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Xuan
Une observation sur ce texte, qu ia le mérite de rappeler les faits :
La « politique industrielle démocratiquement débattue » serait-elle existante qu’il n’en serait pas autrement.
On peut toujours débattre très librement de la politique industrielle. Ce qui compte c’est quelle classe la dirige.


Edité le 27-06-2013 à 23:14:32 par Xuan


Xuan
En ce qui concerne ROCML, CMC, l’URCF, le PRCF, VP, et tu peux y ajouter d'autres groupes d'opposants dans le P"C"F, on ne cherche pas leurs "bonnes grâces" mais à débattre avec eux et sans les insulter. Si ça te fait rire grand bien te fasse. Profites-en pour péter un bon coup ça te soulagera.

Maintenant je vais faire une petite pause dans ce "moment comique" pour revenir au sujet, si ce n'est pas trop te demander.

____________


Je reçois un article de Michel Peyret :

NATIONALISATIONS, L'ETAT-PATRON


« Aujourd’hui passées de mode, les nationalisations ont longtemps été un étendard de la gauche réformiste… mais pas seulement d’elle. Le plus souvent, elles ont servi au capital pour se moderniser, se restructurer et rétablir ses taux de profit. En France, celles de 1981-82 ont laissé aux travailleurs un goût amer. »
Aujourd'hui, c'est Robert Pelletier qui nous le dit, à sa manière évidemment.
Il faudra bien que, à un moment ou à un autre, ces vérités premières soient entendues.
Sinon de nouvelles désillusions seront à craindre.
Car, n'en doutons pas, nombreux sont ceux dans le personnel politique, de « droite » ou de « gauche », dont le souci principal est la perpétuation du capitalisme. L'histoire en apporte confirmation !
Aussi conviendrait-il dans le même temps de se souvenir de ceux qui ont dit : « L'émancipation des travailleurs sera l'oeuvre des travailleurs eux-mêmes. »

Michel Peyret




Du 19ème siècle à 1981 : des nationalisations compatibles avec le capitalisme.

Publié dans : Revue Tout est à nous ! 41 (mars 2013)
Par Robert Pelletier.

Si le droit à la propriété privée est un des principes fondateurs de la Révolution française, des exceptions y étaient envisagées. L’article 17 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen (26 août 1789) énonce : « La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité ». Ces principes furent ensuite traduits dans le Code civil de 1804.

Avant la Première Guerre mondiale, des objectifs d’efficacité industrielle au service des Etats amenèrent certains socialistes français à revendiquer la nationalisation des chemins de fer ou des assurances, et Bismarck à faire des chemins de fer une société d’Etat en Allemagne dès 1873.

Mais c’est sous l’impact de la révolution russe et de la crise économique que la participation des Etats à l’appareil de production commença à se poser avec plus de force.

En Allemagne, face à la montée révolutionnaire, le gouvernement mit en place des organismes de conciliation et de participation où les salariés disposaient d’un droit de regard sur l’administration de l’entreprise, les conditions de travail, d’embauche et de licenciement. En Belgique, en Grande-Bretagne et en France, syndicats et partis socialistes revendiquèrent des mesures similaires à celles mises en œuvre par Roosevelt aux Etats-Unis.

Des impératifs économiques et industriels conduisirent le gouvernement de Front Populaire à nationaliser quelques usines d’armement et les chemins de fer en créant la SNCF. Durant la Deuxième Guerre mondiale, le gouvernement de Vichy nationalisa l’agence de presse Havas, qui devint l’AFP à la Libération.

L’étape keynésienne

Les besoins de la reconstruction et les rapports de forces issus la guerre amènent les gouvernements à mettre en place des politiques keynésiennes, reposant notamment sur la place déterminante de l’intervention de l’Etat dans la production. En France, le programme du Conseil national de Résistance prévoyait « le retour à la nation de tous les grands moyens de production monopolisée, fruit du travail commun, des sources d’énergie, des richesses du sous-sol, des compagnies d’assurances et des grandes banques » . C’est ainsi que furent nationalisées les houillères, les entreprises du gaz et de l’électricité, les banques de dépôt, une partie des compagnes d’assurances et la Régie Renault, la RATP, Air France.

Ces mesures reposaient sur deux fondements.

D’abord, des nécessités économiques et industrielles imposant, au sortir de la guerre, des moyens importants et centralisés pour la reconstruction de l’appareil productif, des réseaux de transport et de l’énergie.

