| | | | | Finimore | Grand classique (ou très bavard) | | 2653 messages postés |
| Posté le 02-03-2020 à 16:57:55
| Voilà je place ces liens ici, mais ça peut aussi être dans le sujet Gilets Jaunes. Mais ça donne des éléments sur la question des BB et de la violence. BLACK BLOCS - COLÈRE NOIRE https://www.youtube.com/watch?v=TC4Kty-kRD0 Francis Dupuis-Déri : Black Blocs, Non-Violence, Révolutions https://www.youtube.com/watch?v=boMfMs4Jdt0 Civicio dans la tête d’un Bloqueux interview avec un membre des Black Blocs https://www.youtube.com/watch?v=qYUea0M07dE
-------------------- Ni révisionnisme, Ni gauchisme UNE SEULE VOIE:celle du MARXISME-LENINISME (François MARTY) Pratiquer le marxisme, non le révisionnisme; travailler à l'unité, non à la scission; faire preuve de franchise de droiture ne tramer ni intrigues ni complots (MAO) |
| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18580 messages postés |
| Posté le 28-06-2021 à 20:02:28
| Macron veut passer la retraite à 64 ans Passé le fouillis des disgressions de Plaristes, tantôt rouge-brun tantôt hoxhaïste, tantôt hégélien, etc. revenons à des sujets plus terre-à-terre, ceux qui sont la cause des révolutions précisément. La bourgeoisie veut utiliser la léthargie entraînée par plusieurs confinements et la victoire des LR aux dernières élections pour fourguer la suite du programme sur les retraites ; ça tombe bien quand bon nombre de salariés sont restés au chômage technique pendant des mois. Simultanément le gaz augmente de 10 % au 1er juillet, les fruits qui ont souffert du gel augmentent aussi évidemment et l'électricité a vu une hausse de 2,4% en février 2020. La liste est à peine ébauchée. https://www.franceinter.fr/economie/reforme-des-retraites-un-report-de-l-age-de-depart-est-envisage-dans-l-entourage-d-emmanuel-macron La loi pourrait être lancée en octobre et appliquée sous le prochain président. Après la déculottée des dernières élections, Macron n'a plus rien à perdre à lancer une loi anti populaire et refiler le bâton merdeux à son successeur. https://www.letelegramme.fr/france/la-reforme-des-retraites-votee-en-octobre-28-06-2021-12778482.php Instaurer la retraite à 64 ans dès le mois d’octobre pour une mise en application après l’élection présidentielle, telle semble être la volonté de plusieurs personnes dans l’entourage d’Emmanuel Macron, annoncent Les Échos, ce lundi : « Selon des sources concordantes, les pro-réformes poussent à frapper un grand coup en repoussant l’âge de la retraite à 64 ans dans un délai très bref, même si la mesure n’entrerait en vigueur qu’après la présidentielle. Alexis Kohler, Bruno Le Maire et Sébastien Lecornu sont parmi eux, tandis que Jean Castex est plus prudent, et a fortiori Richard Ferrand » .
Edité le 28-06-2021 à 20:23:40 par Xuan
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
| pzorba75 | Grand classique (ou très bavard) | 1220 messages postés |
| Posté le 29-06-2021 à 06:08:15
| Le retour du franco-espagnol Manuelo Valls va peut-être aider Macron et les libéraux dans la "réforme" des retraites, avec le concours bienveillant des syndicats compréhensifs, pas ceux issus de la gauche irréconciliable. Le syndicat des évêques va se tenir prêt pour la manoeuvre.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18580 messages postés |
| Posté le 13-07-2021 à 19:43:40
| Après la retraite à 64 ans, la diminution des retraites : NB : il s'agit de sous-indexer les retraites complémentaires. Or l'inflation s'accroît de plus belle. Par conséquent il s'agit bien d'une diminution des retraites. Retraite complémentaire Agirc-Arrco : vers une sous-indexation des pensions en novembre ? https://www.capital.fr/votre-retraite/retraite-complementaire-agirc-arrco-vers-une-sous-indexation-des-pensions-en-novembre-1409314 Nouveau round de discussions entre les partenaires sociaux gérant l’Agirc-Arrco. Après une première rencontre le 21 juin dernier, syndicats et patronats se sont retrouvés ce mardi 13 juillet pour discuter des mesures à prendre pour redresser la situation financière du régime. Le fonctionnement du régime est très encadré. Un accord national interprofessionnel (ANI), signé en 2019 et valable pour 4 ans, fixe en effet la trajectoire financière à respecter. Parmi les