrai Xinjiang au milieu de nombreux mensonges sensationnels racontés par certains pays occidentaux et des éléments anti-chinois prétextant le Xinjiang pour contenir la Chine. Les nuages ne peuvent pas éclipser le soleil, et la vérité démystifiera tous les mensonges, a souligné Ma, ajoutant qu'en termes de protection des droits de l'homme, personne ne peut prétendre être parfait et qu'il y a toujours place à l'amélioration. La Chine suivra inébranlablement la voie du développement des droits de l'homme qui convient à ses conditions nationales, a-t-il ajouté. Farce américaine Lors de la conférence de presse, Bachelet a réitéré que son voyage en Chine n'était "pas une enquête", et a noté que toutes leurs rencontres avec les habitants de la région du Xinjiang étaient "non supervisées" et "organisées par nous-mêmes". La visite de Mme Bachelet dans la région du Xinjiang n'est qu'une partie des efforts du Haut-Commissaire pour parler à un large éventail de personnes, des hauts fonctionnaires aux citoyens ordinaires, pour en savoir plus sur la Chine et pour faciliter les interactions futures entre Pékin et Genève, a déclaré au Global Times Wang Jiang, un éminent chercheur à l'Institut des régions frontalières de Chine de l'Université normale du Zhejiang. Cependant, les États-Unis ont ignoré le sens du voyage et se sont concentrés uniquement sur des sujets concernant le Xinjiang, exprimant leur opposition après avoir constaté que la déclaration de Bachelet ne correspondait pas à son allégation de "génocide". "Maintenant, nous pouvons voir qui essaie de manipuler le haut-commissaire", a déclaré Wang Jiang. Quelques heures après que Bachelet ait publié sa déclaration sur sa visite en Chine et dans sa région du Xinjiang, et fait état samedi de son expérience de discussions "non supervisées" et ouvertes avec un large éventail de personnes dans la région, le secrétaire d'État américain Antony Blinken a publié une déclaration pour exprimer ses "préoccupations" sur les "efforts de la Chine pour restreindre et manipuler" la visite de Bachelet et a également affirmé qu'un "génocide" était en cours dans la région. Les analystes ont qualifié les remarques de Blinken de pratiques habituelles après qu’il ait échoué à faire pression sur le chef des droits de l'homme de l'ONU pour en faire une marionnette américaine et soutienne son allégation de "génocide" contre la région du Xinjiang. Ils ont souligné que répéter les mensonges des forces anti-chinoises soutenues par les États-Unis ne rendra pas ces mensonges plus réels, mais cela ne fait qu'exposer l’utilisation malveillante des sujets relatifs aux droits de l'homme pour attaquer la Chine. Ils ont noté que les "préoccupations" de Blinken énumérées dans la déclaration ont été exposées comme des mensonges et de la désinformation et ont été démystifiées par des universitaires, des médias et le gouvernement chinois. Par exemple, l'allégation de plus d'un million de personnes "détenues". Jeffrey Sachs, professeur d'économie à l'Université de Columbia à New York et également conseiller principal de l'ONU, a écrit dans un e-mail au Global Times que la mission de Bachelet à l'ONU "ne devrait pas être attaquée ou critiquée par le gouvernement des États-Unis avant même que le voyage n'ait lieu !" Il a déclaré que les questions liées à la Déclaration universelle des droits de l'homme devraient être abordées dans le cadre des processus de l'ONU et " non utilisées pour aggraver les tensions géopolitiques" . La déclaration de Blinken n'est que la dernière farce que les États-Unis et certaines forces anti-chinoises ont créée récemment. Avant et pendant la visite de Bachelet en Chine, ils ont exprimé leur opposition à sa visite - un revirement aux précédents appels véhéments à une visite dans la région - et affirmé que la "crédibilité" de la chef des droits de l'homme est en jeu car elle serait "dupée" par La Chine est utilisée comme un "outil de propagande". Certains ont également exhorté le Haut-Commissariat à publier son rapport sur les "violations des droits de l'homme" dans la région chinoise du Xinjiang. Depuis l'année dernière, les forces anti-chinoises, en particulier le Congrès mondial ouïghour soutenu par les États-Unis, ont rassemblé des dizaines d'organisations pour faire pression sur le Haut-Commissariat afin