| | | | | CMC | Grand classique (ou très bavard) | 171 messages postés |
| Posté le 15-09-2013 à 08:20:26
| intervention du ROCML à la fête de l'Huma
ARRÊTONS LE BRAS DES FAUTEURS DE GUERRE CONTRE LA SYRIE ! LES ETATS IMPERIALISTES RIVALISENT POUR LE PARTAGE DU MONDE. Les vieilles puissances impérialistes euro-atlantiques connaissent un déclin économique historique et traversent une crise sans précédent. Elles sont en outre confrontées à l’essor de nouveaux impérialismes qu’elles ont paradoxalement contribué à créer et à développer. Le développement industriel et la puissance financière de ces pays dits émergents sont tels qu’ils sont aujourd’hui au niveau de rivaliser avec les pays impérialistes occidentaux dans la compétition pour un repartage du monde correspondant à leur rapport de force international actuel. Les évènements de ces dernières années, au Moyen-Orient et en Afrique notamment, sont l’expression de cette lutte acharnée entre d’une part l’ancien camp impérialiste euro-atlantique et nippon lui-même divisé, et les nouveaux impérialismes dits pays émergents que sont la Chine, la Russie, le Brésil et l’Inde (BRIC). Voyant leur hégémonie mise en danger mais encore supérieurs militairement, les pays impérialistes occidentaux recourent quand ils le peuvent à la carte de la guerre pour assurer leur domination et leur pillage sur les pays où ils sont contestés par les peuples ou par des dirigeants bourgeois locaux sensibles aux offres « pacifiques » des nouveaux impérialistes émergents. S’appuyant sur de légitimes mouvements populaires ou en suscitant des insurrections par divers procédés éprouvés de la subversion, ils interviennent militairement, au nom des droits humains et de la démocratie, pour installer par la guerre civile ou l’agression extérieure de nouvelles dictatures sous leur contrôle. L’Afghanistan, l’Irak, la Côte d’Ivoire, la Libye ont subi directement des agressions armées extérieures des pays impérialistes car l’opposition interne n’était pas suffisamment exploitable. Ailleurs, en présence d’un authentique mouvement populaire prolongé contre des dictatures pro-occidentales, comme en Tunisie et en Egypte, les pays impérialistes occidentaux ont manœuvré politiquement pour dévoyer et étouffer la révolte et imposer « démocratiquement » de nouveaux gouvernements à leur solde. Après la Libye, la géostratégie impérialiste euro-atlantique associée aux buts colonialistes de l’Etat sioniste d’Israël se porte aujourd’hui sur l’Iran et la Syrie, qui sont les deux derniers obstacles à leur contrôle du Proche et Moyen Orient. L’agenda impérialiste vise d’abord à soumettre la Syrie avant d’attaquer l’Iran. En Syrie, selon les informations sérieuses dont nous disposons, le pouvoir baasiste de Bachar el Assad a été confronté ces dernières années à un réel mouvement populaire revendicatif. Ce mouvement s’opposait à certaines réformes économiques réactionnaires et exprimait des revendications sociales et démocratiques. Conscient des manœuvres de récupération, ce mouvement a toujours affirmé son orientation anti-impérialiste. Devant ce mouvement, et malgré l’usage de la répression, Bachar el Assad s’était engagé à aller dans le sens de certaines de ses revendications démocratiques. Dans cette configuration, les impérialistes occidentaux ont alors impulsé sur des bases ethniques et religieuses une rébellion armée qu’ils ont financée et fournie en matériel militaire, qu’ils ont entraînée et organisée, agissant à partir de pays voisins comme la Turquie et le Liban ou de régions du territoire syrien sous influence islamiste. Pilonnant l’opinion internationale avec leurs médias, les pays impérialistes mettent tout en œuvre pour arriver, comme en Libye, à renverser le régime de Bachar el Assad qui est une entrave à leur domination du Moyen Orient. Une intervention militaire ouverte est possible. (Extrait d’une déclaration du ROCML de Décembre 2012) LA SITUATION ACTUELLE Un an