De plus, nous tenons à préciser que cet hommage ne repose pas sur une sorte de « fétichisation du passé »[1] et ne vise pas à entretenir une quelconque nostalgie, même si nous ne saurions dissimuler notre admiration et notre reconnaissance pour ces « soldats sans uniforme », dont les luttes ont permis des progrès de nos conditions matérielles d’existence, tant remises en cause aujourd’hui.
[1]Voir le texte de A. Badiou: « pandémie, ignorance et nouveaux lieux collectifs »