| | | | | Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 20-03-2015 à 15:11:46
| Un regard sur les nouvelles institutions financières dirigées par la Chine Source : Deutsche Welle (traduction Google) Cherchant une alternative à la Banque mondiale et au FMI, de nombreux pays cherchent à rejoindre la Chine, qui conduit des institutions financières telles que l'AIIB (Banque Asiatique pour les Investissements dans les Infrastructures). Mais qu'offrent-elles et à quels défis sont-ils confrontés? L'économiste Rajiv Biswas parle à BW. Le ministre des Finances Lou Jiwei de la Chine (à gauche) présente un discours aux invités de la cérémonie de signature de l'infrastructure en Asie Investment Bank au Grand Palais du Peuple à Beijing 24 Octobre 2014 (Photo: REUTERS / Takaki Yajima / Pool) La Banque BRICS Nouveau développement (NDB), la Banque d'investissement d'infrastructure asiatique (AIIB), et le Fonds Route de la Soie sont toutes les initiatives internationales menées par la Chine au cours des derniers mois qui symbolisent l'influence croissante de Pékin dans le financement du développement et de nouvelles sources potentielles de financement pour les pays en développement. Alors que les initiatives ont été critiquées par certains comme un moyen pour Pékin de contester institutions soutenus par l'Occident comme la Banque mondiale ou du Fonds monétaire international (FMI), il ya ceux qui croient que ces nouvelles banques de développement peuvent avoir un impact positif sur les économies émergentes. En fait, plus de 30 pays ont déjà annoncé leur intention de rejoindre le AIIB tant que membres fondateurs, dont certains plus grandes économies d'Europe. Dans une interview DW Rajiv Biswas, Asie-Pacifique économiste en chef au cabinet d'analyse IHS, parle de la fin de ces institutions, les défis auxquels ils sont confrontés et les possibilités qu'ils peuvent offrir à la fois aux pays en développement et l'économie mondiale. Rajiv Biswas Biswas: «La décision prise par le Royaume-Uni de demander leur adhésion AIIB est susceptible de changer considérablement la structure éventuelle de la AIIB " DW: Qu'est-ce qui a conduit la Chine à initier la création de ces institutions financières? Rajiv Biswas: la Chine a conduit un certain nombre d'initiatives visant à créer de nouvelles institutions multilatérales de financement du développement. Bien que ces initiatives ont tous été lancés en 2014, les décisions de créer ces nouvelles institutions reflètent le mécontentement croissant depuis de nombreuses années parmi les pays en développement que la structure de gouvernance du FMI et la Banque mondiale n'a pas évolué pour refléter le poids croissant des marchés émergents dans le PIB mondial . Chine, en particulier, a une part disproportionnellement faible des droits de vote dans les institutions de Bretton Woods, avec seulement 3,81 pour cent des droits de vote du FMI, même si elle représente un montant estimé à 12,4 pour cent du PIB mondial. Ces nouvelles institutions, si elles sont appliquées avec succès, pourraient donc donner pays en développement une plus grande influence dans le financement du développement mondial. Quel est le but principal de ces institutions? L'un des principaux obstacles au développement économique dans les pays en développement à revenu faible et intermédiaire est le manque d'infrastructures essentielles, comme les ports, les chemins de fer, routes et l'électricité. Le AIIB, NDB et le Fonds Route de la Soie sont tous destinés à financer le développement de projets d'infrastructures dans ces pays en développement. Comment ces institutions seront-elles capitalisés? Les BRICS sont l'établissement de l'NDB avec un capital initial de 50 milliards de dollars souscrire à parts égales par le Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud. Sa création a été déjà approuvé par la Douma d'Etat de la Russie et le cabinet indien à la fin Février 2015. La Chine a commis 40 milliards de dollars de la création du Fonds Route de la Soie, qui est déjà devenu opérationnel. Le Fonds a déjà recueilli 10 milliards de dollars de réserves de change de la Chine ainsi que le capital de China Investment Corporation, la Banque Export-Import de Chine et la Banque de développement de Chine. La Chine va fournir jusqu'à 50 milliards de dollars du capital initial autorisé pour établir la AIIB, qui a déjà 23 pays membres fondateurs ainsi que de nouvelles demandes d'adhésion du Royaume-Uni, Allemagne, France, Italie et Luxembourg, avec les pays les plus développés qui devraient se appliquer aussi à devenir membres. Le AIIB doit devenir opérationnel d'ici la fin de 2015 et sera basée à Pékin, avec un capital initial souscrit 50 milliards de dollars. Au total, ces trois nouvelles institutions de développement vont créer plus de 100 milliards de dollars en financement pour des projets d'infrastructure en Asie sur le moyen terme, ce qui représente une forte impulsion au développement de l'infrastructure régionale. Lorsque ces institutions cherchent à lever des capitaux sur les marchés internationaux de capitaux dont ils auront besoin pour obtenir notations des agences internationales de notation de