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 POUR EN FINIR AVEC LA «GAUCHE» ET LA «DROITE»

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robertbibeau
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   Posté le 11-06-2013 à 23:08:58   Voir le profil de robertbibeau (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à robertbibeau   

POUR EN FINIR AVEC LA «GAUCHE» ET LA «DROITE»

robertbibeau@hotmail.com



Critique d’un «virage» de la «gauche» vers le centre
Un militant politique de «gauche», a diffusé récemment un long feuillet, rempli de citations étriquées, intitulé «Changement de modèle à Québec solidaire. De l’austérité nordique à l’Équateur extractiviste» que le lecteur pourra consulter à cette adresse www.marcbonhomme.com.

L’auteur présente d’abord ce qu’il appelle improprement - différents «modèles» de gouvernement dirigés par des partis politiques que la littérature petite-bourgeoise qualifie négligemment de «gauche» ou de «centre-gauche», le kaléidoscope de la «gauche» étant pour eux, et à dessein, immensément large, s’étendant de la Suède à Cuba. Ensuite, l’auteur de «gauche» critiquant une certaine «gauche» nous offre ses commentaires sur le manifeste – de «gauche» – d’Amir Khadir, co-député, de Québec Solidaire, sur la démarche indépendantiste québécoise que le lecteur pourra consulter à cette adresse: [www.pressegauche.org/spip.php?article14161].

De fait, selon l’analyste, il n’y auraient au Canada que les fédéralistes qui seraient de droite et pour faire bonne mesure, il fait une vague mention de l’impérialisme américain de «droite», mais rien à propos de l’impérialisme canadien, ni québécois. Tout le reste porte sur les multiples «gauches» qu’il cherche à couvrir par des citations tirées de la littérature réformiste mondiale.

Quelle conception théorique guide l’auteur pour ainsi épouser la phraséologie petite-bourgeoise occidentale à propos des variantes infinies des gouvernements de la «gauche progressiste» menant des «Révolutions citoyennes» en vue d’ériger le «Socialisme moderne du XXIe siècle» ? On trouvera réponse à cette question essentielle à partir de la page 6 du document que je cite pêle-mêle : «L’Équateur ne vogue nullement à petits pas, par un programme de transition, vers le socialisme (tous les gras sont de nous, NDLR) et encore moins vers l’écosocialisme (…) La Bolivie un État sans doute un peu plus social, plus distributif et plus «anticolonial» (…) un socialisme communautaire (…) des politiques aux accents anti-impérialistes … des modèles nationaux-populaires et de transition postlibérale». Bref, tout un salmigondis confus tiré des revues réformistes qui circulent dans les milieux intellectuels de la «gauche» désorientée et paniquée.

Une conception étriquée de la « gauche » délurée

Depuis un peu moins d’un siècle, chez les infiltrés dans le mouvement ouvrier, tout comme chez leurs parangons sociaux-démocrates pataugeant dans le marais des «gauches» réformistes «La situation des gauches ne peut se comprendre sans partir de la crise, de ses multiples dimensions, et de ses effets sur le champ social et politique. Frappant de plein fouet toutes les organisations et les partis liés à l’histoire du mouvement ouvrier, précipitant les ruptures, elle oblige les forces à se redistribuer autour de nouveaux axes» (1). En résumé, pour ces épigones réformistes, est de «gauche» toute organisation liée à l’histoire du mouvement ouvrier ou se préoccupant des déshérités. Faut-il rappeler que le Front National en France et nombre d’organisations fascistes d’Europe de l’Est recrutent leurs sympathisants parmi le mouvement ouvrier tout en embrigadant aussi le lumpenprolétariat déshérité comme Hitler et Mussolini le firent avant eux.