Ensuite, la recherche d’un consensus social afin d’assurer la remise en route de la production notamment dans les secteurs décisifs.

Les contreparties en termes d’intervention des salariés dans la gestion furent alors l’occasion d’âpres discussions. Les réticences syndicales et politiques d’une part, les préventions patronales d’autre part, furent renforcées par la mise en place du plan Marshall et le développement de la guerre froide. Les intrusions dans le champ du pouvoir patronal se limitèrent aux obligations d’information et de consultation des comités d’entreprises dans le secteur privé et à une participation aux conseils d’administration dans le secteur public.

La principale concession faite aux organisations syndicales, avant tout à la CGT, est le développement des œuvres sociales avec notamment des dotations importantes aux comités d’entreprise. Dans les secteurs stratégiques (mines, EDF-GDF, SNCF), des concessions sociales importantes furent également faites sur les retraites et les déroulements de carrière. Grâce aux indemnisations, les anciens actionnaires récupérèrent des capitaux immobilisés dans des industries détruites et purent les réinvestir dans des activités plus rentables.

En 1981, un enjeu essentiel pour la gauche

Ce partage, cette complémentarité entre un secteur public conséquent et le secteur privé ne furent pas remis en cause dans la période suivante, pas même en Mai 1968. C’est cependant dans la foulée de Mai 68 que la question des nationalisations revint sur le devant de la scène.

En 1972, le PCF, le PS et les Radicaux de gauche signaient un programme commun de gouvernement qui prévoyait une large extension du secteur public. Les critères étaient très larges :
« - Les entreprises qui répondent directement à des fonctions collectives ayant le caractère de services publics et donc à des besoins fondamentaux ;
- Les sociétés vivant sur fonds publics, qu’il s’agisse de marchés publics, de subventions, de crédits de faveur, etc. ;
- Les principaux centres d’accumulation capitaliste qui dominent la plus grande partie, voire la totalité de certaines productions réduisant la concurrence à celles de quelques firmes géantes ;
- Les entreprises qui contrôlent des branches essentielles pour le développement de l’économie nationale (niveau technique, échanges internationaux, rôles régionaux, etc.) »


Après des discussions laborieuses, qui débouchèrent sur une rupture de l’alliance PCF-PS-Radicaux de gauche, les champs de référence et d’application furent sérieusement réduits dans ce qui devint les « propositions» du candidat Mitterrand en 1981.

La loi de nationalisation qui devint effective en 1982 concernait cependant de nombreuses entreprises dans l’industrie (Thomson, Saint-Gobain-Pont-à-Mousson, Rhône-Poulenc, Péchiney-Ugine-Kuhlmann, Sacilor, Usinor) comme dans le secteur financier (Paribas, Suez, CIC, Crédit du Nord, Crédit Commercial de France, Banque Rothschild, Banque Worms, Banque La Hénin...).

Rationalisation capitaliste et désillusions ouvrières

En 1983, un salarié sur quatre travaillait dans le secteur public. Les nationalisations avaient donné à l’Etat d’importants moyens économiques et industriels. Mais l’absence d’une politique industrielle démocratiquement débattue, faisant des choix prenant en compte l’intérêt collectif, ne permit pas de consolider l’appareil industriel et de peser sur la vie économique et sociale. Les 47 milliards de francs d’indemnités alors versés aux actionnaires leur permirent de se tourner vers des secteurs plus porteurs ou de se lancer sur les marchés financiers.

Dans les années qui suivirent, la gestion du secteur nationalisé se différencia peu de celle des entreprises privées : internationalisation par une politique d’investissement à l’étranger tandis que le secteur bancaire se lançait dans des spéculations hasardeuses, qui imposèrent de coûteux sauvetages par l’Etat& : 100 milliards au Crédit lyonnais, 22 milliards pour le GAN, 6 milliards pour la Société marseillaise de crédit.

Parallèlement, les conditions de travail et l’emploi dans ces groupes ne se distingua pas non plus fondamentalement de celles du privé. De 1981 à 1983, il y eut de nombreuses suppressions d’emplois : 10 000 dans la chimie, 33 000 dans la construction électrique et dans l’électronique, 12 000 dans la sidérurgie.

La sidérurgie est le secteur emblématique des enjeux réels des nationalisations. Dès 1978, l’Etat prenait à sa charge 22 milliards de francs de dettes et devenait détenteur de 63, 8 % d’Usinor et de 76, 9 % de Sacilor. Cette quasi nationalisation n’empêcha pas alors la suppression de 22 000 emplois.

