Sujet :

naissance de la CEALC à Mexico

Xuan
   Posté le 04-12-2011 à 14:56:14   

La presse chinoise signale :



Publié le 2011-12-04 sur News.Cn



Par Maja Wallengren
MEXICO, 4 décembre (Xinhua) -- Les dirigeants de 33 pays d'Amérique latine et des Caraïbes ont formé un nouveau bloc régional samedi à Mexico, capitale du Mexique, afin de placer la région comme un acteur majeur sur la scène mondiale.

La Communauté des Etats d'Amérique latine et des Caraïbes (CEALC) nouvellement créée est un bloc régional politiquement diversifié dont les aspirations nationales sont variées. Ainsi son importance historique ne peut être ignorée, ont déclaré les analystes politiques.

"La création de la CEALC fait partie du changement global et continental, caractérisé par la baisse de l'hégémonie américaine et la levée d'un groupe des blocs régionaux qui former une partie du nouveau équilibre global" , a écrit l'analyste mexicain Raul Zibechi dans sa colone sur La Jornada daily.
Le président vénézuélien Hugo Chavez a déclaré qu'il souhaitait voir une Amérique latine plus forte, plus unie et non-dépendante de l'influence américaine, un point de vu partagé par plusieurs pays membres de la CEALC dont la Bolivie, l'Equateur et le Nicaragua.

La formation de CEALC a été saluée à travers toute la région.

"Avec l'avènement de CEALC, nous avons créé un mécanisme que n'avons pas été capable de faire durant nos 200 ans d'indépendance" , a souligné le président mexicain Felipe Calderon.
Le dirigeant cubain Raul Castro a décrit la création de la CEALC comme "une façon d'être indépendant" .
Les dirigeants de l'Amérique latine souhaitent établir un forum similaire à celui de l'Organisation des Etats Américains (OEA) mais ne veulent pas d'influence politique de la politique étrangère américaine.
"Les principales questions en Amérique latine et aux Caraïbes seront traitées par ce nouveau bloc régional et l'OEA perdra sa direction légèrement exercée qu'elle possède encore" , a écrit le journal bolivien La Razon avec une caricature d'un navire en perdition nommé OEA.
Selon la "Déclaration de Caracas" , un document important signé au sommet qui a permit la création de ce nouveau bloc régional, la CEALC jouera le rôle d'un "porte-parole régional" aux négociations ministérielles lors de forums internationaux majeurs.
Aucune d'indication n'a été spécifié dans la déclaration pour savoir si la CEALC chercherait à remplacer l'OEA, qui a accueilli le nouveau bloc comme "un nouveau mécanisme pour la coordination et l'accord politique dans la région" . Et le secrétaire général de l'OEA Jose Miguel Insulza a déclaré que la CEALC va certainement "enrichir les discussions" en Amérique du nord et en Amérique du Sud.
Pourtant, les analystes continueront à discuter du futur rôle du nouveau bloc.
Selon ces derniers, quelques pays de la CEALC souhaitent remplacer l'OEA, ainsi, les Etats-Unis seraient exclus de toute tentative d'ingérence dans les affaires de l'Amérique latine.

"Les Etats-Unis devraient considérer ce mouvement comme un avertissement que sa négligence des besoins de développement de l'Amérique latine et des Caraïbes n'est pas dans son intérêt" , a dit un analyste, ajoutant que Washington doit considérer les pays d'Amérique latine et des Caraïbes comme "des vrais partenaires et voisins".
zorba
   Posté le 04-12-2011 à 17:25:20   

Espoir fragile, quand on sait que les Etats-Unis soutenus par les églises, protestantes, catholique et juive sèment la mort et continuent de piller ces pays au nom de l'anticommunisme et de la lutte contre le terrorisme.
Avec l'aide des bandits fortunés du commerce la drogue de des trafics d'organes et le silence complice des dictateurs des pays concernés, Cuba excepte pour le moment.
Xuan
   Posté le 05-12-2011 à 19:56:08   

Le blog Solidarité Internationale PCF * publie :

Le PC Vénézuelien salue la fondation de la CELAC, nouvelle organisation régionale promue par le président Chavez mais prévient que « seule la lutte des peuples sera déterminante »


Le Parti communiste vénézuelien salue la réalisation du sommet de la CELAC


Traduction JC pour http://solidarite-internationale-pcf.overPM-blog.net/

Le Parti communiste du Vénézuela (PCV) a salué la réalisation du Sommet de la Communauté des États d'Amérique latine et des Caraïbes (CELAC) qui fonde une nouvelle organisation continentale sans participation des États-Unis et du Canada, ce qui permet d'avancer vers une plus grande intégration de nos pays, mais prévient que tous les gouvernements représentés n’œuvreront pas dans le sens de l'intégration et de la souveraineté continentale au vu de leur intégration au système hégémonique impérialiste.