la même manière que d'autres institutions financières multilatérales. Combien pourraient adhérer à ces institutions? La décision prise par le Royaume-Uni au début de Mars à une demande d'adhésion AIIB est susceptible de changer considérablement la structure éventuelle de la AIIB. Cela a déclenché demandes d'adhésion au AIIB par d'autres pays de l'UE, dont l'Allemagne, la France, l'Italie et le Luxembourg, ce qui signifie que de nombreux pays développés sont susceptibles d'être membres AIIb, en souscrivant capital et contribuer à l'élaboration de normes de gouvernance pour la AIIB. La structure de gouvernance et des droits de vote de chaque pays exactes seront déterminées par des négociations entre les membres AIIb au cours des prochains mois. Pour la NDB, le capital initial souscrit sera assumée à parts égales par les cinq pays fondateurs du BRICS, avec tous ces cinq pays susceptibles de jouer un rôle clé dans la structure de gouvernance et des droits de vote pour le NDB, bien que d'autres pays en développement seront également en mesure de souscrire capital et jouer un rôle dans la structure de gouvernance. A quels défis ces nouvelles institutions financières en Chine devront-elles faire face? Une question clé sera d'établir des structures de gouvernance de qualité crédibles qui feront en sorte que les activités de prêt de ces institutions sont menées d'une manière équitable, transparente et éthique. Pour la AIIB, l'un des principaux défis pourrait être dans la détermination de la répartition des droits de vote maintenant que un certain nombre de grands pays développés ont demandé à adhérer. Comment ces institutions sont-elles susceptibles de contribuer au développement en Asie? La mise en place de ces institutions permettra d'accroître considérablement le financement du développement pour les pays en développement. Un capital initial de 100 milliards de dollars devrait être déployé pour financer des projets de développement des infrastructures dans les pays en développement d'Asie. Le Fonds AIIB et Silk Road sera ainsi donner une impulsion majeure au financement des infrastructures de transport et l'infrastructure énergétique en Asie du Sud-Est et en Asie centrale. Le Fonds se concentrera sur la ceinture de la Route de la Soie économique de la Chine à l'Asie centrale et le Moyen-Orient, ainsi que la Route de la Soie maritime de la Chine en Asie du Sud et devrait améliorer de façon significative la connectivité des infrastructures et aider à accélérer les flux commerciaux et d'investissement entre ces régions. Dans quelle mesure ces banques pourrait être utilisées comme véhicules pour répandre l'influence de la Chine ou son soft power? http://www.dw.de/image/0,,18018669_404,00.jpg Le Président chinonis Xi Jinping guide les clients à la Banque asiatique Infrastructure Investissement cérémonie de lancement au Grand Palais du Peuple à Beijing Octobre 24 2014 (Photo: REUTERS / Takaki Yajima / Pool) Biswas: «Une question clé sera d'établir crédibles, les structures de gouvernance de haute qualité» Beaucoup dépendra de l'adhésion et aux capitaux éventuels abonnements par différents pays membres. Si la Chine contribue une part importante du capital total, comme c'est actuellement le cas dans la première phase du Fonds Route de la Soie, alors il peut être prévu que la Chine pourrait avoir un degré élevé d'influence sur les décisions et peut-être utiliser l'organisation comme un instrument de soft power. Toutefois, la Banque de développement BRICS est déjà établi avec des abonnements égales de capital par les cinq pays BRICS, ce qui signifie que la gouvernance et la prise de décision de la NDB seront ainsi répartis entre les pays BRICS et d'autres pays se joindront également jouer un rôle dans la gouvernance et l'établissement de normes. Le AIIB a déjà une large base de membres des 23 pays fondateurs de la région Asie-Pacifique, et un certain nombre de grands pays de l'UE, y compris le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France et l'Italie ont demandé à adhérer. Ceci indique que le AIIB aura une large adhésion tout à fait avec de nombreux pays impliqués dans la structure d'établissement des normes et de la gouvernance. Il est donc peu probable d'être uniquement un véhicule de la Chine dirigée. Quels défis sont-ils susceptibles de poser à la Banque mondiale et au FMI? Les membres de la AIIB et NDB sont également membres des institutions de Bretton Woods, ce qui augmente la probabilité que les nouvelles banques vont travailler de manière complémentaire aux institutions de Bretton Woods plutôt que comme des concurrents. Du point de vue des pays en développement, ces nouvelles institutions vont augmenter le débit total du capital international pour le développement de l'infrastructure. Par conséquent, une coopération pragmatique est susceptible d'émerger entre les institutions de Bretton Woods et ces nouvelles institutions de financement du développement. Rajiv Biswas économiste en chef chez IHS pour l'Asie-Pacifique , une information et d'analyse firme mondiale. Il est responsable de la coordination des analyses et prévisions économiques pour la région Asie-Pacifique.