qu'il fasse enquête sur le "génocide" sur une liste fournie par le "Tribunal ouïghour" - une autre farce organisé par le WUC, que les analystes ont critiqué pour avoir des objectifs politiques forts. Le Haut-Commissariat dispose de son propre fonctionnement indépendant. En partant du principe que la souveraineté de la Chine doit être respectée, il y a quelques questions liées au Xinjiang chinois. Zhu Ying, professeur à l'Institut Baize de l'Université de sciences politiques et de droit du Sud-Ouest a déclaré au Global Times que des rapporteurs spécialisés et des experts travaillent au sein d’une équipe de coordination pour évaluer les politiques ethniques et religieuses de la Chine, et les mesures de lutte contre le terrorisme et la déradicalisation. Les rapporteurs n'ont rien trouvé qui ressemble à un "génocide" au Xinjiang. Les pays occidentaux et les États-Unis ont peut-être vu le rapport, c'est pourquoi ils ont lancé de telles attaques contre la Chine, tentant de clouer l'allégation de "génocide" contre la Chine en mettant en avant des individus prétendument disparus ou le "travail forcé", a déclaré Zhu. Mais les médias occidentaux ne peuvent pas représenter l'opinion publique internationale ni manipuler le Haut-Commissaire, a déclaré Zhu, notant que Bachelet a tenu la conférence de presse en ligne pour rejeter la désinformation rampante et a également réitéré la position et les fonctions du Haut-Commissaire. « Vous ne pouvez pas trouver quelque chose qui n'existe pas ! Il n'y a pas de génocide dans le Xinjiang chinois et quiconque fait pression sur Bachelet pour qu'elle « fouille les poubelles » dans la région utilise en fait le haut-commissaire comme un outil politique » , a déclaré à Global Times Chang Jian, directeur de la recherche au Center for Human Rights de l'Université Nankai de Tianjin. Chang a noté que Mme Bachelet avait fait part de ses inquiétudes quant à la recherche d'un équilibre entre la lutte contre le terrorisme et la protection des droits de l'homme, et la Chine lui a également expliqué les mesures prises par la Chine dans ce domaine et les raisons qui les sous-tendent. "Alors que la communauté internationale explore de meilleures voies dans ce domaine, la Chine est toujours à l'écoute des voix des autres. Mme Bachelet offre des conseils en tant que haut-commissaire, ce qui est une bonne occasion d'avoir une meilleure communication et de promouvoir la protection des droits de l'homme, mais les États-Unis ne l'admettront jamais », a déclaré Chang. Dans la déclaration de samedi, Mme Bachelet a mentionné les "énormes réalisations de la Chine" en matière de réduction de la pauvreté et d'éradication de l'extrême pauvreté, ainsi que ses efforts en faveur de l'Agenda multilatéral 2030 et des Objectifs de développement durable, tant au niveau national qu'international. La Haut-Commissaire a également noté que son bureau et la Chine avaient convenu d'établir un dialogue régulier et de créer un groupe de travail pour faciliter les échanges et la coopération de fond. Les analystes ont noté que la visite de Bachelet est un bon début pour que la Chine et le Haut-Commissaire aient une communication plus franche et pour que les responsables de l'ONU acquièrent une meilleure compréhension de la région du Xinjiang. Cependant, c'est ce que les forces américaines et anti-chinoises ne veulent pas voir et elles pourraient salir davantage la Chine après la visite de Bachelet. Alors que les États-Unis prêtaient une attention particulière à la visite de Bachelet dans le Xinjiang en Chine, une tragédie provoquée par une fusillade dans une école primaire américaine, tuant au moins 19 enfants, a révélé le grave racisme et les violations des droits de l'homme aux États-Unis. Bachelet a déclaré lors de la conférence de presse que le meurtre au Texas était très triste. Cela montre que le problème n'a pas été résolu et que tout le monde devrait continuer à lutter contre la discrimination raciale." Wang Jiang a noté qu'il est également ironique et ridicule de voir les "préoccupations" de Blinken concernant les personnes vivant dans le Xinjiang en Chine, une région éloignée des États-Unis, mais ne prenant pas le temps de s'occuper des graves violations des droits de l'homme aux États-Unis ou même de protéger les Américains. enfants. "Quand ils ne peuvent pas assurer la sécurité des enfants, comment les États-Unis peuvent-ils se qualifier de pays civilisé et pointer du doigt les droits de l'homme des autres pays ? " demanda-t-il. |
