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 appel du PRCF - 70e anniversaire de Stalingrad

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Xuan
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   Posté le 17-01-2013 à 14:31:00   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Le PRCF appelle à manifester pour la commémoration de Stalingrad et lance une pétition en ligne.

Il n'était pas indispensable d'associer les appréciations diplomatiques du général De Gaulle à ce souvenir, fussent-elles élogieuses, et nous estimons que l’UE n'est pas seulement "arrogamment pilotée par Berlin" mais tout aussi arrogamment par notre pays, dont l'indépendance nationale n'est nullement menacée mais qui menace, bafoue et agresse militairement les autres, et se place ainsi à l'avant-garde du bellicisme impérialiste , suivant l'injonction précise de Parisot : "Besoin d'aire" (et non "changer d'aire").

Cependant cette commémoration s'oppose à juste titre aux campagnes anti-communistes et anti-staliniennes, qui ont accompagné la chute du bloc révisionniste, et qui sont encore poursuivies par les médias bourgeois.
L'acharnement haineux anti-communiste démontre que l'objectif de cette propagande ne vise pas l'empire social-impérialiste mis en place après Staline, mais l'idéal communiste, celui-là même trahi par Khrouchtchev.

Les communistes marxistes-léninistes tiennent haut levé le drapeau rouge de Staline et de Stalingrad, tournant historique de la défaite nazie.


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source réveil communiste




Tous place Stalingrad le 2 février 2013, pour le 70ème anniversaire de la bataille !
Nous sommes associés à cet appel, et pas peu fiers de paraître parmi les premiers signataires ! (ndrc)


Le 2 février 2013 coïncide avec le 70ème anniversaire de la victoire de Stalingrad que tous les antifascistes ont alors saluée comme le tournant central de la Deuxième Guerre mondiale. C’est d’abord sur les champs de bataille de l’URSS dévastée par la Wehrmacht nazie que Hitler a perdu la guerre, à une époque où le « second front » n’existait pas.
A une époque où la scandaleuse équation « URSS = Allemagne nazie » (sic) sert à la fois à criminaliser les communistes et à réhabiliter le fascisme, un Collectif unissant des résistants antifascistes, des communistes, des démocrates et des patriotes républicains, vous invite à vous s’associer à l’appel, ci-joint, qui débouchera sur un rassemblement place Stalingrad à Paris, le 2 février 2013.

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Déclaration du PRCF :

HONNEUR et GRATITUDE ÉTERNELLE du PEUPLE FRANÇAIS aux HÉROÏQUES COMBATTANTS DE STALINGRAD


Le Général de Gaulle et les Français reconnurent le rôle capital de l’Union Soviétique dans la victoire sur l’hitlérisme.
Alors que, de l’école aux médias en passant par les déclarations du « parlement européen », une propagande de chaque instant prétend amalgamer l’Union Soviétique au Troisième Reich, les vrais démocrates gardent au cœur les combattants de Stalingrad, de Koursk et de Leningrad qui, au prix de sacrifices inouïs, ont brisé la machine de guerre nazie, ont permis la contre-offensive générale de l’Armée rouge et la prise de Berlin, pendant qu’à l’Ouest s’ouvrait enfin le second front contre la Bête immonde hitlérienne.

L’impératif de l’histoire conduisit pendant la seconde guerre mondiale à « la belle et bonne alliance » entre l’URSS et la France combattante reposant sur la coopération entre peuples libres, égaux et fraternels, coopération toujours d’actualité au plan européen et mondial. Le général de Gaulle en donna une illustration à son arrivée à Moscou, le 20 juin 1966, répondant au président NV Podgorny, il évoqua la grande Russie qu’il avait vue en 1944 : « tendue dans l’esprit guerrier qui allait assurer sa victoire et, pour une très large part celle de la France et de ses alliés », puis à la réception au Kremlin, en soulignant chez les Français le sentiment de solidarité, il revint sur « la part capitale que l’Union Soviétique prit à la victoire décisive » qui, précise-t-il le 30 juin, a porté l’URSS « au plus haut degré de la puissance et de la gloire ». À cette occasion fut signée une déclaration bilatérale qui donna une impulsion considérable à une coopération multiforme. Le domaine spatial en témoigne encore.

