Sujet : ROCML | | Posté le 23-10-2010 à 16:28:48
| DECLARATION DU ROCML ET DE LA JCML 23 octobre 2010 Engagé dès avant l’été, le mouvement de refus de la réforme des retraites montre une mobilisation qui ne faiblit pas. Les manifestations rassemblent des centaines de milliers voire des millions de personnes. L’entrée de la jeunesse dans le mouvement, la mise en œuvre de formes de lutte plus radicales comme les blocages de raffineries de pétrole ou de moyens de transport (rail, transports routiers, aviation civile, bus, métro) constituent un renforcement du mouvement. Pourtant, malgré la mobilisation, après les journées d’action et les manifestations des mois de septembre et octobre, un constat s’impose : le rapport des forces reste figé. Le pouvoir politique du capital méprise la volonté du peuple et reste décidé à faire passer la réforme. Il utilise pour cela le discours de la « légalité républicaine », et à présent la provocation et la violence policières. De leur côté les états-majors syndicaux et les partis politiques de gauche semblent manquer d’imagination et ne proposent rien centralement qui rende possible de faire basculer le rapport des forces en faveur des travailleurs. Pourquoi ? La vérité c’est que ce n’est pas l’imagination qui leur manque, mais la volonté d’affronter le pouvoir avec le mot d’ordre de retrait total du projet de réforme. Les chefs réformistes qui dirigent les syndicats et les partis de gauche n’ont pas ce but. Ils suivent un autre scénario centré sur les élections présidentielles et parlementaires de 2012 avec un gouvernement de gauche (c’est-à-dire socialiste) à la clé. Dans cette optique, il leur suffit d’affaiblir politiquement Sarkozy et ses ministres en accompagnant (voire dans certaines circonstances en l’alimentant) le mécontentement populaire, tout en le maintenant dans les clous de la « légalité républicaine », pour que le jour venu des élections les travailleurs n’aient d’autre moyen d’exprimer leur ras-le-bol qu’en votant pour les partis de gauche avec au final un(e) président(e) et un gouvernement socialiste. Si ce scénario réussissait, que deviendrait alors le système des retraites imposé par la droite en 2010 ? Les travailleurs ne doivent pas se faire d’illusions. Les chefs socialistes ne s’en sont jamais cachés : ils sont tous d’accord qu’il faudra travailler ou cotiser plus longtemps pour avoir une retraite à taux plein. Et s’ils gagnent en 2012, ils n’abrogeront pas la réforme. Au mieux ils y apporteront quelques retouches. La Confédération Européenne des Syndicats ( CES ) à laquelle appartiennent la CFDT et la CGT est aussi d’accord là-dessus. C’est pour ces raisons qu’un consensus de collaboration de classes s’est fait entre les syndicats et les partis de gauche pour ne pas exiger le retrait pur et simple du projet de réforme des retraites et pour ne pas mettre en œuvre les moyens pour atteindre ce but. C’est aussi pourquoi Sarkozy et son gouvernement peuvent se permettre de rester imperturbables dans leur refus de céder face à la mobilisation. Parviendront-ils à leurs fins ? La réponse est dans la mobilisation et l'organisation des travailleurs pour faire face à un état qui n'hésite pas à utiliser la force et la provocation pour défendre les intérêts du capital. Il faut faire bouger le rapport des forces pour qu’il soit en faveur des travailleurs. Dans ce but, le ROCML et la JCML appellent leurs militants, leurs sympathisants, les révolutionnaires et les syndicalistes de combat à consolider, élargir et durcir le mouvement en agissant dans leurs sections syndicales d’entreprise, les Unions Locales et Départementales, les Assemblées Générales et dans toutes autres associations populaires et à prendre les mesures nécessaires pour s'opposer à la violence policière et soutenir les victimes de la répression. POUR LE RETRAIT TOTAL DE LA REFORME LUTTONS CLASSE CONTRE CLASSE ! UNITE A LA BASE ET DANS L’ACTION ! HORS DU POUVOIR LES ENNEMIS DU PEUPLE ! C’EST LA CLASSE OUVRIERE QUI DOIT DIRIGER LA SOCIETE ! adresse électronique : ROC.ML@laposte.net - site www.ROCML.0rg.fr ** ( 0rg avec un zéro) adresse postale : AKM BP 59 64340 BOUCAU blog de la JCML : http://Jecomale.free.fr adresse électronique JCML : jcml.nationale@yahoo.fr |
