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 relations franco-chinoises sous tension

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Xuan
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   Posté le 15-02-2009 à 23:13:30   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Depuis les émeutes au Tibet et les tentatives de sabotage des JO 2008, les relations franco chinoises se sont fortement altérées.
Le comportement du gouvernement français, jouant tantôt l'apaisement tantôt l'hostilité, en est la cause essentielle et la presse chinoise ne s'est pas privée de stigmatiser l'attitude louvoyante de Sarkozy en particulier.

Le développement de cette contradiction n'est pas étranger à l'éviction progressive de l'impérialisme français du continent africain, parallèlement au renforcement des relations politiques et économiques sino-africaines.

La visite en cours de Raffarin en Chine pour recoller les morceaux , et celle prévue le 20 avril de J. Chirac, sont envisagées avec circonspection par la presse chinoise malgré les amabilités diplomatiques.

Pour illustrer cette dégradation, un article du Quotidien du Peuple commentant la situation sociale en France.
Il est rare que la presse officielle chinoise s'exprime sur ce genre de sujet. Ici, les réformes du gouvernement Sarkozy sont ouvertement qualifiées d'antipopulaires.



La grève nationale en France met Nicolas Sarkozy à une rude épreuve


Un mouvement de grève nationale de grande envergure, le premier depuis que la crise financière internationale sévit à travers le monde, a frappé la France le 29 janvier dernier. Dans tout le pays, plusieurs millions d'habitants sont allés dans les rues pour exprimer leurs inquiétudes quant à leurs conditions de vie et de travail qui empirent de jour en jour et pour manifester leur mécontentement quant au projet lancé par le gouvernement français en vue secourir le marché. La présente grève nationale française a battu tous les records du passé quant au nombre des manifestants et à son ampleur interprofessionnelle. D'après les médias locaux, elle constitue un nouveau défi pour Nicolas Sarkozy confronté à la crise économique et à la grogne sociale et montre la « profonde déception » du peuple français depuis les vingt mois de l'exercice du pouvoir suprême de la République française par celui-ci.

Pourquoi une grève d'une telle envergure s'est-elle produite en France ? L'opinion publique locale estime en général que c'est la crise financière qui a provoqué la détérioration de l'environnement social et économique du pays, que la pression du travail et de la vie va de mal en pis, que la population manifeste une inquiétude psychologique qui s'aggrave de jour en jour et qu'un sentiment pessimiste s'étend et se répand à travers tout le pays. Une autre raison encore plus inquiétante, c'est que depuis son accession au pouvoir, Nicolas Sarkozy a fait de grands efforts pour appliquer une politique de réforme de type « rupture », laquelle suscite le mécontentement d'un grand nombre d'habitants qui se sentent frustrés.

La réalité c'est que la crise financière a effectivement touché durement l'économie réelle française et la plupart des entreprises ont été obligées de procéder au licenciement et même de déclarer la faillite. Mais, il semble que le programme mis au point et avancé par le gouvernement français en vue de stimuler l'économie accorde de l'importance seulement au sauvetage du secteur bancaire et de l'industrie automobile et ne tient pas compte du pouvoir d'achat de la population et du problème d'emploi. D'autre part, la nouvelle politique de réforme préconisée et appliquée par Nicolas Sarkozy depuis son arrivée au pouvoir n'a pas donné jusqu'à maintenant les résultats escomptés ni de l'espoir à la masse populaire. Au contraire, elle cherche à désagréger le système national de bien-être et de mieux-être de niveau élevé et à priver le peuple des intérêts acquis qu'il jouit. Des analystes ont indiqué que les Français ressentent de l'aversion et éprouvent une grande déception pour la réforme totale et complète appliquée précipitamment par Nicolas Sarkozy. C'est pourquoi un sentiment instinctif d' « opposition à Sarkozy » s'est produit et se développe constamment dans le pays.

Les syndicats ont exprimé de leur côté leur désir de dialoguer avec le gouvernement. Mais, le Secrétaire Général de la Confédération Générale du Travail (CGT) Bernard Thibault a mis en garde le gouvernement contre une multiplication des rendez-vous sans résultat avec les syndicats et a averti qu'une autre grève d'ampleur nationale n'est pas exclue. Des analystes pensent que dans la situation actuelle où l'économie est en dépression et où le mécontentement populaire gagne en ampleur, le gouvernement doit prendre résolument des mesures fermes et énergiques et communiquer de façon efficace avec le peuple, sinon le mouvement de grève pourrait reprendre et s'étendre encore plus, et même évoluer dans le sens des émeutes et des troubles violents menés peu de temps auparavant par de jeunes Grecs.