Quoi qu’on pense de l’URSS et de son histoire – et cela appelle de notre point de vue de nombreux débats exempts d’intolérance et de caricature – nul ne peut nier que la bataille de Stalingrad prend place dans l’Histoire au même niveau que celle de Marathon, où les jeunes démocraties grecques stoppèrent l’Empire mède – ou de Valmy, où l’armée de la Révolution française repoussa les envahisseurs de l’Europe contre-révolutionnaire.

Nous avons commémoré, le 2 février 2008 à Paris, le 65ème anniversaire de la victoire de Stalingrad, car le sommet de l’ignominie avait été atteint par les gouvernements profascistes des Pays Baltes qui, avec la caution de l’Union Européenne, dressaient des monuments à la gloire des SS. Notre solidarité va à la puissante et légitime riposte qui s’est manifestée en Russie et dans les pays de la CEI défendant l’honneur et l’héroïsme des combattants qui sacrifièrent leur vie pour la liberté.

À l’heure où l’UE, arrogamment pilotée par Berlin, écrase les peuples, leur souveraineté nationale et leurs acquis sociaux, à l’heure où des dirigeants du MEDEF appellent publiquement à « changer d’aire » pour mieux liquider la nation et les conquêtes du CNR, à l’heure où les peuples se dressent de plus en plus contre les guerres impérialistes et contre la dictature des marchés financiers et de leur bras armé l’OTAN, menaçant la Russie et les Etats de la CEI avec le bouclier antimissiles américain, à l’heure où la criminalisation du communisme en Europe de l’Est suscite une chasse aux sorcières liberticide et prépare la revanche posthume des fascismes, les signataires de cet appel, représentants de sensibilités politiques distinctes,
Appellent la population de France à continuer le combat des héros de Stalingrad et de la Résistance antifasciste et patriotique en défendant l’indépendance nationale, la démocratie, les conquêtes sociales, pour qu’un nouveau Reich euro-atlantique destructeur des libertés ne prenne pas la succession de Hitler sous des oripeaux pseudo-démocratiques ;
Appellent à combattre sous toutes ses formes le racisme et la xénophobie d’Etat ;
Condamnent l’anticommunisme, qu’ils ne confondent pas avec la discussion contradictoire et argumentée sur le bilan de la première expérience socialiste de l’histoire, et dans lequel ils voient avant tout une arme idéologique de l’oligarchie capitaliste pour briser l’ensemble des conquêtes démocratiques de notre peuple et de tous les peuples ;
Demandent que le service public à France télévisions (1) et à la radio programme des émissions sur l’Armée Rouge et à son année phare de 1943 avec les victoires de Stalingrad, Koursk, le lancement de l’offensive finale sur Berlin et la coopération du général de Gaulle-URSS, avec son plus beau fleuron, le régiment Normandie-Niemen, ainsi que la participation soviétique au combat animée par le mineur ukrainien Vasil Porik , de 1942 à 1944, dans les mines et les corons du Nord-Pas-de-Calais, combat ouvert par la Grande Grève Patriotique de mai-juin 1941.

Dans le respect de leurs convictions propres, les personnalités signataires appellent également au rassemblement du 2 février 2013, place de la Bataille de Stalingrad, à Paris.

C’est une exigence d’avenir que de célébrer le 70ème anniversaire de la victoire de Stalingrad dans l’union des forces patriotiques, républicaines et antifascistes, d’exprimer la gratitude éternelle aux combattants de l’Armée Rouge dans cette ville martyre où se joua le destin de l’humanité.

En multipliant les initiatives décentralisées allant dans le même sens dans la semaine précédant cet anniversaire, les signataires de cette déclaration appellent les travailleurs, les femmes et les hommes, les jeunes défenseurs de la paix, du progrès et de l’indépendance nationale, résolus à contribuer à la défaite du fascisme, du racisme et de la xénophobie d’Etat, de l’impérialisme, à se mobiliser et à mobiliser pour que résonne dans la capitale de la France,

LE RASSEMBLEMENT NATIONAL AVEC UNE REPRESENTATION INTERNATIONALE qui aura lieu
SAMEDI 2 FÉVRIER 2013 À 14 HEURES 30 (pour les organisateurs) et 15 HEURES
(pour la manifestation), PLACE DE LA BATAILLE DE STALINGRAD (métro Stalingrad)


avec prises de parole et dépôt de fleurs au monument des héros de Stalingrad.