| | Posté le 10-06-2022 à 21:00:22
| La plus haute législature chinoise condamne la résolution du Parlement européen sur le Xinjiang Par Global Times Publié: 10 juin 2022 17:22 https://www.globaltimes.cn/page/202206/1267791.shtml Un porte-parole de la plus haute législature chinoise a déclaré vendredi que la Chine condamnait fermement la soi-disant résolution sur "la situation des droits de l'homme au Xinjiang" adoptée par le Parlement européen, et l'a exhorté à cesser immédiatement de s'ingérer dans les affaires intérieures de la Chine. Le 9 juin, le Parlement européen a adopté une résolution sur "la situation des droits de l'homme au Xinjiang", critiquant la situation des droits de l'homme dans la région chinoise du Xinjiang et alléguant que les mesures pertinentes de la Chine constituent des crimes contre l'humanité et représentent un risque sérieux de "génocide". La Chine s'oppose fermement à la manipulation politique et à l'ingérence du Parlement européen dans les affaires intérieures de la Chine sous couvert de "droits de l'homme", You Wenze, "Respecter et protéger les droits de l'homme est un principe important de la Constitution chinoise", a déclaré You. Depuis la fondation de la République populaire de Chine il y a plus de 70 ans, le Xinjiang a fait des progrès dans la promotion des droits de l'homme. La Chine a lancé des campagnes antiterroristes et de déradicalisation conformément à la loi, a efficacement freiné la fréquence des activités terroristes, assuré au maximum la sécurité de la vie et des biens des personnes de tous les groupes ethniques au Xinjiang et apporté des contributions positives à la campagne mondiale pour les droits de l'homme et la lutte contre le terrorisme, a déclaré You. Un porte-parole de la mission chinoise auprès de l'UE a déclaré jeudi que la résolution pertinente du Parlement européen est au mépris total des faits, notant qu'elle est fabriquée et confond noir et blanc. De 1955 à 2020, le PIB de la région a été multiplié par 160, son PIB régional par habitant multiplié par 30, apportant une solution historique à la pauvreté absolue. L'espérance de vie au Xinjiang est passée de 30 ans en 1949 à 74,7 ans en 2019. Il y a une mosquée pour 530 musulmans dans la région du Xinjiang, un ratio supérieur à celui de nombreux pays occidentaux et pays islamiques. À l'heure actuelle, le Xinjiang est entré dans sa meilleure période de l'histoire avec l'harmonie sociale et la stabilité, et une vie heureuse et paisible pour son peuple, a déclaré le porte-parole de la mission chinoise auprès de l'UE. Le soi-disant "génocide" est un mensonge éhonté du siècle, qui est une vilaine farce dirigée par les forces anti-chinoises, a déclaré le porte-parole. "L'histoire ne tolère aucune distorsion, la vérité ne peut être niée", a déclaré You. Par intérêt politique, certaines forces anti-chinoises du Parlement européen ne tiennent pas compte des faits objectifs, salissent la politique chinoise au Xinjiang, répandent de manière malveillante des mensonges liés au Xinjiang et politisent les questions des droits de l'homme, a déclaré You. Leur but est de semer la discorde entre les groupes ethniques en Chine et de diffamer et contenir la Chine, et leurs actions sont vouées à l'échec, selon You. Les questions liées au Xinjiang ne concernent pas du tout les droits de l'homme, l'ethnicité ou la religion, mais la lutte contre le terrorisme et le séparatisme, a déclaré M. You, notant que les affaires du Xinjiang sont purement des affaires intérieures de la Chine et qu'aucune force extérieure n'est autorisée à intervenir. |
| | Posté le 15-06-2022 à 00:03:25