Edité le 20-03-2015 à 20:35:11 par Xuan
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| Posté le 20-03-2015 à 15:20:39
| Sur le même site un article de novembre 2014 récapitule quelques éléments : Comment la Chine est en train de remodeler financement du développement mondial La Banque de développement BRICS, le AIIB et le Fonds Route de la Soie sont toutes les initiatives menées par la Chine qui symbolisent son influence croissante dans le financement du développement et de nouvelles sources de financement potentielles, dit Rajiv Biswas. Dirigeants représentant le Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud participent au Sommet BRICS VI dans Fortaleza 15 Juillet 2014 (Photo: REUTERS / Nacho Doce) Au cours des deux derniers mois, la Chine a joué un rôle majeur dans le lancement d'initiatives pour accroître le financement de l'infrastructure des pays en développement. En Juillet 2014, la Chine, avec les autres nations BRICS - Brésil, Russie, Inde et Afrique du Sud - a décidé de créer une nouvelle banque de développement (NDB) qui ont un capital initial de 50 milliards de dollars. Plus récemment, en Octobre, 21 pays d'Asie ont convenu de créer une nouvelle banque d'investissement en infrastructure asiatique (AIIB) pour lequel la Chine fournira jusqu'à 50 pour cent du capital initial. L'objectif de la banque est de fournir un financement pour des projets d'infrastructure tels que les routes dans les pays asiatiques en voie de développement. La semaine dernière, au Sommet de dirigeants de l'APEC à Beijing, le président Xi a également annoncé la création d'un nouveau Fonds Route de la soie pour améliorer la connectivité en Asie, dont la Chine fournira 40 milliards de dollars du financement des immobilisations. Alors que les initiatives ont été critiquées par certains comme un moyen pour la Chine de simplement contester institutions soutenus par l'Occident comme la Banque mondiale ou du Fonds monétaire international (FMI) - à la suite du mécontentement de plus en plus avec ces organismes de Pékin - il ya ceux qui croient que la nouvelles banques de développement pourraient avoir un impact positif sur les économies émergentes. Rajiv Biswas, Asie-Pacifique économiste en chef au cabinet d'analyse IHS, dit dans une interview DW que la conception correcte, ces nouvelles institutions pourraient devenir de nouvelles sources importantes de financement pour répondre aux besoins de développement et de financement de l'infrastructure économique des pays en développement dans le monde entier. DW: Quelles sont les principales différences entre ces nouvelles banques de développement et le rôle que la Chine joue-t-en eux? Le NDB a été établi par les BRICS, avec une vocation mondiale à prêter aux pays en développement. Le AIIB est axée sur l'Asie, avec les 21 membres fondateurs tous les pays d'Asie et un mandat de fournir un financement d'infrastructure pour les pays en développement d'Asie. Les deux banques vont avoir leur siège social en Chine. De toute évidence, Pékin jouera un rôle majeur dans les deux banques en tant que source essentielle de capital, mais la structure de prise de décision comprendra un conseil d'administration avec des représentants des autres pays en développement. Pourquoi la Chine contribue à créer toutes ces banques de développement? Bien que ces initiatives ont tous été lancés en 2014, les décisions reflètent le mécontentement croissant qui se développe depuis de nombreuses années entre les nations que la structure de gouvernance du FMI et de la Banque mondiale n'a pas évolué pour tenir compte du poids croissant des pays émergents dans le PIB mondial en développement. Ces nouvelles institutions, si elles sont appliquées avec succès, pourraient donner pays en développement une plus grande influence dans le financement du développement mondial. Ne pas l'Asie ont déjà une banque de développement, la BAD? Bien que la BAD ne avoir une représentation importante des pays en développement dans sa gouvernance, le bilan de la BAD est relativement modéré par rapport aux besoins de financement des infrastructures de l'Asie. Par conséquent, la nouvelle d'autres initiatives de financement et d'Asie AIIB aideront à stimuler financement total de développement pour l'Asie. Quel est le rôle de la Chine vise à jouer dans le financement du développement et pourquoi? La croissance rapide de la Chine a transformé en la deuxième économie du monde, mais sa capacité à jouer un rôle proportionnelle du financement du développement par le biais de la Banque mondiale a été limitée par les droits de vote faibles actuellement affectés à la Chine. Bien que la Chine a joué un rôle plus important dans le financement du développement international grâce à ses banques d'Etat chinoises, telles que la Banque de développement de Chine, il veut également augmenter sensiblement le rôle qu'elle joue dans le financement multilatéral de développement se écoule à travers la création de la NDB, AIIB et le Fonds Route de la Soie. Quelle est l'influence de la Chine serait sur le système financier en faisant cela? De nouvelles initiatives de financement du développement de la Chine ont le potentiel de remodeler considérablement l'architecture globale de financement du développement qui a été initialement créé en vertu du système de Bretton Woods établi en 1944. Cette structure est restée largement inchangée jusqu'à présent, et de nouvelles initiatives de la Chine ont le potentiel pour créer une révolution qui va transformer la forme de l'architecture globale de financement du développement. Où est l'argent chinois pour financer ces institutions issues? La Chine a accumulé des réserves