« Nous considérons qu'il s'agit d'un fait hautement positif qui s'inscrit dans le processus de quête d'intégration des pays d'Amérique latine et des Caraïbes » , a souligné Pedro Eusse au nom du Bureau politique du PCV.

Parmi les éléments positifs issus du Sommet constitutif de la CELAC qui se tient les 2 et 3 décembre à Caracas, le dirigeant communiste a mis en avant le fait que les pays nord-américains – les États-Unis et le Canada – n'y participent pas.

Le PCV a mis en garde sur le fait que la naissance de la CELAC ne résoudrait pas tous les problèmes d'ingérence et d'intervention de l'impérialisme dans nos pays, étant donné qu'il existe des gouvernements de nature clairement pro-impérialiste, intégrés à son système hégémonique.

« Des gouvernements comme ceux de la Colombie, du Chili, du Honduras, du Panama et maintenant celui du Guatemala avec le nouveau gouvernement, sont au service du grand capital et de l'impérialisme » , a-t-il précisé.

Pour le Parti communiste du Vénézuela, ce qui permettra d'avancer vers l'intégration et la souveraineté de nos pays, c'est l'unité et l'action des peuples et de leurs organisations révolutionnaires.

« La nécessité existe d'avancer vers l'unité et l'intégration des peuples ; des mouvements populaires ; des travailleurs et des travailleuses, ce qui dépend de la construction d'une nouvelle réalité qui garantisse l'avancée sur la voie de la libération nationale et sociale des peuples du continent » , a déclaré le dirigeant.

Le PCV a également appelé au renforcement des institutions et instruments qui ont déjà été développés par les gouvernements progressistes et révolutionnaires, comme c'est le cas de l'Alliance bolivarienne de notre Amérique (ALBA).

« En fin de compte, ce sont les luttes des peuples qui vont être déterminantes, débouchant sur la victoire de gouvernements progressistes et révolutionnaires » ,a-t-il affirmé.


[* ce blog affiche des positions critiques sur la ligne révisionniste de son parti]
Xuan
   Posté le 14-12-2011 à 09:19:26   

La nouvelle organisation régionale latino-américaine CELAC prend ses distances avec le (contre-)modèle de l'Union européenne

Traduction MA pourhttp://solidarite-internationale-pcf.overPM-blog.net/


Samedi dernier s'est achevé, à Caracas, au Vénézuela, le sommet fondateur de la Communauté des Etats d'Amérique latine et des Caraibees, avec l'adoption d'une déclaration constitutive qui reconnaît « le droit de chaque nation à construire en paix et librement son propre système politique et économique » .


La création de la Communauté des Etats d'Amérique latine et des Caraibes (CELAC), sans la présence des Etats-unis ni du Canada, montre bien comment cette partie du globe prend ses distances avec le mode d'organisation de l'Union européenne qui fut un temps présenté comme un modèle d'intégration régionale à suivre.


La CELAC se pose comme un espace de dialogue et de négociation, sans précédent dans le système des relations internationales actuel, où toutes les initiatives d'intégration sont sous la coupe d'un centre hégémonique impérialiste.


Dans la déclaration finale, est posé le principe de « coopération et de mise en œuvre de politiques sociales visant à la réduction des inégalités (…) afin de rendre les nations capables de remplir et de dépasser les Objectifs de développement du Millénaire » .


La CELAC défend comme axe central de son action la complémentarité dans les relations économiques Sud-Sud pour la réduction des asymétries entre les 33 pays d'Amérique latine et des Caraïbes qui la constituent.


En plus de la déclaration fondatrice, fut adoptée une autre défendant de la démocratie où est posé très clairement : « la validité de l’État de droit, le respect des autorités légalement constituées, la non-ingérence dans les affaires internes et la défense des institutions établies » ,comme garantie indispensable à la paix dans la région.


