| | | | | sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 22-04-2007 à 00:04:29
| MAINTENANCE TERMINEE POUR LE SITE DE L'OUVRIER COMMUNISTE DE NOUVEAU ACCESSIBLE A CETTE ADRESSE http://ouvrier.communiste.free.fr/ En particulier la réponse à la lettre ouverte du PCMLM que l'on peut lire à cette adresse http://www.lescommunistes.net/~infos/docus2/loag2006.html Ci-dessous, notre article sur les deux tours de l'élection présidentielle. Marquer le camp de l’avant garde ouvrière ANTI-CAPITALISTE, ANTI NATIONALISTE De l’aveu même de la représentation politique traditionnelle bourgeoise, son système électoral bât de l’aile et aurait besoin d’un second souffle. Le débat sur la nécessité d’une sixième république s’invite dans la campagne, tous y accordent un intérêt particulier, du représentant bourgeois de gauche qui vote tout les transfère de compétences au parlement européen, au plus souverainiste des candidats d’extrême gauche trotskiste du parti des travailleurs. De plus en plus nombreux sont ceux des couches populaires qui désertent les scrutins, et ce n’est pas les inscriptions « massives » de jeunes sur les listes électorales, menacés du chantage « vote utile », qui pourra faire diversion. La crise que traverse le système de représentation démocratique bourgeois n’est que l’expression de la crise aigue que traverse le capitalisme monopoliste d’état français. Tout mot d’ordre de participation aux mascarades électoralistes, abouti en fait à des essais malheureux de remise en selle d’un système qui part en désuétude en ouvrant la voie au fascisme. La participation des partis bourgeois de gauche aux affaires de la bourgeoisie, pour régler la crise économique qu’elle traverse, a laissé dans la classe ouvrière des traces profondes de désillusion faisant de l’abstention le premier « parti » des ouvriers de France C’est devenu coutume, à chaque rendez-vous de « mystification démocratique » que sont les consultations populaires en régime bourgeois, pour l’extrême gauche de toutes obédiences de disserter sur les canons du Marxisme et du léninisme en la matière. Pour l’occasion, on rappel au rôle dirigeant de la classe ouvrière, pour mieux le noyer dans des rassemblements politiques interclassistes du salariat. Faisant donc diversion, c’est sûrement en guise de « compensation » de sa perte d’autonomie politique que la classe ouvrière retrouve, sous la forme de « programme », toutes « ses » revendications économiques prise en charge par la représentation idéologique petite bourgeoise, à l’exemple de la charte anti-libérale des comités du ‘’non’’ à la constitution européenne qui dans cette campagne en est la plus parfaite illustration. S’agissant de cette fraction de la petite bourgeoisie anti-libérale, le flop politique retentissant qu’ils viennent de connaître, illustré par l’éclatement qui leur était promis en multiple candidatures à ces présidentielles, n’empêchera nullement des retrouvailles prometteuses après ces présidentielles, faisant peu de cas des rancunes partagées. Car la proximité des législatives donne obligation de faire vivre les derniers soubresauts unitaires indispensables aux alliances nécessaires à quelques candidatures bigarrées ou par nécessité de faire vivre des espaces militants, d’autant que la question de la constitution européenne ne devrait pas tarder à refaire surface. Rien ici qui ne puisse intéresser la classe ouvrière et ses éléments d’avant-garde, elle serait encore une fois placé à la remorque d’intérêts politiques et économique qui ne sont pas les siens. Il va ainsi de quelques fractions communistes dites Marxiste-léniniste, qui connurent par exemple le camp du ‘’non’’ au référendum, renonçant à l’époque, pour l’occasion, à leur anti-parlementarisme pour une victoire qui, à croire certains d’entre eux, pouvait ébranler l’édifice européen et annoncer des bouleversements sociaux et politiques qui n’ont jamais eu lieux. S’emparant des revendications économiques les plus pressentes du prolétarait pour en faire l’axe de leurs interventions dans cette campagne, refusant cette vision de l’histoire, pourtant gravé dans la mémoire collective des