principaux critères, le maintien des réserves à un niveau équivalent au versement de 6 mois de pension. Si aujourd'hui c’est bien le cas, la situation pourrait se dégrader dans les prochaines années. Or l’ANI prévoit qu’en cas de “dérapage”, des mesures soient prises en conséquence. C’est ce sur quoi planchent les partenaires sociaux actuellement. Le patronat, Medef en tête, est favorable à une sous-indexation des retraites complémentaires en novembre prochain . Si l’on suit l’accord de 2019, les pensions sont revalorisées chaque année selon l’inflation hors tabac, d’après les prévisions de juin publiées par l’Insee. Selon l’institut, elle serait de 1,4%. L’accord prévoit toutefois une petite marge de manœuvre de 0,2 point à la hausse comme à la baisse. Traduction, pour 2021, la hausse des pensions pourrait être comprise entre 1,2% et 1,6%. La proposition du patronat est de sous-indexer les pensions au-delà de ces 0,2 point. Il suggère une baisse qui pourrait être de 0,7 point cette année et de 0,3 point l'année suivante ou d'un point dès cette année. Ce qui reviendrait à revaloriser les pensions dans une fourchette comprise entre 0,4 et 0,7% en novembre prochain. Côté syndicats, les avis sont partagés. La CFTC , après avoir demandé des chiffrages aux services techniques de l'Agirc-Arrco, est favorable à une sous revalorisation de 0,5 point pendant deux ans. Une position partagée par la CFDT qui souhaite faire évoluer le texte de l’accord de 2019 et, au lieu d’avoir une marge de manœuvre de 0,2 point, la monter à 0,5 point. “Actuellement, la situation est très sensible aux hypothèses démographiques mais aussi à la possibilité d’une 4e vague de l’épidémie, rappelle Frédéric Sève de la CFDT. La solution que nous proposons permettrait au conseil d'administration, qui doit décider du niveau de revalorisation en octobre prochain, d’ajuster son choix en fonction de la situation” , argumente-t-il. Un avis qui n’est pas partagé par les autres organisations syndicales. FO, la CGT et la CFE-CGC sont défavorables à une sous-indexation des pensions et plaident plutôt pour une souplesse dans la règle du minimum de réserves. “On va impacter les pensions des retraités et des futurs retraités pour reconstruire des réserves qui sont justement des précautions pour passer les crises comme celle que nous vivons actuellement” , dénonce Sandrine Mourey de la CGT. Pour ces organisations, il n’y a aucune urgence et le régime de retraite complémentaire n’est pas en danger. “Nous avons les moyens d’attendre avant de prendre de telles mesures qui feraient perdre du pouvoir d’achat aux retraités, regrette Pierre Roger de la CFE-CGC. Le patronat ne prend pas en compte le fait qu’il y aura certainement dans les prochaines années une réforme des retraites qui va augmenter la durée de cotisation” , ajoute-t-il. Une position que ne partage pas la CFTC. “Nous voulons pas nous dire dans quelques années que nous avons mis le régime en difficulté en piochant dans les réserves” , juge Pascale Coton de la CFTC. En compensation de cette mesure, la CFTC propose de mettre l’accent sur l’action sociale pour les retraités les plus modestes. “L'augmentation proposée serait de 4% en 2022, soit 13 millions d'euros” , détaille Pascale Coton. Ces dispositifs déjà existants permettent notamment de bénéficier d’un service d’aide à domicile, d’un aménagement de son logement en fonction de sa perte d’autonomie ou d'un coup de pouce financier si vous avez besoin en urgence d'acheter de l'électroménager. Une mesure approuvée par le patronat mais pas par tous les syndicats. “Pour nous, ce n’est pas acceptable car ce sont les techniciens, les cadres moyens et supérieurs sur lesquels on va faire peser l’effort” , déplore Pierre Roger. La prochaine discussion sur le sujet est prévue le 22 juillet. Plusieurs organisations demandent qu’elles se prolongent ensuite. “Nous ne voulons pas d’un accord hâtif pendant les vacances, il doit y avoir de nouvelles négociations à la rentrée” , estime Sandrine Mourey. Elles pourraient alors se dérouler en parallèle de celle annoncée par Emmanuel Macron, lors de son allocution du mardi 12 juillet.
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
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