| | | | | marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 10944 messages postés |
| Posté le 26-04-2015 à 21:58:06
| http://www.reveilcommuniste.fr/article-communistes-et-urcf-veulent-fusionner-en-un-parti-des-communistes-125145427.html
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18563 messages postés |
| Posté le 12-08-2015 à 13:35:19
| Indépendamment des lignes politiques différentes et des désaccords sur certains points parfois très importants; il ressort de cet événement que la tendance à rechercher l'unité pour reconstituer le parti communiste l'emporte sur la tendance à la division, à la liquidation et au sectarisme.
__________________ "Communistes" et URCF veulent fusionner en un parti des communistes 4 Décembre 2014 , Rédigé par Réveil Communiste Publié dans #Réseaux communistes lus sur El diablo source : communistes : L’URCF a participé au 7ème congrès de « COMMUNISTES » Rolande PERLICAN a ouvert le congrès en saluant la présence de nos camarades de l’URCF (Union des Révolutionnaires Communistes de France), Jean Luc SALLE secrétaire général et Alain BOISJOT membre du Bureau politique qui ont répondu chaleureusement à l’invitation de notre Parti. Leur présence n’est pas fortuite. Des échanges ont eu lieu ces derniers mois entre nous. Il en est résulté un constat et une proposition. R. Perlican fait un court rappel « historique ». « Il s’est avéré de plus en plus clairement, après le programme Commun, la présidence de Mitterrand, la défaite de l’URSS, que le PCF poursuivait « son virage social-démocrate ». Des militants qui souhaitaient garder un parti révolutionnaire se sont exprimés dans les fédérations, les sections. Je me suis exprimée devant le Comité Central dont j’étais membre. Des groupes opposants, plus ou moins importants se sont formés à l’intérieur du PCF. C’est le cas de la Coordination en 1991 et d’autres, en particulier après 1997 quand le PCF, pour la seconde fois, a décidé de participer au gouvernement socialiste Jospin. Certains de ces groupes existent encore aujourd’hui, liés peu ou prou au PCF. Des camarades qui lisaient mon intervention dans l’Humanité m’ont contactée, nous en avons-nous-mêmes contacté d’autres. Nous nous réunissions pour faire le point, à ce moment là- dans le PCF. Notre constat que ses dirigeants poursuivraient son évolution sociale-démocrate nous a amenés à prendre la décision de le quitter en mars 2000 au 30ème congrès. Un Parti révolutionnaire est indispensable à la classe ouvrière et au peuple, nous avons décidé d’en créer un. En mai 2000, des camarades se sont réunis, ils ont lancé un appel à la création de ce parti dont le 1er congrès a eu lieu en mars 2002. Nous l’avons appelé « Communistes ». L’URCF n’existait pas en 2002. Les circonstances historiques faisaient que nos camarades étaient membres depuis 1991 de la « Coordination ». Ils ont ensuite eux-mêmes créé les conditions de leur évolution avec la création de l’URCF. Jean Luc vous l’expliquera. Aujourd’hui le moment est venu de conjuguer nos forces pour travailler ensemble à faire franchir une nouvelle étape à ce Parti révolutionnaire qui nous sera commun ».