de change de USD 3,9 trillions de dollars, de sorte que le capital qu'elle est prête à souscrire pour le NDB, AIIB et le Fonds Route de la Soie se élèverait à seulement environ cinq pour cent du total de ses réserves de change. En outre, étant donné que ces institutions seront accordant des prêts d'infrastructure plutôt que de subventions, le rendement du capital de ces investissements pourrait être considérablement plus élevé que les rendements actuels de la Chine devient de ses réserves de change, avec une grande part actuellement investi dans le gouvernement faible rendement US obligations. L'aide au développement vient habituellement avec des cordes attachées. Que pourraient-ils être dans le cas de la Chine? La structure de gouvernance de la NDB et AIIB sera beaucoup plus vaste que la Chine, puisque d'autres marchés émergents sont également membres de ces deux nouvelles banques de développement. Cependant, en tant que fournisseur important de capitaux pour les deux banques, il est probable que la Chine voudra avoir un rôle important dans la gouvernance des deux banques. Pékin voudra être considéré comme un membre inclusive des deux banques bien, car il ne voudra pas répéter les erreurs de la gouvernance du FMI et de la Banque mondiale qui est devenu perçue par les pays en développement comme trop dominé par les Etats-Unis et de l'UE. Néanmoins les deux banques devront mettre en structures de gestion rigoureuse place et les processus de prêt pour se assurer que leurs prêts d'infrastructure sont assujettis à la gestion des risques et d'autres contrôles de la qualité de prêt. Un élément clé des prêts sera pour le développement des infrastructures dans les marchés émergents. Le NDB aura une vocation mondiale, tandis que le AIIB se concentrera sur les pays en développement d'Asie. Quelles sont les raisons de mécontentement de la Chine avec des institutions telles que le FMI ou la Banque mondiale? Le statu quo en termes de la répartition actuelle des droits de vote reste déformée, notamment pour la Chine parmi les nations BRICS. La Chine, deuxième économie du monde, a 3,81 pour cent des droits de vote au sein du FMI, mais il représente 12,4 pour cent du PIB mondial. Alors que la Chine continue de représenter une part plus importante de l'économie mondiale, cette disparité continuera de se creuser. En 2024, IHS prévoit que la Chine compte pour environ 20 pour cent du PIB mondial, de sorte que si la part de la Chine de droits de vote augmente considérablement, il sera fortement sous-représentées dans la gouvernance et la prise de décision du FMI et de la Banque mondiale. Quelles sont les principales préoccupations au sujet de ces nouvelles institutions? Les institutions devront faire face à des obstacles considérables, y compris établir une gouvernance efficace et une structure de réglementation prudentielle de classe mondiale qui permettra d'éviter les pièges de la politisation manifeste de la nouvelle institution. Cependant, avec la conception correcte, la nouvelle Banque de développement BRICS et AIIB pourraient devenir de nouvelles sources importantes de financement pour répondre aux besoins de développement et de financement de l'infrastructure économique des pays en développement dans le monde entier. Seront ces nouvelles banques en concurrence avec le rôle de la Banque mondiale? La mise en place de ces institutions à peu près au même moment a le potentiel de générer de grandes nouvelles sources de financement du développement des projets d'infrastructure dans les pays en développement. Rien qu'en Asie, il a été estimé par la Banque asiatique de développement que 8000000000000 USD dans le financement des infrastructures seront nécessaires dans cette décennie. Une part importante de ce montant sera financé par le gouvernement national et le financement du secteur privé, mais cela laisse encore un grand déficit qui exige un financement international d'autres gouvernements, des institutions multilatérales comme la Banque mondiale ou l'investissement privé étranger. Les nouvelles institutions comme la NDB, AIIB et le Fonds Route de la Soie aideront à lever de nouveaux flux importants de financement du développement pour aider à répondre à ce besoin important de financement de l'infrastructure. Quel sera l'impact sur les investissements ? L'impact sur le financement du développement vers les pays en développement de ces initiatives pourrait être très importante. Le NDB aura capital autorisé initial de 100 milliards de dollars et parapher capital souscrit de 50 milliards de dollars et aussi un arrangement Réserve Contingent (ARC) avec un capital de 100 milliards de dollars. Le AIIB devra capital autorisé initial de 100 milliards de dollars, avec un capital souscrit probablement autour de 50 milliards de dollars. En outre, à la fois le NDB et AIIB seront catalyseurs pour d'autres sources de financement du gouvernement et du secteur privé pour les projets d'infrastructure. Tant le NDB et AIIB sont susceptibles de bénéficier d'avoir un bon accès au financement des banques d'État des pays du BRICS, notamment des banques publiques chinoises, ce qui donnerait une très grande source potentielle de financement pour le NDB.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
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| Posté le 20-03-2015 à 20:23:32