militants ouvriers les moins abusés, que les voies du réformisme ont toujours été pavé des meilleurs intentions envers les luttes de classes économiques du salariat. En effet, comme le suffrage universel en politique, les revendications économiques de la classe ouvrière, posées en terme de revendication de lutte de classe et de masses, ne peuvent être que l’indice qui permet de mesurer la maturité de sa prise de conscience de classe, elles ne peuvent être rien de plus elles ne serons jamais rien de plus, en l’absence d’une authentique avant-garde de la classe ouvrière rassemblée en parti de la classe. Le suffrage universel, disait Engels, ne sera rien d’autre que « l’indice qui permet de mesurer la maturité de la classe ouvrière. Il ne peut être rien de plus, il ne sera jamais rien de plus dans l’État actuel » même si la république, disait Lénine, « est démocratique ; mieux encore : cette domination du capitalisme est d’autant plus brutale, d’autant plus cynique que la république est plus démocratique ». Hormis d’apparaître comme une espèce de crédibilisation du système de représentation de la bourgeoisie, le vote « marquage du camp des travailleurs », spécifiquement, prends des allures de racolage idéologique et d’escroquerie politique, divisant arbitrairement la classe ouvrière et ses éléments les plus en pointe des luttes et qu’un déficit d’éducation politique conduit, pour une part, à faire leur marché dans les programmes fourre tout des candidats de la gauche traditionnelle et de ses appendices d’extrême gauche. C’est sur fond de relents nationalistes et d’assujettissement aux valeurs patriotiques de la bourgeoisie que cette campagne électorale bat son plein. Un bon immigré est un immigré exploitable chez lui, disent les tenants du discours hypocrite d’un plus juste équilibre nord/sud, comme si le capitalisme pouvait avoir un autre destin que le pillage des ressources de la planète par le fer, le feu, le sang et les larmes. Pour les autres, un bon immigrés est celui qui assimile les valeurs républicaines, à qui l’on promet une carte de séjours de dix ans dont le renouvellement pèsera comme une épée de Damoclès suspendue en permanence au dessus de la tête et surtout de celles des militants ouvriers étrangers les plus en pointe des luttes pour la survie , le respect et la défense de leur dignité. Ce qui est indigne, c’est que la revendication de la carte de séjours de dix ans est posée au titre de leurs sentiments d’internationaliste, par des dirigeants politiques qui se réclament du Marxisme-léninisme. Faudrait-il leur rappeler, qu’en plus du sort que les travailleurs(es) immigrés partagent avec leurs frères de classes français (misères et droits élémentaires bafoués), à la moindre entorse à l’ordre républicain bourgeois, ce sera la comparution immédiate sans autre forme de procès. Une Comparution immédiate qui conduira droit dans les prisons républicaines où la misère, l’exclusion, entassent déjà les plus infortunés d’entre les prolétaires, avec en sus une rupture du droit de séjour et donc une reconduite à la frontière. Ce qui est à l’ordre jour pour l’avant-garde de la classe ouvrière, c’est d’agir pour que de plus en plus s’affirme la volonté des éléments politiquement avancés de notre classe, (qui de scrutin en scrutin, de désillusion en désillusion, rejettent le jeu « démocratique » bourgeois) de rejoindre et de renforcer une avant-garde formant son état major de classe et de combat. Et, à l’heure où sonne l’heure du rassemblement, s’impose la nécessité des éclaircissements idéologiques contre toutes mystifications de son assimilation à des conceptions interclassistes. En avant pour la construction d’un authentique parti communiste de la classe ouvrière devant conduire les plus larges masses à la victoire de la révolution prolétarienne à l’instauration du socialisme et de la dictature du prolétariat. ABSTENTION REVOLUTIONNAIRE DE CLASSE, ANTI-CAPITALISTE ET ANTI NATIONALISTE FRANÇAIS / IMMIGRES, UNE SEULE AVANT-GARDE OUVRIERE UNE SEULE CLASSE OUVRIERE LES OUVRIERS N’ONT PAS DE PATRIE Avant-Garde
Edité le 03-09-2007 à 21:36:33 par sti |