-------------------- J.L. SALLE secrétaire général de l’URCF s’est adressé aux congressistes: « Chers camarades, Je voudrais tout d’abord, au nom de l’Union des Révolutionnaires-Communistes de France, vous remercier chaleureusement, en particulier votre secrétaire national Antonio Sanchez, de votre invitation fraternelle au 7ème Congrès de votre Parti et Rolande Perlican pour son discours d’accueil. En 1991, confrontés à la fois à l’achèvement de la mutation réformiste du PCF et à la victoire de la contre-révolution en URSS, nous avons participé à la création de la Coordination Communiste qui était unie sur l’objectif de défendre l’identité communiste dans le PCF. La Coordination Communiste remporta quelques succès mais se heurta plus durement sur la stratégie : reconquérir le PCF ? ou rompre pour reconstruire un Parti communiste véritablement marxiste-léniniste? En mars 2000, lors du 30ème Congrès du PCF, la majorité de la Coordination (aujourd’hui URCF) opta pour la rupture et s’engagea à faire renaître un Parti révolutionnaire, au prix de la scission des minoritaires dans nos rangs. Dans le même temps et depuis plusieurs années, Rolande Perlican menait un combat résolu contre l’opportunisme et regroupait aussi beaucoup de militants ; ce qui a abouti à la création de votre Parti en 2002. Avant même de créer l’URCF en 2004 et après, nous avons dû construire notre unité politique et théorique et affronter l’opportunisme sous diverses formes. L’URCF a axé le travail militant principalement dans et en direction des entreprises ; nous avons acquis une solide unité politique et avons progressé dans la classe ouvrière, colonne vertébrale d’un véritable parti communiste et chez les jeunes. Nous avons des statuts, un Programme de luttes pour le socialisme, un Comité central, nous constituons une organisation véritablement pré-parti. Parallèlement, nous n’avons jamais ignoré qu’en créant « Communistes », vous étiez la seule organisation, avec l’URCF, à avoir rompu réellement avec le parti opportuniste et réformiste. Nous avons toujours suivi avec beaucoup d’attention et d’intérêt le travail sérieux de votre Parti. Nous avons mesuré les convergences stratégiques et politiques existantes. Nous avons établi un constat commun. Vous avez acquis une expérience précieuse et des résultats en tant que Parti révolutionnaire. L’URCF est proche de se transformer en Parti et va fonder une Jeunesse Communiste. L’efficacité et l’intérêt des travailleurs commandent que tout soit fait pour concrétiser l’unité des révolutionnaires en un seul parti. Aussi, d’un commun accord, nous avons décidé d’œuvrer à un processus d’unification de nos deux organisations en un seul Parti des communistes avec pour objectif central le renversement du capitalisme, de son mode de production et de son Etat par l’instauration du socialisme. Nous savons l’écho et les espoirs que cela va susciter. La dynamique révolutionnaire qui en sera la conséquence puisque un Parti plus fort, plus ancré chez les travailleurs, les quartiers populaires et la jeunesse en sera le résultat. Nos responsabilités sont grandes mais nous sommes confrontés tous ensemble à une tâche enthousiasmante ! C’est pourquoi l’URCF avec ses militants est prête à s’engager côte à côte avec vous dans un processus d’unification » .
--------------------------- Antonio SANCHEZ Secrétaire National de « Communistes » prend la parole : « Merci à nos camarades de l’URCF d’avoir répondu à notre invitation à participer à notre congrès. Merci à Jean Luc Sallé pour son intervention et ses vœux de succès à notre congrès. Voilà plus de 12 ans que nous avons créé ce parti révolutionnaire parce qu’il n’y en avait plus en France et qu’il était urgent de donner à la classe ouvrière et au peuple de notre pays, cet outil indispensable pour mener son combat de classe contre le capitalisme. Nous pensons que le moment est venu de mettre en commun nos forces avec celles de l’URCF qui a les mêmes objectifs, les mêmes orientations que notre parti, pour construire ensemble ce parti révolutionnaire. Construire ensemble ce Parti, répond tout à fait à la nécessité, à l’intérêt de la lutte des travailleurs de France. D’un commun accord nous avons décidé comme l’a dit Jean Luc de créer les conditions pour réaliser cet objectif dans les prochains mois. Nous sommes persuadés qu’ensemble, avec l’expérience, les capacités des uns et des autres, avec notre détermination commune, nous construirons un parti révolutionnaire, plus fort, plus influent, qui comptera dans la vie Nationale. Je suis convaincu que notre décision commune aura sans aucun doute un écho important » Les interventions de R. Perlican, de J.L. Salle, A. Sanchez ont été chaleureusement applaudies.