Dans ce document, il est précisé que la menace de rupture de l'ordre constitutionnel dans un pays met en péril la CELAC et donc déclenchera des mécanismes de dialogue, d'analyse et de contrôle afin de prendre les décisions nécessaires. Il apparaît clairement que les problèmes seront réglés en famille, sans pression de la Maison Blanche, qui tout au long de l'histoire latino-américaine et caribéenne a décidé unilatéralement d'invasions, de coups d’État, de guerres intestines.


Le Plan d'action de Caracas, une sortie de feuille de route en vue du travail commun, insiste su la nécessité de créer des outils afin d'améliorer les capacités de financement du commerce inter-régional et d'empêcher les crises, tout comme de limiter l'impact de celles extra-régionales en maintenant des politiques fiscales et monétaires saines.


Il est donc proposé d'avancer dans la conception d'une nouvelle architecture financière régionale reposant, entre autres, sur les principes de justice, solidarité et transparence. Également proposé la transformation des institutions financières internationales, avec un poids nécessairement plus important, en terme de voix, des pays en développement à l'intérieur de ces organismes.


Parallèlement à la question des échanges commerciaux, ont été mis à l'ordre du jour les enjeux des infrastructures, de l'énergie, du développement, de l'éradication de la pauvreté, des échanges culturels, de la protection de l'environnement, de l'aide humanitaire, de la protection des migrants et de la démocratisation des technologies de l'information et de communication.


La Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPAL) a souligné que les 33 pays qui forment la CELAC, représentent 580 millions d'habitants, 8,5% de la population de la planète, avec un revenu par tête de 8 980 $. Le PIB latino-américain et caribéen représente 8% de la production mondiale.


Compte tenu de ce terrain d'opportunités, avec un besoin d'investissement et d'intenses relations non seulement commerciales et économiques mais aussi politiques, il n'est pas étonnant que seule la Chine, le géant asiatique, ait envoyé une lettre au président hôte du Sommet, Hugo Chavez, pour saluer et se féliciter de la fondation de la CELAC.


Dans le même temps, le président du Nicaragua Daniel Ortega a suggéré de jeter un coup d'oeil du côté de l'Europe pour ne pas commettre les mêmes erreurs : « Il est important de regarder l'exemple de l'Union européene pour ne pas soumettre l'unité latino-américaine à la dictature du libre marché et du capital financier spéculatif. Notre unité, nous devons la soumettre aux principes de souveraineté » , a-t-il affirmé.


source


Edité le 14-12-2011 à 09:19:56 par Xuan


marquetalia
   Posté le 19-12-2011 à 17:04:13   

l amérique latine est-selon les communistes russes-le maillon faible de l impérialisme;pour preuve...
Xuan
   Posté le 19-12-2011 à 23:01:29   

Je dirais de l'impérialisme US en particulier, qui était le dernier à y faire sa loi il n'y a pas si longtemps.
marquetalia
   Posté le 19-12-2011 à 23:22:10   

je voulais dire de l impérialisme en tant que capitalisme mondial.l impérialisme u.s est en progression partout,le myanmar est en train de faire allegeance a l amérique,et la chine sera encerclée par les ricains en cas d invasion de la corée du nord par obama/clinton.
marquetalia
   Posté le 22-12-2011 à 21:57:15   

l impérialisme veut saborder les plans des peuples d amérique latine en lutte pour leur émancipation,les provocations britanniques qui refusent de rendre les malouines a l argentine le prouvent.la france participera a t elle a une guerre atlantiste aux cotés des rosbeefs et des yankees contre les pays du mercosur?de plus,l espagne est a nouveau dirigée par la droite,héritière du franquisme et surtout de cortes et pizarre,cette espagne qui est toujours une monarchie alors que l empire espagnol,symbolisé par la couronne castillane,a assassiné 100 millions d amérindiens.a cela s ajoute le risque de retour des républicains aux etats unis dans moins d un an,ce qui augure une guerre de reconquete de l amérique latine par les usa..
zorba
   Posté le 23-12-2011 à 04:32:53   