En 1981, l’Etat ajouta encore 21 milliards dans la caisse. En 1984, il y eut à nouveau 30 milliards mis par l’Etat et 21 000 emplois supprimés. En 1986, l’Etat procéda à une ultime recapitalisation de la sidérurgie (Usinor et Sacilor) en injectant encore des milliards, pendant que 20 000 emplois s’évanouissaient. Grâce à ces aides et aux suppressions d’emplois, la sidérurgie put enfin, en 1989, renouer avec les bénéfices. Pour être ensuite privatisée en 1995, sous le gouvernement Juppé.

En fait, à partir de la victoire de la droite aux élections législatives de mars 1986, la plupart des entreprises nationalisées furent privatisées. D’abord par la droite puis, après le « ni-ni » (ni privatisation, ni nationalisation) de Mitterrand en 1988, par les gouvernements de droite et de gauche qui se relayèrent pour aboutir à la disparition de quasiment tout le secteur public, avec la privatisation des entreprises les plus emblématiques qu’étaient EDF-GDF, France Telecom ou les sociétés d’autoroute.

Au total, dans un contexte d’affaiblissement des repères collectifs, les nationalisations laissent au mieux un sentiment d’indifférence, au pire un goût amer. Les dizaines de milliers de suppressions d’emplois, l’absence d’amélioration voire l’aggravation des conditions de travail font que pour les salariés des ex-secteurs nationalisés, l’éventualité d’un retour à ce statut n’est en rien perçue comme une évolution favorable et souhaitable.
L’Etat-patron n’a pas laissé un souvenir vraiment meilleur que les patrons privés.


Edité le 27-06-2013 à 13:14:49 par Xuan


gorki
Je disais quoi a propos de ce que sa réponse serait le moment comique de ma journée ? Mieux ils s’y sont mis à deux… Oleg Popov se serait-il trouvé des adeptes ?

Finimore a écrit :

Tu nous a dèjà fait un caca nerveux avec tes délires à propos de SMT qui serait selon toi JLS (en fait ce n'est pas le problème) et continuellement tu ne fais que t'en prendre systématiquement aux autres organisations d'une façon sectaire et périodiquement tu menaces de partir ou de ne plus publier sur le forum, mais tu reviens et tu balances tes injures.



Alors là je persiste et signe, parce t’es effectivement un beau Salopard doublé d’être un manœuvrier. Aussi je te mets au défi de prouver cela

1° « l’affaire SMT Sallé » c’est pas moi qui l’ai initié, c’est juste un proche des JLS et tutti quanti qui est venu nous raconter sur ce forum comment ce JLS dirigeant de l'URCF revoyait les copies de SMT (version 1) avant qu’il ne vienne les poster ici. Aussi à l’époque tu t’es retourné contre lui, et ce, nous l’avions bien compris, pour rester dans les bonnes grâces du ROCML. Cela parce que de l’unité des ML tu en as une conception qui ne s’embarrasse pas de trop de principes…

2° montre nous ou régulièrement j’ai menacé de partir de ce forum ? T’inquiète je te ferai pas ce plaisir, avec le camarade Ossip, au titre de fondateur, j’y ai « « acquit » » des droits naturels d’intendance.

Maintenant les autres organisations c’est qui ??? le CMC, l’URCF, le PRCF, VP, juste une même poignée de comiques pseudo ML identiques à ceux qui s'expriment ici pour les E"P". Pratiquement pas un prolo là-dedans, ou peut-être quelques faire valoir.

Finimore a écrit :

Je pense que le débat ne t'intéresse pas et ton but c'est justement de l'empêcher en braquant tes interlocuteurs. En procédant ainsi tu évites que l'on se pose des questions sur tes conceptions ou ta pratique.


Je te le répete ! parle pas de débat, tu n'a même pas notions de ce que cela politiquement implique, Le camarade Komitern à raison quant-il t’écrit : « à part balancer des citations quand as tu réellement étayé une position? Jamais! ». Aussi ne parle pas non plus de pratique, car ce n’est pas moi qui ai choisi le confort de jouer aux archivistes du Mouvement ML tant il est vrai, que cela permet de ne pas trop à avoir à s’impliquer sur le terrain…


Quant à mes conceptions et mes pratiques, tu n’à pas à en juger, t’es juste pas qualifier pour, moi je peux revendiquer (j’y ai souvent fait référence ici, normal revient à césar ce qui lui appartient, de « faits d’armes » de service de ma classe que je paie encore chèrement aujourd’hui… et j’en suis presque certain, pas toi… ou fait le maintenant sans te défausser.