après cette analyse, où en est-on ? Sur le plan militaire, la stratégie impérialiste occidentale de rébellion armée financée, armée, entraînée et pourvue en combattants de l’extérieur a clairement échoué. Jour après jour, adaptée à la guerre anti-terroriste, l’Armée Arabe Syrienne décime les groupes rebelles et les chasse des zones où ils avaient réussi à s’incruster. Sur le plan politique intérieur, Bachar El Assad est toujours à son poste, soutenu par une coalition large opposée à l’agression impérialiste et unie pour la défense de l’intégrité et la souveraineté de la Syrie. Sur le plan international, l’Etat syrien est soutenu fermement par l’Iran, le Hezbollah libanais et surtout par la Russie et d’autres pays comme la Chine qui bloquent toute initiative onusienne pouvant déstabiliser Bachar El Assad et le faire tomber. En résumé, la question qui tourmente les dirigeants impérialistes occidentaux depuis des mois est : Comment sortir de l’impasse ? Quelle forme d’intervention militaire mettre en œuvre pour casser les reins de l’armée syrienne et modifier le rapport de force militaire sur le terrain ? La seule réponse à cette question ne pouvait être qu’une intervention militaire directe opérée par les forces armées des pays impérialistes occidentaux eux-mêmes, en passant outre le Conseil de Sécurité de l’ONU. Le prétexte fut une attaque chimique, le 21 août, dans un quartier de Damas, attribuée sans aucune preuve à Bachar El Assad, qu’il fallait punir, bien sûr, au nom de la défense de l’humanité. Le prétexte trouvé, le chœur des faucons étasuniens, anglais et français entonna des chants de guerre et décida de bombarder la Syrie. Sauf que de la parole aux actes, il y a un pas difficile à franchir. De même qu’ils avaient sous-estimé les capacités du régime de Bachar El Assad à affronter avec succès la rébellion djihadiste extérieure, Obama, Cameron et Hollande-Fabius se sont précipités et ont surestimé leur capacité à appliquer leur décision d’attaque aérienne contre le territoire syrien. Quels sont les obstacles sur lesquels buttent les dirigeants impérialistes occidentaux ? -La fermeté de l’Etat syrien de ne pas céder aux menaces et à faire face à toute attaque. -Le rejet de la guerre par leur opinion publique. -Leurs propres institutions, dont le vote négatif du parlement anglais est l’illustration. Ce vote a obligé Cameron à sortir de la coalition. Obama et Hollande hésitent à partir isolés. -Les coûts financiers induits par toute aventure militaire, compte tenu des difficultés dans ce domaine dans le contexte de crise actuelle. -Les contradictions politiques et d’intérêts au sein même des Etats impérialistes occidentaux, en Europe notamment. -Les initiatives diplomatiques des Etats impérialistes rivaux visant à retarder voire empêcher le déclenchement de l’attaque. La proposition de Poutine de contrôle par l’ONU des stocks d’armes chimiques de la Syrie en est le dernier exemple. COMMENT LA SITUATION PEUT-ELLE EVOLUER MAINTENANT ? Même si OBAMA et HOLLANDE, poussés par les milieux bellicistes qui les entourent- en particulier les industries de guerre et pétrolières et les milieux sionistes- peuvent mettre leurs menaces à exécution, ils sont donc loin d’avoir les mains libres. Dans un contexte de contradictions et de risques imprévisibles pour toutes les parties en présence, la recherche d’un compromis préservant les intérêts et sauvant la face des unes et des autres semble être la voie qui sera explorée à court ou moyen terme. LES COMMUNISTES ONT LE DEVOIR D’UNIR LEURS FORCES POUR BRISER LE PROJET DE GUERRE DU GOUVERNEMENT « SOCIALISTE ». Avant l’agression étasunienne et britannique contre l’Irak, des centaines de milliers de manifestants s’étaient rassemblés à Paris pour dénoncer l’acte criminel en préparation. Le gouvernement français s’était lui-même refusé d’accompagner Les USA et la Grande Bretagne. Pour la Libye et la Syrie, rien…à part quelques communiqués de