L'Espagne est restée un pays fasciste, sous la coupe de la dictature de l'Eglise catholique, grace au soutien des américains. En 1945, ce sont eux qui se sont opposés à une reconquête de l'Espagne par les forces alliées victorieuses à l'Ouest. Franco a été leur meilleur allié, digne héritier du facisme européen qu'ils ont soutenu sans faille de 1923 à nos jours. Contre l'URSS, contre les communistes, au nom de 'In god we trust'.
L'Espagne est-elle capable de reprendre la place qu'elle occupait fin du 18è siècle en Amérique (Nord, centrale et Sud).Je ne le pense pas. Son déclin démographique ne lui permet pas d'envisager une présence militaire face aux peuples d'Amérque, sauf en appui des gendarmes des USA, c'est à dire dans un rôle de valets du système colonialiste américain. Pour quel intérêt?
marquetalia
   Posté le 23-12-2011 à 07:42:35   

la droite espagnole a soutenu le putsch contre chavez en 2002 et le roi avait critiqué de facon néocoloniale le président venezuelien lors d un sommet des pays ibéroaméricains.
zorba
   Posté le 23-12-2011 à 16:54:33   

Juan Carlos Bourbon, héritier de Franco, s'était d'ailleurs fait remettre publiquement à sa place par Chavez ou un de son équipe.
Espérons qu'il aura retenu la leçon et fera preuve de plus d'humilité ou de bon sens.

De la part d'un Bourbon, ce n'est pas garanti.
marquetalia
   Posté le 23-12-2011 à 20:34:20   

venezuela où,justement,le 7 octobre 2012 se tiendront des élections cruciales.hugo chavez entend conserver le pouvoir jusqu a la fin de la décennie,partagé entre d une part les "castristes",incarnés par son frère adan chavez ,partisan d un alignement total-idéologique,économique,stratégique et militaire-sur cuba,et d autre part les "nationalistes",dirigés par l ex ministre des infrastructures diosdado cabello et une partie du haut commandement militaire,qui accusent a tort hugo chavez d "abandonner des milliards de petrodollars,et une partie de la souveraineté nationale a cuba-alors que cette bourgeoisie compradore veut abandonner des milliards de petrodollars aux usa et brader la souveraineté nationale du venezuela a l Empire...


Edité le 27-12-2011 à 21:15:34 par marquetalia


Xuan
   Posté le 30-01-2017 à 13:34:20   

Le 5e Sommet de la CELAC s’est achevé sur un appel à l’intégration régionale


Publié le 26 janvier 2017

Les chefs d’État et de gouvernement, ainsi que les représentants des pays de la région, ont également souscrit à 20 déclarations spéciales
26 janvier 2017 09:01:50


Photo: Estudio Revolución
BAVARO, RÉPUBLIQUE DOMINICAINE.— Le 5e Sommet des États d’Amérique latine et de la Caraïbe (CELAC), a conclu ses travaux par un appel à avancer dans l’intégration et la complémentarité des économies de la région.

Les chefs d’État et de gouvernement, ainsi que les représentants des pays de la région, ont également souscrit à 20 déclarations spéciales.

Le texte principal de la réunion contient des mesures importantes articulées autour de plusieurs sujets d’intérêt commun, qui vont depuis la paix et la sécurité régionales, la lutte contre le crime organisé, jusqu’à la sécurité alimentaire.

Il est également question du développement durable et la lutte contre le changement climatique, entre autres.

Le document plaide pour la mise en œuvre de mécanismes favorisant le commerce interrégional et extrarégional.

Parmi les 20 déclarations spéciales figurent celle insistant sur la nécessité de mettre un terme à l’injuste blocus économique, commercial et financier exercé par les États-Unis contre Cuba pendant plus d’un demi-siècle, ainsi que celle sur la restitution à l’Île de la base navale de Guantanamo, occupée depuis 1903 contre la volonté du peuple cubain.

Par ailleurs, le document rejette les différentes formes de racisme et de discrimination contre les migrants, et se prononce en faveur de la promotion d’une émigration ordonnée, régulière et sûre dans la région.

Le Sommet s’est également prononcé pour la lutte contre le protectionnisme, qui entrave le développement des économies en Amérique latine et dans les Caraïbes.

Le document met aussi un accent particulier sur le respect de la Proclamation de l’Amérique latine et la Caraïbe comme Zone de paix, signée par les chefs d’État et de gouvernement à La Havane, en janvier 2014, comme l’a demandé au Sommet le président cubain Raul Castro.

Le 5e Sommet de la CELAC, un mécanisme de dialogue et de concertation politique, s’est penché sur la question de la migration, du développement et sur le problème mondial des drogues.

D’autres thèmes importants ont été traités, comme le désarmement nucléaire, l’autonomisation des femmes, le financement pour le développement et les langues indigènes.