| Sur Ecofin Quatre pays européens rejoignent une banque de financement multilatéral créée par la Chine (Agence Ecofin) - Le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France et l’Italie viennent de rejoindre la liste des pays fondateurs de la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB), une banque de financement multilatéral créée par Pékin. L’acte de naissance de l’AIIB avait été signé en octobre dernier à Pékin par une vingtaine de pays, dont l’Inde, Singapour, le Kazakhstan, Pakistan, le Vietnam et le Qatar. Les financements qui seront accordés par cette banque de développement devraient notamment servir à développer des infrastructures dans toute la région, dont une ligne de chemin de fer colossale reliant Pékin à Bagdad. La nouvelle institution constitue un mouvement qui illustre avec éclat l’émergence de la Chine en tant que puissance de premier plan et le déclin corrélatif des Etats-Unis.Alors que le porte-parole de la diplomatie chinoise, Hong Lei, s’est sobrement contenté d’un message de «bienvenue» aux quatre pays du G7, le vice-ministre chinois des Finances, Shi Yaobin, s’est dit, sur un ton faussement naïf, prêt à accueillir les Etats-Unis au sein de l’AIIB. Mais dans les médias chinois, la fierté est beaucoup plus perceptible. Le Quotidien du Peuple ne fait pas de mystère sur le fait que Washington a tenté par tous les moyens de bloquer ce projet. L’agence officielle Xinhua juge les Etats-Unis «irascibles et cyniques» , mais aussi «isolés et hypocrites» . Le Global Times juge que «c’est, au plan symbolique, la victoire de  l’harmonie chinoise contre l’agressivité américaine» . L’attachement de Pékin à mettre en place un concurrent à la Banque mondiale reflète en effet sa frustration devant la domination des pays occidentaux sur la gouvernance des différents bailleurs de fonds multilatéraux, notamment le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale. Le mouvement lancé par Pékin pour casser le monopole de ces institutions sous domination occidentale est d’ailleurs manifeste depuis un an: au-delà des presque 50 milliards de dollars qu’elle va mobiliser pour l’AIIB, la Chine va allouer 40 milliards à un fonds pour la « nouvelle route de la soie », destiné à asseoir son influence dans les pays de son pourtour via des chantiers d’infrastructures. Il faut y ajouter 10 milliards au sein d’une nouvelle banque créée par les « BRICS » (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) et 41 milliards pour un fonds d’urgence lancé par les mêmes pays pour prévenir les risques de crise.
_____________ Sur Romandie Ralliement des Européens à la banque AIIB: la Chine applaudit un revers pour les Etats-Unis Pékin - Médias et officiels chinois saluaient mercredi comme une éclatante victoire la décision de plusieurs pays européens, dont la France, de rejoindre la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures (AIIB) initiée par Pékin, et raillaient l'opposition obstinée de Washington au projet. Bienvenue à l'Allemagne, bienvenue à la France et à l'Italie!, s'exclamait de façon emphatique un commentaire de l'agence officielle Chine nouvelle, intitulé: Mais qu'est-ce qu'attendent donc encore les Etats-Unis'. Emboîtant le pas au Royaume-Uni, Paris, Berlin et Rome ont annoncé de concert mardi leur intention de devenir des membres fondateurs potentiels de l'AIIB, dont l'objectif sera de financer des travaux d'infrastructures dans la région asiatique. Projet dévoilé par la Chine en octobre, cette nouvelle banque de développement --qui devrait être basée à Pékin et dotée d'un capital initial de 50 milliards de dollars-- est farouchement critiquée par Washington. Elle ferait en effet concurrence à la Banque mondiale, ainsi qu'à la Banque asiatique de développement (BAD) dominée par le Japon et les Etats-Unis, avivant les luttes de pouvoir dans le paysage déjà compliqué des institutions internationales de financement, sur fond de montée en puissance de l'influence chinoise en Asie. L'annonce des trois Etats européens mardi constitue une décision courageuse mais rationnelle, et adresse un message limpide à des Etats-Unis irascibles et cyniques, poursuivait l'agence Chine Nouvelle. Alors que Washington essayait de forger une alliance anti-AIIB parmi ses alliés, l'Amérique apparaît désormais isolée et hypocrite et se sentira de plus en plus seule, si elle s'obstine à rester à l'écart, insistait le média d'Etat. Le Global Times, journal organe du Parti communiste, évoquait pour sa part sans ambages une victoire proprement chinoise. La Chine a remporté la course sur le dossier de l'AIIB, y obtenant également des droits importants pour l'avenir, a-t-il estimé dans un éditorial. -'Obstruction contre-productive'- Sans surprise, le ministère chinois des Finances a accueilli la nouvelle avec enthousiasme, indiquant dans un communiqué que Pékin allait désormais consulter les autres pays (déjà engagés). Le trio France-Allemagne-Italie pourra officiellement intégrer le cercle des membres fondateurs potentiels de l'AIIB d'ici à deux semaines, si le processus d'approbation se déroule sans encombres, a-t-il précisé. La réaction a été plus glaciale de l'autre côté du Pacifique, où les Etats-Unis, sans critiquer ouvertement leurs alliés européens, ont rappelé leurs réticences à l'égard de l'AIIB. Le Secrétaire américain au Trésor Jacob Lew a ainsi fait part mardi de ses préoccupations quant aux standards de gouvernance de la future institution, notamment sur les droits des travailleurs, l'environnement ou la corruption. Les Européens, empêtrés dans une conjoncture économique morose, pourraient être en mesure de viser via l'AIIB de nouvelles opportunités d'investissements en Asie. Pour le Global Times, presque tous les pays y trouveront leur compte. Le China Daily renchérissait, en assurant que la nouvelle banque n'était pas un instrument de soft-power chinois. L'obstruction des Etats-Unis est contreproductive, Washington et Pékin n'ayant aucune raison de s'affronter sur ce sujet, avançait le quotidien d'Etat. Et d'ajouter, non sans ironie: Washington a appelé avec insistance Pékin à agir en puissance +responsable+. L'initiative de l'AIIB est notre dernière réponse en date à cet appel. C'est également sur le caractère inclusif et ouvert de l'institution qu'a insisté mercredi Hong Lei, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, affirmant lors d'un point-presse que la porte sera toujours ouverte. Dans ces conditions, peut-être les Etats-Unis eux mêmes vont-ils finir par se résoudre à rejoindre un jour l'AIIB, concluait justement le Global Times. Au rythme où se développe la Chine, cela n'a rien d'impossible. (©AFP / 18 mars 2015 10h44)
Edité le 20-03-2015 à 20:26:40 par Xuan