Coordinateur : Pierre PRANCHÈRE, ancien résistant, député honoraire, 2 Puy Salmont 19800 Saint-Priest-de-Gimel.
Courriel :pierre.pranchere@orange.fr – tél : 05 55 21 35 55

Pour vous associer, envoyez votre signature à Jany SANFELIEU (jany.sanfelieu@wanadoo.fr), en indiquant :
Nom – prénom Qualités Adresse Courriel – tél.


Edité le 17-01-2013 à 14:51:56 par Xuan




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   Posté le 19-01-2013 à 18:48:50   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Le PRCF met en ligne :




70ème anniversaire de la victoire soviétique de Stalingrad, 2 février 1943, pour Roland Wlos


Annie Lacroix-Riz, professeur émérite, université Paris 7
Ce texte a été rédigé à la demande de La presse nouvelle et il est libre d’accès, pour toute diffusion

Voici quelques références intéressantes transmises par Annie Lacroix-Riz:

* Geoffrey Roberts , Stalin’s Wars: From World War to Cold War, 1939-1953. New Haven & London: Yale University Press, 2006 (qui devrait être traduit dans la période à venir);
* Stalin’s general : the life of Georgy Zhukov. London, Icon Books, 2012.
* Alexander Werth , La Russie en guerre, Paris, Stock, 1964, reste fondamental.


La capitulation de l’armée de von Paulus à Stalingrad, le 2 février 1943 , marqua, pour l’opinion publique mondiale, un tournant militaire décisif , mais qui ne fut pas le premier. Cette victoire trouve son origine dans les préparatifs de l’URSS à la guerre allemande jugée inévitable: le dernier attaché militaire français en URSS, Palasse les estima à leur juste valeur.

Contre son ministère (de la Guerre), acharné à faire barrage aux alliances franco-soviétique et tripartite (Moscou, Paris, Londres) qui eussent contraint le Reich à une guerre sur deux fronts, cet observateur de l’économie de guerre soviétique, de l’armée rouge et de l’état d’esprit de la population affirma dès 1938 que l’URSS, dotée d’« une confiance inébranlable dans sa force défensive », infligerait une sévère défaite à tout agresseur. Les revers japonais dans les affrontements à la frontière URSS-Chine-Corée en 1938-1939 (où Joukov se fit déjà remarquer) confirmèrent Palasse dans son avis : ils expliquent que Tokyo ait prudemment signé à Moscou le 13 avril 1941 le « pacte de neutralité » qui épargna à l’URSS la guerre sur deux fronts.

Après l’attaque allemande du 22 juin 1941, le premier tournant militaire de la guerre fut la mort immédiate du Blitzkrieg.
Le général Paul Doyen, délégué de Vichy à la commission d’armistice, l’annonça ainsi à Pétain le 16 juillet 1941 : « Si le IIIème Reich remporte en Russie des succès stratégiques certains, le tour pris par les opérations ne répond pas néanmoins à l’idée que s’étaient faite ses dirigeants.
Ceux-ci n’avaient pas prévu une résistance aussi farouche du soldat russe, un fanatisme aussi passionné de la population, une guérilla aussi épuisante sur les arrières, des pertes aussi sérieuses, un vide aussi complet devant l’envahisseur, des difficultés aussi considérables de ravitaillement et de communications.
Sans souci de sa nourriture de demain, le Russe incendie au lance-flamme ses récoltes, fait sauter ses villages, détruit son matériel roulant, sabote ses exploitations ».
Ce général vichyste jugea la guerre allemande si gravement compromise qu’il prôna ce jour-là transition de la France du tuteur allemand (jugé encore nécessaire) au tuteur américain, puisque, écrivit-il, « quoi qu’il arrive, le monde devra, dans les prochaines décades, se soumettre à la volonté des États-Unis. »
Le Vatican, meilleure agence de renseignement du monde
, s’alarma début septembre 1941 des difficultés « des Allemands » et d’une issue « telle que Staline serait appelé à organiser la paix de concert avec Churchill et Roosevelt ».

