| | | | | Paria | Les masses font et peuvent tout ! | Grand classique (ou très bavard) | | 562 messages postés |
| | ludo90290 | Tout un monde à refaire! | Grand classique (ou très bavard) | | 353 messages postés |
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| Posté le 22-11-2006 à 21:12:31
| Extrais de: Le II° Congrès de l'Internationale Communiste: Un sommet et une croisée des chemins a écrit :
Pourtant les bolcheviks étaient trop bons marxistes pour ignorer que, depuis le Premier Congrès, les choses n'avaient pas sensiblement changé au sein du mouvement ouvrier. Aucun parti communiste ne s'était encore constitué en Europe, pour ne rien dire des États-Unis. Pis, parmi les partis qui étaient sur le point de se constituer ou qui prétendaient l'être déjà, bien peu offraient de sérieuses garanties de communisme. Serrati déplorait (et l'historien Carr lui fera plus tard écho), l'attitude et le ton ennuyeusement «pédagogiques» de Moscou à l'égard des délégués des partis adhérents; il se plaignait de ce que, plus encore que les «compagnons de route» atteints de gauchisme infantile, ils fussent traités par elle en écoliers, et souvent guère mieux (sinon plus mal) que les douteux candidats de l'U.S.P.D. ou du P.S.F. La vérité est que les bolcheviks devaient agir ainsi, puisque, comme ils s'en rendaient bien compte, ils étaient les seuls à pouvoir le faire. Quant à nous, nous aurions souhaité les voir aller encore plus loin dans le sens de l'intransigeance et la rigueur. http://www.sinistra.net/lib/bas/progco/qioo/qioohpubif.html |
Quoi en dire?
Message édité le 22-11-2006 à 21:13:30 par ludo90290
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