Du côté des États dits de «gauche» l’éventail s’étire entre la Suède et Cuba, en passant par le Venezuela, la Bolivie, l’Équateur la Chine Populaire et le Québec de la «Révolution citoyenne ex-tranquille». Le socialisme ce serait l’État providence ; additionné à Robin des Bois qui distribue des miettes aux pauvres. Le socialisme ce serait la justice distributive qui prend aux riches et donne en aumône aux pauvres. Le socialisme ce serait la démocratie bourgeoise respectée et appliquée et non pas travestie et trahie; ce serait les banques et les ressources naturelles nationalisées par un État bourgeois dirigé par des gens d’affaires de la «gauche» éclairée, honnête (autant que faire se peut) et aimant leur prochain comme eux-même. Le socialisme ce serait les adorateurs de la nature, des animaux et de l’écosociété et de Dieu lui-même, mais défroqué (la gauche est laïc et anticléricale telles que les sans-culottes lors de la Révolution bourgeoise française de 1789).

Pour ces «Culs blancs» (autre nom donné aux sans-culottes) de la «Nouvelle gauche socialiste du XXIe siècle progressiste, renouvelée, anti-dogmatique et nationaliste» – restés accrochés aux objectifs de la Révolution bourgeoise française du XVIIIe siècle – la société de «gauche» est harmonieuse; ses guides sont élus démocratiquement lors d’élections honnêtes que la bourgeoisie accepte de ne pas voler – de ne pas violer – de ne pas renverser militairement (Chili), par le peuple des classes moyennes et populaires (exit l’ancienne catégorie de classe ouvrière), emporté par les propos généreux des «nouveaux prêtres» de la bonne nouvelle gauchiste et de leurs apôtres de «Solidarnosk». Même le milliardaire Warren Buffet fait partie de la gauche quand il réclame hypocritement que les riches payent de l’impôt.

Pour tous ces militants communautaires de Québec solidaire et de la multitude des partis de la «gauche» occidentale, le socialisme c’est une accumulation de petites mesures sociales généreuses et une série de petits pas qui mine de rien mèneront, sans que l’armée n’en disconvienne, ni que la bourgeoisie n’en revienne, jusqu’au socialisme, paradis lointain que peut-être personne n’atteindra jamais, mais qui demeure l’objectif humaniste pour lequel il faudra beaucoup prier et peut-être un jour donner un frère-martyr (l’histoire ne dit pas s’il s’agit d’Amir Khadir) en expiation pour tous les péchés des droitistes capitalistes.

Terminons cette oraison par la conception gauchiste d’une stratégie victorieuse menant droit à la «révolution de la gauche citoyenne et nationaliste du XXIe siècle moderne», et j’ai nommé la «grève sociale», générale, illimitée, avec manifestations menant au paroxysme, à savoir, une élection démocratique où les «masses populaires» (mots de pseudo gauche popularisés par les maoistes) et la classe moyenne (sous-classe qui fournit les convers et les thuriféraires de la «Révolution citoyenne nationaliste, pacifique, électoraliste» arracheront le pouvoir par la puissance des urnes puis trottineront directement au parlement voter des tas de lois aux petits pas, nous acheminant en chantant vers la Terre promise du socialisme…Amen. À moins bien sûr qu’un Pinochet obstrue la voie démocratique au passage.

L’examen des pays où sévit la « gauche » réformiste

Dans son papier, M. Bonhomme présente quelques pays gouvernés par la soi-disant «gauche» telle qu’il l’entend. Il étale leurs réalisations, puis, honnêtement, il constate que rien n’a profondément changé pour les «masses populaires» de ces pays. Les mesures législatives dans les pays étudiés n’ont pas donné les résultats escomptés et parfois, après avoir été temporairement profitables aux assistés sociaux et aux lumens-prolétaires, ces mesures d’apaisements se sont avérées trop coûteuses pour la dette souveraine (avec ou sans audit citoyen) de chacun de ces États en quasi faillite. Ces mesures réformistes d’accalmies ont été remises en cause par la bourgeoisie au pouvoir à travers ces pseudo partis de «gauche» qui se sont avérés, à l’usage, de véritables nationaux-socialistes de «droite» (il suffit de penser au secteur privé qui envahit les hôpitaux en Suède et au Québec; à la constitution populiste de Montécristo en Équateur; aux nationalisations en Bolivie; à la manne pétrolière qui se tarira au Venezuela ; au capital qui revient par la porte-arrière à Cuba, etc.).