Maintenant je confirme ce qu’affirme le Camarade Komintern, t’es pas un camarade et moi j’ajouterai, ton adhésion au Marxisme-Léninisme c’est une usurpation d’identité politique, ta pratique dans la lutte de classe, celle de l’aristocratie ouvrière. rien d’autre, tous vos postes sur ce forum le refléte trop... car ça vaut pour ton pote…

Tien à propos de lui

Xuan a écrit :

Finimore et moi disons la même chose Komintern.


Effectivement et fondamentalement en fin de course vous faites la même chose… avec pour conclusion politique un débalage indécent de soutien à la dictature fasciste de chine c’est dire la tristesse !!!!

Tu vois Finimore! ce qui ma toujours été insupportable, depuis des décennies de militantisme politique que j'ai à mon actif, c’est d’avoir eu à fréquenter toute une armada de petits bourg ML ou autres, donneurs de leçons, qui tous ont finis par se ranger, réapparaissant (cela, pour certains faisant déjà un petit moment) en retraités repus de vie, avec pour ambition de recoller à leurs fantasmes politiques de jeunesse, et qui plus est, en cherchant à se placer en leader du mouvement "ML".

Mais pire encore c’est d’avoir à assister à la quasi même chose chez quelques prolos n’ayant jamais réussi à ce défaire de la tutelle politique des premiers, et qui du même coup se remettent à leur cirer les pompes… et de ceux là tu es un parfait exemple.


Allez va te faire et cesse de te la jouer ML Mao machin etc. t’en est même pas un, juste un guignol qui se là raconte….



Edité le 27-06-2013 à 09:15:45 par gorki


Finimore
Komintern a écrit :

[citation=Finimore] Je pense que le débat ne t'intéresse pas et ton but c'est justement de l'empêcher en braquant tes interlocuteurs. En procédant ainsi tu évites que l'on se pose des questions sur tes conceptions ou ta pratique.


Ca c'est quand même l'hosto qui se fout de la charité venant de toi!
Parce que si mes souvenirs sont bons (et ils le sont) c'est bien toi qui remettait sur le tapis mon ancienne appartenance au pcf pour ne pas avoir à répondre sur le fond!
D'ailleurs à part balancer des citations quand as tu réellement étayé une position? Jamais!

Répéter des poncifs usés c'est ta seule manière de débattre!

Mais je comprends ta frustration... Tu aurais tellement voulu être considéré comme une référence de la science marxiste pour pavaner devant une cours d'admirateurs distillant les bons et mauvais points que la réalité de ton ineptie politique doit te faire mal!

Absence de pratique, pédantisme, opportunisme (les retraites tu vas nous refaire le coup des 37,5 pour tous?) prétention, dogmatisme... la liste de tes caractéristiques seraient encore longue mais ça suffit pour te dire qu'à la différence de l'autre administrateur de ce forum qui malgré toutes les divergences souvent très lourdes aura au moins assumé le débat, toi tu ne serais JAMAIS un camarade!

Maintenant je te laisse continuer tes petits fantasmes de père Fouras perché au sommet de sa tour des ep...[/citation]

A quoi peux te servir de dire des ce genre d'inepties ? Garde donc ton agressivité pour autre chose.
En ce qui concerne le débat je ne l'ai jamais refusé. Seulement débattre avec des arguments oui, mais se faire insulter sans raisons ça c'est non !
Xuan
Finimore et moi disons la même chose Komintern.
Komintern
Finimore a écrit :

Je pense que le débat ne t'intéresse pas et ton but c'est justement de l'empêcher en braquant tes interlocuteurs. En procédant ainsi tu évites que l'on se pose des questions sur tes conceptions ou ta pratique.


Ca c'est quand même l'hosto qui se fout de la charité venant de toi!
Parce que si mes souvenirs sont bons (et ils le sont) c'est bien toi qui remettait sur le tapis mon ancienne appartenance au pcf pour ne pas avoir à répondre sur le fond!
D'ailleurs à part balancer des citations quand as tu réellement étayé une position? Jamais!

Répéter des poncifs usés c'est ta seule manière de débattre!

Mais je comprends ta frustration... Tu aurais tellement voulu être considéré comme une référence de la science marxiste pour pavaner devant une cours d'admirateurs distillant les bons et mauvais points que la réalité de ton ineptie politique doit te faire mal!

