Sujet : La RPC et les Musulmans | | Posté le 01-10-2018 à 23:04:43
| À quoi est du la politique visant les Musulmans chinois (Ouïghours et autres population de l'Ouest chinois) ? Un athéisme d'État ? Une lutte contre d'éventuels agents étrangers ? |
| | Posté le 02-10-2018 à 23:03:20
| Bonjour d'abord, peux-tu te présenter dans la rubrique ad hoc comme tout les participants ? La Chine est un état laïc. Les religions sont autorisées mais pas le prosélytisme. Elles relèvent de la sphère privée et par conséquent leur activités ne doivent pas s'afficher sur internet par exemple. Concernant les Ouïghours et la religion musulmane, le terrorisme islamiste s'y est infiltré avec des revendications "séparatistes", en provoquant des attentats qui ont massacré des civils. En 2013 et 2014 des centaines de personnes en ont été victimes. Cette région a aussi servi de base de recrutement pour la Syrie. Automatiquement l'Etat chinois exerce une surveillance et une répression accrue sur ces activités, notamment en combattant l'idéologie islamiste. Depuis quelques mois la presse bourgeoise française a repris les insinuations provenant des USA et la Chine a démenti l'accusation d'un quasi internement à ciel ouvert de la population. Voir rfi http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20180813-chine-dement-detention-million-musulmans-ouighours Tout est parti de Gay McDougall, membre du Comité de l'ONU pour l'élimination de la discrimination raciale. Elle a pris la parole vendredi dernier pour dénoncer la politique de la Chine envers la minorité ouïghoure. « Au nom de la lutte contre l'extrémisme religieux et du maintien de la paix sociale, les autorités ont fait de la région autonome ouïghoure quelque chose qui ressemble à un immense camp d'internement. On estime que plus d'un million de personnes sont détenues dans de prétendus "camps anti-extrémistes" et deux millions d'autres dans de camps de "rééducation" où ils subissent un endoctrinement politique et religieux » , déclare-t-elle. S'il existe un "endoctrinement politique et religieux" c'est précisément dans les gangs terroristes de la nébuleuse islamiste. Mais ce qui est dénoncé unanimement lorsqu'il s'agit de la sécurité des pays impérialistes devient une révolte légitime, un droit d'expression inaliénable dans d'autres pays et sa répression est inadmissible. Le schéma est identique à ce qui s'est déroulé au Moyen Orient mais le procédé a fait long feu. Global Times a publié le 25 septembre un article à propos des déclarations de Mike Pompeo http://www.globaltimes.cn/content/1120865.shtml qui résume le point de vue chinois sur le sujet. |
| | | | Posté le 14-10-2018 à 15:30:55
| ça peut paraître tous les jours : si on lit attentivement ce texte il apparaît factuellement qu'à aucun endroit la Chine ne reconnaît ce qui est affirmé par Libération, du genre "Sous prétexte de lutte antiterroriste, les autorités arrêtent arbitrairement des citoyens de tout âge. La plupart disparaissent sans donner de nouvelles, enfermés sans limite de durée dans des cellules surpeuplées," etc. qui relève exclusivement du bashing anti-chinois dont Libé est coutumier. Pour commencer, le titre est mensonger. Libé écrit : " Selon de multiples témoignages et enquêtes, environ 10% de la population musulmane de la région serait détenue dans des dizaines de centres de détention extrajudiciaires, visibles sur des images satellites." Quels témoignages, quelles enquêtes ? Rien n'est sourcé sauf des photos aériennes de bâtiments dont on ne sait rien sauf ce que prétend Libé. Ce genre de "démonstration" au conditionnel signifie uniquement que Laurence Defranoux n'en sait absolument rien mais procède par insinuation. La Chine lutte contre le terrorisme islamiste par la contrainte et la persuasion, ce que Libé appelle "endoctrinement politique intensif, centré sur l’apprentissage par cœur des «pensées de Xi Jinping», le président chinois" . J'ai signalé aussi que le prosélytisme religieux est interdit, notamment les fonctionnaires n'ont pas le droit de porter la barbe. Cette attitude est radicalement différente de tout ce qui est pratiqué en Chine envers les minorités nationales, qui ont toujours bénéficié de clauses favorables comme le droit à plusieurs enfants pendant la période de l'enfant unique, ou l'apprentissage de langues comme le tibétain. La raison en est que le terrorisme islamiste utilise le vecteur de la religion pour s'imposer. Selon Marc Julienne, chercheur à la Fondation pour la Recherche Stratégique "Les mesures préventives antiterroristes ont été considérablement renforcées" . Au Xinjiang, province majoritairement peuplée de Ouïghours, les mesures sont très strictes: maillage du territoire, surveillance électronique, vidéosurveillance, confiscation des passeports, balise GPS obligatoire sur les véhicules, contrôle des frontières et usage de drones. Une loi antiterroriste est également entrée en vigueur au 1er janvier 2016. "Le travail juridique se poursuit, avec la création d'un institut de recherche sur le contre terrorisme en 2015 et d'une faculté de droit antiterroriste à Xi'an en 2016" . [Huffington Post] Ceci n'a rien à voir avec les pseudos "camps de détention pour musulmans" de Libé. Quel but poursuit Libé ? |
| | Posté le 14-10-2018 à 19:37:17
| Libé s'inscrit surement dans une démarche d'attaques et de bashing concernant le régime chinois. Mais admettons que ces camps n'existent pas, ou qu'ils existent mais contiennent uniquement des djihadistes, la militarisation des régions Ouïghours est assez malsaine. Par ailleurs, tu dis que le prosélytisme est interdit en citant pour preuve que les fonctionnaires sont interdits de porter une barbe. Porter la barbe serait faire du prosélytisme islamique ? |
| | Posté le 14-10-2018 à 20:59:20
| Grecfrites a écrit :
Porter la barbe serait faire du prosélytisme islamique ? |
en voyant l autre abruti de Médine-le chanteur de rap-on peut se poser des questions. |
| | Posté le 14-10-2018 à 21:46:42
| ce con de Médine accuse à tort Alain Soral dans son clip Mc Soraal d etre un pédo…..!cela s appelle de la diffamation! |
| | Posté le 14-10-2018 à 22:33:59
| marquetalia a écrit :
ce con de Médine accuse à tort Alain Soral dans son clip Mc Soraal d etre un pédo…..!cela s appelle de la diffamation! |
Il ne parle pas de Soral, mais de Pierre Belanger, fondateur de Skyrock. Pour ce qui est de ton message précédent, tu penses que Médine fait du prosélytisme islamique ? Parce qu'il a une barbe ? |
| | Posté le 14-10-2018 à 23:00:12
| marquetalia a écrit :
non,son clip "Don't Laik"il fait l apologie de la polygamie et de la loi du talion.inciter à l application de la charia,c est plus que du prosélytisme,c est vouloir imposer un modèle social rétrograde,ce n est pas parceque les islamistes s opposent aux Etats Unis ou à l impérialisme Français qu il faut les appuyer,le journal "l Huma" a soutenu la lutte contre le Fis puis le Gia -Gspc,Aqmi,...-durant toute la guerre civile algérienne des années 90,ce qui n est pas le cas des trotskystes. |
Si tu ne saisis pas le second degré de Médine, je n'y peux rien. Quoi qu'il en soit le Gia, Gspc et Médine n'ont rien à voir et ils ont encore moins de rapport avec le sujet qui dévie. Ici on parle de la RPC et de son rapport aux populations musulmanes. |
| | Posté le 14-10-2018 à 23:18:29
| Si tu ne saisis pas le second degré de Médine, je n'y peux rien. Quoi qu'il en soit le Gia, Gspc et Médine n'ont rien à voir et ils ont encore moins de rapport avec le sujet qui dévie. Ici on parle de la RPC et de son rapport aux populations musulmanes.[/citation] revenons donc au fil conducteur,la Chine Populaire et sa minorité musulmane.Pékin n est pas islamophobe,puisqu il y a une communauté de Hans islamisés,les Huis,qui ont leur propre république autonome,et ne sont pas en conflit avec le pouvoir central.La problématique vient des Ouighours,le groupe séparatiste est appuyé à la fois par Al Qaeda et le sultan Erdogan-ce qui revient au meme-.comme au Kosovo il y a bientôt vingt ans,les médias inventent des prétendus "camps de concentration" ou seraient internés la population ouighoure-et albanaise en 1999.et,de nouveau,selon les interets de la Grande Turquie.le tout pour dresser les républiques d Asie Centrale ex soviétique,toutes turcophones,excepté le Tadjikistan,contre la Chine,et défaire l alliance sino-russe.en fait,les Etats Unis conditionnent au dépecage de la République Populaire de Chine,les séparatistes mandchous et hong kongais fraichement (re)créés poussent à la sedition contre Pékin,Trump livrant des armes à Taiwan.il s agit pour les Etats Unis de prendre le controle de l Eurasie,le Heartland.
Edité le 14-10-2018 à 23:50:49 par marquetalia |
| | Posté le 15-10-2018 à 00:04:18
| En ce qui concerne la Chine parce que c'est ça le sujet, j'ai noté dans un article que le port de la barbe est considéré comme un signe religieux et n'est pas accepté pour les fonctionnaires dans cette région. Ailleurs je n'en sais rien. En Chine la barbe est rarement portée, et l'islam ne préconise pas systématiquement le port de la barbe. En France la mode (ou réaction au féminisme ?) l'a emporté sur la religion et le port de la barbe n'a pas de signification précise sinon de distinguer la classe d'âge des 25 à 35 ans. Il est donc possible que le port de la barbe soit un signe de radicalisation en Chine. Du moins dans cette région parce que d'un endroit à un autre c'est très différent. On trouve aussi dans la presse chinoise des articles sur des jeunes portant la barbe et qui ne sont pas du tout présentés comme des extrémistes. Il faudrait vivre sur place pour en juger. Dans Global Times un article sur la confrontation entre islamisme et coutumes nationales au Tadjikistan http://www.globaltimes.cn/content/1040775.shtml. On se rend compte que les sujets vestimentaires ne sont pas anodins d'un pays à l'autre et que juger des choses d'un point de vue occidental fausse la réalité. Un article récent sur le sujet toujours dans Global Times (trad. automatique) : Le Xinjiang révise sa réglementation anti-extrémiste http://www.globaltimes.cn/content/1122492.shtml Par Liu Caiyu et Liu Xuanzun Source: Global Times Publié le: 2018/10/10 23:33:41 des institutions offrant formation, conseil La région autonome ouïghoure du Xinjiang , dans le nord-ouest de la Chine, a révisé mardi sa réglementation anti-extrémisme afin de permettre aux gouvernements locaux de créer des institutions pour fournir aux personnes touchées par la pensée extrémiste une formation professionnelle et des conseils psychologiques. Le règlement modifié, approuvé par le 13ème Comité permanent du Congrès populaire de la région autonome du Xinjiang Uyghur, a été publié mardi sur le site Web du Comité permanent du Congrès populaire du Xinjiang. Le règlement est maintenant en vigueur. Le nouveau règlement fournit une définition détaillée des activités extrémistes, des précautions de sécurité, des responsabilités du gouvernement ainsi que des contre-mesures. Le nouveau règlement permet également aux administrations locales d’imposer des sanctions plus sévères aux activités extrémistes. Le règlement révisé comprend de nouvelles clauses permettant aux collectivités locales de créer des établissements d’éducation, de formation professionnelle et de conseil psychologique à l’intention des personnes touchées par des idées extrémistes. Les institutions dispenseront un enseignement sur le putonghua, les lois, les règlements et la formation professionnelle. Ils fourniront également une formation antiterroriste et des conseils psychologiques aux personnes touchées par les idées extrémistes pour les aider à réintégrer la société et leur famille. Les départements administratifs ont été mis en place et seront chargés d'organiser et de coordonner les institutions afin de promouvoir la légalisation et la normalisation du "système de transformation de l'éducation", a précisé le règlement. Zhu Weiqun, ancien responsable du Comité des affaires ethniques et religieuses du Comité national de la Conférence consultative politique du peuple chinois, a déclaré mercredi au Global Times que l'amendement au règlement montrait que la Chine développait un cadre juridique pour ses efforts anti-extrémistes. M. Zhu a déclaré que "les changements marquent l'approfondissement de la légalisation et de la normalisation du travail anti-extrémisme au Xinjiang". Xiong Kunxin, expert en études ethniques, a déclaré mercredi au Global Times que les centres de formation professionnelle existants dans le Xinjiang étaient destinés à la formation de jeunes chômeurs et défavorisés, mais étaient également utilisés par certaines personnes pour diffuser des idées extrémistes. La plupart des personnes qui ont pris part aux attaques terroristes au Xinjiang au cours des dernières années étaient des jeunes sans emploi. Par conséquent, la fourniture d'opportunités en matière d'éducation et de conseils pour la lutte contre l'extrémisme bénéficiera à la stabilité régionale, a déclaré Xiong. Dans le cadre de l'objectif de la Chine d'éliminer la pauvreté absolue d'ici 2020 et de créer une "société moyennement prospère", le gouvernement régional du Xinjiang est déterminé à aider 22 pays pauvres à éliminer la pauvreté. Le gouvernement régional a déclaré qu'il avait aidé plus de 60 000 personnes sans emploi dans la partie la plus touchée par la pauvreté du sud de la région à trouver un emploi au premier semestre de 2018. Une peine plus sévère Selon le règlement, l’extrémisme est défini comme un comportement qui interfère avec la liberté religieuse d’autres personnes ainsi que des activités culturelles publiques, portant des badges qui encouragent l’extrémisme ou détruisent des biens publics. Les personnes qui enfreignent le règlement seront punies conformément à la loi chinoise relative à la lutte contre le terrorisme, à la loi relative aux peines infligées par l'administration de la sécurité publique et à la réglementation antiterroriste du Xinjiang. Auparavant, si les circonstances étaient relativement mineures, les contrevenants seraient critiqués par le département de la sécurité publique. L'amendement autorise désormais les autorités à infliger des peines plus lourdes aux auteurs d'infractions, a déclaré Xiong, ajoutant que cela témoignait de la détermination du gouvernement régional du Xinjiang à lutter contre l'extrémisme dans la région. Zhu a indiqué que si d'autres pays ont critiqué les mesures anti-extrémistes du Xinjiang, les activités extrémistes et les mouvements radicaux se multiplient dans leurs propres pays.
Edité le 15-10-2018 à 00:06:27 par Xuan |
| | Posté le 18-10-2018 à 11:03:09
| La gouvernance dans le Xinjiang est juste Source: Global Times Publié le 2018/10/17 22:58:40 http://www.globaltimes.cn/content/1123426.shtml
________________________________________ Certains gouvernements au-dessus du niveau du comté dans la région autonome du Xinjiang Uyghur ont mis en place des centres de formation professionnelle, où les personnes soumises au lavage de cerveau par des pensées extrêmes et qui ont commis des délits apprennent le putonghua, la langue nationale de la Chine, ses lois et ses compétences professionnelles. Ces centres de formation, qui ont permis à ces personnes de retrouver une vie normale, ont joué un rôle clé dans la stabilisation du Xinjiang. La réglementation anti-extrémisme publiée par la région en fournit la base légale. L’opinion occidentale a lancé une attaque cinglante contre la gouvernance au Xinjiang. Qui se tient sur une position juste, le gouvernement du Xinjiang ou les forces occidentales? Le gouvernement du Xinjiang a pour objectif de stabiliser le Xinjiang et d'éliminer les attaques terroristes violentes. Après une attaque terroriste le 5 juillet 2009, le gouvernement local a déployé des efforts considérables pour atteindre cet objectif. Cependant, après une nouvelle attaque terroriste en 2013, la situation au Xinjiang s'est détériorée et était sur le point de devenir incontrôlable. Depuis la création des centres de formation professionnelle, la situation au Xinjiang s'est améliorée. Ils ne peuvent pas fonctionner de manière parfaite, mais visent à mettre fin aux meurtres sauvages et à rassurer les personnes effrayées par des activités terroristes violentes. C'est le coeur des droits de l'homme. Que veulent les Occidentaux qui dénoncent la gouvernance au Xinjiang? Ils semblent montrer une attitude tolérante envers les personnes qui subissent un lavage de cerveau par l'extrémisme et commettent des actes qui portent atteinte à la paix et à l'ordre dans le Xinjiang. Les pensées extrêmes se propageaient impudemment dans le Xinjiang et les radicaux agissaient de manière aveugle, conduisant à des attaques terroristes plus furieuses. Plus de 20 millions de personnes de toutes les ethnies du Xinjiang ont perdu la sécurité. Les habitants d'autres régions de Chine n'osaient pas s'y rendre et les jeunes du Xinjiang quittaient leur pays. Les conditions fondamentales des droits de l'homme au Xinjiang étaient en train d'être détruites peu à peu. Est-ce ce que veulent les Occidentaux? On pense que la plupart des Occidentaux ne veulent pas que le Xinjiang devienne chaotique. Ils ne comprennent tout simplement pas la situation réelle dans le Xinjiang et sont induits en erreur par les élites aux opinions idéologiques virulentes. Il existe des élites politiques et médiatiques occidentales non seulement arrogantes, mais aussi malveillantes contre la Chine. Elles veulent juste voir un Xinjiang en désordre. Elles espèrent que le modèle de gouvernance de la Chine échouera au Xinjiang et que le Xinjiang sera un drame entravant la montée de la Chine. Mais ils se moquent d'assumer la responsabilité du bien-être des habitants du Xinjiang. Ils ne veulent que jouer avec la gouvernance locale et embarrasser le gouvernement central. La gouvernance dans le Xinjiang repose sur une haute morale, son objectif étant le bonheur et les avantages pour le peuple du Xinjiang. Dans le contexte d’une opinion mondiale dirigée par l'Ouest, La Chine comprend la différence entre sa propre situation et celle de l'Occident. Elle comprend également les différences de valeurs. La Chine tentera de communiquer davantage avec l’Occident sur des sujets controversés. Mais quoi que la Chine fasse, il faut donner la priorité aux intérêts du peuple chinois. L’objectif et la pratique de la gouvernance dans le Xinjiang sont justifiés et notre conviction ne sera pas ébranlée par des erreurs de jugement et des accusations externes. |
| | Posté le 18-10-2018 à 17:41:27
| il faudra voir la réaction de la Turquie,de l Azerbaïdjan et des républiques turcophones d Asie Centrale,qui partagent en commun la langue turque-et,Erdogan ne cache pas son projet pan touranien.les intérêts des séparatistes ouighours sont ceux d Ankara. |
| | Posté le 20-10-2018 à 23:53:28
| Erdogan a déjà ses propres séparatistes... |
| | Posté le 21-10-2018 à 21:29:01
| Xuan a écrit :
Erdogan a déjà ses propres séparatistes... |
Erdogan orchestre surtout le nettoyage ethnique du nord de la Syrie contre les Kurdes et les Assyriens en s appuyant sur Daech!! |
| | Posté le 18-11-2018 à 16:52:23
| marquetalia a écrit :
Si les "paganistes qui kiffent sur des runes sont des paumés", Médine est aussi un paumé,avec son tee shirt"Djihad". |
C'est quoi ce charabia? |
| | Posté le 20-11-2018 à 17:57:27
| Les efforts du Xinjiang pour remplacer l'extrémisme par des opportunités ne ressemblent pas à la tactique de Guantanamo Bay imaginée par l'Occident Par Liu Xin Source: Global Times Publié: le 2018/11/20 19:30:35 http://www.globaltimes.cn/content/1128196.shtml ○ Les internautes chinois ont appelé une « farce » l' envoi récent des lettres de 15 ambassadeurs au fonctionnaire régional haut de Xinjiang sur les politiques d'élimination de l' extrémisme ○ La propagation de l' extrémisme dans le Xinjiang, en particulier dans sa partie sud, a sévèrement entravés le développement local ○ Les gouvernements locaux dans le Xinjiang déploient des efforts combinés pour stimuler le développement, notamment en lançant des centres de formation professionnelle et des activités de lutte contre la pauvreté Le 15 novembre, des femmes résidant dans un village du comté de Shule, dans la région autonome Uyghur de la Chine, confectionnent des produits de broderie dans une usine satellite. Les résidents pauvres de la région ont été réinstallés dans le village et sont encouragés à travailler dans l'usine. Photo: VCG Le gouvernement régional et les habitants de la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) s'emploient activement à éliminer l'extrémisme et à lutter contre la pauvreté, dans l'espoir de créer une vie meilleure pour les habitants. Cependant, que ce soit par intention politique ou par manque de connaissance de la situation au Xinjiang, certains médias occidentaux critiquent continuellement les gouvernements régionaux et locaux pour leurs "droits de l'homme". Bien que de nombreux médias chinois aient publié une série de reportages sur les efforts en cours au Xinjiang pour éliminer l'extrémisme, notamment le lancement de programmes d'enseignement et de formation professionnels pour les résidents influencés par l'extrémisme, des représentants de certains pays au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies début novembre ont continué à dire que le groupe ouïghour du Xinjiang a été mal traité. Le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies a finalement attribué à la Chine une note de passage lors de son dernier examen de l'évolution de la situation des droits de l'homme en Chine au début du mois de novembre. Cependant, la critique du gouvernement chinois n’a jamais cessé. Le dernier mouvement de ceux qui ont exagéré les politiques d'élimination de l' extrémisme dans le Xinjiang était un groupe de 15 ambassadeurs occidentaux en Chine, chapeautés par le Canada, qui cherchent une rencontre avec le responsable régional haut dans le Xinjiang, a rapporté Reuters le 15 Novembre Au ministère chinois des Affaires étrangères La porte-parole, Hua Chunying, a qualifié la démarche de "brutale et inacceptable". Elle a réitéré que "le Xinjiang, en tant que région ouverte, souhaite la bienvenue à ceux qui s'y rendent avec bonne volonté. Et non à toute personne entretenant des intentions malveillantes et des préjugés et cherchant à s'immiscer en Chine" De nombreux internautes chinois ont qualifié le mouvement de ces ambassadeurs de "farce", affirmant que certains pays ne pouvaient pas rester calmes lorsque la situation au Xinjiang s'améliorait de plus en plus. Li Wei, un expert antiterroriste basé à Pékin, a déclaré au Global Times: "Au moment où le terrorisme et l'extrémisme menacent la sécurité de leur propre peuple, certains pays occidentaux critiquent encore les efforts d'élimination de l'extrémisme en Chine et usent de leur influence les principaux médias internationaux à faire pression sur la Chine " . Ces pays n'accepteront jamais l'efficacité des efforts d'élimination de l'extrémisme en cours dans le Xinjiang, ainsi que des efforts du gouvernement chinois pour la protection des droits de l'homme, a souligné M. Li, soulignant que "pour eux, un Xinjiang stable est la dernière chose qu'ils souhaitent voir" . Les bergers et les agriculteurs de Hami dans le Xinjiang reçoivent des télévisions gratuites du gouvernement local en janvier 2008. Photo: VCG De graves problèmes persistants "Le Xinjiang, en particulier sa partie méridionale, est en proie à l'extrémisme. Les résidents qui ont été influencés par l'extrémisme rejettent la vie moderne et réaliste. Les attaques terroristes ont souvent eu lieu, nuisant au développement économique et culturel de la région" , a déclaré au Global Times Xu Jianying, chercheur au Centre de recherche sur l’histoire et la géographie des frontières chinoises à l’Académie des sciences sociales de Chine. Les autorités locales de Hotan et de Kashi, dans le sud du Xinjiang, ont appris dans le Global Times qu'il y a 22 mois, des attaques terroristes perpétrées par des résidents locaux gravement influencés par l'extrémisme avaient lieu tout le temps, et parmi les victimes figuraient à la fois des Han et des Ouïghours et même des religieux de premier plan. dirigeants. Les extrémistes préconisent la violence et le terrorisme sous le nom de religion. Par exemple, ils exigent que leurs adeptes vivent sous des doctrines faussées et entreprennent le djihad afin d ' "aller au paradis" . Les gouvernements du Xinjiang à différents niveaux ont mobilisé beaucoup de personnel et de ressources matérielles pour aider ceux qui ont été influencés par l'extrémisme, notamment en lançant le programme d'enseignement et de formation professionnels, et ces politiques ont eu des effets positifs, ont déclaré des experts ayant visité certains centres de formation au Xinjiang. "Les stagiaires qui étaient influencés par l'extrémisme étaient étroits d'esprit et n'avaient que de la haine dans leur cœur. Maintenant, ils ont beaucoup changé. Ils ont appris les lois et règlements nationaux ainsi que certaines compétences professionnelles. Au lieu d'être encombrés de l’extrémisme, ils ont connu une émancipation idéologique et un espoir pour l’avenir " , a déclaré M. Li. L'expérience d'Eli Metusun, résident du comté de Yutian à Hotan, reflète les remarques de Li. Eli est né dans une famille religieuse et après avoir été contraint d'abandonner l'école très tôt, il a été invité à apprendre des doctrines religieuses déformées, contraires aux lois nationales. Selon Eli, les doctrines faussées ne montraient aucun respect pour les femmes et préconisaient que les non-musulmans soient hérétiques. "Si j'étais continuellement influencé par l'extrémisme, je m'égarerais davantage et deviendrais un terroriste ... si on me demandait de tuer ces hérétiques, je pourrais faire ce qui est nécessaire" , a déclaré Eli au Global Times. Eli a rejoint le centre d'enseignement et de formation professionnels de Yutian il y a un an et a déclaré que sa vie avait changé. "J'ai appris que les gens ont le droit de croire en une religion ou de n'avoir aucune croyance religieuse. Nous sommes tous citoyens chinois et devons vivre en harmonie malgré notre religion" , a-t-il déclaré. "J'ai maintenant une bonne habitude pour la santé: me brosser les dents tous les jours", a déclaré Eli avec un sourire timide. Il a également indiqué qu'il souhaitait acquérir davantage de compétences professionnelles dans le centre et a lancé sa propre entreprise à l'avenir. "Je veux mes parents, que j'avais montré peu d'appréciation, Les politiques d'élimination de l'extrémisme en cours dans le Xinjiang ont également apporté la stabilité sociale et le bonheur des habitants. Il n'y a pas eu d'incidents violents et terroristes dans le Xinjiang depuis 22 mois, ce qui a assuré la stabilité sociale et la sécurité de la vie des personnes, selon le gouvernement régional du Xinjiang. Ce journaliste du Global Times a visité un marché nocturne à Kashi, où résidents et visiteurs ont partagé des tables, goûté des spécialités locales et assisté à des spectacles de danse et de musique. Une femme nommée Aygul, qui possédait un stand de nourriture dans le marché nocturne, a déclaré qu'elle se sentait maintenant plus en sécurité et qu'elle espérait que davantage de visiteurs viendraient au Xinjiang. Mesures combinées Outre le lancement de centres de formation et d’enseignement professionnels, le Xinjiang s’efforce également de lutter contre la pauvreté. Influencés par l'extrémisme et limités par un environnement naturel aride, de nombreux endroits dans le Xinjiang, en particulier dans le sud du Xinjiang, souffrent de pauvreté et certains ont été identifiés comme "extrêmement pauvres", a déclaré Xu. Le travail de réduction de la pauvreté dans le Xinjiang est un effort systémique global comprenant notamment une éducation à l'élimination de l'extrémisme, l'amélioration des niveaux d'éducation, la promotion des lois et réglementations nationales et l'offre de compétences professionnelles, a souligné M. Li, soulignant que le travail de réduction de la pauvreté pourrait également contribuer à enrayer la propagation de la maladie de l'extrémisme. Le Xinjiang a pris diverses mesures pour réduire la pauvreté. Par exemple, les quatre préfectures du sud du Xinjiang, en proie à l'extrémisme et à l'extrême pauvreté, ont permis à 82 000 personnes de sortir de la pauvreté de janvier à octobre de cette année. Selon un rapport du Xinjiang Daily, des milliers d'habitants du sud du Xinjiang travaillent actuellement dans des usines satellites installées à proximité de villages, de sociétés appartenant à l'État ou de sociétés commerciales. Certains résidents ont créé leur propre petite entreprise, restaurant et salon de coiffure. Leurs revenus ont augmenté et leur esprit a changé. Ils ont plus d'espoir dans l'avenir, a indiqué le rapport. Ce journaliste du Global Times a constaté que de nombreuses zones économiques et technologiques et plusieurs usines de fabrication de vêtements et de chaussures, de produits agricoles ainsi que de logistique et de stockage sont en construction dans le Xinjiang. Un responsable à Kashi, qui a requis l'anonymat, a déclaré au Global Times qu'un parc économique et technologique situé à Kashi peut accueillir 3 000 travailleurs et travailleuses. Il y a des écoles, des hôpitaux et d'autres infrastructures autour. Les usines lancées par des entreprises de nombreux pays, notamment du Guangdong, de Shanghai et du Shandong, bénéficient de politiques favorables. Les usines sont proches de la source de matières premières et d’une main-d’œuvre relativement peu coûteuse. Le responsable a déclaré que les travailleurs dans les usines pourraient gagner entre 1 500 et 4 000 yuans (216 à 576 dollars) par mois, alors que le salaire moyen à Kashi est d'environ 1 500 à 2 000 yuans. "Ces travailleurs gagneront davantage dans trois ans avec une meilleure situation économique" , a déclaré le responsable. Approche chinoise "Les politiques en cours d'élimination de l'extrémisme et le travail de réduction de la pauvreté dans le Xinjiang sont opportuns et nécessaires, et correspondent à la situation sur le terrain dans le Xinjiang" , a déclaré Xu, "et nous poursuivrons les politiques actuelles pour maintenir les effets positifs" . Xu a noté que certains pays du Moyen-Orient ont également pris des mesures pour protéger les résidents identifiés comme étant gravement influencés par l'extrémisme, notamment en les séparant des autres résidents, "L'élimination de l'extrémisme est également un gros problème pour de nombreux pays occidentaux et pour ceux qui ont subi des attaques terroristes. Mais de nombreux gouvernements manquent de résolution et de méthodes efficaces" , a déclaré Li. Il a souligné que les États-Unis avaient une liste de surveillance terroriste et que ceux qui y figuraient seraient arrêtés ou abattus lorsqu'ils se livreraient à des activités terroristes. La France évalue les personnes qui ont été influencées par l'extrémisme et détient ceux qui sont identifiés comme dangereux. "Ces mesures n'ont pas arrêté ceux qui ont été influencés par l'extrémisme. Les personnes influencées par l'extrémisme deviendraient plus radicales et finiraient généralement par se livrer à des attaques terroristes" , a déclaré Li. "Les efforts de la Chine en matière d'élimination de l'extrémisme assurent d'une part la sécurité de la plupart des gens, qui protègent au maximum les droits de l'homme; d'autre part, ils isolent ceux qui ont été influencés par l'extrémisme avant qu'ils ne se sacrifient dans le terrorisme " , A déclaré Li. En réponse aux critiques de certains médias occidentaux à l'égard de la politique du Xinjiang, M. Li a déclaré que certains médias occidentaux avaient une connaissance limitée de la situation réelle au Xinjiang. Ils imaginent que les programmes de formation du gouvernement au Xinjiang fonctionnent comme à Guantanamo Bay. Mais ce n'est pas comme ça. Les efforts actuels d'élimination de l'extrémisme dans le Xinjiang ont été faits sur la base du respect des droits de l'homme, a déclaré Li. M. Li a également noté que les politiques d'élimination de l'extrémisme en Chine pourraient offrir des leçons à d'autres pays. "Nous pensons que tous les pays devraient développer leurs propres méthodes, adaptées à la situation spécifique du pays" , a déclaré M. Li. "Ce n'est que lorsque tous les pays auront pris des mesures efficaces pour éliminer l'extrémisme que nous pourrons nous débarrasser du terrorisme" , a ajouté M. Li. "Les efforts continus de la Chine pour éliminer l'extrémisme ne pourraient aboutir sans le soutien de la communauté internationale" .
Edité le 20-11-2018 à 18:09:27 par Xuan |
| | Posté le 20-11-2018 à 22:26:02
| C est la problématique du Xinjiang qui va empêcher l alliance des pays émergents,la Turquie voulait rejoindre ce groupe,mais la répression exercée par la RPC contre un peuple turcophone l en dissuadera.pour le plus grand bonheur des États Unis,qui reste l impérialisme dominant.
Edité le 20-11-2018 à 22:27:23 par marquetalia |
| | Posté le 07-01-2019 à 10:22:57
| La Chine explore l'efficacité de la gouvernance de la religion dans un monde laïc Par Li Qingqing Source: Global Times Publié le 2019/1/6 17:51:34 http://www.globaltimes.cn/content/1134750.shtml
________________________________________ La Chine a adopté un plan quinquennal visant à siniser l'islam lors d'une réunion avec les représentants des huit associations islamiques chinoises. Au cours de la réunion, les participants ont convenu de guider l’islam pour qu’il soit compatible avec le socialisme et de mettre en œuvre des mesures pour siniser la religion. C'est l'acte important que la Chine entreprend pour explorer les moyens de gouverner la religion dans les pays modernes. De manière générale, les pays modernes sont laïcs et diversifiés dans un monde globalisé. Mais le renouveau et la diffusion de la religion ont quelque peu impacté la société laïque. L'intégrisme a provoqué davantage de violence religieuse et le nationalisme religieux menace les gouvernements légitimes des pays et conduit à l'instabilité sociale. La nouvelle a attiré l'attention des médias occidentaux. Certaines personnes l'ont associée aux efforts du pays pour lutter contre l'extrémisme dans la région autonome du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine , accusant la Chine de violer la liberté de conviction religieuse. Mais avant de faire des commentaires sur la Chine, nous suggérons à ces personnes de faire attention à l'instabilité sociale de leur propre pays et aux attaques terroristes causées par des extrémistes religieux. Dans le monde d'aujourd'hui, les pays modernes sont généralement confrontés à un renouveau religieux, y compris les pays occidentaux. À mesure que la renaissance s'accélère, les immigrants de différentes croyances religieuses ont plus ou moins provoqué des conflits sociaux sur différentes frontières religieuses. En Italie, des hommes politiques ont même mis en garde contre une invasion religieuse: "Nous sommes attaqués. Notre culture, notre société, nos traditions et notre mode de vie sont en danger", avait déclaré le vice-Premier ministre Matteo Salvini début 2018. Un média italien a déclaré sans détour "Les guerres de religion vont faire leur grand retour en 2019." À l'ère d'Internet, la propagation de la religion s'accélère aussi. Gouverner la religion est un défi commun à tous les pays modernes. L'objectif principal du plan quinquennal de la Chine visant à siniser l'islam est de rechercher une gouvernance conforme à la pratique chinoise et qui ne se limite pas à l'islam. Une telle gouvernance devrait convenir à toutes les religions en Chine. Bien que certains sur Twitter accusent malicieusement la Chine de "totalitarisme" et de "puissance coloniale", ils doivent encore admettre que, par rapport aux pays occidentaux, la Chine a fait de grands progrès en matière de gouvernement religieux. Au Xinjiang, l'extrémisme religieux a été efficacement combattu. La paix et l'ordre ont finalement été rétablis dans la région. La dés-extrémisation et la liberté de croyance religieuse sont complètement différentes, et l'islam et la société socialiste ne sont pas incompatibles. Lutter contre l'extrémisme et faire en sorte que les religions soient compatibles avec le socialisme ne constituent pas la soi-disant "violation de la liberté de religion". C’est plutôt l'inverse. La Chine veut faire en sorte que plus de gens jouissent de cette liberté de manière normale. En Chine, il y a près de 200 millions de croyants, environ 144 000 lieux de culte enregistrés pour des activités religieuses et plus de 380 000 membres du personnel de bureau, selon un livre blanc publié par le Bureau d'information du conseil d'État en 2018. Ces chiffres ne sont-ils pas la meilleure preuve ? Et c’est précisément pour ces chiffres-là que la Chine persiste dans la sinisation des religions et la répression de l’extrémisme. C'est la manière la plus pratique et la plus innovante de la Chine de gouverner la religion. À l'ère de la mondialisation, la renaissance de la religion est un défi auquel le monde entier est confronté. Alors que la Chine tire les leçons des expériences de pays étrangers, ces derniers devraient également respecter la pratique chinoise. |
| | Posté le 07-01-2019 à 21:05:05
| il faut voir derrière le terrorisme ouighour la main d Erdogan. |
| | Posté le 07-01-2019 à 22:56:59
| marquetalia a écrit :
il faut voir derrière le terrorisme ouighour la main d Erdogan. |
Tu peux développer avant d'affirmer ? |
| | Posté le 07-01-2019 à 23:57:23
| Les Ouïghours sont une population turcophone et musulmane sunnite.elle est appuyée par les milieux pantouraniens d Ankara. |
| | Posté le 11-01-2019 à 08:08:37
| Aurais tu des preuves à ajouter à tes propos ? |
| | Posté le 12-02-2019 à 20:55:44
| La Chine réfute les accusations du ministre turc des centres de formation du Xinjiang Par Liu Caiyu Source: Global Times Publié le 2019/2/11 13:19:48 http://www.globaltimes.cn/content/1138425.shtml Selon l'ambassade, un homme ouïghour, déclaré mort par le ministre turc des Affaires étrangères, est toujours en vie et en bonne santé Les enfants des stagiaires assistent aux cours dans une école primaire affiliée au centre d'éducation et de formation de Hotan. Photo: Fan Lingzhi / GT L'ambassade de Chine en Turquie a réfuté les affirmations du ministère turc des Affaires étrangères concernant le décès présumé d'un musicien ouïghour, affirmant que cet homme était toujours en vie et en bonne santé. L’ambassade s’est également fermement opposée aux accusations turques portées contre les centres de formation professionnelle du Xinjiang , affirmant que ces accusations étaient "contraires aux faits" et avaient été formulées "à l’infini". Dans un communiqué publié samedi, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères turc, Hami Aksoy, a affirmé que le poète et musicien ouïghour Abdurehim Heyit était décédé en détention. Il a également appelé les centres de formation professionnelle "une grande honte pour l'humanité". Un porte-parole de l'ambassade de Chine en Turquie a déclaré dans un communiqué dimanche que M. Heyit, âgé de 57 ans et acteur de la troupe de chant et de danse du théâtre d'art du Xinjiang, était toujours en vie et en bonne santé. L'ambassade a déclaré que Heyit avait été arrêté en vertu de la loi soupçonnée de mettre en danger la sécurité nationale. Le gouvernement chinois maintient les droits fondamentaux des personnes de tous les groupes ethniques du Xinjiang, a déclaré le porte-parole. "Ce qu'il faut souligner, c'est que le droit à la vie est le droit humain fondamental. Le terrorisme et l'extrémisme menacent gravement ce droit et la sécurité de tous les habitants du Xinjiang" , a déclaré le porte-parole de l'ambassade. Le porte-parole, qui n'a pas été nommé dans les deux déclarations publiées dimanche sur le site Internet de l'ambassade, a également déclaré que "la Chine et la Turquie sont confrontées à de graves situations de lutte contre le terrorisme. Nous nous opposons à la politique de deux poids deux mesures en matière de lutte contre le terrorisme et espérons que la Turquie apprendra et comprend les mesures prises par la Chine pour lutter contre le terrorisme et contre l'extrémisme. " L'ambassade de Chine a demandé au ministère turc des Affaires étrangères de retirer ses fausses accusations et de prendre des mesures pour éliminer leur mauvaise influence. Les centres d'enseignement et de formation professionnels ne sont pas des "camps de concentration" , comme le prétend la partie turque, et leur objectif principal est de lutter contre le terrorisme et l'extrémisme, a déclaré le porte-parole. La création de ces centres d’enseignement et de formation professionnels unifie, éduque et sauve la grande majorité des auteurs d’infractions mineures ou illégales d’être victimes du terrorisme et de l’extrémisme, indique le communiqué. La déclaration de l'ambassade affirme que les centres sont ouverts au public et que la Chine a invité des émissaires et des journalistes de 12 pays, dont la Turquie, à leur rendre visite. "Les journalistes invités au Xinjiang ont rédigé des reportages objectifs, mais certaines personnes les ont ignorés. Tout ce que je peux dire, c'est qu'ils ont des préjugés ou d'autres motivations" , a déclaré le porte-parole chinois. Les accusations du ministère turc des Affaires étrangères selon lesquelles ces centres seraient des "camps de concentration" , une "assimilation systématique planifiée du peuple ouïghour", "une violation grave des droits de l'homme" et interdisent aux "contacts avec des proches" de sortir nulle part, a déclaré le porte-parole chinois. Depuis la création des centres d'éducation et de formation, il n'y a plus eu d'incidents terroristes violents dans le Xinjiang depuis plus de 25 mois, et la situation en matière de sécurité s'est considérablement améliorée, a déclaré l'ambassade. En 2017, le Xinjiang a accueilli plus de 100 millions de touristes nationaux et étrangers, en hausse de 32%. Le nombre de touristes en 2018 a dépassé 150 millions, soit une augmentation de 50%. Ces chiffres démontrent pleinement que le Xinjiang est sûr et stable. |
| | Posté le 14-02-2019 à 20:45:45
| http://www.globaltimes.cn/content/1138534.shtml La Chine condamne les centres de la presse turque au Xinjiang Par Liu Caiyu Source: Global Times Publié le 2019/2/11 22:48:56 Deux chanteurs jouent de la musique au magasin de thé. Fichier photo: Fan Lingzhi / GT La mort du musicien ouïghour 'fabriquée' La Chine a réfuté les affirmations du ministère turc des Affaires étrangères sur le décès présumé d'un musicien ouïghour, affirmant que cet homme était toujours en vie et en bonne santé. L’ambassade de Chine en Turquie s’est également fermement opposée aux accusations portées par les autorités turques contre les centres de formation professionnelle du Xinjiang , affirmant que ces accusations étaient "contraires aux faits" et avaient été "inventées de toutes pièces". Dans un communiqué publié samedi, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères turc, Hami Aksoy, a affirmé que le poète et musicien ouïghour Abdurehim Heyit était décédé en détention. Il a également qualifié les centres de formation professionnelle de "grande honte pour l'humanité". Un porte-parole de l'ambassade de Chine en Turquie a déclaré dans un communiqué dimanche que M. Heyit, âgé de 57 ans, qui avait joué avec la troupe de chant et de danse du théâtre d'art du Xinjiang, est toujours en vie et en bonne santé. L'ambassade a déclaré que Heyit avait été arrêté, soupçonné de mettre en danger la sécurité nationale. Lundi, Hua Chunying, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a critiqué les affirmations d'Aksoy sur la mort fabriquée de Heyit. La Turquie a formulé des accusations sans fondement fondées sur un mensonge absurde. C'est totalement "faux et irresponsable", a déclaré Hua lors du point de presse de routine. Le gouvernement chinois protège les droits fondamentaux des personnes de tous les groupes ethniques du Xinjiang, a déclaré le porte-parole de l'ambassade de Chine en Turquie. "Ce qu'il faut souligner, c'est que le droit à la vie est un droit humain fondamental et que le terrorisme et l'extrémisme menacent gravement ce droit et la sécurité de tous les habitants du Xinjiang", a déclaré le porte-parole de l'ambassade. Le porte-parole, qui n'a pas été nommé dans les deux déclarations publiées dimanche sur le site Internet de l'ambassade, a également déclaré que "la Chine et la Turquie sont confrontées à de graves situations de lutte contre le terrorisme. Nous nous opposons à la politique de double norme en matière de lutte contre le terrorisme et espérons que la Turquie apprendra correctement et comprend les mesures prises par la Chine pour lutter contre le terrorisme et contre l'extrémisme. " Les analystes ont déclaré que le pan-turkisme existait depuis longtemps en Turquie et qu'il évoquait de temps en temps le Xinjiang. Depuis 2016, l'administration Erdogan a gardé une attitude modérée face à la question après un coup d'État manqué. La déclaration du ministère turc des Affaires étrangères montre leur attitude dominante, mais il ne peut pas dire que la Turquie a radicalement changé sa politique à l'égard de la Chine. C'est le porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères qui a blâmé la Chine cette fois-ci, ce qui montre que la Turquie n'a pas l'intention de faire des histoires à ce sujet. Zan Tao, un professeur de l'Université de Pékin, a déclaré lundi au Global Times que le gouvernement Erdogan pourrait obtenir plus de voix lors des prochaines élections de mars prochain. Étant donné que la situation actuelle au Moyen-Orient et les relations de la Turquie avec l'Europe et les États-Unis, les relations entre la Chine et la Turquie ne vont pas s'intensifier davantage et que les relations tendues entre la Chine et la Turquie ne feront aucun bien à la Turquie, ont souligné les analystes . "La question du Xinjiang ne devrait pas être le problème principal des relations sino-turques", a déclaré Yang Shu, directeur de l'Institut d'études sur l'Asie centrale à l'Université de Lanzhou, au Global Times, appelant la partie turque à prendre en compte les intérêts des deux parties en compte. Xinjiang stable Les centres d'enseignement et de formation professionnels du Xinjiang ne sont pas des "camps d'internement", comme le prétend la partie turque, et leur objectif principal est de lutter contre le terrorisme et l'extrémisme, a déclaré le porte-parole de l'ambassade de Chine dans un communiqué. Les centres s'unissent, éduquent et sauvent la grande majorité des auteurs de crimes mineurs d'être victimes du terrorisme et de l'extrémisme, a indiqué le communiqué. La déclaration de l'ambassade affirme que les centres sont ouverts au public et que la Chine a invité des émissaires et des journalistes de 12 pays, dont la Turquie, à leur rendre visite. "Les journalistes invités au Xinjiang ont rédigé des reportages objectifs, mais certaines personnes les ont ignorés. Tout ce que je peux dire, c'est que ces personnes sont partiales ou ont d'autres motivations", a déclaré le porte-parole. Les accusations d'autres pays ne changeront pas la politique de la Chine au Xinjiang. La question du Xinjiang est compliquée et difficile à comprendre pour le moment, mais le gouvernement chinois continuera de maintenir la stabilité de la région et montrera au monde un Xinjiang en développement, Depuis la création de ces centres, aucun incident terroriste n'a eu lieu dans le Xinjiang depuis plus de 25 mois et la situation en matière de sécurité s'est considérablement améliorée, a indiqué l'ambassade de Chine. En 2017, le Xinjiang a accueilli plus de 100 millions de touristes nationaux et étrangers, en hausse de 32%, et 150 millions de touristes visités l'année dernière, soit une augmentation de 50%, a indiqué le communiqué. |
| | Posté le 13-03-2019 à 11:35:43
| Le Xinjiang investit quatre milliards de yuans pour améliorer les conditions de vie en milieu rural http://french.xinhuanet.com/2019-03/12/c_137888800.htm URUMQI, 12 mars (Xinhua) -- La région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a déclaré avoir investi près de 4,2 milliards de yuans (626 millions de dollars) en 2018 pour améliorer les conditions de vie dans les zones rurales. Le département régional des finances a indiqué que ce montant était deux fois plus élevé qu'en 2017 et avait permis de nettoyer les zones rurales, de promouvoir la "révolution des toilettes", de recycler les déchets et de traiter les ordures et les eaux usées. Selon le département, le capital social a été encouragé à investir dans des projets liés à l'amélioration des conditions de vie en milieu rural. Cette année, la région mettra également l'accent sur le milieu de vie des villages. Les résidents ruraux devraient jouer un rôle vital dans la campagne et être encouragés à prendre part à des activités telles que le nettoyage, le boisement et la gestion afin d'améliorer leurs conditions de vie. |
| | Posté le 13-03-2019 à 11:54:30
| Les centres de formation professionnelle du Xinjiang disparaîtront lorsque la société n'en aura plus besoin Par Cao Siqi Source: Global Times Publication: 2019/3/12 22:23:40 http://www.globaltimes.cn/content/1141882.shtml Des centres d'éducation pour contrer les "trois forces" Des journalistes étrangers interrogent des étudiants du centre d'enseignement et de formation professionnels Kashgar à Kashgar, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang , dans le nord-ouest de la Chine , le 13 janvier 2019. Un groupe de médias composé de citoyens de six pays a salué le développement et la stabilité du Xinjiang après sa visite dans la région. La tournée en l' honneur de la Route de la soie en Chine s'est déroulée du 9 au 16 janvier dans le Xinjiang. Douze représentants des médias d'Égypte, de Turquie, du Pakistan, d'Afghanistan, du Bangladesh et du Sri Lanka ont rendu visite à des locaux et à un centre de formation professionnelle. Photo: Xinhua Un haut responsable de la région autonome du Xinjiang, nord-ouest de la Chine, a démenti mardi les allégations selon lesquelles il y aurait plus d'un million de personnes dans ses centres d'éducation et de formation professionnelle, affirmant qu ' "en général, les stagiaires dans les centres seront de moins en moins nombreux et, un jour, les centres disparaîtront lorsque la société n'en aura plus besoin " . Shohrat Zakir, président du gouvernement régional du Xinjiang, a déclaré mardi en marge de la session législative nationale annuelle que le centre d'éducation et de formation est mis en place en fonction des besoins et que le nombre de stagiaires diminuera. Zakir a déclaré que le Xinjiang était victime du terrorisme et de l'extrémisme et que les centres d'éducation et de formation visaient à éliminer fondamentalement l'environnement du terrorisme et de l'extrémisme. La région du Xinjiang respecte strictement les lois et les règlements. Dans ses activités de lutte contre le terrorisme et la lutte contre l’extrémisation, il ne cible ni groupes ethniques ni religions spécifiques. Au lieu de cela, il cible les trois forces des crimes terroristes violents, l'extrémisme et le séparatisme, a-t-il souligné. Zakir a déclaré que les centres d'éducation ne sont jamais les "centres de concentration" ni les "camps de rééducation" revendiqués par les médias étrangers. Au lieu de cela, ils sont comme des internats où les stagiaires bénéficient de la nourriture et du logement gratuits, apprennent les langues, étudient la loi et acquièrent des compétences. Les centres protègent la dignité des étudiants, interdisent toute insulte à leur égard et protègent leur liberté personnelle. Les stagiaires peuvent rentrer chez eux régulièrement et demander un congé à tout moment, comme un internat, a-t-il déclaré. Dans le même temps, conformément à la réglementation sur les affaires religieuses, l’enseignement missionnaire et la création d’organisations religieuses sont interdits dans les centres, mais les stagiaires peuvent participer à des activités religieuses après avoir obtenu leur diplôme. S'adressant aux journalistes, M. Zakir a salué les avantages apportés par les centres aux stagiaires. Par exemple, de nombreux stagiaires ont compris que l'apprentissage de Putonghua élargirait leur accès à l'information et au savoir. Auparavant, ils rejetaient l'apprentissage de Putonghua sous l'influence de l'extrémisme sous couvert de religion. Pendant ce temps, Zakir a noté que beaucoup de leurs stagiaires avaient obtenu leur diplôme et cherchaient un emploi. "Ils peuvent gagner environ 2 000 yuans par mois et le salaire sera augmenté après avoir acquis une meilleure qualification" , a-t-il déclaré, ajoutant qu'ils souhaitaient désormais se débarrasser de la pauvreté en travaillant dur et qu'ils étaient plus confiants en leur avenir. "Grâce à l'apprentissage, la vaste majorité des stagiaires peuvent clairement comprendre ce que sont le terrorisme et l'extrémisme, ainsi que le fondement de la loi. Leur capacité à résister à l'extrémisme s'est également considérablement améliorée" , a déclaré Zakir. |
| | | | Posté le 17-03-2019 à 17:01:23
| Les efforts de la Chine pour lutter contre le terroris me Publié le 12 mars 2019 Par Xiao Qian pour le Jakarta Post le 9 mars 2019 http://lagazetteducitoyen.over-blog.com/2019/03/les-efforts-de-la-chine-pour-lutter-contre-le-terrorisme.html?fbclid=IwAR0uqDhMAXc00bqntl3rQ2Nk9V65SB0CkMo5XzTuBfvoTDvgQnBKVJs8r-U L'auteur de cet article est l'ambassadeur de Chine en Indonésie. Xiao Qian, l'ambassadeur de Chine en Indonésie J'ai été étroitement liée à l'islam pendant une grande partie de ma vie. Dans ma ville natale, Taiyuan, capitale de la province du Shanxi, se trouve une célèbre mosquée appelée l'ancienne mosquée Taiyuan, qui remonte à plus de 1,300 ans. C'est maintenant un site culturel clé sous la protection de l'État. Ma famille habite juste à côté. Beaucoup de mes voisins, camarades de classe et amis étaient musulmans. Après avoir rejoint le ministère des Affaires étrangères chinois à Beijing, j'ai rencontré de nombreux collègues musulmans, dont l’actuel ambassadeur de Chine au Bahreïn, M. Anwaer, un musulman ouïgour. Il y a plus de 20 millions de croyants musulmans, 57,000 membres du clergé islamique et 35,000 mosquées en Chine. Conformément à la Constitution, tous les citoyens chinois jouissent de la liberté de croyance religieuse. La splendide civilisation islamique fait partie intégrante de la civilisation humaine. Les civilisations chinoise et islamique partagent une histoire séculaire. Depuis les temps modernes, la Chine et le monde islamique se sont toujours prêtés soutien et coopération avancée, ce qui constitue un exemple pour les échanges entre civilisations. Les relations entre la Chine et les pays islamiques ont connu une croissance rapide ces dernières années. Depuis 2013, le président chinois Xi Jinping a visité 16 pays islamiques. Au total, 29 pays islamiques ont établi un partenariat stratégique ou une relation de coopération avec la Chine. Il y a cinq ans, le président Xi a proposé pour la première fois l'initiative Belt and Road (La nouvelle route de la soie ou la Ceinture et la Route, un ensemble de liaisons maritimes et de voies ferroviaires entre la Chine et l'Europe en passant par le Kazakhstan et la Russie) au Kazakhstan et à l'Indonésie, deux pays très importants du monde islamique. Aujourd’hui, la Chine a signé des documents de coopération avec 80% des membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) pour la construction conjointe de l’initiative Belt and Road. Le monde islamique dans son ensemble est le troisième partenaire commercial de la Chine. Depuis l'Antiquité, le Xinjiang est une région multiethnique où coexistent différentes religions. On y trouve l'ensemble des 56 minorités ethniques qui coexistent en Chine. Les grandes religions telles que l'islam, le bouddhisme (y compris le bouddhisme tibétain), le christianisme, le catholicisme et le taoïsme coexistent avec d'autres religions locales. Aujourd'hui, le Xinjiang compte environ 13 millions de musulmans, 24,400 mosquées, 29,000 membres du clergé et huit écoles religieuses. Selon les calculs, il y a une mosquée pour 530 musulmans au Xinjiang, soit l’une des densités les plus élevées au monde. Le Xinjiang d’aujourd’hui est un endroit magnifique, richement doté, harmonieux et paisible. Mais cela n'est pas venu facilement. En fait, le terrorisme, l'extrémisme et le séparatisme sévissent depuis longtemps au Xinjiang. Depuis les années 1990, le Mouvement islamique du Turkestan oriental et d'autres forces terroristes ont planifié, organisé et mené des milliers d'attaques terroristes violentes, notamment des attentats à la bombe, des assassinats, des empoisonnements volontaires, des incendies criminels, des agressions, des troubles et des émeutes, faisant de nombreuses morts parmi les membres de différents groupes ethniques et religieux, y compris les musulmans, ainsi que des dommages matériels incommensurables. Particulièrement en 2009, les émeutes du 5 juillet à Urumqi ont fait 197 morts, plus de 1,700 blessés et des dégâts matériels colossaux. Entre 2003 et 2016, il y a eu huit autres attaques terroristes violentes dans le Xinjiang, qui ont fait 120 morts et plus de 400 blessés. Il est juste de dire que la question liée au Xinjiang n’est pas religieuse, mais plutôt politique. C’est la manifestation de la lutte entre unité et sécession, paix et violence, et c’est une question de principe concernant la souveraineté, la sécurité et l’intégrité territoriale de la Chine. Par conséquent, le gouvernement chinois a pris des mesures pour lutter résolument contre le terrorisme, l'extrémisme et le séparatisme et, entre-temps, une attention particulière a été accordée à la prévention de l'association des activités terroristes violentes et de l'extrémisme religieux avec des groupes ethniques ou des religions spécifiques. En s’appuyant sur les expériences de la communauté internationale en matière de lutte contre le terrorisme et en s’adaptant aux conditions locales, le Xinjiang a déployé des efforts soutenus dans la lutte contre le terrorisme et la déradicalisation. L'une des mesures efficaces consiste à dispenser une formation professionnelle gratuite sur une base de volontariat à ceux qui risquent d'être influencés par des idées extrémistes. En apprenant la langue, les lois et les compétences nationales de la Chine, les stagiaires abandonneraient volontairement le terrorisme et les idées extrémistes, éliminant ainsi le terrain propice à la propagation du terrorisme et de l’extrémisme. Les stagiaires dans les écoles professionnelles sont rémunérés pour leur travail. Les coutumes et habitudes de divers groupes ethniques et leurs croyances sont respectées et protégées. Pendant qu'ils sont à l'école, les stagiaires peuvent contacter leur famille par vidéoconférence, rendre visite à leur famille presque toutes les semaines et les familles peuvent également leur rendre visite. Après avoir obtenu leur diplôme, les écoles professionnelles orienteront les stagiaires vers les entreprises locales en fonction des compétences acquises, afin que ces derniers puissent trouver un emploi, gagner leur vie et bien vivre. Les pratiques passées ont prouvé que la formation professionnelle était viable et bien accueillie par les habitants du Xinjiang. Aujourd'hui, la sécurité publique du Xinjiang s’est sensiblement améliorée. Depuis 2016, il n’y a pas eu un seul incident de terrorisme violent. Les gens se sentent maintenant beaucoup plus en sécurité et les activités religieuses des différentes religions bénéficient désormais d'une protection plus efficace. Il n'y a pas si longtemps, 12 ambassadeurs étrangers en Chine, principalement originaires de pays islamiques, et la presse étrangère en poste à Beijing se sont rendus au Xinjiang. Ils ont applaudi l'efficacité des écoles professionnelles dans l'élimination de l'extrémisme et ont estimé qu'une telle pratique méritait d'être reprise par d'autres pays. M. Yousef Aldobaie, conseiller du secrétaire général de l'OCI, s'est également rendu dans de nombreux endroits du Xinjiang. Il a déclaré: "Les écoles professionnelles que j'ai vues sont très différentes de ce que les médias occidentaux décrivent. Ce sont de belles écoles, propres et ordonnées. La Chine respecte le monde islamique et je suis impressionné par le fait que différents groupes ethniques, ainsi que des musulmans et des non-musulmans, cohabitent en harmonie dans le Xinjiang". Dernièrement, j'ai noué de nombreux échanges avec divers groupes en Indonésie, notamment les autorités centrales et locales, le congrès, les médias, des groupes religieux et des jeunes. Je leur ai parlé de la politique religieuse de la Chine et de ce qui se passe réellement au Xinjiang. En général, après avoir appris la vérité, des amis indonésiens ont exprimé leur compréhension et leur respect pour la partie chinoise. À la mi-février, une délégation des principaux groupes islamiques indonésiens, notamment Nahdlatul Ulama, Muhammadiyah et le Conseil indonésien des oulémas (MUI) s'est rendue dans le Xinjiang. Peu de temps après, une délégation des médias indonésiens composée de Kompas, Antara, Metro TV, Detik, Liputan6 et d’autres se sont également rendus au Xinjiang. Leurs visites ont permis aux amis indonésiens d'en apprendre davantage sur la situation réelle au Xinjiang. L'islam est un lien pour l'amitié sino-indonésienne et la grande majorité des musulmans vivant dans les deux pays ont participé et contribué aux relations sino-indonésiennes. La Chine et l’Indonésie se sont entendues et se soutiennent mutuellement sur des questions concernant nos intérêts fondamentaux, telles que l’intégrité et la souveraineté territoriales, et la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme. Davantage d'amis indonésiens peuvent se rendre en Chine et avoir ainsi une image complète et objective de la situation réelle au Xinjiang et mieux comprendre et respecter ses tentatives et ses efforts pour lutter contre le terrorisme et éliminer l'extrémisme. Lien de l'article en anglais: https://www.thejakartapost.com/news/2019/03/09/china-s-exploration-fight-terrorism.html |
| | Posté le 30-11-2019 à 23:33:02
| https://www.google.fr/amp/www.leparisien.fr/amp/international/ouighours-en-chine-cinq-minutes-pour-comprendre-le-sort-de-cette-minorite-29-11-2019-8205228.php Grosse offensive médiatique pour dénoncer le sort des Ouïghours et des populations à majorité musulmane à l’Ouest de la Chine. Pendant que la couverture médiatique des événements à HK ne diminue pas. |
| | Posté le 09-12-2019 à 12:29:36
| Les Ouïghours sont liés à Al Qaeda. |
| | Posté le 12-12-2019 à 07:36:27
| marquetalia a écrit :
Les Ouïghours sont liés à Al Qaeda. |
Non, les Ouïghours constituent une minorité nationale dans laquelle le terrorisme islamiste a fait du prosélytisme, ils ne sont pas acquis à Al Qaeda pour autant. |
| | Posté le 27-12-2019 à 08:04:41
| De nouvelles recherches révèlent des sources de rumeurs absurdes sur les détentions ouïghoures au Xinjiang, chères aux médias occidentaux Source: Global Times Publié: 2019/12/27 0:26:07 https://www.globaltimes.cn/content/1174970.shtml Des femmes brandissent le drapeau national chinois dans le comté de Baicheng de la région autonome ouïghoure du Xinjiang . Photo: Shan Jie / GT Les allégations selon lesquelles la Chine a détenu des millions de Ouïghours dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang provenaient d'études et de sources peu fiables soutenues par le gouvernement américain, basées sur des méthodologies de mauvaise qualité et les travaux d'un chercheur d'extrême droite anti-Chine et anti-communiste, un essai récemment publié dans la Grayzone a révélé. "L'affirmation selon laquelle la Chine a détenu des millions d'ouïghours de souche dans sa région du Xinjiang est répétée de plus en plus fréquemment, mais peu de contrôle est jamais appliqué. Article de Grayzone publié samedi. Alors que le chiffre du «million» est largement cité en Occident comme authentique, une recherche approfondie montre qu'il n'est basé que sur deux «études» très douteuses. La première étude a été réalisée par le Network of Chinese-Human Rights Defenders (CHRD), une ONG basée à Washington DC soutenue par le gouvernement américain. Le chiffre des «millions de détenus» a été popularisé pour la première fois par le CHRD dans un rapport de 2018 soumis au Comité des Nations Unies pour l'élimination de la discrimination raciale, qui est souvent dénaturé dans les médias occidentaux comme un rapport rédigé par l'ONU, selon l'article. Grayzone a été fondée en 2015 en tant que site d'information indépendant dédié au journalisme d'investigation original et à l'analyse politique. Une femme ouïghoure danse dans un restaurant du comté d'Awati, dans la préfecture d'Aksu au Xinjiang. Photo: Shan Jie / GT Calcul douteux Alors que le CHRD déclare avoir interrogé des dizaines de Ouïghours au cours de son étude, leur estimation gonflée était finalement basée sur des entretiens avec huit personnes ouïghoures, l'écrivain et avocat canadien Ajit Singh et le rédacteur en chef de Grayzone, Max Blumenthal, ont écrit dans l'article de Grayzone. "Sur la base de ce petit échantillon de sujets de recherche dans une zone dont la population totale est de 20 millions d'habitants, le CHRD a" extrapolé des estimations "selon lesquelles" au moins 10% des villageois […] sont détenus dans des camps de rééducation, et 20% sont forcés de participer à des camps de rééducation jour / soir dans les villages ou les cantons, totalisant 30 pour cent dans les deux types de camps '' , indique l'article. En appliquant ces taux estimatifs à l'ensemble du Xinjiang, le CHRD est arrivé aux chiffres qu'il a soumis à l'ONU affirmant qu'un million de personnes de souche ouïghoure ont été "détenues dans des camps de rééducation" et que deux millions d'autres ont été "forcées de se présenter le jour / des séances de rééducation en soirée " , ajoute l'article. Les «camps», selon le CHRD, sont en fait des centres d'enseignement et de formation professionnels qui utilisent un modèle d'internat qui permet aux stagiaires de rentrer régulièrement chez eux et accorde des congés pour s'occuper de leurs affaires personnelles. Grayzone a précédemment rapporté que CHRD reçoit un soutien financier important de la National Endowment for Democracy (NED). NED est une fondation américaine soutenue par la CIA qui aurait joué un rôle essentiel dans d'innombrables changements de régime à travers le monde. Capture d'écran d'un rapport de la zone grise sur le Xinjiang Chercheur d'extrême droite La deuxième étude, comme Grayzone l'a découvert, s'appuyait sur des rapports et des spéculations médiatiques fragiles. Cette étude a été rédigée par Adrian Zenz, chercheur principal en Chine, à la Fondation d'extrême-droite Victims of Communism Memorial, qui a été créée par le gouvernement américain en 1983. "Comme le CHRD, Zenz est arrivé à son" plus d'un million "estimé Chiffre utilisant une méthodologie douteuse. Il l'a basée sur un seul rapport par Istiqlal TV, une organisation de médias exil ouïghoure basée en Turquie, qui a été republiée par Newsweek Japan " , ont déclaré Singh et Blumenthal. "Loin d'être une organisation journalistique impartiale, Istiqlal TV fait avancer la cause séparatiste tout en accueillant un assortiment de personnalités extrémistes." Abdulkadir Yapuquan, chef de file du groupe terroriste du Mouvement islamique du Turkestan oriental (ETIM), est un invité fréquent sur Istiqlal TV. Zenz tente également de justifier ses estimations en citant des informations de Radio Free Asia, une agence de presse financée par les États-Unis créée par la CIA pendant la guerre froide pour diffuser de la propagande contre la Chine, selon les recherches de Grayzone. Dans une interview accordée à Radio Free Asia en novembre 2019, Zenz a même gonflé le chiffre d'un million en affirmant que la Chine détenait 1,8 million de personnes. Dans une interview exclusive avec le Global Times, le porte-parole de la région autonome ouïghoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a déclaré que les soi-disant savants, dont Zenz, travaillent en fait pour l'agence de renseignement américaine, et qu'ils coopèrent avec les forces anti-chinoises aux États-Unis pour salir les politiques chinoises du Xinjiang . "Déguisés en experts, ils ont fait des remarques sans fondement et calomnié autant que possible les politiques chinoises du Xinjiang, dans le but de galvaniser les forces anti-chinoises aux États-Unis. Ce qu'ils ont fait dépassait le cadre universitaire - en utilisant la recherche universitaire comme couverture, ils ont calomnié et sali La Chine, qui sont aussi les vieilles astuces utilisées par les Etats-Unis " , a ajouté le porte-parole. "La demande de détention d'un million de personnes est un non-sens et est née de rien." Une femme joue avec sa petite-fille dans une station de ski du comté de Baicheng, au Xinjiang. Photo: Shan Jie / GT Grayzone a également constaté que Zenz est un chrétien fondamentaliste d'extrême droite qui s'oppose à l'homosexualité et à l'égalité des sexes, soutient la "fessée scripturale" des enfants et croit qu'il est "dirigé par Dieu " dans une "mission" contre la Chine. Une recherche sur le profil Twitter de Zenz ne renvoie aucun tweet concernant la montée de l'islamophobie en Occident, ni des guerres américaines et des frappes de drones contre les pays à majorité musulmane. Le seul Tweet de Zenz concernant les musulmans qui n'est pas lié à la Chine est un déni du double standard pour juger la violence lorsqu'elle est perpétrée par des Blancs au lieu de Musulmans. Dans un rapport séparé publié en août 2018 par Blumenthal, il a déclaré que Washington voulait faire pression sur la Chine et pousser les États-Unis à déclencher un conflit avec la Chine. Il s'est entretenu avec le président du Congrès mondial ouïghour (WUC), Omer Kanat, qui s'est vu attribuer le mérite d'avoir fourni de nombreux reportages sur les camps d'internement présumés dans les médias occidentaux. Dans le rapport, Blumenthal a noté que Kanat lui avait dit que plus d'un million de personnes se trouvaient dans les camps du Xinjiang et que le chiffre avait été proposé par certains médias occidentaux. Kanat a également déclaré que le WUC a offert plus d'informations sur les centres de formation au Xinjiang au gouvernement américain et aux médias occidentaux.Dans une interview avec Süddeutsche Zeitung, Dolkun Isa, chef du WUC, a admis qu'ils visaient à exercer plus de pression sur la Chine et à forcer les entreprises occidentales à se retirer du Xinjiang. "Ce qui se passe aujourd'hui dans le Xinjiang doit être replacé dans le contexte de ce qui s'est passé dans toute l'Asie centrale" , lit-on dans un rapport de Workers World du 18 décembre. Le Xinjiang est un centre logistique majeur pour la ambitieuse initiative chinoise Belt and Road . Le Xinjiang est la porte d'entrée vers l'Asie centrale et occidentale, ainsi que vers les marchés européens. "Le gouvernement américain est profondément hostile à ce vaste projet de développement économique et fait tout ce qu'il peut pour saboter les plans de la Chine. Cette campagne fait partie du" Pivot to Asia "de l'armée américaine, ainsi que des menaces navales en mer de Chine méridionale et du soutien à mouvements séparatistes à Hong Kong, Taiwan et au Tibet " , lit-on dans l'article. |
| | Posté le 27-12-2019 à 10:04:04
| Le Dalaï lama revendique juste l autonomie du Tibet,c est la jeunesse Tibétaine qui est pour l indépendance.on verra bien ce qui se passera après la mort de Tenzin Gyatso. |
| | Posté le 27-12-2019 à 10:05:39
| Les guerres impérialistes américaines en Terre d Islam n ont rien à voir avec l islamophobie ! |
| | Posté le 27-12-2019 à 12:00:34
| marquetalia a écrit :
Le Dalaï lama revendique juste l autonomie du Tibet,c est la jeunesse Tibétaine qui est pour l indépendance.on verra bien ce qui se passera après la mort de Tenzin Gyatso. |
la "jeunesse tibétaine est pour l'indépendance" ... c'est combien marquetalia ? D'où tires-tu cette certitude ? Où sont tes chiffres ? Comment peux-tu prétendre que le Dalaï Lama veut "juste l'autonomie" ? C'est lui qui est à la tête du mouvement séparatiste et ses prétextes visent le séparatisme c'est-à-dire l'indépendance. Le format du forum permet de poster des textes longs, avec chiffres, citations et arguments à l'appui, de façon à faire progresser l'unité de façon scientifique. Si tu en restes aux affirmations péremptoires, ça ne sort pas des débats de comptoir et ça ne fait rien avancer.