| Paria | Les masses font et peuvent tout ! | Grand classique (ou très bavard) | | 562 messages postés |
| Posté le 27-04-2007 à 15:12:25
| Juste à titre informatif, je ne sais pas si cela à déjà était dit sur le forum, un journal portant el nom "l'Ouvrier Communiste" a déjà existé. Il s'agissait du journal des « Groupes ouvriers communistes »à partir de 1929, formé par un certain nombre d'exilé italien. Ce groupe à rompu peu à peu avec le Bordiguisme. Il était surtout proche de la Gauche allemande du KAPD (anti-syndicalisme) et du Luxembourgisme (que ce soit sur la question des mouvements nationaux, ou sur leur vision du parti proche du communisme de conseil). Ce groupe à disparu vers 1931. Pour en savoir plus sur les « Groupes ouvriers communistes » : - Wikipédia - Le courant "bordiguiste" (1919-1999) à partir de la page 58. |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 30-04-2007 à 01:01:44
| Je connaisais l'existence de ce journal et son orientation mais je n'ai personnellement retrouvé qu'un article ... |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| | Paria | Les masses font et peuvent tout ! | Grand classique (ou très bavard) | | 562 messages postés |
| Posté le 30-04-2007 à 12:14:46
| Bravo pour la déclaration et pour le site. |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 30-04-2007 à 22:26:57
| Merci beaucoup. |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| | Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 08-05-2007 à 14:43:26
| Pour revenir sur l'article cité, j'ajouterais au crédit de la crise constitutionnelle l'inquiétude des partis bourgeois devant la défaite annoncée du PS aux législatives. Un journaleux du Point était embarrassé que la "démocratie" puisse ainsi marcher à cloche-pied.
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 08-05-2007 à 22:49:57
| La bi-polarisation laissera son tour à la gauche qui se recentre. On a en pas fini de l'alternance ... |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 03-09-2007 à 00:35:19
| Petite mise à jour pour L'Ouvrier communiste. Avant les prochains articles du groupe des ouvriers communistes, on peut trouver quelques brèves instructives sur notre site. A partir de cette rentrée, la rubrique des brèves sera très réguliérement mise à jour. Cette rubrique se retrouve en page d'acceuil avec les dix dernières brèves publié. Dans chaque rubrique principale, on peut retrouver les brèves qui y sont directement attachées par nature. Bonne lecture ... http://ouvrier.communiste.free.fr/
Edité le 03-09-2007 à 21:40:23 par sti |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 03-09-2007 à 20:51:24
| Je fais un up car ce topic s'est retrouvé queue de liste après que je l'ai mis à jour. Donc voir info ci-dessus. |
| armenak | oser lutter oser vaincre | Grand classique (ou très bavard) | | 295 messages postés |
| Posté le 05-09-2007 à 13:12:20
| bravo pour la mise à jour et la rubrique "brèves" Armenak |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 08-11-2007 à 19:46:59
| L'Ouvrier Communiste Edito du mois de novembre LA GREVE NE SE NEGOCIE PAS ELLE S’IMPOSE ! Depuis qu’il s’impose à la bourgeoisie comme un devoir prolétaire inaliénable, le recours à la grève a toujours subi les volontés d’encadrement de la part de la bourgeoisie et quelque soit la fraction de ses représentations politiques (droite ou gauche) aux affaires. Chaque attaque menée contre l’organisation des ripostes ouvrières, dont le recours à la grève n’est qu’une forme, démontre que les décideurs bourgeois trahissent des inquiétudes quant à la capacité des organisations traditionnelles à l’encadrement des conflits sociaux. Pour la bourgeoisie, le règlement de ces conflits ne doit jamais dépasser le juridiquement acceptable et doit mener sur les voies de garage de la compromission. Il n’est d’ailleurs pas innocent que les grands partis bourgeois discutent beaucoup sur les moyens de donner aux organisations syndicales traditionnelles plus d’assise et de représentativité. Ces dernier temps, les travailleurs(euses) engagés dans des rapports de force tendus montrent une volonté d’émancipation de la tutelle des organisations