presse…. Comment expliquer cette absence du mouvement anti-impérialiste ? Pour les uns, Bachar El Assad, comme Khaddafi et GBAGBO avant lui, sont des dictateurs et on ne peut que se réjouir de la chute d’un dictateur. Tel est le point de vue de la petite bourgeoisie démocrate et humaniste. Tel est aussi le point de vue des trotskistes et des réformistes de toutes tendances. Partant de là, l’opposition à l’agression impérialiste ne peut qu’être hésitante, contradictoire, voire inexistante. Des organisations comme le PCF ou le Mouvement de la Paix développent de telles positions. D’où la faiblesse de leurs initiatives contre la guerre. Ce qui est plus incompréhensible, en revanche, c’est la frigidité incroyable des organisations du courant communiste se réclamant du marxisme léninisme face à la tâche fondamentale de construire le front contre les guerres impérialistes actuelles. A chaque nouvelle menace contre la Syrie, le ROCML a lancé des appels à toutes les organisations communistes marxistes léninistes des propositions de rencontre pour construire le front de lutte contre l’agression impérialiste contre la Syrie et en particulier contre la politique belliciste de l’impérialisme français. Le premier appel à une rencontre remonte au 1er octobre 2012. D’autres ont suivi. Le dernier date du 28 août 2013. Force est de constater que ces appels ont été ignorés par leurs destinataires ou n’ont pas eu de suites. Pour le ROCML, la base politique d’un front commun contre les agressions impérialistes est pourtant claire : quoi qu’on pense de tel ou tel régime ou de tel ou tel dirigeant d’un Etat non impérialiste, si cet Etat est agressé par un impérialisme (et quel que soit cet impérialisme) les communistes doivent lutter sans rechigner contre l’agresseur impérialiste. Et surtout quand il s’agit de leur propre impérialisme national ! Notre doctrine internationaliste nous place aux côtés des prolétaires et des peuples de Syrie. Dans les circonstances concrètes de l’agression impérialiste, la question n’est pas de faire le procès de Bachar El Assad. Elle est de savoir si une victoire des impérialismes occidentaux suivie de l’installation d’une dictature théocratique apporterait un avantage au prolétariat syrien et aux peuples de la région. Seuls des inconscients peuvent répondre positivement à cette question. Le ROCML condamne les objectifs et les actes des impérialistes euro-atlantiques contre la Syrie et son peuple. Le ROCML soutient le mouvement ouvrier et populaire syrien qui, tout en luttant pour ses revendications sociales et politiques, combat en même temps les manœuvres réactionnaires intérieures et appelle le peuple syrien à se mobiliser et à s’unir contre l’agression impérialiste contre son pays. Le ROCML appelle les communistes et les anti-impérialistes de France à s’unir contre la politique de l’Etat français aujourd’hui dirigé par le PS qui est prêt à une nouvelle escalade militaire contre un pays qui a pour seul tort de ne pas se plier aux diktats de l’impérialisme euro-atlantique et sioniste. Le ROCML est prêt à s’associer à toute initiative unitaire pour combattre l’impérialisme français et ses gouvernements successifs de droite comme de gauche qui agressent militairement la Syrie. ARRÊTONS TOUTE INTERVENTION DE L’IMPERIALISME ! OBAMA, HOLLANDE FABIUS, BAS LES PATTES DEVANT LA SYRIE ! L’AVENIR DU PEUPLE SYRIEN NE DOIT DEPENDRE QUE DU PEUPLE SYRIEN ! PARIS le 14 septembre 2013 |
| Eric | Jeune Communiste | 160 messages postés |
| Posté le 15-09-2013 à 10:31:09
| Qualifier la Russie , la Chine , le Brésil et l' Inde de nouveaux pays impérialistes ne correspond pas à la réalité . Ces pays n'ont agressé personne . Ils se contentent de défendre leur indépendance nationale face à l'impérialisme occidental dominé par les Etats-Unis . A travers la Syrie , l'impérialisme US vise l' Iran puis la Russie . L'agresseur impérialiste est bien les Etats-Unis avec ses supplétifs français , anglais etc....L'agressé est la Syrie , l' Iran et la Russie . Ces pays ne sont pas des pays impérialistes ; ils luttent pour leur indépendance nationale , contre l'expansionnisme occidental . On ne peut pas renvoyer dos à dos les pays du BRIC et ceux du bloc occidental . |
| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18563 messages postés |
| Posté le 15-09-2013 à 17:50:17
| Le ROCML soutient la lutte des peuples contre l'impérialisme occidental, notamment contre l'impérialisme français, en appelant à l'unité des marxistes-léninistes à chaque tentative d'agression et en agissant concrètement dans ce sens. Lors de l'agression contre la Libye, le ROCML défendait aussi cette juste position de principe. La quasi totalité des messages cités ici montre que la plupart des organisations marxistes-léninistes s'accordent sur l'essentiel, c'est-à-dire pour condamner et combattre les visées agressives de notre propre impérialisme, et il est surprenant que des actions en commun n'aient pas déjà été réalisées. D'une certaine manière nous avons progressé dans ce sens même si les choses ne se sont pas matérialisées, mais force est de dire aussi que l'opinion publique rejette majoritairement cette intervention et que la neutralité n'est plus de mise. Peut-être serons-nous enfin au coude à coude lorsque l'impérialisme français sera complètement à genoux ? Il est déjà la risée du monde entier. Il faut regarder les choses en face et rechercher les raisons de cette frilosité. Le ROCML écrit : « Pour le ROCML, la base politique d’un front commun contre les agressions impérialistes est pourtant claire : quoi qu’on pense de tel ou tel régime ou de tel ou tel dirigeant d’un Etat non impérialiste, si cet Etat est agressé par un impérialisme (et quel que soit cet impérialisme) les communistes doivent lutter sans rechigner contre l’agresseur impérialiste. Et surtout quand il s’agit de leur propre impérialisme national ! Notre doctrine internationaliste nous place aux côtés des prolétaires et des peuples de Syrie. Dans les circonstances concrètes de l’agression impérialiste, la question n’est pas de faire le procès de Bachar El Assad. Elle est de savoir si une victoire des impérialismes occidentaux suivie de l’installation d’une dictature théocratique apporterait un avantage au prolétariat syrien et aux peuples de la région. Seuls des inconscients peuvent répondre positivement à cette question. » La contradiction principale aujourd’hui en Syrie oppose le peuple et la nation syrienne à l’impérialisme occidental. L’armée syrienne combat effectivement le terrorisme armé et financé par les puissances impérialistes. Ce sont des faits incontestables et on ne peut invoquer aucune théorie pour aller contre. Or certains prétendent combattre le « confusionnisme » et font le ménage par le vide dans les organisations qui s’opposent à l’impérialisme français (*). Est-ce que ce genre d’opération contribue à réaliser un Front anti impérialiste ou bien à le saper ? Ceux-là qui se prétendent « maoïstes » appellent les peuples à se lever contre « tous les impérialismes», ils lèvent bien haut leur drapeau rouge, tiennent des propos enflammés, affirment qu’il faut « croire aux masses » et n’hésitent pas à conseiller le peuple syrien sur la conduite à tenir. Mais ils ne formulent aucun slogan contre l’impérialisme français, ne font aucun geste envers les autres organisations et ne s’engagent même pas eux-mêmes pour dénoncer les véritables agresseurs. Ce genre de discours, n'apporte rien à la lutte anti impérialiste et ne fait que saper notre unité. Par ailleurs Eric a raison. Les faits montrent que la Chine et la Russie se sont systématiquement opposées à toute agression armée contre la Syrie et à toute intervention unilatérale en dehors des décisions de la communauté internationale représentée à l’ONU. Pour les pays impérialistes, la « communauté internationale » se limite à eux-mêmes, mais ils ont dû céder et renoncer