Edité le 27-12-2019 à 12:53:25 par Xuan |
| | Posté le 27-12-2019 à 12:01:13
| marquetalia a écrit :
Les guerres impérialistes américaines en Terre d Islam n ont rien à voir avec l islamophobie ! |
Rien à voir avec le sujet. |
| | Posté le 27-12-2019 à 14:21:31
| Je cite "..une recherche sur le profil Twitter de Zenz ne renvoie aucun tweet concernant la montée de l islamophobie en Occident,ni des guerres américaines et des frappes de drones contre les pays à majorité musulmane..."il faut arrêter de reproduire ces dernières thèses trotskystes sur un forum qui se éclame de Staline !
Edité le 27-12-2019 à 22:48:27 par marquetalia |
| | Posté le 27-12-2019 à 15:01:14
| Concernant la"jeunesse Tibétaine", évidemment,elle ne représente pas la jeunesse Tibétaine proprement dite,sinon les "Al Shaabab" somaliens-terme qui signifie "jeunesse" en arabe-serait la jeunesse somalienne,alors qu en fait ces barbus ne sont que des crapules qui ne représentent pas les jeunes de ce pays. https://www.tibetanyouthcongress.org/
Edité le 28-12-2019 à 19:33:09 par marquetalia |
| | Posté le 27-12-2019 à 15:05:14
| Le projet de Tenzin Gyatso pour le "Grand Tibet"ou "Tibet Historique"est ethniciste http://tibetdoc.org/index.php/politique/exil-et-dalai-lama/485-le-dalai-lama-qu-entend-il-par-une-autonomie-reelle-du-tibet |
| | Posté le 28-12-2019 à 10:51:16
| Xuan, en effet,tu avais raison,le Dalaï lama est ouvertement séparatiste.
Edité le 28-12-2019 à 21:06:19 par marquetalia |
| | Posté le 29-12-2019 à 00:08:25
| marquetalia a écrit :
Je cite "..une recherche sur le profil Twitter de Zenz ne renvoie aucun tweet concernant la montée de l islamophobie en Occident,ni des guerres américaines et des frappes de drones contre les pays à majorité musulmane..."il faut arrêter de reproduire ces dernières thèses trotskystes sur un forum qui se éclame de Staline ! |
Il n'y a aucune thèse derrière cette constatation. l islamophobie en Occident, les guerres américaines et les frappes de drones contre les pays à majorité musulmane sont un fait. |
| | Posté le 29-12-2019 à 09:35:46
| Je préfère rester impartial dans les conflits américains contre les groupes djihadistes,vu la merde que fouttent ces cons d islamistes radicaux.evidemment,la charia"prélude à la justice sociale".
Edité le 29-12-2019 à 09:37:16 par marquetalia |
| | Posté le 29-12-2019 à 11:06:44
| la lutte des USA contre les djihadistes est très ambigüe, le résultat en Afghanistan n'est pas démontré. Et la "justice sociale" de la charia ne vaut pas plus cher que celle du fascisme mussolinien. En fait la "lutte contre le terrorisme" menée par les USA au Moyen Orient a servi essentiellement à s'approprier des richesses (dernier exemple en date les puits de pétrole en Syrie) et à s'implanter. La Chine a toujours appelé à lutter contre le terrorisme et il ne s'agit pas de cela, mais de l'attitude des USA dans les pays musulmans. Le fait est que les USA ont d'abord largement soutenu l'islamisme radical, puis détruit la Libye, puis entravé la lutte anti terroriste en Syrie, etc. Le propos de cet article n'est en aucun cas de soutenir le terrorisme, mais de démontrer que les USA critiquent la politique chinoise envers les minorités musulmanes alors qu'ils sont la cause de milliers de morts dans les pays musulmans. Au contraire au Xinjiang la politique de répression, d'éducation, de formation professionnelle et de développement économique vise à combattre l'islamisme radical et le sécessionisme. |
| | Posté le 30-12-2019 à 08:49:08
| Les Usa n interviennent pas en Irak,par exemple, uniquement contre Daech et Al Qaeda...mais également contre des "éléments pro Iran", à savoir le Hezbollah,qui ont versé leur sang dans la lutte sans merci contre les djihadistes sunnites en question ,que les puissances impérialistes sont sensées combattre,l actualité le prouve.
Edité le 30-12-2019 à 09:07:39 par marquetalia |
| | Posté le 03-01-2020 à 13:30:10
| Les États-Unis ne réussiront pas à creuser un fossé entre la Chine et l'Asie centrale Par Yu Jincui Source: Global Times Publié: 2020/1/1 20:15:58 https://www.globaltimes.cn/content/1175414.shtml Les gens dansent sur une place lors d'un festival culturel et touristique sur le thème de la culture Dolan et Qiuci dans le comté d'Awat de la préfecture d'Aksu, dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang , dans le nord-ouest de la Chine, le 25 octobre. Phont: Xinhua L'Asie centrale est la dernière cible de la tentative américaine de semer la discorde sur les politiques et mesures de la Chine dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang. Le secrétaire d'État américain Mike Pompeo doit se rendre au Kazakhstan et en Ouzbékistan lors d'une tournée de cinq pays en Europe et en Asie centrale de vendredi à mardi. Selon les médias, le haut diplomate américain soulèvera des questions liées au Xinjiang lors de pourparlers bilatéraux et lors d'une réunion ministérielle de cinq pays d'Asie centrale et des États-Unis (C5 + 1) au cours de son voyage, les États-Unis n'ayant "vu aucune amélioration notable". dans la situation là-bas. " La visite intervient au milieu d'une campagne de diffamation en cours lancée par les États-Unis contre les efforts de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation du Xinjiang. Depuis un certain temps, les États-Unis attaquent sans cesse la gouvernance chinoise du Xinjiang et incitent les pays et les régions du monde à critiquer le gouvernement chinois sur sa politique au Xinjiang. Cependant, les gens peuvent distinguer le bien du mal. Un groupe de 50 pays a signé une lettre en juillet 2019 au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies et au Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, exprimant son soutien à la gouvernance de la Chine au Xinjiang, parmi lesquels des pays d'Asie centrale, le Tadjikistan, le Turkménistan et l'Ouzbékistan. Les affaires concernant le Xinjiang ne concernent pas la religion, l'ethnie ou les droits de l'homme, mais la lutte contre la violence, le terrorisme et le séparatisme - les pays d'Asie centrale adjacents au Xinjiang le savent bien et ils ont grandement profité de la stabilité au Xinjiang. Le fait que le Xinjiang connaisse maintenant la paix et le développement est une bénédiction pour toute la région, en particulier en Asie centrale. Tous les pays et régions voisins auraient souffert si le Xinjiang était toujours embourbé dans les troubles provoqués par les attaques terroristes. La région du Xinjiang et les pays d'Asie centrale sont tous confrontés aux menaces des "trois forces du mal", à savoir le terrorisme, l'extrémisme et le séparatisme, et ils partagent des intérêts communs en termes de lutte contre le terrorisme. La Chine explore une nouvelle façon de lutter contre les "trois forces du mal" en créant des centres d'enseignement et de formation professionnels pour offrir aux stagiaires des cours comprenant la langue, le droit, les compétences professionnelles et la déradicalisation du pays. Les mesures s'attaquent à la fois aux symptômes et aux causes profondes et se sont révélées efficaces. Le Xinjiang n'a connu aucun incident terroriste depuis près de trois ans depuis le début de l'éducation et de la formation. Le "modèle du Xinjiang" mérite d'être étudié ou imité par des pays frappés par le terrorisme comme ceux d'Asie centrale. Néanmoins, une tendance notable est que les États-Unis accroissent leur attention sur l'Asie centrale. Un haut responsable du département d'État américain a révélé en décembre qu'une nouvelle stratégie américaine pour l'Asie centrale serait bientôt publiée. Bien que jusqu'à présent, Washington n'ait augmenté aucun apport tangible dans la région, le prochain voyage de Pompeo en Asie centrale indique que les États-Unis vont jouer une carte idéologique pour creuser un fossé entre la Chine et l'Asie centrale. La Chine doit être vigilante face à la tentative américaine d'alimenter l'antipathie à son encontre en Asie centrale en qualifiant les efforts de lutte contre le terrorisme de la Chine de "répression musulmane". Les pays d'Asie centrale doivent également voir à travers le complot américain. Le soutien mutuel en matière de lutte contre le terrorisme et d'approfondissement de la coopération entre la Chine et l'Asie centrale est conforme aux intérêts de toutes les parties. Le bon élan de la confiance et de la coopération mutuelles ne sera pas et ne devrait pas être entravé par les États-Unis. La coopération Chine-Asie centrale vise un objectif plus important et plus grand, à savoir le développement commun. |
| | Posté le 03-01-2020 à 14:33:34
| Xuan a écrit :
.... La coopération Chine-Asie centrale vise un objectif plus important et plus grand, à savoir le développement commun. |
Après les dominations russe et soviétique, les pays d'Asie centrale, enclavés entre ces deux empires adjacents, n'ont pas vraiment d'autres issues que de s'entendre avec leurs puissants voisins. La formule d'une union eurasiatique est plus réaliste que l'intervention "droits de l'hommiste" des américains, les résultats, avérés en Irak, Libye et Syrie ne laissent rien de bon à espérer d'une nouvelle intervention américaine. Ni Mike Pompéo, ni Hilary Clinton, ni Collin Powell n'ont développé les pays que leurs militaires ont bombardés, ils ont semé la misère, la violence et le terrorisme permettant le pillage des ressources de ces pays par les multinationales américaines. |
| | Posté le 03-01-2020 à 20:37:32
| Tu oublies Obama,il a aussi commandité des "frappes chirurgicales", aussi bien en Afghanistan qu en Irak. |
| | Posté le 04-01-2020 à 04:29:07
| Si tu avais lu correctement ma réponse, tu aurais noté que je citais les secrétaires d'Etat, pas les présidents. Et je ne fais pas de différence entre les équipes au pouvoir à Washington, toutes impérialistes. |
| | Posté le 10-05-2020 à 13:51:36
| Le WUC ouïghour est utilisé par l’Occident pour embraser le monde https://www.jacques-tourtaux.com/blog/chine/andre-vltchek-le-wuc-ouighour-est-utilise-par-l-occident-pour-embraser-le-monde.html?fbclid=IwAR3bC0Fn5xZdg115BoXzSu70gaQqVxDvdbQiEz1T0NsbH7yKP_EJosb-vgY Par Andre Vltchek Mondialisation.ca, 24 mars 2020 Les médias occidentaux vous ont dit de plaindre les Ouïghours, un groupe ethnique minoritaire chinois de la province du Xinjiang. On vous a demandé de « les soutenir » et de « défendre leurs droits ». Ils vous ont dit que les Ouïghours sont victimes de discrimination et que la Chine essaie injustement de détruire leur culture. Ce que vous n’êtes pas censé savoir, c’est que de nombreux événements apparemment sans rapport les uns avec les autres que vous suivez sur vos écrans de télévision ou dans les pages de vos journaux, sont en fait directement liés aux Ouïghours et à leur « Congrès Ouïghour Mondial » (WUC) militant pro-occidental. Vous avez lu que le Président turc Recep Tayyip Erdogan a soudainement craqué, en s’opposant à la Russie, provoquant même l’Union Européenne et en envoyant de plus en plus de troupes d’occupation dans la Syrie voisine. On pourrait vous pardonner de penser qu’il est devenu fou. Mais non, il y a en fait une logique d’acier dans ses actions. Pendant des décennies, Erdogan a cru que la minorité ethnique turque, principalement présente dans la province chinoise du Xinjiang, est le berceau de la nation turque. Lorsqu’il était maire de la ville d’Istanbul, il a même érigé une petite statue d’un Ouïghour, dans le quartier historique du Sultan Ahmed. Après l’éclatement de la guerre en Syrie, ou plus précisément, après que l’Occident ait entamé une tentative de renversement du Président Assad, la Turquie a fait venir des Ouïghours militants de Chine, et a commencé à les utiliser à l’intérieur du territoire syrien. J’ai décrit cela dans mon long essai « La marche des Ouïghours », publié par ce magazine (New Eastern Outlook). La version longue de l’essai sera bientôt publiée sous forme de livre. La Turquie a traîné les cadres du Djihad ouïghour et leurs familles à travers l’Indonésie et d’autres pays, leur fournissant des passeports turcs, pendant toute la durée du voyage. Elle les a formés dans des camps de réfugiés, principalement dans la région de Hatay (territoire historiquement syrien, saisi par la Turquie après la Première Guerre Mondiale), pour finalement les injecter à Idlib (une province syrienne). Là, souvent sous l’influence de drogues de combat, les combattants ouïghours ont commis des crimes contre l’humanité, assassinant des centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, tout en dépeuplant des villages et des villes entières. Ils ont coopéré avec divers groupes terroristes, principalement originaires des pays arabes, qui tiennent toujours la région. J’ai interrogé plusieurs familles syriennes qui avaient fui avec horreur le massacre. J’ai également interrogé des commandants syriens aux frontières des zones détenues par les terroristes, en 2019. Tant les civils que les forces armées ont témoigné qu’ils n’avaient jamais rencontré une telle brutalité de toute leur vie. La Turquie, membre de l’OTAN, faisait essentiellement une faveur à ses alliés occidentaux. Les Ouïghours ont été injectés dans les champs de bataille du Djihad en Syrie, afin de s’endurcir encore plus, et finalement de retourner en Chine, perturbant ainsi la paix et « l’Initiative la Ceinture et de la Route » vitale – le grand projet internationaliste du Président Xi Jinping. L’île indonésienne rétive de Sulawesi a également été utilisée, bien que dans une moindre mesure, pour la formation des combattants ouïghours. Aujourd’hui, les forces turques se terrent dans le gouvernorat d’Idlib, engageant directement l’Armée Syrienne, tout en menaçant l’Armée Russe d’une nouvelle guerre. La Russie se plaint que la Turquie n’a pas réussi à séparer les terroristes de l’opposition légitime. Cela définit en fait la situation en des termes extrêmement modérés. La Turquie soutient directement les terroristes dans la région d’Idlib, et cela inclut plusieurs ramifications de ce qui était connu sous le nom d’État Islamique, et par tous les moyens les Ouïghours et leurs contingents. Ankara veut à nouveau régner sur la région, comme elle l’a fait par le passé. Mais maintenant, elle joue un jeu extrêmement complexe ; elle veut reconstruire son empire en dressant l’OTAN, les États-Unis, l’Europe, les terroristes, les islamistes et la Russie les uns contre les autres. Pour la Turquie, les Ouïghours n’ont été qu’un pion de plus dans son jeu impérialiste brutal.
* Même en Afghanistan – le nouvel élan est directement et indirectement lié aux Ouïghours. La Syrie est libérée par ses forces armées, et les terroristes sont progressivement et silencieusement évacués par les alliés occidentaux, principalement la Turquie. Où vont-ils ? Un des pays est, bien sûr, l’Afghanistan. Il y a deux ans déjà, on m’a dit à Kaboul et à Jalalabad que l’État Islamique se déplaçait en grand nombre vers l’Afghanistan, où il opère principalement dans les zones rurales. Il ne fait aucun doute que les jihadistes ouïghours sont également en Afghanistan. Maintenant qu’ils sont bien entraînés et endurcis, ils sont prêts à rentrer en Chine, mais aussi dans les anciennes républiques soviétiques, voire en Russie. Tout cela se déroule conformément au plan des États-Unis et de l’OTAN. En outre, l’Occident a récemment ajouté divers « éléments affectifs » déformés au conflit, dépeignant les Ouïghours vivant dans le Xinjiang comme des « victimes », déformant la réalité et jouant soudain ce que l’on pourrait appeler la « carte musulmane ». La Chine n’a, historiquement, aucun problème avec les Musulmans (c’est l’Occident qui en a, par le biais de l’aventurisme colonialiste et néocolonialiste). Une visite dans l’ancienne capitale chinoise de Xi An illustrerait clairement les liens entre les cultures han et musulmane. Xi An est l’endroit d’où l’ancienne route de la soie partait, reliant la Chine à l’Asie Centrale, et à ce qui est maintenant défini comme le Moyen-Orient, ainsi qu’au reste du monde.
* En décembre 2012, le Global Times a rapporté : « Le Congrès Ouïghour Mondial (WUC), une organisation qui serait liée à des groupes terroristes et qui reçoit de l’argent d’organisations politiques occidentales, a longtemps joué un rôle important dans la diffamation des politiques de la Chine dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang et dans la consolidation des stéréotypes des médias occidentaux sur la Chine. Certains médias et politiciens occidentaux, ainsi que le WUC, ont fait de l’hypnose et ont sali la politique chinoise dans le Xinjiang, mais restent silencieux sur les informations diffusées par le gouvernement chinois ou ses médias. Le siège du WUC est situé dans un immeuble bas de la Adolf-Kolping-Strasse, près de la gare et du quartier commercial de Munich, en Allemagne. Le bâtiment, dont l’extérieur est discret, est devenu le cœur des séparatistes du Xinjiang chinois et le cerveau de nombreux militants séparatistes du Xinjiang. L’objectif principal du WUC de séparer le Xinjiang de la Chine n’a jamais changé, a déclaré Weinsheimer, un spécialiste allemand des groupes ethniques de Chine, au Global Times » . Des rapports comme celui-ci sont généralement rejetés par la propagande et les médias occidentaux comme une tentative des journaux pro-gouvernementaux chinois de couvrir les violations des droits de l’homme contre les Ouïghours dans le Xinjiang. Toutefois, mon enquête directe en Turquie, en Europe, en Syrie, en Indonésie et dans plusieurs autres régions du monde a montré que la Chine adopte une approche impartiale, tout en étant confrontée à une menace terroriste extrêmement dangereuse sur son propre territoire. Même à Hong Kong, la « question ouïghoure » a été utilisée par l’Occident et Taiwan, pas plus tard qu’en décembre 2019. Je l’ai couverte et, comme toujours, j’ai des preuves photographiques claires. Ce que le Global Times a rapporté n’était en fait qu’une réaction molle à la politique brutale de l’Occident, qui vise à briser en morceaux le pays le plus peuplé du monde – la RPC. C’est pourquoi j’aborde périodiquement ce sujet si impopulaire, voire caché, en Occident.
* Les Ouïghours sont en première ligne dans le combat de l’Occident contre la Chine. Washington, Londres, Berlin ont plusieurs fronts ouverts contre Pékin. Il existe également différents types de fronts : économiques, politiques, idéologiques et même militaires. Nuire à la Chine (et à la Russie, l’Iran, le Venezuela et d’autres) est le principal objectif de la politique étrangère occidentale. Le Congrès Ouïghour Mondial (WUC) est prêt à aider les États-Unis, l’Europe et l’OTAN (en particulier la Turquie) dans leurs efforts pour nuire à la Chine, et pour perturber la BRI. Pourquoi ? C’est parce que la BRI est le pire cauchemar du néocolonialisme occidental. Je l’explique dans mon récent livre : « Initiative Ceinture et Route de la Chine : Connecter les pays pour sauver des millions de vies ». La Chine est profondément impliquée dans ce formidable projet que je décris souvent comme la dernière étape de la décolonisation mondiale. La Russie y participe aussi de plus en plus ; dans plusieurs cas, elle prend même la tête du projet. L’Occident ne peut rien offrir de positif, d’optimiste. Il salit la Chine et la Russie, et il renverse ou intimide des gouvernements qui ne veulent pas sacrifier des millions de leurs citoyens sur l’autel du capitalisme extrême et brutal et de l’impérialisme occidental. Les médias occidentaux mettent en garde les écrivains contre l’utilisation de ces « termes dépassés ». Foutaises : ils ne sont pas dépassés, ils sont réels ! L’impérialisme n’a jamais pris fin. Le colonialisme continue de piller et de ruiner des dizaines de pays sur tous les continents. La Chine et la Russie, ainsi que le Venezuela, la Syrie, l’Iran, Cuba et d’autres, se battent pour les misérables du monde. C’est aussi simple que cela.
* Le WUC et son « Président », Dolkun Isa, ont clairement décidé de prendre l’argent et d’accepter le diktat de l’Occident. Parallèlement, en accueillant le siège du WUC sur son territoire, l’Allemagne a, une fois de plus, décidé de jouer un rôle extrêmement négatif dans la politique mondiale. Pas étonnant que les drapeaux allemands flottent désormais partout à Hong Kong, aux côtés de ceux des États-Unis et du Royaume-Uni, chaque fois que les émeutiers décident de descendre dans la rue. L’Allemagne soutient sans hésitation les émeutiers de Hong Kong, ainsi que le WUC. À présent, l’Allemagne et la Turquie se sont décidées toutes les deux, en joignant leurs forces à celles de Washington et de Londres, contre la République populaire de Chine et son droit à une existence sûre. C’est une situation très dangereuse, mais elle est réelle et il n’y a pas lieu de cacher la réalité. Les extrémistes ouïghours ont été désignés pour faire exploser à la fois la Chine et la partie progressiste du monde. La Chine essaie de calmer la situation, de négocier de bonne foi. Ce n’est pas facile. L’Occident, la Turquie et les forces musulmanes extrémistes opérant dans le monde entier, poussent les Ouïghours radicaux et leur WUC dans une confrontation horrible et sanglante avec Pékin. Il est temps de faire connaître la situation. Le jeu de l’Occident, mortel et extrêmement dangereux, doit être exposé. Andre Vltchek Article original en anglais : The pro-Western World Uyghur Congress (WUC) Is Being Used “To Detonate the World” Traduit par Réseau International La source originale de cet article est Mondialisation.ca Copyright © Andre Vltchek, Mondialisation.ca, 2020 https://www.mondialisation.ca/le-wuc-ouighour-est-utilise-par-loccident-pour-embraser-le-monde/5643238 |
| | | | Posté le 19-06-2020 à 20:52:16
| L auteur de l article raconte n importe quoi,les Huis,des Hans islamisés,sont parfaitement intégrés en Chine Populaire,et,de surcroît,les Huis font partie des populations de Chine Continentale qui s installent au Xinjiang.
Edité le 21-06-2020 à 14:39:05 par marquetalia |
| | Posté le 20-06-2020 à 03:04:44
| Moi personnellement je me suis marré. Gorafi. Cependant si les triades ne proliféraient pas avec l'accord de dirigeants e filous ripoux cadres du PCC, il n'y aurait pas ces histoire à la con. Il y a aussi le fait que le gouvernement chinois rase des mosquées avec des prétexte biddon style construire un hôpital pour lutter contre le coronavirus ! C'est ce que l'ont appelle en anglais "being spitefull towards muslims...." Il y a des messages politiques qui sont envoyés, qui vont à l’encontre de ce que la Chine veut faire paraître d'elle même.... Sans parler des prisons secrètes, sur ce point je comprend pourquoi les gas de la CIA rendent leur opérations publique. Sur ce point Poutine s'en était mieux sorti avec les Tchétchènes ! |
| | Posté le 21-06-2020 à 08:52:56
| Gorafi : on peut parler aussi des triades qui prolifèrent avec l'accord de dirigeants e filous ripoux cadres du PCC La Chine combat trois objectifs au Xinjiang : le terrorisme, le séparatisme et l'extrémisme religieux. Encore une fois ce n'est pas un combat fictif. Je vous invite à chercher les informations en provenance de Chine sur les conséquences de ces trois plaies, qui sont insupportables pour toute société et en priorité pour les minorités ouïgours : vidéo La propagande contre la Chine sur ce sujet fait partie des objectifs des USA et relève de la guerre "hors limite". Avant de reprendre tous les ragots qui traînent il faut s'interroger sur les sources et la cause qu'ils servent. Il est aisé de répandre n'importe quelle insinuation, fake new et autres calomnies, assorties de "preuves" bidon, et de les relayer dans toute la presse occidentale, laquelle se prête volontiers à la campagne anti-chinoise. je vous demande de lire au moins la presse en ligne chinoise sur ce sujet. Je ne peux pas passer mon temps à déminer tous les fonds de poubelle. Vous êtes des grands garçons et vous pouvez aussi faire l'effort de chercher.
______________________ Le projet de loi américain Uygur ne peut pas perturber la stabilité du Xinjiang: un porte-parole régional Par Liu Xin Source: Global Times Publié: 2020/6/19 22:18:26 Voir dans l'article une vidéo sur la construction de mosquées modernes en remplacement des mosquées et plusieurs témoignages de Ouïghours sur les travaux de rénovation. 00:00:00 / 08:45 Le gouvernement de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) et les personnes de tous les groupes ethniques dénoncent et s'opposent au projet de loi américain Uygur, et ne peuvent en aucun cas perturber la prospérité et la stabilité du Xinjiang, a déclaré vendredi le porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang lors d'une conférence de presse. Le président américain Donald Trump a signé mercredi la loi ouïghoure sur la politique des droits de l'homme de 2020, qui accuse à tort la Chine d'avoir "opprimé" des groupes ethniques au Xinjiang, et impose des sanctions aux entreprises et aux responsables chinois pour "violations des droits de l'homme". La décision des États-Unis viole gravement le droit et les normes internationales, interfère dans les affaires intérieures de la Chine et nuit aux sentiments des gens de tous les groupes ethniques du Xinjiang. Le gouvernement du Xinjiang et les gens de tous les groupes ethniques le dénoncent et s'y opposent fermement, a déclaré vendredi Eljan Anayt, porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang. L'acte révèle que les États-Unis utilisent les droits de l'homme comme un déguisement pour mettre en œuvre des politiques hégémoniques, intimider les autres en imposant des sanctions et tenter de détruire la stabilité de la région du Xinjiang et de contenir la Chine, a déclaré Eljan. Le projet de loi ouïgour "n'est qu'un morceau de papier sans valeur, qui ne peut en aucun cas perturber la prospérité et la stabilité du Xinjiang, empêcher les personnes de toutes les ethnies de rechercher un avenir meilleur dans la solidarité, et anéantir le développement et les progrès de la région dans le domaine des droits de l'homme. Au Xinjiang la poursuite d'une vie meilleure par les gens, toute tentative de contenir la Chine en jouant la carte du Xinjiang est susceptible de lui nuire, a déclaré le porte-parole. Certains médias ont allégué que le Xinjiang avait privé les résidents locaux de voyager à l'étranger ou d'avoir des communications avec leurs proches à l'étranger. Yalkun Yakuf, directeur adjoint du département de la sécurité publique, a déclaré lors de la conférence de presse que le Xinjiang n'a jamais empêché les personnes de tous les groupes ethniques, y compris les Ouïgours, de voyager, ni restreint leurs communications avec leurs proches à l'étranger. Il y a quelques centaines de milliers de personnes originaires du Xinjiang qui vivent dans le monde. Les gens de toutes les ethnies du Xinjiang sont libres de contacter leurs proches à l'étranger, soit par téléphone, soit par liaison audio / vidéo sur des applications de messagerie instantanée comme Wechat et QQ, a déclaré le responsable. "Je réitère que toute personne au Xinjiang, quelle que soit son origine ethnique, est libre de voyager à l'étranger à moins qu'elle ne soit interdite de le faire en cas de suspicion de commettre des crimes ", a déclaré Yalkun. Selon la Constitution, personne ne peut porter atteinte à la liberté de communication des citoyens, sauf dans les cas impliquant la sécurité nationale ou dans les enquêtes pénales. Les hauts responsables du Xinjiang ont également réfuté les rumeurs diffusées par les forces anti-chinoises lors de la conférence de vendredi. Certains médias ont rapporté récemment que le Xinjiang subissait une "démolition forcée de mosquées" . Cependant, Mehmut Wusman, le directeur de la Commission régionale des affaires ethniques du Xinjiang, a déclaré que c'était un "non-sens" complet. Mehmut a déclaré que le Xinjiang garantit les besoins religieux légaux des croyants, accordant une grande importance à la préservation et à la rénovation des mosquées. Un assez grand nombre de mosquées au Xinjiang ont été construites dans les années 1980 et 1990 ou même plus tôt. Avec la croissance de l'urbanisation et de la construction de nouvelles campagnes, les gouvernements locaux ont ajusté les dispositions de certaines anciennes mosquées délabrées avec de nouveaux bâtiments, en les relocalisant et en les agrandissant en fonction des besoins des croyants religieux, ce qui a facilité la vie des croyants pour prier et être accueillis par le personnel religieux et les croyants, a déclaré le responsable. Récemment, certains médias étrangers ont affirmé que le Xinjiang avait démoli la mosquée Jami dans le comté de Yecheng dans la préfecture de Kashgar, et la mosquée Id Kah dans le comté de Yutian dans la préfecture de Hotan. "Mais la réalité est totalement opposée. Les deux mosquées de plus de 100 ans n'ont pas été démolies; au lieu de cela, elles sont préservées et en bon état" , a déclaré Mehmut., a déclaré Mehmut. "Je veux demander à ces marchands de rumeurs - Vous inventez des histoires, vous vous comportez comme un clown. Ne pensez-vous pas que c'est absurde?" Me demanda Mehmut.
Edité le 21-06-2020 à 13:48:37 par Xuan |
| | Posté le 27-06-2020 à 18:27:13
| https://oumma.com/la-cause-ouighoure-coqueluche-de-loccident/ La cause ouïghoure, coqueluche de l’Occident par Bruno Guigue 21 mars 2019 Reprise en boucle par les médias occidentaux, l’accusation portée contre la Chine s’est répandue comme une traînée de poudre : dans sa province stratégique du Xinjiang, Pékin aurait « emprisonné un million de Ouïghours dans des camps d’internement et contraint deux millions d’entre eux à suivre des cours de rééducation ». Les Ouïghours sont l’une des 54 nationalités minoritaires reconnues par la Constitution de la République populaire de Chine. Située à l’extrémité occidentale de la Chine, la Région autonome ouïghoure du Xinjiang a une population composite de 24 millions d’habitants, dont 46% de Ouïghours et 39% de Han. Si les allégations de la presse occidentale sont exactes, la population ouïghoure, qui est estimée à 10 millions de personnes, aurait donc subi un monstrueux coup de filet ! Pour interner un million de personnes, en effet, il faudrait capturer pratiquement la moitié de la population adulte masculine de cette malheureuse ethnie. Curieusement, aucun témoignage ne mentionne cette disparition massive dans les rues d’Urumqi, de Kashgar et des autres cités de la province autonome. Outre cette invraisemblance factuelle, le procès fait à Pékin souffre aussi de la partialité et de l’unilatéralité des sources d’information mentionnées. Croire sur parole le discours officiel est complètement naïf, mais tomber dans l’excès inverse en épousant aveuglément le discours oppositionnel ne vaut guère mieux. Or la narration médiatique relative à cette incarcération massive s’appuie sur un rapport rédigé par une organisation composée d’opposants au gouvernement chinois et financée par le gouvernement des Etats-Unis.1 Cette organisation qui a pignon sur rue à Washington, le « réseau des défenseurs chinois des droits de l’homme » (CHRD en anglais), est présidée par une fervente admiratrice du dissident chinois nobélisé Liu Xiaobo. Condamné à 11 ans de prison en 2009, puis décédé d’un cancer en 2017 peu après sa libération, ce dernier approuvait avec enthousiasme les interventions militaires US et appelait à la colonisation de son pays par les puissances occidentales afin de le « civiliser ». C’est ce réseau d’opposants en exil aux USA qui orchestre la campagne médiatique contre Pékin en présentant sa politique au Xinjiang comme une entreprise d’asservissement totalitaire. Comme par hasard, l’une des principales sources citées dans le « rapport accablant » du CHRD n’est autre que « Radio Free Asia », une station de radio gérée par le « Broadcasting Board of Governors », agence fédérale supervisée par le Département d’État et destinée à promouvoir les objectifs de la politique étrangère des Etats-Unis. Une autre source importante est le Congrès mondial des Ouïghours. Organisation séparatiste créée en 2004, elle est considérée comme terroriste par les autorités chinoises qui l’accusent d’être à l’origine des sanglantes émeutes d’Urumqi qui, en 2009, donnèrent le signal d’une déstabilisation de toute la région. Installée aux USA, sa présidente avait obtenu le soutien officiel de George W. Bush en 2007. Naturellement, cette organisation est financée par le « National Endowment of democracy », une émanation du Congrès des Etats-Unis qui constitue la cheville ouvrière des politiques de « changement de régime » et sur laquelle plane le soupçon d’une proximité douteuse avec la CIA. Comme le notent Ben Norton et Ajit Singh dans une étude récente, « la dépendance quasi totale à l’égard de sources liées à Washington est caractéristique des reportages occidentaux sur les musulmans ouïghours en Chine, comme sur ce pays en général, et ils présentent régulièrement des allégations sensationnelles ».2 En publiant un « Livre Blanc sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme et la protection des droits humains au Xinjiang », le 18 mars 2019, le gouvernement chinois a répondu à ces allégations.3 Peu commenté en Occident – et pour cause – , le terrorisme djihadiste qui a frappé durement la Chine dans les années 2009-2014 a créé dans ce pays un véritable traumatisme. Depuis le carnage qui fit 197 morts à Urumqi en mai 2009, les attentats commis par les séparatistes se sont multipliés : Kashgar en mai 2011 (15 morts), Hotan en juillet 2011 (4 morts), Pékin (sur la place Tiananmen) en octobre 2013 (5 morts), Kunming en mars 2014 (31 morts), puis à nouveau Urumqi en avril (3 morts) et en mai 2014 (39 morts). Encore cette énumération ne mentionne-t-elle que les attentats les plus sanglants sur le sol chinois. Confrontées à un phénomène semblable à la terreur importée en Syrie, les autorités chinoises ont réagi sans mollir. Dans le « Livre blanc » précité, Pékin affirme que, depuis 2014, 2 955 terroristes ont été arrêtés, 2 052 explosifs saisis et 30 645 personnes sanctionnées pour 4 858 activités religieuses illégales. Le document indique aussi que 345 229 copies de textes religieux illégaux ont été confisquées. Contrairement à ce qu’affirme la presse occidentale, il ne s’agit pas du Coran, mais d’une littérature wahabite takfiriste qui transpire la haine à l’égard des musulmans n’appartenant pas à cette obédience sectaire. Dans un pays où le pouvoir politique est jugé sur sa capacité à garantir la stabilité, il va de soi que toute tentative de déstabilisation – a fortiori par le terrorisme aveugle – est combattue sans pitié. On peut juger cette politique particulièrement répressive. Elle l’est, et les autorités chinoises ne s’en cachent pas. Un cap a sans doute été franchi lorsque la terreur s’est répandue hors de la province du Xinjiang. La perspective d’un embrasement général du pays a fait planer le spectre d’un scénario à la syrienne. Cette crainte était d’autant plus justifiée que la principale organisation séparatiste ouïghoure, le parti islamique du Turkestan, sévit en Chine comme en Syrie, où les Ouïghours (qui seraient encore au nombre de 15 000, familles incluses) sont particulièrement appréciés au sein de la mouvance djihadiste.4 Mais les défenseurs de cette noble cause oublient généralement de mentionner que cette organisation – qu’ils considèrent sans doute comme une association philanthropique – est la branche locale d’Al-Qaida. Frappant à l’aveugle, ses attentats ont fait des centaines de morts. Devant cette vague de violence, que devait faire le gouvernement chinois ? Contrairement aux Etats occidentaux, la Chine n’expédie pas ses extrémistes chez les autres. Elle combat vraiment le terrorisme, elle ne fait pas semblant. La surveillance est généralisée, la répression sévère, la prévention systématique. La presse occidentale fustige les camps de rééducation chinois, mais elle observe un mutisme complice lorsque la CIA offre des camps d’entraînement aux terroristes. En Chine, la répression des activités extrémistes est massivement approuvée par la population, et cette politique a eu pour résultat de faire cesser la violence armée. Mais les adversaires irréductibles du régime chinois font feu de tout bois : ils vont désormais jusqu’à incriminer son hostilité présumée à l’égard de l’islam. Or cette accusation repose sur du vent. La presse occidentale a cité des internautes qui auraient stigmatisé la religion musulmane et dénoncé la pratique du « halal ». Dans un pays où 300 millions de personnes tiennent un blog sur Internet et où la liberté de parole est beaucoup plus grande qu’on ne croit, des propos de toute nature sont tenus. Malheureusement, il y a des islamophobes en Chine comme ailleurs. Mais contrairement aux affirmations de la presse occidentale, le gouvernement chinois, de son côté, n’a jamais lancé de campagne contre la religion musulmane. Car l’islam fait partie des cinq religions officiellement reconnues par la République populaire de Chine au côté du taoïsme, du bouddhisme, du catholicisme et du protestantisme. Les mosquées sont innombrables (35 000), et elles constituent parfois des joyaux du patrimoine national attestant l’ancienneté de la présence musulmane. Aucune discrimination légale ne frappe les musulmans, qui sont libres de pratiquer leur religion dans le respect des lois. Comme les Ouïghours, les musulmans Hui disposent également d’une région autonome, le Ningxia. Les femmes Hui portent souvent le hijab, et rien ne l’interdit. On trouve des restaurants halal à peu près partout, notamment dans les gares et les aéroports. A l’intérieur de la Chine, l’islam fait partie du paysage. A l’extérieur de ses frontières, la RPC coopère avec des dizaines de pays musulmans dans le cadre de la Nouvelle Route de la Soie. Ceux qui soutiennent les séparatistes ouïghours et accusent Pékin de persécuter les musulmans commettent une triple erreur. Ils calomnient un pays qui n’a aucun contentieux avec le monde musulman et dont la politique a été saluée par l’Organisation de la Conférence islamique. Ils prennent parti pour des extrémistes affiliés à une organisation criminelle (Al-Qaida) dont la majorité des victimes sont de confession musulmane. Enfin, ils croient défendre les musulmans alors qu’ils servent les intérêts de Washington, qui est leur pire ennemi. Le problème du Xinjiang, ce n’est pas l’islam et sa prétendue persécution par les autorités chinoises. L’origine des troubles qui agitent cette partie du territoire chinois n’est pas religieuse, mais géopolitique : c’est l’instrumentalisation du religieux par des organisations sectaires qui doivent l’essentiel de leur nocivité à des complicités étrangères. Le problème du Xinjiang n’est pas davantage celui de la nation ouïghoure, intégrée dans la République populaire de Chine depuis sa fondation en 1949. Le Xinjiang faisait déjà partie de l’empire des Qing (1644-1912) et la présence chinoise y remonte à la dynastie Tang, il y a 1300 ans. Qu’il y ait des difficultés de cohabitation entre les uns et les autres n’est guère étonnant, s’agissant d’un problème auquel n’échappe aucun pays au monde. L’accroissement du peuplement han a sans doute nourri un sentiment de frustration chez certains Ouïghours. Mais cette situation paraît difficilement réversible. Le brassage multi-séculaire des populations et la fixation progressive des frontières ont uni une multitude de nationalités au sein de la République populaire de Chine. Elle a hérité de son prédécesseur impérial sino-mandchou l’essentiel de son assise territoriale. Il se trouve que les Ouïghours en font partie, et cet héritage historique ne saurait être balayé d’un trait de plume. Les détracteurs de la Chine affirment que les Han (90% de la population) sont dominateurs. Mais s’ils avaient voulu dominer les nationalités minoritaires, Pékin ne les aurait pas exemptées de la politique de l’enfant unique infligée à l’ethnie han de 1978 à 2015. Ce traitement de faveur a stimulé l’essor démographique des minorités, et notamment des Ouïghours. Utiliser le langage servant à décoder les pratiques coloniales pour expliquer la situation des nationalités en Chine n’a aucun sens. Depuis Mao, aucune discrimination ne frappe les minorités, bien au contraire. Malgré son éloignement et son aridité, le Xinjiang se développe au bénéfice d’une population multiethnique. Encouragé par des opposants inféodés à l’étranger et des droits-de-l’hommistes sans cervelle, le séparatisme ouïghour est une folie que vient redoubler une autre folie : celle du djihadisme planétaire parrainé par Washington depuis quarante ans. De même que le gouvernement des Etats-Unis a poussé les feux du djihad contre l’Union soviétique en Afghanistan, puis armé ses « proxys » du Moyen-Orient contre la Syrie, il instrumentalise aujourd’hui la cause ouïghoure pour déstabiliser la Chine sur son flanc occidental. Ce n’est pas un hasard si le Département d’État a annoncé en septembre 2018 qu’il étudiait la possibilité de sanctions contre la Chine pour sa politique au Xinjiang. Comme d’habitude, le discours humanitaire des chancelleries occidentales et de leurs ONG satellisées est la face émergée de l’action clandestine visant à organiser la subversion par la terreur. Loi du genre, les pays visés sont toujours ceux dont l’indépendance et le dynamisme constituent une menace systémique pour l’hégémonie occidentale. La propagande djihadiste ouïghoure, aujourd’hui plus que jamais, cible la République populaire de Chine. Pour ses prédicateurs, la « nation du Turkestan » (c’est sous ce nom qu’ils désignent la majeure partie de l’Asie centrale turcophone) subit une oppression insupportable sur son versant oriental (Chine) comme sur son versant occidental (Russie). Lançant un appel au boycott de la Chine, ils fustigent les sévices historiques qui auraient été infligés par les Chinois aux Ouïghours, mentionnant des choses aussi absurdes que « le viol des musulmanes » ou « l’obligation de manger du porc ». Désenchanté par la tournure des événements au Proche-Orient, poussé par les services de renseignements turcs, le mouvement djihadiste du Turkestan a réorienté son combat : désormais, il entend frapper à nouveau l’ennemi proche (la Chine) plutôt que l’ennemi lointain (la Syrie).5 Il faudrait être naïf pour croire que la coïncidence entre cette propagande djihadiste, la fébrilité des opposants chinois et la stigmatisation de la Chine par les médias occidentaux est fortuite. Si l’on fait pleurer dans les chaumières sur le peuple ouïghour opprimé, ce n’est pas pour rien. Le moment est bien choisi. Alliée de la Russie, la Chine a fourni une aide précieuse à la Syrie dans son combat contre les mercenaires de l’Occident. Marginalisant les USA, elle participe activement à la reconstruction du pays. En Amérique du sud, elle soutient le Venezuela en lui achetant son pétrole, mettant en échec l’embargo occidental. La guerre commerciale avec Pékin est au mieux un jeu à somme nulle, et Washington en perçoit les limites. La réalité, c’est que la Chine est la puissance montante, les USA la puissance déclinante. Lorsque les deux courbes se croisent, tout est bon, du point de vue des perdants, pour tenter d’enrayer le cours des choses. Notes: 1https://tbinternet.ohchr.org/Treaties/CERD/Shared%20Documents/CHN/INT_CERD_NGO_CHN_31915_E.pdf 2 https://www.legrandsoir.info/non-l-onu-n-a-pas-accuse-la-chine-de-detenir-des-musulmans-ouighours-dans-des-camps-the-grayzone-project.html 3 http://www.ecns.cn/news/politics/2019-03-18/detail-ifzfmzhu2192664.shtml 4 https://asialyst.com/fr/2019/02/08/remi-castets-syirie-ouighours-respectes-jihadistes-chine-xinjiang/ 5 https://www.madaniya.info/2018/12/03/ouighour-le-parti-islamiste-du-turkestan-en-route-vers-la-mondialisation-de-son-combat-avec-un-ciblage-prioritaire-la-chine-et-les-bouddhistes |
| | Posté le 28-06-2020 à 09:23:42
| Article de Guigue très intéressant, c’est étonnant qu’il soit diffusé sur « Oumma ». Par ailleurs j’ai retrouvé un autre article également intéressant, je m’excuse d’avance si il a déjà été posté. Il est plus carré que celui de Vice. https://www.monde-diplomatique.fr/2019/03/CASTETS/59639 |
| | Posté le 28-06-2020 à 10:42:25
| Remarque la Chine a le plus haut taux de Peine de mort au monde devant les U.S.A. Donc les Chinois n'ayant pas une réputation de Bisounours c'était pas gagné de prendre la défense du gouvernement Chinois. Ceci il est bon de noter que les condamnation capital aux U.S.A augmentent chaque années alors qu'elle baissent en Chine. |
| | Posté le 28-06-2020 à 11:33:58
| On ne prend pas la défense du gouvernement chinois. Le gouvernement chinois se défend contre les crimes les plus graves en appliquant des méthodes que le peuple approuve et même préconise dans son immense majorité. En fait l'opinion publique est beaucoup plus sévère que l'application légale. Pour revenir sur l'article de Bruno Guigue, il présente en effet l'intérêt d'être publié sur un site musulman, ce qui prouve que les Croyants ne sont pas pour autant naïfs.