réformistes traditionnelles, et la contestation plus ou moins organisée du rôle dirigeant des directions syndicales lors des affrontements ou en dehors, font craindre à la bourgeoisie des débordements des luttes économiques qu’elle ne pourrait pas contrôler via les rouages traditionnelles de la concertation préalable (commission paritaires etc.) Les oppositions de classe vont crescendo et se cristallisent au fur et à mesure de l’approfondissement des contradictions inter impérialiste dans la lutte pour les marchés mondiaux. Pour la bourgeoisie, cela entraine de surcroît la revue à la baisse des capacités de corruptions des couches supérieurs de l’aristocratie du salariat, de ses capacités à soudoyer ses lieutenants syndicaux … relais bienveillant du dialogue social … Ce qui incite aussi la bourgeoisie française à tenter par tout les moyens de restreindre les capacités de riposte autonome de la classe ouvrière, c’est la mise au diapason européen des politiques de concertation sociale sur le modèle du nec plus ultra de la collaboration de classe (système de cogestion allemand) via la les institutions de partenariat sociale supra nationale tel la CES. Mais est-ce bien nouveaux ? Et cela est-il le seul « reflexe » de la seule fraction de droite de la bourgeoisie. Pour mémoire ouvrière, il faut rappeler ici que la bourgeoisie a toujours su trouver dans sa fraction de gauche des alliées de poids pour effectuer ses sales besognes. Rappelons la déclaration de ce valet de la bourgeoisie, le révisionniste Maurice Thorez, secrétaire général du PCF et ministre de la reconstruction dans un gouvernement dit « d’union national » qui déclarait : « La grève c’est l’arme des trust » devant les mineurs qui l’année 1948 de la même période devront subir une répression sanglante orchestrée par un ministre de l’intérieur socialiste : Jules Moch. C’est toujours Thorez qui, dans un autre discours prononcé en juillet 1945, déclarait encore : « Produire, c’est aujourd’hui la forme la plus élevée du devoir de classe » la classe ouvrière connaît la suite. LA DEMOCRATIE BOURGEOISE C’EST LA DICTATURE DE LA BOURGEOISIE Depuis des lustres, la bourgeoisie a compris tout l’intérêt qu’il y avait à encadrer la contestation sociale dans des règles fixées par elle-même. Toujours la bourgeoisie à su s’accommoder de la lutte des classes économique, consciente que son système, reposant sur la libre concurrence, engendrerait nécessairement des réactions sociales fussent-elles de caractère insurrectionnelle. Dans ses constitutions successives et depuis l’avènement de sa république, la bourgeoisie a continuellement su mettre à sa disposition tout un arsenal de mesures garantissant son pouvoir, comme le décret d’Allarde (2 mars 1791) premier acte juridique bourgeois de mise au pas de la volonté organisatrice de la classe ouvrière. C’est donc à des multiples moyens juridiques permettant de limiter l’exercice du « droit de grève » (préavis, réquisition etc.) que vient s’ajoute le très pernicieux concept dit des « négociations par entreprise » ou par « branche d’industrie » qui accompagne toutes les réformes dites « sociales » et qui vise à diviser pour mieux régner (car c’est au nom de la spécificité de chacun que l’on organise l’arnaque généralisée de tous). Bien entendu, en haut de l’affiche, reste l’indétrônable et intemporelle « droit du travail », constitutionnellement reconnu et à partir duquel peut s’exercer toutes les répressions d’ordres juridiques ou militaires envers les mouvements grévistes. LA GREVE NE S’USE QUE SI L’ON NE S’EN SERT PAS Depuis des décennies, la vraie menace qui pèse sur le « droit de grève », ce sont les organisations syndicales de collaboration de classe qui se s’ont chargées de la mettre en place. En effet, il ne manque jamais un discours, chez ces lieutenants salariés du capital, dirigeants des centrales dites représentatives, pour rappeler que la grève est « l’arme ultime des travailleurs », et que le syndicalisme français doit parvenir à étendre dans les esprits « la culture de la négociation » etc. Ainsi les concepts à la mode sont devenus ceux de la négociation préalable et