[Source: le Quotidien du Peuple en ligne - le 02 02 2009]

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Xuan
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   Posté le 15-02-2009 à 23:51:48   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

visite de Hu Jintao en Afrique


En mars et avril 2008 Li Changchun, membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC)effectuait une visite en Afrique du nord (Maroc, Algérie, Tunisie, Syrie, Mauritanie).

Le Mali est la deuxième étape de l'actuelle tournée du président chinois Hu Jintao à l'étranger. Après l'Arabie saoudite, il se rend également dans trois autres pays africains, à savoir le Sénégal, la Tanzanie et l'île Maurice.
On notera que le Medef effectuait une visite au Sénégal et au Mali du 8 au 12 février...

Les échanges commerciaux sino-maliens ont atteint 200 millions de dollars pendant les dix premiers mois de 2008, ce qui représentait une hausse de 58% par rapport à la même période de l'année précédente.
Selon des statistiques officielles chinoises, le commerce entre la Chine et l'Afrique a atteint en 2008 le record de 106,84 milliards de dollars, en progression de 45,1% sur un an.

Ci-dessous un article récent sur la visite du président chinois au Mali, extrait de la presse algérienne :

Hu Jintao annonce une hausse des investissements chinois en Afrique
Pékin bouscule Washington et Moscou


Le continent africain, qui faisait l’objet durant les cinquante dernières années d’une concurrence entre les Américains et les Russes pour profiter au maximum de ses richesses, est sur le point de tomber sous le charme des Chinois, qui s’y implantent progressivement à travers une politique d’aide beaucoup plus concrète.

Dès sa première étape dans la capitale malienne jeudi, le chef de l’État chinois, Hu Jintao, a affiché les intentions de Pékin en annonçant que son pays allait augmenter ses investissements sur le continent. Bénéficiant d’un accueil populaire chaleureux à Bamako, le président chinois a affirmé que malgré la crise économique mondiale, “la Chine maintiendra la densité de ses échanges avec le Mali, le continent africain”. Sans avancer de chiffres précis, il a déclaré : “Nous allons augmenter nos investissements sur le continent.” Pour être plus attractif, il soulignera que Pékin envisage aussi “d'alléger la dette de l'Afrique contractée vis-à-vis de la Chine”. Il faut dire que le Mali intéresse énormément la Chine, avec lequel elle entretient de très bonnes relations depuis son indépendance. D’ailleurs, tous les chefs d'État maliens ont fait au moins une fois le voyage à Pékin, et Bamako est un fidèle allié de Pékin. Bien que pauvre et enclavé, le Mali recèle beaucoup de ressources. Ainsi, il est le troisième producteur d'or africain, derrière l'Afrique du Sud et le Ghana, et un des principaux exportateurs africains de coton. En outre, des réserves en uranium ont en outre récemment été découvertes dans le nord. Les échanges commerciaux entre les deux pays ont connu ces dernières années un “accroissement rapide” selon le site internet de la présidence malienne. Ils sont constitués aux trois quarts par des exportations de la Chine vers le Mali, tels les produits électromécaniques, thé vert, textiles, etc. De son côté, Pékin importe essentiellement du coton malien. Pékin, semble adopter une politique africaine, qui porte ses fruits, comme l’a affirmé le président malien : “La Chine a pris des engagements lors du dernier sommet Chine-Afrique en novembre 2006 : je constate, et je suis frappé par le fait que la Chine a respecté tous les engagements pris.” Contrairement à Washington et Moscou, dont l’aide à l’Afrique demeure en deçà des espoirs, Pékin semble savoir comment s’y prendre, en respectant notamment ses engagements.
Cela lui permettra certainement de damer le pion aux Russes et aux Américains sur ce continent de plus en plus courtisé pour les richesses de son sous-sol, encore largement inexploitées. Pour rappel, la Chine avait annoncé en 2006 son intention de doubler son aide à l'Afrique en trois ans, sans préciser les montants en jeu. Le 6 février dernier, le ministre chinois adjoint des Affaires étrangères Zhai Jun avait déclaré : “Je suis sûr que nous atteindrons ce but à la fin de l'année.”
Après le Mali, le président chinois poursuivra sa tournée africaine en se rendant au Sénégal, en Tanzanie et en île Maurice. C’est dire que Pékin compte bien aller jusqu’au bout de ses intentions en Afrique, à savoir en devenir le premier partenaire sur tous les plans.

Merzak T.

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Xuan
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   Posté le 15-02-2009 à 23:58:07   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

ci-dessous un commentaire de Cai Fangbai, ancien ambassadeur de Chine en France


Que doit-on faire pour créer une situation nouvelle aux 45 années suivantes des relations sino-françaises ?