______________________ Concernant l'article du Diplo, ce n'est pas le seul article du Monde Diplomatique non seulement critique mais grossièrement mensonger sur la Chine, alors que la publication se veut anti impérialiste. Mais il ne faut pas sous estimer l'influence trotskiste dans les milieux anti impérialistes et anti capitalistes. Guigue démontre qu'il est démographiquement impossible de mettre en prison un million d'adultes masculins. Il y a 10 % de musulmans au Xinjang, soit un million précisément. Le génocide culturel est de la même eau. Au Tibet la propagande impérialiste avait aussi balancé des "chiffres" sur le prétendu génocide des tibétains. Un minimum d'attention montrait que la population tibétaine aurait dû à ce compte être rayée de la carte. Au contraire elle a augmenté et bénéficié de la dispense de l'enfant unique, comme au Xinjiang et chez toutes les minorités. Puis le génocide a cessé d'être utilisé et s'est transformé en "génocide culturel". J'ai écrit à la rédaction du Diplo récemment pour démontrer que l'article de Carine Milcent sur le covid-19 en Chine s'appuie sur des dates et des chiffres fantaisistes et incohérents. Je n'ai eu aucune réponse depuis. Ici le chapeau d'introduction dit "on parle d'un million". Qui en parle ? Rémi Castets aurait été bien inspiré de chercher comme Bruno Guigue les sources de ce sombre canular repris par toute la presse. Bref Castets n'en sait rien, ne sait pas s'il s'agit de rééducation ou de prison, ne l'a pas vu, pas lu, mais il en a entendu parler. De même le "système de surveillance sans précédent" ne traque "les musulmans" mais le terrorisme, le séparatisme et l'extrémisme religieux. Sinon on ne verrait pas de musulmans entrer ou sortir librement des mosquées, et ils pratiqueraient leur culte clandestinement, comme les protestants au temps des dragonnades de Louis XIV. Citant sa seule et unique source, Castets reprend sans la moindre réserve les affirmations d'Adrien Senz. Si on s'intéresse à ce "chercheur" sur wikispooks: Adrian Zenz "est un théologien et expert autoproclamé de la Chine (avec un doctorat en ligne)" utilisé par tous les médias US et Radio Free Asia. Cet individu est "Senior Fellow for China Studies au think-tank Victims of Communism Memorial Foundation. La Fondation a des liens étroits avec la CIA et des groupes tels que la Ligue mondiale anti-communiste" ... Il n'a été qu'une fois au Xinjang en 2007 comme touriste. On se doute qu'il a fait dans ces conditions une étude approfondie. "Pour ses recherches soutenant sa revendication d'un million d'internés, il a utilisé des ressources Internet open source , telles que des appels d'offres et des offres d'emploi du gouvernement chinois dans la province du Xinjiang, puis a fait des estimations sur l'étendue des personnes internées dans des camps de rééducation chinois. Dans certaines interviews, il qualifie lui-même ces estimations de "spéculatives", ce qui n'empêche pas le CCM de donner aux lecteurs la forte impression qu'il s'agit d'une estimation sérieuse. " Castets écrit "Mi-février, le gouvernement turc, longtemps hésitant entre realpolitik et solidarité avec les Ouïgours, s’est senti obligé de publier un communiqué de protestation." C'est mensonger. L'agence Xinhua a rapporté "Recep Tayyip Erdogan a déclaré que c'était un fait établi que les habitants des divers groupes ethniques dans la région du Xinjiang vivaient heureux grâce au développement et à la prospérité de la Chine. La Turquie ne laissera personne semer la discorde dans les relations sino-turques"... "La Turquie s'oppose fermement à l'extrémisme et souhaite renforcer la confiance politique mutuelle et la coopération en matière de sécurité avec la Chine" Castets prétend que les Ouïgours s'opposent aux Hans, mais il ne signale pas les victimes ouïgours des terroristes. Il ne décrit pas non plus la réalité de la "rééducation" qui s'apparente dans l'article au lavage de cerveau. La Chine a tiré des leçons du terrorisme islamiste et du séparatisme en définissant sa base matérielle et idéologique dans le retard économique et l'illettrisme. Il vient que la lutte contre les trois fléaux s'appuie en priorité sur la formation professionnelle, l'abolition de la grande pauvreté et le développement économique. C'est une démarche inédite dans la lutte contre le terrorisme islamiste, alors que les pays occidentaux n'ont utilisé que la réponse policière, par exemple en France, en laissant les quartiers à l'abandon et en proie au chômage, où un habitant sur trois trouve en emploi. La conséquence immédiate chez nous est le racisme anti musulman, les incivilités, les flambées de violence, la chasse au faciès, le déni de racisme, toutes choses déjà discutées par ailleurs. Au lieu de reprendre aveuglément les attaques des USA contre la Chine nous serions avisés de prendre en compte ses méthodes de lutte contre le terrorisme.
Edité le 28-06-2020 à 13:29:54 par Xuan |
| | Posté le 28-06-2020 à 19:48:21
| Xuan a écrit :
[...] Il y a 10 % de musulmans au Xinjang, soit un million précisément.[...]1 [...] Au contraire elle a augmenté et bénéficié de la dispense de l'enfant unique, comme au Xinjiang et chez toutes les minorités. Puis le génocide a cessé d'être utilisé et s'est transformé en "génocide culturel". [...] 2 [...]De même le "système de surveillance sans précédent" ne traque "les musulmans" mais le terrorisme, le séparatisme et l'extrémisme religieux. Sinon on ne verrait pas de musulmans entrer ou sortir librement des mosquées, et ils pratiqueraient leur culte clandestinement, comme les protestants au temps des dragonnades de Louis XIV.[...] 3 |
1 : D'où vient cette statistique ? Sachant que Guigue évoque 24 millions d'habitant au Xinjiang dont 46 % de Ouïghours qui sont eux-mêmes majoritairement musulmans, à cela s'ajoutent les autres minorités musulmanes non-Ouïghours.. 2 : Il me semble que l'immigration han au Xinjiang augmente progressivement, c'est également sur ça que s'appuient les détracteurs en évoquant une "sinisation" voir un génocide culturel. 3 :Il faut se méfier de ces arguments, car en France aussi, la surveillance, le harcèlement policier et le poids des opérations de police sont officiellement contre le terrorisme et contre la drogue, mais la réalité est tout autre et participe à une gestion coloniale, islamophobe des populations des quartiers populaires. Cf: les milliers de perquisitions, de fiches S et d'assignations à résidence aveugle envers des individus définis comme musulmans.
Edité le 28-06-2020 à 19:50:08 par Grecfrites |
| | Posté le 29-06-2020 à 10:53:21
| Il ne faut pas perdre de vue que des milliers de personnes des "quartiers populaires" partent rejoindre les groupes djihadistes au Levant ou au Sahel,voir en Libye,avec la bénédiction americaine,l Empire voulant refouler l influence russe.ce n est pas pour rien si le recel de documents prônant le djihad a été depenalise par LREM.
Edité le 29-06-2020 à 18:00:58 par marquetalia |
| | Posté le 29-06-2020 à 11:54:43
| 2 : Il me semble que l'immigration han au Xinjiang augmente progressivement, c'est également sur ça que s'appuient les détracteurs en évoquant une "sinisation" voir un génocide culturel. Et l'éradication de certaines mosquées vieilles de plus d'un millénaire ou de 800 ans sous des prétexte des plus foireux sur toute la frontière avec le pakistan et l'Inde. Ça CHauffe dans le Cachemire. |
| | Posté le 29-06-2020 à 13:43:18
| Non, c'est une erreur de ma part, merci de rectifier. Quelques indications chiffrées donc : Le Xinjiang est peu peuplé et compte 46 % de Ouïghours turcmènes soit 11 millions en 2015, puis les Hans 39 %, Kazakhs, Huis, Kirghiz, Mongols, Tadjiks, Xibe, Mandchous, Tujias, Ouzbeks, Russes, Miaos, Tibétains, Zuhangs, Tatars, Salars, etc. La population totale est passée de 22 millions en 2011 à 24,9 millions en 2018 Mais les Ouïghours occupent principalement le sud et les Hans plus éduqués, surtout le nord et les villes, notamment la plus grande Ürümqi, ce qui a entraîné des contradictions et des tensions ethniques lors des migrations vers 1970-80. Puis le terrorisme et l'extrémisme religieux ont essayé de mettre ces contradictions à profit. Comme je l'ai déjà signalé, la lutte contre la pauvreté est la voie choisie par la Chine Populaire pour résoudre les contradictions au sein du peuple. Sur le plan culturel le Xinjiang est passé de zéro à 81 bibliothèques publiques et 23 musées entre 1949 et 2010, il existe 98 journaux et 44 langues. Selon les statistiques officielles, les ratios médecins, personnel médical, cliniques médicales et les lits d'hôpitaux pour les personnes dépassent la moyenne nationale, et les taux de vaccination ont atteint 85%. Enfin l’Ouïghour et le mandarin sont les deux langues officielles. L’islam est pratiqué parmi les Ouïghours et les Hui, soit 58 % en 2010, contre 41 % de bouddhistes ou non religieux et 1 % de chrétiens. Les mosquées détruites pendant la révolution culturelle ont toutes été reconstruites. Mais il faut un sacré culot de la part des "démocraties" occidentales pour accuser la Chine de génocide culturel, USA en tête avec les tribus indiennes pour commencer. Sans parler du racisme d'Etat. Quant à la France, la république bourgeoise a interdit l'usage des langues régionales plus d'un siècle durant, et aujourd'hui elles n'existent plus qu'à titre de curiosité. Quand les députés viendront à l'assemblée nationale en costume régional au lieu du costar cravate, et sans passer pour des guignols, on pourra reparler du "génocide culturel" envers les minorités en Chine. En ce qui concerne les insinuations je prendrai la peine de chercher quant il y aura des éléments factuels. Idem pour ce qui concerne la multiplication des mosquées de 800 ans. La répétition du même argument n'ajoute pas de mosquées détruites les unes aux autres et la Chine lutte aussi contre l'extrémisme religieux. De nombreuses mosquées ont été reconstruites, agrandies, remises à neuf et aux normes sanitaires. Avant de reprendre les arguments foireux des médias impérialistes il serait juste de prendre connaissance des méfaits du terrorisme aveugle et ne pas le justifier en critiquant sa répression. https://www.facebook.com/CGTNFrancais/videos/268356604479615/ https://www.facebook.com/CGTNFrancais/videos/2660345714205799/ Celle-ci en particulier : https://www.facebook.com/169799706487474/videos/286366632552543/?__so__=channel_tab&__rv__=all_videos_card Terrorisme également envers les musulmans. Par exemple l'assassinat d'un grand mollah assassiné dans l'attaque d'une mosquée à Kashgar en 2014, raconté par son fils https://www.facebook.com/CGTNFrancais/videos/1160385137659668/
Edité le 29-06-2020 à 16:40:39 par Xuan |
| | Posté le 29-06-2020 à 15:40:51
| "elles n existent au à titre de curiosité"; pourtant,en Moselle Est,la langue francique est toujours parlée, surtout dans les petits villages.
Edité le 29-06-2020 à 15:42:15 par marquetalia |
| | Posté le 29-06-2020 à 16:30:53
| La langue Ouïghour est officielle au Xinjiang, au même titre que le mandarin. Regardez aussi les vidéos que j'ai indiquées, ça fera avancer le débat.
Edité le 29-06-2020 à 16:32:16 par Xuan |
| | Posté le 29-06-2020 à 16:40:21
| "Mais il faut un sacré culot de la part des "démocraties" occidentales pour accuser la Chine de génocide culturel, USA en tête avec les tribus indiennes pour commencer." C'est la tactique du regardez ailleurs . Mais bon quand ces derniers manipulaient les Tchétchènes, Poutine y allait avec tacte et diplomatie dans la répression des terroristes (tout en appliquant la dose de 7.62 et 12.6 ruskov nécessaire)... Les chinois de leur côté... Je pense que le coup des mosquées rasé est symbole et message des plus clair. Dans ces condition là la Chine rend le détournement d'attention les plus aisés. Surtout qu'il ont presque autant de prison secrètes que la CIA à al différence de cette dernière elles sont toutes situées en chine. "Quant à la France, la république bourgeoise a interdit l'usage des langues régionales plus d'un siècle durant, et aujourd'hui elles n'existent qu'à titre de curiosité." OUI aux langues régionales, NON à la charte européenne des langues régionales ou minoritaires ! https://youtu.be/x3TQkQO_XMc Et voici une histoire du tout Français. En gros vive la grammaire de port au prince !
Edité le 29-06-2020 à 20:31:24 par Plaristes |
| | Posté le 29-06-2020 à 16:42:31
| Le débat ne porte pas sur la charte machin mais sur le Xinjiang. Regarde les vidéos sur le terrorisme s'il-te-plait. |
| | Posté le 29-06-2020 à 19:40:44
| Je ne nie pas les attentats et les velléités séparatistes d’une partie de la population ouighoure. Ce que je crains c’est l’existence d’une répression aveugle à l’encontre d’innocents qui pourraient être sujets à une radicalisation ultérieure. |
| | Posté le 29-06-2020 à 20:33:10
| La parenthèse sur la chartes des langues régionales et minoritaires est fermée. Sur ce je partage les soucis du camarde Grecfrites. |
| | Posté le 29-06-2020 à 20:56:16
| Grecfrites a écrit :
Je ne nie pas les attentats et les velléités séparatistes d’une partie de la population ouighoure. Ce que je crains c’est l’existence d’une répression aveugle à l’encontre d’innocents qui pourraient être sujets à une radicalisation ultérieure. |
S'il y avait une telle répression, il y aurait de nouveaux attentats. La répression aveugle n'aboutit qu'à la révolte La formation professionnelle, l'emploi, l'éducation et la préservation des cultures locales et des religions si elle n'empiètent pas sur le domaine public visent à prévenir les attentats et le séparatisme. Si le niveau de vie s'améliore, le terreau du séparatisme se dissout sans autre violence. Ce n'est pas automatique mais c'est la bonne voie à mon sens. Par contre les USA et leurs alliés font de nouveau beaucoup de bruit sur le Xinjiang. Cela fait partie de la "guerre hors limite". |
| | Posté le 29-06-2020 à 22:49:24
| Les médias occidentaux vont-ils encore rester silencieux ? le Quotidien du Peuple en ligne http://french.peopledaily.com.cn/Horizon/n3/2020/0619/c31362-9702472.html19.06.2020 16h58 À lire aussi : La Chine s'oppose fermement à la signature d'un projet de loi américain sur le Xinjiang L'organe législatif régional du Xinjiang s'oppose fermement à la signature par les Etats-Unis d'un projet de loi sur le Xinjiang Le plus haut organe consultatif politique chinois s'oppose à la promulgation d'un projet de loi sur le Xinjiang par les Etats-Unis Le projet de loi américain sur le Xinjiang est un acte d'hégémonie vicieux et de deux poids, deux mesures
__________________ La chaîne de télévision chinoise CGTN a diffusé ce 19 juin matin le documentaire « Le majestueux Tianshan - Souvenirs de la lutte contre le terrorisme au Xinjiang, en Chine ». Certains téléspectateurs ont commenté cette retransmission en déclarant qu'elle « explique ce qu'est le terrorisme avec des larmes et du sang ». La force qui rend le spectateur incapable de résister aux larmes vient de la réalité. Parce que ce documentaire n'est pas un film, mais la vie de beaucoup de gens ordinaires. Entre 1990 et 2016, il y a eu des milliers d'attaques terroristes au Xinjiang. Dans le documentaire, les histoires de chaque défenseur, survivant et même victime sont suffisamment choquantes : « Là où il bougeait, ils le frappaient au couteau », la jeune fille se souvient avec douleur de la scène où son père a été atteint de plus de 30 coups d'arme blanche, et il n'y avait aucun endroit intact sur tout son corps ; « C'est fini pour Long Fei », la police spéciale antiterroriste a tout de suite découvert le sacrifice de leur camarade dans la bataille ; « Ce n'est pas certains qu'ils accepteront des excuses », s'est exclamée en pleurs devant la caméra la mère d'un terroriste violent ; « J'ai eu beaucoup de chance d'avoir échappé à la mort », a dit une jeune fille ouïghoure qui aimait tant danser et qui a perdu une jambe dans l'attaque terroriste, mais aime toujours la vie Au cours des 30 dernières années, le « Mouvement du Turkestan oriental » et d'autres forces terroristes internationales ont utilisé des vidéos violentes et terroristes et d'autres moyens pour commettre de fréquents incidents violents et terroristes au Xinjiang en se servant d'habitants locaux de faible niveau culturel. Les saccages et pillages du 5 février 1997 à Yining, les incidents du 5 juillet 2009 à Urumqi, l'attaque terroriste du 1er mars 2014 à la gare de Kunming... ces moments de folie meurtrière où toute humanité a disparu a fait plonger d'innombrables familles dans la tragédie. Ce n'est que depuis près de trois ans que les atrocités ont cessé grâce aux mesures antiterroristes chinoises. À l'heure actuelle, cela fait 40 mois consécutifs qu'il n'y a eu aucun cas de terrorisme violent au Xinjiang. Au pied du mont Tianshan, le droit à la vie et au développement des personnes de tous les groupes ethniques est désormais effectivement garanti. La diffusion de ce documentaire, ce n'est pas seulement la mémoire des morts et la consolation des vivants, mais aussi l'enregistrement de la vérité historique et une alarme de sécurité qui sonne tout le temps. Certains internautes ont laissé un message disant que ceux qui n'ont pas regardé sérieusement le film de 60 minutes ne sont pas qualifiés pour s'exprimer et critiquer les mesures de lutte contre le terrorisme au Xinjiang. Cette émission rappelle deux autres documentaires sur le même sujet diffusés par CGTN en décembre de l'année dernière. Le volume total de diffusion des deux films en Chine a dépassé 1 milliard, suscitant l'étonnement chez d'innombrables internautes. Dans les pays non anglophones d'Europe, au Moyen-Orient, en Russie, au Japon et dans d'autres pays, les deux documentaires ont également déclenché des discussions animées sur le thème de la lutte contre le terrorisme au Xinjiang. Comme l'a souligné un article du site Internet du quotidien national italien La Stampa, la Chine lutte contre les plus grandes menaces pour la société du Xinjiang, à savoir le terrorisme et l'extrémisme. Cependant, les grands médias occidentaux ont fermé les yeux sur ces deux documentaires. Ils parlent généralement des problèmes liés au Xinjiang. Devant ces deux documentaires édifiants, ils gardent tacitement un silence collectif, ils n'en disent rien, ne les diffusent pas et n'en font aucun reportage. YouTube, la plate-forme vidéo, a accordé au film un traitement spécial de « diffusion restreinte » avant de le retirer. Lors de la conférence de presse du ministère chinois des Affaires étrangères, le porte-parole a demandé si les journalistes étrangers présents avaient vu le film. Aucun des dizaines de journalistes étrangers présents n'a levé la main. De la précipitation au silence, l'étrange phénomène provoqué par le documentaire dans les médias traditionnels occidentaux est déroutant. Est-ce parce que les faits sont si éclairants que les menteurs ne savent plus quoi dire ? Est-ce à cause de la tragédie du sang que ces médias ont perdu leur position sur les racines de la lutte contre le terrorisme et des mesures de déradicalisation de la Chine au Xinjiang? Depuis la publication du premier documentaire sur la lutte contre le terrorisme au Xinjiang par CGTN, les principaux médias occidentaux sont restés silencieux pendant six mois. Aujourd'hui, le troisième documentaire est sorti. Sous couvert de « droits de l'homme », l'Occident critique les mesures antiterroristes de la Chine au Xinjiang. S'ils le font par ignorance, ils devraient regarder le film ; s'ils ne sont pas indifférents à la vie des Chinois, ils devraient aussi regarder le film ; mais s'ils ont des arrière-pensées, ils continueront sans doute à faire semblant d'être sourds et muets. Le troisième documentaire est sorti. Oseront-ils faire face aux vraies images de la violence et de la terreur ? Oseront-ils écouter la vraie voix de dizaines de millions de Chinois et d'habitants du Xinjiang qui s'expriment dans les commentaires ? Oseront-ils regarder droit dans les yeux gentils et clairs de la jeune fille ouïghoure qui a perdu une jambe ? Qui vivra verra... Par Qi Jiang'an |
| | Posté le 30-06-2020 à 01:32:34
| Xuan a écrit :
S'il y avait une telle répression, il y aurait de nouveaux attentats. La répression aveugle n'aboutit qu'à la révolte La formation professionnelle, l'emploi, l'éducation et la préservation des cultures locales et des religions si elle n'empiètent pas sur le domaine public visent à prévenir les attentats et le séparatisme. Si le niveau de vie s'améliore, le terreau du séparatisme se dissout sans autre violence. Ce n'est pas automatique mais c'est la bonne voie à mon sens. Par contre les USA et leurs alliés font de nouveau beaucoup de bruit sur le Xinjiang. Cela fait partie de la "guerre hors limite". |
Évidemment que ce n’est pas anodin que les projecteurs soient braqués sur le Xinjiang. Je suis tout à fait d’accord avec le contexte de guerre médiatico-economique à l’encontre de la RPC. Toutefois je ne partage pas forcément ton avis sur l’éventuelle immédiateté de la réponse ultérieure. Les réseaux qui déstabilisent le Xinjiang sont perturbés par les services chinois et donc doivent sûrement faire preuve de renouvellement constant dans leurs méthodes d’actions et de recrutement. De plus, l’enfermement de certaines personnes doit encore être d’actualité neutralisant toute volonté d’attaquer, pour un temps.
Edité le 30-06-2020 à 01:33:37 par Grecfrites |
| | Posté le 30-06-2020 à 02:16:18
| "La répression aveugle n'aboutit qu'à la révolte " Pas toujours, les massacres de Sétifs ont comme prévu acheté la paix sociale pendant 10 ans. Après les 10 ans il n'était plus possible de garder l’Algérie sous contrôle mais bon. Après il y a les disparition, en Amérique du sud et en Chine sont des champions pour ça, bien sûr ils ne battrons pas Israël dans le domaine, mais l'état d'Israël fait dans la provoque, et alterne avec une répression plus silencieuse quand il y a besoin. La répression brute mais pas aveugle peu malheureusement acheter la paix sociale. Lénine et la Tchéka en sait quelque-chose, mais faut pas le dire. (Lénine savait ce qu'il faisait et il y avait le bordel de la révolution donc il a une excuse..) "et la préservation des cultures locales" Boui le coup de raser la mosquée de 800 pour construire un hôpital on repassera niveau préservation culturelle. Le pire c'est que ce n'est pas un cas isolé. C'est un message politique clair de la part des autorités locales ! Niveau subtilité c'est comme faire exprès de railler la voiture de son voisin qu'on aime pas en faisant un créaux avant d'appeler l'assurance. Le pire c'est qu'ils ont rasé l'hôpital après. Le niveau de rancune des autorités locales se fait ressentir. Me semble pas que les autorité Russes face aux Tchétchènes aient fait pareils choses. Ce n'était point nécessaire. "Si le niveau de vie s'améliore, le terreau du séparatisme se dissout sans autre violence. " Faudra bien. Après une telle démonstration de rancune faudra bien. |
| | Posté le 30-06-2020 à 10:55:43
| Des l intervention russe pour récupérer la Tchétchénie,les médias français étaient bienveillant à l égard de Groznyi,et ce jusqu à leur ralliement à Al Qaeda.des lors,la presse télévisée et la revue libertaire "Maintenant"les a lâches.de plus,les Etats Unis sont intervenus en Géorgie dans les gorges du Pankissi pour désarmer les djihadistes tchétchènes,en coopération avec la Russie de Poutine.un bon prétexte pour essayer de prendre pied à Tbilissi, toutefois,les temps ont changé,depuis,la Géorgie c'est à nouveau dirigée par des pro-russes,alors qu en Tchétchénie,Le Kremlin a maintenu le président Karimov tout en gardant la République en sedition dans la Fédération de Russie.
Edité le 30-06-2020 à 12:25:05 par marquetalia |
| | Posté le 30-06-2020 à 22:19:03
| "Le pire c'est qu'ils ont rasé l'hôpital après" . La dernière fois c'était à cause de la proximité de la frontière. Tu vas nous la sortir huit cents fois ta mosquée de 800 ans ? Il y a pire que ça, une autre transformée en salle de concert sur des dômes et des minarets :https://twitter.com/i/status/1193535316776361986 j'en ai même une transformée en étable : Il y a même la vidéo. Et l'âne devant qui prouve que c'est une étable. Je ne crois pas que des chefs d'oeuvre architecturaux comme ça soient inscrits au patrimoine de l'UNESCO. En 1950, il y avait 29 000 mosquées et 54 000 imams dans le Xinjiang, qui sont tombés à 14 000 mosquées et 29 000 imams en 1966. Après la révolution culturelle, il ne restait qu'environ 1 400 mosquées. Au milieu des années 80, le nombre de mosquées était revenu à son niveau de 1950.[James D. Seymour (1985). Annales des droits de la Chine 1 - Évolution des droits de l'homme en République populaire de Chine d'octobre 1983 à septembre 1984]
______________________ Les USA et l'occident à sa botte sont en guerre contre la Chine au cas où certains ne l'ont pas encore imprimé. Aujourd'hui c'est les droits des militants pro démocratie qui sont bafoués à Hong Kong parce qu'il y est désormais interdit de réclamer le retour à la colonisation anglaise. Demain toutes les radios, télés et médias divers vont nous gonfler avec les "femmes ouïgours stérilisées de force", avec le taux de natalité en baisse à la clé. Comme je l'ai déjà signalé, les USA mènent une guerre hors limite contre la Chine, où toutes les opportunités sont les bienvenues et où un mensonge en cache un autre, de sorte que leur multiplication en fait une vérité. Les USA usent aussi de leur hégémonisme pour contraindre les pays qui leur sont soumis à participer à cette guerre, y compris sur le terrain militaire comme en Inde. C'était doublement prévisible, parce que la Chine est à la fois un pays émergent qui devient un rival économique, et parce que c'est un pays socialiste, ce qui constitue un danger politique encore plus grand. "être attaqué par l'ennemi est une bonne chose et non une mauvaise" La multiplication des attaques impérialistes contre la Chine doit nous conforter dans la certitude que la Chine est rouge.
Edité le 30-06-2020 à 22:58:12 par Xuan |
| | | | Posté le 01-07-2020 à 07:22:16
| "C'est déjà plus acceptable que certains de vos propos Xuan, vous faîtes du progrès." Je fais peut-être des progrès en essayant de de vérifier la réalité des "destructions de mosquées", mais ne crois pas que ce soit plus acceptable Plaristes. La page de propagande consacrée à une ruine abandonnée et occupée par les paysans est pathétique. Quant à l'église transformée en dancing on en a franchement rien à cirer. Il y a en France des milliers d'Eglises qui servent de musée ou de salle de mariage, mais si c'est au Xinjiang les laïcs occidentaux hurlent au génocide culturel . Parvenue à ce point la mauvaise foi devient un mauvais vaudeville.
______________________ J'ai signalé qu'il y a plusieurs raisons aux attaques contre la Chine. Lis mes posts en entier Plaristes, avant de comparer mécaniquement avec tel ou tel autre pays. D'autant quel l'émergence de la Chine comme deuxième voire première économie mondiale n'a pas seulement des conséquences régionales mais menace directement l'hégémonisme US, ce qui n'est pas le cas de l'Irak, de la Libye, de l'Iran, de la Syrie, du Venezuela ou de la Russie. Il y a une troisième raison à ce déchaînement et à son calendrier c'est la réélection de Trump. En tant que "contradicteur" tu fais surtout l'effort de servir la guerre US.
_______________________ Les hommes politiques américains doivent cesser de dénigrer la Chine (porte-parole) http://french.xinhuanet.com/2020-07/01/c_139179720.htm French.xinhuanet.com | Publié le 2020-07-01 à 09:36 BEIJING, 1er juillet (Xinhua) -- La Chine a exhorté mardi certains hommes politiques américains à cesser immédiatement de calomnier la Chine et de s'ingérer dans les affaires intérieures chinoises en créant des rumeurs sous le prétexte du Xinjiang. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Zhao Lijian a tenu ces propos en réponse aux déclarations du secrétaire d'Etat américain, Mike Pompeo, sur la politique chinoise au Xinjiang. Le gouvernement chinois protège de manière égale les droits et intérêts légitimes des personnes issues de tous les groupes ethniques, y compris les minorités ethniques, a annoncé M. Zhao. Entre 1978 et 2018, la population des Ouïgours au Xinjiang est passée de 5,55 millions à 11,68 millions, soit une multiplication par 2,1 fois, et représentant environ 46,8% de la population totale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, d'après le porte-parole. M. Zhao a indiqué que les minorités ethniques aux Etats-Unis ont souffert depuis longtemps de l'intimidation, de l'exclusion et de la discrimination systémique à une grande échelle en matière économique, culturelle, sociale et dans d'autres domaines, citant les exemples allant du massacre des Indiens d'Amérique au décès de l'Afro-Américain George Floyd en passant par l'expansion vers l'ouest. "Nous exhortons les hommes politiques américains comme M. Pompeo à abandonner les préjugés et le 'deux poids, deux mesures', à faire face aux problèmes de discrimination raciale chez eux, à consacrer plus de temps et d'énergie à l'amélioration de la situation des droits de l'homme aux Etats-Unis, et à immédiatement cesser de calomnier la Chine et de s'ingérer dans les affaires intérieures chinoises en créant des rumeurs sous le prétexte du Xinjiang", a-t-il ajouté.
Edité le 01-07-2020 à 09:08:00 par Xuan |
| | Posté le 01-07-2020 à 10:38:10
| Xuan a écrit :
La page de propagande consacrée à une ruine abandonnée et occupée par les paysans est pathétique. Quant à l'église transformée en dancing on en a franchement rien à cirer. Il y a en France des milliers d'Eglises qui servent de musée ou de salle de mariage, mais si c'est au Xinjiang les laïcs occidentaux hurlent au génocide culturel . |
Sauf que l'Église en France et l'Islam en Chine n'ont pas le même poids et rapport au pouvoir dans les deux pays. Détruire des mosquées pluri-séculaires, qu'elles soient belles, bien entretenues ou pas, et ce quelqu'en soient les raisons est une faute politique qui donne du grain à moudre aux détracteurs occidentaux. De plus, cela rentre en contradiction avec l'éventuelle précision de la répression gouvernementale à l'encontre des éléments séparatistes et/ou djihadistes.
Edité le 01-07-2020 à 10:39:50 par Grecfrites |
| | Posté le 01-07-2020 à 12:17:17
| Je regrette. Quand une mosquée est à l'abandon et transformée par les locaux eux-mêmes en ferme, ça n'est pas une destruction planifiée et ça n'a aucun rapport avec une "répression". Et je ne vois pas en quoi le rapport des religions au pouvoir chinois impliquerait qu'il prenne un soin particulier pour tous les bâtiments sans tenir compte avant tout des besoins des masses, exception faite des œuvres présentant un intérêt architectural ou historique spécial. Si on se promène un peu en France il y a des milliers de trésors d'architecture qui ont été dégradés, dont les pierres ont été récupérées à des fins personnelles et pour d'autres constructions. Aucune assoc non gouvernementale ni lanceur d'alerte ne dénonce une volonté de génocide culturel. Et pour les rénover S. Bern en est à lancer un loto. Les musulmans disposent des mosquées refaites à neuf et comprenant des sanitaires pour pratiquer les ablutions, qui n'existaient pas avant. S'il y avait une volonté de "génocide culturel" ou de répression anti religieuse, le gouvernement chinois les laisserait d'abord se dégrader tout naturellement.
Edité le 01-07-2020 à 13:55:19 par Xuan |
| | Posté le 01-07-2020 à 13:56:16
| L'interdiction du jeûne du Ramadan au Xinjiang est « un non-sens » le Quotidien du Peuple en ligne | 02.06.2020 16h00 http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2020/0602/c31354-9696838.html Le gouvernement de la région autonome ouïghoure du Xinjiang a démenti le 1er juin une allégation selon laquelle les musulmans s'étaient vu interdire de jeûner dans la région pendant le Ramadan et a déclaré que cette affirmation a été fabriquée par des forces étrangères du « Turkestan oriental ». Récemment, les forces du « Turkestan oriental », qui ont pour but de séparer le Xinjiang de la Chine, ont prétendu que la région avait interdit aux musulmans le jeûne du Ramadan, et le site Internet du « Congrès mondial ouïghour » a annoncé son intention de publier des clips vidéo affirmant que les Ouïghours ont été victimes de « persécutions » pendant le Ramadan. « Les allégations d'interdiction du jeûne par des forces à l'étranger sont absurdes. Lors de chaque Ramadan, elles copient et propagent constamment de telles rumeurs tout le temps, attaquant imprudemment le Xinjiang », a déclaré Ilijan Anayt, porte-parole du gouvernement régional, lors d'une conférence de presse organisée le 1er juin. Selon M. Ilijan, aucun citoyen n'est victime de discrimination ou maltraité parce qu'il croit ou ne croit pas à une religion au Xinjiang, et les activités religieuses légales des croyants, effectuées dans des lieux religieux ou chez soi, telles que les prières et le jeûne, sont gérées par des groupes religieux ou des croyants eux-mêmes et protégées par la loi. En ce qui concerne les vidéos montrant la soi-disant persécution des Ouïghours, M. Ilijan a déclaré qu'il s'agissait de contrefaçons, qui visent à semer la discorde entre les groupes ethniques, à perturber les relations ethniques et à inciter à l'antagonisme ethnique dans la région. « Les intentions qu'elles nourrissent sont extrêmement vicieuses. Indiscutablement, le Xinjiang a connu l'harmonie et vu des activités religieuses ordonnées au cours du mois de jeûne », a souligné M. Ilijan. Dans le même temps, en réponse à une allégation selon laquelle les centres de formation professionnelle de la région sont confrontés au risque d'une épidémie de COVID-19 à grande échelle, le porte-parole a déclaré qu'il s'agissait d'une accusation sans fondement et totalement ridicule. « De concert avec certains politiciens anti-chinois américains et occidentaux, les forces du "Turkestan oriental" veulent politiser la pandémie et stigmatiser la Chine sous couvert du COVID-19, et leur comportement ignoble ne prouve rien d'autre que leur mentalité obsédante et leur intention vicieuse agissant au nom des forces occidentales anti-chinoises dirigées par les États-Unis », a affirmé M. Ilijan. Selon le gouvernement régional, il y a eu 76 cas confirmés de COVID-19 au Xinjiang, et aucun nouveau cas n'a été signalé depuis plus de 100 jours consécutifs. « Grâce aux efforts conjoints déployés par les habitants du Xinjiang de tous les groupes ethniques, la situation pandémique dans la région a été efficacement maîtrisée », a ajouté M. Ilijan. Le Xinjiang a créé des centres de formation professionnelle conformément à la loi pour dispenser des cours de mandarin, de droit, de compétences professionnelles et des programmes de déradicalisation destinés aux personnes influencées par l'extrémisme religieux et le terrorisme. Selon le gouvernement régional, tous les stagiaires des centres ont obtenu leur diplôme en décembre 2019. « Puisque tous les stagiaires ont quitté les centres, obtenu un emploi stable et commencé une vie heureuse, comment peut-il y avoir un risque d'infection à grande échelle dans les centres ? », a-t-il demandé. (Rédacteurs :孙晨晨, Yishuang Liu) |
| | | | Posté le 01-07-2020 à 14:50:26
| Xuan a écrit :
Si on se promène un peu en France il y a des milliers de trésors d'architecture qui ont été dégradés, dont les pierres ont été récupérées à des fins personnelles et pour d'autres constructions. Aucune assoc non gouvernementale ni lanceur d'alerte ne dénonce une volonté de génocide culturel. Et pour les rénover S. Bern en est à lancer un loto. . |
Dans le cas de petites églises de villages ou de petites chapelles dans les coins reculées, certes. Concernant les mosquées du Xinjiang certaines sont des références et extrêmement plus importante en taille et en poids historiques. |
| | Posté le 01-07-2020 à 16:45:59
| On dirait qu'ils essayent de vendre la Chine à l'extrême droite Française ! Et ils vont y arriver ces cons ! De notre côté Xuan, cela est vu avec un prisme Français une église mal entretenue et peu fréquenté fait toujours parti du patrimoine. Peut-importe la politique d'abandon que l'ont dénonce partout. Après dans le monde capitaliste tout marche à la charité. T'aurais bien une super cagnotte où tous les pourris de France vont faire tomber les sous pour dire : "Ho regardez, ô combien on est généreux, non ne me remerciez pas." Mais ça c'est un peu hors sujet. N'oubliez pas. |
| | Posté le 01-07-2020 à 18:37:22
| Je vois surtout que l'impérialisme US essaie de dépecer la Chine et qu'une bande de charognards se précipitent pour ramasser des miettes alors qu'elle est toujours debout. il y a actuellement cinq porte-avions concentrés dans la région du Pacifique occidental, dont deux chinois. C'est peut-être aussi le moment où la concentration de porte-avions dans la région du Pacifique occidental est la plus importante après la fin de la guerre du Vietnam dans les années 1970.
Edité le 01-07-2020 à 18:43:49 par Xuan |
| | Posté le 01-07-2020 à 20:13:49
| D autres forces séparatistes s activent à démembrer la Chine Populaire,depuis le Brésil de Bolsonaro https://sites.google.com/site/embaixadamanchukuo/
Edité le 01-07-2020 à 20:15:31 par marquetalia |
| | Posté le 01-07-2020 à 21:53:41
| Le site n est pas actualisé,les derniers commentaires datent de 2012.
Edité le 01-07-2020 à 22:04:29 par marquetalia |
| | Posté le 01-07-2020 à 21:59:51
| Pour en revenir au fil conducteur du sujet,il faut noter le black out des médias en ce qui concerne les expulsions de Musulmans en Inde,aux antipodes de la dénonciation de ce qui se passe au Xinjiang.
Edité le 01-07-2020 à 22:01:02 par marquetalia |
| | Posté le 05-07-2020 à 09:00:18
| Des rapports occidentaux sur des prélèvements d'organes au Xinjiang vont à l'encontre des faits: le principal expert chinois en matière de dons d'organes Par Liu Xin et Zhao Yusha Source: Global Times Publié: 2020/7/4 23:32:49 https://www.globaltimes.cn/content/1193505.shtml https://www.globaltimes.cn/Portals/0/attachment/2020/2020-07-04/1bb1fddc-bbe3-4796-afa2-ac16a4f10a53.jpeg Photo de fichier: VCG Une nouvelle vague d'accusations contre les «prélèvements d'organes» en Chine a émergé récemment, et en ajoutant des minorités dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang à la dernière liste des «victimes», certaines forces anti-Chine et les médias occidentaux tentent d'utiliser ces rapports non fondés pour intensifier les calomnies. contre la Chine, ont déclaré des observateurs. "Vous ne réveillerez jamais quelqu'un qui prétend endormir", a déclaré le principal expert chinois en transplantation d'organes, car ces mensonges ne sont pas conformes aux principes et aux pratiques en matière de transplantation d'organes et de dons en Chine. Suite à certains reportages des médias occidentaux du Tribunal chinois qui accusaient le gouvernement chinois de "prélever des organes sur des pratiquants de Falun Gong" et des Ouïgours "détenus dans des camps" depuis juin 2019, la version France du magazine VICE a publié un nouveau rapport sur le même sujet le 19 juin. , offrant plus de soi-disant «preuves». En fouillant dans l'histoire de VICE et la série de rapports sur "les prélèvements d'organes en Chine" des pratiquants de Falun Gong et des Ouïgours, le Global Times a découvert que de telles affirmations sont des mensonges entrelacés par des membres du culte du Falun Gong, des séparatistes du Xinjiang et des -Les forces chinoises ont pour objectif de dépeindre davantage la Chine comme un diable maltraitant les minorités du Xinjiang, de salir le système de transplantation et de don d'organes du pays et son travail antiterroriste au Xinjiang, et d'inciter la communauté internationale à faire davantage pression sur la Chine. L'histoire de VICE a été publiée dans sa version française le 19 juin, dans laquelle elle affirmait que les autorités du Xinjiang prélèvent des organes sur des "détenus" dans les centres d'enseignement et de formation professionnels. Une "preuve" qu'il fournit est que depuis 2016, le gouvernement chinois a lancé un examen médical complet dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang. Les tests ne sont "obligatoires" que pour les habitants ouïghours âgés de 12 à 65 ans, selon le rapport. Cependant, le Global Times a appris de différents départements et hôpitaux du Xinjiang et a confirmé auprès des résidents locaux que le projet d'examen médical débutant en 2016 couvrait les résidents de tous les groupes ethniques. Le projet comprend des contrôles des maladies de l'hépatite, de la tuberculose et de l'échinococcose pour aider à détecter précocement les maladies. La détection précoce des maladies grâce à des contrôles médicaux réguliers pourrait aider les résidents à obtenir un traitement précoce et à réduire l'incidence de la pauvreté pour les maladies. En août 2019, la région avait investi 4,068 milliards de yuans dans le projet. De nombreux résidents d'Uygur, de Han et d'autres groupes ethniques touchés par le Global Times ont confirmé que les examens médicaux qu'ils avaient subis n'étaient rien d'autre que des examens médicaux. Ils ont estimé qu'il était absurde et ridicule d'entendre certains médias étrangers relier un projet à des accusations aussi horribles de prélèvement d'organes. Une autre raison citée par le VICE pour soutenir ses accusations contre la Chine est que le pays a le temps de liste d'attente le plus court - environ 12 jours pour une greffe alors que de nombreuses personnes en Chine ne souhaitent pas donner leurs organes après la mort. Par conséquent, ils croient que le prélèvement d'organes sur les Ouïgours compense la forte demande. Cependant, les rapports sur le nombre annuel d'opérations de transplantation d'organes en Chine à l'échelle nationale et les entretiens du Global Times avec des universitaires et des experts dans le domaine montrent à quel point le rapport VICE est superficiel et biaisé concernant le système chinois de transplantation et de don d'organes. Le personnel médical s'incline devant le donneur d'organes Li Hongyan avant la chirurgie d'approvisionnement en organes à Shannan, dans la région autonome du Tibet (sud-ouest de la Chine), le 22 août 2018. Photo de fichier: Xinhua Système transparent Environ 300 000 patients souffrent d'insuffisance hépatique, rénale, cardiaque et pulmonaire en moyenne chaque année en Chine, tandis que plus de 22 000 opérations de transplantation d'organes ont été effectuées l'année dernière et l'année précédente, Huang Jiefu, directeur du China National Organ Donation et du comité de transplantation et président de la China Organ Transplantation Development Foundation, a déclaré au Global Times. Bien que le nombre de dons d'organes en Chine ait augmenté ces dernières années et qu'il existe encore des écarts entre l'offre et la demande. "Parfois, un patient doit attendre un ou deux ans pour obtenir un organe approprié", a expliqué Huang. Chen Jingyu, un expert bien connu dans le domaine de la transplantation pulmonaire et directeur adjoint de l'hôpital du peuple de Wuxi, a déclaré précédemment au Global Times qu'il existe des différences concernant l'offre et la demande de différents organes, car les dons cardiaques sont relativement peu nombreux, mais les poumons sont assez fréquent - seulement 6% des poumons donnés ont été utilisés. Certains patients en Chine reçoivent également des dons d'organes de leurs proches. Les données publiques montrent qu'en 2017, plus de 16000 opérations de transplantation ont été réalisées et 86% de ces organes provenaient d'autres donneurs et 14% de parents de patients. En 2010, la Chine a lancé une réforme pilote concernant les dons d'organes décédés. En janvier 2015, la Chine a interdit l'utilisation d'organes de prisonniers exécutés, faisant des dons volontaires le seul canal légitime. Les organes seraient attribués via le système de réponse aux greffes d'organes de Chine et les chirurgiens ne sont pas autorisés à modifier le système ou à utiliser des organes non attribués via le système ou provenant de sources peu claires. Chen a déclaré au Global Times que le système intelligent d'allocation d'organes de la Chine attribue les organes correctement et en fonction de la situation individuelle. Entre deux patients, l'un souffrant d'une maladie grave et devant utiliser un ventilateur, et l'autre présentant des symptômes relativement bénins, l'organe sera distribué au premier. Les principes de travail de base de l'attribution des organes en Chine servent également de preuve pour réfuter les rumeurs de «prélèvement d'organes sur les Ouïgours». Un principe est que les organes se déplaçant d'un endroit à un autre doivent d'abord être distribués aux hôpitaux au même endroit pour garantir le taux de réussite et éviter les complications lors de la transplantation. Comme le Xinjiang est situé au nord-ouest de la Chine, les vols vers d'autres villes chinoises depuis le Xinjiang prennent généralement plus de deux heures. Par exemple, il faut 4,5 heures pour voler d'Urumqi à Pékin et plus de 5 heures pour Shanghai. Selon le Xinjiang Daily, le Xinjiang a annoncé le début d'un travail approfondi sur les dons d'organes à partir de 2013. Au total, 55 dons ont été faits et il y avait 6 700 donneurs volontaires en août 2019. "Vous ne réveillerez jamais quelqu'un qui fait semblant de dormir", a déclaré Huang, notant que les rumeurs selon lesquelles la Chine prélèverait des organes des Ouïgours existent depuis longtemps. De tels rapports fabriqués manquent toujours de preuves solides pour étayer leurs affirmations, il n'est donc pas nécessaire de les prendre au sérieux, a-t-il déclaré. "Mais la Chine étant plus ouverte sur le monde extérieur, nous avons invité des organisations étrangères à visiter la Chine pour voir de leurs propres yeux comment la Chine développe son système de transplantation d'organes. La vérité réside dans le cœur des gens." Au cours des dernières années, la Chine a également accru la promotion du don d'organes auprès de son peuple. Selon les données du site Web sur le don d'organes établi par la China Organ Transplantation Development Foundation, plus de 1,3 million de personnes ont été enregistrées comme donneurs d'organes volontaires. Photo de fichier: Xinhua Boucle fermée de mensonges L'histoire de VICE est la dernière poussée pour vendre l'idée horrible du «gouvernement chinois prélevant des organes sur les Ouïgours». À partir de juin 2019, les médias occidentaux se sont déchaînés avec des affirmations similaires. En juin 2019, le Tribunal chinois a publié un rapport affirmant que le gouvernement chinois avait "systématiquement exécuté et prélevé les organes des membres du Falun Gong" et des Ouïgours musulmans. Bien que le Tribunal chinois se décrit comme un "tribunal indépendant sur les prélèvements forcés d'organes sur des prisonniers d'opinion en Chine", un rapport du média américain The Grayzone a révélé que le tribunal et la Coalition internationale pour mettre fin aux abus de transplantation en Chine (ETAC) ont fermé relations avec Epoch Times, une branche médiatique d'extrême droite du culte du Falun Gong. L'ETAC, à l'origine du tribunal chinois, se prétend être une organisation internationale à but non lucratif, dont le siège est en Australie. Le Falun Gong est un culte illégal qui a été interdit par le gouvernement chinois. C'est également une organisation politique anti-Chine qui a utilisé des mesures sans scrupules pour discréditer la Chine, et l'Epoch Times agit comme sa machine à répandre les rumeurs. Campbell Fraser, chercheur international sur le trafic d'organes en Australie, a déclaré au Global Times dans une interview en avril 2017 qu'un certain nombre de politiciens, d'universitaires et d'avocats occidentaux ont utilisé le Falun Gong pour atteindre leurs objectifs politiques contre le gouvernement chinois. Il semble que pour ajouter plus d'ingrédients à leurs mensonges de longue durée, le culte du Falun Gong entraîne des menteurs et des séparatistes du Xinjiang et davantage de forces anti-chinoises dans leur clique. L'histoire de VICE a cité Gulbahar Jelilova, qui a affirmé qu'elle avait été envoyée dans les centres d'enseignement et de formation professionnels du Xinjiang et qu'elle avait entendu parler des prélèvements d'organes. Cependant, le Global Times a appris des services compétents et de diverses sources que Gulbahar est un ressortissant kazakh et a été arrêté par la police pour avoir prétendument financé des activités terroristes. Elle n'était jamais allée dans aucun centre d'enseignement et de formation professionnels pendant son séjour au Xinjiang. Erkin Sidick, conseiller du Congrès mondial ouïghour (WUC), a également été mentionné par le VICE et certains médias occidentaux comme l'un des premiers à avoir alerté des étrangers sur "l'existence du gouvernement chinois qui vend des organes d'Uygurs". L'organisation autoproclamée «pacifique», le WUC, a été révélée comme un réseau de changement de régime de droite soutenu par les États-Unis cherchant la «chute de la Chine». C'est devenu un outil politique pour la nouvelle guerre froide des États-Unis et la campagne médiatique contre la Chine. "C'est devenu une boucle fermée pour fabriquer, répandre et faire monter les mensonges concernant le Xinjiang - les séparatistes d'outre-mer, les ONG et les forces anti-Chine créent de nouvelles rumeurs et mensonges, les médias occidentaux les rapportent et les battent en l'air, les politiciens occidentaux les utilisent pour porter des accusations contre la Chine "Et la pratique a récemment atteint un nouveau niveau", a déclaré Wang Global, un chercheur associé à l'Institut de droit de l'Académie chinoise des sciences sociales. Wang a déclaré que ces forces anti-chinoises visaient à salir la Chine mais leurs efforts semblent vains alors que la majorité des pays de la communauté internationale expriment leur soutien concernant la position de la Chine sur le Xinjiang. |
| | Posté le 05-07-2020 à 09:06:32
| L'enquête de GT détruit la propagande occidentale sur le contrôle des naissances au Xinjiang https://www.globaltimes.cn/content/1193454.shtml Par Liu Xin Source: Global Times Publié: 2020/7/3 21:58:13 Un chercheur d'AP utilise des chiffres erronés pour salir la Chine Statistiques erronées, méthode de calcul erronée, chiffres trompeurs, personnes interrogées douteuses… Voilà ce que le Global Times et les chercheurs ont trouvé dans la récente enquête de l'Associated Press et la «recherche» du chercheur allemand Adrian Zenz sur la «campagne de contrôle des naissances» de la Chine dans sa région autonome ouïgoure du Xinjiang . Lorsque de nombreux médias occidentaux sont enthousiastes à l'idée de couvrir en continu une nouvelle accusation sensationnelle contre la Chine, peu d'entre eux sont prêts à approfondir les sources des prétendues nouvelles preuves d'accusation contre la Chine de violations des droits de l'homme. Les experts ont déclaré que le battage médiatique récent du "contrôle des naissances" dans le Xinjiang chinois montre une escalade des frottis et des attaques contre la Chine dans le contexte de la 44e session du Conseil des droits de l'homme et des relations tendues entre la Chine et les États-Unis. Le mois dernier, Zenz, qui a été honoré comme "un expert de premier plan sur le Xinjiang chinois" par les médias occidentaux, mais qui n'est jamais allé au Xinjiang, et qui s'est révélé être un chrétien fondamentaliste d'extrême droite "dirigé par Dieu" contre la Chine, a publié sa nouvelle "recherche". "sur le Xinjiang sur un sujet plus sensationnel - le contrôle des naissances, dans lequel il a accusé le gouvernement chinois d'utiliser la stérilisation, les DIU et les mesures de contrôle des naissances obligatoires pour supprimer les taux de natalité ouïgours. Avant Zenz a publié ses recherches, AP a publié un rapport sur le même sujet basé sur les données du rapport de Zenz et les soi-disant «détenus» des centres d'enseignement et de formation professionnels du Xinjiang. Cependant, les failles sont partout dans la soi-disant recherche de Zenz, y compris la façon dont les données ont été calculées, démontrées et utilisées pour les non scientifiques, Un graphique utilisé dans le rapport de Zenz, qui, selon lui, provenait des annuaires statistiques annuels du Xinjiang et avait été calculé lui-même, montrait une baisse du taux de croissance naturelle de la population dans les comtés ethniques de Hotan et Kashi de 2005 à 2018 - d'environ 15,5 pour mille à environ 2,5 pour mille. Dans le rapport de l'AP, Zenz aurait déclaré: "Ce genre de baisse est sans précédent" et "fait partie d'une campagne de contrôle plus large visant à soumettre" les Ouïgours. Cependant, ils omettent de mentionner des données sur les taux de croissance démographique naturelle des comtés à majorité Han au cours de la même période, qui montrent une baisse de 6 pour mille en 2016 à presque zéro en 2017. Une petite inflexion est apparue de près de zéro à 2,5 en 2017. pour mille en 2018. Huang Wenzheng, un expert en démographie, a déclaré au Global Times que la baisse du taux de natalité naturel ne pouvait pas simplement conduire à la conclusion d'une soi-disant "campagne de contrôle des naissances", pour de nombreuses raisons, notamment le développement économique, le nombre croissant de personnes dans l'enseignement supérieur et une diminution de l'intention de fertilité peut contribuer au résultat. De manière générale, de nombreuses minorités ethniques dans le monde ont vu leur taux de natalité diminuer à mesure que leurs économies et leur éducation s'amélioraient. Le changement du nombre d'étudiants au Xinjiang au cours des dernières décennies a fait écho aux remarques de Huang. Le nombre d'étudiants pour 10 000 habitants était de 90,44 en 2005 et 150,78 en 2018. Le nombre d'étudiants inscrits dans des établissements d'enseignement supérieur est passé de 188 752 en 2005 à 398 751 en 2018, selon l'Annuaire du Xinjiang 2019. Huang a également déclaré qu'au vu des données de Zenz, les Han et les minorités ethniques ont vu une baisse des taux de croissance démographique naturelle depuis 2014, même si la Chine a levé la politique dite de l'enfant unique en 2015. Par rapport au taux de natalité national pendant la même période, le Xinjiang a connu une forte baisse, ce qui montre que le taux de natalité naturel a suivi le développement économique de la région. Des enfants jouent sous la pluie dans l'ancienne ville de Kashgar, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 7 juillet 2019. Au cours du premier semestre 2019, l'ancienne ville de Kashgar a accueilli plus de 310 000 touristes. Photo: Xinhua Un exemple de données erronées a également été trouvé dans le rapport de Zenz qui montrait de nouveaux placements de DIU par habitant dans le Xinjiang de 2010 à 2018 beaucoup plus élevés que le taux national. Il a affirmé utiliser des sources des annuaires statistiques annuels de la santé et de l'hygiène de Chine, et les nouveaux placements de DIU sont estimés comme le nombre total de placements moins les extractions. Le Global Times a lu les annuaires de statistiques d'hygiène et a constaté que les données sur le retrait des DIU n'étaient pas publiées chaque année, ce qui soulève la question de savoir comment Zenz a acquis le nombre estimé lorsqu'aucune donnée ne figurait dans sa source revendiquée. Le nouveau placement du DIU par habitant dans le rapport de Zenz présente également des problèmes. Zenz a affirmé en 2014 que 2,5% des DIU nouvellement placés en Chine étaient installés dans le Xinjiang, et le nombre est passé à 80% en 2018. Le Global Times a constaté dans les annuaires sur la santé et l'hygiène en 2014 et 2019 qu'en 2014, le nombre de DIU utilisés au Xinjiang était de 2805 038, ce qui représentait 2,1% du nombre total en Chine (129 974 784). En 2018, le nombre de placements de DIU dans le Xinjiang était de 328 475, soit 8,7% du nombre total à l'échelle nationale, soit 3 774 318. Diverses mesures de contrôle des naissances sont largement utilisées dans d'autres endroits en Chine, tandis que les DIU sont préférés dans le Xinjiang, ce qui explique le ratio plus élevé. Les 80% cités dans le rapport de Zenz ne peuvent être déterminés par aucun calcul, sauf en égarant le point décimal. Quant à la population ouïgoure du Xinjiang, elle a connu une augmentation au cours des dernières décennies. Les données de l'annuaire statistique du Xinjiang en 2019 ont montré qu'il y avait 5,55 millions d'Uygurs en 1978, tandis qu'en 2018, la population ouïgoure était passée à 11,68 millions. "La 'recherche' est malveillante car elle fausse la précédente politique de planification familiale de la Chine, qui est plus stricte pour les Han" , a déclaré Huang.