momentanément à leurs ambitions bellicistes. Ce recul n’est pas seulement le résultat de l’opposition des peuples et des nations, ni des polémiques diplomatiques, mais aussi de la présence navale russe en Méditerranée. Il est indéniable que la Russie a contribué ainsi à préserver la paix dans cette région. Sans intervenir ouvertement, la Chine a régulièrement préconisé une solution politique et appelé les autres nations à s’opposer à la guerre. Tout récemment l’éditorialiste du Quotidien du Peuple relevait « l’embarras du gouvernement français », qu’il invitait à se retirer du conflit et à manifester davantage d’indépendance envers les USA. La proposition russo-syrienne n’a-t-elle pas contribué à dégonfler une crise montée de toutes pièces par les impérialistes et leurs affidés, en laissant une issue moins humiliante pour Obama ? Que demain un ou plusieurs membres des BRICS devienne à son tout une puissance impérialiste qui exploite, opprime et agresse d'autres pays, à l'image des puissances occidentales n'est pas à exclure, et dans ce cas les peuples du monde s'y opposeraient inévitablement. Mais ceci ne correspond pas à la réalité aujourd'hui. Confrontons nos théories aux faits et agissons de concert sur ce qui nous unit. Pas d'intervention en Syrie ! Retrait de l'OTAN ! Fabius dehors !
_______________ (*) Exception faite pour ce qui concerne les trotskystes du NPA, qui appellent le peuple syrien à virer Assad maintenant, ce qui est précisément l'objectif fixé par Fabius, Kerry et Cie.
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
| robertbibeau | Militant de valeur | 280 messages postés |
| Posté le 19-09-2013 à 04:39:37
| Aux camarades du ROC ML Votre analyse de la situation est superficielle et très faible. Entachée de lieux communs glanés dans la littérature bourgeoise (vous lisez trop le Figaro et l'Humanité - peut-être même Le Monde) qui radotent tous ces aneries sur la question syrienne. Les critiques des amateurs politiques ci-nommés ne va pas plus loin. Quelle est la question principale à propos de l'affaire syrienne ? Qui sont les protagonistes en lutte ? Quelles sont les capacités d'organisations de chaque protagonistes ? Ou loge notre classe -la classe ouvrière - pas le peuple - les masses concepts fumeux évanescent La CLASSE Ouvrière ou est-elle et quelles sont ses intérêts Pas de défendre l'intégrité du pouvoir bourgeois syrien mais pas non plus d'accueillir les assassins étrangers payés par les USA et les Émirats. Alors quoi ? Quel est et doit être l'objectif et l'action de Marxiste-Léniniste dans un tel bourbier ? (soutenir l'un des axes contre l'autre ?) NON Se servir de cette bataille pour former la classe -accumuler des forces - des armes - de l'entrainement - et préparer la prochaine étape vers la révolution prolétarienne - dont ceci n'est qu'une péripétie ou la classe est loin d'avoir l'initiative et le gros des forces Quels apprentissage tirer de ce guépier afin de préparer la prochaine étape ? Quelle sera la prochaine étape en Syrie ??? Les deux blocs se retrouve ou exactement en ce moment sur la scène syrienne (lachez-moi ave vos radotages sur la puissance USA -les USA ils n'attaquent pas au temps d Bush fils il serait déjà dans le pays - dans le merdier - Qu'est-ce qui a changé ?? Ensuite reprenez votre texte depuis le début - et rédigez un texte - une analyse marxiste-Léniniste SVP
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| robertbibeau | Militant de valeur | 280 messages postés |
| Posté le 19-09-2013 à 04:46:01