| Bachelet cite des raisons personnelles pour ne pas briguer un second mandat dans le contexte de la politisation américaine des droits de l’homme Par les journalistes du personnel de GT Publié: Jun 14, 2022 09:13 PM La Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, prononce un discours sur l’évolution mondiale des droits de l’homme lors d’une session du Conseil des droits de l’homme le 21 juin 2021 à Genève. Photo : VCG L’annonce de la chef des droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, de ne pas briguer un second mandat a attiré une large attention dans le monde entier, et les experts ont noté que, comme la décision de Bachelet a été prise pour des raisons personnelles, le battage médiatique des États-Unis et des forces anti-chinoises sur le sujet vise à poursuivre leur allégation de « génocide » pour contenir la Chine et leurs mesures de pression sur Bachelet sont une honteuse « intimidation politique ». Alors qu’elle abordait l’évolution mondiale des droits de l’homme lors de la 50e session du Conseil des droits de l’homme lundi, Mme Bachelet a déclaré : « Alors que mon mandat de Haut-Commissaire touche à sa fin, la cinquantième session marquante de ce Conseil sera la dernière que j’informe. » Elle a ensuite posté sur son compte Twitter que la décision de ne pas briguer un second mandat est due à des « raisons personnelles » et « il est temps de retourner au Chili et d’être avec sa famille ». L’annonce de Bachelet a attiré l’attention internationale car elle a été placée au centre de la tempête par les forces américaines et anti-chinoises alors qu’elles menaient une campagne pour critiquer Bachelet pour ne pas avoir suivi leur allégation de « génocide » contre la région chinoise du Xinjiang. Par exemple, Luke de Pulford, conseiller du Congrès mondial ouïghour – un réseau soutenu par les États-Unis qui cherche à séparer la région du Xinjiang de la Chine – a tweeté lundi que la « campagne menée par les Ouïgours » pour empêcher Bachelet d’obtenir un second mandat « a atteint son objectif » et « le temps de trouver quelqu’un qui est à la hauteur du travail ». D’autres séparatistes soutenus par les États-Unis de la région chinoise du Xinjiang, y compris Rushan Abbas, ont été occupés à s’opposer à Bachelet. Alors que les analystes ont déclaré que Bachelet ne céderait pas aux voix de l’opposition, les forces anti-chinoises utilisent le sujet pour « célébrer une victoire illusoire » et pour poursuivre leurs mensonges sur le Xinjiang. Jeffrey Sachs, professeur d’économie à l’Université Columbia à New York et également conseiller principal de l’ONU, a déclaré au Global Times que Bachelet avait déclaré qu’elle avait déjà informé le secrétaire général de l’ONU avant son voyage au Xinjiang qu’elle voulait démissionner. « Elle a 70 ans. C’est un travail difficile. Elle est une leader depuis de nombreuses années. Elle a exprimé sa décision en termes de raisons personnelles. Et j’ai toutes les raisons de le croire », a déclaré Sachs, notant qu’il connaît Bachelet depuis de nombreuses années et l’admire pour « elle gère son bureau et tous les postes avec d’énormes responsabilités ». Bachelet est une femme politique chilienne et est Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme depuis 2018. Auparavant, elle a été élue présidente du Chili à deux reprises et a servi de 2006 à 2010 et de 2014 à 2018, et a été la première femme présidente du Chili. En tant que politicienne mature, Bachelet a peut-être décidé de ne pas briguer un second mandat il y a longtemps, et sa visite en Chine en mai a aidé le Haut-Commissariat à en savoir plus sur la situation des droits de l’homme en Chine et dans la région du Xinjiang, ce qui est un signal positif, He Zhipeng, professeur de droit international à la faculté de droit de l’Université du Jilin, au Global Times. Cependant, la pression exercée par les Forces américaines et anti-chinoises sur Bachelet, qu’il s’agisse de lui demander de se rendre dans la région du Xinjiang, de s’opposer à sa visite et de la critiquer pour ne pas être d’accord avec l’allégation de « génocide », peut être qualifiée d'« intimidation politique » et il est honteux pour eux d’intimider les autres sous le nom des droits de l’homme. Le 28 mai, après sa visite de six jours en Chine, Bachelet a tenu une conférence de presse en ligne, au cours de laquelle elle a souligné que son voyage dans la région du Xinjiang n’était pas une enquête et que sa mission avait eu des discussions larges et ouvertes avec des personnes de différents secteurs du Xinjiang. Les analystes ont déclaré que Bachelet avait rejeté la désinformation rampante sur la région du Xinjiang, qui était une gifle pour les États-Unis et certains pays occidentaux, leurs médias et leurs forces anti-chinoises. Sachs a également déclaré: « Je suis