La CELAC, qui regroupe l’ensemble des nations du continent américain, à l’exception des États-Unis et du Canada, a tenu son premier Sommet au Chili en 2013, le deuxième à Cuba en 2014, le troisième au Costa Rica en 2015 et le quatrième en Équateur en 2016. (PL)

LE PRÉSIDENT SALVADORIEN SOULIGNE LA CONTRIBUTION De CHAVEZ ET DE FIDEL À LA CRÉATION DE LA CELAC

Le président du Salvador, Salvador Sanchez Cerén, a reçu le 25 janvier la présidence tournante de la Communauté des États d’Amérique latine et de la Caraïbe des mains de son homologue de République dominicaine, Danilo Medina.


Le président de la République dominicaine, Danilo Medina (à droite), a remis la présidence tournante de la CELAC à son homologue salvadorien, Salvador Sanchez Ceren.
« Je remercie tous les pays membres pour la confiance déposée en notre gouvernement et pour le soutien dont ils m’ont assuré pour le succès de notre mandat », a déclaré Sanchez Cerén dans son discours de début de présidence, au terme de la clôture du 5e mécanisme de concertation. « Pour nous, assumer la présidence est une grande reconnaissance, mais aussi une énorme responsabilité », a-t-il souligné.

Sanchez Cerén a évoqué le Sommet de Caracas, en décembre 2011, au cours duquel la CELAC fut créée en tant que un mécanisme de concertation politique et d’intégration des États d’Amérique latine et de la Caraïbe.

« Nous nous devons de reconnaître la contribution de deux hommes qui ont travaillé résolument à sa création : les commandants Hugo Chavez et Fidel Castro », a-t-il affirmé.

Le président salvadorien a fait référence à la Déclaration de l’Amérique latine et la Caraïbe comme Zone de paix, signée lors du Sommet de La Havane en 2014, comme l’un des exemples de réussite de la Communauté, à partir des expériences et des efforts consentis pour parvenir à des consensus.

Il a également souligné le soutien que la CELAC a obtenu de la part d’organismes comme l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), la Commission économique pour l'Amérique latine (Cepal) et l’Association latino-américaine d'intégration (Aladi), ainsi que la création de plusieurs groupes de travail sur des questions d’intérêt pour les pays de la région. « Cela nous confirme que nous sommes sur la bonne voie », a-t-il dit.

Cependant, a-t-il déclaré, « il nous faut encore travailler pour parvenir à de nouveaux consensus et faire face aux défis en suspens, afin d’apporter le bien-être aux citoyens de la région ».

Il a soumis à la considération des présents l’idée que les pays membres assument une participation plus active au sein de la Communauté, au-delà de la présidence tournante, en prenant en charge la coordination de certains groupes de travail, afin que « les pays s’approprient la CELAC et encouragent le travail en commun ».

« Nous devons non seulement être unis, mais aussi mettre en œuvre toute notre volonté et toute notre force pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés », a-t-il indiqué.

Pour conclure, il a félicité la République dominicaine pour l’excellent travail réalisé pendant sa présidence tournante et pour avoir partagé son expérience à la tête de l’organisation.

source: http://fr.granma.cu/mundo/2017-01-26/le-5e-sommet-de-la-celac-sest-acheve-sur-un-appel-a-lintegration-regionale
marquetalia
   Posté le 30-01-2017 à 19:42:14   

zorba a écrit :

L'Espagne est restée un pays fasciste, sous la coupe de la dictature de l'Eglise catholique, grace au soutien des américains. En 1945, ce sont eux qui se sont opposés à une reconquête de l'Espagne par les forces alliées victorieuses à l'Ouest. Franco a été leur meilleur allié, digne héritier du facisme européen qu'ils ont soutenu sans faille de 1923 à nos jours. Contre l'URSS, contre les communistes, au nom de 'In god we trust'.
L'Espagne est-elle capable de reprendre la place qu'elle occupait fin du 18è siècle en Amérique (Nord, centrale et Sud).Je ne le pense pas. Son déclin démographique ne lui permet pas d'envisager une présence militaire face aux peuples d'Amérque, sauf en appui des gendarmes des USA, c'est à dire dans un rôle de valets du système colonialiste américain. Pour quel intérêt?

L Espagne de Franco a appuyé l Oas en Algérie,groupe terroriste supremaciste qui était soutenu par la C.i.a.