| Pour ce qui est des supputations faites à partir des soi-disant sondages disant que l'«opinion publique » est pour telle guerre mais contre telle intervention - qu'est-ce que c'est cette merde petite-bourgeoise ??? L'opinion publique c'est le résultat de la propagande bourgeoise parmi la populace ca n'a strictement aucun intérêt ces mensonges maléables à volonté. La bourgeoise se contre christ de l'opinion publique il n'y a que les mao pour s'enquérir de l'opinion publique et de laisser croire que le grand capital en tient compte dans ses décisions. Si on invoque l'opinion publique dans le Figaro les nonos c'est que le propriétaire du Figaro le milliardaire ne veut pas que la France tire le premier coup dans cette affaire et surtout qu'elle y aille seule. Il est clair que l'affaire syrienne marque un tournant - un tournant de quoi et de qui les analystes en herbes ???? (;-))
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18563 messages postés |
| Posté le 20-09-2013 à 00:28:36
| La propagande bourgeois est belliciste depuis de longs mois Bibeau mais il est vrai que tu ne lis pas le Figaro et que tu ne regardes pas la télé non plus probablement. Reste confit dans tes livres comme un cornichon. Tu as raison Bibeau, reste sur le trottoir pendant que notre impérialisme veut armer des terroristes et s'ingérer dans les affaires d'une nation souveraine. Ne te salis pas les mains avec la lutte anti impérialiste. Accumule tes forces "prolétariennes", l'avenir t'appartient
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
| Eric | Jeune Communiste | 160 messages postés |
| Posté le 20-09-2013 à 11:59:44
| robertbibeau a écrit :
Pour ce qui est des supputations faites à partir des soi-disant sondages disant que l'«opinion publique » est pour telle guerre mais contre telle intervention - qu'est-ce que c'est cette merde petite-bourgeoise ??? L'opinion publique c'est le résultat de la propagande bourgeoise parmi la populace ca n'a strictement aucun intérêt ces mensonges maléables à volonté. La bourgeoise se contre christ de l'opinion publique il n'y a que les mao pour s'enquérir de l'opinion publique et de laisser croire que le grand capital en tient compte dans ses décisions. Si on invoque l'opinion publique dans le Figaro les nonos c'est que le propriétaire du Figaro le milliardaire ne veut pas que la France tire le premier coup dans cette affaire et surtout qu'elle y aille seule. Il est clair que l'affaire syrienne marque un tournant - un tournant de quoi et de qui les analystes en herbes ???? (;-)) |
En tant que membre de la " populace " , je me permets quand même de vous faire une remarque . Je ne crois pas que le fait de rester perché dans sa tour d'ivoire soit la meilleure solution pour faire avancer le communisme . Là , il y a un agresseur et un agressé . L'agresseur est les USA et ses valets occidentaux et arabes ; l'agressé c'est bien le gouvernement syrien . Si Bachar ne convient pas au peuple syrien c'est bien à lui-même d'en décider et à personne d'autre . En attendant , en temps que communiste , on doit soutenir l'agressé et lutter contre notre propre impérialisme , l'agresseur .
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18563 messages postés |
| Posté le 20-09-2013 à 12:05:05
| "Votre analyse de la situation est superficielle et très faible....Ensuite reprenez votre texte depuis le début - et rédigez un texte - une analyse marxiste-Léniniste SVP" J'oubliais un petit détail : si l'enseignement te manque et avec lui la jouissance de bâcher des gamins et de leur coller des zéros pointé, tu n'as qu'à rempiler dans une boite à bac Bibeau. Mais ici tu n'as pas plus d'autorité qu'un autre. "Quelle est la question principale à propos de l'affaire syrienne ? Qui sont les protagonistes en lutte ?" Puisque tu fais semblant de te poser des questions, je me permettrai de rappeler à ta grandeur que lorsqu'un pays est déchiré par un conflit armé, il arrive fort souvent que la contradiction principale dans ce pays et à cet instant se trouve très précisément entre les belligérants... mais tu as parfaitement le droit de prétendre le contraire, d'affirmer qu'elle se trouve ailleurs. Tu peux aussi d'affubler d'un pif rouge et ça apportera un peu de distraction dans ces rubriques austères. La marxisme-léninisme admet la plaisanterie.
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