| | Posté le 24-10-2010 à 21:38:01
| LA REFORME DES RETRAITES EST A REJETER EN BLOC ! CONSTRUISONS LE RAPPORT DE FORCES POUR FAIRE CEDER LE POUVOIR Les travailleurs savent que la retraite ce n’est pas seulement obtenir un « repos bien mérité ». C’est aussi et surtout échapper aux rapports d’exploitation et d’oppression capitalistes directs vécus à l’usine, sur les chantiers ou sur les autres lieux de travail. Plus le temps de travail fourni par le travailleur est long, plus la masse de profit réalisée par le capitaliste est grande. On voit où sont les intérêts de l’un et de l’autre, et pourquoi ces intérêts sont opposés ! La lutte pour abaisser l’âge du départ à la retraite est donc une lutte fondamentale de la classe ouvrière contre l’exploitation, et cette lutte de classe s’attaque directement au profit capitaliste. On comprend pourquoi la bourgeoisie remet en cause les acquis antérieurs obtenus dans ce domaine par les luttes ouvrières syndicales et politiques. Les progrès technologiques permettraient, si la classe ouvrière détenait le pouvoir sur la société, de diminuer le temps de travail nécessaire - au cours du dernier quart de siècle la productivité a triplé, "Si on décidait, dorénavant, de consacrer les gains de productivité à la diminution des horaires de travail, il serait possible, dans les prochaines années, de gagner 2 heures tous les ans dans la durée de la semaine de travail". Si l'on compare cette perspective à celle que nous prépare la bourgeoisie - nous faire travailler plus pour sauver le capitalisme, on comprend l'urgence qu'il y a à l'abattre pour édifier une société socialiste. Voilà pourquoi il ne saurait être question de négocier pour aménager cette réforme. Le rejet en bloc de la réforme c'est l'objectif que nous devons viser en construisant un rapport de force capable de faire reculer le patronat et le pouvoir politique. Il apparait plus clairement à un nombre croissant de travailleurs que les journées d'action organisées par les centrales syndicales ne feront par reculer le pouvoir et qu'on ne peut pas faire confiance à la gauche pour qu'elle annule cette réforme après son hypothétique retour au pouvoir en 2012 - Ils préconisent des formes plus radicales comme la grève générale et grève reconductible. Communistes, nous soutenons toutes les initiatives visant à créer un rapport de force favorable aux travailleurs pour faire céder le gouvernement et affaiblir le pouvoir bourgeois. Dans la situation actuelle, ce que craint et veut éviter le capital c'est un arrêt durable de la production, des transports, de la machine économique. C'est la classe ouvrière, les travailleurs qui collectivement possèdent ce grand pouvoir. Organisons nous pour l'exercer! Sur notre lieu de travail, dans les lycées, les facultés , dans les sections syndicales, donnons la parole aux travailleurs et futurs travailleurs! unissons , à la base et dans l'action tous les travailleurs d'origine française ou immigrés sur des revendications communes en organisant des assemblées générales, en coordonnant notre action au niveau local et national en ne laissant pas le pouvoir de décision aux centrales syndicales qui sont prêtes à arrêter le mouvement pour quelques "aménagements" de la réforme . Car en effet l'inefficacité des luttes ouvrières qui dure maintenant depuis trop longtemps n'est pas simplement une question