Le second tournant militaire de la guerre fut l’arrêt de la Wehrmacht devant Moscou, en novembre-décembre 1941, qui consacra la capacité politique et militaire de l’URSS, symbolisée par Staline et Joukov .
Les États-Unis n’étaient pas encore officiellement entrés en guerre.
Le Reich mena contre l’URSS une guerre d’extermination , inexpiable jusqu’à sa retraite générale à l’Est, mais l’armée rouge se montra capable de faire échouer les offensives de la Wehrmacht, en particulier celle de l’été 1942 qui prétendait gagner le pétrole (caucasien).

Les historiens militaires sérieux, anglo-américains notamment, jamais traduits et donc ignorés en France , travaillent plus que jamais aujourd’hui sur ce qui a conduit à la victoire soviétique, au terme de l’affrontement commencé en juillet 1942, entre « deux armées de plus d’un million d’hommes ».
Contre la Wehrmacht, l’Armée rouge gagna cette « bataille acharnée » , suivie au jour le jour par les peuples de l’Europe occupée et du monde, qui « dépassa en violence toutes celles de la Première Guerre mondiale, pour chaque maison, chaque château d’eau, chaque cave, chaque morceau de ruine » . Cette victoire qui, a écrit l’historien britannique John Erickson , « mit l’URSS sur la voie de la puissance mondiale » , comme celle « de Poltava en 1709 [contre la Suède] avait transformé la Russie en puissance européenne » .

La victoire soviétique de Stalingrad, troisième tournant militaire soviétique , fut comprise par les populations comme le tournant de la guerre, si flagrant que la propagande nazie ne parvint plus à le dissimuler.

L’événement posa surtout directement la question de l’après-guerre, préparé par les États-Unis enrichis par le conflit, contre l’URSS dont les pertes furent considérables jusqu’au 8 mai 1945 .
La statistique générale des morts de la Deuxième Guerre mondiale témoigne de sa contribution à l’effort militaire général et de la part qu’elle représenta dans les souffrances de cette guerre d’attrition : de 26 à 28 millions de morts soviétiques (les chiffres ne cessent d’être réévalués) sur environ 50, dont plus de la moitié de civils.
Il y eut moins de 300 000 morts américains , tous militaires, sur les fronts japonais et européen. Ce n’est pas faire injure à l’histoire que de noter que les États-Unis , riches et puissants, maîtres des lendemains de guerre, ne purent vaincre l’Allemagne et gagner la paix que parce que l’URSS avait infligé une défaite écrasante à la Wehrmacht .
Ce n’est pas « le général Hiver » qui l’avait vaincue, lui qui n’avait pas empêché la Reichswehr de rester en 1917-1918 victorieuse à l’Est.

La France a confirmé la russophobie, obsessionnelle depuis 1917, qui lui a valu, entre autres, la Débâcle de mai-juin 1940 , en omettant d’honorer la Russie lors du 60e anniversaire du débarquement en Normandie du 6 juin 1944. Le thème du sauvetage américain de « l’Europe » s’est imposé au fil des années de célébration dudit débarquement. Les plus vieux d’entre nous savent, même quand ils ne sont pas historiens, que Stalingrad a donné aux peuples l’espoir de sortir de la barbarie hitlérienne . À compter de cette victoire, « l’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. » Ce n’est qu’en raison d’un matraquage idéologique obsédant que les jeunes générations l’ignorent.

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Xuan
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   Posté le 03-02-2013 à 18:52:21   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Sur YOU, quelques photos du rassemblement :





Une cérémonie était organisée place de la bataille de Stalingrad, dans les 10e et 19e arrondissements de Paris, le samedi 2 février 2013 après-midi pour commémorer la fin de cette bataille.

La bataille de Stalingrad désigne les combats qui ont eu lieu du 17 juillet 1942 au 2 février 1943 pour le contrôle de cette ville, baptisée aujourd'hui Volgograd, entre les forces de l'Union des républiques socialistes soviétiques et celles du Troisième Reich. Elle reste dans les mémoires pour l'âpreté des combats urbains, n'épargnant ni civils ni militaires, ainsi que pour son impact psychologique et symbolique. En termes de pertes humaines, environ 250 000 soldats des forces de l'Axe ainsi que 480 000 soldats soviétiques trouvèrent la mort, sans compter le nombre toujours inconnu de civils tués -estimé à 250 000 ni celui encore plus élevé des blessés - de l'ordre de 800 000.