------ Le congrès a donné mandat au Comité National pour mettre en œuvre cette décision commune avec nos camarades de l’URCF.
Edité le 13-08-2015 à 00:02:06 par Xuan
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18563 messages postés |
| Posté le 12-08-2015 à 13:46:28
| Ci-dessous la position du PRCF : « PRC »(F ?) : CONFUSIONNISME ET/OU NIHILISME NATIONAL ! Le congrès de fusion des groupes URCF et « Communistes » (le groupe créé par Rolande Perlican) a donc eu lieu le 20 juin. Deux faits retiennent l’attention. La confusion semble être une volonté politique délibérée du groupe issu de cette fusion qui a choisi un sigle plagiant celui du PRCF ; cela est manifeste quand on prend connaissance des documents envoyés par ces groupes à l’étranger où ils se désignent comme P.R.C. (France), ce qui donne carrément PRCF si l’usage élimine cette inquiétante mise entre parenthèses de la référence nationale à la France. Aujourd’hui sur la page internet du groupe « Communistes » – pour qui arrive à y lire quelque chose à défaut de trouver la moindre information sur celui de l’Urcf – il n’est fait mention que de P.R.C. (« parti des révolutionnaires COMMUNISTES »). En adoptant ce sigle, il semble que ce nouveau groupe poursuive deux objectifs: semer la pagaille et, profitant de cette confusion sur le sigle, essayer d’affaiblir le PRCF internationalement et nationalement tout en tentant de profiter du sigle du PRCF déjà assez largement connu des militants communistes, ouvriers et progressistes de notre pays. Cette volonté destructive et la nuisance de ce groupe ne peuvent être totalement négligées même s’il ne faut pas que la grenouille soit prise pour un bœuf. En tous les cas et cela doit être clair, le PRCF ripostera sur tous les terrains aux tentatives de contrefaçon : il serait tout de même insensé que, préférant la contrefaçon à l’engagement franchement communiste et à la lutte des idées, des personnes se réclamant du communisme ne soient pas capables, à défaut d’accepter la main tendue d’autrui pour combattre ensemble l’euro, l’UE, l’OTAN et le capitalisme, de respecter le nom d’une organisation communiste. Le deuxième fait frappant est l’absence de toute référence nationale dans l’appellation du nouveau groupe ; à moins qu’elle ne réapparaisse ici et là pour produire carrément le sigle PRC(F), la référence à la France a disparu ou est mise entre parenthèses, comme c’est l’usage de toutes les organisations trotskistes, LO, NPA, etc. qui croient « internationaliste » d’escamoter toute référence au pays où ils militent… Que ce soit par le « F » de S.F.I.C. (Section Française de l’Internationale Communiste) ou par celui du P.C.F., les communistes français ont toujours fait référence à la nation dans leur appellation officielle et c’était d’ailleurs le cas de toutes les formations nationales adhérant à l’ I.C. – Alors que les fascistes contestaient le patriotisme communiste (« communistes pas français »), le P.C.F. avait choisi de s’appeler parti communiste français. Souhaitant à la fois faire référence à la France, ce pays que Jean Ferrat sut si bien chanter sur des bases de classe dans « Ma France », mais voulant montrer qu’il est clairement ouvert aux travailleurs immigrés vivant ici, le P.R.C.F. préfère pour sa part s’intituler Pôle de Renaissance Communiste en France et cela ne l’empêche nullement d’avoir d’excellentes relations avec près de 100 organisations et partis communistes à l’étranger. Anticipant le résultat de la politique fédéraliste mise en place par l’ U.E. et par le MEDEF (cf le Manifeste « Besoin d’aire »), qui est de dissoudre les nations pour faire advenir l’Empire européen piloté par l’Axe Washington-Berlin, le groupe fusionné le 20 juin semble comme suspendu dans l’Éther à moins qu’il ne soit anesthésié par lui…A moins que la volonté de semer la confusion ait feint de reculer devant la reprise pure et simple de notre sigle bien connu et dûment enregistré ! Mais nous y voyons plus que la sous-estimation du fait national, nous y voyons sa négation, un phénomène typique du gauchisme: le nihilisme national . Gramsci a conduit la lutte contre Bordiga qui n’a jamais compris l’importance de la question nationale ni la différence entre les différents types de domination bourgeoise. Face au fascisme, Gramsci proclamait que la tâche des communistes serait de sauver la nation