de l'abandon de moyens de lutte plus radicaux par les centrales syndicales mais la conséquence de l'abandon par les syndicats et les partis ouvriers d’une stratégie et d’une pratique visant à combattre pour renverser, l’ordre économique et politique capitaliste. Le PCF et l’appareil de la CGT, qui furent longtemps les organisateurs et les dirigeants de la lutte de classe ont abandonné leur mission révolutionnaire de conduire la classe ouvrière vers la conquête et l’exercice du pouvoir sur toute la société et se sont rangés dans la mouvance réformiste de la gauche social-démocrate. Le résultat, c’est que leurs buts ont changé, de même que leurs méthodes. Il ne s’agit plus de détruire le système capitaliste, mais d’en atténuer les effets. Du coup, la lutte frontale classe contre classe contre le patronat et le gouvernement a cédé la place aux négociations. Les méthodes de lutte combatives ne sont plus soutenues par la direction de la CGT qui leur préfère les formes plus "civilisées" censées peser sur les négociations à venir. Le prolétariat, la classe ouvrière et la jeunesse populaire ont besoin d’une autre direction politique et syndicale, ils ont besoin d’un véritable parti communiste révolutionnaire et d’un syndicat de classe anticapitaliste. Telles sont les conditions des victoires futures, sans lesquelles le mouvement ouvrier et populaire restera manipulé et dévoyé dans l’impuissance. Rejoignez les militants du ROCML et la Jeunesse Communiste Marxiste Léniniste qui travaillent à organiser les travailleurs et les futurs prolétaires dans le but de construire ce parti et de faire triompher dans les syndicats une ligne et des formes de lutte classe contre classe. AVEC LES COMMUNISTES FAITES ENTENDRE CES MOTS D’ORDRE LUTTE CLASSE CONTRE CLASSE ! UNITE DES TRAVAILLEURS A LA BASE ET DANS L'ACTION! HORS DU POUVOIR LES ENNEMIS DU PEUPLE ! C’EST LA CLASSE OUVRIERE QUI DOIT DIRIGER LA SOCIETE ! CONTRE LA MISERE ET LA DICTATURE DU CAPITAL , REVOLUTION ET SOCIALISME ROCML - OCTOBRE 2010 adresse électronique : ROC.ML@laposte.net - site www.ROCML.0rg.fr ** ( 0rg avec un zéro) adresse postale : AKM BP 59 64340 BOUCAU blog de la JCML : http://Jecomale.free.fr adresse électronique JCML : jcml.nationale@yahoo.f |
| | Posté le 25-10-2010 à 02:19:41
| Voir le sujet le 19 octobre à Pau dans adctualités françaises |
| | Posté le 25-10-2010 à 15:47:31
| Je repose pour la énième fois ma question, je désespère pas d'avoir un jour une réponse... Pourquoi: - les états-majors syndicaux et les partis politiques de gauche? - Le PCF et l’appareil de la CGT Et autre question: Le PCF et l’appareil de la CGT, qui furent longtemps les organisateurs et les dirigeants de la lutte de classe ont abandonné leur mission révolutionnaire de conduire la classe ouvrière vers la conquête et l’exercice du pouvoir sur toute la société et se sont rangés dans la mouvance réformiste de la gauche social-démocrate. Depuis quand? |
| | Posté le 25-10-2010 à 22:46:52
| CMC a écrit :
C’EST LA CLASSE OUVRIERE QUI DOIT DIRIGER LA SOCIETE ! |
Nous serons d'accord sur au moins une chose, essentielle, mais qui vous éloigne du pouvoir ... Si vous êtes un communiste honnête, ca ne vous causera pas trop de chagrin. Je suis curieux de votre réponse au camarade OPPONG. |
| | Posté le 26-10-2010 à 01:43:30
