Sujet :

pas de problèmes.

1917
   Posté le 07-11-2006 à 09:05:57   

Lol.

Non à l'immobilisme.
Vous ne proposez pas d'alternative sérieuse.
Une manière de ne pas se mouiller en sommes et d'attendre que le système pourrisse.
Stratégie employée aussi par certains gars de la LCR.

Restez bien au chaud entre vous sur ce forum virtuel.

Message édité le 07-11-2006 à 09:07:57 par 1917
1917
   Posté le 07-11-2006 à 09:06:44   

.
Finimore
   Posté le 07-11-2006 à 14:58:46   

1917 a écrit :

Lol.

Non à l'immobilisme.


Tout ce qui bouge n'est pas rouge ! (Mao)

1917 a écrit :

Vous ne proposez pas d'alternative sérieuse.


La seule alternative sérieuse au capitalisme c'est le socialisme, garantie par la dictature du prolétariat, le reste n'est que du réformiste.

1917 a écrit :

Une manière de ne pas se mouiller en sommes et d'attendre que le système pourrisse.


Se mouiller avec les réformistes de tous poils et cautionner les futurs politiques anti-ouvrières du futur gouvernement de la future gauche plurielle-unie, très peu pour nous !!!

1917 a écrit :

Stratégie employée aussi par certains gars de la LCR.


Ce discours est bien celui mis en avant par le P"C"F pour discréditer tous ceux qui ne rentre pas dans le rang du vote PS au second tour !

1917 a écrit :

Restez bien au chaud entre vous sur ce forum virtuel.


C'est ça, c'est ça ! mais comme dit le proverbre "mieux vaut être seul que mal accompagné !"
1917
   Posté le 07-11-2006 à 18:02:56   

La seule alternative sérieuse au capitalisme c'est le socialisme, garantie par la dictature du prolétariat, le reste n'est que du réformiste.
--------->

On est bien d'accord. Pour le reste, il me semble que trop de rigidité affaiblissent les mouvements spontanés.
Xuan
   Posté le 08-11-2006 à 00:00:43   

Nous avons fait dans le passé l’expérience des sociaux-démocrates. L’histoire du mouvement communiste en France nous l’apprend.
Ceux qui l’ignoraient ou qui voulaient le voir pour le croire ont pu refaire cette triste expérience en 81 et le peuple de notre pays a sanctionné la mystification "socialiste" en débarquant Jospin.
Encore une fois les révisionnistes et leurs satellites essaient de remettre en selle les socialistes en prétextant le « vote utile » et le « barrage à la droite ».
Les marxistes-léninistes ne doivent pas entonner le chœur de ces escrocs, ils doivent s’appuyer sur les ouvriers les plus conscients pour écarter les masses de ces illusions meurtrières, qui ont déjà eu pour effet de favoriser la désyndicalisation et la division, de bloquer les salaires vingt ans durant, de développer la précarité et de laisser la porte grande ouverte à toutes les offensives du capital.

Malgré la faiblesse de nos forces, j’observe que notre point de vue sur les réformistes est repris autour de nous, qu'il a gagné du terrain et que la situation n’est plus la même qu’à l’époque de feu l’Union de la Gauche où tous ceux qui critiquaient le Programme Commun étaient désignés comme des hérétiques, des "giscardiens" et des diviseurs.

J’irai plus loin : soutenir la gauche parlementaire aujourd’hui c’est refuser de prendre nos responsabilités en face des ouvriers les plus éclairés, c’est leur ôter tout espoir, et finalement c’est faire le lit du fascisme.

Xuan
   Posté le 08-11-2006 à 00:19:38   

Deux mots au sujet du lit du fascisme :
L'influence de Le Pen ou de Sarkozy parmi les travailleurs n'est pas étrangère à l'entreprise de démolition engagée par le révisionnisme moderne contre le parti des ouvriers et contre le communisme.

Pendant de longues années le P"C"F s'est tu face au racisme ou bien l'a pratiqué lui-même.
Aujourd'hui il propage le chauvinisme de grande puissance comme seul recours face aux délocalisations et réclame davantage de moyens policiers dans les banlieues.
L'impasse de l'électoralisme a frayé la voie au poujadisme et à la démagogie sécuritaire voire fasciste.
ludo90290
   Posté le 08-11-2006 à 01:17:42   

1917 a écrit :

Lol.

Non à l'immobilisme.
Vous ne proposez pas d'alternative sérieuse.
Une manière de ne pas se mouiller en sommes et d'attendre que le système pourrisse.
Stratégie employée aussi par certains gars de la LCR.

Restez bien au chaud entre vous sur ce forum virtuel.


Bon rare que je m'insurge, envers un camarade, en fin si on peut appeler comme cela aujourd'hui!

Tu es vraiment mal placer pour dir cela, car opter pour le vote PS en deuxième tour, franchement soit faut être inconscient ou alors dextrement maso, le passer qui à durer 20 années a peut pré, de dominance PS, n'a pas servi de leçons, au naïf, c'est t'a dire ruine et perte d'acquis au fil des ans pour les ouvrier, bravos 1917 je te croyez plus intelligent en objectivité!

Comme on dit: Chacun voie midi à sa porte!

Ne voie pas d'agressivité ou autres dans mes propos, juste déçus de té position PCF/PS!

Amicalement.
Ludo90290.

Message édité le 08-11-2006 à 01:23:09 par ludo90290
sti
   Posté le 08-11-2006 à 01:34:13   

Xuan a écrit :



Pendant de longues années le P"C"F s'est tu face au racisme ou bien l'a pratiqué lui-même.
Aujourd'hui il propage le chauvinisme de grande puissance comme seul recours face aux délocalisations et réclame davantage de moyens policiers dans les banlieues.
L'impasse de l'électoralisme a frayé la voie au poujadisme et à la démagogie sécuritaire voire fasciste.


Je pense aussi qu'il faut y prendre garde. Quand la bourgeoisie commence à perdre le contrôle de son "autorité" par défiance de ses institutions "démocratiques", on sait qu'elle fait appel à la réaction puis au fascisme si cela ne suffit pas.
On peut même dire, je pense, qu'en présence d'un authentique PC, influent dans les masses, elle y fera appel plus vite encore ...

Je crois qu'il faut rappeler que si la reaction parvient au sommet de l'état par les urnes ( comme sarkosy pourrait y parvenir), le fascisme vient toujours par voie de force (comme nous d'ailleur).
Alors au lieu de supputer comme certaines franges (et nombreuse en france) de la petite bourgeoisie sur " qui du moins pire ou du plus mieu ", hatons l'organisation du parti pour une véritable alternative.

Ces présidentielle auront au moins le mérite de nous bouger plus qu'à l'habitude.