très heureux qu’elle soit allée en Chine, qu’elle ait eu le dialogue. Elle a fait une déclaration franche pour soulever de nombreuses questions. C’est l’approche que nous devrions adopter. Nous ne devrions pas porter d’accusations sans preuves ou porter des accusations provocatrices qui sont scandaleuses pour d’autres parties. » Sachs a noté que comme l’allégation de « génocide » est un mensonge total fait par les forces américaines et anti-chinoises, plus de gens avec justice et conscience connaîtront la vérité à mesure que la Chine continuera son ouverture sur le monde extérieur. Cependant, alors que les États-Unis intensifient la concurrence avec la Chine dans tous les domaines, ils exerceront leur influence sur le choix du successeur de Bachelet - c’est ce qu’ils ont fait dans le commerce, l’environnement et d’autres secteurs, a déclaré l’expert. En octobre 2021, trois ans après que l’ancien président américain Donald Trump se soit retiré du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, les États-Unis ont annoncé qu’ils le rejoindraient et le président Joe Biden a été cité par les médias comme disant qu’il attendait avec impatience que les États-Unis poussent le Conseil à protéger les valeurs des droits de l’homme. Cependant, depuis leur retour, les États-Unis ont intensifié leurs efforts pour utiliser les droits de l’homme comme un outil pour faire pression sur d’autres pays, en particulier pour pousser des allégations de « génocide » contre la Chine, et de telles mesures ont suscité des inquiétudes parmi les chercheurs. « En 2006, avant la révolution de la Commission des droits de l’homme de l’ONU, j’ai discuté d’un sujet avec des experts internationaux : la politisation des droits de l’homme. Après 15 ans, le problème existe toujours et s’est détérioré car certains pays ne réfléchissent pas à la manière de protéger les droits de l’homme, mais sont désireux d’utiliser les droits de l’homme pour en contenir d’autres », a-t-il déclaré. Les États-Unis font pression sur la Chine en faisant le buzz sur les questions des droits de l’homme. Ce qui l’intéresse, ce ne sont pas les questions de droits de l’homme, mais comment maintenir son hégémonie politique, a-t-il déclaré |
| | Posté le 25-08-2022 à 13:48:09
| marquetalia a écrit :
Et ce vieux fou de dalai lama, toujours pas mort ? Vivement que la faucheuse vienne chercher ce sinistre individu. |
Tu perds encore une occasion de te taire, ton message est bon à supprimer et l'administrateur devrait te mettre au coin quelques semaines. |
| | Posté le 25-08-2022 à 17:21:35
| Le sujet concerne le Xinjiang...marquetalia |
| | Posté le 25-08-2022 à 17:54:55
| Je suis assez allé au coin dans ma tendre jeunesse... |
| | Posté le 25-08-2022 à 23:17:17
| Tu as commencé si tôt ? |
| | Posté le 01-09-2022 à 13:06:22
| Les médias bourgeois n'ont pas attendu que Bachelet ait quitté sa fonction suite aux pressions des USA, pour annoncer que "Des crimes contre l'humanité pourraient avoir été commis dans la région" La Chine s'oppose à la politisation des droits de l'homme alors que Bachelet quitte son poste de chef des droits de l'homme de l'ONU ParWang Qi Publié: 31 août 2022 21:54 https://www.globaltimes.cn/page/202208/1274333.shtml La Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme Michelle Bachelet prononce un discours sur l'évolution des droits de l'homme dans le monde lors d'une session du Conseil des droits de l'homme le 21 juin 2021 à Genève. Photo: VCG La Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme Michelle Bachelet prononce un discours sur l'évolution des droits de l'homme dans le monde lors d'une session du Conseil des droits de l'homme le 21 juin 2021 à Genève. Photo: VCG La Chine s'oppose fermement à la publication du rapport soi-disant lié au Xinjiang par le Bureau des droits de l'homme de l'ONU, qui est une pure cascade orchestrée par les États-Unis et quelques autres pays occidentaux, et espère que le haut-commissaire prendra la bonne décision, a déclaré le ministère des Affaires étrangères. a déclaré mercredi le porte-parole Zhao Lijian, le dernier jour où Michelle Bachelet occupe le poste de Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme. Interrogé sur la fin du mandat de Bachelet et sur le soi-disant rapport sur le Xinjiang, Zhao a déclaré lors d'un