| Je voulais ajouter, juste pour l'histoire, qu'il fut un temps (que les moins de vingt ans auront connu trop jeune ...) que la revendication du pouvoir aux ouvriers vous faisait hurler à l'ouvriérisme et au gauchisme et que cela vous faisait envoyer au peloton bien de vos "camarades". Évidement, à cette époque (quand même pas si lointaine mais l'histoire s'accélère) il fallait du courage politique étant donné la domination médiatique et idéologique de la sociale démocratie qui limitait les références à la classe ouvrière et interdisait tout discours portant sur ses intérêts ... Les confédérations syndicales esquivaient les mots qui fâchent ; capitalisme, classe ouvrière ... Sans parler des économistes officiels etc. Le forum lui-même porte encore des traces de polémiques ardues où le prolétariat fut l'objet de tout les fantasmes petit bourgeois propre à une importante nation impérialiste comme la nôtre (blaqui ayant remis les couverts récemment). Mais la donne a changé et vous avez du mettre de l'eau dans votre vin. Vous êtes entré en direction collégiale (ce qui laisse quelques espoirs dans votre organisation). Avec les grandes grèves ouvrières de ces quatre dernières années, la france "moyenne" à retrouver sa classe ouvrière qu'elle croyait perdu sur le bord d'une autoroute quelque part en Asie. Et presque tous les communistes issus de la petite bourgeoisie salariale ayant totalement déserté le militantisme auprès de la classe ouvrière depuis 20 ans se retrouvent honteux de la redécouvrir et cours maintenant devant elle en lui proposant sucettes et bonbêques. C'est qu'il faut se presser, y'a du monde aux boutiques ... Mélanchon clame sur tout les plateaux qu'il parle pour "l'ouvrier et les sans grades" et propose une vieille tambouille révisionniste pur cru comme le PCF ne sait même plus en cuisiner. Le NPA est lui aussi parti à la chasse aux leaders ouvriers. Mais je vous connais CMC et je doute que ce rosé vous satisfasse pleinement. Votre dogmatisme envériste est un piètre lient pour la classe ouvrière en action et vous ne l'éduquerait pas des vieilles querelles envéro-maoiste. Un des ouvriers communistes nous a rapporté un exemple de fraternisation entre ouvriers syndiqué CNT et ML devant un commissariat. Vous voyez, c'est ça la classe ouvrière, dans l'adversité, les étiquettes tombent comme feuillent en automne. Je garde en mémoire, qu'effectivement, il fut un moment où face à l'adversité les étiquettes sont tombées et lorsque qu'elles n'étaient plus, il ne restait que des communistes ... ou pas. |
| | Posté le 26-10-2010 à 13:11:22
| TRACT ROCML - JCML SOUTENIR LES INITIATIVES LOCALES OU LES ISOLER POUR LES LAISSER POURRIR ? Une chose est devenue claire : ce qui gêne le patronat et le pouvoir politique, ce ne sont pas les défilés-promenades à répétition, ce sont les initiatives des travailleurs, sur leurs lieux de travail pour bloquer la production et les transports. Ces actions s’attaquent en effet là où ça fait mal au capital : à ses profits. Des syndicats ouvriers dignes de ce nom devraient impulser, organiser, multiplier ces luttes et développer le soutien et la solidarité populaire autour d’elles. Or, à un moment crucial du mouvement de lutte pour le retrait de la réforme des retraites, à un moment où les travailleurs et les militants syndicaux de base entreprennent des actions décisives qui doivent rassembler l’ensemble de notre peuple, les dirigeants de confédérations syndicales se préparent à les abandonner, à les trahir ouvertement dans la pratique. Voilà leurs visées révélées par la confédération CFDT dans son bulletin INFOS RAPIDES N°51 du 22 octobre 2010 destiné au Bureau National, aux fédérations, URI, UD, Secrétaires confédéraux. On notera que ce document confidentiel est réservé aux cadres, mais n’est pas destiné aux adhérents de cette confédération syndicale : Nous reproduisons ce texte dans son intégralité car il nous renseigne aussi sur les positions des autres confédérations syndicales: « L’intersyndicale du 21 octobre a décidé des mobilisations du jeudi 28 octobre et du samedi 6 novembre. FO et Solidaires ne sont pas signataires du communiqué intersyndical. FO reste sur sa ligne : grève et retrait de la loi. Solidaires ne veut pas être signataire d’un texte qui affirme, en particulier, que « les