Le caractère stratégique et particulier des relations bilatérales entre les deux pays existe toujours, pourvu qu'on transcende les préjugés idéologiques, tout problème peut être réglé de façon adéquate et judicieuse.

J'ai passé au total vingt quatre années en France à commencer par l'établissement de l'Ambassade de Chine en France dont j'ai participé au travail puis en assumant par la suite la fonction d'Ambassadeur de Chine accrédité auprès du gouvernement français. Ce qui est profondément gravé dans ma mémoire, c'est l'événement du 27 janvier 1964 : les gouvernements chinois et français ont publié en même temps chacun de son côté un bref communiqué conjoint en deux phrases annonçant l'établissement des relations diplomatiques au niveau d'ambassadeur entre les deux pays.

L'histoire a démontré que les relations sino-françaises ont toujours revêtu un caractère stratégique et particulier et ont marqué profondément la politique internationale et le développement de la situation mondiale. Quarante cinq années sont écoulées depuis et aujourd'hui ce que tout le monde s'intéresse en général, c'est que doit-on faire pour poursuivre l'œuvre des prédécesseurs et pour ouvrir de nouvelles perspectives aux relations sino-françaises qui ont été perturbées ?

La situation difficile est due à l'appréciation erronée de la partie française quant à l'évolution de l'échiquier international.

Au cours des 45 années qui ont suivi l'établissement de leurs relations diplomatiques, les relations entre la Chine et la France ont connu des jours rayonnants de grâces printanières, mais également des jours sombres et tumultueux. Ces dernières années, et surtout en 2008, la situation internationale a connu un profond changement et une importante réorganisation. Les principaux événements d'importance, dont la crise financière internationale, le conflit entre la Russie et la Géorgie, la réussite des Jeux Olympiques de Beijing, … etc., montrent que la puissance de l'Occident a diminué relativement et que la capacité de celui-ci de contrôler les affaires internationales est amenuisée. Parallèlement, de nouvelles puissances émergentes ont fait leur apparition dans le monde, leur influence s'accroît de jour en jour et elles jouent un rôle grandissant quant à l'évolution de la situation internationale. Dans le contexte ci-dessus, il est apparu dans les relations sino-françaises des éléments les plus instables depuis le début des années 90 du siècle dernier. Et surtout après les troubles et les émeutes qui ont éclaté le 14 mars 2008 à Lhassa où les fauteurs de désordre ont profité de l'occasion pour commettre des actes de violence, de destruction, de pillage et d'incendie, les médias français dans leur ensemble ont tout fait pour noircir l'image de la Chine. Les autorités françaises ont tenu à maintes fois des propos négatifs à l'encontre de la Chine et ont lié les Jeux Olympiques de Beijing au problème du Tibet. Lors du passage à Paris du relais de la flamme olympique, la relayeuse handicapée Jin Jin a été attaquée par un malfaiteur qui a tenté d'arracher la torche qu'elle tenait dans ses mains. La mairie de Paris ne s'est pas laissé dépasser sur ce point-là, elle a décerné au Dalai Lama le titre de « citoyen d'honneur » de la ville de Paris. Ce qui est encore plus grave, c'est qu'au moment où les relations bilatérales étaient en voie de rétablissement, le dirigeant français, au mépris des démarches répétées entreprises par la partie chinoise, s'était obstiné à rencontré avec fanfaronnades et vantardise, en tant que Président de la République française et Président tournant de l'Union européenne, le Dalai Lama qui est de fait un réfugié politique qui se consacre depuis longtemps à la division et à la séparation de la patrie. Le problème du Tibet concerne la souveraineté et l'intégrité territoriale de la Chine. Les agissements de la partie française portent atteinte aux intérêts vitaux et fondamentaux de la Chine et c'est cela qui met une fois de plus en péril les relations sino-françaises.

On se demande pourquoi la partie française se montre inconstante et capricieuse en se dédisant, en se rétractant et en se déchaînant pour faire des histoires au sujet du problème du Tibet et des Jeux Olympiques de Beijing ? Je pense que la raison principale c'est que la partie française n'a pas tenu compte de l'évolution rapide et complexe de la situation internationale et elle a oublié que le caractère stratégique et particulier des relations sino-françaises non seulement ne s'est pas affaibli ni diminué dans notre monde actuel, il s'est au contraire renforcé et accru. Cet oubli a fait qu'elle a commis des actes nuisant aux intérêts fondamentaux de son partenaire stratégique. D'autre part, le développement rapide de la Chine fait pression sur la France et lui apporte des inquiétudes. Ne pouvant s'adapter à cette situation qui lui semble quelque peu intenable, la France tente alors d'utiliser les Jeux Olympiques de Beijing et le problème du Tibet pour faire pression sur la Chine. En outre, elle crée des difficultés à cette dernière quant à d'autres problèmes, tels que le droit de propriété intellectuelle, le taux de change du renminbi, le déficit commercial, la politique chinois à l'égard de l'Afrique, … etc., ce afin de faire obstacle au processus de développement de la Chine. Elle joue également à l'encontre de celle-ci la carte des droits de l'homme pour tenter détourner l'attention et pour diminuer autant que possible la pression sur elle.