Edité le 05-07-2020 à 09:07:57 par Xuan |
| | | | Posté le 12-07-2020 à 00:10:01
| En effet l'article n'apporte rien d'autre que les mêmes arguments copiés sans filtre ni scrupule. Du moment que c'est anti-chinois c'est de l'or. J'ai déjà signalé dans le post précédent que les prétendues "stérilisations forcées" ne reposent sur rien. Mais la machine à enfoncer les clous ne s'arrêtera pas de sitôt. Sur les plateaux télé c'est devenu un poncife de reprendre ces mensonges. Ces arguments servent aussi de prétexte aux sanctions et entrent dans le cadre de la guerre hors limite. Et lorsque les "alliés" se montrent aussi complaisants, les sanctions s'appliquent également à eux, suivant le principe si tu me lèches les bottes tu peux t'attendre à prendre un gadin dans les dents . Par exemple : Taxe Gafa: les États-Unis annoncent 1,3 milliard de dollars de sanctions contre la France Après avoir été fort patiente et silencieuse, la Chine a commencé par rejeter les accusation, puis à fournir des reportages sur la région, des témoignages sur la réalité du terrorisme, sur la place dévolue à la religion, aux traditions régionales, sur les progrès matériels réalisés. Mais c'est comme si elle pissait dans un violon. La volonté des USA n'est certainement pas d'aller vérifier quoi que ce soit mais d'encourager un séparatisme, puis un autre, puis un autre, en imaginant des scénarios de la même eau que les "armes de destruction massive" . Maintenant la Chine commence à hausser le ton et à prendre des mesures réciproques, non contre les larbins des USA mais contre les officiels US. La morale est que dans la guerre que livrent les USA contre la Chine, il n'y a pas de troisième voie, que la bourgeoisie française devrait y songer, ainsi que les progressistes et les anti-impérialistes. .
____________________ La Chine prend des mesures réciproques contre les agences et individus américains sur les problèmes liés au Xinjiang https://www.globaltimes.cn/content/1194167.shtml Source: Xinhua Publié: 2020/7/11 0:24:51
________________________________________ La Chine a décidé de prendre des mesures réciproques contre les agences américaines et les individus ayant des pratiques flagrantes sur les questions liées au Xinjiang, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Zhao Lijian. Zhao a déclaré lors d'une conférence de presse quotidienne que la décision avait été prise en réponse à la déclaration du secrétaire d'État américain Mike Pompeo selon laquelle les États-Unis avaient imposé des sanctions à plusieurs responsables chinois dans le Xinjiang. Zhao a déclaré que la pratique américaine constituait une grave ingérence dans les affaires intérieures de la Chine, une grave violation des normes fondamentales régissant les relations internationales et un grave préjudice aux relations sino-américaines. " La Chine s'y oppose fermement et condamne fermement cela ", a-t-il dit. Zhao a déclaré que les affaires du Xinjiang sont entièrement des affaires intérieures de la Chine et que les États-Unis n'ont pas le droit et ne sont pas en mesure d'intervenir. Le gouvernement chinois est déterminé à sauvegarder la souveraineté nationale, la sécurité et les intérêts du développement, à lutter contre le terrorisme violent, le séparatisme et l'extrémisme religieux, et à s'opposer à l'ingérence étrangère dans les affaires du Xinjiang et les autres affaires intérieures de la Chine. "Nous exhortons les États-Unis à annuler immédiatement leur mauvaise décision et à cesser de faire des remarques ou des mesures qui interfèrent dans les affaires intérieures de la Chine et sapent les intérêts de la Chine" , a déclaré Zhao, ajoutant que la partie chinoise riposterait fermement si les États-Unis poursuivaient obstinément une telle ordre du jour.
_____________________ Cependant la Chine ne cherche pas à s'enfoncer dans le conflit. Voir l'article de Danielle Bleitrach : Restez sur la bonne voie et suivez le rythme pour garantir la bonne direction des relations sino-américaines: Wang Yi
Edité le 12-07-2020 à 00:28:31 par Xuan |
| | Posté le 13-07-2020 à 22:59:29
| Extrait du Monde, expurgé de sa propagande anti chinoise habituelle : [...] Pékin a donc décidé de sanctionner trois parlementaires républicains parmi les plus critiques du régime chinois : les sénateurs Marco Rubio et Ted Cruz, ancien candidat aux primaires présidentielles, et le représentant Chris Smith. Le responsable du département d’Etat chargé de la liberté religieuse, Sam Brownback, qui a le titre d’ambassadeur, est également sanctionné. « Mesures de réciprocité » La porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois, Hua Chunying, n’a pas spécifié explicitement en quoi consistaient ces sanctions. Le ministère des affaires étrangères avait toutefois évoqué la semaine dernière des « mesures de réciprocité » , laissant entendre que Pékin refuserait désormais toute demande de visa émanant des quatre responsables américains cités. « Nous appelons les Etats-Unis à retirer immédiatement leur mauvaise décision et à cesser toute parole et action qui constituent une ingérence dans les affaires de la Chine et nuit aux intérêts chinois » , a déclaré Hua Chunying. [...] Le ministère chinois des Affaires étrangères a annoncé lundi des sanctions contre la Commission exécutive du Congrès américain sur la Chine, l'ambassadeur au pouvoir pour la liberté religieuse internationale Samuel Brownback, le sénateur américain Marco Rubio, Ted Cruz et le républicain Chris Smith, à la suite des sanctions américaines imposées aux autorités chinoises dans le Xinjiang problème. Hua Chunying, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a fait cette annonce lors de la conférence de presse de lundi. Hua a déclaré que la Chine imposerait des sanctions réciproques à la commission susmentionnée et à quatre personnes, avec effet immédiat en réponse aux sanctions américaines contre un département du gouvernement du Xinjiang et quatre officiels chinois. Les actions des États-Unis ont gravement perturbé les affaires intérieures de la Chine, violé les normes fondamentales régissant les relations internationales et gravement endommagé les relations sino-américaines, et la Chine s'y oppose fermement et les condamne fermement, a déclaré Hua. Les affaires du Xinjiang sont purement internes à la Chine. Les États-Unis n'ont ni droit ni qualification pour intervenir arbitrairement. Nous exhortons la partie américaine à révoquer immédiatement sa mauvaise décision et à mettre fin à tous les mots et actes qui interfèrent dans les affaires intérieures de la Chine et nuisent aux intérêts de la Chine. La Chine apportera de nouvelles réponses à mesure que la situation évoluera, a déclaré Hua. Global Times
Edité le 13-07-2020 à 23:23:36 par Xuan |
| | Posté le 22-07-2020 à 08:28:50
| Les responsables du Xinjiang condamnent les "sanctions" américaines en tant qu'actes hégémoniques Source: Xinhua Publié: 2020/7/22 9:02:17 https://www.globaltimes.cn/content/1195267.shtml Quatre responsables de la région autonome ouïgoure du Xinjiang en Chine ont fermement condamné les soi-disant sanctions récemment imposées par les États-Unis, les qualifiant d '«actes hégémoniques flagrants». "Les affaires du Xinjiang sont purement des affaires intérieures de la Chine, et les forces extérieures, y compris les politiciens américains, n'ont ni le droit ni les qualifications pour faire des remarques irresponsables sur le Xinjiang ou intervenir de manière volontaire" , a déclaré Chen Quanguo dans un entretien avec Xinhua. "Les soi-disant sanctions des États-Unis sont des actes d'hégémonie flagrants, scandaleux et injustifiables, qui violent gravement le droit international et les normes fondamentales régissant les relations internationales, interfèrent gravement dans les affaires intérieures de la Chine et portent gravement atteinte aux relations sino-américaines ", a déclaré Chen. "Je condamne fermement et je m'oppose fermement à cela." "Ce qu'il faut dire, c'est que je n'ai aucun intérêt à me rendre aux États-Unis, ni aucun atout là-bas" , a déclaré Chen, ajoutant que les "sanctions" ne sont qu'une farce laide et des trucs dégoûtants et maladroits des politiciens américains pur humilier. Les résidents locaux dansent et discutent dans un salon de thé centenaire d'un endroit pittoresque de l'ancienne ville de Kashgar, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang, au nord-ouest de la Chine, le 17 mai 2020. Le site pittoresque de l'ancienne ville de Kashgar a amélioré l'environnement et les services pour les touristes.Photo:Xinhua Chen a déclaré que, pendant trois ans et sept mois consécutifs, aucun incident terroriste violent ne s'est produit dans le Xinjiang, où le niveau de vie des personnes de tous les groupes ethniques s'est continuellement amélioré, la pauvreté absolue sera éliminée et des personnes de tous les groupes ethniques vivent dans la paix et le contentement, et jouissent pleinement de leurs droits à la subsistance et au développement. " Aucune force ne peut interférer avec ou arrêter la stabilité, le développement et la prospérité du Xinjiang et la solidarité des gens de tous les groupes ethniques de la région pour avancer. Je suis plein de confiance dans un avenir meilleur du Xinjiang ", a déclaré Chen. Zhu Hailun a déclaré que c'était une vieille astuce des États-Unis pour s'ingérer dans les affaires intérieures d'autres pays et contenir leur développement sous couvert de «droits de l'homme ». Son but ultime est de servir ses propres intérêts égoïstes. " Ce que les États-Unis ont fait est ridicule et risible ", a déclaré Wang Mingshan. "Les mauvaises performances des États-Unis en matière d'attaque, de dénigrement et de rumeur sur les affaires liées au Xinjiang ne feront que faire comprendre au monde plus clairement l'hypocrisie et l'hégémonie des États-Unis. " "Les États-Unis sont le plus grand violeur des droits de l'homme au monde. Ses accusations sans fondement contre le Xinjiang sont les plus gros mensonges du siècle" , a déclaré Huo Liujun. |
| | Posté le 22-07-2020 à 22:13:24
| Les Camp sOuïghours qu'on a vu sur Arte étaient affreusement blancs, à ce demander si c'était pas le laogai régulier. Ou bien il sont passé au daesh 2 en un, lave le ouïghours plus blanc que le "caucasien !" Et faudra les preuves pour les campagnes de stérilisation. Pour me moment vu que dans cette guerre d'info tout le monde parle à un mur, c'est :" l'es atlantiste font pareille qu'avec le Tchétchène !" contre "Les chinois font pareil qu'au tibet. P.S : Faudrait qu'on rappelle ce qu'est le Falun Gong. https://www.facebook.com/teleSUREnglish/videos/falun-gong-a-fascist-cult/431934814120083/ L'article de wikipédia verse des larmes de sang pour eux mais les encyclopédistes dans les coulisses crient au scandale ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Falun_Gong/Archives
Edité le 23-07-2020 à 09:46:13 par Plaristes |
| | | | Posté le 26-07-2020 à 09:55:54
| Réponse de la Chine à la récente propagande atlantiste sur les Ouïghours DANIELLE BLEITRACH 25 JUILLET 2020 Voici la réponse officielle à l’invraisemblable tissu de mensonge qu’une fois de plus les Etats-Unis arrivent à faire passer pour des vérités. Texte publié par Le Grand Soir parce que nous avons la presse la plus servile et la plus incompétente qui se puisse imaginer. Libération ayant atteint des sommets qui déconsidéreraient n’importe quel journal (note de Danielle Bleitrach). Ambassade de Chine. Déclaration du porte-parole de l’Ambassade de Chine en France au sujet des mensonges récemment apparus sur le Xinjiang. Ces derniers temps, certains hommes politiques américains, australiens et britanniques et quelques soi-disant « organisations de défense des droits de l’homme » occidentaux ont lancé une nouvelle campagne de calomnies contre le Xinjiang de la Chine. Mus par des fins politiques, ils ont fabriqué toute une série de mensonges sensationnels qui ont touché l’opinion publique et même induit en erreur certains hommes politiques en France. L’Ambassade de Chine en France tient une fois de plus à rétablir la vérité. Chine/24 juillet 2020/Réseau International Certains accusent le Xinjiang d’avoir créé des « camps d’internement » ou « camps de rééducation », dans lesquels « un million de Ouïgours sont détenus ». Ce mensonge est fabriqué de toute pièce et propagé par Chinese Human Rights Defenders, une organisation non gouvernementale financée par l’administration américaine qui, avec rien de plus que des interviews de seulement huit Ouïgours et une vague estimation à l’appui, a tiré la conclusion absurde que « parmi les 20 millions d’habitants du Xinjiang, 10% sont détenus dans des camps de rééducation ». La réalité, c’est que les centres d’enseignement et de formation professionnels mis en place au Xinjiang en vertu du droit, similaires aux centres de déradicalisation en France et dans d’autres pays, sont une mesure utile de lutte antiterroriste et de déradicalisation. Ces centres observent strictement les principes fondamentaux du respect et de la protection des droits de l’homme inscrits dans la Constitution et la loi chinoises. La liberté personnelle des stagiaires y est pleinement garantie. Les centres sont gérés comme des internats et les repas halal y sont fournis. Ceux qui y suivent la formation peuvent rentrer chez eux régulièrement et demander des congés pour s’occuper des affaires personnelles. Ils peuvent utiliser les langues et les écritures de leur propre ethnie. Les coutumes de tous les groupes ethniques ainsi que la liberté de croyance religieuse sont pleinement respectées et protégées. Grâce à l’apprentissage de la langue commune du pays, des connaissances juridiques et des techniques professionnelles, les stagiaires qui étaient influencés par des idées extrémistes et qui avaient commis de petites délinquances peuvent se débarrasser des idées extrémistes, acquérir des compétences et se réintégrer dans la société. Cette mesure a donné des résultats reconnus et contribué à préserver la stabilité sociale au Xinjiang et à défendre un environnement sain du développement des religions. Certains accusent le Xinjiang d’organiser « un travail forcé d’envergure ». Cette rumeur mensongère provient d’Australian Strategic Policy Institute (ASPI), une organisation subventionnée depuis de longues années par l’administration américaine et les fabricants d’armes américains. Le 1er mars dernier, l’ASPI a concocté un prétendu rapport intitulé « Uyghurs for sale » avec des histoires montées de toute pièce, décrivant calomnieusement l’initiative volontaire des habitants démunis du sud du Xinjiang qui vont à l’est du pays pour trouver des emplois et avoir de meilleurs revenus comme du « travail forcé ». Le Congrès et le Département d’Etat américains ont ensuite relayé ces mensonges et rédigé des prétendus « rapports », dans le but final de s’ingérer dans les affaires intérieures de la Chine, de perturber la stabilité et le développement du Xinjiang et d’opprimer les entreprises chinoises. Sous prétexte des droits de l’homme, ils cherchent à priver les habitants démunis du Xinjiang de leur droit à l’emploi et à une meilleure vie. Quelle malveillance. La réalité est que le Xinjiang est une région à la frontière nord-ouest de la Chine, où le développement est relativement en retard et de nombreux habitants vivent toujours dans la pauvreté. Depuis les dernières années, le gouvernement de la Région autonome ouïgoure du Xinjiang applique une stratégie de priorité à l’emploi et mène une politique d’emploi proactive en vue de régler le problème de la pauvreté. Les travailleurs des différentes ethnies au Xinjiang peuvent choisir librement leurs métiers, sans la moindre contrainte à la liberté personnelle. Le gouvernement du Xinjiang est très attaché à la protection des droits et intérêts des travailleurs. La discrimination sur base d’ethnie, de sexe et de croyance religieuse n’est point tolérée. Les travailleurs signent des contrats de travail avec les entreprises en vertu du droit, bénéficient de la sécurité sociale – assurances vieillesse, maladie, chômage, accident de travail et maternité, et gagnent des salaires non inférieurs au salaire minimum. Certains parlent de « stérilisations forcées » au Xinjiang. C’est une ânerie totale. Comme l’a révélé le site d’information indépendant américain The Grayzone, Adrian Zenz, un soi-disant spécialiste allemand sur le Xinjiang et auteur de ce mensonge, est en fait membre d’une organisation d’extrême droite soutenue par l’administration américaine. Il est aussi membre principal d’un groupe de recherche sur les centres d’enseignement et de formation professionnels au Xinjiang mis en place et manipulé par le renseignement américain. Adrian Zenz est connu pour avoir l’habitude de fabriquer des désinformations contre la Chine. Ses discours mensongers se sont déjà fracassés sur la réalité des faits il y a longtemps. Le gouvernement chinois protège avec la même attention les droits et intérêts légitimes des populations de tous les groupes ethniques en Chine. En réalité, depuis de longues années, la politique démographique chinoise penche en faveur des minorités ethniques. De 1978 à 2018, la population ouïgoure du Xinjiang est passée de 5,55 millions à 11,68 millions d’habitants, représentant environ 46,8% de la population totale de la région. Combien de pays dans le monde ont vu leur population doubler en 40 ans ? Certains accusent la Chine de « détruire des mosquées au Xinjiang ». C’est une pure fable. En 2018, la Grande Mosquée de Kargilik a été identifiée comme bâtiment à risque après une expertise technique. En février 2019, le District de Kargilik a rénové cette mosquée pour la protéger. Elle a rouvert ses portes le mois suivant. Quant à la Mosquée Id Kah de Keriya, une mosquée vieille de 800 ans située dans la préfecture de Hotan, non seulement elle n’a jamais été détruite, bien au contraire, elle a été classée par le gouvernement central chinois sur la liste des patrimoines nationaux protégés. Les auteurs des fake news étayaient leurs mensonges par des photos de mosquées en mauvais état, mais ils ne montreront jamais les photos de ces mêmes mosquées après les travaux de rénovation. Aujourd’hui, le Xinjiang compte 24 400 mosquées, soit une mosquée tous les 530 musulmans – plus de dix fois de plus que le nombre total de mosquées aux Etats-Unis. Certains prétendent qu’il y a une « surveillance massive de la population du Xinjiang ». En réalité, comme dans les autres régions chinoises, le gouvernement du Xinjiang installe, conformément à la loi, des caméras de vidéosurveillance sur les routes principales, dans les axes de transport et d’autres lieux publics, dans le but d’élever le niveau de gouvernance et de prévenir et combattre plus efficacement la criminalité. Ces dispositifs ne visent aucune ethnie particulière. Elles ont permis aux habitants de se sentir en meilleure sécurité et obtenu le soutien général de la population locale multiethnique. Certains aux Etats-Unis qualifient l’utilisation des moyens de haute technologie au Xinjiang d’« attentatoire aux droits de l’homme » et s’en servent pour imposer des sanctions aux entreprises chinoises, alors qu’il est de notoriété publique que les services de renseignement américains surveillent le monde entier 24 heures sur 24. C’est la pratique du double critère et de la logique de bandit. Il est à souligner que durant les 20 années précédant l’application des mesures préventives antiterroristes et de déradicalisation au Xinjiang, la région avait connu des milliers d’attentats terroristes, avec des centaines de victimes, des milliers de blessés et des pertes économiques inestimables. Tandis qu’aujourd’hui, le Xinjiang n’a pas connu d’attentat depuis plus de 40 mois, l’économie locale se développe bien, la société est stable et la population vit en paix. Pourtant, il y a des gens qui ne veulent pas voir cela. Ils brandissent les droits de l’homme et la religion et fabriquent sans cesse des mensonges absurdes à l’extrême. Leur vrai dessein ? Déstabiliser le Xinjiang et endiguer la Chine. Aujourd’hui, ce n’est pas « des preuves pour attester l’innocence de la Chine » ou de l’envoi des « observateurs indépendants » en Chine dont nous avons le plus besoin, mais de savoir qui a concocté toutes sortes de mensonges sur le Xinjiang et comment ils ont été concoctés, afin de percer la vérité au grand jour et protéger les peuples du monde des tromperies. Source:https://www.facebook.com/AmbassadeChine/posts/313385076707377 Les illustrations sont du Grand Soir. Voir également Un mensonge: la Chine détient des millions d’Ouïghours, par Ajit Singh et Max Blumenthal |
| | Posté le 26-07-2020 à 14:19:19
| En fait pas besoin de ça, il suffit juste de regarder le système scolaire chinois, les quelques mesurettes qui ont été prise ça sert juste à se faire bien voir leur efficacité sur le longterme est médiocre surtout avec la loi de la jungle lié au capitalisme, bien que maîtrisé ça cartonne sévère niveau optimisations des business, beaucoup de ouïghours choissent ensuite de rentrer dans le moule, plutôt que de devenir des musés ambulants. |
| | Posté le 26-07-2020 à 14:44:21
| Plaristes a écrit :
En fait pas besoin de ça, il suffit juste de regarder le système scolaire chinois, les quelques mesurettes qui ont été prise ça sert juste à se faire bien voir leur efficacité sur le longterme est médiocre surtout avec la loi de la jungle lié au capitalisme, bien que maîtrisé ça cartonne sévère niveau optimisations des business, beaucoup de ouïghours choissent ensuite de rentrer dans le moule, plutôt que de devenir des musés ambulants. |
Tu as brouillé ta réponse qui est incompréhensible. Effet weekend ou état habituel? |
| | Posté le 27-07-2020 à 15:34:11
| Il me semble que si la propagande occidentale est grotesque, il y a un grand phénomène d’acculturation, qui prend diverses racines. Les mosquées transformées en discothèque sont un exemple flagrant. De plus les directives de Xi sont claires dans ses livres sur la religion. Le parti s'immisce dans les cercles religieux pour les détruire de l'intérieur. Xi va dire que le succès de cette pratique prouve les théories du parti sur la religions sont correctes. Xi est laïque, mais face au communautarisme Islamique, il y a besoin de mesure drastiques pour imposer la la laïcité. On peut facilement faire des parallèles avec la III° république ! Cela est fait sous la peur de risques séparatistes.
Edité le 27-07-2020 à 17:39:33 par Plaristes |
| | Posté le 27-07-2020 à 17:12:36
| Plaristes a écrit :
Il me semble que si la propagande occidentale est grotesque, il y a un grand phénomène d’acculturation, qui prend diverse racines. Les mosquées transformées en discothèque sont un exemple flagrant. De plus les directives de Xi sont claires dans ses livres sur la religion. Le parti s'immisce dans les cercles religieux pour les détruire de l'intérieur. Xi va dire que le succès de cette pratique prouve les théories du parti sur la religions sont correctes. Xi est laïque, mais face au communautarisme Islamique, il y a besoin de mesure drastiques pour imposer la la laïcité. On peut facilement faire des parallèles avec la III° république ! Celà est fait sous la peur de risques séparatistes. |
Tu peux aussi te relire et corriger les fautes d'orthographe qui pullulent comme les microbes dans les bénitiers. |
| | Posté le 27-07-2020 à 20:50:33
| Cite Xi "...dans ses livres sur la religion" Plaristes. |
| | Posté le 28-07-2020 à 09:45:38
| "Leur religion a impacte sur le développement de notre cause, sur le lien de sang et chair qui uni notre peuple et le parti, au sujet de l'harmonie (on retrouve une pensée très confucéenne) et de la solidarité ethnique et enfin sur notre sécurité nationale et unité. Dans cette région nous nous débrouillons pas si mal. Les doctrines du parti sur la religion ont été appliquées, les relations entre le parti et les cercles religieux s'améliorent." Ensuite il développe sur la laïcité, mais il serait bon de noter les vagues d'immigration venant de l'est de la Chine. Cette laïcisation se fait par l'hégémonie culturelle d'une ethnie sur toutes les autres. Pour garantir à la fois l'unité nationale, et la laïcité, c'est la même méthode que la III° république en France, pour que la laïcité soit respecté on répand l'atéïsme,, et pour supprimer le régionalisme, on supprime les culture locale, dans le cadre de la chine il s'agit pas de les supprimer, mais de les rendre minoritaires sur leur propre territoire ! Pour faire de la religion quelque chose de privée, elle doit disparaître de la sphère publique, c'est ainsi.
Edité le 28-07-2020 à 09:51:52 par Plaristes |
| | Posté le 28-07-2020 à 23:48:25
| Cite la référence Plaristes ! On ne t'a pas appris à citer un texte ? Et cite le texte en entier. En tout état de cause il n'est nulle part question que "Le parti s'immisce dans les cercles religieux pour les détruire de l'intérieur" . C'est une pure invention de ta part, d'abord l'adhésion au PCC est incompatible avec la pratique d'une religion, ensuite le PCC n'a pas besoin de s'immiscer, il peut s'exprimer publiquement et exiger un comportement public conforme aux intérêts du peuple et du socialisme. La religion est privée en Chine ce qui n'empêche pas les cérémonies religieuses de se dérouler dans des mosquées qui sont entretenues par l'état. Au Xinjiang l'islam n'est ni un système de croyance indigène ni le seul système de croyance de la population ouïgoure. Le livre blanc "Questions historiques liées au Xinjiang" publié le 19 juillet par le Bureau de l'information du Conseil des Affaires d'Etat dit : "La conversion des Ouïgours à l'islam n'était pas un choix volontaire des gens ordinaires, mais le résultat de guerres religieuses et d'une imposition par la classe dirigeante. Ce fait ne sape cependant pas notre respect du droit de croyance des musulmans" . Le livre blanc indique aussi : "Le Xinjiang compte de multiples religions, y compris l'islam, le bouddhisme, le taoïsme, le protestantisme, le catholicisme et les Eglises orthodoxes orientales. Il compte 24.800 sites pour les activités religieuses, dont des mosquées, églises et temples bouddhistes et taoïstes, avec 29.300 membres du clergé" "Le Xinjiang défend depuis toujours l'égalité entre toutes les religions, ne favorisant ni ne discriminant quelque religion que ce soit et ne permettant pas à une religion d'être supérieure aux autres"
________________________ "Cette laïcisation se fait par l'hégémonie culturelle d'une ethnie sur toutes les autres" . C'est faux et archi faux. L'ethnie Han n'est pas plus laïque que les autres. L'hégémonie culturelle c'est le marxisme léninisme.
________________________ Xi Jinping appelle à améliorer le travail religieux Xinhua -25.04.2016 08h15 - http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2016/0425/c31354-9048936.html Xi Jinping appelle à améliorer le travail religieux Le président chinois Xi Jinping a appelé les autorités à adhérer aux politiques religieuses du Parti communiste chinois (PCC) et à améliorer le travail religieux. Lors d'une conférence sur les religions qui s'est clôturée samedi, M. Xi a indiqué que les affaires religieuses impliquaient une "importance spéciale" dans le travail du PCC et du gouvernement central, et que les politiques et les théories religieuses du PCC avaient été prouvées correctes par les pratiques du passé. Il s'est engagé à appliquer complètement la politique du Parti sur la liberté religieuse, à gérer les affaires religieuses en accord avec les lois, à maintenir le principe d'indépendance religieuse et d'auto-administration, et à aider les religions à s'adapter à la société socialiste. Les groupes religieux doivent adhérer à la direction du PCC et soutenir le système socialiste et le socialisme à la chinoise, a noté M. Xi. "Nous devons guider et éduquer le cercle religieux et ses disciples avec les valeurs socialistes fondamentales, et guider la population religieuse avec les idées d'unité, de progrès, de paix et de tolérance" , a-t-il poursuivi. "Nous devons résolument nous protéger contre les infiltrations étrangères via des moyens religieux et empêcher l'infraction idéologique par les extrémistes" , a souligné M. Xi, ajoutant que les autorités devaient également mettre l'accent sur les questions religieuses sur Internet et diffuser les politiques et théories religieuses du PCC en ligne. Lire aussi : Yu Zhengsheng met l'accent sur la compatibilité de la religion avec la société socialiste |
| | Posté le 29-07-2020 à 04:44:33
| "Nous devons résolument nous protéger contre les infiltrations étrangères via des moyens religieux et empêcher l'infraction idéologique par les extrémistes" , a souligné M. Xi. Ce résume très clair signifie que les dirigeants chinois ont compris les méthodes d'infiltration de leurs ennemis, les états impérialistes occidentaux, Etats-Unis et France en pole position et qu'ils ne se laisseront pas détruire comme les pays de la sphère soviétique infiltrés par les sbires du Vatican et les sectes islamistes. La bataille est idéologique, le PCC semble solide pour la gagner. N'en déplaise au petit ministre Le Drian et ses récitations apprises au sein de la jeunesse catholique bretonne.
Edité le 29-07-2020 à 13:47:34 par pzorba75 |
| | Posté le 29-07-2020 à 12:57:37
| Effectivement, mais il y a un problème auquel tu n'a pas pensé, bien que l'Islam des turkmens est bien différent de l'islam que l'ont connaît nous, vous savez ce qui se passe quand les extrémistes font mumuse dans ce genre de communauté, ils renient la loi civile pour la loi divine, et les loups gris ont magouillé dans ces zones depuis longtemps, comment tu fais pour qu'une communauté religieuse reste laïque dans de tels conditions? Tu assures que cette communauté ne soit pas hégémonique mais minoritaire. C'est ce qu'on a fait ici, et c'est ce que les chinois font chez-eux ! Via des vagues d'immigration massive, et une acculturation de la part des institutions. De toute façon la seule religion vraiment compatible à 100% avec le socialisme est christianisme, voir le Jodo no shinshu si on est sympa, mais sinon c'est le christianisme. |
| | Posté le 29-07-2020 à 16:38:51
| Plaristes cite tes références et le texte en entier. "comment tu fais pour qu'une communauté religieuse reste laïque dans de tels conditions?" La laïcité détermine que les lois sociales dominent, que les religions respectent l'Etat socialiste. Point barre. Ce n'est pas une question de "minorité" mais une question de pouvoir. Soit une religion partage le pouvoir avec l'Etat (ou l'Etat lui-même est religieux), soit elle ne le partage pas et doit se plier aux règles sociales définies par l'Etat.
___________ "la seule religion vraiment compatible à 100% avec le socialisme est christianisme, " C'est faux et archi faux. L'islam comme la religion chrétienne nient la lutte des classes. D'abord le christianisme se divise en plusieurs églises, mais toutes ont soutenu les classes dominantes, y compris l'esclavage. La religion chrétienne a soutenu le féodalisme contre la révolution bourgeoise, plus récemment Hitler, et dans les années 80 elle a activement participé à l'effondrement de l'URSS. A certaines occasions une partie des chrétiens ont pris des positions progressistes, la plupart du temps à titre personnel, mais ça n'absout pas l'ensemble des religions chrétiennes. En 1962 Vatican II a été le seul concile vaguement modéré dans son anti communisme. Si on parle d'un christianisme détaché de toute contingence historique et politique, où les discours des apôtres et du christ servent de mesure au "socialisme" de cette religion, on ne parle plus de religion, mais d'une théorie abstraite et sans réalité.
Edité le 29-07-2020 à 17:04:30 par Xuan |
| | Posté le 30-07-2020 à 12:46:29
| Le dernier des Ouïghours et les derniers des journalistes http://canempechepasnicolas.over-blog.com/2020/07/le-dernier-des-ouighours-et-les-derniers-des-journalistes.html?fbclid=IwAR1sFkzVmrywi5nvk7UiIVkSSO7sI54XvCD2cemqmL3pJO4rB54gvJXijAw Comme vous pouvez le voir : Urumqi, la capitale un vrai camp de concentration Une campagne mondiale débridée. Plus c’est gros, mieux ça passe à Par Maxime VIVAS Voulez-vous soulever une vague mondiale d’indignation contre un pays ? Vous affirmez que les hommes y sont massivement emprisonnés et torturés, voire exécutés en catimini, que les femmes y sont stérilisées de force et qu’on y supplicie les enfants. C’est ce que vient de faire, ce que fait, ce que va continuer de faire la presse mondiale, agissant en porte-voix de quelques journaux états-uniens inspirés en sous-main par des officines de la Maison Blanche. Qu’il n’y ait pas un mot de vrai dans la campagne antichinoise sur les Ouïghours importe peu. Il suffit de prétendre, d’affirmer. L’information circule, les journaux se lisent entre eux, les politiques s’en mêlent. C’est faux mais plausible : Chine insondable, Chinois impénétrables derrière la fente de leurs yeux. Vous me suivez bien, vous qui êtes pour la plupart normaux, pardon : blancs ? Bruno Le Maire et Clémentine Autain sont indignés et le font vertueusement savoir. C’est tout mensonge, mais le mal est fait. Ce n’est qu’après la destruction de l’Irak et après des centaines de milliers de morts innocents que toute la presse concède que les informations sur les couveuses débranchées au Koweit par les soudards de Saddam Hussein étaient inventées, que la fiole brandie par Colin Powell à l’ONU contenait du pipi de son chat ou du sable de sa litière ou de la poudre de perlimpinpin et non des Armes de Destruction Massives qui risquaient d’avoir raison des USA, de la Grande-Bretagne et (horreur !) de la France. J’ai écrit plus haut qu’il n’y a « pas un mot de vrai dans la campagne antichinoise sur les Ouïghours » . La prudence ne voudrait-elle pas que je nuance : « Bien des choses sont inexactes dans la campagne antichinoise sur les Ouïgours » . Ou : « Certes, les Chinois ne sont pas des enfants de chœur, mais doit-on prendre au pied de la lettre les articles de Libération ? » , ou encore : « Le problème que le régime chinois appelle « les trois fléaux » (terrorisme, séparatisme, fondamentalisme) est une réalité qu’on ne saurait nier, mais cela justifie-t-il une répression d’une telle ampleur ? » . Mais, tenez-vous bien, je persiste : « Il n’y a pas un mot de vrai dans la campagne antichinoise sur les Ouïghours » . Non, trois fois non, un ou deux millions de Ouïghours mâles (trois d’après Radio Free Asia) ne sont pas internés(1), les femmes ne sont pas stérilisées de force pour éteindre l’ethnie, les enfants ne sont pas tués pour prélèvement d’organes vendus à l’Arabie saoudite, Beijing n’est pas en guerre contre cette région autonome qui fait au contraire l’objet de toutes ses attentions, de toutes ses faveurs. J’ai écrit que « cette région autonome fait au contraire l’objet de toutes les attentions, de toutes les faveurs de Beijing. » ? La prudence ne voudrait-elle pas que je nuance : « Beijing gère ses régions avec l’autorité naturelle des communistes et le Xinjiang ne fait pas exception » , ou : « Même si Beijing a mis le Xinjiang sous surveillance, des efforts financiers indéniables ont été consentis pour développer cette région, point de départ de « La nouvelle route de la soie » . Mais, continuez à bien vous tenir, j’insiste : « Cette région autonome fait l’objet de toutes les attentions, de toutes les faveurs de Beijing. » Je le dis aujourd’hui, en juillet 2020, avec la même assurance (inconscience ?) qui me fit écrire un livre en 2007 sur une idole alors aussi intouchable que Nelson Mandela. Je parle d’un type qui est aujourd’hui maire de Béziers, élu avec le renfort du Front National. Je le dis aujourd’hui, en juillet 2020, avec la même certitude que celle qui me fit écrire un livre en 2011 sur une idole alors aussi intouchable que Ghandi. Je parle de l’ancien bourreau du Tibet : le dalaï lama. Ça, c’est pour le passé. Je peux aussi performer sur le futur. Par exemple, j’ai une petite idée sur le passage de Yannick Jadot et Julien Bayou dans le rang des ennemis de l’écologie, lesquels ont toujours un plat de lentille à offrir aux ambitieux peints en vert. Mais là n’est pas le sujet (j’en parle juste pour prendre date, pour triompher dans quelque temps : « Qui c'est-y qui l’avait dit ? » ). Un peuple qui oublie son passé est condamné à le revivre (Marx), un journaliste qui ne relit pas les infaux de ses confrères est condamné à toujours utiliser les mêmes versions, ignorant que le truc a déjà été fait, à l’identique. Les journalistes se lisent entre eux ( « La circulation circulaire de l’information » . Bourdieu). Mais parfois le psittacisme ne marche pas, des journalistes qui ont d’eux-mêmes une opinion qui les oblige à échapper aux caquetage des perroquets, se démarquent. Tenez, en 2010, j’étais au Tibet avec deux grands reporters des deux plus grands (par le tirage) quotidiens français : le Monde et le Figaro. J’en ai souvent parlé dans ces colonnes parce qu’il s’est passé un phénomène surprenant. Nous savions tous les trois (car nous lisons la presse et nous avons un autoradio et la télé que le gouvernement de Beijing se livrait à un génocide au Tibet, que la culture était éradiquée et la religion férocement combattue. Ne me dites pas que vous ne le saviez pas vous aussi. « Free Tibet », vous ne découvrez pas en me lisant, là. Robert Ménard (aujourd’hui maire de la ville où naquit Jean Moulin) nous avait expliqué le drame tibétain en perturbant à Paris le passage de la flamme olympique pour les JO 2008 de Pékin. Le type qu’on voit avec lui dans les vidéos de l’époque, en t-shirt noir portant en sérigraphie 5 menottes symbolisant les 5 anneaux olympiques, c’est Jean-François Julliard qui a succédé à Ménard à la tête de RSF avant de devenir directeur général de Greenpeace France, fonction qui fait de lui un invité régulier des amphis d’été de LFI. Comprenne qui pourra (2). Donc on est au Tibet, mes deux comparses s’envoient des vannes rigolardes, l’un demandant à l’autre quel effet ça fait d’appartenir à des banquiers, l’autre répondant que le ressenti est sans doute le même que celui des journalistes qui sont la propriété d’un marchand d’armes. Ils sont allés voir sur Internet qui je suis. Ils m’épargnent. Je suis là, auréolé du prestige guerrier du Grand Soir, média rigoureux, fiable et qui frappe fort. Et sur qui le mérite. Message reçu jusque dans les montagnes tibétaines. Bref, tous les trois, ensemble, chacun sous le regard des autres, nous voyons le Tibet avec sa religion omniprésente, les temples pleins, les monastères grouillant de moinillons, les prières de rues, les montagnes souillées par des grossières peintures bouddhistes, des chapelets de drapeaux de prière claquant au vent. Un envahissement bigot jusqu’à la nausée pour l’athée que je suis. Tous les trois, ensemble, chacun sous le regard des autres, nous voyons les écoles où l’enseignement est fait en tibétain (jusqu’à l’université), nous voyons les panneaux indicateurs, les enseignes, les noms des rues rédigés en tibétain, ainsi que les journaux. La télé et la radio parlent le tibétain. Le doyen de l’université de LLassa nous montre une salle contenant des dizaines de milliers de livres en tibétain. Nous assistons aussi à des spectacles (danses, chants) tibétains. Tous les trois, ensemble, chacun sous le regard des autres, nous voyons des couples de tibétains accompagnés d’enfants (pas d’UN enfant). La politique de l’enfant unique n’a jamais été imposée au Tibet. D’où une explosion démographique favorisée par le quasi doublement de l’espérance de vie après la fuite du dalaï lama. De retour en France, tous les trois, chacun sachant que les autres vont le lire, nous écrivons ce que nous avons vu. Le croirez-vous, aucun n’a écrit que « le régime de Pékin » se livrait à un génocide, éradiquait la culture tibétaine et réprimait les bouddhistes ? Et puisque j’en suis aux confidences, je vous dirai que le journaliste du Figaro m’a envoyé son article et m’a demandé ce que j’en pensais (du bien, d’ailleurs). Le croirez-vous, les gens avec qui j’ai aujourd’hui l’occasion de parler de la Chine doivent surement tous lire Libération parce qu’ils m’expliquent tranquillement que les bouddhistes sont pourchassés dans un malheureux Tibet génocidé où parler le tibétain et prier c’est s’exposer à la prison ? Et maintenant, continuez à bien vous tenir, je prétends que si je partais au Xinjiang avec les deux grands reporters du Monde et du Figaro, chacun marquant l’autre « à la culotte » , aucun n’écrirait au retour que Beijing se livre à un génocide contre les Ouïghours, brime leur religion, éradique leur culture, charcute les enfants. Parce que ce n’est pas vrai. Un peu quand même ? Non, pas du tout. Les charniers de Timisoara n’étaient pas vrais « un peu » . Les Gilets jaunes n’ont pas envahi « un peu » l’hôpital de la Pitié-Salpétrière, Nicolas Maduro n’a pas été « un peu » élu contre Juan Guaido (qui n’était pas candidat, je le rappelle aux distraits), etc. (3). Si je partais au Xinjiang (j’y suis allé deux fois) avec Renaud Girard et Rémy Ourdan, ils s’affranchiraient des informateurs yankees et autres menteurs professionnels, ils se distingueraient de leurs confères qui écrivent des articles d’une telle débilité qu’ils sont des insultes aux lecteurs, des crachats sur la charte des journalistes. Ils feraient leur job en se respectant. Beijing hait les enfants ouïghours jusqu’à les tuer pour prélèvement d’organes ? C’est Goebbels qui vous le dit. Il peut même faire témoigner (de dos) un chirurgien masqué dont le nom a été changé et la voix modifiée. Goebbels peut pondre un article terrifiant à coups de conditionnels, de « selon des témoins… » , de « certaines sources affirment… » , de « il semblerait que…. » , de « un diplomate aurait constaté », « des Ouïghours auraient disparu… » de « des organisation de défense des droits de l’homme… » . Un conditionnel dix fois répété devient un indicatif certifié. La caisse dans laquelle le félin Goebbels se soulage volontiers s’appelle Libération. Il y a quelques années, Le Grand Soir avait démontré qu’un article traficoté de Libération avait fait de Hugo Chavez un antisémite ( « Le Credo antisémite de Hugo Chavez » ). Un échange vigoureux et public avait alors eu lieu entre Le Grand Soir et Libération. Nous avions les preuves, nous les avons fournies. Irréfutables. Nous avons mis en regard la phrase de Chavez et la même, après troncature par Libération. Libération ergota (4). Pour ses lecteurs, Chavez est donc resté un antisémite. Pour les lecteurs des autres médias aussi, qui choisirent de se taire pour ne pas désavouer Libération. Le clan, la mafia… Le journaliste coupable de cette crapulerie est Jean-Hébert Armengaud, promu depuis rédacteur en chef de Courrier International et son N+1 à Libé, qui l’a couvert jusqu’au bout, est Pierre Haski, aujourd’hui chroniqueur tous les matins sur France Inter. Promotions au mérite. Alors, je le redis ici en invitant mes lecteurs à vérifier : les Ouïghours et les Tibétains sont de plus en plus (et spectaculairement) nombreux, leur culture est préservée et promue comme jamais dans leur Histoire, leur religion est (trop) libre, l’instruction fait des progrès considérables, les deux républiques autonomes du Xinjiang et du Tibet votent des lois dont aucune ne permet d’encager les citoyens au simple motif de leur croyance, de stériliser de force les femmes ou d’amputer les enfants. Pour répondre plus avant à la déferlante de mensonges sur le Xinjiang, il me faudrait citer des pages entières de mon livre « Le dalaï lama pas si zen » . On pourrait croire que les instigateurs des campagnes mondiales de mensonges ont un logiciel unique avec des cases sur lesquelles cliquer pour que ça démarre. La stérilisation ? « Des villages entiers » (Voir les Mémoires du dalaï lama, longuement citées dans « Le dalaï lama, pas si zen » ). Le génocide ? « Observateur critique de la politique chinoise, le Britannique Patrick French, directeur de la « Free Tibet Campaign » (Campagne pour l’indépendance du Tibet) a pu consulter les archives du gouvernement du Dalaï-Lama en exil. Il a découvert que les preuves du génocide étaient des faux et il a démissionné de son poste » ( « Le dalaï lama, pas si zen » ). Cependant, la publicité faite en Occident à cette affaire d’extermination (par la stérilisation et des massacres) de la population tibétaine, a largement contribué hier à un élan de compassion pour le Tibet et le bouddhisme. Aujourd’hui les mensonges « hénaurmes » sur le Xinjiang font pleurnicher les gogos, soudain épris de cette région dont ils seraient bien en peine de citer la Capitale (5). Ce n’est pas Laurent Joffrin, Pierre Haski, Jean-Hébert Armengaud qui le déploreront. Je ne sais pas à qui pense l’excellente humoriste Blanche Gardin quand elle affirme (un peu trop crument pour être citée par un site de bonne tenue comme Le Grand Soir) que « Nous vivons dans un pays où les journalistes sucent plus de bites que les prostituées » . Maxime VIVAS Notes. (1) Si l’on rapporte le chiffre de Radio Free Asia au nombre de Ouïghours mâles adultes, il n’en reste pas un dans les rues. Or, continuez à vous tenir bien : j’en ai vus ! (2) Il serait injuste de ne pas mentionner les positions exemplaires (et dignes d’un chef d’Etat) de Jean-Luc Mélenchon sur la Chine. Au demeurant, je lui sais gré de me citer et d’inviter ses contradicteurs à me lire ici et ici sur ce sujet où nous sommes synchrones, même si j’ai une liberté d’expression qu’il ne peut avoir. (3) Anecdote personnelle. Me trouvant avec mon fils aîné au commissariat de police de Toulouse le samedi 4 mai 2020 pour nous enquérir du sort de mon fils cadet, Gilet jaune arrêté pour rien dans la manif (Il fut jugé en « comparution immédiate » et acquitté après 42 heures de GAV) nous apprîmes qu’il s’était tailladé les mains pour écrire avec son sang sur les murs de sa cellule. Nous avons vécu avec cette information terrifiante (que nous cachâmes à sa mère) jusqu’au lundi 6 mai où, devant le tribunal, il apparut, les mains intactes. Il ne se les était même pas « un peu » tailladées. L’automutilation des mains était aussi vraie que l’amputation des enfants ouïghours. Nombre de journaleux ont un flic dans leur tête. (4) J’aime à raconter cette histoire du Figaro écrivant qu’un film de Jean Yanne était « un monument de bêtise ». Jean Yanne s’en servit ainsi dans ses pubs : « Le Figaro : « un monument ! ». (5) Urumqi, 2 millions d’habitants. URL de cet article 36329 https://www.legrandsoir.info/le-dernier-des-ouighours-et-les-derniers-des-journalistes.html
Edité le 30-07-2020 à 12:49:54 par Xuan |
| | Posté le 01-08-2020 à 11:12:29
| Le grand soir réponds à la propagande qu'il y a sur la téloche. Dans les liens j'ai posté une vidéo d'une propagande d'un nouveau genre. Concernant l'anti-communisme catholique je ne suis pas débile. Même l'abbée pierre et le père gaston fessard qui n’étaient pas des types dégelasses baignaient dans cet anti-communisme... Mais considérez vous que l'église apostolique et romaine occidentale soit chrétienne? Vous faîtes erreur. Elle est chrétienne que par certains aspects, c'est au fond une religion païenne, basé sur le paganisme greco-romain et celtique/germanique enrobé dans une esthétique chrétienne. Il en va de même pour l’horrible évangélisme américain. Doit vous rappeler que des chrétiens orthodoxes (les orthodoxes sont le chainon manquant entre le vrai christianisme et le catholicisme) ont été victime justement de l'alliance ente Hitler et le saint siège? Les SS de la division Galizen, qui étaient accompagné de curetons bruns, ont purgé du chrétiens orthodoxes amalgamés à la sous race slave en ukraine, et je ne vous parle pas des oustachis. La philosophie de Nietzsche Heidegger Bäumler et Hitler étaient profondément anti chrétienne, le plus grand crime des juifs n'étaient pas d'avoir tué christ mais de l’avoir engendré ! Le saint siège n'a jamais été chrétien. L'aristocratie protestante auraient pu être juive ça n'aurait rien changé, ils voulaient juste se faire blé. D'ailleurs il y avait un réformateur qui faisait flipper Luther lui même, tellement qu'il était populaire et radical. Les vrais chrétiens sont des gens Yusuf Salman Yusuf. Vous avez 80 piges de retard en ce qui concerne la religion chrétienne, ça fait bien longtemps qu'on a compris que le christianisme étaient toujours révolutionnaire chez les rouges, Staline, Marchais, Clouscard et pleins d'autres, Loïc Chaigneau, le Camarade Kévine, Hugo Chavez, Benard Friot, les gas de l'essence du temps, Jean Ziegler, le camarade derrière la chaine badmouse. Je ne crois pas qu'un Yusuf Salman Yusuf se reconnaissance dans le pape, même le François actuel, ou les évangélistes américains. J’ai vu les messes qui ont fait élire Bolsonaros.... Il n'y a rien de chrétien dedans, ce sont juste des transes mystiques dans lequel ont délivre un message païen, qui va à l'encontre de tout ce que nous apprends la nouvelle évangile bien que la chrétienté ne soit pas une religion du livre. P.S : Concernant le sujet parlant d'une propagande d'un nouveau genre...... Vous avez effacé le sujet hein? Je considère que vous l'avez lu. https://humaniterouge.alloforum.com/propagande-xinjiang-nouveau-genre-t7610-1.html D'ailleurs j'avais utilisé Dominique Pagani pour commencer à élaborer un nouveau type de contre propagande plus élaborée. http://cercles.communistes.free.fr/chb/publi.php?idArticle=2008_06_27_chine https://www.youtube.com/watch?v=FvUTP8KDIkw A partir de là avec cette source non officielle, nous pouvons instiller le douet chez nos opposants et accuser la rhétorique de la guerer d'information des nos opposant conrte eux. Si on façonne le contexte il faudra Par contre il faudra faire des concession et justifier ce qui est injustifiable dans une société libérale. https://youtu.be/HE-aos5rlyM Sinon on peut se permettre d'utiliser leur format.
Edité le 01-08-2020 à 21:14:35 par Plaristes |
| | Posté le 02-08-2020 à 00:25:45
| "Concernant le sujet parlant d'une propagande d'un nouveau genre...... Vous avez effacé le sujet hein? Je considère que vous l'avez lu" J'ai supprimé ce sujet et je te l'ai dit. Quel que soit le motif, la propagande antichinoise provenant de Falun Gong et consorts n'a pas sa place ici. Deuxièmement tu évites des vidéos en langues étrangères. Si tu as quelque chose à dire tu dois te débrouiller pour te faire comprendre et pas pour étaler ta science. Revois ta copie.