mobilisations syndicales unitaires » doivent « respecter les biens et les personnes ». Le communiqué intersyndical (ci-dessous) est un point d’appui important dans la conduite des intersyndicales à tous les niveaux. Les non signataires, s’ils peuvent se raccrocher aux mobilisations du 28 octobre et du 6 novembre, ne peuvent pas en être des organisateurs. En ce qui concerne les initiatives locales diverses, contrairement à ce que voulaient Solidaires et la FSU, le communiqué ne soutient pas les « innombrables initiatives locales ». Le précédent communiqué intersyndical qui insistait sur le respect de la démocratie dans les décisions d’action (ce qui conduit en particulier aux votes à bulletin secret dans les AG) et celui du 21 qui met l’accent sur le respect des biens et des personnes doivent permettre d’encadrer les initiatives en évitant radicalité et débordements. Ils sont, le cas échéant, des supports pour expliquer pourquoi on n’y est pas. Les actions décidées le sont dans la perspective de la promulgation de la loi. Cela sous-entend, comme le dit la CFDT, qu’après cette promulgation, l’intersyndicale devra bien reconnaître que nous serons dans une autre configuration puisque nous ne voulons ni aller sur la contestation de la légitimité parlementaire, ni sur l’affrontement avec la présidence de la République. Enfin, le communiqué fait référence aux problèmes d’emploi, de salaires, de conditions de travail, d’avenir des jeunes qui sont aussi des motivations des salariés dans les mobilisations actuelles, mais en renvoyant à une prise en charge décalée par rapport au conflit des retraites pour éviter tout amalgame ou toute action globalisante. UNSA, CFTC, comme la CFDT reconnaissent que les mobilisations du 19 octobre marquent une baisse de la participation des salariés. Solidaires et FSU ont de plus en plus de mal à justifier leur stratégie de grèves reconductibles qui est en échec. » Dans cette logique, le communiqué appelant aux journées du jeudi 28 octobre et du samedi 6 novembre, signé par la CFDT, CFE/CGE,CFTC, CGT, FSU et UNSA, ne fait aucune référence aux luttes sur le terrain, les seules qui sont efficaces, et à la nécessaire solidarité ouvrière et populaire pour les soutenir. En même temps, ils ne proposent d'autre perspectives que la négociation et un hypothétique référendum , préparant ainsi insidieusement la fin du mouvement. Contrairement aux directions syndicales fourbes qui mènent le mouvement à l’échec, les travailleurs mettent en œuvre des modes d’action et d’organisation pour battre le patronat et son pouvoir politique. Le ROCML et la JCML appellent les syndicalistes de lutte de classe à mettre en échec les directives de leurs dirigeants confédéraux et à ne compter d’abord que sur leur unité à la base et dans l’action. Ils appellent les travailleurs à ne faire aucune confiance aux partis de gauche qui par leurs mensonges et leur démagogie vont essayer de ramasser leurs votes en 2012. Nos adhérents et sympathisants continueront à tout faire pour renforcer le mouvement de lutte pour le retrait de la réforme des retraites, pour éclairer sa nature de classe, et pour ouvrir la perspective d’une autre société, le socialisme. AVEC LES COMMUNISTES FAITES ENTENDRE CES MOTS D’ORDRE LUTTE CLASSE CONTRE CLASSE ! UNITE DES TRAVAILLEURS A LA BASE ET DANS L'ACTION! HORS DU POUVOIR LES ENNEMIS DU PEUPLE ! C’EST LA CLASSE OUVRIERE QUI DOIT DIRIGER LA SOCIETE ! CONTRE LA MISERE ET LA DICTATURE DU CAPITAL , REVOLUTION ET SOCIALISME ROCML - JCML le 28 octobre 2010 adresse électronique : ROC.ML@laposte.net - site www.ROCML.0rg.fr ** ( 0rg avec un zéro) adresse postale : AKM BP 59 64340 BOUCAU blog de la JCML : http://Jecomale.free.fr adresse électronique JCML : jcml.nationale@yahoo.fr |
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