Le caractère stratégique et particulier des relations sino-françaises existe toujours.

L'avenir en perspective m'inspire toujours une grande confiance et une pleine espérance quant à l'avenir du développement des relations entre la Chine et la France. En remémorant le parcours du développement des relations des deux pays durant les 45 années passées, je suis persuadé que le caractère stratégique et particulier des relations sino-françaises existe toujours. Ca été toujours ainsi que ce soit qu'elles se développent de façon satisfaisante ou que ce soit qu'elles rencontrent des difficultés, car le développement complet des relations de partenariat stratégique entre la Chine et la France répond non seulement aux intérêts fondamentaux des deux pays, mais contribue également à la paix, à la stabilité et au développement commun du monde entier.

Sur le plan politique, les points en commun sont plus nombreux que les points litigieux. La Chine et la France préconisent toutes les deux l'établissement d'un monde multipolaire et utilisent ensemble le pluralisme et le multilatéralisme pour faire face aux défis lancés à la face du monde. Les deux pays appliquent tous les deux une politique diplomatique indépendante et autonome. Leur position est identique ou semblable sur de nombreux problèmes internationaux d'importance, c'est pourquoi les deux parties peuvent coordonner et coopérer réciproquement pour régler ces problèmes.

Sur le plan économique, la Chine et la France sont d'importants partenaires de coopération économique et technologique. Malgré que suite à l'agrandissement de la puissance effective générale de la Chine, la concurrence des deux pays sur le marché international augmente sans cesse, mais leur complémentarité reste toujours en première position. La Chine a besoin des technologies et des expériences de gestion avancées de la France, ainsi que de ses équipements sophistiqués, alors que celle-ci a besoin de son côté du marché toujours grandissant de la Chine et de ses produits de bonne qualité et à bas prix. Les deux parties peuvent en outre coopérer en faisant valoir chacune ses supériorités et ses avantages. A ce titre-là, elles peuvent procéder ensemble à des recherches scientifiques et au développement et étendre ensemble leurs affaires sur le marché d'un pays tiers, créant ainsi une situation de « double gagnant ». Pour faire face à la plus grave crise financière internationale depuis plus de sept décennies, il est particulièrement important que les deux parties renforcent leur coopération et leur coordination.

Sur le plan culturel, la Chine et la France sont toutes les deux des anciens pays dotés d'un passé plusieurs fois millénaires, d'une civilisation brillante et d'une culture rayonnante. Les deux parties préconisent toutes les deux la pluralité culturelle et sont décidées à contribuer par leurs efforts au dialogue et aux échanges entre différentes civilisation et à l'établissement d'un monde harmonieux caractérisé par une paix durable et une prospérité commune.

Les points communs susmentionnés sont en fait les précieux acquis réalisés par les deux parties durant de longues années et ils constituent la source de la force potentielle qui promeut le développement continuel des relations bilatérales entre les deux pays qui doivent les apprécier et les prendre en considération et leur attacher un grand prix.

La transcendance des préjugés idéologiques permet d'apporter une solution judicieuse aux problèmes.

Il existe certainement une différence notable entre la Chine et la France quant à leur système social, à leur contexte culturel et à leur niveau de développement, c'est pourquoi il est tout à fait naturel qu'il y ait entre les deux des litiges et des différends quant à certains problèmes. Les relations sino-françaises sont entrées actuellement dans une phase clé et l'on se demande comment doit-on faire pour poursuivre l'œuvre des prédécesseurs et pour ouvrir de nouvelles perspectives au développement de ces relations. « Le nœud doit être dénoué par celui qui l'a fait », « la clochette doit être décrochée par celui qui l'a accrochée », le problème important du moment c'est que la partie française doit envisager sérieusement les préoccupations de la parties chinoise et prendre des mesures effectives pour remédier au préjudice et au dommage qu'elle a causé aux relations bilatérales, pour dissiper l'effet négatif, pour renforcer la confiance politique mutuelle et pour construire ensemble avec la partie chinoise un avenir radieux aux 45 années suivantes des relations de coopération amicale entre la Chine et la France.

(Auteur de cet article : Cai Fangbai, ancien Ambassadeur de Chine en France)

Source: le Quotidien du Peuple en ligne Mise à jour 04.02.2009 13h14

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