Etaient présent à cette cérémonie parisienne Alexandre Orlov, l’ambassadeur de Russie en France, plusieurs officiers généraux et officiers supérieurs de l’armée russe, ainsi que le chef d’entreprise et homme politique Serge Dassault, ancien interné au camp de Drancy.


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marquetalia
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   Posté le 03-02-2013 à 21:23:49   Voir le profil de marquetalia (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à marquetalia   

selon "le monde",la russie et l allemagne vont s allier;faut il croire la gauche bobo qui soutient l impérialisme,notamment en syrie?

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Xuan
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   Posté le 03-02-2013 à 22:59:10   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

L'Allemagne a besoin du gaz russe, surtout si elle démantèle ses centrales nucléaires.
Quant aux aventures militaires de la France, qui fait de plus en plus cavalier seul, elles visent un rééquilibrage de l'Europe.

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   Posté le 03-02-2013 à 23:10:41   Voir le profil de marquetalia (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à marquetalia   

y a t il des chances que l u.e se scinde,du fait de la rivalité franco-allemande?berlin tourné vers moscou,paris qui reconquiert son ancien empire colonial en afrique,....

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Xuan
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   Posté le 03-02-2013 à 23:41:09   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Lève le pied un peu...

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marquetalia
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   Posté le 04-02-2013 à 01:04:42   Voir le profil de marquetalia (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à marquetalia   

einverstanden.

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Xuan
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   Posté le 04-02-2013 à 08:47:39   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Sur l'article de you, les morts soviétiques sont très sous-estimés.
On peut multiplier par deux (voir ici)

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SMT2
Jeune Communiste
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   Posté le 07-02-2013 à 21:33:54   Voir le profil de SMT2 (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à SMT2   

La présence de représentants officiels de la Russie de Poutine est une honte pour ceux qui se réclament du MCI tandis que, entre autre chose, des camarades marxistes léninistes croupissent dans les prisons de Poutine.

Certains passages de l'appel en disent long sur les conceptions d'alliances (quelque soit la période etc) avec certains secteurs de la bourgeoisie nationale et de capitulation sur l'URSS du Pcbus :"Quoi qu’on pense de l’URSS et de son histoire – et cela appelle de notre point de vue de nombreux débats exempts d’intolérance et de caricature – nul ne peut nier que la bataille de Stalingrad prend place dans l’Histoire au même niveau que celle de Marathon, où les jeunes démocraties grecques stoppèrent l’Empire mède – ou de Valmy, où l’armée de la Révolution française repoussa les envahisseurs de l’Europe contre-révolutionnaire. "

La victoire de l'URSS est celle du PCbUS et de sa juste politique de Révolution, DDP, construction du socialisme sous la direction du camarade Staline; en cette période de reflux, l'invitation des républicains, Gaullistes et autres progressistes bourgeois ennemis du socialisme est de nature à brouiller la signification politique de la la victoire de l'Armée rouge, ce qui arrange bien les tenants de la voie pacifique au socialisme ou de ceux qui rajoutent même de nouvelles étapes avant la révolution socialiste...


Edité le 07-02-2013 à 21:37:15 par SMT2




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gorki
Les ouvriers n'ont pas de patrie
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gorki
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   Posté le 10-02-2013 à 12:16:10   Voir le profil de gorki (Offline)   Répondre à ce message   http://ouvrier.communiste.free.fr/   Envoyer un message privé à gorki   

ILS S'ONT VRAIMENT PEUR DE RIEN AU PRCF! TOUT LEUR EST BON POUR VENDRE LEUR CAMELOTE DE NATIONAUX CHAUVINS PSEUDO-COMMUNISTE .........




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L'émancipation des ouvriers sera l'œuvre des ouvriers eux-mêmes
Xuan
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   Posté le 10-02-2013 à 20:36:03   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Le PCUS n'a pas été cité, et Staline une fois comme De Gaulle.

La vidéo de la commémoration.

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