Edité le 02-08-2020 à 00:29:55 par Xuan |
| | Posté le 02-08-2020 à 08:49:07
| Ce n'était pas Falun Gong.... Mais si vous aviez écoutez vous sauriez qu'ils commencent à nous répondre. C'était ça qu'il fallait comprendre. |
| | Posté le 02-08-2020 à 11:58:07
| P.S : j'aurais vraiment espéré que vous auriez eu le courage d'avoir un débat profond et intelligent sur la culture..... Si la plus part des pays musulmans y compris l'Arabie saoudite supportent la Chine dans ses programmes de relocalisation. et seuls les pays de l'impérialisme atlantiste Australie, €urope, U.S.A. J'aimerai que vous posiez au moins cette question : que se passe-t-il quand on prend des nomades et qu'on leur donne un logement high-tech ultra moderne? Que se passe-t-il quand on entre dans une société religieuse ultra féodale et que l'ont introduit des valeurs proches des idéaux des lumières? Que se passe-t-il quand on interdit l'excision ou la circoncision? Que se passe-t-il quand on prend des communauté d’illettré et que soudainement on leur donne accès à l'école? (Si vous connaissez votre histoire de France vous devriez savoir où je veux en venir, je pense qu'on est plus proche de ce qui s'est passé en France qu'en Russie...) Que passe-t-il quand on enseigne une culture laïque dans une communauté aux racines religieuse profondes? Doit-on laisser ceux qui refusent à l'abandon? Est-ce une bonne ou une mauvaise chose? J'aurai franchement aimé que vous auriez eu le courage de vous aventurer dans ce territoire !
Edité le 02-08-2020 à 12:11:27 par Plaristes |
| | Posté le 02-08-2020 à 12:10:18
| Le courage de quoi ? De te coucher encore une fois ? Et je te rappelle que tu n'as pas cité tes sources pour le texte de Xi sur la religion, que tu ne l'as pas cité en entier non plus. On aurait aimé ici que tu aies le courage de renoncer aux compromis de toutes sortes, tant avec Asselineau et consorts qu'avec la réaction impérialiste. Tu nous gave à enculer les mouches sans arrêt et à poser des questions stupides. Le nomadisme ne permet pas de sortir de la misère et leurs maisons ne sont pas "high tech". Le féodalisme doit être combattu dans les masses, par l'éducation et la persuasion. L'excision et la circoncision aussi. Si ça te pose un problème pas à nous. "est-ce une bonne ou une mauvaise chose?" Bien sûr que non, il vaut nettement mieux laisser les nomades dans la misère, sans soins ni éducation, et ne pas sortir du féodalisme, c'est ça ?. Ce raisonnement imbécile ne t'empêche pas de critiquer la Chine "capitaliste hybride" et de pinailler sans cesse. Et sur tous les sujets c'est pareil. Eh bien non, on ne va pas "s'aventurer" dans le territoire de l'opportunisme et de l'ouverture à tous les vents pestilentiels que tu répands ici. Tu es un opportuniste, pas un communiste, et tes interventions relèvent de l'idéologie trotskiste. TU ne contribues pas à l'unité des communistes mais à leur division.
Edité le 02-08-2020 à 12:19:03 par Xuan |
| | | | Posté le 11-08-2020 à 23:46:16
| La Chine dépose une représentation solennelle auprès de la BBC pour de faux rapports sur le Xinjiang https://histoireetsociete.com/2020/08/10/la-chine-depose-une-representation-solennelle-aupres-de-la-bbc-pour-de-faux-rapports-sur-le-xinjiang/ DANIELLE BLEITRACH 10 AOÛT 2020 IL serait temps que la Chine proteste contre l’invraisemblable propagande dont elle est victime, ne rien dire sous couvert de liberté de la presse revient à laisser diffuser des montages d’officines comme celles de Guo Wengui et Stève Banon et confondre information et guerre froide. (note et traduction de danielle Bleitrach) Source: Global Times Publié: 8/8/2020 12:09:17 Dernière mise à jour: 8/8/2020 19:36:584 La BBC sur la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, déborde d’informations fausses et farfelues qui ont été délibérément rassemblées et fondées sur des hypothèses subjectives, a déclaré vendredi un communiqué publié par le ministère chinois des Affaires étrangères. Le département de l’information du ministère des Affaires étrangères a déposé jeudi une protestation solennelle auprès des journalistes de la BBC basés à Pékin au sujet de la production et de la diffusion de faux reportages sur le Xinjiang. Le département a souligné que les documentaires sont gravement inexacts en accusant le gouvernement chinois de «torturer» un grand nombre d’Ouygurs qui seraient conduits dans des «camps d’internement» sur la base d’une vidéo réalisée par un trafiquant de drogue et de quelques SMS. De tels rapports sont pleins de préjugés idéologiques, violent l’éthique professionnelle du journalisme et induisent gravement en erreur le public et les fausses informations portent atteinte à la crédibilité de la BBC, a-t-il déclaré. Le département a exprimé une forte opposition aux préjugés idéologiques de la société de radiodiffusion contre la Chine et à sa fabrication de fausses nouvelles en utilisant l’excuse de la soi-disant liberté de la presse. “Nous exhortons la BBC à prendre des mesures immédiates pour corriger ses erreurs, rejeter les préjugés idéologiques et rendre compte de la Chine de manière objective et impartiale” , a déclaré le département dans le communiqué. La Chine a révélé un certain nombre de mensonges liés au Xinjiang concoctés par la BBC. La BBC a interviewé une femme ouïgoure nommée Zumrat Dawut [en juillet] qui a affirmé qu’elle avait été détenue dans un camp de rééducation et que son père était récemment décédé pendant sa détention par le gouvernement du Xinjiang. Il a été découvert plus tard qu’elle n’avait jamais étudié dans aucun centre d’enseignement et de formation professionnels au Xinjiang et que son père avait vécu avec sa famille jusqu’à sa mort le 12 octobre 2019 d’une maladie cardiaque, selon un communiqué de l’ambassade de Chine en France en août. 2 en réponse à la suggestion de la France d’envoyer une mission d’observation dirigée par les Nations Unies au Xinjiang pour évaluer le traitement des Ouïgours dans la région autonome. L’ambassadeur de Chine au Royaume-Uni Liu Xiaoming a également réfuté un clip vidéo qui lui a été montré alors qu’il était interviewé par la BBC en juillet, qui prétendait montrer un grand nombre de Ouïgours détenus au Xinjiang. La vidéo montre en fait le transfert normal de prisonniers dans la région, selon les autorités locales. |
| | | | Posté le 21-08-2020 à 20:41:07
| Réfutation de la stérilisation obligatoire du Xinjiang Hua Chunying dénonce le département d'État américain comme un "spoiler" La question du Xinjiang a attiré l'attention de l'opinion publique occidentale, et la question des droits de l'homme est une «arme» pour l'Occident pour attaquer la Chine. La photo montre des enfants du Xinjiang jouant joyeusement. (Agence de presse Xinhua) Écrit par: Miller 2020-08-21 15:53:00
________________________________________ La lutte sino-américaine s'est intensifiée et les États-Unis ont à maintes reprises mis en avant les sujets du Xinjiang, tels que les «camps de concentration» et la «stérilisation obligatoire» ... En réponse aux accusations de l'opinion publique internationale sur la question du Xinjiang, les responsables chinois continuent de les réfuter. Le porte-parole du département d'Etat américain, Morgan Ortagus, a déclaré le 18 août: "Nous sommes extrêmement préoccupés par les informations faisant état d'avortements forcés et de stérilisation au Xinjiang". Le discours était une réponse à un rapport précédent de la Radio Free Asia (RAF) américaine. Concernant la déclaration de Morgan Ortagus, la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hua Chunying, a directement dénoncé que le département d'Etat américain "est devenu un institut de désinformation et de rumeurs". Le 20 août, Hua Chunying a envoyé deux tweets (Twitter) pour réfuter les propos tenus par le porte-parole du département d'État américain. Elle a écrit: "Le département d'État américain a répandu des rumeurs pour calomnier d'autres pays, ce qui ne fera que nuire à sa propre réputation et crédibilité. La population ouïghoure du Xinjiang a doublé au cours des 49 dernières années." "Avez-vous déjà vu une telle" répression cruelle "? Les minorités ethniques chinoises vivent beaucoup plus heureuses et plus libres que les Afro-Américains." Après avoir affiché les données, Hua Chunying a exhorté ces Américains à se rendre en Chine pour voir par eux-mêmes. Bien sûr, c'était après l'épidémie ». Il convient de noter que «Radio Free Asia» mentionnée dans la capture d'écran du tweet de Hua Chunying a été accusée de répandre des rumeurs visant à discréditer les problèmes liés à Hong Kong et au Xinjiang en Chine. C'est également important pour les rumeurs récentes sur les soi-disant «camps de concentration» et la «stérilisation obligatoire» au Xinjiang. Poussez les mains. Max Blumenthal, rédacteur en chef du site Web "Gray Zone" des médias américains, a un jour souligné que Radio Free Asia, tout comme Voice of America (VOA), est à la fois soumise à l'agence de propagande externe du gouvernement américain - American International Supervision par l'Agence des médias (USAGM). L'agence a fait un don de 2 millions de dollars américains pour des manifestations violentes à Hong Kong. Blumentel a également mentionné que «les médias américains citaient souvent le chercheur anti-chinois Adrian Zenz comme source d'informations lorsqu'ils traitaient de sujets liés au Xinjiang, et Zheng Guoen est en fait membre d'une organisation d'extrême droite créée par le gouvernement américain, et il est également américain. C’est l'épine dorsale du "Groupe de recherche du Centre d'éducation et de formation du Xinjiang" mis en place par les agences de renseignement. " Selon un rapport de l'Associated Press du 29 juin, afin de réduire la population musulmane, le gouvernement chinois a imposé des mesures sévères sur le taux de fertilité des Ouïghours du Xinjiang et d'autres minorités, telles que l'installation forcée d'un anneau utérin, la stérilisation et même l'avortement. Le secrétaire d'État américain Mike Pompeo a également condamné la planification familiale obligatoire en Chine pour les Ouïghours et d'autres femmes appartenant à des minorités et a exhorté le Parti communiste chinois à mettre fin à la persécution. En réponse au rapport ci-dessus, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a rétorqué le 30 juin qu'il s'agissait d'un "bla-bla". On parle de «fabrication» et de «fake news», et le gouvernement chinois traite tous les groupes ethniques de la même manière et protège les droits légaux des minorités. Zhao Lijian a également déclaré: «Qu'il s'agisse d'un groupe ethnique minoritaire ou d'un Chinois Han, tout le monde doit respecter la loi. La politique démographique accorde depuis longtemps un traitement préférentiel aux minorités ethniques, y compris les Ouïghours. De 1978 à 2018, la population ouïghoure du Xinjiang est passée de 5,23 millions à 11,68 millions, ce qui représente environ 46,8% de la population totale de la région autonome et 2,1 fois la population d'il y a 40 ans. "
Edité le 21-08-2020 à 22:32:37 par Xuan |
| | Posté le 08-09-2020 à 08:03:06
| Global Times présente un tableau en anglais sur l'évolution de la population au Xinjiang avec plusieurs graphiques. |
| | Posté le 09-09-2020 à 07:33:32
| Assez intéressant la bataille menée sur les réseaux sociaux tels que Twitter ou Instagram, concernant le Xinjiang et les Ouïghours. Dans la sphère euro-atlantiste, grosse influence de Raphaël Glucksmann, très populaire trouvant un véritable soutien dans une partie de la jeunesse. Très peu de voix contradictoires se font entendre. Toutefois, le collectif « Qiao » tentent de faire émerger un rapport rationnel sur ce sujet, malheureusement cela se fait uniquement dans les sphères anglophones. Par ailleurs, première menace officielle de Macron cette semaine vis à vis de la RPC : https://www.google.fr/amp/s/mobile.francetvinfo.fr/monde/chine/chine-macron-juge-inacceptable-la-repression-contre-les-ouighours_4097847.amp Je suis persuadé que cela fut suscité par la polémique liée à la rencontre avec le ministre des affaires étrangères chinois. De nombreuses personnalités influentes dont Glucksmann interpellèrent le chef de l’Etat sur le sort des Ouighour. |
| | Posté le 09-09-2020 à 10:27:36
| Grecfrites a écrit :
Dans la sphère euro-atlantiste, grosse influence de Raphaël Glucksmann, très populaire trouvant un véritable soutien dans une partie de la jeunesse. Très peu de voix contradictoires se font entendre. ... Je suis persuadé que cela fut suscité par la polémique liée à la rencontre avec le ministre des affaires étrangères chinois. De nombreuses personnalités influentes dont Glucksmann interpellèrent le chef de l’Etat sur le sort des Ouighour. |
Je serai bien étonné que les dirigeants chinois fassent bien attention à ce que disent les Macron et autres Glucksmann, des pantins animés par la financière Rothschild tout juste bons pour envahir les médias avant de bavarder sur BFM TV ou de pavaner dans Gala sur son jet-ski et une minette. |
| | Posté le 09-09-2020 à 13:16:34
| Je crois que les Chinois sont attentifs à l'attitude de pays comme la France, dans la constitution d'un front uni anti hégémoniste. La visite du ministre des affaires étrangères avait pour but de limiter la casse en préconisant le multilatéralisme et en faisant valoir l'intérêt bien compris des pays occidentaux, mais il s'est heurté à un mur. Evidemment les USA font tout pour briser ce front et les hésitations de ces pays en font des proies faciles. La chaîne CGTN a déjà épinglé la valse hésitation de la France. Après la Chine ne rentre pas nécessairement dans le détail des influenceurs comme Glucksmann, c'est la position officielle de la France qui est prise en compte. Et la position officielle de la France, c'est radio Trump
Edité le 09-09-2020 à 13:33:09 par Xuan |
| | Posté le 09-09-2020 à 20:49:37
| Ce que je veux plutôt pointer du doigt, c'est que la contradiction de la parole dominante sur ce sujet est quasi-absente dans le monde francophone. Quelques rares articles, de Guigue, Collon ne sont pas suffisants pour contrebalancer un argumentaire constitué de fake-news . La bataille des réseaux sociaux, et donc de la jeunesse française, est en train d'être gagnée par les opposants à la RPC/pro-Ouïgours. |
| | Posté le 10-09-2020 à 08:48:12
| J'entends bien, on a vécu la même chose voire pire pour les JO de Pékin. L'idéologie dominante est celle des médias et elle est liée à la position de la France dans le conflit US vs RPC. Il s'avère qu'une position intermédiaire "indépendante" n'est pas possible. Il est encore possible d'intervenir en commentaire sur des articles en ligne (comme sur France info), et on voit que selon les sites le ton est différent. Fondamentalement, ce qui me paraît essentiel c'est d'abord l'unité des marxistes-léninistes, et y compris des communistes dans le PCF, où l'influence trotskiste est réelle (cf le rapprochement avec le NPA). Sans une telle unité on ne peut pas constituer un front uni anti hégémonique et pour la paix, et c'est bien l'enjeu. |
| | Posté le 16-09-2020 à 13:11:42
| La Chine prête à organiser une visite indépendante au Xinjiang à la demande de l'Union européenne le Quotidien du Peuple en ligne | 16.09.2020 14h57 http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2020/0909/c31354-9758626.html À lire aussi : Une nouvelle enquête démystifie les mensonges sur la population du Xinjiang Le Xinjiang adopte diverses mesures pour favoriser la relance du tourisme La Chine réfute les propos d'Emmanuel Macron sur le traitement « inacceptable » des Ouïghours par le gouvernement chinois Le ministère chinois des Affaires étrangères a annoncé le 15 septembre que la Chine était d'accord et disposée à organiser une visite indépendante dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) à la demande de l'Union européenne. Le porte-parole du ministère, Wang Wenbin, répondait à une question lors d'un point de presse quotidien sur l'autorisation de la visite d'observateurs indépendants au Xinjiang, qui a été mentionnée lors de la réunion des dirigeants Chine-Allemagne-Union européenne du 14 septembre. M. Wang a indiqué que la Chine invitait les gens à visiter le Xinjiang et à en apprendre davantage sur la situation réelle au lieu de croire à des ouï-dire ou même à des mensonges fabriqués, soulignant toutefois que la Chine s'oppose à toute enquête comportant une présomption de culpabilité. Situé dans le nord-ouest de la Chine, le Xinjiang est devenu la dernière victime des interdictions américaines qui verront certaines des exportations du Xinjiang, notamment le coton et les vêtements, être bannies des États-Unis. Lors de la réunion d'information de mardi, le ministère chinois a qualifié les interdictions d'importation américaines, qui invoquent les violations des droits humains de la Chine, de « harcèlement nu » et de sabotage des chaînes d'approvisionnement mondiales. « Les États-Unis disent qu'ils se soucient des minorités ethniques du Xinjiang tout en persécutant les entreprises du Xinjiang » , a déclaré M. Wang lors de la réunion, ajoutant également que la Chine prendra les mesures nécessaires pour sauvegarder les droits et les intérêts de ses entreprises et exhortant les États-Unis à cesser de saper la coopération normale entre les entreprises chinoises et américaines. (Rédacteurs :Yishuang Liu) |
| | Posté le 16-09-2020 à 19:41:48
| Les chercheurs démystifient les mensonges sur le `` contrôle des naissances '' d'un universitaire allemand Source: Global Times Publié: 2020/9/16 22:08:23 https://www.globaltimes.cn/content/1201140.shtml trad auto google «Le rapport est extrêmement imprécis, fictionnant la relation entre les images et les textes et interprétant malicieusement les cas…» Un institut des droits de l'homme en Chine a réfuté le rapport du chercheur allemand Adrian Zenz sur le soi-disant contrôle des naissances dans la région du Xinjiang. En analysant le rapport de Zenz, l'institut a conclu que le rapport de Zenz était basé sur une recherche universitaire laxiste contraire aux normes et à l'éthique universitaires, exposant dans une certaine mesure les attributs politiques de ce rapport. Mercredi, l'Institut des droits de l'homme de l'Université de science politique et de droit du sud-ouest (SWUPS) a publié un rapport intitulé Analyse anatomique du rapport indépendant sur la «stérilisation obligatoire» et le «génocide» des Ouïgours au Xinjiang par Adrian Zenz. Le 29 juin, la Fondation américaine Jamestown a publié le rapport du chercheur allemand Adrian Zenz, qui affirmait que le Xinjiang mettait en œuvre un «génocide» obligatoire sur les Ouïgours. Cependant, en menant des recherches approfondies sur le rapport de Zenz, l'Institut des droits de l'homme de SWUPS a constaté que Zenz avait adopté une «technique d'édition hollywoodienne», fictionnant la relation entre les images et les articles dans le rapport, et a essayé de construire une image avec un langage soigneusement conçu et plusieurs photos sélectives. Par exemple, Zenz a mentionné à plusieurs reprises l'examen physique national au Xinjiang en citant Zumrat Dawut, Mihrigul Tursun et Rakhima Senbay, trois femmes ouïghoures qui ont affirmé avoir été stérilisées de force. Zenz poursuit en joignant une photo montrant deux femmes ouïgures qui ont subi des examens à l'hôpital. Cependant, en effectuant une recherche sur Internet, il a été constaté que l'image provenait d'un article scientifique populaire du Quotidien du Peuple sur les examens gynécologiques. Cet article scientifique populaire indique clairement que cette image montre que "le 11 novembre 2016, plusieurs jeunes de minorités ethniques des zones rurales de Hotan, Xinjiang, ont bénéficié d'examens de santé gratuits pour la première fois au 29th Regiment Hospital de la deuxième division de production du Xinjiang et Construction Corps. " "De toute évidence, Adrian Zenz a inventé la relation entre les images et les textes en découpant les photos, et sa mauvaise technique et ses intentions hostiles devraient être repoussées dans les cercles académiques", indique l'article de l'institut. Zenz attaque également les bilans de santé gratuits du Xinjiang, affirmant que c'est un moyen de contrôler la population ouïgoure. Le développement des services de santé au Xinjiang est un moyen important de construire un «Xinjiang sain». Les examens physiques aident à fournir des mesures d'intervention efficaces pour résoudre les problèmes de santé en obtenant des informations sur la santé des résidents et en évaluant les risques pour la santé. Depuis octobre 2016, le Xinjiang a lancé le premier cycle de son projet national d'examen physique avec les résidents urbains et ruraux du Xinjiang en mesure de bénéficier d'examens physiques gratuits une fois par an. En 2019, l'examen physique national était entièrement achevé, avec un investissement total de 5,324 milliards de yuans au Xinjiang et un total de 70,81 millions d'examens physiques pour des personnes de tous les groupes ethniques. L'espérance de vie moyenne de l'ensemble de la région est passée de moins de 30 ans avant 1949 à 72 ans à la fin de 2018, soit une augmentation de 2,4 fois par rapport aux chiffres d'origine. Mis à part une mauvaise utilisation des images, Zenz a également fabriqué des sources de données dans son rapport. Afin d'atteindre la soi-disant rigueur du rapport indépendant, Adrian Zenz y a énuméré un grand nombre de données pertinentes. Cependant, il n'est pas difficile de découvrir par une vérification effective que les sources de données contenues dans ce rapport sont soupçonnées d'être fabriquées et sorties de leur contexte de manière sélective. Par exemple, le rapport a souligné que "en 2018, la préfecture de Kizilsu a publié cette déclaration sans détour, liant explicitement la campagne de" chirurgie contraceptive gratuite "à l'intention de progresser vers la stérilisation massive des populations rurales". Cependant, grâce à une vérification effective, il a été constaté que le contenu pertinent cité dans cet article provenait de l'article 9 du << Résumé de la réduction de la pauvreté et du développement au cours du premier semestre 2018 >> publié par la préfecture autonome de Kizilsu Kirgiz, et n'avait aucun lien avec le situation pertinente décrite dans le rapport. La connexion hors contexte et unilatérale d'Adrian Zenz d'une phrase mentionnant la «stérilisation de masse» est un acte extrêmement irresponsable de falsification des sources de données, qui va à l'encontre des intentions et de l'essence originelles de l'authenticité et de la fiabilité de la recherche universitaire, a déclaré l'analyse SWUPS. Un "rapport indépendant" comme celui d'Adrian Zenz est en fait une nouvelle tendance et un nouvel outil de l'opinion publique internationale des droits de l'homme concernant le Xinjiang. C'est un moyen pour les forces anti-chinoises occidentales d'interférer dans les affaires intérieures de la Chine en faisant de fausses déclarations au nom de soi-disant experts. |
| | Posté le 18-09-2020 à 08:10:47
| Chine : le Xinjiang protège les droits du travail Xinhua | 17.09.2020 14h05 http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2020/0917/c31354-9761442.html La région chinoise du Xinjiang a formulé et mis en œuvre une série de réglementations régionales autonomes basées sur les conditions locales, offrant aux citoyens une garantie juridique solide pour jouir de l'égalité des droits au travail, indique un livre blanc publié jeudi par le Bureau de l'information du Conseil des Affaires d'Etat. La région autonome ouïghoure du Xinjiang applique pleinement les exigences politiques du pays concernant l'établissement d'un mécanisme dynamique d'augmentation de salaires pour les employés d'entreprise, et améliore les systèmes d'orientation salariale pour les entreprises et pour le marché du travail respectivement, selon le livre blanc intitulé "Emploi et droits du travail au Xinjiang". La région applique strictement les règlements pertinents de l'Etat et adopte le système de la journée de travail de huit heures et de la semaine de travail de 40 heures, indique le livre blanc. Les travailleurs ont le droit au repos les week-ends et les jours fériés, y compris la fête du Printemps, la Fête de Roza (Aïd al-Fitr) et la Fête de Corban (Aïd al-Adha), indique le livre blanc. Le Xinjiang a pleinement mis en œuvre le plan national visant à s'assurer que tout le monde ait accès à la sécurité sociale et que tous ceux qui en ont besoin soient couverts, indique le livre blanc. Le gouvernement local du Xinjiang respecte et garantit pleinement le droit des travailleurs de tous les groupes ethniques à la liberté de croyance religieuse, et veille à ce qu'aucune organisation ou individu n'entrave cette liberté, souligne le livre blanc. Tout en faisant la promotion du chinois parlé et écrit standard conformément à la loi, le Xinjiang respecte et protège pleinement les droits des travailleurs des minorités ethniques à l'utilisation de leurs propres langues parlées et écrites, et veille à ce que les travailleurs aient le choix de leurs langues de communication, indique le livre blanc. Les coutumes des travailleurs de tous les groupes ethniques sont pleinement respectées et garanties et des efforts sont faits pour créer un milieu de travail et de vie favorable pour eux, selon le livre blanc. (Rédacteurs : Yishuang Liu
_____________________ Une nouvelle enquête démystifie les mensonges sur la population du Xinjiang le Quotidien du Peuple en ligne | 16.09.2020 10h40 http://french.peopledaily.com.cn/VieSociale/n3/2020/0916/c31360-9760907.html Une universitaire de la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) a publié le 14 septembre une enquête pour démystifier les mensonges et les rumeurs sur la population de la région. Intitulée « Réponse aux mensonges d'Adrian Zenz sur le contrôle des naissances au Xinjiang : une enquête sur le désir de fécondité des femmes des minorités ethniques du Xinjiang » , l'étude de Lin Fangfei, professeure agrégée à l'Université du Xinjiang, a utilisé des faits et des chiffres pour réfuter les allégations d'Adrian Zenz. Selon l'enquête de Mme Lin, les allégations de stérilisation obligatoire au Xinjiang sont, en substance, de fausses informations sans fondement forgées par les États-Unis et certaines fondations et universitaires occidentaux. Dans son étude, la professeure agrégée a démystifié six mensonges individuels apparus dans le rapport d'Adrian Zenz. - Adrian Zenz a affirmé que, depuis 2015, le taux de croissance naturelle de la population du Xinjiang a fortement chuté. L'enquête de Mme Lin a indiqué que le taux de croissance naturelle de la population au Xinjiang a effectivement montré une tendance à la baisse, mais que son déclin n'est en aucun cas aussi « brutal » que celui décrit dans le rapport d'Adrian Zenz. Et ce phénomène n'est certainement pas dû à ces causes alléguées sans fondement par les gouvernements et les universitaires occidentaux. Selon l'enquête, ce changement démographique reflète les efforts à long terme de la Chine et les réalisations importantes dans la promotion de politiques visant à protéger les droits et les intérêts des femmes et des enfants. Le Xinjiang, en particulier sa région méridionale, connaît un développement social et économique rapide. De plus en plus de femmes appartenant à des minorités ethniques jouissent pleinement du droit à l'éducation et à l'emploi et ont également obtenu une plus grande autonomie en matière de procréation. Enfin, l'enquête a montré que le taux de croissance naturelle de la population du Xinjiang en 2018 était de 6,13 pour mille, nettement supérieur au taux de croissance naturel de la population nationale de 3,81 pour mille. - Adrian Zenz a affirmé que la préfecture autonome kirghize de Kizilsu s'était fixé un objectif sans précédent de croissance démographique proche de zéro pour 2020 -à peine 1,05 pour mille. En fait, le rapport d'Adrian Zenz a complètement falsifié ces chiffres, qu'il attribue à un document officiel du gouvernement de Kizilsu. Ce document indique clairement que l'objectif de taux de croissance naturelle de la population en 2020 est de 1,05%, soit 10,5 pour mille. Selon l'enquête, Adrian Zenz a délibérément altéré l'unité du ratio et fabriqué de faux chiffres. - Adrian Zenz a également affirmé que les documents du gouvernement du Xinjiang stipulaient que les femmes appartenant à des minorités ethniques qui violaient les politiques de planification familiale seraient envoyées dans des centres d'enseignement et de formation professionnels. « Ironiquement, après avoir parcouru ces documents officiels répertoriés et cités par Adrian Zenz dans le rapport, je n'ai trouvé aucune preuve pour prouver ses propres affirmations » , a souligné Mme Lin dans l'enquête. - Adrian Zenz a également menti en déclarant qu'en 2018, au moins 80% des nouvelles procédures d'insertion de DIU en Chine avaient été effectuées au Xinjiang. En fait, selon les statistiques publiées par la Commission nationale de la santé citées par l'enquête, le nombre de nouvelles procédures d'insertion de DIU dans le Xinjiang en 2018 s'est monté à 328.475, alors que le nombre à l'échelle nationale s'est élevé à 3 774 318. Il est facile de calculer que le nombre de nouvelles procédures d'insertion de DIU au Xinjiang ne représentait que 8,7% du total national. De toute évidence, souligné l'enquête, le pourcentage allégué par Adrian Zenz est loin des données réelles. « Les politiques d'égalité ethnique mises en œuvre par le gouvernement chinois conduiront certainement les gens de tous les groupes ethniques du Xinjiang vers un avenir plus prospère et plus stable » , a conclu l'enquête.
_____________________ La Chine réfute les propos d'Emmanuel Macron sur le traitement « inacceptable » des Ouïghours par le gouvernement chinois http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2020/0909/c31354-9758626.html le Quotidien du Peuple en ligne | 09.09.2020 16h05 Selon le site Internet du ministère des Affaires étrangères, des journalistes de l'AFP ont posé des questions lors d'une conférence de presse régulière du ministère des Affaires étrangères le 8 septembre. Selon certaines informations, le président français Macron a déclaré dans une lettre adressée à un parlementaires que le traitement par la Chine de la minorité ouïghoure habitant dans la région autonome du Xinjiang est « inacceptable » et que la France s'y oppose fermement. En réponse, Zhao Lijian, le porte-parole du ministère, a déclaré que le Xinjiang met pleinement en œuvre la politique ethnique nationale conformément à la loi et insiste sur le fait que tous les groupes ethniques sont égaux. Il n'y a jamais eu de soi-disant « camps de rééducation » au Xinjiang. La région autonome ouïghoure du Xinjiang a pris une série de mesures antiterroristes et anti-extrémisme, notamment la création de centre d'enseignement et de formation professionnelle, qui ont obtenu des résultats positifs et apporté des contributions importantes à la lutte contre le terrorisme et aux pratiques extrêmes dans le monde. Depuis la fin de 2018, près de 1 000 personnes de plus de 90 pays, dont la France, se sont rendues au Xinjiang, où elles ont pu témoigner de la grande situation d'unité ethnique, de stabilité sociale et de prospérité et de développement au Xinjiang. Par ailleurs, Zhao Lijian a souligné que les questions liées au Xinjiang ne concernent pas les droits de l'homme, la religion et les questions ethniques, mais que ce sont des questions de lutte contre la violence, le terrorisme et la sécession. Il a en conséquence demandé aux parties concernées de respecter les faits et traiter la question du Xinjiang de manière objective et équitable. (Rédacteurs : Yishuang Liu)
Edité le 18-09-2020 à 08:13:18 par Xuan |
| | Posté le 26-09-2020 à 09:44:31
| Mi septembre Le Monde titrait : "La Chine reconnaît plus d’un million de « formations » par an au Xinjiang" "Faisant l’éloge de sa politique, le gouvernement dit avoir fourni 1,29 million de « sessions de formation » entre 2014 et 2019, alors que la formule désigne d’ordinaire le système d’internement des Ouïgours..." On notera que 1,29 /5 = 0,258 million et non "plus d'un million par an" mais le Monde est souvent fâché avec les chiffres comme avec la réalité des faits. La "formule qui signifie d'ordinaire" signifie la formule ordinaire du Monde évidemment. Avant hier il rapportait une information d'origine australienne sur des "photos aériennes" et une "enquête" : "Une enquête fait état de 380 centres de détention de Ouïgours au Xinjiang" "Un institut de recherche australien dit les avoir identifiés grâce à des images satellites, des témoignages, des articles de presse et des appels d’offres publics dans le BTP" . ____________________ Un institut australien n'a aucune crédibilité en "rapportant" une pure calomnie sur le Xinjiang: FM chinoise Source: Global Times Publié: 2020/9/25 17:43:50 https://www.globaltimes.cn/content/1202079.shtml L'Australian Strategic Policy Institute (ASPI) est depuis longtemps engagé dans la fabrication de rapports et de mensonges anti-chinois et n'a aucune crédibilité académique. Leurs «rapports» sur le Xinjiang sont de la pure calomnie, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Wang Wenbin. Wang a fait ces remarques en réponse à un «rapport» publié vendredi par ASPI, qui affirme que 65% des mosquées du Xinjiang ont été «endommagées ou totalement détruites» . «Le Xinjiang compte environ 24 000 mosquées, une pour 530 musulmans. Le nombre de mosquées au Xinjiang est 10 fois plus élevé qu'aux États-Unis, et le nombre de mosquées par habitant parmi les musulmans du Xinjiang est plus élevé que dans de nombreux pays musulmans » , a noté Wang. Les droits de l'homme au Xinjiang ont été pleinement protégés, et les droits et la liberté des personnes de tous les groupes ethniques, y compris les Ouïgours, ont été sauvegardés conformément à la loi, a déclaré Wang. L'affirmation de l'ASPI selon laquelle il existe des «centres de détention» au Xinjiang, qui n'existent nulle part dans la région, a déclaré Wang. Les adresses des «centres» publiées par l'ASPI incluent des parcs industriels et même une communauté résidentielle cinq étoiles, a-t-il noté, ajoutant que ces rapports de mauvaise qualité n'ont aucune crédibilité, tout comme l'institut lui-même. La Chine a interdit jeudi l'entrée de Clive Hamilton et Alexander Joske, deux universitaires australiens de l'ASPI , en vertu de la loi sur l'administration des entrées et des sorties du pays. Wang a déclaré lors de la conférence de presse de jeudi que la question de savoir si un ressortissant étranger est autorisé à entrer en Chine relève entièrement de la souveraineté de la Chine, et la Chine s'oppose à toute tentative de salir et de l'attaquer sous le couvert de la recherche universitaire.
Edité le 26-09-2020 à 09:46:38 par Xuan |
| | Posté le 27-09-2020 à 10:17:18
| Selon la presse bourgeoise,la "rééducation de masse"et la répression s étendent désormais au Tibet.
Edité le 27-09-2020 à 10:50:27 par marquetalia |
| | Posté le 27-09-2020 à 10:19:08
| https://amp.ouest-france.fr/monde/tibet/pekin-etend-sa-reeducation-de-masse-au-tibet-6987017 |
| | Posté le 27-09-2020 à 10:22:08
| https://fr.news.yahoo.com/amphtml/exclusif-chine-d%C3%A9veloppe-programme-travail-085358617.html
Edité le 27-09-2020 à 10:28:29 par marquetalia |
| | Posté le 27-09-2020 à 11:03:40
| Une analyse de la situation au Tibet |
| | Posté le 27-09-2020 à 11:04:46
| https://www.monde-diplomatique.fr/2013/03/BULARD/48833 |
| | Posté le 27-09-2020 à 12:13:25
| Sur la rééducation au Tibet https://www.lemonde.fr/international/article/2020/09/26/la-chine-emprunte-a-ses-politiques-au-xinjiang-pour-siniser-encore-plus-le-tibet_6053731_3210.html
Edité le 23-12-2020 à 18:46:25 par marquetalia |
| | Posté le 27-09-2020 à 14:37:57
| Sur les relations israelo-chinoises https://www.google.com/amp/s/www.lesechos.fr/amp/11810118 |
| | Posté le 27-09-2020 à 21:43:02
| marquetalia a écrit :
Selon la presse bourgeoise,la "rééducation de masse"et la répression s étendent désormais au Tibet. |
Celà signifie que la propagande de guerre US prend la forme du soutien au séparatisme au Xinjiang et au Tibet, et que la presse de notre pays reprend en choeur. Tous ces articles ont la même origine et reprennent des arguments éculés. Dans les minorités nationales l'expression libre des langues nationales à pour contrepartie l'utilisation de la langue majoritaire au moins au même titre et l'apprentissage des deux à l'école. Et la pratique religieuse implique aussi une éducation civique visant le respect des lois socialistes. Cela dit je ne vais pas passer mon temps à réfuter le bourrage de crâne quotidien. On sait que c'est une propagande de guerre, à chacun de chercher les contre-informations. Et je ne vois pas bien l'utilité de reproduire ici ce qu'on trouve dans toute la propagande médiatique sans faire de commentaire. |
| | Posté le 27-09-2020 à 22:36:09
| Une réunion importante sur le Xinjiang Du 25 au 26 septembre 2020, la Chine a organisé le «Troisième Forum du travail central du Xinjiang». Les sept membres du Comité permanent du Bureau politique du Parti communiste chinois ont assisté à la réunion, poursuivant les normes élevées des deux premiers forums de travail du Xinjiang du Comité central du PCC en mai 2010 et mai 2014. vidéo Un article tiré de dnews : Négation des «camps de rééducation» occidentaux concernant la décision de Xi Jinping sur la gouvernance du Xinjiang 2020-09-27 … Le président chinois Xi Jinping a avancé lors de ce symposium « diriger le Xinjiang conformément à la loi, unir et stabiliser le Xinjiang, reconstituer culturellement le Xinjiang, enrichir le peuple et rajeunir le Xinjiang, et construire le Xinjiang pendant longtemps » devraient devenir les cinq prochaines lignes directrices pour la Chine pour gouverner le Xinjiang. Dans le même temps, ce symposium sur la gouvernance du Xinjiang est également une réunion de synthèse et de félicitations pour les travaux connexes après le deuxième symposium. Il est particulièrement intéressant de noter qu'en réponse à la critique de longue date de l'Occident contre la politique de «camp de rééducation» du gouvernement chinois, s’oppose la déclaration de Xi Jinping selon laquelle «la pratique a prouvé que la stratégie du Parti pour gouverner le Xinjiang dans la nouvelle ère est tout à fait correcte et doit être respectée pendant longtemps.» En fait, la gouvernance du Xinjiang en Chine est également un processus d'exploration constante, avec à la fois l'expérience et les leçons. Le deuxième Forum de travail central du Xinjiang du Comité central du PCC en 2014 a marqué un tournant. Depuis lors, une série de nouvelles politiques de gouvernance ont été introduites. Après 6 ans de tests pratiques, le troisième Forum de travail central du PCC au Xinjiang en 2020 sera l'affirmation, le résumé et le raffinement supplémentaires des politiques de gouvernance qui ont été testées dans la pratique au cours des 6 dernières années qui peuvent être utilisés comme des politiques à long terme. L'agence de presse Xinhua a rapporté que Xi Jinping avait montré pour la première fois les changements au Xinjiang après le deuxième forum de travail du Xinjiang avec un long exposé et de grandes quantités de données lors du symposium, y compris un taux de croissance économique annuel moyen de 7,2% et une moyenne annuelle de 9,1% pour le taux de croissance des revenus des résidents, 2 923 200 personnes sorties de la pauvreté, plus de 4 000 milliards de yuans (1 yuan équivaut à environ 0,1466 USD) de soutien et d'investissement au Xinjiang. S'agissant de la manière d'adhérer pendant longtemps à la nouvelle «stratégie de gouvernance du Xinjiang», Xi Jinping s'est concentré sur cinq aspects, dont l'État de droit, la conscience de la communauté de la nation chinoise, le développement économique et social, le personnel officiel et la gouvernance du Xinjiang dans le cadre d'un jeu d'échecs national. Aux yeux des observateurs de Pékin, le quatrième point, à savoir l'utilisation du personnel dans l'administration du Xinjiang, mérite l'attention. Xi Jinping a déclaré qu'il était nécessaire de "former une équipe de cadres avec une base théorique solide, capable de comprendre les politiques en place et de fortes capacités pratiques", tout en insistant sur "la constitution d'une équipe de cadres minoritaires de haute qualité, fidèles au parti et possédant à la fois intégrité et capacité". «Pour les cadres ethniques exceptionnels qui sont politiquement forts et osent assumer ce rôle, nous devons avoir pleinement confiance, être fermes dans l'unité, les sélectionner avec audace et les utiliser librement, et ceux qui ont des performances exceptionnelles peuvent être directement promus et utilisés. Dans les zones ethniques autonomes à tous les niveaux en Chine, un certain pourcentage de fonctionnaires ayant le statut de grandes minorités ethniques locales est généralement égalé dans le système officiel. Cependant, la région du Xinjiang est depuis longtemps en proie au séparatisme ethnique et de nombreux responsables de minorités ethniques sont également impliqués. Par exemple, Shatar Shawuti, l'ancien chef du département de l'éducation du Xinjiang qui a fait l'objet d'une enquête en 2017, était un responsable ouïghour qui a profité de l'occasion pour implanter le «panislamisme» et le «pan-turquisme» dans les manuels locaux ouïghours pendant son mandat. Et propager le discours anti-chinois de "dé-sinisation". En outre, il y a des «personnes à deux visages» mélangées dans la fonction publique qui cachent des informations importantes ne rapportent pas, suppriment et ne communiquent pas, qui aident même secrètement le séparatisme et informent les terroristes, ce qui aggrave de jour en jour la situation séparatiste au Xinjiang. L'effet s’est considérablement réduit. Par conséquent, l'élimination des «personnes à deux visages» dans le système était autrefois une tâche importante dans la lutte contre le terrorisme et la déradicalisation du Xinjiang. Mais dans l'ensemble, il y a seulement quelques «personnes à deux visages» comme Shatar Shawti qui parlent d'unité et se divisent en coulisses. De plus, après la réorganisation officielle de ces dernières années, le troisième Forum de travail central du Xinjiang s'est réuni cette fois pour résumer les travaux antérieurs au Xinjiang. On peut voir que la gouvernance du Xinjiang a achevé ses tâches par étapes et que sa réorganisation officielle devrait prendre fin. Les déclarations de Xi Jinping signifient que la future direction de l'emploi de la fonction publique du Xinjiang a également été ajustée et que les responsables des minorités qui ont résisté au test seront formés et nommés. Les «trois forces» au Xinjiang, à savoir le terrorisme, le séparatisme et l'extrémisme, constituent un défi interne extrêmement difficile et urgent devant le 18e Congrès national du PCC en 2012. Ce défi n'a pas été éradiqué depuis des décennies, et il s'est intensifié vers 2012, avec des attaques terroristes qui se produisent presque tous les mois. Au moment du troisième Forum de travail du Comité central du PCC au Xinjiang, le Xinjiang n'avait pas eu d'attentats terroristes violents depuis plus de 40 mois. Plus important encore, depuis le deuxième Forum du travail central du Xinjiang en 2014, une série de nouvelles stratégies de production et de gouvernance ont été mises en œuvre. Le courant sous-jacent des «trois forces» qui se sont répandues dans le Xinjiang depuis longtemps a progressivement cessé et le Xinjiang est enfin revenu à la paix et à la tranquillité. En fait, c'est aussi un rêve commun et vrai d'innombrables personnes vivant dans des régions en proie à des activités terroristes et violentes.
Edité le 27-09-2020 à 22:37:12 par Xuan |
| | Posté le 27-09-2020 à 23:56:45
| Comme je l'ai signalé sur un autre topic,les Américains veulent virer les Chinois des îles Salomon. |
| | Posté le 28-09-2020 à 07:21:53
| Il y a des musulmans aux Iles Salomon ? |
| | Posté le 02-10-2020 à 07:15:20
| La "gauche" unie contre la Chine s'inscrit dans le planning de la propagande de guerre US : https://www.huffingtonpost.fr/entry/des-personnalites-denoncent-un-crime-contre-lhumanite-contre-les-ouighours_fr_5f73b7e0c5b6374c5585d925 "... “Depuis des années, le monde assiste à un crime contre l’humanité. Depuis des années, le régime chinois enferme dans des camps de concentration des millions d’êtres humains, juste parce qu’ils sont nés ouïgours. Et depuis des années, la communauté internationale laisse faire”, déplorent-ils dans une tribune à l’initiative du député européen Socialistes et Démocrates Raphaël Glucksmann. ... Les organisations internationales telles que l’ONU doivent lancer des commissions d’enquête et “faire tout — y compris menacer la Chine de sanctions — pour accéder aux camps” , souhaitent-ils aussi. Et les “83 entreprises multinationales — de Nike à Volkswagen, d’Uniqlo à Amazon — identifiées comme bénéficiant de la mise en esclavage des Ouïgours” doivent “cesse (r) — immédiatement — toute coopération avec leurs fournisseurs chinois exploitant la main-d’œuvre forcée des déportés” . En France, des députés ont lancé par ailleurs mercredi “un collectif parlementaire de solidarité avec les Ouïghours, avec la volonté de tout faire pour faire fermer ces camps de la honte et défendre la vie et les droits des Ouïghours” . “Le temps est venu pour nous de (…) renouer avec ce vieux rêve formé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale: faire triompher le droit sur la force, la liberté sur la tyrannie, la raison humaine sur la barbarie” , disent-ils dans une tribune parue sur le site de Libération et signée notamment par le premier secrétaire du PS Olivier Faure, les députées Clémentine Autain (LFI), Elsa Faucillon (PCF) ou encore Aurélien Taché et Delphine Batho (Écologie démocratie solidarité)."