Enfin, l’auteur aurait avantage à examiner ces cas de pays temporairement à «gauche» que la «droite» a repris en main rendant caduc les maigres avancées populistes temporaires (Islande, Argentine, Libye, Chili, Nicaragua).

Bref, la danse du «Socialisme populiste-citoyen du XXIe siècle renouvelée» et des petits pas de la samba de gauche comme de droite ne semble pas avoir donné grands résultats. Qu’à cela ne tienne, l’analyste conclut qu’il faut vite recommencer et «mettre en œuvre la grève sociale globale et générale de grande ampleur (…) pour l’indépendance épine dorsale de la stratégie de libération tous azimuts du peuple québécois» fin de l’élucubration.


Solution de l’énigme «gauche» - «droite»

Ils sont vingt et cent, ils sont des milliers sur les pas de cet écrivaillon traçant une ligne de démarcation entre l’extrême gauche du papier jusqu’à l’extrême droite du cahier (voir le Tableau I ci-dessous); y disposant les partis et les organisations politiques tant à «gauche» qu’à «droite» du «centre» politique.


TABLEAU I
_______________________________________________________

Paysage politique vu par les « bobos » du XXIe
sur le modèle de la Révolution bourgeoise française du XVIIIe


_______________________________________________________

.L–Extrême gauche»–»Gauche»–»Centre»–»Droite»–»Extrême-droite–»L.

________________________________________________________



Anar (1)–PCR (Mao)–PCC(ML)–PCC-PCQ-NPD–PQ–Libéral–CAQ–Con.
RCC–Trot (2) – PCQ’ –NCS–QS–SPQ-L–Bloc Québécois–ON (3)

_________________________________________________________


Limbe politique. À gauche vous n’existez plus pour les médias bourgeois
(1) Mouvance anarchiste – 2 groupuscules recensés.
(2) Mouvance trotskyste – 4 groupuscules recensés.
(3) Option Nationale héritier de Lionel Groulx et d’Adrien Arcand
PCR = Parti Communiste Révolutionnaire (maoïste)
RCC = Reconstruction Communiste Canada
CAQ = Coalition Avenir Québec
PCQ’= Parti Communiste du Québec avec la fleur de lys
SPQ-Libre = les anarcho-syndicalistes «libres» affidés au PQ
NCS = Nouveau Cahier du Socialisme
QS = Québec Solidaire
PCC-PCQ = Parti Communiste du Canada et du Québec.
PCC (ML) = Parti Communiste du Canada (ML)
Limbe politique. À droite vous rejoignez la gauche de l’autre côté

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La question

Une question surgit aussitôt, comment déterminer de manière avisée le positionnement de chacune de ces organisations sur cette ligne partant de la gauche extrême à la droite suprême?

Pour les réformistes, qui en sont restés à l’époque de la «Révolution bourgeoise française citoyenne» la réponse est limpide. L’art de la politique consiste à adopter en congrès – ou à inscrire dans une plate-forme électoraliste – autant de résolutions que possible à la «gauche» des ornières balisées pour ne pas tomber dans les limbes politiques où ils n’existeraient plus pour la bourgeoisie; ou pour ne pas tomber à «droite» des ornières balisées et déborder les Conservateurs ou l’UMP et se retrouver dans les limbes politiques, ignorés des médias à la solde ce qui seraient pour eux la pire des horreurs, l’obsolescence.