point de presse de routine que la Chine maintient toujours que le haut-commissaire doit respecter les objectifs et les principes de la Charte des Nations Unies, suivre strictement le mandat de l'ONU l'Assemblée générale et mener à bien ses travaux dans le respect des principes d'objectivité, d'impartialité, de non-sélectivité et de non-politisation. Zhao a déclaré que la Chine attachait de l'importance à la promotion équilibrée de tous les types de droits de l'homme, au dialogue et à la coopération avec les États membres, et s'opposait à la mauvaise pratique de politisation des droits de l'homme et aux doubles standards. Bachelet s'est rendue dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, au milieu d'une vague de campagnes de désinformation américaines et occidentales contre la Chine, le premier voyage en Chine d'un haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme depuis 2005. Elle a pris ses fonctions le 1er septembre 2018 et a annoncé dans juin qu'elle ne solliciterait pas un second mandat. Le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, Stéphane Dujarric, a annoncé mardi que Bachelet serait temporairement remplacée par la Haut-Commissaire adjointe aux droits de l'homme Nada Youssef Al Nashif jusqu'à ce qu'un successeur soit nommé, a rapporté l'AFP. Les experts chinois ont déclaré que le départ de Bachelet pourrait être lié à la pression occidentale sur le "rapport Xinjiang", qui a déjà été médiatisé et militarisé. À une époque où l'Occident salit la Chine avec des "problèmes de droits de l'homme" au Xinjiang, il est de plus en plus difficile de rester objectif, et on espère que le successeur de Bachelet pourra résister à la pression, ont-ils déclaré. Selon l'AFP, Bachelet a été sérieusement critiquée par les États-Unis, qui ont accusé sans fondement et ridiculement la Chine d'avoir commis un "génocide" au Xinjiang. L'ambassadrice britannique auprès du Conseil des droits de l'homme, Rita French, a exhorté Bachelet à publier son rapport, car il est "essentiel pour nous tous qu'aucun État ne soit à l'abri d'un examen objectif de son bilan en matière de droits de l'homme". Les États-Unis et certains pays occidentaux ont préconçu un résultat qui nuirait à l'image de la Chine, et espèrent qu'il serait confirmé par le rapport de Bachelet, qui porte atteinte à l'équité et à l'objectivité, a déclaré Wang Jiang, expert à l'Institut d'études frontalières de la Chine à l'Université normale du Zhejiang, a déclaré mercredi au Global Times. Chang Jian, directeur du Centre de recherche sur les droits de l'homme de l'Université Nankai de Tianjin, a déclaré au Global Times que la pression exercée sur Bachelet est en fait une tentative malveillante de contenir la Chine sous le voile des "droits de l'homme". "Les gens ne devraient pas détourner leur attention des vrais problèmes de droits de l'homme à cause de problèmes fabriqués et médiatisés comme la désinformation sur le Xinjiang", a déclaré Wang. À l'heure actuelle, les habitants de la région du Xinjiang jouissent de la sécurité et de la stabilité, et vivent et travaillent dans la paix et le bonheur. Les droits de l'homme de tous les groupes ethniques sont pleinement protégés. Il n'y a pas du tout de "disparition forcée" au Xinjiang, a noté un porte-parole de la Mission permanente de la Chine auprès de l'ONU . Les États-Unis se sont toujours présentés comme un "juge des droits de l'homme" et un "défenseur des droits de l'homme". Mais le fait est que le pays a un mauvais bilan en matière de droits de l'homme qui s'aggrave chaque jour qui passe, a déclaré le porte-parole. Les États-Unis devraient plutôt sérieusement protéger les droits de l'homme de leur propre peuple, cesser de diffuser de fausses informations et des mensonges sur la question des droits de l'homme, cesser d'utiliser les droits de l'homme comme un outil pour s'immiscer dans les affaires intérieures d'autres pays et cesser d'être une pierre d'achoppement pour coopération internationale en matière de droits de l'homme, a noté le porte-parole. |
| | | | Posté le 23-12-2023 à 06:00:15
| La réalité de la "démocratie" aux Etats-Unis, à transmettre aux élites dirigeantes françaises et européennes si attachées aux droits de l'homme partout dans le monde sans regarder ce qu'il en est dans leur modèle adoré. |
|
|
|