Edité le 02-10-2020 à 07:17:45 par Xuan |
| | Posté le 02-10-2020 à 07:39:15
| Ce ne sont pas des gens de gauche. |
| | Posté le 08-10-2020 à 10:06:30
| 70 pays soutiennent la Chine à l'Assemblée générale des Nations Unies concernant HK et le Xinjiang: Source: Global Times Publié: 2020/10/7 15:31:30 https://www.globaltimes.cn/content/1202794.shtml Le ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré que la Chine avait reçu le soutien d'environ 70 pays sur sa position et ses politiques sur les questions liées à Hong Kong et au Xinjiang lors de la troisième commission de la 75e Assemblée générale des Nations Unies. "La Chine est fermement opposée à quiconque, à tout pays ou à toute force créatrice d'instabilité, de sécessionnisme ou de troubles en Chine, et nous sommes également fermement opposés à la manipulation politique sur les questions liées à Hong Kong et au Xinjiang et à l'ingérence dans les affaires intérieures de la Chine" , porte-parole de la Chine. Le ministère des Affaires étrangères, Hua Chunying, a déclaré mercredi. Le Pakistan a fait une déclaration conjointe sur les questions liées à Hong Kong au nom de 55 pays, et Cuba a fait une déclaration conjointe sur les questions liées au Xinjiang au nom de 45 pays, soutenant la position et les mesures de la Chine, a déclaré Hua. Tous ces pays conviennent que l'imposition et la promulgation d'une loi sur la sécurité nationale à Hong Kong sont propices au maintien de la prospérité et de la stabilité de la ville et aussi "d'un pays, deux systèmes". Et les droits et libertés légitimes des résidents de Hong Kong peuvent également être mieux protégés dans un environnement sûr, a déclaré Hua, notant que les mesures prises au Xinjiang sont conformes à la loi pour contrer la menace du terrorisme et de l'extrémisme et protéger les droits humains des personnes de tous les groupes ethniques de la région. Hua a souligné que les questions liées à Hong Kong et au Xinjiang ne sont en aucun cas des questions de droits de l'homme que certaines forces réclament et qu'elles ne devraient pas être politisées. L'appel à la justice en faveur de la Chine montre que la tentative de quelques pays occidentaux de discréditer la Chine sur des questions liées à Hong Kong et au Xinjiang a une fois de plus échoué, a déclaré Hua, notant que les 70 pays ont souligné que la non-ingérence dans les affaires intérieures de les États souverains est un principe important de la Charte des Nations Unies. "Les crises de réfugiés, le racisme, l'extrémisme et les problèmes de minorités ethniques persistent, et des incidents violents contre des juifs, des musulmans et des descendants africains se sont fréquemment produits dans certains pays occidentaux. Sont-ils qualifiés pour dire quoi que ce soit sur les droits humains des autres" , a déclaré Hua. "La Chine n'acceptera jamais ces" conférenciers sur les droits de l'homme "et s'oppose à leurs doubles standards." Zhang Jun, représentant permanent de la Chine auprès de l'ONU, a fait lundi une déclaration commune lors du débat général de la troisième commission de l'Assemblée générale des Nations Unies, au nom de 26 pays, critiquant les États-Unis et les pays occidentaux pour avoir violé les droits de l'homme, appelant à la levée complète et immédiate des sanctions unilatérales et exprimant sa vive préoccupation face à la discrimination raciale systématique. "La Chine est prête à travailler avec toutes les parties pour mener un dialogue et une coopération constructifs basés sur le principe de l'égalité et du respect mutuel et promouvoir conjointement le développement sain de la cause internationale des droits de l'homme", a ajouté Hua. Global Times |
| | Posté le 08-10-2020 à 10:35:06
| Ce soutien peut également être influencé par des volontés commerciales. |
| | Posté le 08-10-2020 à 19:59:41
| En effet, mais la Chine a aussi des rapports commerciaux avec des pays hostiles. En fait la Chine commerce avec tout le monde indépendamment du régime politique ou du système. Il faut rappeler que, dans les actes, la Chine a envoyé du matériel et des équipes médicaux dans de nombreux pays, que des dettes ont été effacées, que la Chine à l'ONU soutient systématiquement les pays émergents, qu'elle ne s'ingère pas dans les affaires des autres. Que de nombreux pays la soutiennent signifie aussi que ces pays sont souvent victimes du jugement négatif des pays "démocratiques", et en butte à des tentatives de subversion ou d'encouragement au séparatisme. Il faut noter que de nombreux pays arabes soutiennent la politique chinoise au Xinjiang, et notamment la Turquie. C'est d'ailleurs l'explication que les médias bourgeois on trouvée : ces pays soutiennent la Chine parce qu'ils ne sont pas démocratiques . |
| | Posté le 09-10-2020 à 23:28:47
| L’occident toute honte bue: l’hypocrisie des droits de l’homme DANIELLE BLEITRACH 9 OCTOBRE 2020 Cet éditorial du Global Times est comme un cri du cœur, la Chine dénonce ce que cherche réellement l’occident : pas l’application des droits de l’homme mais le frein mis au développement et au bien-être du peuple chinois. Oser un tel discours quand on a soi-même un tel bilan épidémique et un tel racisme est honteux, les peuples en voie de développement quand ils le peuvent sont derrière la Chine (note et traduction de Danielle Bleitrach). Source: Global Times Publié le: 2020/10/8 21:03:4113 L’ambassadeur allemand aux Nations Unies Christoph Heusgen (au centre) préside une réunion du Conseil de sécurité au Siège de l’ONU à New York, le 14 juillet 2020. Photo: Xinhua L’ambassadeur allemand à l’ONU, Christoph Heusgen, au nom de 39 pays, a attaqué mardi la Chine sur les questions de droits de l’homme, en particulier celles de la région autonome ouïghoure du Xinjiang et de la Région administrative spéciale de Hong Kong. Toutefois, dans la même réunion, 45 pays ont déclaré leur soutien à la Chine à propos du Xinjiang et 55 pays à propos de Hong Kong respectivement. L’Assemblée générale des Nations Unies a été témoin d’un débat houleux entre l’Occident d’un côté et les pays en développement de l’autre sur les questions relatives aux droits de l’homme. Lors de l’Assemblée générale de l’ONU l’année dernière, 23 pays occidentaux ont critiqué l’application des droits de l’homme par la Chine dans une déclaration commune. Cette fois, quelques pays d’Amérique centrale, du Pacifique Sud et de l’UE, comme la Bulgarie et la Bosnie, ont rejoint la bande. Ces petits pays ont évidemment été contraints par les principaux pays occidentaux. Les pays en développement soutiennent la Chine sur les questions relatives aux droits de l’homme, parce qu’ils se trouvent dans une situation similaire. Ils comprennent que les concepts et les pratiques de la Chine en matière de droits de l’homme sont conformes à la réalité du pays. En fait, alors que l’Occident a un bon nombre de plaies en ce qui concerne l’application des droits de l’homme, les pays occidentaux s’arrogent le droit de critiquer et d’enfumer sur la situation des droits de l’homme dans d’autres pays pour entraver leur développement. C’est devenu un grave danger public dans la politique internationale. Au moins en ce qui concerne 2020, le titre de pays lauréat en matière des pires droits de l’homme doit être attribué aux États-Unis. Il a fait le pire dans la pandémie, et a presque renoncé à tout effort pour protéger un nombre important de personnes. Plus de 210.000 Américains ont perdu la vie en raison de COVID-19, ils détiennent à ce jour, le plus grand nombre de décès du coronavirus dans le monde. En outre, la discrimination raciale échappe à tout contrôle aux États-Unis cette année. Il suffit de ces deux cas pour exposer ce pouvoir occidental très hypocrite sur le pilori de la honte à propos de droits de l’homme. Lorsque l’ambassadeur allemand a lu son discours d’accusations contre la Chine, le pays était en pleine fête nationale. Les vacances ont apporté à la Chine le plus grand boom dans le tourisme et la consommation depuis la propagation globale du coronavirus nouveau, permettant au peuple chinois de profiter pleinement de leur vie de vacances. Il n’y a pas eu de nouveaux cas transmis au pays, pas de verrouillage et pas de panique, ce qui contraste fortement avec les États-Unis, où son président Donald Trump a été contrôlé positif au COVID-19. Comment les pays occidentaux osent-ils sans vergogne attaquer la Chine sur les droits de l’homme en ce moment! La vérité est que le Xinjiang se porte bien aujourd’hui. Il s’est débarrassé de la situation horrible des attaques terroristes violentes fréquentes dans le passé. Il fut un temps où des dizaines, voire des centaines de personnes étaient tuées dans des attaques terroristes chaque année sans que les touristes osent entrer dans cette région. Mais maintenant, il n’y a pas eu d’attaque terroriste en plus de 40 mois, et le Xinjiang a été l’un des points chauds touristiques pendant les vacances de la fête nationale. La Chine a pris les mesures nécessaires pour parvenir à cette transition, et elle l’a fait avec succès. Au lieu d’être heureux pour le rétablissement de la paix et de la tranquillité au Xinjiang, l’Occident critique les réalisations durement gagnées de toutes les manières possibles et ce du point de vue de leurs valeurs. Il n’y a pas de bonne volonté en eux; ils ne peuvent tout simplement pas voir que le Xinjiang s’améliore. L’essence de la défense des droits de l’homme est de faire vivre bien les gens et d’atteindre le bonheur. Du point de vue de la gouvernance, la protection des droits de l’homme n’est pas un slogan vide de sens et peut être mesurée par quelques indicateurs précis. Le développement des droits de l’homme ne peut être qu’un projet systématique, et sa fondation est l’ordre. Les accusations portées contre la Chine par les Etats-Unis et l’Occident ont complètement dévié de cette règle et sont devenues une confrontation malveillante contre la gouvernance chinoise. Les Chinois en sont bien conscients maintenant. Nous ne croyons pas qu’ils se battent pour les droits de l’homme pour les Chinois. Nous sommes profondément dégoûtés par ce qu’ils font. Nous ne croyons pas que les États-Unis et l’Occident se soucient vraiment des droits de l’homme en Chine. Au contraire, la dernière chose que les politiciens occidentaux, en particulier les politiciens américains, acceptent, c’est que la vie du peuple chinois s’améliore de plus en plus. Ils n’aiment pas la modernisation de la Chine et souhaitent que la Chine reste en arrière. Cela n’a-t-il pas été au cœur de la politique chinoise de Washington ces dernières années pour forcer la Chine à arrêter son développement ? L’Occident devrait cesser de faire semblant de se soucier des droits de l’homme en Chine. Une telle hypocrisie est dégoûtante. S’ils sont vraiment sérieux au sujet des droits de l’homme, ils devraient d’abord maîtriser l’épidémie COVIDE-19 dans leur propre pays, de sorte que moins de personnes soient infectées, moins mourront, et moins seront appauvries par l’épidémie. Quelle honte de la part des États-Unis de parler des droits de l’homme alors qu’ils ont tant de morts chaque jour. Les Etats-Unis devraient avoir honte. |
| | Posté le 09-10-2020 à 23:44:58
| La Chine rejette les accusations américaines à l'ONU Xinhua | 09.10.2020 08h56 http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2020/1009/c31354-9767219.html La Chine a rejeté mercredi les accusations portées contre elle par l'ambassadrice des Etats-Unis auprès des Nations Unies, Kelly Craft, devant la troisième commission de l'Assemblée générale des Nations Unies. Les Etats-Unis ont de nouveau porté des accusations infondées contre la Chine et se servent de la plateforme onusienne pour répandre des rumeurs et provoquer la confrontation pour des raisons de politique intérieure, a dénoncé Dai Bing, représentant permanent adjoint de la Chine auprès des Nations Unies. "La Chine s'oppose fermement à ces accusations et les rejette totalement" , a-t-il dit. Il est faux, futile et irresponsable de discréditer et de blâmer la Chine au sujet de la pandémie de nouveau coronavirus, a-t-il ajouté. Elle "a contenu la maladie, tandis qu'aux Etats-Unis, le nombre de cas confirmés a dépassé les 7 millions, alors que ces derniers jours, plusieurs dizaines de personnes à la Maison Blanche ont été testées positives. La Chine donne la priorité aux vies humaines. Avec des morts dépassant la barre des 210.000, le gouvernement américain doit à sa population une explication quant au nombre le plus élevé au monde de cas confirmés et de décès ". M. Dai a assuré que le Xinjiang connaissait une stabilité sociale et la prospérité et que des gens de toutes origines ethniques y vivaient en harmonie. Il y a 24.400 mosquées au Xinjiang, dix fois plus qu'aux Etats-Unis. De 2010 à 2018, la population ouïghoure est passée de 10,17 millions à 12,71 millions de personnes, soit une augmentation de plus de 25%, dix fois celle de l'éthnie Han, a-t-il dit, ajoutant que " la soi-disant 'stérilisation forcée' est un pur mensonge" . Lorsque de violentes émeutes ont éclaté à Hong Kong l'an dernier, le siège du Parlement a été détruit, des députés poignardés, des personnes blessées et des entreprises paralysées. La vie des gens ordinaires a basculé dans un chaos total, a ajouté Dai Bing. Les Hongkongais en ont été profondément attristés. Aucun pays souverain ne resterait les bras croisés en de telles circonstances. Avec la mise en œuvre de la loi sur la sécurité nationale, 80% des résidents pensent que la ville est désormais beaucoup plus sûre, a-t-il ajouté. Le monde d'aujourd'hui est confronté à de multiples défis et les pays attendent des grandes puissances qu'elles assument les responsabilités qui leur incombent. Or, les Etats-Unis ont choisi de passer avant les autres, de quitter l'Organisation mondiale de la santé à un moment critique, d'intimider et de sanctionner d'autres pays et de saper la coopération multilatérale, a-t-il accusé. Les Etats-Unis déclenchent imprudemment des guerres et imposent des sanctions unilatérales de façon discrétionnaire, faisant des centaines de milliers de victimes civiles, a ajouté M. Dai. Washington ne tient pas compte des difficultés financières des Nations Unies et leur doit des arriérés de cotisations. Les Etats-Unis se dressent contre la communauté internationale et sont assez souvent isolés au Conseil de sécurité, a noté le diplomate. Le peuple chinois a évidemment son mot à dire sur la situation des droits de l'Homme en Chine, a-t-il dit. Le taux d'approbation du gouvernement chinois par la population est supérieur à 90%. Aucune force ne peut arrêter le développement et le progrès de la Chine, selon lui. "Nous exhortons les Etats-Unis à abandonner cette mentalité empreinte de préjugés idéologiques datant de la Guerre froide, à reconnaître les progrès historiques des droits humains du peuple chinois et à cesser de propager des mensonges et des 'virus politiques'" . (Rédacteurs :Yishuang Liu) |
| | Posté le 09-10-2020 à 23:56:41
| Cuba fait une déclaration commune à l'ONU au nom de 45 pays pour soutenir les mesures prises par la Chine au Xinjiang Xinhua | 07.10.2020 11h43 http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2020/1007/c31354-9767037.html Lors du débat général de la Troisième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies, Cuba a fait une déclaration commune mardi, au nom de 45 pays, en soutien aux mesures de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation prises par la Chine au Xinjiang. La déclaration commune a proposé que toutes les parties promeuvent et protègent les droits de l'homme par le biais d'un dialogue et d'une coopération constructifs. Elle s'est opposé fermement à la politisation des questions relatives aux droits de l'homme et à la pratique des deux poids deux mesures. La déclaration commune a félicité le gouvernement chinois pour sa poursuite d'une philosophie centrée sur la population en faisant progresser le développement économique et social durable, en éradiquant la pauvreté, en augmentant l'emploi, en améliorant le niveau de vie de la population et en promouvant et protégeant les droits de l'homme. La déclaration commune a noté avec satisfaction que la Chine avait pris une série de mesures en réponse aux menaces de terrorisme et d'extrémisme, conformément à la loi, pour sauvegarder les droits de l'homme de tous les groupes ethniques du Xinjiang. Aucun attentat terroriste n'a été commis au Xinjiang au cours des trois dernières années. Les personnes de tous les groupes ethniques jouissent d'une vie heureuse dans un environnement pacifique et stable. La Chine a maintenu l'ouverture et la transparence en invitant, entre autres, plus de 1.000 diplomates, fonctionnaires d'organisations internationales, journalistes et personnalités religieuses à visiter le Xinjiang, qui ont été témoins des remarquables réalisations de cette région, peut-on lire dans la déclaration commune. Elle a pris note du fait que le gouvernement chinois a invité la Haute-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Mme Michelle Bachelet, à se rendre dans le Xinjiang et que les deux parties maintiennent des contacts à ce sujet. La déclaration commune a indiqué que sur les questions liées au Xinjiang, il était impératif de respecter les faits de base et de s'abstenir de faire des allégations infondées contre la Chine et de s'ingérer dans ses affaires intérieures sous couvert de raisons politiques et de préjugés. (Rédacteurs :Yishuang Liu) |
| | Posté le 17-10-2020 à 09:07:01
| Le Xinjiang accroît l'emploi, n'a pas d'`` objectif annuel '' de transfert de main-d'œuvre excédentaire Source: Global Times Publié: 2020/10/17 11:03:18 https://www.globaltimes.cn/content/1203752.shtml La région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, s'est efforcée d'élargir les canaux permettant aux résidents locaux d'obtenir un emploi, et il n'existe pas d '"objectif annuel" de transfert de main-d'œuvre excédentaire, a déclaré vendredi un haut responsable des ressources humaines du Xinjiang lors d'une conférence de presse. Les gouvernements à tous les niveaux du Xinjiang se consacrent à l'expansion des canaux d'emploi, en collectant des informations sur les marchés des ressources humaines ou d'autres organisations pour les communiquer aux résidents. Les gens peuvent en savoir plus sur le travail, les conditions d'hébergement et les salaires proposés par les entreprises avant de faire leur choix, a déclaré vendredi Rehmanjan Dawut, directeur général du département régional des ressources humaines et de la sécurité sociale du Xinjiang. Les résidents peuvent faire leur propre choix d'emploi, a déclaré Rehmanjan. En réponse aux questions de Reuters sur la question de savoir si le Xinjiang s'est fixé un objectif annuel de transfert de main-d'œuvre excédentaire, Rehmanjan a déclaré qu'il n'y avait pas d'objectif annuel. De 2014 à 2019, le Xinjiang a dispensé des cours de formation à 1,29 million de travailleurs urbains et ruraux en moyenne chaque année, y compris une formation professionnelle offerte par les collèges et les entreprises pour améliorer les compétences des travailleurs. Les centres d'enseignement et de formation professionnels sont conçus pour les personnes qui ont été influencées par l'extrémisme religieux et impliquées dans des violations mineures de la loi, a déclaré le responsable, notant que pour déraciner le terrorisme et l'extrémisme, ces centres proposent un programme qui comprend le chinois parlé et écrit standard, compréhension du droit, des compétences professionnelles et de la déradicalisation. Grâce à l'éducation et à la formation, la connaissance des lois par les stagiaires a été renforcée et ils ont acquis une compréhension de la vraie nature et des dangers du terrorisme et de l'extrémisme religieux, a déclaré le responsable. |
| | | | Posté le 19-11-2020 à 06:59:52
| Le Xinjiang clarifie les rumeurs sur la démolition des mosquées et répond aux questions des médias étrangers Source: Global Times Publié: 2020/11/19 0:48:21 https://www.globaltimes.cn/content/1207319.shtml Il est "totalement faux" de dire que "des milliers de mosquées et autres sites religieux de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) ont été détruits ou fermés définitivement", ont déclaré de hauts responsables du Xinjiang lors d'une conférence de presse mercredi en réponse aux questions des étrangers. médias. Le Xinjiang n'a jamais «détruit» ou «démoli par la force» des sites religieux. Au lieu de cela, il a pris une série de mesures pour les protéger. Les sites religieux sont normalement utilisés, a déclaré Elijan Anayit, porte-parole du bureau d'information du gouvernement régional du Xinjiang. Elijan a répondu aux questions soulevées par Bloomberg qui a assisté à la conférence de presse de mercredi via un lien vidéo. En réponse à la question de Bloomberg sur le nombre de personnes dans les centres d'enseignement et de formation professionnels du Xinjiang chaque année de 2017 à 2020, Elijan a déclaré que le nombre de stagiaires dans les centres était dynamique. Le 9 décembre 2019, la conférence de presse sur le développement stable du Xinjiang a annoncé que tous les stagiaires pour "la langue et les mots nationaux universels, les connaissances juridiques, les techniques professionnelles et l'extrémisme" ont terminé leurs études, obtenu des emplois stables et jouissent d'une situation normale. vies. Le Tokyo Broadcasting System du Japon a soulevé une question sur les propositions de certains fonctionnaires de l'UE pour une "enquête indépendante" sur le Xinjiang. Elijan a déclaré que le Xinjiang est un lieu ouvert et que la région a reçu plus de 1 000 fonctionnaires étrangers de 100 pays et régions. "Nous souhaitons la bienvenue à des amis du monde entier, y compris les responsables de l'UE, à visiter le Xinjiang ... nous sommes opposés à toute enquête basée sur la présomption de culpabilité et contre quiconque regarde le Xinjiang à travers une lentille biaisée", a déclaré le porte-parole. Antara News d'Indonésie a posé des questions sur la flambée soudaine d'infections au COVID-19 dans la ville de Kashi. Mutalip Rouz, directeur de la commission régionale de la santé du Xinjiang, a déclaré lors de la conférence de presse que le Xinjiang avait pris une série de mesures pour contrôler le pic soudain. Entre le 24 octobre et le 17 novembre, un total de 70 patients atteints de COVID-19 sont sortis de l'hôpital et 286 patients asymptomatiques ont été libérés de l'observation médicale. En réponse à une question sur la question de savoir si les musulmans du Xinjiang "sont autorisés" à se rendre en pèlerinage à La Mecque, en Arabie saoudite, l'année prochaine, Elijan a déclaré que de 1996 à 2019, l'Association islamique de Chine avait organisé plus de 50 000 musulmans du Xinjiang pour voler. sur les vols charters organisés par le gouvernement à La Mecque, ainsi que des soins médicaux, des traductions et d'autres services du gouvernement. En raison de la pandémie COVID-19 en cours, l'Association islamique de Chine a suspendu le pèlerinage de 2020. L'Association décidera si le pèlerinage peut avoir lieu en 2021. "L'année prochaine, nous ferons du bon travail pour le pèlerinage selon l'organisation de l'Association islamique de Chine si les conditions le permettent", a déclaré le porte-parole. |
| | Posté le 19-11-2020 à 10:36:32
| https://www.wsj.com/articles/china-irate-after-u-s-removes-terrorist-label-from-separatist-group-11604661868 Cette décision est assez interessante, elle n'augure rien de bon pour le Xinjiang, la Chine et même l'Asie centrale. Les djihadistes ouïgours (et d'Asie centrale), formés en Afghanistan, puis aguerris au combat en Syrie, peuvent se réorganiser dans la nébuleuse islamiste qui se restructure autour des deux pôles, à savoir l'Etat islamique et Al Qaïda. Comme souvent, l'inaction, voir le soutien à des groupuscules ultra-réactionnaires (des nazis ukrainiens aux takfiristes) sont la marque de fabrique de l'impérialisme occidental et donc états-unien. |
| | | | Posté le 16-12-2020 à 18:47:44
| Jacques a dit version Adrian Senz La presse reprend comme un seul homme les nouvelles accusations sur le "travail forcé" au Xinjiang Allégation sans preuve : la récolte `` forcée'' du coton du Xinjiang par Zenz est truffée d'erreurs fondamentales Par les journalistes du personnel du GT Source: Global Times Publié: 16/12/2020 20:31:15 https://www.globaltimes.cn/content/1210151.shtml Utilisant ses vieilles astuces de citations tronquées dans les médias chinois, détournant le sens des politiques de réduction de la pauvreté de la Chine et tirant des conclusions hâtives, le tristement célèbre "érudit" anti-chinois Adrian Zenz a manipulé un nouveau rapport pour accuser la région autonome ouïgoure du Xinjiang de « travail forcé » dans la cueillette du coton, la toute première partie de l'industrie textile dans la région . Les analystes ont déclaré que le but de Zenz est de fabriquer de nouvelles "preuves " pour que certains pays occidentaux, en particulier les États-Unis, attaquent les entreprises chinoises de la chaîne industrielle et entachent l'image de la Chine. Zenz, un chrétien d'extrême droite qui fabrique des rapports non fondés pour calomnier la politique chinoise au Xinjiang, a publié mardi son nouveau travail, affirmant que de nouvelles preuves provenant de documents du gouvernement chinois et de rapports des médias montrent que "des centaines de milliers de travailleurs appartenant à des minorités ethniques au Xinjiang sont forcés de cueillir du coton à la main." Citant le dernier rapport de Zenz, la BBC a publié un rapport le même jour, et il a mis en évidence des phrases extraites de rapports de médias chinois pour suggérer que le Xinjiang utilise le «travail forcé». Zenz a affirmé dans son rapport que 70 pour cent des plantations de coton du Xinjiang en 2019 avaient été récoltées par le travail humain et il a trouvé des "preuves" de coercition dans le recrutement, le transfert et la gestion des travailleurs de la récolte du coton grâce à des reportages chinois. Cependant, les données publiées par le département de l'agriculture du Xinjiang en 2020 ont montré que la superficie totale des plantations de coton au Xinjiang atteignait 24,19 millions de mu et qu'environ 16,90 millions de mu étaient récoltées par des machines, ce qui représente 69,83% de la superficie des plantations. En outre, 95 pour cent du coton dans le nord du Xinjiang ont été récoltés par des machines et la mécanisation dans le sud du Xinjiang n'a cessé d'augmenter. Ou Xingjiang, chef du bureau d'administration des machines au Xinjiang, a été cité par farmer.com, disant que la mécanisation de la récolte du coton a commencé en 2000 et s'est largement répandue dans le Xinjiang en 2010. Le besoin de machines a explosé depuis 2015. De plus, en lisant les «preuves» présentées dans les rapports de Zenz - les rapports des médias chinois - le Global Times a également constaté qu'ils racontaient des histoires différentes de celles présentées par Zenz. Par exemple, Zenz a déclaré dans le rapport que « Il est notamment difficile de trouver des cueilleurs de coton au Xinjiang en nombre suffisant ». L'hyperlien ajouté à la phrase conduit à un reportage le 18 janvier 2018 du Xinjiang Daily. L'histoire originale disait que Gao Jiaru, un producteur de coton du comté de Xayar dans la préfecture d'Aksu, dans le sud du Xinjiang, avait l'habitude de constater qu'il était difficile d'amener les travailleurs à cueillir du coton, et plus tard, il a utilisé des machines pour planter, gérer et récolter 400 mu de coton. Le rapport note également qu'Aksu a commencé à pousser l'utilisation de machines pour la plantation et la récolte du coton depuis 2011, ce qui a aidé les agriculteurs à augmenter leurs revenus de 70 millions de yuans en 2017. La cueillette du coton était autrefois un choix populaire pour les travailleurs migrants d'autres provinces. La province du Sichuan envoyait des travailleurs ramasser du coton au Xinjiang par un train affrété. Des repas et un logement gratuits étaient offerts et le revenu quotidien pouvait être de 300 yuans, a déclaré au Global Times Tian Yun, vice-directeur de l'Association des opérations économiques de Pékin. En raison de l'influence du COVID-19, moins de travailleurs migrants d'autres provinces se sont rendus au Xinjiang pour les travaux de cueillette du coton cette année. Et les machines et les travailleurs locaux ont comblé le vide, a appris le Global Times des producteurs de coton du Xinjiang, y compris ceux du Corps de production et de construction du Xinjiang (XPCC). "Nous avons utilisé des machines pour récolter la majeure partie du coton et la main-d'œuvre n'était utilisée que pour une petite partie de la plantation, où les machines ne pouvaient pas passer" , a déclaré au Global Times un producteur de coton du sud du Xinjiang, nommé Wang. Les producteurs de coton ont signé des contrats avec les travailleurs et les ont payés 2,5 yuans par kilogramme, a déclaré Wang, notant que les travailleurs pouvaient gagner 200 à 350 yuans par jour. [26 à 45,5 €] Le lien hypertexte dans le rapport de Zenz faisait écho aux commentaires de Wang. Un lien hypertexte dans le rapport de Zenz montrait qu'un couple du comté de Wushi à Aksu gagnait environ 16 000 yuans par mois en cueillant du coton dans une ferme du comté voisin d'Awati en octobre 2020. Le salaire mensuel minimum à Aksu est d'environ 1 460 yuans. Le rapport indique également que la préfecture d'Aksu avait des plantations de 7,46 millions de mu de coton en 2020, dont 5,33 millions de mu avaient été récoltées par des machines. Le Global Times a également constaté que ces dernières années, le Xinjiang accélère l'utilisation des machines pour la plantation et la récolte du coton, ce qui permet d'économiser du travail et des coûts. Des initiés et des experts de l'industrie ont également noté que l'utilisation de machines dans l'industrie textile au Xinjiang augmentait rapidement. Les machines importées des États-Unis, dont John Deere, ont été largement utilisées au Xinjiang. Le South China Morning Post a publié un rapport en août, indiquant que les ventes de machines de récolte de coton fabriquées aux États-Unis à la Chine ont augmenté de 4 000 pour cent en avril par rapport au même mois l'année dernière. Après que les États-Unis aient interdit aux entreprises du Xinjiang de faire des affaires avec des entreprises américaines, de nombreuses entreprises et coopératives agricoles ont cherché des machines domestiques pour remplacer celles des États-Unis, a déclaré un spécialiste au Global Times. Cao Wei, directeur exécutif du centre de recherche sur la sécurité nationale de l'École de politique et des relations internationales de l'Université de Lanzhou, a déclaré au Global Times. "Il est ridicule de voir ceux qui comprennent mal le Xinjiang chinois faire de faux rapports. Y a-t-il des producteurs de coton ou des cueilleurs de coton du Xinjiang interviewés par le soi-disant savant ou les médias occidentaux? Ont-ils demandé à ces gens s'ils étaient « forcés de gagner de l'argent?» Outre le rapport de mardi de Zenz, les précédentes accusations contre la Chine incluent des allégations selon lesquelles la région du Xinjiang aurait recours au travail forcé dans des usines de vêtements, de chaussures et de textiles, ainsi que des usines de produits électroniques. Les experts chinois ont également dévoilé les vieilles astuces utilisées par les «érudits» anti-chinois, en particulier Zenz, et certains médias occidentaux lorsqu'ils parlent du Xinjiang en Chine. Tous les bâtiments avec des clôtures ou d'autres mesures de sécurité qu'ils ont vus dans le Xinjiang ou des images satellites étaient des «camps», tous les travailleurs des groupes ethniques étaient des «travailleurs forcés», l'éducation patriotique serait interprétée comme un «génocide des groupes ethniques», n'importe qui au Xinjiang peut être désigné comme une «victime» dans les médias occidentaux, et des gens comme Zenz qui aimaent faire et répandre des mensonges deviennent des «experts du Xinjiang». Ils ont noté que de telles informations et rapports sur le Xinjiang sont faciles à manipuler pour tromper la communauté internationale. Le gouvernement régional du Xinjiang a réitéré qu'il n'y a pas de «travail forcé» au Xinjiang et que les gens de tous les groupes ethniques choisissent un emploi en fonction de leur propre volonté. Cao a déclaré que la diffamation répétée du Xinjiang chinois nuirait à l'image de la Chine dans la communauté internationale, et que les rapports malveillants de Zenz et d'autres individus, médias et organisations anti-chinois seraient également utilisés comme armes par certains pays occidentaux pour attaquer la Chine sous le couvert de "droits humains." Il a noté que la calomnie sur les efforts du Xinjiang pour transférer sa main-d'œuvre excédentaire vise également à mettre des obstacles sur la voie du développement économique du Xinjiang. Les États-Unis et certains pays occidentaux n'abandonneront pas l'utilisation de sujets liés au Xinjiang pour contenir la Chine.
Edité le 16-12-2020 à 20:29:44 par Xuan |
| | Posté le 17-12-2020 à 09:02:32
| A. LEUNG un analyste politique hongkongais a écrit cet article décrivant les processus de la propagande d'un système lugubre à l'encontre de la Chine. Un ONG américain, les 'réfugiés ouïghours, et Un intellectuel allemand expert de la Chine du nom Adrian zenz comme acteurs. Le décor, la cour pénale internationale. Les relais français commencent à bouger, une pléthore d'article dans les journaux nationaux comme le monde, et provinciaux comme le sud-ouest sur les' massacres' des ouïghours, Glucksmann fils sort son stand pour vendre ce camelot aux français qui j'espère ne sont pas dupes. Allégation de violation des droits de l'homme au Xinjiang ; un programme américain auto-auto-auto-dirigé et auto-acteur. En juillet, deux groupes d'Ouïghours exilés ont déposé une pétition et ont soumis à la Cour criminelle internationale (CPI) basée à La Haye ce qui a été décrit comme un énorme dossier de preuve accusant la Chine d'enfermer plus d'un million d'Ouïghours et d'autres minorités principalement musulmanes dans la Camps, et de stériliser de force les femmes. Les Ouïghours exilés demandaient une enquête de la CPI contre la Chine et ses dirigeants, y compris le président Xi Jinping, pour génocide et crimes contre l'humanité. Lundi, le bureau du procureur de la CPI a déclaré que la CPI n'était pas compétente pour connaître des affaires parce que les actes présumés se sont déroulés en Chine et que la Chine n'est pas un signataire de la CPI, ce qui signifie que la CPI peut obtenir compétence si l'affaire devait Conseil de sécurité. La CPI a ajouté qu'elle n'avait trouvé ′′ aucune base pour poursuivre ′′ sur des accusations distinctes d'expulsions forcées, ce que le groupe des Ouighours a déclaré se produire au Tadjikistan et au Cambodge, tous deux signataires de la CPI Cependant, indépendamment de la façon dont les grands médias traditionnels contrôlés par l'ouest construisent une image fausse pour ces groupes d'Ouïghours exilés pour induire les gens en erreur en pensant qu'ils représentaient largement une majorité des Ouïghours, ce qu'ils ne font pas. Le fait est que le gouvernement du Turkistan est en exil et le Mouvement national d'éveil du Turkestan est, les deux groupes d'Ouïghours exilés impliqués ne sont pas seulement fondés et basés à Washington D. C., mais sont tous les deux fortement financés, coordonnés et soutenus par le gouvernement américain. Pour aggraver les choses, le soi-disant énorme dossier de preuve soumis à la CPI et nombre des accusations portées sur les médias traditionnels contrôlés par l'ouest, y compris les soi-disant rapports qui suggèrent que plus d'un demi-million d'Ouïghours au Xinjiang ont été forcés de choisir le coton qui aboutissent aux sanctions américaines et aux restrictions à l'importation de coton sur les fournisseurs contrôlés par le Xinjiang Production and Construction Corps (XPCC), tous originaires du célèbre expert chinois autoproclamé, Adrian Zenz. Adrian Zenz était superviseur de doctorat et chercheur à l'école européenne de culture et de théologie, une école missionnaire en Allemagne qui est connectée à l'université internationale de Columbia, une université chrétienne évangélique en Caroline du Sud. Il n'y a aucune information disponible sur ses diplômes d'éducation sur des sites crédibles en ce qui concerne son expertise autoproclamée sur la Chine. Zenz les références les plus utilisées à ce sujet sont son collègue principal de la Victims of Communism Memorial Foundation, une ONG liée à la CIA et le gouvernement américain a financé à Washington D. C.. En outre, les études et rapports de Zenz sur les Ouïghours et le Xinjiang étaient tous basés sur ses hypothèses anticoncurrentielles et anticommunistes personnellement appuyées par des fuites de données, des rapports et des déclarations personnelles présumées fournies par le NED ou la CIA et des organisations apparentées comme l'Est Le gouvernement turkistanais en exil, le Mouvement national d'éveil du Turkistan est, le Congrès mondial de l'Ouïghour, le Parti islamique du Turkistan (TIP) - une organisation terroriste classée par le Conseil de sécurité depuis 2002, etc. C ' est pourquoi, essentiellement, nous avons un programme auto-écrit, auto-dirigé et auto-acteur du cycle complet pour accuser la Chine d'abus des droits de l'homme contre les Ouïghours, que le gouvernement américain peut utiliser comme monnaie d'échange politique et comme matériel à frotter, pour détourner l'attention des problèmes internes et plus important encore de sanctionner la Chine dans leurs tentatives de contenir sa croissance économique, exploitées par un groupe d'organisations et / ou de personnes qui sont financées par des organisations qui changent le régime américain, telles que le NED, la CIA ou directement par les gouvernements américains. En fin de compte, la vérité dira d'elle-même, car les faits prouveront que les allégations fabriquées de Zenz sont sans fondement. L ' Islam est pratiqué en Chine depuis plus de 1400 ans et historiquement il y a toujours eu respect entre les différentes religions en Chine, il y a un quartier musulman du Hui prospère, le ′′ Xi ' an Musulman Quartier ′′ dans Xian, l'un des quatre grands anciens chinois Les capitales, qui a été l'une des premières villes de Chine à être introduites à l'islam, qui remonte à la dynastie Tang et qui existait depuis plus de mille ans jusqu'à aujourd'hui, si la Chine avait voulu anblitérer les musulmans, le district aurait été long être enlevé. Quel genre de génocide permettra à la population ouïghoure du Xinjiang d'augmenter de 25.04 % ou plus de 2.5 millions en huit ans entre 2010 et 2018 ? La Chine compte actuellement une population musulmane de 60-80 millions de personnes, répartie entre 10 groupes minoritaires officiellement reconnus, le plus important étant le Hui (environ 10 millions) et les Ouïghours (environ 8 millions). Pourquoi les Ouïghours sont-ils les seuls à cause d'un problème alors qu'ils ne représentent qu'environ 13 % des musulmans en Chine ? La réponse est simple, les Ouïghours sont le seul groupe musulman en Chine avec un groupe extrémiste islamique avec des liens avec l'Al-Qaida, le TIP anciennement connu sous le nom d'ETIM qui est financé et soutenu par la CIA et le gouvernement turc, a été En train de mener un Jihad avec des tactiques terroristes dans le but de créer un État islamique au Xinjiang et de transformer l'Asie centrale en califat. La Chine ne lutte contre le terrorisme qu'en offrant à la région une meilleure sécurité, ainsi que des programmes de rééducation et de formation professionnelle, éloignant les gens du terrorisme, les preuves ont prouvé que les mesures ont été très efficaces, car il n'y a pas eu d'attent Enfin, l'allégation de travail forcé qui a accusé le gouvernement chinois d'avoir forcé au moins 570,000 minorités ethniques principalement des Ouïghours à faire des travaux forcés dans le Xinjiang est une nouvelle fois une autre allégation fabriquée pour endommager l'économie chinoise. La Chine est le deuxième plus grand producteur de coton au monde et le plus grand exportateur de textiles au monde, de sorte que le coton que la Chine produit est généralement directement alimenté à son industrie textile. Alors que les États-Unis sont le plus grand exportateur de coton au monde, les États-Unis sont donc prêts à tirer directement parti de tout dommage ou entrave qu'ils causent à l'industrie du coton Dans les rapports de Zenz, il a tenté de relier l'usine de transport point-à-point avec la longue histoire du travail forcé de l'industrie du coton, principalement l'ouest qui abusait des labours et l'esclavage forcé sur des personnes originaires des pays moins avancés. Il essaie en outre de donner aux gens qui n'ont pas vraiment de connaissances sur la Chine et l'industrie manufacturière chinoise l'impression que les usines sont une sorte de camp de concentration en insistant fortement sur les faits que ces travailleurs vivent et mangent dans les usines. Néanmoins, les arguments de Zenz ont prouvé qu'il n'avait absolument aucune idée de ce qui se passe en Chine et tout ce qu'il prétendait reposait sur son propre imagination et sa logique tordue. En Chine, les travailleurs migrants internes représentent plus de 40 % de la population urbaine totale et en raison de l'afflux important de personnes, les prix des logements dans les zones urbanisées ont considérablement augmenté au fil des Par conséquent, les travailleurs moins élevés ne seraient pas en mesure de se permettre d'héberger et de soutenir la famille dans leur retour à la maison si l'employeur ne le fournirait pas. Ainsi, les employeurs peuvent soit fournir des logements et les dortoirs sur place seront toujours l'option la plus abordable ou s'attendre à ce que les travailleurs demandent une augmentation de salaire énorme ce qui augmenterait considérablement les coûts opérationnels. C ' est pourquoi il s'agit d'une norme industrielle en Chine pour les usines, les fermes et les emplois les plus peu rémunérés, qui fournissent des logements et de la nourriture dans le cadre du paquet de salaire de base, de sorte que cela ne peut jamais être considéré comme un indica En outre, le transport point à point à partir d'un point de rassemblement vers le lieu de travail est considéré comme une norme, il sera toujours moins cher pour un employeur de louer quelques bus que de payer les frais de transport individuels pour quelques centaines d'employés pour les frais de transport réguliers Des usines de taille ou quelques milliers d'employés pour de grandes usines. C ' est un triste fait que le monde puisse être poussé au point de lancer des accusations constantes sans fondement contre la Chine sur la base de quelques conclusions fabriquées par une campagne de désinformation massive dirigée par les États-Unis, mais le monde peut être complètement silencieux quand les mêmes États-Unis menacent et que sanction Les procureurs de la CPI qui voulaient enquêter sur les crimes de guerre américains en Afghanistan, les mêmes procureurs de la CPI dont ils s'attendaient à enquêter sur la Chine. Le monde occidental est devenu plein d'hypocrites lavés de cerveaux A. A. Leung Leung |
| | Posté le 20-12-2020 à 07:38:27
| Une parenthèse sur le sujet porté à la controverse par les médias occidentaux qui ont affirmé sans preuve que les dons d'organes étaient forcés ou prélevés d'office sur les prisonniers. La question a déjà été abordée sur ce fil. Un total de 24112 organes ont été donnés en Chine au cours des 4 dernières années Source: Global Times Publié: 2020/12/19 21:05:11 https://www.globaltimes.cn/content/1210387.shtml Un total de 24112 organes ont été donnés par des citoyens chinois après leur décès de janvier 2015 à décembre 2019, et la population par million de dons d'organes est passée de 2,01 en 2015 à 4,16 en 2019, selon un rapport de China Organ Transplantation. Fondation de développement. La fondation a publié samedi un rapport sur le développement de la transplantation d'organes en Chine. Il a déclaré que les dons décédés en Chine avaient atteint 5818 en 2019 et 19454 opérations de transplantation d'organes avaient été effectuées l'année dernière. L'âge moyen des donneurs d'organes est de 47 ans et les enfants de moins de 18 ans représentent 8,2% du total. La plupart des donateurs sont des hommes, selon le rapport. Si la transplantation d'organes a été interrompue dans la plupart des pays, ces opérations n'ont pas été perturbées en Chine. Lors d'une conférence samedi, où le rapport a été publié, Wang Hesheng, directeur adjoint de la Commission nationale de la santé, a déclaré que jusqu'à la fin novembre 2020, il y avait environ 33000 cas de dons d'organes et plus de 93000 organes ont été donnés. Au moins six patients atteints de COVID-19 ont subi une transplantation pulmonaire en Chine en tant qu'option finale pour sauver des patients infectés par le virus dans un état critique, avec des frais médicaux totalisant plus de 7 millions de yuans (1,1 million de dollars), qui ont été couverts par le gouvernement. Lorsqu'on lui a demandé pourquoi, Huang Jiefu, chef du Comité national chinois de don et de transplantation d'organes et président de la Fondation chinoise pour le développement de la transplantation d'organes, a attribué cet exploit à la réponse rapide de la Chine à contenir le coronavirus. "La deuxième raison serait que le don d'organes a été largement reconnu et soutenu par le public. Et les patients souffrant de défaillance d'un organe ne peuvent pas attendre, donc les opérations n'ont pas été suspendues en Chine à cause du virus" , a déclaré Huang. Certains experts internationaux en transplantation d'organes ont également fait l'éloge de la Chine en tant que modèle dans la direction des transplantations d'organes, notamment l'évêque Marcelo Sanchez Sorondo, également chancelier de l'Académie pontificale des sciences du Vatican, Francis Delmonico, ancien président de la Transplantation Society et professeur à la Harvard Medical School. Huang a précédemment déclaré que la Chine deviendrait, espérons-le, le pays avec le taux de transplantations d'organes le plus élevé au monde et atteindrait une échelle de 50 000 transplantations d'organes par an.
Edité le 20-12-2020 à 07:42:47 par Xuan |
| | Posté le 20-12-2020 à 09:12:52
| Xuan a écrit :
Certains experts nationaux en transplantation d'organes ont également fait l'éloge de la Chine en tant que modèle dans la direction des transplantations d'organes, notamment l'évêque Marcelo Sanchez Sorondo, également chancelier de l'Académie pontificale des sciences du Vatican, Francis Delmonico, ancien président de la Transplantation Society et professeur à la Harvard Medical School. Huang a précédemment déclaré que la Chine deviendrait, espérons-le, le pays avec le taux de transplantations d'organes le plus élevé au monde et atteindrait une échelle de 50 000 transplantations d'organes par an. |
Si le Vatican se met à supporter les transplantations d'organes en Chine, les chinois sont sauvés et les européens vont se retrouver désemparés et privés du soutien spirituel et moral des curés de l'Eglise catholique. D'habitude, l'Eglise est plus active pour retarder le progrès le plus longtemps possible. |
| | Posté le 20-12-2020 à 16:58:23
| Oui, cela dépend. Libération écrit que " Dans son dernier livre, le chef des catholiques mentionne le sort des «pauvres Ouïghours » parmi les «peuples persécutés ». Une position qui contraste avec les silences des leaders musulmans sur l'oppression de cette minorité du Xinjiang." En effet ça contraste. Mais Libération ne se pose pas davantage de questions étant donné que les musulmans vivent dans des dictatures , tandis que les pays chrétiens sont des modèles de vertu et de bienveillance. |
| | Posté le 23-12-2020 à 00:12:46
| La Chine réfute les allégations de « travail forcé » au Xinjiang le Quotidien du Peuple en ligne | 22.12.2020 16h13 http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2020/1222/c31354-9801798.html Les responsables de la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), ont réfuté les critiques sur les questions liées au Xinjiang dans des rapports occidentaux, affirmant que les allégations sur des questions telles que le « travail forcé » et les « camps de rééducation » sont de la pure calomnie. Xu Guixiang, chef adjoint du département de la communication du Comité du Parti communiste chinois de la région autonome ouïghoure du Xinjiang, a déclaré le 21 décembre lors d'un point de presse que cette histoire de « travail forcé » est ridicule et que les travailleurs de tous les groupes ethniques du Xinjiang choisissent leur travail de leur plein gré et signent des contrats de travail volontaires conformément à la loi. Selon M. Xu, les travailleurs qui recherchent un emploi en dehors de la région gagnent en moyenne 40 000 yuans (6 108 dollars) par an, tandis que ceux qui restent travailler au Xinjiang pourraient gagner environ 30 000 yuans par an, plus que le travail agricole sur place. Des employées d'une coopérative rurale font des travaux de broderie dans le comté de Tekes de la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 10 août 2020. (Photo / Xinhua) Il a ajouté que certaines forces occidentales ont ignoré ces faits et soulevé la question du « travail forcé » sous prétexte de sauvegarde des droits de l'homme, ce qui en fait viole les droits fondamentaux du travail du peuple ouïghour et entend les priver de leur droit de poursuivre une meilleure vie grâce à l'emploi. De son côté, Elijan Anayit, un porte-parole du bureau d'information du gouvernement régional, a démenti les informations selon lesquelles des « camps de rééducation » au Xinjiang auraient « détenu » plus d'un million de personnes ouïghoures, affirmant que c'était une invention. « Il n'existe pas de tels camps de rééducation », a-t-il dit, ajoutant que les centres d'enseignement et de formation professionnels sont un moyen utile et positif de lutter contre le séparatisme et de prévenir le terrorisme. Les stagiaires des centres ont tous obtenu leur diplôme en octobre de l'année dernière après avoir participé à des programmes d'éducation et de formation en chinois standard parlé et écrit, compréhension du droit, compétences professionnelles et déradicalisation. Ablajan Ablat, ancien stagiaire au centre d'enseignement et de formation professionnels de la préfecture d'Aksu, a souligné qu'en étudiant au centre, il avait amélioré son niveau de chinois parlé et écrit, maîtrisé les techniques d'entretien automobile et reconnu les méfaits de l'extrémisme religieux. L'extrémisme religieux, a-t-il dit, utilise des gens comme lui pour provoquer des conflits entre musulmans et d'autres groupes ethniques et attiser la haine. Notant que son séjour au centre a été un tournant et un nouveau départ pour lui, Ablajan Ablat a déclaré que le gouvernement et les enseignants l'avaient sauvé. Aujourd'hui, il possède un atelier d'entretien automobile et gagne plus de 10 000 yuans par mois, et il travaille comme traducteur pour des hommes d'affaires qui achètent des produits agricoles locaux pendant la récolte d'automne, ce qui lui rapporte encore environ 30 000 yuans par an. (Rédacteurs :Yishuang Liu |
| | | | Posté le 27-12-2020 à 22:54:38
| L'article conclut : "La Turquie est le seul pays à majorité musulmane à avoir jusqu'ici dénoncé publiquement le traitement des Ouïghours. Le ministre turc des Affaires étrangères l'avait ainsi qualifié début 2019 de «honte pour l'humanité». Le président turc Recep Tayyip Erdogan avait cependant vanté l'an passé en Chine la politique menée au Xinjiang, y jugeant les gens «heureux», selon des propos rapportés par l'agence officielle Chine nouvelle." La polémique bat son plein, constamment alimentée par les révélations de Senz. L'Europe voudrait s'en servir pour conditionner l'accord économique sino européen... Après les camps d'internement il s'agit maintenant de travail forcé. Je signale sur Investig'action l'article de Maxime Vivas, et celui d'Emmanuel Wathelet concernant Amnesty International, mais qui en revient à Adrian Senz, sur la méthode utilisée. Il faut préciser concernant les Ouïghours qu'ils sont turcophones. D'autre part l'article du Figaro relève " Le texte, que Pékin veut notamment utiliser pour accélérer le retour de certains Ouïghours musulmans soupçonnés de «terrorisme» et réfugiés en Turquie, prévoit toutefois plusieurs motifs de refus. C'est notamment le cas si l'Etat auquel est soumis la demande d'extradition l'estime liée à un «crime politique» , si la personne visée est l'un de ses citoyens, ou encore si cette dernière bénéficie du droit d'asile." Donc en fait c'est la Turquie qui sélectionne les candidats au retour. En ce qui concerne le Congrès Mondial des Ouïghours , et pour expliquer les "craintes" de son porte-parole Dilxat Raxit, je signale simplement la page wikipedia, qui décrit assez clairement ses liens, son financement et ses objectifs. |
| | Posté le 27-12-2020 à 23:57:20
| Un article plus détaillé expose un point de vue chinois sur dnews :
Réflexion récente : "L'indépendance du Xinjiang" perdra l'asile de la Turquie Écrit par: Mu Yao 2020-12-24 17:17:00 Date de la dernière mise à jour:2020-12-24 17:17 La Turquie, en tant que principale source d'idées pan-turquistes, a servi de refuge aux exilés au Xinjiang, en Chine, ce qui a provoqué des tensions dans les relations sino-turques. (Reuters) La plus haute législature de Chine, le Comité permanent de l’Assemblée populaire nationale, examine un document d’extradition. S'il est approuvé le jour de la clôture, le 26 décembre, les Ouïghours chinois qui entrent en contrebande en Turquie en tant qu’exilés politiques risquent d’être rapatriés. Auparavant, le président turc Recep Tayyip Erdogan avait soumis ce "traité d'extradition" Chine-Turquie à l'approbation de la Grande Assemblée nationale turque. Le 22 décembre, heure de Beijing, le Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale de Chine a tenu sa 24e réunion. Conformément à l'ordre du jour établi, le Vice-Ministre chinois des affaires étrangères Le Yucheng a été chargé de soumettre pour examen et approbation le < < Traité d'extradition entre la République populaire de Chine et la République de Turquie >> .La motion est expliquée. Cela signifie que ce traité d'extradition bilatéral sera très probablement adopté le 26. Une fois que la Grande Assemblée nationale turque l'approuvera, elle entrera en vigueur dès que possible et aura un effet juridique. Conformément aux dispositions de la loi de la République populaire de Chine sur les procédures de conclusion des traités, pour les traités bilatéraux généraux tels que les traités d’extradition judiciaire, «après la signature des traités et des accords importants, le Ministère des affaires étrangères ou les services compétents du Conseil d’État, conjointement avec le Ministère des affaires étrangères, font rapport au Conseil d’État pour examen; Le Comité permanent de l’Assemblée populaire nationale a décidé de l’approuver; le Président de la République populaire de Chine l’a approuvé conformément à la décision du Comité permanent de l’Assemblée populaire nationale. » Ce traité bilatéral signé en 2017 fait l’objet d’une procédure juridique finale à Beijing. Jusqu'à présent, Erdogan a soumis un vote à la Grande Assemblée nationale turque, mais n’a pas encore obtenu l’approbation de cette dernière. On dit que cet accord d'extradition est toujours boycotté par les partis d'opposition à la Grande Assemblée nationale turque. Ils craignent que si ce traité est adopté, il sera difficile pour les Ouïghours chinois en exil en Turquie de continuer à rester en Turquie dans un statut illégal. La Turquie a toujours été la principale position de la pensée pan-turque internationale. Alors que l'atmosphère politique en Chine devenait plus détendue dans les années 1980, les contradictions ethniques et les problèmes religieux (principalement le pan-turquisme et le panislamisme) qui avaient été réprimés ont refait surface et ont résonné avec le mouvement terroriste islamique au Moyen-Orient grâce au contact avec le monde extérieur. Depuis les années 1990 environ, les séparatistes du Xinjiang, en Chine, ont créé de plus en plus d'attaques terroristes violentes, tandis que la Turquie a adopté la même attitude turque dans la communauté internationale - cette idéologie pan-turque elle-même est fausse et la soutient. , Accusant la politique ethnique du gouvernement chinois comme une sorte de «persécution politique» . Pour cette raison, la Turquie offre l'asile politique aux Ouïghours du Xinjiang qui cherchent à quitter la Chine, et les attire même activement à s'installer en Turquie par le biais d'agences étrangères en Asie du Sud-Est. Des milliers d'Ouïghours du Xinjiang se sont précipités en Turquie par divers canaux sous l'influence de l'idéologie pan-turque turque, formant différentes zones de rassemblement dans des villes comme Istanbul. En 2009, des responsables turcs ont publiquement affirmé qu'au moins 50 000 habitants du Xinjiang vivaient en Turquie, et des données récentes estiment que ce nombre est d'au moins 300 000. Il ne fait aucun doute que cela ne peut qu'intensifier les relations entre la Chine et la Turquie, en particulier lorsque le gouvernement turc soutient ces exilés pour qu'ils se livrent à des activités terroristes violentes qui déstabilisent le Xinjiang, la Chine et Pékin a exprimé à plusieurs reprises sa colère. En 2009, lorsque les émeutes d'Urumqi ont éclaté, le Premier ministre turc de l'époque, Erdogan, a publiquement accusé Pékin d'avoir créé un «génocide», qui a suscité de vives protestations. Erdogan est reconnu comme un homme politique turc fort avec néo-ottomanisme et conservatisme national. Il a une attitude intrinsèquement sympathique envers les Ouïghours du Xinjiang, en Chine. Par conséquent, les relations sino-turques sont souvent dans un état de tension. L’identification du nationaliste Erdogan avec la pensée pan-turque a rendu difficile la réconciliation du conflit avec le gouvernement chinois sur la question du Xinjiang. Après qu'Erdogan a été élu président de la Turquie en 2014, sa gestion des relations avec la Chine est devenue plus rationnelle et les relations entre les deux pays ont commencé à se détendre. Par exemple, le traité d'extradition entre la Chine et la Turquie a été signé en mai 2017 lorsque Erdogan a rencontré le chef suprême chinois Xi Jinping. A cette époque, Erdogan a assisté au Forum du Sommet de coopération internationale «Belt and Road» à Pékin. « Les deux chefs d'État ont assisté conjointement à la signature de documents de coopération dans les domaines de la justice (traités d'extradition), des transports et de la culture. En fait, le traité d'extradition sino-turc n'étant pas entré en vigueur, le gouvernement chinois ne peut s'appuyer que sur `` l'Accord Chine et Turquie sur l'assistance judiciaire civile, commerciale et pénale ' ' signé par la Chine et la Turquie en 1992 - les médias ont dévoilé des données chinoises en mai 2020. Cette demande d'assistance judiciaire au gouvernement turc est basée sur cela. Selon les médias de l'époque, avec les relations étroites de la Turquie avec la Chine, même si le traité d'extradition est bloqué à la Grande Assemblée nationale turque, le gouvernement turc peut toujours déclarer publiquement qu'il n'extradera pas les exilés ouïghours du Xinjiang vers la Chine, Le troisième pays, le Tadjikistan, qui a été dénoncé ces dernières années, a "signalé" les personnes bloquées de retour dans le pays. Cette fois, le traité d'extradition sino-turc semble être adopté par les «congrès» des deux parties et mis en vigueur, ce qui permettra d'éliminer considérablement les obstacles juridiques au rapatriement par la Turquie des exilés au Xinjiang. Cela peut bien sûr être considéré comme le résultat du changement d’attitude du gouvernement Erdogan envers la Chine, mais la pression exercée par la Turquie dans la lutte contre la nouvelle pneumonie de la couronne (COVID-19) et l’aide récente fournie par Pékin offrent une autre perspective. Pendant que le Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale de Chine examinait le traité d'extradition, le 14 décembre, le conseiller d'État chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a eu une conversation téléphonique avec le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu. Les deux parties ont non seulement déterminé le contenu de l'achat d'urgence du nouveau vaccin contre la pneumonie en Chine, mais ont également échangé des vues sur l'opposition à la politisation et à l'instrumentalisation des questions de lutte contre le terrorisme et à l'utilisation de << doubles standards >> sur les questions de lutte contre le terrorisme. Cavusoglu devrait donner des assurances à la Chine " La partie turque ne permettra à personne de saper la souveraineté et l'intégrité territoriale de la Chine. " En effet, la nouvelle épidémie de pneumonie de la couronne continue de s'aggraver en Turquie et la Chine a obtenu dès septembre l'autorisation de la Turquie pour réaliser la troisième phase de l'essai de vaccin chinois en Turquie. Jusqu'à fin novembre, Pékin et Ankara étaient déjà parvenus à un accord pour fournir 50 millions de doses de vaccins par le chinois Sinovac Biotech. C'est crucial pour la Turquie, qui manque de capacités de recherche et de développement de vaccins. Vous savez, Cavusoglu n'est pas une personne qui a une position modérée envers la Chine. En 2019, lorsque les médias occidentaux ont interprété la politique de déradicalisation de la Chine au Xinjiang, le gouvernement chinois a détenu des millions de personnes du Xinjiang dans des « camps de concentration ». En tant que voix la plus active, il a demandé à la Chine de fermer les « centres de rééducation » et d'arrêter. La persécution des Ouïghours. |
| | Posté le 06-02-2021 à 16:56:27
| Commentaire : Vérité sur la situation au Xinjiang, les faits parlent d'eux-mêmes https://francais.cgtn.com/n/BfJEA-IA-BEA/DHeIIA/index.html?fbclid=IwAR3ISf_nGGIls1ugSxc44yQQaPfeDsHVFPy4WYxlU6D3wzU0W06qkPQMNGs « Le gouvernement chinois a fait de grandes réalisations en matière de développement social et de protection des droits de l'homme » , a reconnu le diplomate laotien Kham-Inh Khitchadeth, lors d'une réunion par liaison vidéo organisée le 3 février par la Chine, une réunion qui s'adressait aux responsables des Missions permanentes auprès des Nations unies et aux autres représentants des organismes onusiens. Évoquant sa visite au Xinjiang en 2019, le diplomate laotien a, lors de cette réunion, avoué qu'il n'existait pas une voie de développement qui soit unique au monde. Point relayé par une soixantaine de diplomates de différents pays et des hauts fonctionnaires des Nations Unies présents à cette réunion. Beaucoup d'entre eux ont approuvé les efforts du gouvernement chinois dans la promotion du développement durable et la protection des droits de l’homme, se rappelant leur récente visite au Xinjiang. Tout dernièrement, un rapport sur l'industrie du textile du Xinjiang a fait couler beaucoup d'encres. Ce dossier, fruit d'une enquête minutieuse des chercheurs chinois, a recueilli les témoignages des employés, dont plus de la moitié sont des minorités ethniques. 93,2% des personnes interrogées disent choisir eux-mêmes le secteur du textile, à travers le salon de l'emploi ou la recommandation des amis. Le contrat à signer est présenté en double version : ouïgour et mandarin. Pour eux, les droits des travailleurs sont pleinement protégés conformément à la loi. On se demande d’où vient cette histoire de « travail forcé » que certains politiciens américains et occidentaux tentent injustement de coller à la Chine ? Au Xinjiang, c'est l’industrie textile qui absorbe le plus de main-d'œuvre. C'est également sur cette unité de production que reposent les espoirs des autorités locales dans la lutte contre la pauvreté. En 2019, le salaire minimum mensuel au Xinjiang oscillait entre 1 460 et 1 820 yuans, tandis que le salaire mensuel moyen des employés du textile était de 3 463,2 yuans. Quoi de plus normal qu'il ait une ruée vers le textile. « Le travail dans le coton fait entretenir ma famille » , a déclaré une salariée ouïgoure. C'est pourquoi la population du Xinjiang s'est indignée contre les États-Unis, qui ont saisi toutes les importations de produits de tomate et de coton du Xinjiang, prétendant que ces produits agricoles étaient l'œuvre du travail forcé. «Ceux qui répandent des rumeurs ne veulent pas du tout défendre nos droits. Ils veulent détruire notre gagne-pain et nous priver du boulot et de la nourriture. Et ça, nous ne l'accepterons jamais» , a dit Bekley Suwuer, visiblement très en colère. Il s'exprimait ainsi lors d'une récente conférence de presse du ministère chinois des Affaires étrangères. Un autre habitant du Xinjiang, Ekber Abulaiti, employé d'une usine d'aliments pour animaux dans la région d'Aksu, a même demandé aux journalistes présents à cette conférence de passer un message à l'ancien secrétaire d'État américain Mike Pompeo, en l'informant que « tout le monde au Xinjiang le déteste, et que personne ne veut de lui. Qu'il arrête de mentir et de tromper les gens» . Les statistiques montrent qu'en 2020, le Xinjiang a créé 461 100 nouveaux emplois dans les zones urbaines et 3 154 700 habitants des agglomérations rurales ont trouvé du travail en cette même période. Dès novembre dernier, la pauvreté absolue a été historiquement éliminée dans la région. Au Xinjiang, le développement social et l'unité ethnique sont vérifiables. Les mensonges des politiciens occidentaux ont déjà été contredits par les habitants locaux qui mènent une meilleure vie, à l'aide de leur travail décent |
| | Posté le 12-02-2021 à 00:17:11
| La Chine interdit à BBC World News pour de faux rapports Par les journalistes du personnel du GT Publié: 12 févr.2021 00:13 Mis à jour: 12 févr.2021 01:34 https://www.globaltimes.cn/page/202102/1215537.shtml BBC World News a été empêchée de diffuser en Chine, a annoncé la National Radio and Television Administration (NRTA), affirmant que certains rapports de la BBC sur la Chine enfreignaient les principes de véracité et d'impartialité dans le journalisme. Les observateurs chinois ont déclaré que la BBC s'était transformée en "un moulin à rumeurs" qui jette délibérément de la boue sur la Chine, et la décision de suspendre sa diffusion envoie un message clair que la Chine n'accepte pas les fausses nouvelles. La suspension de la diffusion de BBC World News signifie qu'elle ne peut être reçue nulle part en Chine continentale, car la Chine ne fournira plus de service d'analyse de résolution locale à la société de radiodiffusion, a déclaré Wang Sixin, professeur de droit à l'Université de la communication de Chine. Il a déclaré que l'annonce très médiatisée, le soir du Nouvel An chinois, visait à montrer l'attitude de la Chine et à attirer davantage l'attention du public. "La BBC ne prend même pas la peine de cacher sa rhétorique anti-Chine, en chargeant un soi-disant" expert "anti-Chine de rechercher et d'utiliser des matériaux fabriqués pour calomnier la Chine. Elle mérite une telle punition", a déclaré Wang. Les mesures de la Chine pour l'administration de l'atterrissage des chaînes de télévision par satellite étrangères stipulent que les chaînes de télévision par satellite étrangères peuvent atterrir dans la plage prescrite, comme les hôtels liés à l'étranger au niveau trois étoiles ou plus, et les appartements liés à l'étranger spécialement fournis aux étrangers comme bureau ou résidence, et autres gammes spécifiques. Selon la mesure, les chaînes de télévision par satellite étrangères approuvées pour l'atterrissage sont interdites de diffuser des programmes dont le contenu porte atteinte à l'unité nationale, à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de la Chine; Comment la BBC applique-t-elle les principes des «résultats avant preuve» lorsqu'elle rend compte de la Chine? Graphique: Xu Zihe, Feng Qingyin / GT Il a également noté que si les chaînes de télévision par satellite étrangères approuvées pour l'atterrissage enfreignent les dispositions de ces règles, lorsque les circonstances sont graves, la diffusion d'un contenu spécialement désigné est provisoirement interrompue ou les qualifications d'atterrissage de la chaîne concernée sont provisoirement suspendues ou annulées. Les récents rapports biaisés de la BBC sur la Chine, que ce soit sur la gouvernance du Xinjiang ou sur Wuhan, autrefois touchée par l'épidémie, ont suscité de vives critiques en Chine. Sur la plate-forme chinoise Sina Weibo, semblable à Twitter, les reportages de la BBC ont souvent été ridicules pour leurs reportages biaisés et à double standard. La BBC s'est récemment mise sous les projecteurs de la communauté internationale avec une histoire sensationnelle qui accusait la Chine de "viol de masse" dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang sur la base d'une seule affirmation non vérifiée d'une personne interrogée. Le diffuseur a également déformé les rapports sur les coronavirus à propos de Wuhan. La BBC a rapporté la semaine dernière que des femmes ouïgoures ont été "systématiquement violées, abusées sexuellement et torturées" dans les camps de rééducation du Xinjiang, mettant en évidence des violations présumées des droits des femmes au Xinjiang, qui ont été sérieusement rejetées pour "n'avoir aucune base factuelle" par les Chinois étrangers. Le porte-parole du ministère Wang Wenbin, qui a exhorté la BBC à cesser de salir la Chine sur des sujets concernant le Xinjiang. Lorsqu'elle a rapporté le premier anniversaire du verrouillage de Wuhan, la BBC a utilisé des images de la police procédant à l'arrestation pour affirmer que le verrouillage était une violation des droits de l'homme. Les images se sont révélées être un exercice de lutte contre l'épidémie sur autoroute à Nanyang, dans la province du Henan, le 21 février de l'année dernière, où un homme a tenté de traverser directement un poste de contrôle et a attaqué la police avant d'être arrêté. Le ministère chinois des Affaires étrangères a fait des démarches solennelles la semaine dernière auprès du bureau de la BBC à Pékin pour ses rapports qui politisent et salissent le travail épidémique en Chine. Depuis un certain temps, la BBC se consacre à la diffusion d'informations qui incitent au séparatisme et au sécessionnisme en Chine, qui mettent en danger la sécurité nationale de la Chine, a déclaré Shen Yi, professeur à l'École des relations internationales et des affaires publiques de l'Université de Fudan, au Global Times sur Jeudi. Shen a déclaré que le radiodiffuseur avait cédé à servir les intérêts d'organisations illégales qui visent à déchirer la Chine, et a longtemps rapporté la Chine d'une position prédéfinie. "Le fait d'interdire la diffusion de BBC World News en Chine envoie un message clair selon lequel la Chine n'accepte pas les fausses nouvelles", a déclaré Shen. Li Haidong, professeur à l'Institut des relations internationales de l'Université des affaires étrangères de Chine, a déclaré au Global Times qu'il est possible que la Chine prenne de nouvelles mesures de rétorsion, selon que la BBC corrigera ses torts et cessera de déformer des problèmes tels que Hong Kong, Taiwan et Xinjiang. Sinon, la Chine expulsera probablement les journalistes de la BBC basés en Chine continentale, selon Li. "Expulser des journalistes est une décision raisonnable, car si les journalistes ne parlent pas de la vraie Chine, les expulser est la bonne chose à faire", a déclaré Li. Li a déclaré que les reportages de la BBC sur la Chine avaient causé d'énormes dommages aux relations sino-britanniques, en particulier à sa couverture de la gestion du COVID-19 par la Chine. "COVID-19 attire l'attention de tous, et est important et sensible alors que la BBC continue de susciter un sentiment anti-chinois sur cette question. Cela stimulera davantage les gouvernements occidentaux à utiliser des méthodes antagonistes envers la Chine. C'est très dangereux", a déclaré Li. Le Royaume-Uni a agi de manière malveillante sur un grand nombre de problèmes liés aux affaires intérieures de la Chine, selon Li, notant que la récente loi de la BBC semble aider le Royaume-Uni à façonner son image internationale dans l'ère post Brexit. Le mouvement anti-Chine semble prendre de l'ampleur au Royaume-Uni, a récemment déclaré Martin Jacques, ancien chercheur principal au Département de politique et d'études internationales de l'Université de Cambridge, au Global Times. Il a comparé le mouvement à une croisade, et les médias, dont la BBC, ont joué un rôle important dans ce mouvement. "La croisade s'est mobilisée autour de deux thèmes en particulier: le Xinjiang et Hong Kong". Il a déclaré que le mouvement anti-Chine avait connu un processus de rassemblement depuis 2016 et s'attend à ce que la situation s'aggrave. "Maintenant que nous (le Royaume-Uni) avons quitté l'UE, le Royaume-Uni sera plus dépendant de ses relations avec les États-Unis. Avec le recul, la période 2014-2016, le soi-disant âge d'or, semble maintenant il y a longtemps", dit Jacques. Li Baiyang, un expert de l'Université de Wuhan dans la province du Hubei a déclaré au Global Times que les reportages déformés de la BBC sur la Chine font partie de la "guerre rhétorique anti-Chine", lancée par les forces anti-chinoises occidentales. "Les médias servent juste de pion." Il a déclaré que la guerre rhétorique anti-Chine avait été déclenchée par certaines personnes en Occident, qui craignaient que la croissance rapide de la Chine ait un impact sur leur système politique et leurs pensées sociales. Ils s'engagent donc dans une campagne pour enduire la Chine de forts préjugés idéologiques. Même les médias établis tels que la BBC ont dévié de la manière neutre et objective de rendre compte de cette tendance, a déclaré Li, notant que leur choix de sujet est biaisé et que leur choix de «témoins» vient souvent des forces anti-chinoises, et ils l'ont fait. dégradé du monde ' Li a déclaré que de nos jours, la BBC était également critiquée par des universitaires et des journalistes occidentaux. "Cela signifie que les médias occidentaux traditionnels ne peuvent pas dominer et manipuler l'opinion publique comme ils le faisaient auparavant." Il a également déclaré que les fausses informations de la BBC ne recevaient le soutien que d'autres médias occidentaux. Cependant, les pays du tiers monde ont peur et même s'opposent à de tels rapports. Ainsi, outre les médias occidentaux avec un sens des responsabilités, les médias des pays du tiers monde devraient également s'unir pour s'opposer à une telle tendance. |
| | | | Posté le 20-02-2021 à 13:29:16
| envoyé chinois en Allemagne : La Chine attend toujours la réponse des représentants de l'UE après les avoir invités au Xinjiang Par Global Times Publié: 19 févr.2021 23:39 Mise à jour: 20 févr.2021 09:56 https://www.globaltimes.cn/page/202102/1215966.shtml L'ambassadeur de Chine en Allemagne, Wu Ken, a déclaré que la Chine avait invité le haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme au Xinjiang et que les deux parties discutaient des détails de la visite, mais aucune rediffusion n'a été reçue des représentants de l'UE après avoir émis une invitation à leur rendre visite la région. La Chine accueille les étrangers pour visiter la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, et en apprendre davantage sur le vrai Xinjiang, étant donné que certains politiciens anti-chinois en Occident répandent des mensonges sur le Xinjiang, a déclaré l'ambassadeur Wu dans une récente interview avec le magazine économique allemand Wirtschafts Woche. Peu importe ce que fait le gouvernement chinois, certains rapports des médias occidentaux concluent rapidement que Pékin est engagé dans l'oppression du peuple ouïgour au Xinjiang, a-t-il déclaré. Wu a souligné que le soi-disant «travail forcé» est une étiquette inventée par les forces anti-chinoises en Occident pour salir la Chine, et qu'il n'y a pas de soi-disant «camps de rééducation» au Xinjiang. La Chine a légalement établi des centres de formation professionnelle, qui n'ont aucune différence par essence avec les «centres anti-extrémisme» en France et les centres de correction communautaires aux États-Unis, a déclaré Wu, notant que ces institutions sont toutes des tentatives bénéfiques pour prévenir le terrorisme et déradicaliser les gens. Grâce à l'éducation et à la formation, la Chine a éradiqué le terreau de l'extrémisme et aidé ceux qui en souffrent à assurer un avenir meilleur, a déclaré Wu. "Les mesures ont considérablement amélioré la situation au Xinjiang. Il n'y a pas eu d'attentats terroristes depuis quatre ans en 2019, et les participants aux cours des centres de formation professionnelle ont obtenu leur diplôme et trouvé un emploi" , a-t-il déclaré. Wu a ajouté que de nombreux critiques en Occident ne se sont jamais rendus dans les centres de formation professionnelle du Xinjiang. "La communication directe avec les groupes ethniques locaux en Chine mènera sûrement à des conclusions différentes de ce que ces" acteurs "anti-chinois veulent que le public international croie" , a déclaré Wu. Les étrangers sont invités à visiter et à regarder autour du Xinjiang pour connaître la situation réelle là-bas, a déclaré Wu, révélant que plus de 1200 diplomates, journalistes et personnalités religieuses de plus de 100 pays se sont rendus au Xinjiang ces dernières années. La Chine a lancé une invitation au Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme et des discussions sur les détails d'une visite sont en cours. Des représentants de l'UE ont été invités il y a longtemps, mais ils n'ont pas répondu, a déclaré Wu. Global Times |
| | Posté le 23-02-2021 à 23:11:12
| Je réponds ici au message de marquetalia issu d'un autre fil (Biden nouvel Hitler). " le Xinjiang est de culture turcophone,et donc revendiqué par Erdogan.ce qui va exacerber les tensions au sein de l OTAN ." Erdogan joue au funambule sur la question du Xinjiang. Il signe des accords d'extradition et de lutte contre le terrorisme avec la Chine concernant les djihadistes ouïghours réfugiés en Turquie. De l'autre côté, il ne veut pas se priver de l'aura dont joui cette "cause" chez certains jeunes musulmans d'Occident. Sachant qu'Erdogan est dans une stratégie de popularité à l'international afin de s'affirmer comme LE garant des Musulmans du monde, il se retrouve donc dans une situation ambiguë coincé entre commerce avec la Chine et la solidarité avec les Ouïghour comme peuple musulman "opprimé". |
| | Posté le 24-02-2021 à 10:50:51
| Tout-à-fait juste puisqu'il ne respecte pas ces accords. Et cette gymnastique ne se limite pas au Xinjiang. |
| | Posté le 24-02-2021 à 11:21:29
| Réédition de la campagne anti JO de Pékin en 2008, préparée par les troubles à Lhassa : du réchauffé mais dans des conditions différentes. On se souvient quand même des pressions multiples de la social-démocratie, accompagnée par la chorale des démocrates petits-bourgeois et des libertaires de service. Les drapeaux des féodaux tibétains avaient été taggés jusque dans les campagnes reculées et des boutiques "bouddhistes" affichaient le sourire bienveillant du Dalaï Lama. Aujourd'hui les tags sont illisibles et les boutiques se sont recyclées avec les cigarettes électroniques, puis le "bio équitable". On devine que les groupes français avaient dû téléphoner au quai d'Orsay ou directement chez leur ami Nicolas.