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
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| Posté le 20-03-2015 à 20:31:40
| La BAII a pour vocation de donner un nouvel élan au développement de l'Asie et du monde Publié le 2015-03-20 BEIJING, 20 mars (Xinhua) -- Suivant l'exemple du Royaume-Uni, l'Allemagne, la France et l'Italie ont décidé d'adhérer à la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures (BAII). Cette décision n'est pas surprenante si l'on examine les finalités de la BAII. En effet, la Chine a proposé la création de la BAII pour compléter les mécanismes de gouvernance internationale, renforcer la coopération et favoriser la promotion conjointe de la prospérité économique en Asie et dans le monde en général. L'économie asiatique a pris son essor et la demande considérable dans le domaine des infrastructures a fait de l'Asie un terrain fertile pour les investissements. L'Asie est donc devenue une destination d'investissements précieuse qu'aucun pays ne peut négliger. Duncan Freeman, chercheur à l'Institut bruxellois d'études sur la Chine contemporaine, a indiqué à la presse que quatre pays européens avaient décidé d'adhérer à la BAII "pour prendre part à une initiative économique majeure dans la région à la croissance la plus rapide du monde" . Dans sa première phase, la BAII se concentrera sur les projets d'infrastructure des pays asiatiques. Ultérieurement, la BAII envisagera également de créer un fonds fiduciaire pour fournir des prêts aux programmes qui ne sont pas garantis par des fonds souverains, d'introduire un modèle de partenariat public-privé (PPP) et de mobiliser des fonds souverains, des fonds de pension et le secteur privé pour investir davantage dans les infrastructures dans les pays asiatiques en développement. Daniel Gros, directeur du Centre pour les études politiques européennes, a également indiqué que ces quatre pays européens considèrent que l'influence régionale de la Chine peut fournir des "garanties" pour les investissements européens dans la région asiatique. La Chine et les autres pays de la BAII sont unis par leur désir de partager les bénéfices apportés par le développement à travers la coopération. D'un point de vue objectif, une banque régionale comme la BAII n'a pas la possibilité de défier la position dominante de la Banque mondiale et d'autres institutions financières régionales existantes en Asie. La BAII constitue un complément, et n'a pas pour objectif de remplacer ou de défier l'ordre de la gouvernance mondiale. Selon la Banque asiatique de développement (BAD), en 2020, le volume des investissements dans l'infrastructure en Asie pourrait atteindre 8000 milliards de dollars. Avec la capacité financière actuelle, même si la Banque mondiale, la BAD et la BAII renforcent leurs investissements, il demeurera difficile d'atteindre un tel chiffre. Il s'agit donc d'un secteur vaste dont aucun organisme ne peut s'occuper seul, et la coopération peut élargir la participation de chacun. Selon le ministre chinois des Finances, Lou Jiwei, la BAII est une banque commerciale normale qui ne doit pas devenir un "pion stratégique" entre les pays et ne doit donc pas être politisée. La BAII est un complément utile et dans une certaine mesure indispensable aux organismes de prêt internationaux tels que le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque asiatique de développement (BAD), dont l'efficacité et les capacités sont insuffisantes. Dans ce contexte, la fondation de la BAII pourrait les aider à faire face à la hausse de la demande et à créer une concurrence dont le système de prêt mondial a cruellement besoin. La BAII ne devrait pas être un théâtre de confrontation entre la Chine et les Etats-Unis. Les deux pays, qui s'efforcent de construire un nouveau modèle de relations entre grandes puissances, ont de grands intérêts et responsabilités en commun et devraient non pas considérer que le vainqueur remporte tout, mais plutôt s'appuyer sur un modèle gagnant-gagnant et s'efforcer d'élargir ensemble le "gâteau" du développement en Asie-Pacifique et de promouvoir la prospérité dans la région. Fred Bergsten, directeur émérite du Peterson Institute for International Economics basé à Washington, a écrit dans son article intitulé "Les Etats-Unis doivent adhérer à la BAII" que les Etats-Unis et la Chine devaient renforcer la coopération au sein de la BAII. Il a suggéré que les États-Unis devraient encourager la Banque mondiale et d'autres institutions multilatérales de prêt existantes à coopérer étroitement avec la BAII pour que cette dernière puisse jouer un rôle actif dans l'économie mondiale. Le gouvernement chinois a déclaré à maintes reprises que la BAII visait à fournir une plate-forme ouverte et que la Chine se félicite de l'adhésion d'autres pays à cette institution ouverte et inclusive qui peut contribuer au développement économique de l'Asie et du monde entier.