de la défense du paritarisme comme garantie du dialogue et de la paix sociale. Le but est donc d’instruire toutes les couches du salariat de la possibilité de parvenir à une saine association capital/travail, nécessaire au bien être généralisé mais qui en fait perpétue l’exploitation de l’homme par l’homme au profit du premier. Ouvriers, ouvrières, travailleurs, le « droit de grève » ne se quémande pas, il ne dépend d’aucune reconnaissance de vos patrons, et surtout, elle ne dépend pas du droit mais de la mobilisation, sa puissance sera toujours fonction des rapports de force que nous saurons mettre en place par l’unité à la base et dans l’action, classe contre classe. Avant-garde |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 10-11-2007 à 19:48:04
| 1er page n°5 Nous savons notre journal apprécié et attendu. Nous remercions nos lecteurs, amis et sympathisants auxquels nous assurons mettre tout en œuvre pour sa parution régulière et ce quelle que soit nos difficultés (journal tenu par des ouvriers communistes) et lui maintenir son caractère de classe reconnu bien trempé. L’édition papier reste disponible gratuitement, sur simple demande, c’est un choix idéologique qui n’est pas sans conséquence sur le plan financier, tout soutien sous quelques formes que ce soit reste le bienvenue. Envoyer votre demande d’exemplaire et de renseignements à notre boite mail. ouvrier.communiste@free.fr Image cliquable
Edité le 12-11-2007 à 19:07:05 par sti |
| dago | Informateur | Pionnier | 16 messages postés |
| Posté le 17-11-2007 à 23:38:06
| L'OC est-il un journal de parti ? Si oui, lequel ? Dans quelle région est-il surtout diffuser ? Est-ce un hebdo, mensuel ou irrégulier ? Comme le prix est libre, cela veut dire qu'il n'y a pas de chiffre de journaux distribués ? Si oui, combien ? La couverture de l'Ouvrier communiste donne envie de libre de par son esthétique, c'est un bon choix pour faciliter sa lecture vers des lecteurs curieux.
-------------------- Le doute est notre ennemi. |
| gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 18-11-2007 à 00:04:13
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-------------------- L'émancipation des ouvriers sera l'œuvre des ouvriers eux-mêmes |
| Ramon | Guerre au capital | Grand classique (ou très bavard) | | 59 messages postés |
| Posté le 18-11-2007 à 00:10:30
| gorki a écrit :
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Edité le 18-11-2007 à 00:11:22 par Ramon |
| gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 18-11-2007 à 11:27:27
| Bon les jeunes, ce n’est pas parce que les administrateurs de ce forum ont décidé, en faisant preuve de beaucoup de mansuétude, de pouponner avec vous malgré avertissements et présence dans la liste noire qu'il faut vous croire autoriser à tous les délires. Alors soyez sympa de ne pas polluer ce topic et veuillez bien observer en haut à droite de votre barre d’icônes celle représentant une poubelle et cliquez dessus pour chacun de vos poste afin de permettre à ce topic de retrouver sont sérieux. Merci
-------------------- L'émancipation des ouvriers sera l'œuvre des ouvriers eux-mêmes |
| dago | Informateur | Pionnier | 16 messages postés |
| Posté le 18-11-2007 à 18:12:00
| J'ai du mal à comprendre le ton de Gorki. Je n'ai aucun problème à donner des chiffres de mon côté et je pense que c'est avec des données qu'on comprend les expériences de quelqu'un. Je suis désolé si Gorki préfère les tabous mais pour ne pas l'effaroucher plus, je n'interviendrais plus dans ce topic, bien intéressant.
-------------------- Le doute est notre ennemi. |
| gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 18-11-2007 à 21:36:33
| dago a écrit :
J'ai du mal à comprendre le ton de Gorki. . |
Tu dois avoir quelques problèmes de mémoire comme te l’on déjà signalé Paria et Ramon !
dago a écrit :
Je n'ai aucun problème à donner des chiffres de mon côté et je pense que c'est avec des données qu'on comprend les expériences de quelqu'un . . |
Je suis d’accord, c’est quant même mieux que de chercher à lire son passé et son avenir au travers d'une boule de cristal, ou dans le marc de café.