italienne. Au 7ème congrès de l’Internationale communiste, tenu en août 1935, Georges Dimitrov polémiquera contre le « nihilisme national » et appellera les communistes du monde entier, à l’exemple de la section française (S.F.I.C.), à défendre leurs pays respectifs sur des bases de classe, en prenant la tête de larges fronts populaires antifascistes et patriotiques . Déjà, le 14 juillet 1935, par la voix de Jacques Duclos entonnant tour à tour la Marseillaise et l’Internationale au premier meeting du Front populaire, le P.C.F. des Thorez, Cachin, Frachon, avait réconcilié le drapeau tricolore et le drapeau rouge : à l’époque, les communistes de France savaient encore disputer la nation, « c’est-à-dire le peuple (Politzer) », aux fascistes et aux tenants de l’Europe allemande et à l’oligarchie « française » qui faisait alors « le choix de la défaite ». Le parti communiste, le Parti des Fusillés devenait en 1945 à la fois le premier parti dans la classe ouvrière et le premier parti de France. Rien de commun avec les dirigeants de l’actuel P.C.F.-P.G.E. qui se promènent dans les manifs avec, à la boutonnière, l’écusson européen bleu-marial frappé des étoiles ! Car la reconstitution d’un vrai parti communiste en France ne résultera pas de l’auto-proclamation de deux ou trois quarterons de militants, si « marxistes-léninistes » que se disent leurs dirigeants, surtout quand l’un des deux groupes fusionnés est connu pour ignorer superbement toutes les autres formations franchement communistes du pays*. En réalité, un Parti communiste digne de ce nom ne s’autoproclame pas : il se construit comme l’avant-garde révolutionnaire de la classe ouvrière d’un pays donné. Pour mériter ce nom comme l’a mérité jadis le Parti fondé au Congrès de Tours dans la foulée des mutineries de la Mer noire, de l’intense campagne nationale pour l’adhésion au Komintern et des grandes grèves cheminotes, il faut obtenir la reconnaissance des militants de la classe ouvrière de France, de la majorité des communistes politiquement actifs dans notre pays et de l’ensemble des forces marxistes-léninistes qui participent du Mouvement communiste international. Et cette reconnaissance fondée sur des actes se gagne dans l’action permanente pour produire des analyses marxistes-léninistes de la situation politique, pour unir les communistes dans l’action pour les quatre sorties (euro, UE, OTAN, capitalisme), pour fédérer les internationalistes dans les luttes anti-impérialistes, pour rassembler – et non pour diviser – le front des syndicalistes de lutte, pour fédérer les patriotes républicains qui refusent à la fois la désintégration maastrichtienne de la nation et la fascisation de la vie politique dans tous ses aspects. C’est pourquoi les militants communistes du PRCF, qui agissent réellement pour construire collectivement un solide parti communiste intégrant tous les communistes du pays, mais qui ne se prennent nullement pour « LE » parti, continueront leur travail pour l’unité d’action des communistes comme ce fut le cas par exemple le 30 mai à Paris lors du meeting des Assises du communisme pour les 4 sorties, une manifestation où certains « révolutionnaires COMMUNISTES » brillaient par leur absence. *Les mêmes « durs de durs » ont été jusqu’à présenter des listes aux européennes, totalement invisibles d’ailleurs ; après le 29 mai 2005 et son viol par Hollande et Sarkozy, cela ne revenait-il pas à légitimer dans son principe le « parlement » européen supranational au nom d’une démarche électoraliste qui a abouti à un résultat de 0.009%…
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18563 messages postés |
| Posté le 12-08-2015 à 16:11:28
| Rappelons que le drapeau tricolore date de la révolution bourgeoise de 1789. Dessiné par Jacques-Louis David à la demande de la Convention, le bleu et le rouge pour les couleurs de Paris entourent le blanc de la royauté, identiques aux trois couleurs utilisées par les différents pavillons français d'Ancien Régime. Le drapeau rouge a par la suite été choisi par les résistants au coup d’État de 1851, puis par la Commune de Paris en 1871 et par les bolchéviques lors de la révolution de 1917. Cependant, Le 24 février 1848 le poète Lamartine s’oppose au drapeau rouge des insurgés et impose le drapeau tricolore comme drapeau de la Seconde République issue de la Révolution de 1848.