Edité le 20-03-2015 à 20:33:38 par Xuan
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 20-03-2015 à 21:25:55
| conséquence de la création de cette banque asiatique basées à Pékin,toute l Asie et l Europe vont s émanciper de la tutelle américaine-exceptés l Indonésie et le Japon,les pays comme la Suède,la Pologne,l Ukraine la Géorgie la Moldavie et les pays baltes-ces pays européens sont les héritiers géopolitiques du Troisième Reich et de l antisovietisme-
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 25-03-2015 à 23:08:39
| La Chine ne s'arroge aucun droit de veto, contrairement aux USA qui s'autorisent à bloquer les décisions importantes au sein du FMI avec moins de 20 % des droits de vote. La décision de plusieurs pays européens d'y adhérer pousse la Corée du Sud ou l’Australie à faire de même alors que ces pays avaient auparavant cédé aux pressions US.
Edité le 25-03-2015 à 23:26:50 par Xuan
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 26-03-2015 à 07:05:11
| et l Indonésie?ce qui est certain,c est que le Japon n integrera jamais la BAII.
Edité le 26-03-2015 à 07:06:19 par marquetalia
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 26-03-2015 à 07:17:13
| c est un ensemble de pays capitalistes qui s unissent via la BAII,pourquoi personne n intervient sur mon topic sur le parti communiste soudanais,qui n a pas accepté le "grand tournant" révisionniste et socialdémocrate?
Edité le 26-03-2015 à 07:19:07 par marquetalia
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 26-03-2015 à 09:26:51
| quoi qu il en soit,la région s émancipe de l impérialisme américano-japonais http://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/0204252468849-cette-nuit-en-asie-laustralie-rejoint-a-son-tour-la-banque-de-developpement-chinoise-1105251.php
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 26-03-2015 à 09:36:55
| le Japon,isolé par son refus de rejoindre la banque chinoise,va déclencher une agression impérialiste contre la République Populaire de Chine.
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| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 28-03-2015 à 00:30:50
| marquetalia a écrit :
le Japon,isolé par son refus de rejoindre la banque chinoise,va déclencher une agression impérialiste contre la République Populaire de Chine. |
Tu vas un peu vite non ? Le Japon adhère à la Banque asiatique de développement des USA. Effectivement il se trouve isolé. Rien ne l'empêche de changer d'avis, mais d'ici peu ce sera trop tard.
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 28-03-2015 à 09:24:40
| Xuan a écrit :
[citation=marquetalia]le Japon,isolé par son refus de rejoindre la banque chinoise,va déclencher une agression impérialiste contre la République Populaire de Chine. |
Tu vas un peu vite non ? Le Japon adhère à la Banque asiatique de développement des USA. Effectivement il se trouve isolé. Rien ne l'empêche de changer d'avis, mais d'ici peu ce sera trop tard.[/citation] effectivement,Xuan,tu avais raison,le Japon va peut etre rejoindre la BAII; http://www.japoninfos.com/le-japon-rejoindra-t-il-la-baii-chinoise-28032015.html
Edité le 28-03-2015 à 23:05:01 par marquetalia
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 28-03-2015 à 23:07:16
| apparement,Taiwan veut rejoindre la BAII http://spanish.peopledaily.com.cn/n/2015/0320/c31621-8865932.html
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 29-03-2015 à 13:35:10
| finalement,toute l Asie sera dans la BAII,exceptés le Bhoutan ,le Timor Oriental et la République Populaire Démocratique de Corée.
Edité le 29-03-2015 à 18:56:55 par marquetalia
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 06-04-2015 à 10:52:06
| la Chine Populaire va faire entrer le monde dans un "post-nouvel ordre mondial",où elle détronera les Etats Unis http://www.la-croix.com/Actualite/Economie-Entreprises/Economie/Les-Occidentaux-se-rallient-au-projet-chinois-de-banque-d-investissement-2015-03-29-1296703
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 06-04-2015 à 10:54:22
| les pays occidentaux ne s ingereront plus dans les affaires intérieures chinoises,en particulier au Tibet et en Mongolie Intérieure.
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 10-04-2015 à 20:48:14
| cela se confirme,Taiwan va rejoindre la BAII http://www.courrierinternational.com/article/finance-taiwan-veut-rejoindre-la-banque-chinoise-de-developpement
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 10-04-2015 à 20:48:53
| ce qui augure un retrait militaire u.s de Formose.