Absence de pratique, pédantisme, opportunisme (les retraites tu vas nous refaire le coup des 37,5 pour tous?) prétention, dogmatisme... la liste de tes caractéristiques seraient encore longue mais ça suffit pour te dire qu'à la différence de l'autre administrateur de ce forum qui malgré toutes les divergences souvent très lourdes aura au moins assumé le débat, toi tu ne serais JAMAIS un camarade!

Maintenant je te laisse continuer tes petits fantasmes de père Fouras perché au sommet de sa tour des ep...
Finimore
gorki a écrit :

Si tu voulais pas de réponse fallait pas y venir du con


Les réponses oui, les insultes non !

gorki a écrit :

t'es juste un salopard Finimore !


Oui, même un salopard en casquette !!!

gorki a écrit :

parce que tu sais parfaitement qu'avec le SMT à la con il existe une histoire sur ce forum et que mon accueil à sa version 2 ne pouvait pas être des plus tendre... et maintenant, c'est toi qui parle de Blabla! décidément pas fini de nous faire rire Finimore!


Tu nous a dèjà fait un caca nerveux avec tes délires à propos de SMT qui serait selon toi JLS (en fait ce n'est pas le problème) et continuellement tu ne fais que t'en prendre systématiquement aux autres organisations d'une façon sectaire et périodiquement tu menaces de partir ou de ne plus publier sur le forum, mais tu reviens et tu balances tes injures.

Je pense que le débat ne t'intéresse pas et ton but c'est justement de l'empêcher en braquant tes interlocuteurs. En procédant ainsi tu évites que l'on se pose des questions sur tes conceptions ou ta pratique.
Xuan
"coté argumentaire politique chacun fais ce qu'il peut..." et avec tes guignol , tes salopard et tes du con ça ne pisse pas loin gorki.
J'imagine qu'il s'agit là de ta manière "plus distinguée, ou d’en tous les cas moins vulgaire, parce que personne n’a jamais prouvé qu’un prolos devait l’être naturellement" (sic)

L'unité se fera nécessairement au sein d'un nouveau parti communiste, y compris entre ceux qui ne partagent pas les mêmes positions aujourd'hui. Ce processus demande de considérer à la fois ce qui nous unit et ce qui nous oppose afin de progresser dans l'unité.
Et lorsque ce parti sera constitué il y aura encore des positions différentes en son sein.
Cela s’appelle la lutte de ligne au sein du parti communiste. Et lorsqu'elle prend fin c'est que le parti communiste est mort.

Mais ça ne t'intéresse pas : de ton point de vue l'unité ne peut se faire qu'avec toi-même et le parti communiste ne peut se créer que sur tes positions faute de quoi il serait peuplé de guignols , de salopards et de ducons petit-bourgeois.
Résultat tu passes ton temps à saouler les autres avec ton terrorisme verbal.
Mais que tu aies tort ou raison sur le fond ces méthodes sont contre-productives et elles vont à l'encontre de tes propres démonstrations.


Edité le 24-06-2013 à 00:20:34 par Xuan


gorki
Si tu voulais pas de réponse fallait pas y venir du con

t'es juste un salopard Finimore! parce que tu sais parfaitement qu'avec le SMT à la con il existe une histoire sur ce forum et que mon accueil à sa version 2 ne pouvait pas être des plus tendre... et maintenant, c'est toi qui parle de Blabla! décidément pas fini de nous faire rire Finimore!

Bon, coté argumentaire politique chacun fais ce qu'il peut, et personne ne peut t'en vouloir pour cela; seulement depuis le temps que tu archives l'histoire des "ML" tu devrais avoir acquis quelques connaissances théoriques. Alors va s’y fait un effort STP, et arrête de te contenter de faire dans le service minimum en passant ton temps, sous prétexte de volonté unitaire, (et ce, comme depuis toujours sur ce forum) à faire de la lèche à tout ce qui remue du derche, façon ML petit bourg...

surtout ne te gène pas pour me répondre cela en fera mon instant comique de la journée....


Edité le 23-06-2013 à 22:57:14 par gorki


Finimore
Et bien voilà quelques jours d'absences et je retrouve Gorki sur le forum toujours aussi "sympa" comme d'habitude. Tu dois t'ennuyer quand tu ne publie pas des posts agressifs contre l'URCF ou d'autres... non ?
Ceci dit, inutile de perdre ton temps à répondre je connais ton blabla.
 
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