Fils de Pierre de Lamartine seigneur, chevalier de Pratz et d’Alix des Roys, «fille de l'intendant général de M. le duc d'Orléans» et «élevée avec le roi Louis-Philippe», Alphonse de Lamartine se rallia d’abord à la monarchie de juillet puis, sentant le vent tourner, aux républicains libéraux. « La classe ouvrière ne possédait que deux représentants, Louis Blanc et Albert. Lamartine, enfin, dans le Gouvernement provisoire n'était là, au premier abord, pour aucun intérêt réel, pour aucune classe déterminée; c'était la révolution de Février elle-même, le soulèvement commun avec ses illusions, sa poésie, son contenu imaginaire et ses phrases. Mais au fond le porte-parole de la révolution de Février, par sa position comme par ses opinions, appartenait à la bourgeoisie. Si Paris, par suite de la centralisation politique, domine la France, les ouvriers dominent Paris dans les moments de séismes révolutionnaires. La première manifestation d'existence du Gouvernement provisoire fut la tentative de se soustraire à cette influence prédominante en en appelant de Paris enivré au sang-froid de la France. Lamartine contesta aux combattants des barricades le droit de proclamer la République, disant que seule la majorité des Français avait qualité pour le faire; qu'il fallait attendre leur vote, que le prolétariat parisien ne devait pas souiller sa victoire par une usurpation. La bourgeoisie ne permet au prolétariat qu'une seule usurpation : celle de la lutte. Le 25 février, vers midi, la République n'était pas encore proclamée, mais, par contre, tous les ministères étaient déjà répartis entre les éléments bourgeois du Gouvernement provisoire et entre les généraux, banquiers et avocats du National. Mais, cette fois, les ouvriers étaient résolus à ne plus tolérer un escamotage semblable à celui de juillet 1830 » K. Marx [les luttes de classe en France] Lamartine prit avec Ledru-Rollin la direction de la répression contre les manifestants du 15mai1848, où Blanqui fut condamné à dix ans de prison. L’application du marxisme-léninisme dans les conditions actuelles de notre pays ne consiste pas à se transporter dans le passé pour y chercher des similitudes, copier et coller les tactiques utilisées par les communistes de l’époque. S’imaginer dans les années 30 parce que des ligues fascistes cherchaient à renverser la démocratie parlementaire, comme chercher à revivre la résistance, cela relève du rêve et non de l’analyse matérialiste et dialectique des faits.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18563 messages postés |
| Posté le 18-07-2016 à 20:06:45
| L'unification de l'URCF et de Communistes a échoué. La déclaration de cette rupture date du 21 mai 2016, en ligne ici Le compte-rendu de l'URCF ici. Le site de l'URCF annonce "Notre journal Intervention Communiste proposera prochainement une analyse approfondie de l’économisme et de l’opportunisme caractéristiques de cette organisation."
Edité le 18-07-2016 à 20:08:57 par Xuan
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