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 10-04-2015 à 21:03:28
| la Turquie va rejoindre la BAII http://french.xinhuanet.com/economie/2015-04/10/c_1 34141108.htm Malte et le Kighizistan http://french.peopledaily.com.cn/Economie/n/2015/0410/c31355-8876161.html l iran,les emirats arabes unis,la Norvège,l Allemagne,Suède,Russie,Finlande,l Egypte http://hebdo.ahram.org.eg/NewsContent/0/3/131/10027/L'Egypte-vise-une-place-à-la-BAII.aspx
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| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 11-04-2015 à 13:03:02
| tiens,j ai omis -ou vomi?-intentionnelement Israel;ce qui prouve que la BAII a des objectifs uniquement financiers;pourquoi Pékin va t elle cautionner le génocide des Palestiniens,les damnés de la Terre?en échange,les instructeurs israéliens formeront ils l armée chinoise à la contre-insurrection au Xinjiang?
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| Finimore | Grand classique (ou très bavard) | | 2655 messages postés |
| Posté le 12-04-2015 à 07:38:15
| marquetalia a écrit :
tiens,j ai omis -ou vomi?-intentionnelement Israel;ce qui prouve que la BAII a des objectifs uniquement financiers;pourquoi Pékin va t elle cautionner le génocide des Palestiniens,les damnés de la Terre?en échange,les instructeurs israéliens formeront ils l armée chinoise à la contre-insurrection au Xinjiang? |
Waouhhh !!!
-------------------- Ni révisionnisme, Ni gauchisme UNE SEULE VOIE:celle du MARXISME-LENINISME (François MARTY) Pratiquer le marxisme, non le révisionnisme; travailler à l'unité, non à la scission; faire preuve de franchise de droiture ne tramer ni intrigues ni complots (MAO) |
| Xuan | Grand classique (ou très bavard) | 18602 messages postés |
| Posté le 12-04-2015 à 22:29:25
| marquetalia a écrit :
tiens,j ai omis -ou vomi?-intentionnelement Israel;ce qui prouve que la BAII a des objectifs uniquement financiers;pourquoi Pékin va t elle cautionner le génocide des Palestiniens,les damnés de la Terre?en échange,les instructeurs israéliens formeront ils l armée chinoise à la contre-insurrection au Xinjiang? |
La Chine entretient des relations diplomatiques avec tous les pays qui reconnaissant la seule Chine Populaire. Ensuite elle ne s'ingère pas dans les affaires intérieures à ces pays. La Chine a reconnu la Palestine le 20 novembre 1988. Ceci fait partie des relations d'Etat à Etat dans le cadre de la coexistence pacifique et n'implique aucune caution. Je te rappelle que ce sont les pays occidentaux qui s'ingèrent dans les affaires intérieures des autres pays en condamnant leur gouvernance. La BAII a pour objectif le financement des investissements dans les pays d'Asie. Ce projet s'oppose au FMI dans la mesure où les USA y imposent leurs conditions. Les chinois ont proposé aux USA eux-mêmes d'investir dans la BAII en se pliant aux règles communes. L'objectif de la Chine n'est pas d'exclure les USA mais de combattre l'hégémonisme.
-------------------- contrairement à une opinion répandue, le soleil brille aussi la nuit |
| marquetalia | Grand classique (ou très bavard) | 11003 messages postés |
| Posté le 13-04-2015 à 17:37:10
| La Chine entretient des relations diplomatiques avec tous les pays qui reconnaissant la seule Chine Populaire. Ensuite elle ne s'ingère pas dans les affaires intérieures à ces pays. La Chine a reconnu la Palestine le 20 novembre 1988. Ceci fait partie des relations d'Etat à Etat dans le cadre de la coexistence pacifique et n'implique aucune caution. Je te rappelle que ce sont les pays occidentaux qui s'ingèrent dans les affaires intérieures des autres pays en condamnant leur gouvernance. La BAII a pour objectif le financement des investissements dans les pays d'Asie. Ce projet s'oppose au FMI dans la mesure où les USA y imposent leurs conditions. Les chinois ont proposé aux USA eux-mêmes d'investir dans la BAII en se pliant aux règles communes. L'objectif de la Chine n'est pas d'exclure les USA mais de combattre l'hégémonisme. collaborer avec les USA et et Israel n a rien de communiste!de plus,le jour où Pékin aura supplanté Washington,les iniquités comme le sort tragique de peuples opprimés tels les Mayas d Amérique Centrale,des Mapuches ou des Palestiniens et des Sahraouis continuera,le capitalisme,société d exploitation de l homme par l homme,n ayant pas ete annihilé,mais juste sinisé;plus subtile sera le monde dirigé par les capitalistes chinois,puisque les communistes sont toujours officiellement au pouvoir en Chine,alors que le PCC est à l Internationale Communiste avec les partis communistes du monde entier,à commencer par le KPRF en Russie,et les pc devront renoncer à la présence du PCC à leurs cotés si elle ne veut pas faire dans la collaboration de classe et avaliser le mode de production capitaliste.si tel est le cas,les communistes iront grossir les rangs des anarcho-syndicalistes ou des trotskystes.
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