dago a écrit :
Je suis désolé si Gorki préfère les tabous mais pour ne pas l'effaroucher plus, je n'interviendrais plus dans ce topic, bien intéressant. |
Non, Gorki il à une très vieille expérience de ce qu’il faut savoir entendre , de ce qu’il faut savoir dire , de ce qu’il faut savoir observer . Aussi, j’observe que contrairement à KIIlios, tu as encore du mal à comprendre les minimums dans les convenances à propos des questions qui se posent sans entraves et celles plus douteuses (par exemple comme celle que tu viens d’aller déposer sur le sujet Présentation du Secours Rouge développé par Ramon) qui obligatoirement éveilleront la méfiance de tes interlocuteurs. Pour conclure et pour la dernière fois je te le demande, vire tes posts comme à su le faire Kyliiolos (ce qui s’en est suivis du retrait des miens) et tout rentrera dans l’ordre sur ce topic. Je pourrais quitter cette échange et reprendre une activité normale. Merci
Edité le 18-11-2007 à 22:50:53 par gorki
-------------------- L'émancipation des ouvriers sera l'œuvre des ouvriers eux-mêmes |
| dago | Informateur | Pionnier | 16 messages postés |
| Posté le 18-11-2007 à 22:41:35
| Es-tu chaque fois aussi certain de la nature d'un interlocuteur que tu n'as jamais rencontré ? Je n'ai pas pris la peine de te juger, gorki, peux-être y a t il une raison. A propos, es-tu organisé dans un parti ?
-------------------- Le doute est notre ennemi. |
| sti | Grand classique (ou très bavard) | 826 messages postés |
| Posté le 18-11-2007 à 22:45:03
| Ca va durer longtemps les pérégrinations de monsieur Dago sur le forum ? Si les échanges t'intéressent, fait ce que tu faisais jusqu'à présent, lit et tait toi ! |
| dago | Informateur | Pionnier | 16 messages postés |
| Posté le 18-11-2007 à 22:48:32
| Ok désolé d'avoir manqué ceci, je vais suivre les conseils à la lettre de sti.
-------------------- Le doute est notre ennemi. |
| gorki | Les ouvriers n'ont pas de patrie | Grand classique (ou très bavard) | | 835 messages postés |
| Posté le 19-11-2007 à 00:10:57
| dago a écrit :
A propos, es-tu organisé dans un parti ? |
Dommage que ce jeune sot n’a pas saisi tout l'intérêt qu'il y avait à bien peser le sens de ses questions. Malgré mes demandes répètes de procéder à l’apaisement en retirant ses postes litigieux il à cru pouvoir faire comme ci il n’avait rien entendu en menant cette nouvelle provocation Je demande donc à l'ensemble des administrateurs de bien vouloir agir à la suppression des postes relevant de la recherche policière de l'individu ici dans ce sujet, et puisqu’ appartenant à la liste noir de bien vouloir prendre en compte ses démonstrations de capacité de nuisance afin de procéder, cela conformément au règlement à son exclusion.
Edité le 19-11-2007 à 00:11:31 par gorki
-------------------- L'émancipation des ouvriers sera l'œuvre des ouvriers eux-mêmes |
| Finimore | Grand classique (ou très bavard) | | 2655 messages postés |
| Posté le 19-11-2007 à 04:57:24
| dago a écrit :
L'OC est-il un journal de parti ? Si oui, lequel ? Dans quelle région est-il surtout diffuser ? Est-ce un hebdo, mensuel ou irrégulier ? Comme le prix est libre, cela veut dire qu'il n'y a pas de chiffre de journaux distribués ? Si oui, combien ? La couverture de l'Ouvrier communiste donne envie de libre de par son esthétique, c'est un bon choix pour faciliter sa lecture vers des lecteurs curieux. |
Il est évident que les questions que tu poses concernant les chiffres etc... ne recevrons pas de réponses, et c'est très bien ainsi. Ce forum n'a pas à donner ce genre d'informations.
-------------------- Ni révisionnisme, Ni gauchisme UNE SEULE VOIE:celle du MARXISME-LENINISME (François MARTY) Pratiquer le marxisme, non le révisionnisme; travailler à l'unité, non à la scission; faire preuve de franchise de droiture ne tramer ni intrigues ni complots (MAO) |
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