________________ L'occident est averti : abstenez-vous de pratiquer la diplomatie du "gros mensonge'' sur les affaires chinoises du Xinjiang, pour les Jeux Olympiques d'hiver de Beijing Une mauvaise rumeur de `` génocide '' pour politiser les Jeux olympiques d'hiver: experts Par Yang Sheng et Cao Siqi Publié: 23 févr.2021 22:32 https://www.globaltimes.cn/page/202102/1216341.shtml Alors que certains politiciens anti-chinois dans les pays occidentaux tentent de faire du battage médiatique sur les rumeurs de «génocide» sur le Xinjiang chinois, pour faire obstacle aux Jeux Olympiques d'hiver de Pékin 2022, les experts chinois ont déclaré que si ces tentatives devenaient la position officielle de ces pays occidentaux, il y aurait de graves conséquences. Les dirigeants occidentaux devraient arrêter de politiser les événements sportifs mondiaux avec un "gros mensonge", ont-ils noté. Le parlement canadien a adopté lundi une motion non contraignante disant que le traitement par la Chine du peuple ouïgour dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) "constitue un génocide" , faisant pression sur le gouvernement du premier ministre libéral Justin Trudeau pour qu'il emboîte le pas, selon Reuters mardi. En fait, Trudeau et son cabinet se sont abstenus lors du vote, a rapporté AP. La motion a également été amendée juste avant le vote pour appeler le Comité international olympique (CIO) à déplacer les Jeux olympiques d'hiver de 2022 de Pékin si «le traitement » se poursuivait. Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a déclaré mardi lors d'une conférence de presse de routine que la Chine s'oppose fermement et a déposé de sérieuses démarches auprès du Canada contre sa motion. "Les faits ont prouvé qu'il n'y a jamais eu de génocide au Xinjiang. C'est un pur mensonge concocté par les forces anti-chinoises, une farce ridicule pour salir la Chine. La politisation flagrante du sport par certains politiciens canadiens viole l'esprit du Mouvement olympique et nuit à la intérêts de leurs athlètes » , a déclaré Wang. Il y a eu des tentatives ou des appels similaires de la part de politiciens et de «groupes de défense des droits de l'homme» dans d'autres pays occidentaux pour boycotter ou déplacer les Jeux olympiques d'hiver de 2022, principalement des membres de l'Alliance Five Eyes, comme les États-Unis et le Royaume-Uni. Cependant, au début de février, le directeur général du Comité olympique canadien, David Shoemaker, a déclaré qu'un boycott serait une mauvaise approche, selon Reuters. Le Comité olympique et paralympique américain a fait écho à une position similaire mercredi, affirmant qu'il s'opposait aux boycotts car "il a été démontré qu'ils ont un impact négatif sur les athlètes sans traiter efficacement les problèmes mondiaux" . Les experts chinois ont déclaré que ces tentatives faites par certains politiciens au parlement ou au congrès de leur pays ne sont pas encore devenues la position officielle du gouvernement des pays occidentaux, car les décideurs occidentaux comprennent à quel point la conséquence serait grave s'ils boycottaient les Jeux olympiques d'hiver de Pékin. Ces appels sont un vieux truc que certains politiciens occidentaux avaient fréquemment joué dans le passé, en particulier lorsque la Chine ou la Russie organisaient les Jeux olympiques. C'est un coup politique pour attaquer spécifiquement des pays qui poursuivent des voies différentes de l'Occident. Les experts des questions olympiques ont souligné qu'il est inutile et ignorant pour certains politiciens canadiens d'appeler au retrait des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2022 de Pékin, car un éventuel remplacement de la ville hôte est décidé uniquement par le CIO et la ville qu'il confierait, et qu'apparemment le CIO n'accepterait jamais un tel «appel ridicule» . "Ni le CIO ni les comités nationaux olympiques de quelque pays que ce soit ne permettraient aux sports d'être manipulés par la politique. De tels appels au boycott ou à la délocalisation des Jeux ne seront pas une tendance mondiale, comme nous l'avons vu par ce qui est arrivé aux Jeux olympiques d'hiver de Sotchi en Russie [ en 2014], " Ding Bocheng, qui a participé à l'organisation des Jeux d'été en 2004 et 2008 et est membre de l'équipe des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2022 à Pékin, Un boycott "ne peut pas gagner le cœur du public, des sponsors et des athlètes qui voient les Jeux comme une chance d'apprécier la compétition mondiale, d'élargir la réputation de la marque et de réaliser des réalisations professionnelles" , a noté Ding. Il ne fait aucun doute que l'absence d'athlètes de haut niveau des puissances des sports d'hiver, en particulier des États-Unis et du Canada, nuirait au glamour des Jeux olympiques d'hiver, ce qui à son tour nuira à ces athlètes, a déclaré Ding. Ne vous surestimez pas Lü Xiang, expert en relations internationales à l'Académie chinoise des sciences sociales de Pékin, a déclaré mardi au Global Times: "Les politiciens occidentaux conservateurs anti-chinois doivent comprendre qu'ils n'ont pas le droit de décider où peuvent se tenir les Jeux Olympiques. Ils croient avec arrogance qu'ils peuvent représenter la communauté internationale. " La motion adoptée par le Parlement canadien n'est pas contraignante, donc l'administration Trudeau doit éviter d'être stupide. Les politiciens anti-chinois du Canada ont juste joué le même tour que Mike Pompeo (ancien secrétaire d'État américain dans l'administration Trump). C'est de la diplomatie du " gros mensonge ", a déclaré Lü. Accuser sans fondement la Chine de "génocide" ne deviendra jamais une excuse légitime pour le boycott et ne fera qu'isoler ceux qui soutiennent le boycott, a déclaré Lü. David Lampton, professeur et directeur des études chinoises à la Johns Hopkins School of Advanced International Studies, a exprimé des opinions similaires dans son récent article du Newsweek intitulé "Ne pas boycotter les Jeux olympiques d'hiver de Beijing 2022" . Les États-Unis n'ont pas été en mesure de convaincre tous les alliés de soutenir leur boycott des Jeux olympiques de Moscou en Union soviétique en 1980. "Compte tenu des réalités modernes de l'intégration économique mondiale chinoise, nous pouvons aujourd'hui nous attendre à beaucoup plus de résistance à l'idée de boycott. Washington pourrait bien se trouver dans la position d'une majorette qui part à contre-sens de la fanfare» , a déclaré Lampton. En 2008, les forces anti-chinoises comme certains politiciens occidentaux et les séparatistes tibétains ont tenté de jouer le même stratagème pour boycotter les Jeux olympiques de Pékin, mais finalement, ils ont tous échoué. "La plupart des grands États participeront aux Jeux olympiques d'hiver de 2022 ... Une différence clé entre aujourd'hui et 2008 est que la Chine d'aujourd'hui se sent beaucoup plus forte diplomatiquement et économiquement qu'il y a plus de dix ans ", a déclaré Lampton dans son article publié sur Newsweek. site Web le 16 février. Lü a déclaré qu'en 2008, les pays occidentaux, en particulier les États-Unis, avaient besoin de l'aide de la Chine pour surmonter le défi de la crise financière, et maintenant, les problèmes auxquels ils doivent faire face ont créé beaucoup plus de maux de tête qu'en 2008, comme la lutte contre la pandémie du COVID-19 et celle pour la reprise économique, de sorte que l'Occident, qui est dans un grand désordre, n'a aucune raison ni aucune force pour offenser sérieusement la Chine en boycottant les Jeux 2022. Lorsque les forces anti-chinoises occidentales utilisent des rumeurs sur le Xinjiang comme une arme pour nuire aux intérêts de la Chine, il n'y a aucun moyen efficace pour la Chine de les empêcher de dire des mensonges, donc les représailles sont le seul langage que ces menteurs peuvent comprendre, a déclaré Lü, ajoutant que les dirigeants occidentaux sont pragmatiques et avisés. Ils savent à quel point les représailles seraient graves s'ils utilisaient le mensonge du «génocide» pour boycotter les Jeux de 2022. "Ce serait comme couper presque tous les liens." Jamais à propos du Xinjiang Certains médias occidentaux traditionnels comme CNN ne peuvent même pas localiser correctement où se trouve le Xinjiang sur la carte, de sorte que les appels au boycott ne concernent jamais les droits de l'homme ou le peuple ouïgour (*). Les analystes chinois ont déclaré que certains pays occidentaux utiliseraient probablement les appels comme monnaie d'échange pour négocier avec la Chine des compromis sur d'autres questions. Ce n'est pas une question de droits de l'homme au Xinjiang, mais plutôt de ne pas donner à la Chine une chance de se démarquer sur la scène internationale, a déclaré mardi le professeur de l'Université de Pékin Zhang Yiwu au Global Times. Zhang a noté que "les Jeux Olympiques ne sont qu'un moyen pour l'Occident de contenir la Chine en agitant ses drapeaux des droits de l'homme et des questions ethniques" . Zhang a déclaré que le Xinjiang prospère, stable et harmonieux avait démystifié ces diffamations, mais la Chine devrait continuer à diffuser des histoires vraies sur la région autonome au monde extérieur et inviter davantage de politiciens et de journalistes d'autres pays à visiter le Xinjiang afin qu'ils puissent voir par eux-mêmes. En repensant aux Jeux Olympiques de Pékin en 2008, la Chine et les Jeux Olympiques s'étaient améliorés mutuellement. Les Jeux de 2008 présentent une Chine démocratique, ouverte, civilisée, amicale et confiante au monde et la Chine est devenue un acteur clé dans les affaires internationales, et en particulier comme une présence majeure sur le marché mondial. A cette occasion, la Chine a accueilli des Jeux Olympiques "vraiment exceptionnels" , stimulant les échanges et la compréhension mutuelle entre la Chine et les autres civilisations du monde. Elle encourage plus de 1,3 milliard de Chinois à s'engager dans des sports avec intérêt et passion, et leur donne l'occasion de contribuer à faire progresser le Mouvement olympique et de promouvoir l'esprit olympique. "Nous pensons que le CIO prendra des mesures spécifiques contre les appels au boycott ou à la délocalisation et appliquera ses règles contre tout acte à des fins politiques ou idéologiques; sinon, le Mouvement olympique pourrait faire face à une crise sans précédent" , a déclaré Zhang.
___________________ (*) Un article que je n'ai pas reproduit signalait que les internautes chinois se sont bidonnés en voyant un reportage de CNN où le journaliste situait carte à l'appui le Xinjiang sur la côte est de la Chine, parce qu'un village porte le même nom.
Edité le 24-02-2021 à 11:22:14 par Xuan |
| | Posté le 24-02-2021 à 15:41:49
| J'ai retrouvé cet article ici : https://www.globaltimes.cn/page/202102/1215567.shtml le journaliste s'appelle David Culver, il avait confondu le Xinjiang et la ville du même nom dans le Guangdong. L'inénarrable Le Drian a dénoncé mercredi 24 février un "système de répression institutionnalisé" mis en place par Pékin à l'encontre les musulmans ouïghours dans la région du Xinjiang. "De la région chinoise du Xinjiang, nous parviennent des témoignages et des documents concordants, qui font état de pratiques injustifiables à l'encontre des Ouïghours, et d'un système de surveillance et de répression institutionnalisé à grande échelle" , a-t-il déclaré lors d'une intervention par visioconférence. [France Info]
Edité le 24-02-2021 à 15:47:06 par Xuan |
| | | | | | Posté le 01-04-2021 à 22:55:00
| £e Mon$e part en guerre contre ... un nom de plume et fait harceler une journaliste Pas plus tard qu'hier £e Mon$e publie un article de Nathalie Guibert démontrant que la CGTN chinoise bidonne ses articles signés par une journaliste française inconnue au bataillon, et qui serait une pure création de la CGTN : ...Le problème est que Laurène Beaumond n’existe pas. Inconnue, officiellement, au bataillon. Le Monde a pu vérifier qu’aucune personne de ce nom ne figure dans le fichier de la Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels français. Elle devrait car, assure CGTN, cette femme, « doublement diplômée d’histoire de l’art et d’archéologie de l’université Sorbonne-Paris IV et titulaire d’un master de journalisme, a travaillé dans différentes rédactions parisiennes avant de poser ses valises à Beijing » . Pressée de pourfendre la CGTN Nathalie Guibert ne s'est pas avisée que Laurène Beaumond a déjà écrit plusieurs articles dans la presse chinoise sous ce nom d'emprunt.
________________ Les affaires étrangères chinoises à la conférence de presse du jour (traduction google) ; Reporter AFP: CGTN a récemment publié un article d'une journaliste française signé par Laurene Beaumond . L'article critiquait la pratique des médias occidentaux de créer de fausses informations sur le Xinjiang. Mais le "Monde" français a affirmé que ce journaliste n'existait pas du tout, et personne parmi les journalistes français n'a appelé ce nom. Pouvez-vous présenter la situation pertinente? Qui est cette journaliste française et existe-t-elle vraiment? Hua Chunying: J'ai entendu dire que votre question était pleine de doutes. Cela reflète également une pensée habituelle selon laquelle tant que vous serez journaliste occidental, vous ne direz certainement pas de bonnes choses à propos de la Chine. ne doit pas être un journaliste occidental, et cela peut même être la fausse propagande de la Chine. Une telle pensée est très malsaine. Après avoir reçu ce matin cette question de votre part au bureau du porte-parole, mon collègue a spécifiquement interrogé CGTN sur la situation. Le fait est que la personne française dont vous avez parlé est un écrivain indépendant. Elle a vécu en Chine pendant de nombreuses années et a visité le Xinjiang à plusieurs reprises. L'article qu'elle a écrit raconte ce qu'elle a vu et entendu au Xinjiang et les faits. Les points de vue pertinents sont très objectifs et justes. Le "Monde" français a affirmé que cette personne "n'existe pas" et a été "maquillée" par la chaîne française de la CGTN sans vérification stricte. Qui fait de fausses nouvelles? Comme je l'ai dit tout à l'heure, cette question elle-même reflète en fait la pensée malsaine des pays et des médias individuels, c'est-à-dire que tant qu'elle n'est pas conforme à leurs hypothèses et à leurs prétendues valeurs et idéologies, elles doivent être fausses et ils seront déduits sans discernement. Les chapeaux et les bâtons ne sont pas souhaitables. Journaliste: Ce nom est-il un pseudonyme ou un vrai nom, ou cette personne existe-t-elle? Hua Chunying: Je vous l'ai dit tout à l'heure, nous avons vérifié auprès de la CGTN que cette personne existe, elle est de nationalité française et vit en Chine depuis de nombreuses années, elle a donc une observation attentive de la Chine. En ce qui concerne les détails sur elle, il ne me convient pas de les divulguer. Désormais, dans certains pays européens et américains, quiconque est juste envers la Chine sera attaqué de manière malveillante, je pense que vous devriez le comprendre.
________________ Enfin, CGTN oublie un article sur le sujet : Chine et « fake news » : ce manichéisme qui perdra certains intellectuels français Récemment, la chaîne chinoise d'informations francophone CGTN Français a accepté la proposition de l'un de ses collaborateurs récurrents, une journaliste française indépendante ayant choisi le nom de plume « Laurène Beaumond » , celle d'écrire un récit de ses souvenirs de voyage dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang et d'y relater ses expériences et ses impressions. « Mon Xinjiang » : halte à la tyrannie des fake news est paru le dimanche 28 mars sur le site Internet de la chaîne, dans la rubrique « Opinions ». Son témoignage a suscité une vive controverse sur les réseaux sociaux avant de se répandre dans certains cercles intellectuels et quelques médias français. L'article, dans lequel la journaliste raconte ce qu'elle a vu au Xinjiang dans ses voyages effectués entre 2014 et 2019 et affirme ne pas reconnaître la région qu'elle avait visitée dans ce qui est décrit aujourd'hui dans les médias du monde entier, a été taxé, entre autres, de « désinformation » et de « propagande ». Mais c'est surtout l'identité de l'auteur qui a déchaîné les passions : Laurène Beaumond, selon ces fameux intellectuels, n'existe tout simplement pas. C'est un personnage inventé de toutes pièces par CGTN Français, probablement un Chinois écrivant sous un faux nom, voire même un agent infiltré en France à la solde de Beijing. C'est ainsi que, quelques heures seulement après le début de la controverse sur Twitter le 31 mars, Le Monde a publié un article intitulé Quand la télévision chinoise CGTN invente une journaliste française . Son auteur, Nathalie Guibert, écrit : « Le Monde a pu vérifier qu'aucune personne de ce nom ne figure dans le fichier de la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels français. » Sans se douter un seul instant que « Laurène Beaumond » puisse être un simple nom d'emprunt. Comment Le Monde a-t-il mené son enquête ? Pour publier un article aussi rapidement, c'est à se demander comment la journaliste du Monde a pu réaliser une enquête complète et approfondie. D'où cette conclusion pour le moins bâclée et qui ne repose sur rien : Laurène Beaumond est une invention du gouvernement chinois pour répandre la propagande de sa télévision d'Etat en Occident. Cela laisse songeur. Comment, en quelques heures, a-t-elle pu éplucher le registre de la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels français ? En quoi le fait de posséder une carte de presse légitime-t-il les propos d'un journaliste ? Selon l'AFP, « la carte de presse n'est pas obligatoire pour être journaliste en France » . La présidente de la Commission de la Carte d'identité des journalistes professionnels (CCIJP) Bénédicte Wautelet a confirmé que cette carte n'était « absolument pas » nécessaire pour écrire des articles en France. Mme Guibert aurait pourtant dû le savoir. Si ce n'est pas encore une volonté de s'en prendre à CGTN Français, nous ne savons pas comment cela s'appelle. Le pseudonyme, recours fréquent pour se protéger (surtout lorsqu'on parle de la Chine) La journaliste du Monde a utilisé le terme « invente » dans son titre. Nous sommes sidérés par ce manque total de professionnalisme. Comment n'a-t-elle pas pu penser à une personne écrivant sous pseudonyme ? Cela démontre que son jugement est biaisé dès le départ. Utiliser un nom de plume est chose commune. Aujourd'hui, l'opinion publique française – et occidentale en général – est particulièrement hostile à la Chine, ce n'est un secret pour personne. Laurène Beaumond a souhaité utiliser un pseudonyme et nous avons respecté son choix, parce que nous savons le risque que cela représente pour certains journalistes français d'exprimer leur opinion en faveur de la Chine. Qu'il s'agisse du Xinjiang, de politique intérieure chinoise ou même de sujets culturels, les personnes dont l'opinion va à l'encontre de celle qui est représentée dans les médias mainstream français sont systématiquement attaquées. Christian Mestre, professeur à la faculté de Droit de Strasbourg et ancien président, a été contraint à démissionner de la fonction de déontologue de l'Eurométropole de Strasbourg en février 2021 pour des propos qu'il a tenus sur la politique menée au Xinjiang en 2019. L'essayiste et journaliste Maxime Vivas, auteur du livre « Les Ouïgours, pour en finir avec les fakes news » , est également habitué à ces attaques. Il a même été piégé par une équipe de l'émission Arrêt sur Images. Il a récemment confié à CGTN Français au cours d'un entretien que lorsqu'il acceptait d'être interviewé par Libération, il savait pertinemment que le résultat serait hostile à la Chine. « Libération mène un combat contre la Chine depuis des années. Je leur ai dit : comment se fait-il que dès le mot 'Chine' est mentionné dans votre journal, ce n'est que pour évoquer des catastrophes et des choses négatives ? Je savais que quoique je dise, ils ne me donneraient jamais raison. » Dans ce contexte, comment ne pas approuver le choix d'une journaliste française d'opter pour un pseudonyme pour exprimer son opinion sur le Xinjiang ? Une opinion allant à contre-courant de celle de « l'intelligentsia » française qui ne souhaite qu'un seul son de cloche sur la Chine, cela va sans dire. L'utilisation d'un autre nom peut souvent permettre une expression plus libre et sans contraintes, et pas seulement dans le domaine journalistique, mais aussi dans des cadres historiques comme la Résistance pendant la Seconde Guerre Mondiale. Bien sûr, il ne s'agit pas pour nous de faire des parallèles hasardeux entre la Résistance et un journaliste s'exprimant sur la Chine – mais nous justifions totalement le recours au pseudonyme dans ce contexte. Pour certains médias français, discréditer la Chine est « politiquement correct » La question du Xinjiang déchaîne les passions depuis quelques semaines. Et certains médias français s'opposent systématiquement aux médias chinois sans même prendre la peine de les écouter. La vérité ne semble pas les intéresser. Pour eux, mieux vaut rabâcher les termes de « travail forcé » et de « génocide », c'est tellement plus constructif... Dans son texte, Laurène Beaumond précise bien qu'elle n'est pas une spécialiste de la situation au Xinjiang, qu'elle ne décrit que ce qu'elle a vu de ses propres yeux, que ses propos n'engagent qu'elle-même et qu'en aucun cas elle ne souhaite faire la leçon à qui que ce soit. Les accusations de génocide et de travail forcé la laissent circonspecte et elle se permet de soulever ce fait. Sans même porter crédit à ces propos, certains intellectuels et journalistes français se sont jetés dessus parce que son témoignage ne va pas dans leur sens. Laurène Beaumond ne peut être qu'une invention, puisqu'elle s'exprime comme une Chinoise... n'est-ce pas un peu simpliste ? « Mon Xinjiang » : halte à la tyrannie des fake news a rapidement attiré l'attention du sinologue Antoine Bondaz et de son cercle de sympathisants qui se sont mis à tailler en pièces ce témoignage et son auteur... enfin, plutôt CGTN Français, puisque Laurène Beaumond n'existe pas selon eux. Mais que serait-il arrivé à cette journaliste si elle avait signé de son vrai nom ? Aurait-elle reçu des menaces, ou pire ? Serait-elle devenue malgré elle une nouvelle cible de l'attaque intellectuelle française contre la Chine ? CGTN Français a des preuves concrètes des différents séjours de Laurène Beaumond au Xinjiang, de très nombreuses photos et même une copie de son certificat de mariage, puisqu'elle s'est mariée à Urumqi en 2014 avec une personne originaire de cette ville, n'en déplaise à ceux qui pensent qu'il est impossible pour une Française « d'avoir de la famille au Xinjiang » . Cette attaque basse de la part du Monde l'a particulièrement affectée. Déclaration de l'auteur : Suite au déballage médiatique disproportionné et au harcèlement subi au téléphone et sur les réseaux sociaux par la journaliste officiant sous le pseudonyme de Laurène Beaumond, celle-ci a décidé de ne plus utiliser ce pseudonyme à l'avenir, craignant pour sa sécurité et celle de sa famille. Les comptes Twitter créés le 31 mars et après sont tous de faux comptes, Laurène Beaumond ayant fermé son compte Twitter qui était d'ailleurs à son vrai nom. (Photo : VCG)
Edité le 07-04-2021 à 19:55:29 par Xuan |
| | Posté le 03-04-2021 à 11:03:55
| £e Mon$e ulcéré par l'éviction de John Sudworth L’Union européenne dénonce le « harcèlement » de Pékin envers un journaliste de la BBC John Sudworth avait dû quitter la Chine après avoir fait l’objet de menaces. Les autorités chinoises lui reprochaient son traitement des Ouïgours, une minorité musulmane persécutée par Pékin. Le Monde avec AFP Les relations n’en finissent plus de se tendre entre Bruxelles et Pékin. L’Union européenne a dénoncé vendredi le « long harcèlement » des autorités chinoises contre un journaliste du groupe audiovisuel public britannique BBC, « chassé » du pays par les menaces de Pékin. John Sudworth a déménagé à Taïwan avec sa femme, Yvonne Murray, correspondante en Chine du groupe audiovisuel public irlandais RTE, après des « menaces » liées à sa couverture du traitement des Ouïgours, jugée « biaisée » par Pékin. Cette minorité musulmane présente dans la région du Xinjiang fait l’objet d’une forte répression par Pékin. De nombreux Ouïgours sont déportés et internés dans des camps de travail. Le sort du journaliste de la BBC est le « dernier cas en date de correspondants étrangers chassés de Chine en raison du harcèlement et des entraves constants à leur travail, qui s’ajoute à l’expulsion d’au moins 18 correspondants l’année dernière » , a dénoncé la porte-parole du chef de la diplomatie européenne Josep Borrell. Plusieurs journalistes américains du New York Times, du Wall Street Journal et du Washington Post, notamment, avaient été expulsés en 2020. Surveillance, menaces, obstruction et intimidation « Son départ survient après une longue période de harcèlement de la part des autorités, comprenant la surveillance, les menaces de poursuites judiciaires, l’obstruction, l’intimidation et la mise en ligne par les médias officiels de vidéos le désignant personnellement et utilisant des séquences vidéo de la police » , a détaillé la porte-parole. Selon le communiqué, l’Union européenne (UE) a fait part à plusieurs reprises à Pékin de ses préoccupations face aux entraves à la liberté de travailler dont font l’objet les journalistes étrangers en Chine. En conséquence, Bruxelles « demande à la Chine de respecter les obligations qui lui incombent en vertu du droit national et international et de garantir la liberté d’expression et de la presse, telle qu’elle est inscrite dans la Constitution de la RPC [République populaire de Chine] et dans la Déclaration universelle des droits de l’homme » . L’UE se dit « déterminée (…) à préserver la liberté et le pluralisme des médias, ainsi qu’à protéger le droit à la liberté d’expression en ligne et hors ligne, y compris la liberté d’opinion et la liberté de recevoir et de communiquer des informations sans interférence » . Les relations entre l’UE et la Chine se sont crispées en mars après la décision des Européens de sanctionner la répression des Ouïgours dans la région du Xinjiang (ouest de la Chine). Pékin a riposté en interdisant son territoire à dix personnalités, dont plusieurs élus européens, accusés de « propager des mensonges » sur la situation des Ouïgours. Plusieurs Etats membres ont protesté et convoqué les ambassadeurs chinois pour leur signifier leur mécontentement.
____________ Global Times signale dans une vidéo malheureusement en anglais que : Le journaliste de la BBC John Sudworth fait face à des poursuites potentielles pour des reportages calomnieux John Sudworth, correspondant de la BBC à Pékin, est devenu tristement célèbre en Chine pour ses nombreuses histoires biaisées déformant les politiques chinoises du Xinjiang et les réponses au COVID-19.
_______________ Le journaliste de la BBC John Sudworth se cache dans l'île de Taiwan après que des habitants du Xinjiang envisagent de poursuivre la BBC pour de fausses informations Par Cao Siqi et Zhang Hui Publié: 31 mars 2021 12:42 PM Le correspondant de la BBC à Pékin, John Sudworth, qui est devenu tristement célèbre en Chine pour ses nombreuses histoires biaisées déformant les politiques chinoises du Xinjiang et les réponses au COVID-19, a quitté le continent chinois et on pense maintenant qu'il se cache dans l'île de Taiwan après que des habitants du Xinjiang aient déclaré qu'ils prévoyaient de poursuivre la BBC pour de fausses nouvelles, ont déclaré des sources au Global Times. De la stigmatisation de la Chine comme étant l'origine du nouveau coronavirus à la prétention que le coton du Xinjiang était "contaminé", Sudworth a participé à de nombreux rapports notoires de la BBC attaquant la Chine ces dernières années. Les reportages biaisés de Sudworth ont commencé dès 2017 lorsqu'il a attaqué le projet chinois Skynet, qui a en fait contribué à maintenir le faible taux de criminalité dans la société chinoise. Lors de son entretien avec la police à Guiyang, dans la province du Guizhou, dans le sud-ouest de la Chine, qui a été mené sous le nom de signalement de l'équipement de haute technologie chinois, il a téléchargé ses informations faciales sur la «liste noire» du projet Skynet et son visage a été identifié sept minutes plus tard. Il a ensuite déformé son histoire en concluant que le système n'était pas utilisé pour chasser les criminels, mais pour «réprimer les voix antigouvernementales et surveiller les dissidents». Sa couverture de l'épidémie de COVID-19 et de la politique du Xinjiang était également pleine de polémiques hostiles. Lors d'un entretien avec le représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en Chine, Gauden Galea, en mars 2020, il a posé des questions de manière trompeuse tout en ignorant la reconnaissance par l'OMS des efforts de la Chine pour contrôler l'épidémie. Lorsque Galea a compris son truc, Sudworth a tenté de blâmer la Chine pour l'épidémie mondiale en éditant l'interview hors de son contexte. Avant que les experts internationaux de l'OMS ne viennent en Chine pour une étude conjointe en janvier, il a fait pression sur les experts de l'OMS et incité par malveillance à l'hostilité de la communauté internationale à l'égard de la Chine. Capture d'écran de la vidéo de la BBC qui qualifie à tort un exercice antiterroriste de «violations des droits de l'homme par les autorités anti-épidémiques chinoises». Une bannière tenue par des agents de police dans des images d'une vidéo de la BBC montre qu'il s'agissait en fait d'un exercice antiterroriste. Dans un autre rapport, il a publié des images, prétendant être des preuves de "violentes forces de l'ordre et de violations des droits de l'homme par les autorités anti-épidémiques chinoises". Mais en fait, les images provenaient d'un exercice antiterroriste précédent. Sa mauvaise gestion de la vidéo a prouvé que l'histoire avait été fabriquée. Il a également fait de son mieux pour jeter de la boue sur la politique chinoise du Xinjiang. Dans son rapport sur les centres de formation professionnelle du Xinjiang en 2019, il a tiré une porte et une clôture de fer pour son histoire, puis a utilisé de la musique de film d'horreur et des filtres déprimants pour créer délibérément une atmosphère sombre. Lors d'un entretien, il a stigmatisé les centres de formation comme des «camps de rééducation». Capture d'écran de l'interview de Sudworth avec Stephan Wollenstein, PDG de Volkswagen Group China, au cours de laquelle il a soulevé des questions biaisées En novembre 2020, Sudworth a répété la même technique en interrogeant le chef de Volkswagen Chine - le PDG de l'entreprise en Chine, Stephan Wollenstein - sous la forme d'un interrogatoire. Après que Wollenstein ait dit: « C'est quelque chose que nous avons spécifiquement vérifié à Urumqi et je peux vous assurer que nous n'avons pas de travail forcé» , Sudworth a présenté un argument bizarre: «Chaque fois que vous avez une usine au Xinjiang, peu importe d'où viennent les travailleurs, ils aident le gouvernement chinois à persécuter les Ouïgours. Il a également cité la Seconde Guerre mondiale, comparant les travailleurs ouïgours libres et travailleurs aux Juifs soumis au travail forcé par les nazis, et a insisté sur les raisons pour lesquelles l'entreprise n'avait toujours pas quitté le Xinjiang. En décembre 2020, Sudworth a participé à la production du rapport de la BBC sur le Xinjiang intitulé «Le coton contaminé de Chine», qui déclarait l'existence de «travail forcé» dans l'industrie cotonnière du Xinjiang, malgré le fait que la cueillette à la machine s'était déjà largement répandue contre l'utilisation intensive du travail manuel, un fait que les autorités chinoises ont clarifié à maintes reprises. Les observateurs chinois ont déclaré que le rapport montre que Sudworth avait l'intention de salir le Xinjiang et a tenté de perturber la chaîne industrielle de la région afin qu'il puisse gagner un prix en tant que défenseur des droits humains et gagner en renommée. En tant que journaliste d'un média occidental bien établi, Sudworth répand sans scrupule des rumeurs et des calomnies contre la Chine et pensait qu'il n'y avait aucun moyen pour les Chinois de le faire devenir journaliste étranger, mais il a oublié que la Chine est un pays régi par l'État de droit et là est un coût pour répandre des rumeurs, selon les observateurs. Un certain nombre d'individus du Xinjiang envisagent de poursuivre la BBC pour avoir produit de fausses informations, répandu des rumeurs sur le Xinjiang et calomnié la politique de la Chine dans la région, a déclaré Xu Guixiang, directeur adjoint du département de la publicité du Comité de la région autonome ouïgour du Parti communiste chinois. une conférence de presse sur le Xinjiang organisée par le ministère chinois des Affaires étrangères à Pékin le 18 mars. Sous couvert de la soi-disant "liberté de la presse" et sans enquête ni vérification, la BBC a suivi la tendance et a cité le soi-disant "rapport de recherche" sur le Xinjiang du pseudo-érudit Adrian Zenz, produisant et diffusant de fausses nouvelles, faisant des remarques irresponsables sur les politiques liées au Xinjiang, et répandant des rumeurs et des calomnies, a déclaré Xu, notant que le média britannique est devenu une plate-forme pour la diffusion des mensonges de Zenz sur le Xinjiang. Les observateurs chinois ont prédit que Sudworth pourrait se présenter comme souffrant de "persécution politique" et se présenter comme un "héros" des opinions occidentales anti-chinoises qui a été forcé de partir en raison de sa persistance à rechercher "justice". Cependant, peu importe où il s'enfuit et en quelle qualité il rend compte de la Chine, tant qu'il continuera à adhérer à un parti pris idéologique et continuera à produire de fausses nouvelles pour attaquer et salir la Chine, il ne pourra pas échapper à une condamnation juste, ils ont dit. Global Times
____________ La mission chinoise auprès de l'UE réfute la déclaration téméraire du SEAE sur John Sudworth Par Global Times Publié: 03 avr.2021 11:00 La mission chinoise auprès de l'UE a réfuté samedi la déclaration téméraire du Service européen pour l'action extérieure (SEAE) sur le correspondant de la BBC en Chine et d'autres journalistes étrangers en Chine, affirmant que la déclaration n'était pas en accord avec les faits et a souligné qu'ils rejetaient fermement la diffamation de la Chine par fabriquer de fausses nouvelles et de la désinformation. Vendredi, le porte-parole du SEAE a publié une déclaration, affirmant que le département du correspondant chinois de la BBC, John Sudworth, était le dernier cas de correspondants étrangers chassés de Chine en raison d'un harcèlement continu et d'une obstruction à leur travail. Il a également exprimé sa préoccupation pour d'autres journalistes étrangers en Chine. En réponse à ces allégations, le porte-parole de la mission chinoise auprès de l'UE a déclaré samedi que le correspondant chinois de la BBC, John Sudworth, et sa famille travaillaient et vivaient en Chine depuis 9 ans. Il n'y a pas de soi-disant pression ou menace à leur encontre. «S'il ne s'est pas livré à la désinformation comme il le prétend, il n'a pas à s'inquiéter de poursuites judiciaires pour son signalement. Même si une action en justice est intentée contre lui, il pourrait bien répondre de manière calme. S'il est préoccupé par les sécurité, il aurait pu dénoncer à la police. Les autorités chinoises protègent les ressortissants étrangers en Chine conformément à la loi » , a déclaré le porte-parole. La Chine protège la liberté d'expression et de presse conformément à la loi. Près de 500 correspondants étrangers de plus de 40 pays travaillent en Chine, dont 200 correspondants européens. Beaucoup d'entre eux ont vécu et travaillé en Chine pendant plus de 10, voire 30 ans. C'est la vraie image de la présence de correspondants étrangers en Chine, selon le porte-parole. L'UE a accusé la Chine d'avoir expulsé au moins 18 correspondants l'année dernière. En fait, les mesures prises par la Chine constituaient une réponse légitime et nécessaire à la suppression et à l'expulsion par les États-Unis de plus de 60 correspondants chinois. "La Chine a fourni et continuera de fournir une assistance aux correspondants étrangers pour leurs reportages en Chine. Pourtant, nous rejetons fermement les préjugés idéologiques contre la Chine, nous rejetons fermement toute conduite qui enfreint l'éthique et la moralité du travail de presse, et nous rejetons fermement toute attaque et calomnie de la Chine par fabriquer des fausses informations et de la désinformation au nom de la liberté d'expression et de la presse » , a souligné le porte-parole
Edité le 03-04-2021 à 11:06:41 par Xuan |
| | Posté le 03-04-2021 à 13:10:14
| Le Figaro tâcle £e Mon$e Le Figaro n'est pas devenu prochinois, la photo illustrant l'article dit l'inverse, mais le canard de droite n'a peut-être pas résisté à l'occasion de débiner un confrère "gauchiste". Les confidences de la plume mystère au service de la Chine EXCLUSIF - Le Figaro a recueilli le témoignage de la mystérieuse « Laurène Beaumond» , le nom d'emprunt d'une Française bien réelle, qui collabore avec la télévision d'État chinoise CGTN, et récuse les accusations de «génocide» au Xinjiang. Par Sébastien Falletti Publié hier à 19:47 Non, elle n'est pas un robot, inventé de toutes pièces par la propagande chinoise. La mystérieuse « Laurène Beaumond » est bien une Française en chair et en os, volant au secours de la politique controversée de la seconde puissance mondiale au Xinjiang, accusée de génocide. Derrière ce pseudonyme signant un article dénonçant la « tyrannie des fake news » des médias occidentaux contre la Chine, publié sur le site français de la télévision d'état CGTN, se cache une jeune quadragénaire originaire de la Sarthe, dont Le Figaro a remonté la trace, et obtenu le premier témoignage. « J'assume cet article de A à Z. C'est moi qui l'ai proposé à CGTN » , déclare la jeune quadragénaire, actuellement en France, et qui a accepté de répondre à nos questions à condition de protéger son identité. « Je suis inquiète pour ma sécurité. Je suis effaré par la bassesse des attaques contre ma signature, et qu'on puisse affirmer que je n'existe pas » , se rebiffe cette ancienne présentatrice ... |
| | | | Posté le 21-04-2021 à 21:11:44
| Un homme se présentant comme "rescapé des camps de Ouïgours" a pu être invité sur le plateau de Cyril Hanouna la semaine dernière. Je n'ai aucune connaissance de son parcours, de son profil, mais force est de constater que l'inviter sur le plateau de cette émission très populaire témoigne que toutes les forces sont mises dans la bataille contre la RPC. |
| | Posté le 21-04-2021 à 23:18:54
| Je l'ai vu, il s'était mis des chaînes aux chevilles, mais après le cachot et les privations il s'était bien remplumé. Mais c'est son interprète qui parle en fait. Hanouna : "combien de personnes dans ces camps ?" ... "entre trois et cinq millions" Séquence émotion quand Omir se répand en larmes. Hanouna effaré "espère que ça va faire bouger les choses " https://www.facebook.com/TPMPTV/videos/1137657340043842 |
| | Posté le 24-04-2021 à 13:03:25
| "L'ennemi recule, nous attaquons !" Voici un article qui anticipe le cours des événements. Le "génocide" des Ouïghours a du plomb dans l'aile. Il suffit de voir cette page internet : https://www.bing.com/search?q=the%20Xinjiang%20genocide%20allegations%20are%20unjustified&pc=cosp&ptag=G6C12N1520ABDE98A3969&form=CONBDF&conlogo=CT3210127. Il est vrai que la Chine a répondu avec fermeté. Elle bénéficie aussi d'un appui majoritaire à l'échelle internationale et de deux alliés, la Russie et l'Iran. Très intéressant, quoiqu'on n'en sache pas davantage sur les nouveaux angles d'attaque de la propagande US. C'est un peu le scénario du "génocide" tibétain qui se reproduit. Voilà une histoire qui risque de prendre à contre-pied les mystiques de l'atlantisme en France. N'attendons pas qu'ils changent de costume pour percer la baudruche du "génocide" et les dénoncer avec vigueur.
_________________ 22 avril 2021 - https://www.legrandsoir.info/ouighours-un-pave-made-in-usa-dans-la-mare.html Quand deux intellectuels étasuniens mondialement réputés contestent l’existence d’un génocide ouïghour Ouïghours : un pavé (made in USA) dans la mare Gaston MONATTE Dans un article publié dans un média qui est une référence internationale en matière de politique étrangère, deux intellectuels étasuniens notoires demandent à leur gouvernement de ne pas poursuivre la campagne « contre productive » sur le prétendu génocide des Ouïghours. Après un article allant dans le même sens, publié par le Washington Post et après les avis d’avocats du Département d’Etat pour qui le mot « génocide » n’est pas « prouvable », il se pourrait bien que le point fort de la campagne mondiale antichinoise, relayée en France par des médias quasi unanimes, soit sur le point d’être supplantée par d’autres bobards. LGS "PS" c’est-à-dire “Project syndicate”, est un réseau de 459 médias dans 150 pays. Dans son édition du 20 avril , il présente un article signé Jeffrey Sachs et Willian Schabas intitulé” the Xinjiang genocide allegations are unjustified” , en d’autres termes “Les accusations de génocide au Xinjiang sont injustifiées” . Les auteurs autant que la publication jettent un sérieux pavé dans la mare de la campagne internationale hystérique des médias et de quelques politiciens de droite comme de gauche qui “sans opportunisme” aucun, font le choix de soutenir les activistes de groupuscules séparatistes Ouïghours qui en appellent au “Jihad” et à ”anéantir la Chine”. Ces derniers sont en réalité ceux qui terrorisent les Ouïghours du Xinjiang”. De Clémentine Autain à l’atlantiste Raphaël Glucksmann de Nabilla à l’évangéliste de la secte ”Born again” Adrian Zenz qui pense que sa dénonciation de la Chine est guidée par Dieu, il est devenu dorénavant “fashion” de participer au boycott du coton en provenance du Xinjiang initié par des compagnies connues pour leur respect scrupuleux des droits de l’homme en Asie du Sud-est comme H&M, Adidas, Burberry, Nike. Ce qui en retour a provoqué une chute brutale des ventes de ces entreprises en Chine et sensiblement augmenté celles des produits chinois correspondants. Dans ce secteur concerné, les ventes ont contribué à faire un bond en avant de 7% à la bourse de Shangaï. L’article présenté par Project Syndicate est intéressant à plus d’un titre. En premier lieu par le support lui-même. La réputation de PS est d’être une référence internationale en matière de politique étrangère, et d’être très largement relayée dans le monde. PS n’est pas ce que l’on peut qualifier de néoconservateur. Bien sûr, il est critique de la Chine de Xi Jinping et de la Russie de Poutine, toutefois dans un style plus “soft” que bien des commentateurs officiels. PS reflète et suggère souvent par anticipation, parfois de manière critique ce qu’est ou ce qu’annonce la politique étrangère nord-américaine. Avec cet article PS a rejoint en cela le Washington Post qui s’est exprimé récemment dans le même sens et qui sur les Ouïghours a pris ses distances avec le terme de “génocide” en soulignant que l’utilisation du mot génocide est “juridiquement inappropriée”, “intentionnellement incendiaire”, dans un but de “diabolisation” de la Chine. En second lieu, quelques mots sur les auteurs. Jeffrey Sachs est un économiste libéral(libéral au sens américain et non celui que nous lui donnons) très écouté, proche de nombreuses administrations démocrates US, il est considéré internationalement comme l’un des cent intellectuels les plus influents au monde. Après la chute de l’URSS, il a été la cheville ouvrière de ce que l’on a appelé "la thérapie de choc" en Russie, Pologne avec les résultats tragiques que l’on sait, idem d’ailleurs en Amérique Latine. Il s’est depuis racheté une conduite en critiquant les politiques qu’il avait inspirées et en prenant des positions lucides sur différents sujets dont les causes de la crise systémique, une critique souvent radicale de la politique américaine. Sachs est très actif sur les enjeux du développement durable, des inégalités, du réchauffement climatique, il a été le conseiller de plusieurs secretaires généraux des Nations Unies dont Antonio Gutteres. Quant à William Schabas il est un professeur de droit international de réputation mondiale. Un spécialiste pour les Nations Unies du droit international sur la torture, la peine de mort, les droits de la personne et le génocide sur lequel il a rapporté comme expert des Nations Unies à partir de l’exemple Ruandais. Il a occupé d’importantes charges universitaires et auprès d’institutions comme US Aid que l’on ne peut accuser de radicalisme. Par conséquent si PS , Jeffrey Sachs et William Schabas recommandent d’arrêter les frais sur "le génocide" des Ouïghours, c’est probablement un indicateur intéressant de ce que cela peut annoncer comme évolution possible de la politique américaine à l’égard de la Chine. Faut-il rappeler ici que le terme de “génocide” a été utilisé par Biden lui-même ainsi que par son administration sans parler des médias mainstream en particulier en France comme le Monde et Libération, Cnews ou France 24 ? Sachant que cette mise en cause critique de l’utilisation du concept grave de génocide est sans précédent et qu’il ne peut être le produit de la génération spontanée, cet article peut signifier deux choses possibles. 1- Une prise de conscience est en train de s’opérer quant à l’entreprise internationale de falsifications au sujet des Ouïghours, y compris parmi les décideurs américains. Du point de vue de son impact, preuve en est à travers cet article, cette campagne marque le pas. Ses excès et ses caricatures de la réalité au Xinjiang deviennent contre productifs. On en fait trop. Cela donne raison à ceux qui assument courageusement cette dénonciation à contre courant. C’est-à-dire plusieurs lanceurs d’alerte qui en toute honnêteté ont rapporté ce qu’ils ont vu et vécu au Xinjiang, comme l’a fait dans un livre Maxime Vivas. Une réalité, qui est à des années lumières des descriptions fantasmagoriques d’experts qui n’ont jamais mis les pieds sur place et qui de surcroît pour un grand nombre d’entre eux ignoraient jusqu’ à l’existence des Ouïghours. Malgré les calomnies, cette résistance pro-vérité a tenu bon. D’une certaine manière et à leur manière Jeffrey Sachs et William Schabas vont dans le même sens. Il faut se féliciter de ces réactions critiques qui refusent le prêt à porter idéologique que les médias veulent imposer. Cet état d’esprit nouveau a été aussi favorisé par la fermeté “nouvelle” de la Chine qui a répondu du tac au tac et avec des arguments précis et irréfutables. Cette attitude offensive a contribué à déstabiliser et placer sur la défensive les dirigeants américains comme on l’a vu au sommet d’Anchorage. A cette occasion la leçon de politique internationale donnée par les responsables chinois aux deux représentants de Joe Biden est implacable. Comme on le voit dans la vidéo de ces entretiens au sommet, la prestation chinoise est tout à fait remarquable. Elle fait grandement la différence avec le contenu affligeant des propos d’Anthony Blinken et Jake Sullivan. 2- L’article de Jeffrey Sachs et William Schabas est donc révélateur à partir d’arguments autant politiques que de droit international. Comme les deux auteurs le démontrent, on ne peut galvauder impunément les principes et valeurs défendues par le système des Nations unies et dont la Charte doit demeurer la référence des Etats et des peuples. Jeffrey Sachs et William Schabas y font référence de manière forte, solennelle et argumentée. Ce qui leur permet d’attirer l’attention sur ce qu’a été la politique des Etats Unis dans son action proclamée contre le terrorisme, et ce à quoi elle a conduit comme exactions en Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Lybie. En fait cet article, en forme d’interpellation de la nouvelle administration US, suggère d’amorcer un virage pragmatique en renonçant aux approximations, aux suppositions, aux interprétations et à la fantaisie. Comme le montre l’article en deux chapitres publié dans LGS par Jean-Pierre Page et Bruno Drweski sur la nouvelle politique étrangère US face à la Chine, les Etats-Unis sont pris dans une contradiction difficile à gérer : rivalité et besoin de coopérer pour assurer leur survie immédiate. Il est bien beau de parler de changement de régime et même de changement de système à Pékin quand les Etats-Unis n’ont jamais été aussi divisés, polarisés, affaiblis économiquement et socialement. L’article de Jeffrey Sachs et de William Schabas dans Project Syndicate vient utilement rappeler qu’à jouer avec les allumettes, on finit par se brûler. Gaston MONATTE (Les illustrations sont du Grand Soir).