Trouvez la plate-forme électoraliste ou l’opuscule de chacun de ces groupuscules et additionnez chacune des propositions populistes (je donne quelques exemples : augmenter le salaire minimum, accorder l’assurance chômage illimitée, fournir des loyers modiques en toute probité, nationaliser une entreprise quelconque, adopter une législation à propos de l’environnement, adopter une loi interdisant la pauvreté (sic), défendre les droits des animaux et le mariage pour les guays, proclamer le droit à un environnement «écoresponsable», réduire les effets de serre, accroitre l’aide sociale pour les SDF et réduire les frais de scolarité, gérer les centres de déchets, prêcher la décroissance volontaire communautaire, donner aux pauvres et taxer les riches, etc.). Accorder un point par commisération et l’addition vous indiquera où situer la plate-forme électoraliste de ce parti.

Vous constaterez rapidement trois paradoxes :

A) Plus une organisation se situe loin du pouvoir, plus ses résolutions sont radicales.
B) Dès qu’une organisation s’empare du pouvoir au parlement, la distorsion entre ce qui est proposé électoralement et ce que l’organisation réalise au parlement est phénoménale.
C) Plusieurs mesures dites de «gauche», une fois qu’elles sont adoptées en chambre par la «gauche» comme par la «droite» ne donnent aucunement l’effet escompté. À titre d’exemples, la nationalisation de banques privées (Islande), l’adoption du dollar comme devise nationale (Argentine, Équateur), la loi de lutte contre la pauvreté (Québec), les mesures d’austérité (Grèce), la nouvelle constitution (Égypte ou Tunisie ou Turquie), etc.

Comment comprendre que les partis soi-disant de «gauche» fassent la politique des partis soi-disant de «droite» et que les partis soi-disant de «droite» fassent la politique des partis soi-disant de «gauche» et que tous ces partis au pouvoir ne font jamais rien de ce qui règlerait les problèmes de la crise économique mondiale, de l’inflation continentale, du chômage global, de la pauvreté désespérée, du manque de logements évident, du «développement» capitaliste qui détruit la planète irrémédiablement? Pourquoi ces gouvernements réformistes ne réussissent pas à régler les problèmes qui accablent la société?

De la pusillanimité du réformisme

La Révolution bourgeoise française sur laquelle se fonde cette division des organisations politiques (ci-dessus) entre la gauche montagnarde-jacobine et la droite Girondine avait pour objectif très précis de mettre bas l’ancienne société aristocratique – féodale afin de permettre à la bourgeoisie marchande et manufacturière de s’emparer du pouvoir politique, social et économique afin d’ajuster les rapports sociaux de production aux impératifs des forces productives sociales marchandes et industrielles – capitalistes en pleine expansion. Pour cela il fallait totalement renverser et détruire les anciens rapports de productions sociaux féodaux – paysans – agraires – communaux – aristocratiques afin que la nouvelle société bourgeoise industrielle-urbaine et d’affaires puissent s’épanouir avec le soutien et l’appui de l’appareil d’État, de ses politiques, de sa police, de ses subsides et de son administration bureaucratique.

Il n’y a pas lieu de retourner à cette époque révolutionnaire bourgeoise aujourd’hui révolue au Québec, au Canada, en France, en Belgique, en Tunisie, en Algérie, aux États-Unis, etc. La grande bourgeoisie monopoliste et financière est au pouvoir et elle dirige le développement économique et politique dans tous ces pays depuis des décennies. Les problèmes sont de :

1. Comprendre que le vieux système capitaliste, qui fut une innovation révolutionnaire au temps de la Révolution française est à bout de souffle. Il titube allant de mal en pis; moribond, il réagit de façon incohérente emporté par ses contradictions internes – et ses concurrences externes entre grandes puissances hégémoniques sur lesquelles s’aligne chaque pays impérialiste ou néocolonial.
2. Les rapports de production capitalistes-impérialistes entravent le développement des forces productives sociales – paralysent totalement l’évolution communautaire, économique, politique, intellectuelle des sociétés modernes. Comme les rapports de production féodaux ont un jour été renversés par la Révolution bourgeoise française, puis par la Commune de Paris, qui a complété le travail, aujourd’hui, ce sont les rapports de production, la superstructure politique et idéologique capitalistes qui doivent être détruits complètement – radicalement – afin que de nouveaux rapports de production puissent se développer et embrasser l’ensemble de la société, lui assurant une nouvelle phase de développement où les forces productives libérées de toute entrave pourront assurer l’évolution de la société socialiste en harmonie avec la nature. Seule une société réellement socialiste (où tous les moyens de production et d’échanges auront été expropriés sans compensation) pourra organiser et gérer un développement «écosocialiste» pour reprendre la métaphore de l’auteur.

Tout ceci ne peut être le fruit d’une addition besogneuse de réformes – ou d’une addiction aux réformettes, aux demi-mesures alambiquées, plus ou moins «progressistes», toujours réformistes, pour faire perdurer le vieux système obsolète, des mesures souvent renversées par la réaction réinstallée au pouvoir. Le socialisme ne peut être le résultat de lois et de programmes implantés au milieu du désordre anarchique capitaliste qui rendront pour cela exactement le contraire des effets escomptés, accroitront la dette souveraine, accentueront l’inflation et emporteront le peuple plus profondément dans la misère jusqu’à la guerre.

La division des organisations politiques en société impérialiste

Ces prémices étant bien comprises nous nous retrouvons, comme au temps de la Révolution soviétique d’Octobre, avec deux groupes d’organisations politiques antagonistes, divisés selon une ligne de clivage fort simple - d’un côté du spectre - le parti révolutionnaire prolétarien (marxiste-léniniste) unique (aucun avantage à diviser les forces de la révolution en plusieurs organisations et ce n’est pas ici le lieu de cabaler en faveur de sa chapelle ou de son gourou préféré); et de l’autre côté du Mur de démarcation révolutionnaire, toute la panoplie des partis s’étalant des vieux prétendants révisionnistes en faveur du passage pacifique au socialisme; aux opportunistes favorables à la coexistence humaniste entre systèmes sociaux antagonistes; jusqu’aux groupes fascistes espérant sauver leurs maîtres capitalistes; transitant par toute la panoplie cacophonique des réformistes et «révolutionnaires citoyens de salon» (sic) et les nationalistes chauvins et autres fascistes de tout acabit (voir le Tableau II).

TABLEAU II

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Les partis et organisations politiques
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Parti Révolutionnaire Prolétarien »- » Partis & organisations réformistes

________________________________________________________

| PCR (maoïste) - Anarchistes– PCC-
| RCC–PCC(ML)–NPD–PQ–Libéraux–CAQ
OPRC | PCQ–Trotskystes–QS–SPQ-L–ON -PCQ’–NCS–Bloc-Conservateur

_________________________________________________________

| = Mur de démarcation partageant l’organisation révolutionnaire des groupes réformistes.
OPRC = Organisation prolétarienne révolutionnaire du Canada. Un seul point inscrit à son programme surtout pas électoralste :«Organiser le renversement du capitalisme et l’édification du socialisme».

À droite du spectre, le nombre et l’intensité des multiples propositions «démocratiques, citoyennes», populistes, progressistes, essentiellement réformistes contenues dans leurs différentes plates-formes électoralistes n’a aucune importance puisqu’aucune de ces organisations ne pourra jamais appliquer l’une ou l’autre de ces politiques si elles contreviennent aux intérêts de la classe capitaliste monopoliste au pouvoir qui s’y opposera et les rejettera irrémédiablement dans l’opposition.

En définitive, aucun des partis et aucune des organisations à la droite du Mur de séparation ne souhaite réellement organiser la révolution jusqu’au bout et renverser radicalement et complètement la classe capitaliste monopoliste et la société capitaliste rendue au stade impérialiste de décomposition afin d’ériger la société socialiste, conditions absolues et indispensables pour l’élaboration de politiques pour le peuple mais par la classe ouvrière révolutionnaire. SVP. Méfiez-vous des contrefaçons.


POUR PLUS D’INFORMATION: http://www.robertbibeau.ca/palestine.html

1. www.pressegauche.org/spip.php?article14072 www.pressegauche.org/spip.php?article14140
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