Edité le 24-04-2021 à 13:23:17 par Xuan |
| | Posté le 26-04-2021 à 18:08:24
| La chanteuse Ouïghoure semble être bien occidentalisee...
Edité le 26-04-2021 à 23:55:23 par marquetalia |
| | Posté le 26-04-2021 à 18:23:13
| C'est souvent le cas dans le milieu du spectacle en Chine. A fortiori si elle est mannequin. Mais la mode chinoise n'est pas identique à la mode occidentale non plus. L'illustration du Grand Soir veut dire que les Ouïghoures peuvent aussi librement s'habiller à l'occidentale, montrer leurs jambes et leurs cheveux tandis que les islamistes préfèreraient une autre tenue. Mais si tu trouves que la tenue des islamistes radicaux est plus conforme à la "tradition" c'est ton droit
Edité le 26-04-2021 à 18:28:26 par Xuan |
| | Posté le 01-05-2021 à 18:05:45
| Les Usa ne soutiendront pas les Ouïghours pour l Éternité,le vide en Afghanistan qu ils vont justement quitter va renforcer le terrorisme au Xinjiang,voisin du bourbier des Empires,les populations lésées vont se radicaliser et rejoindre Al Qaeda ou Daech.la Chine, déjà confrontée à une chute démographique,vont se heurter aux Fous de Dieux.et ce, même si les Usa se redéployent contre Pékin. |
| | Posté le 01-05-2021 à 23:21:12
| Merci pour les prévisions du soir, madame Irma. |
| | Posté le 01-05-2021 à 23:40:53
| Quoiqu'il en soit, lorsque les troupes de l OTAN se seront retirées,les Kalash du Pakistan se feront taillader par les Talibans.une perte ethnique pour les anthropologues, cette population polythéiste étant la dernière survivante du paganisme d Europe du Sud,et du panthéon hellénique en particulier.l assassinat de l ethnologue Jordan Magraner n a t il pas suffi à alerter l opinion internationale au sujet de l Holocauste de cette ethnie minoritaire montagarde?
Edité le 14-05-2021 à 15:00:57 par marquetalia |
| | Posté le 02-05-2021 à 13:44:45
| Cesse de spéculer |
| | Posté le 11-05-2021 à 23:13:16
| Les entreprises de vêtements du Xinjiang, tournées vers l'exportation, regardent le marché intérieur face à la répression occidentale Les entreprises chinoises doivent promouvoir les marques mondiales de vêtements Par Qi Xijia à Shanghai et Chi Jingyi à Pékin Publié: 10 mai 2021 21:34 Au milieu d'une répression par les États-Unis et d'autres pays occidentaux contre les entreprises chinoises basées dans le nord-ouest du Xinjiang, certaines entreprises ont noté que leurs exportations n'avaient pas été beaucoup affectées et que, dans certains cas, leurs exportations avaient même augmenté. Et d'autres entreprises basées là-bas ont déclaré qu'elles exploraient activement les canaux de vente nationaux, car les incertitudes telles que la répression occidentale et la pandémie font du marché chinois une priorité pour éviter les risques. La cinquième journée de la marque chinoise a débuté lundi à Shanghai et en ligne, avec des entreprises de toute la Chine participant à l'événement, y compris des entreprises de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine. Liu Haifeng, PDG de China Colored-Cotton Group, a déclaré lundi au Global Times qu'à l'heure actuelle, la société se concentre désormais sur la vente sur le marché intérieur, car son volume d'exportation est relativement faible. "L'influence du boycott du coton du Xinjiang par certains pays occidentaux est limitée et notre commerce extérieur n'a pas été grandement affecté. La Corée du Sud et le Japon sont deux de nos principales destinations d'exportation, et ils resteront nos priorités". "Les exportations vers l'Europe ont légèrement baissé » , a déclaré Liu, ajoutant qu'en raison du soutien des consommateurs chinois à la maison, le nombre de commandes a augmenté de plus de 20% par rapport à l'année dernière. La société a déclaré qu'elle disposait de la plus grande base de plantation de coton coloré de Chine. La production de coton de couleur naturelle au Xinjiang représente 95 pour cent de la production en Chine et environ 50 pour cent dans le monde. Alors que certaines entreprises du Xinjiang orientées vers l'exportation reçoivent le soutien des consommateurs nationaux, elles ont commencé à s'engager dans la transition des exportations vers la promotion du marché intérieur. Certaines entreprises du Xinjiang ont déclaré au Global Times, sous couvert d'anonymat, qu'elles recherchaient activement des canaux de vente nationaux. «La croissance économique régulière de la Chine a créé un marché stable et une demande croissante. Au contraire, des épidémies de virus répétées dans de nombreux pays étrangers ont accru les incertitudes dans le commerce extérieur, et la restriction imposée par certains pays occidentaux au coton du Xinjiang a apporté des incertitudes dans le secteur. Les entreprises ont décidé de promouvoir les ventes intérieures afin d'éviter les risques » , a déclaré lundi un analyste et investisseur du nom de Cheng au Global Times. Une entreprise agricole a déclaré qu'elle coopérait avec Tmall d'Alibaba, l'une des plus grandes plates-formes de commerce électronique en Chine, pour développer les ventes sur le marché intérieur. Un directeur d'une société cotonnière publique du Xinjiang qui s'occupe de la cueillette, de la collecte, du nettoyage, du traitement, du gaufrage et de l'emballage du coton, a déclaré lundi au Global Times que la question du «coton du Xinjiang» n'avait pas eu beaucoup d'impact négatif sur les cours des actions de la société, mais il l'a forcé à donner la priorité à la recherche et au développement indépendants sur de nouveaux produits et à rechercher des marchés nationaux. "Notre société a présenté au salon l'un des cueilleurs de coton les plus haut de gamme au monde. Il est 30 à 40% plus efficace que les machines ordinaires et coûte moins des deux tiers du prix de ses homologues américains, tandis que la performance est presque le même. "Maintenant, nous maîtrisons plus de 90% des technologies clés. Nous continuerons d'augmenter la proportion de composants fabriqués à la maison et de développer de nouvelles technologies" , a déclaré le directeur. Il a ajouté que les commandes intérieures sont en hausse, les acheteurs réalisant que les incertitudes à l'étranger peuvent affecter la fourniture de matériel de transformation du coton et de services connexes. Les entreprises du Xinjiang ne peuvent pas remonter à l'époque où le coton était cueilli à la main. Le taux de cueillette à la machine a dépassé 90% dans le nord du Xinjiang, selon les données publiées par le ministère de l'Agriculture et des Affaires rurales du Xinjiang. Le taux devrait atteindre 88 pour cent dans tout le Xinjiang cette année, a déclaré le ministère de l'Agriculture. "La bataille pour le coton est essentiellement une bataille d'intérêts économiques. La Chine est le premier consommateur mondial et le deuxième producteur de coton. En entravant les exportations de coton du Xinjiang, le coton produit aux États-Unis, en Australie et dans d'autres pays occidentaux aura un marché élargi. » , a déclaré Wang Chikun, économiste indépendant. Selon les statistiques, la Chine a produit 5,91 millions de tonnes de coton en 2020, dont le Xinjiang en a produit 5,16 millions de tonnes, soit 87%. La demande de coton de la Chine a atteint environ 8 millions de tonnes l'année dernière, selon les statistiques de l'Association de l'industrie du coton de Chine envoyées au Global Times, ce qui signifie que près de 2 millions de tonnes de coton dépendaient des importations. "Le boycott du coton du Xinjiang par les pays occidentaux est essentiellement, la lutte pour les intérêts. Nous devons avoir une compréhension claire de cela. Il y a encore un grand écart entre les marques de vente au détail de vêtements nationales et étrangères. Ce n'est que lorsque nos marques sont fortes dans le monde, pouvons-nous avoir le contrôle de la chaîne d'approvisionnement et ne pas être contrôlés par d'autres » , a noté M. Wang. |
| | | | | | | | | | Posté le 31-05-2021 à 23:39:38
| Ambassade de Chine au journal Le Monde Déclaration du porte-parole de l'Ambassade de Chine en France au sujet d'un faux reportage du Monde sur une femme originaire du Xinjiang version en langue française : http://www.amb-chine.fr/fra/zfzj/t1880211.htm version en langue chinoise : http://www.amb-chine.fr/chn/ttxw/t1880209.htm L’Ambassade de Chine en France a pris note au Monde le 23 mai 2021 de l’interview donnée par Mme Sayragul Sauytbay, une femme originaire du Xinjiang et auteure d’un livre intitulé Condamnée à l’exil : Témoignage d’une rescapée de l’enfer des camps chinois. Sayragul Sauytbay prétend avoir été formatrice pendant cinq mois dans « un camp d’internement secret » au Xinjiang et assisté à des histoires désolantes. L’Ambassade prenait très au sérieux ce reportage et a contacté les services compétents chinois pour vérification. Lors d’une conférence de presse du 25 mai dernier, le gouvernement de la Région autonome ouïghoure du Xinjiang en a apporté les éclaircissements suivants : Sayragul Sauytbay est née en 1976 et originaire du district de Zhaosu du Xinjiang. Nommée en avril 2016 directrice du Jardin d’enfants central du canton de Chahanwusu du district de Zhaosu de la préfecture autonome kazakhe d’Ili, elle a travaillé à partir du 19 mars 2018 comme institutrice au même canton. Le 5 avril 2018, elle a quitté illégalement la Chine. Quelqu’une de mauvaise moralité, elle a inventé un tas de mensonges et est soupçonnée d’infraction. Premièrement, Sayragul Sauytbay a menti sur son parcours personnel. Elle prétend être diplômée d’une université de médecine et avoir travaillé comme médecin. Mais la vérité est qu’elle a suivi seulement des cours d’infirmières dans une école de formation professionnelle d’Ili et n’a jamais été médecin. Elle dit avoir enseigné le chinois dans un centre d’enseignement et de formation professionnels, que l’on l’a obligée de « signer une promesse de ne jamais rien révéler, sans quoi elle sera condamnée à mort » et l’a emmenée, cagoule sur la tête, pour un interrogatoire. En réalité, elle n’a jamais travaillé dans aucun centre d’enseignement et de formation professionnels, ni été soumise à quelconque mesure coercitive. Son récit sur le centre d’enseignement et de formation professionnels est purement et simplement des fables. Deuxièmement, Sayragul Sauytbay est soupçonnée d’infraction. Le 5 avril 2018, elle a traversé clandestinement la frontière du pays et enfreint l’article 322 du Code pénal de la République populaire de Chine portant sur le franchissement illégal de la frontière. En juin 2015 et décembre 2016, elle a escroqué, à l’aide d’un faux contrat d’achat immobilier, d’une signature dérobée du garant et de documents falsifiés, deux prêts totalisant 470 000 yuans auprès de la coopérative de crédit du canton de Chahanwusu du district de Zhaosu. À ce jour, elle a encore un encours de crédit de 398 000 yuans à rembourser. Ses actes ont enfreint l’article 193 du Code pénal de la République populaire de Chine portant sur la fraude sur les prêts. En raison des infractions pénales susdites et en vertu de la loi, Sayragul Sauytbay a été listée comme personne recherchée par la police. Troisièmement, Sayragul Sauytbay est connue pour sa mauvaise moralité. Elle a tiré l’avantage de son poste de directrice du Jardin d’enfants central du canton de Chahanwusu du district de Zhaosu pour s’approprier des primes de performance, au préjudice de ses collègues. Elle a ainsi été démise de ses fonctions par les autorités éducatives locales conformément aux lois et règlements. Avant de sortir illégalement du territoire chinois, elle a convaincu sa sœur cadette Panar de demander un crédit de 45 000 yuans pour racheter sa voiture, mais elle ne lui en a jamais transféré la propriété. Panar en nourrit un grand ressentiment. La vérité ne doit pas être entachée, le public ne doit pas être trompé et le récit du Xinjiang ne doit en aucun cas être faussé. La prétendue « base de données des victimes du Xinjiang » est un ignoble et piètre projet concocté uniquement à des fins politiques ces dernières années par les forces antichinoises occidentales. Les « témoins » comme Sayragul Sauytbay sont en réalité des « acteurs » recrutés à l’étranger par les forces antichinoises américaines et d’autres pays occidentaux qui s’affairent à salir la réputation du Xinjiang. Pour obtenir le statut de « réfugié » et des bénéfices personnels, ils servent de plein gré de « pions » à ces forces antichinoises et ressassent comme perroquet, selon les scénarios fournis par ces dernières, leurs prétendues « souffrances » dans les centres d’enseignement et de formation professionnels. Mais leurs mensonges ont tous été impitoyablement démasqués. Face à la réalité du Xinjiang, certains médias ne font ni enquête ni vérification et ne cessent de propager des mensonges, se faisant volontiers les complices des forces antichinoises. Leurs intentions sont douteuses. On se demande si « respecter la vérité » « publier seulement les informations dont l’origine est connue ou dans le cas contraire les accompagner des réserves nécessaires » « s’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation et les accusations sans fondement » prescrits par la Charte de Munich sont toujours leur crédo. |
| | Posté le 09-06-2021 à 16:18:01
| Stérilisations forcées : les familles réduites à six enfants ! Les familles des minorités ethniques du Xinjiang sont généralement nombreuses, et avec l'assentiment des autorités chinoises, les allégations de « génocide » sont grotesques. La photo montre le couple de Rexiti Memidiming, qui a donné naissance à 6 enfants, dans la ville de Wolitugurak, comté de Jiashi, Kashgar, Xinjiang. (Agence de presse Xinhua)
_______________ Comment l'Occident taché de sang a orchestré étape par étape la diffamation du «génocide» contre le Xinjiang Le génocide de qui ? Par Liu Xin , Fan Lingzhi et Xie WentingPublié: 08 juin 2021 21:53 De l'utilisation du terme "camp de concentration" en premier lieu pour décrire les centres d'enseignement et de formation professionnels dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) à l'analyse des rapports truffés de lacunes sur les sujets du "travail forcé", "la séparation des mineurs ethniques des parents, " et " la stérilisation forcée ", les États-Unis et l'Occident en général ont minutieusement tissé un récit malveillant dans le but d'intensifier une guerre contre la Chine, brandissant inconsidérément des allégations de " génocide " - un acte odieux entièrement étranger aux Chinois mais tout à fait aussi familier aux Anglo-Saxons avec un long héritage de génocide et d'extinction des races. Même si l'Occident et les États-Unis ont essayé de perfectionner leur récit de « génocide » contre la Chine, ils ne trouvent aucune base légale dans les lois internationales, car le génocide est un terme bien défini dans les lois et traités internationaux. Les tribunaux internationaux les plus respectés ont convenu que la preuve du crime de génocide dépend d'une présentation extrêmement convaincante de preuves factuelles, ce qui manque cruellement à l'actuelle accusation de "génocide" contre la Chine, ont déclaré des observateurs. Ces derniers mois, de plus en plus d'experts et d'universitaires dans le monde se sont levés pour critiquer les États-Unis et l'Occident pour des accusations de génocide infondées contre la Chine, soulignant à quel point l'utilisation abusive du terme pour les programmes géopolitiques équivaut à une insulte directe aux véritables victimes du génocide. Fabriquer des mensonges contre le Xinjiang chinois Le terme génocide a été adopté pour la première fois par la Convention des Nations Unies pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948 et est bien défini dans la Convention des Nations Unies et les lois et traités internationaux. Mais il perd beaucoup de son sens spécifique lorsqu'il s'implique dans la politique, a déclaré au Global Times Graham Perry, avocat britannique et arbitre international. Cinq actes qui sont considérés comme un génocide comprennent le meurtre de membres d'un groupe, causant des lésions corporelles ou mentales graves, infligeant délibérément des conditions de vie calculées pour entraîner la destruction physique de tout ou partie du groupe, et l'imposition de mesures visant à empêcher naissances, qui est la stérilisation forcée. La dernière consiste à transférer de force les enfants d'un groupe à un autre groupe. En examinant les rapports sur le Xinjiang des médias occidentaux et américains, le Global Times a constaté que l'accusation de « génocide » contre le Xinjiang n'était pas miraculeusement apparue, mais plutôt à la suite d'efforts calculés remontant à 2017 dans le but d'intégrer lesdites allégations dans les paramètres définis par la Convention des Nations Unies. Le premier lot de "rapports" utilisant le "génocide" dans leurs accusations contre la Chine sur sa politique au Xinjiang est apparu en janvier 2018 et a explosé depuis le début de 2020, a découvert Li Baiyang, avec l'aide de l'outil de recherche d'informations GDELT. Li est membre de l'équipe menant des « recherches sur les problèmes scientifiques fondamentaux des systèmes décisionnels de gestion de la sécurité nationale » Le 12 janvier 2018, l'agence turque Anadolu a rapporté qu'un éducateur bouddhiste du Myanmar s'était retiré d'un forum soutenu par la Chine à Londres pour protester contre la « persécution » et la « détention » de « 1 million de musulmans » dans la région chinoise du Xinjiang. Ce rapport sur l'éducateur birman s'est trompé sur les faits sur le Xinjiang en utilisant des termes incendiaires, mais il a été rapidement republié par le Congrès mondial ouïghour (WUC), un réseau de droite soutenu par les États-Unis cherchant la « chute de la Chine », comme indiqué sur son propre site Internet. Depuis lors, WUC s'est engagé à promouvoir le terme « génocide » auprès de divers médias et à diverses occasions et l'a utilisé dans des communiqués sur son site Web. Par exemple, lors d'une visite en Australie en décembre 2018, les dirigeants du Uyghur Human Rights Project (UHRP), le principal projet du WUC financé par la tristement célèbre fondation américaine pour le changement de régime, la National Endowment for Democracy (NED), ont déclaré que les gouvernements, les entreprises, les universitaires, et les groupes de réflexion avaient le devoir de mettre fin à leurs relations « comme d'habitude » avec la Chine au sujet du prétendu « génocide ». CNN est l'un des premiers médias occidentaux à utiliser le terme « génocide ». Un rapport du 15 novembre 2018 a affirmé que la Chine "déchire" les familles ouïgoures du Xinjiang, ce qui est un "génocide culturel". "Les informations sur le 'génocide' au Xinjiang ont explosé depuis le début de 2020, plus de 90 pour cent de ces rapports sont négatifs. En regardant les sources de ces informations, la Lituanie est devenue le pays avec le plus grand nombre de rapports sur le 'génocide'... suivi par les États-Unis, le Canada, le Japon, les pays européens et enfin l'Inde », a déclaré Li. Les médias occidentaux ont également mis en avant des sujets connexes pour fabriquer des « preuves » pour dépeindre la Chine comme un « exécuteur » du génocide. En août 2020, WUC a publié une déclaration sur son site Web, affirmant qu'un million d'Ouïgours ont été "détenus" dans des "camps d'internement" où ils ont été soumis à "la torture et d'autres violations des droits humains". Désormais, des mots comme « camp », « camp d'internement », « camp de concentration » et même « goulag » sont apparus dans presque tous les reportages des médias occidentaux sur la région du Xinjiang en Chine, malgré la réitération du gouvernement chinois selon laquelle il n'y avait pas de tels camps en Chine au Xinjiang. Le Xinjiang n'avait que les centres d'enseignement et de formation professionnels comme mesure de déradicalisation. Le mot "camp" a été choisi par les forces anti-chinoises non seulement pour évoquer l'imagerie horrible des camps de concentration dirigés à travers l'Europe par les forces nazies d'Adolf Hitler et l'Holocauste qui en a résulté, mais aussi comme stratagème pour diaboliser la Chine. C'était la première salve qui devait aboutir à une accusation de "génocide" contre la Chine, a déclaré Peng Qinxuan, professeur agrégé à l'Institut universitaire de droit international de Wuhan, au Global Times. Des sujets sur le « travail forcé », le « contrôle des naissances » et la « séparation des enfants ouïgours de leurs familles » sont apparus dans des rapports rédigés par des universitaires anti-chinois, des médias occidentaux et des rapports américains sur les droits de l'homme, mais aucun n'a offert de preuves concrètes, à l'exception des histoires de victimes autoproclamées. Par exemple, en septembre 2019, HRW « a demandé » que le Xinjiang « renvoie les mineurs » hébergés dans des institutions gérées par l'État à leurs familles. Adrian Zenz et WUC ainsi que certains médias occidentaux, dont le New York Times, ont également affirmé, sans preuve, que le Xinjiang avait enlevé des enfants ouïgours à leurs parents. En réponse, les responsables du Xinjiang ont réfuté à plusieurs reprises de telles rumeurs. Parhati Rouzi, un responsable de la préfecture de Kashi, a déclaré lors d'une conférence de presse en janvier 2020 que " Comme le Xinjiang est une vaste région, il y a un nombre important d'étudiants qui viennent d'endroits éloignés de leurs écoles, et donc beaucoup d'entre eux choisissent de vivre sur le campus… C'est aux étudiants et à leurs parents de décider d'opter ou non pour l'internat." Ironiquement, lorsque certains pays occidentaux ne peuvent pas trouver de preuves à l'appui de leurs allégations de génocide contre la Chine, des preuves irréfutables de génocide sur leur propre sol émergent. Le dernier cas de ce genre a été la découverte des restes de 215 enfants autochtones dans un ancien pensionnat indien, le Kamloops Indian Residential School en Colombie-Britannique, qui aurait hébergé 500 enfants autochtones canadiens. Au moins 150 000 enfants ont fréquenté de telles écoles dans ce qu'une Commission de vérité et réconciliation historique de 2015 a décrit comme un « génocide culturel » ciblant les peuples autochtones du Canada. Les preuves sont cruciales dans le processus de jugement de génocide. Actuellement, il n'y a pas la moindre "preuve" concrète ou irréfutable dans les accusations de génocide portées contre la Chine, dont la plupart, il faut le noter, ont été fournies par le WUC sous la forme de "témoignages" de personnes vivant actuellement sans entraves dans l'Ouest, a déclaré Perry. "Malgré les satellites volant au-dessus de leur tête, ils n'ont aucune preuve du Xinjiang... Est-ce un" génocide "- sans meurtre, sans morts, sans crématoriums, sans exécutions, sans réfugiés, sans un flot de personnes fuyant le Xinjiang cherchant la sécurité à l'extérieur ", a déclaré Perry. Mis à part le manque flagrant de preuves, ceux qui tentent d'accuser la Chine de « génocide » seraient confrontés à plus de difficultés sur les systèmes de juridiction contentieuse en droit international, a déclaré Peng de l'Université de Wuhan. Conformément à l'article IX de la Convention des Nations Unies, les différends entre les Parties contractantes relatifs à l'interprétation, à l'application ou à l'exécution de la présente Convention, y compris ceux relatifs à la responsabilité d'un État pour génocide ou pour l'un des autres actes énumérés à l'article III , sera soumis à la Cour internationale de Justice à la demande de l'une quelconque des parties au différend. La Chine a des réserves sur cet article. Donc, si les États-Unis veulent porter des accusations de « génocide » contre le Xinjiang chinois devant les tribunaux internationaux, ils seront confrontés à des problèmes systématiques en ce qui concerne le droit international, a déclaré Peng. L'Occident « les plus grands auteurs de génocide de l'histoire de l'humanité » Pour les Chinois, le terme "génocide" est un concept totalement inconnu et étranger - la destruction physique intentionnelle d'un peuple lié par une histoire, une langue, une culture et une tradition, systématique, en tout ou en partie substantielle. Ce n'est pas la façon chinoise d'interagir avec des personnes d'horizons différents, a déclaré Ren Yi, diplômé de la John F. Kennedy School of Government de l'Université Harvard, qui est un blogueur chinois influent avec plus d'un million d'abonnés sur Weibo. "Le génocide est un concept très réel aux oreilles européennes et occidentales : parce qu'ils sont les plus grands auteurs de génocide de l'histoire de l'humanité. Ce qu'ils font maintenant, c'est projeter leur propre péché sur la Chine et diaboliser la Chine dans leur propre état d'esprit" , a déclaré Ren. L'Occident a développé la pensée racialisée à son extrême et à ce jour, les crimes haineux fondés sur la race sont toujours une scène courante et répandue. L'Occident a construit le concept de race et vit dans l'ombre de bon nombre des crimes les plus horribles de l'histoire de l'humanité. Par conséquent, la civilisation européenne est vraiment le « grand architecte et exécuteur du concept même de génocide » , a déclaré Ren. "Les mensonges ne peuvent pas être transformés en faits même s'ils sont répétés des centaines de fois. Le lancement par les États-Unis de la campagne pour accuser la Chine de génocide ne fait que refléter la lutte désespérée des États-Unis dans sa descente mondiale ", a déclaré Peng. Les puissances hégémoniques adoptent généralement deux poids, deux mesures sur les questions relatives aux droits de l'homme - elles ne peuvent pas affronter ou effacer leur histoire notoire de massacres et de génocides alimentés par la race ; et d'autre part, ils exploitent le sujet pour attaquer d'autres pays à des fins politiques, a déclaré Peng. Récemment, davantage d'experts mondiaux se sont démarqués pour exprimer leur opposition à l'utilisation abusive du terme « génocide » par les États-Unis et les pays occidentaux. "L'accusation de génocide ne doit jamais être prise à la légère. Une utilisation inappropriée du terme peut exacerber les tensions géopolitiques et militaires et dévaloriser la mémoire historique de génocides tels que l'Holocauste, entravant ainsi la capacité de prévenir de futurs génocides", Jeffrey D. Sachs, directeur du Centre pour le développement durable de l'Université de Columbia, et William Schabas, professeur de droit à l'Université de Middlesex, à Londres, ont écrit dans un article publié par Project Syndicate en avril. Dans un article publié sur le site Web indépendant Counterpunch, Alfred de Zayas, ancien expert indépendant des Nations Unies, et Richard Falk, professeur émérite Albert G. Milbank de droit international à l'Université de Princeton, ont également noté que le crime de « génocide » a été grossièrement instrumentalisé. pour battre le tambour de la sinophobie et les États-Unis ont armé les droits de l'homme comme une contre-mesure contre la Chine. "La soudaine vague d'intérêt des États-Unis pour le sort du peuple ouïghour semble moins motivée par la compassion ou la protection des droits de l'homme que par les pages les plus cyniques du livre de jeu machiavélique de la géopolitique" , ont-ils écrit.
Edité le 09-06-2021 à 17:11:25 par Xuan |
| | Posté le 21-06-2021 à 22:54:53
| Interview acide entre le réseau d'information américain Axios et son journaliste australien Jonathan Swan, et le Premier ministre pakistanais Imran Khan à qui Swan essaie de faire dire que la Chine réprime les musulmans à Urumqi. https://youtu.be/YlHPEgE3fjk Swan a demandé : "Pourquoi parlez-vous franchement de "l'islamophobie" en Europe et aux États-Unis, mais vous restez silencieux sur la question du "génocide" au Xinjiang, en Chine ? Pourquoi ne critiquez-vous pas le " génocide " en Xinjiang, Chine ?" Imran Khan a carrément souligné que la Chine a nié ces affirmations, critiqué le "double standard" et l'hypocrisie de la société occidentale, se concentrant toujours sur la critique du Xinjiang, mais ignorant la question du Cachemire, qui a subi de lourdes pertes. " Pourquoi (le Xinjiang) est-il un gros problème dans le monde occidental, mais ils doivent ignorer l'expérience des Cachemiriens ? C'est plus digne d'attention. Pourquoi n'est-ce pas un problème ? Je pense que c'est hypocrite. ." Imran Khan a également patiemment expliqué que pendant la période la plus difficile du pays, la Chine est l'un des meilleurs amis du Pakistan. "Quand nous sommes vraiment en difficultés et en difficultés économiques, la Chine s'est précipitée pour nous aider. Le Pakistan respecte donc la Chine. La voie est, non quels que soient les problèmes rencontrés par le Pakistan et les Chinois nous en discuterons à huis clos". Imran Khan répond : « Je regarde autour du monde et je demande ce qui s'est passé en Palestine, en Libye, en Somalie, en Syrie, en Afghanistan ? Est-ce que je vais commencer à parler de tout ici ? Je ne me soucie que de mon pays. " Swann a finalement posé une question que les États-Unis discutaient avec le Pakistan : « Autorisez-vous le gouvernement américain à envoyer la CIA au Pakistan pour mener des opérations transfrontalières de contre-terrorisme contre Al-Qaïda, l'État islamique ou les talibans ? Imran Khan n'a pas hésité et a répondu catégoriquement: "Nous ne le permettrons jamais." |
| | Posté le 24-06-2021 à 20:14:23
| L'interview du 4 juin à Islamabad ci-dessus n'a pas échappé à Le Monde. Visiblement son scribouillard Guillaume Delacroix est ulcéré que l'opinion publique internationale soit remise en cause par Imran Khan. L'explication est évidente : les chinois le tiennent pas les couilles.
_______________ "Imran Khan n’est « pas sûr » que les Ouïgours soient victimes de répression en Chine Le premier ministre parkistanais dit douter de la répression sévère contre la minorité musulmane dans l’ouest de la Chine, grande alliée de son pays." Toujours prompt à dénoncer l’islamophobie qui ronge, selon lui, l’Europe et les Etats-Unis, Imran Khan ferme délibérément les yeux sur les persécutions dont sont victimes les Ouïgours, minorité musulmane installée pour l’essentiel aux portes du Pakistan, dans la province chinoise du Xinjiang. Interrogé, dimanche 20 juin, par un journaliste du site d’information américain Axios, le premier ministre pakistanais a mis en doute la répression sévère exercée dans l’ouest de la Chine par le régime de Xi Jinping contre 11,5 millions de turcophones sunnites vivant dans cette région depuis des siècles. Sur les détentions arbitraires, les tortures, les campagnes de stérilisation et le travail forcé dont sont notoirement victimes les Ouïgours, dont un million sont détenus dans des camps de « déradicalisation » , dénoncés régulièrement par l’ONU, M. Khan déclare ne pas « être sûr de ce que l’on raconte » et rétorque que, « selon les Chinois, ce n’est pas le cas » . Comme s’il n’avait pas entendu les quantités de témoignages ni vu les images par satellite qui parviennent au monde entier depuis 2017. « Quels que soient les problèmes que nous avons avec les Chinois, nous leur parlons à huis clos » , se contente de répéter M. Khan. L’ancien capitaine de l’équipe nationale de cricket, au pouvoir depuis août 2018, fait valoir que la Chine « a été l’un des plus grands amis » du Pakistan. « Lorsque nous étions vraiment en difficulté, que notre économie était à la peine, la Chine est venue à notre secours. Nous respectons donc sa façon d’être » , explique-t-il. ... Garde-t-il le silence en raison des dizaines de milliards de dollars que Pékin injecte dans son pays, pour beaucoup sous forme de prêts, au point de représenter aujourd’hui environ les deux tiers des investissements étrangers au Pakistan ? « Je regarde ce qui se passe en Palestine, en Libye, en Somalie, en Syrie, en Afghanistan… Vais-je commencer à parler de tout ? Je me concentre sur ce qui se passe à ma frontière, dans mon pays » , prétend-il pour évoquer la question du Cachemire, que le Pakistan dispute à l’Inde depuis 1947. D’après lui, « 100 000 Cachemiris ont été tués » et « 9 millions emprisonnés » depuis lors, tandis que « 800 000 soldats indiens sont postés » sur la ligne de cessez-le-feu. Or, l’Occident fait preuve d’« hypocrisie », avance M. Khan, à l’égard d’une situation « qui concerne plus le Pakistan que ce qui se passe partout ailleurs dans le monde ». Et notamment en Chine, où l’internement de masse des musulmans peut manifestement se poursuivre avec son aval. Guillaume Delacroix |
| | | | | | Posté le 06-07-2021 à 19:35:40
| Ouïghours…par Nicolas Vital Une illustration de l'article : |
| | Posté le 06-07-2021 à 21:15:31
| Des émissaires africains défendent la Chine au Xinjiang et disent "pas de visite, pas de mot à dire" : https://www.globaltimes.cn/page/202107/1227994.shtml Extraits : Des ambassadeurs et des diplomates de pays africains ont participé mardi à un forum à Pékin pour partager leurs histoires de visite dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang... L'ambassadeur de Guinée-Bissau Antonio Serifo Embalo en Chine a déclaré avoir visité de nombreuses villes du Xinjiang en mai, notamment Urumqi, les préfectures d'Aksu et de Kashi et s'être entretenu avec des villageois pour connaître leur point de vue sur les relations entre les groupes ethniques... Les industries du coton et du photovoltaïque dans le Xinjiang en Chine ont du succès et l'attaque des États-Unis et de l'Occident sous la bannière des droits de l'homme priverait les résidents locaux de la possibilité d'améliorer leurs revenus et de vivre mieux, a déclaré l'ambassadeur du Zimbabwe, Martin Chedondo... Rahamtalla Mohamed Osman, le représentant de l'UA en Chine, a déclaré lors du forum que le battage médiatique sur les sujets du Xinjiang par certains pays n'est pas lié à des préoccupations en matière de droits de l'homme... Concernant l'affirmation de certains pays occidentaux selon laquelle la Chine profite de l'Afrique par le biais de la coopération, Osman a déclaré que ces remarques sont une insulte aux pays africains.... Simon Indongo, premier secrétaire de l'ambassade de Namibie en Chine, a déclaré que ceux qui n'ont pas mené d'enquête n'ont pas leur mot à dire .
Edité le 06-07-2021 à 21:15:54 par Xuan |
| | Posté le 06-07-2021 à 23:43:48
| Xinjiang Cotton : Le président de MUJI a déclaré qu'il "continuerait à utiliser" Xinjiang Cotton Écrit par : Wan Ran sur dnews 2021-07-03 11:23:03 Date de la dernière mise à jour :2021-07-03 11:23 Matsuzaki Akatsuki, président et directeur exécutif du projet Yipin de la société mère MUJI, a déclaré le 2 juillet qu'il "continuerait à utiliser" le coton du Xinjiang. Selon des médias japonais tels que "Tokyo Shimbun" et NHK TV, Matsuzaki Akatsuki a fait la déclaration ci-dessus lors de la conférence de presse sur le rapport financier de la société. Concernant certaines personnes lors de la conférence de presse selon lesquelles les usines de plantation de coton du Xinjiang pourraient être impliquées dans le soi-disant « travail forcé », a déclaré Akatsuki que chaque année, une agence tierce supervisera et enquêtera sur les fermes et autres endroits où les produits de l'entreprise sont "(Selon l'enquête En conséquence) aucune violation des droits de l'homme n'a été trouvée, nous continuerons donc à l'utiliser (coton du Xinjiang)." Il a également ajouté : "Nous utilisons le coton cultivé au Xinjiang en toute confiance. Cette position n'a pas changé. " "Tokyo Shimbun" a mentionné que MUJI a publié une déclaration en avril 2021, déclarant que la société s'était rendue au Xinjiang en 2020 pour des enquêtes et n'avait trouvé aucune violation majeure des lois, règlements ou codes de conduite. Matsuzaki Akatsuki a également déclaré à l'époque qu'il recherchait plus de croissance sur le marché chinois. En outre, NHK a également mentionné qu'en réponse à la prétendue dissimulation par la France du soi-disant « travail forcé » au Xinjiang, quatre maisons de couture dont Uniqlo France de Japan Fast Retailing Company (Uniqlo France) ont fait l'objet d'une enquête. Liangpin n'a reçu aucune demande d'enquête. auprès d'agences officielles en Europe et aux États-Unis.
Edité le 06-07-2021 à 23:44:24 par Xuan |
| | | | Posté le 07-07-2021 à 17:15:57
| Intéressant d'entendre dire que la Chine est dangereuse parce que les chinois y voient leur vie s'améliorer tandis que notre "modèle démocratique" est rejeté dans les abstentions. A relier avec la phrase d'A. Duhamel "L'abstention signifie l'inadaptation des Français à la vie politique" Il en ressort que la démocratie capitaliste est rejetée parce qu'elle ne satisfait pas les besoins du peuple. La présentatrice est extrêmement partiale et soutient ouvertement la propagande US sur le "génocide" des Ouïghours et Dilnur Reyhan présidente de l'institut Ouïghour d'Europe. Dilnur Reyhan débite des chiffres hallucinants sur une population "divisée par deux"... "selon des chiffres officiels" ce qui est manifestement faux et Chuyan Li peut à peine lui répondre. Chalbron parle de "génocide culturel au moment où on voit les ouïghours prier... C'est clairement un tribunal et non un débat. Par contre les vidéos sur youtube sont encore suivies de commentaires, et on voit que beaucoup ne sont pas dupes de cette caricature de débat. Et puis il y a aussi des chinois expatriés en France et ils n'acceptent pas les points de vue biaisés sur leur pays. Dans tous les cas, il faut intervenir dans ces commentaires pour y apporter des informations chiffrées et des arguments, tant qu'il est encore possible d'y intervenir.
Edité le 07-07-2021 à 20:33:48 par Xuan |
| | Posté le 08-07-2021 à 07:56:52
| Des émissaires de l'ONU assistent à un événement soulignant la solidarité entre les groupes ethniques au Xinjiang et condamnent l'Occident pour avoir fabriqué des mensonges Par Fan Anqi Publié: 08 juil. 2021 12:13 PM https://www.globaltimes.cn/page/202107/1228139.shtml Des émissaires d'une trentaine de pays ont exprimé leur soutien à la Chine tout en critiquant l'Occident pour avoir fabriqué des mensonges sur le Xinjiang pour décourager le développement de la Chine lors d'une réunion en marge de la 47e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies. Des représentants du Xinjiang ont partagé leurs histoires lors de la réunion et ont présenté un récit vivant de la solidarité entre les groupes ethniques de la région. Sur le thème " Solidarité entre les groupes ethniques du Xinjiang ", l'événement organisé mercredi par vidéoconférence a été co-organisé par la mission permanente de la Chine auprès des Nations Unies et la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine). Plus de 30 envoyés nationaux de Russie, d'Arabie saoudite, du Pakistan et de Biélorussie, entre autres, ont assisté à la réunion, ainsi que de hauts diplomates, des responsables du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme et des journalistes. "La solidarité ethnique est la bouée de sauvetage des peuples de tous les groupes ethniques et la pierre angulaire du développement et du progrès du Xinjiang ", a déclaré Chen Xu, représentant permanent de la Chine auprès de l'Office des Nations Unies à Genève, lors du discours d'ouverture. Il a ajouté que plus de 90 pays ont apporté leur soutien à la Chine sur les questions liées au Xinjiang sous diverses formes au Conseil des droits de l'homme de l'ONU, ce qui reflète clairement l'aspiration commune de la communauté internationale. "Tout ce que l'autorité du Xinjiang a fait est de promouvoir l'harmonie, la solidarité et le développement de tous les groupes ethniques. Les attaques de certains pays occidentaux du soi-disant" génocide "dans la région sont de pures inventions qui nuisent aux précieuses amitiés entre les ethnies. Le but fondamental de tels mensonges est de provoquer des troubles, de saper la stabilité du Xinjiang et d'entraver l'essor de la Chine" , a déclaré Shewket Imin, directeur du Comité permanent du Congrès du peuple du Xinjiang, lors de la réunion. Il a invité les missions étrangères à visiter le Xinjiang et à constater par elles-mêmes l'harmonie qui existe entre des personnes d'horizons différents, et à témoigner de la prospérité et du développement. L'événement a invité un certain nombre de représentants du Xinjiang à partager leurs histoires et à présenter des exemples concrets sur la façon dont les ethnies ont vécu ensemble en harmonie comme une seule famille. Un habitant du comté de Shule dans la préfecture de Kashi au Xinjiang a raconté l'histoire de Pan Yulian, une enseignante à la retraite de 80 ans qui a consacré sa vie à enseigner et à s'occuper des enfants locaux depuis 1992. Le comté compte plus de 6 000 habitants de huit groupes ethniques. Après sa retraite, Pan a décidé de s'occuper des enfants de la région chez elle. Lorsque le nombre d'enfants a augmenté, elle a sorti toutes ses économies et a ouvert une école pour enseigner gratuitement aux enfants. Li Li, un médecin qui a soigné un garçon aux bras cassés à l'hôpital MTC de l'Université de médecine du Xinjiang, a raconté comment des personnes de différents horizons se sont précipitées pour sauver le garçon et l'ont envoyé dans le meilleur hôpital du Xinjiang en quelques heures. Après deux interventions chirurgicales opportunes, le garçon se remet maintenant sous les soins intensifs d'une équipe médicale spécialisée. Des émissaires de Corée du Nord, du Sri Lanka, du Venezuela, de Biélorussie, d'Iran, du Laos, du Cameroun, d'Éthiopie et d'autres pays ont pris la parole lors de la réunion, appréciant les efforts continus de la Chine pour éradiquer la pauvreté absolue et maintenir la paix au Xinjiang, tout en s'opposant fermement à l'ingérence de l'Occident dans les affaires internes de la Chine. affaires de sa propre manipulation politique mal intentionnée. |
| | Posté le 10-07-2021 à 07:14:36
| Idéologie antichinoise primaire à l’ULB : Lettre ouverte au Professeur Jacques Englebert 09 Juil 2021 ANDRÉ LACROIX https://www.investigaction.net/fr/ideologie-antichinoise-primaire-a-lulb-lettre-ouverte-au-professeur-jacques-englebert/ En 2019, l’ULB (Université Libre de Bruxelles) décidait de se séparer de l’Institut Confucius pour des raisons officiellement administratives, mais en réalité idéologiques (1). En 2020, Vanessa Frangville, titulaire de la chaire d’études chinoises à l’ULB, inventait le concept de « terrorisme anecdotique » pour qualifier le terrorisme islamiste ouïghour ayant tué des centaines d’innocents et ayant fourni des milliers de combattants fanatisés à Daech (2). Début 2021, elle en remettait une couche dans un réquisitoire antichinois plutôt indigent (3). C’est au tour maintenant d’un éminent Docteur en sciences juridiques et chargé de cours à l’ULB, Jacques Englebert, de se livrer à des propos sinophobes d’un simplisme désarmant. Un échange frustrant Réagissant à un appel de ma part à consulter, à propos des Ouïghours, d’autres sources que les affabulations d’Adrian Zenz, Mike Pompeo et consorts, Jacques Englebert m’a écrit le 14 juin : « Dès lors que le Chine est une dictature qui bafoue tous les droits fondamentaux, votre acharnement à défendre ce régime me donne la nausée. » Réponse de ma part le 21 juin : « Je ne comprends pas que vous accusiez la Chine de bafouer tous les droits fondamentaux, comme si les droits sociaux (art. 22-28 de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme), globalement garantis en Chine, n’étaient pas des droits aussi fondamentaux que les droits individuels (art. 1-21). Il s’agit là d’une faute de logique (généralisation hâtive) qu’en tant que professeur du secondaire (aujourd’hui retraité je n’aurais pas tolérée chez un adolescent. Elle en dit long, me semble-t-il, sur les dérives d’une certaine analyse politique universitaire, alimentant le China-bashing à la mode. » Je terminais par ces mots : « Mais s’il devait s’agir de votre part d’un simple mouvement d’humeur et d’une phrase ne reflétant pas votre pensée, j’aimerais continuer à pouvoir dialoguer avec vous et vous garder dans ma liste de destinataires. » Une demi-heure plus tard, Jacques Englebert m’envoyait cette réaction que je reproduis in extenso : « Cher Monsieur, J’ai soutenu une thèse de doctorat exposant qu’à défaut de liberté d’expression réelle et effective, aucun autre droit ne pouvait être considéré comme étant raisonnablement garanti. La belle affaire : les droits sociaux seraient (« globalement », vous êtes prudent) garantis aux chinois. Il ne suffit pas de donner du pain et des jeux à son peuple pour garantir le respect des droits fondamentaux. Il n’est en rien question de « china-bashing » ! Il est temps que les démocraties nomment la réalité. La Chine (elle n’est malheureusement pas la seule) est un pays soumis à un régime autoritaire (une dictature) et non démocratique qui bafoue l’ensemble des droits fondamentaux des chinois. Les préalables non négociables avant toutes autres discussions sont : liberté politique (élections réellement libres), liberté d’expression (au sens de l’article 10 de la CEDH) et liberté de manifestation. Mon précédant message n’était en rien un mouvement d’humeur et il reflétait parfaitement ma pensée. Merci de ne plus m’imposer la lecture de votre propagande pour un tel régime. Bien à vous ». D’où ma lettre ouverte ci-dessous Cher Monsieur Englebert, J’espérais, naïvement sans doute, qu’en tant qu’intellectuel vous sauriez reconnaître – errare humanum est – que vous vous étiez laissé emporter par un mouvement d’humeur ; cela vous aurait grandi ; et nous en serions restés là. Mais votre persistance dans le simplisme et l’arrogance m’autorise à vous adresser cette lettre ouverte. L’argument d’autorité Vous commencez par brandir votre thèse de doctorat. De la part d’un membre d’une institution se revendiquant du libre examen, j’attendais mieux, en guise d’introduction, que cette espèce de plaidoyer pro domo. Pour moi, la qualité de l’argumentation compte davantage que les titres universitaires et un curriculum vitae de plusieurs pages. Sceau de l’ULB Il m’étonnerait d’ailleurs que, lors de votre défense de thèse, il ne se soit trouvé aucun examinateur pour en démontrer le caractère tendancieux. Pour ma part, je n’ai jamais été impressionné par l’argument d’autorité ; et ce n’est pas aujourd’hui, à l’âge qui est le mien, que je vais en changer. Libertés fondamentales et droits de l’homme Vous ne répondez pas à mon reproche de prendre la partie (droits individuels) pour le tout (droits de l’homme) ; vous vous contentez de vous répéter en remplaçant « bafoue tous les droits fondamentaux » par « bafoue l’ensemble des droits fondamentaux ». Mais cette fois, vous basez votre démonstration sur l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme (Rome, 04/11/1950) dont le sous-titre Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales annonce pourtant clairement qu’elle ne concerne que les droits individuels (4). Il faut dire que ce parti pris était déjà contenu en germe dans la Déclaration universelle des Droits de l’Homme (Paris, 10/12/1948) élaborée dans un climat de début de guerre froide qui a vu la tendance « atlantiste » individualiste, avec l’Américaine Eleanor Roosevelt et le Français René Cassin, l’emporter, dans le compromis final, sur les alternatives « tiers-mondiste » (du Chilien Hernán Santa Cruz) sensible à la dimension socio-économique et « orientale » (du Chinois Chang Pengchun) sensible aux valeurs confucéennes d’harmonie sociale. Autre grande absence de la Déclaration de 1948 : la mention des devoirs comme contrepoids aux droits, autrement dit l’effacement du citoyen (cher aux Constituants de 1789) au profit de l’individu. D’où cette remarque narquoise du Mahatma Gandhi : « J’ai appris de ma mère, illettrée mais fort sage, que tous les droits dignes d’être mérités et conservés sont ceux que donne le devoir accompli […] On pourrait montrer que tout autre droit est seulement une usurpation pour laquelle il ne vaut pas la peine de lutter. » (5). npr.org Il me paraît plutôt étrange que le Professeur d’université que vous êtes semble ignorer les nombreuses critiques de fond dont la déclaration dite universelle a fait l’objet. Sans pour autant cautionner certaines de ses accointances idéologiques, je vous recommande la lecture de l’excellent article d’Arnaud Imatz, intitulé « Une déclaration des droits de l’homme pas très ‘universelle’ » (6). Y sont mentionnés une bonne vingtaine de personnalités prestigieuses (7), de toute provenance géographique ou philosophique, s’inscrivant en faux contre une interprétation univoque de l’universel, trop fréquente, hélas, chez tel(le) ou tel(le) universitaire baignant dans la pensée unique… Négliger ces avis, c’est pire que de la myopie ; c’est du scotome, une perte de vision qui affecte finalement le champ idéel. Paralogisme, voire sophisme « Il ne suffit pas, écrivez-vous, de donner du pain et des jeux à son peuple pour garantir le respect des droits fondamentaux » : de cette prémisse indiscutable, vous concluez, sans respect pour la logique, que les libertés individuelles constituent des « préalables non négociables avant toutes autres discussions ». C’est ce qu’on appelle un paralogisme, ou pire un sophisme. S’il est vrai que l’ « homme ne vit pas seulement de pain » (Évangile de Matthieu, 4,4), il est faux de laisser croire que les libertés individuelles constitueraient la condition sine qua non d’une vie vraiment humaine. C’est même l’inverse qui est vrai : sans la garantie des droits sociaux, les droits individuels restent lettre morte ; en revanche, on peut vivre décemment sans jouir de la plénitude des droits individuels. Dans toute société civilisée, ce ne sont pas la liberté de parole et l’absence de censure qui sont les valeurs suprêmes, mais la vie humaine et la dignité humaine. Image de la misère en Inde (cliché pinklotusinindia) Iriez-vous jusqu’à affirmer que les écoliers chinois – parce que vivant dans une « dictature » – ont moins de chance que les 60 millions de petits Indiens astreints au travail, que la condition des femmes en Inde est préférable à celle des Chinoises ou, pour faire court, que le paysan chinois jouissant d’une moyenne aisance est plus à plaindre que le paria indien qui – citoyen d’une « démocratie » −, a le droit de mourir sur un trottoir ? Je me refuse à croire que vous puissiez répondre par l’affirmative à ces questions, car ce serait pure stupidité. Arrogance Mais que dire alors de votre prétention à faire des libertés individuelles des « préalables non négociables avant toutes autres discussions » sinon qu’elle fait preuve d’une incroyable arrogance ? Ne vous a-t-on jamais appris qu’une des obligations de tout débat intellectuel consiste à respecter cet antique principe de droit : audiatur et altera pars, en l’occurrence la partie chinoise, qui s’exprime comme suit ? Je cite : « L’argument selon lequel les droits de l’Homme sont la condition préalable au développement est sans fondement. Lorsque la pauvreté et le manque de nourriture et de vêtements adéquats sont monnaie courante et que les besoins fondamentaux des personnes ne sont pas garantis, la priorité doit être donnée au développement économique. Dans le cas contraire, les droits de l’Homme sont totalement hors de question. » (8) Cet avis serait-il nul et non avenu du seul fait qu’il a été énoncé par un Chinois ? Iriez-vous, du haut de votre bien-pensance occidentale, jusqu’à prétendre, comme le fit un jour un présentateur vedette de la ZDF (9), qu’il faille choisir entre les valeurs éthique de Kant et celles de Confucius ? Je me refuse à croire que vous verseriez dans une telle goujaterie à l’égard de la Chine dont la civilisation prestigieuse est imprégnée de confucianisme depuis deux mille cinq cents ans jusqu’à aujourd’hui. Que diriez-vous si la Chine imposait aux États-Unis, comme « préalables non négociables », qu’ils arrêtent d’emprisonner cinq fois plus d’habitants qu’en Chine (10), qu’ils interdisent le commerce des armes, en grosse partie responsable, chaque semaine, de la mort de 25 de leurs enfants (11), qu’ils cessent d’envahir des pays souverains pour y installer un régime à leur dévotion, etc. ? Nul doute que vous ne trouveriez cela déplacé : c’est votre droit. Les Chinois n’auraient-ils pas le même droit ? Comme le note finement Sylvie Bermann qui connaît bien la Chine pour y avoir été ambassadrice de France : « Nous avons du mal à comprendre que ce qui est pour nous la défense normale de nos valeurs et de la supériorité de la démocratie est aux yeux des dirigeants chinois purement et simplement de la propagande et de l’ingérence dans leurs affaires intérieures. » (12) Vous n’allez tout de même pas écrire à cette diplomate chevronnée : « Merci de ne plus m’imposer la lecture de votre propagande pour un tel régime » ! Accusations infondées Pas plus que l’argument d’autorité, les accusations infondées, les procès d’intention ou les arguments ad hominem ne me touchent. Je ne suis nullement un adepte inconditionnel de la RPC (voir, si vous en doutez : http://tibetdoc.org/index.php/politique/chine-en-general/299-a-propos-de-l-autobiographie-de-tashi-tsering-censure-et-soft-power-en-chine). Je ne suis payé par personne et ma situation de vieil enseignant, jouissant d’une retraite convenable, me protège de toute autocensure, ce qui n’est pas toujours le cas des journalistes (quand ils sont obligés de se conformer à la ligne éditoriale de leur rédaction) ni des jeunes chercheurs (dont la promotion peut dépendre de leur conformisme à l’institution qui les emploie). En guise de salut final, je vous invite, cher Monsieur Englebert, à méditer le proverbe ouïghour « On ne peut réveiller quelqu’un qui fait semblant de dormir. » Notes: (1) Voir http://tibetdoc.org/index.php/politique/chine-en-general/511-confucius-ou-dalai-lama-l-ulb-a-choisi. (2) Voir https://www.legrandsoir.info/le-terrorisme-anecdotique-nouveau-concept-universitaire.html. (3) Voir http://tibetdoc.org/index.php/politique/chine-en-general/589-china-bashing-universitaire. (4) Il faudra attendre le Protocole additionnel (Paris, 20/03/1952) pour voir figurer, à l’art. 2, une mention pouvant émarger aux droits collectifs : « Nul ne peut se voir refuser le droit à l’instruction ». (5) Cité dans l’article référencé sub 6. (6) Arnaud Imatz, https://www.polemia.com/une-declaration-des-droits-de-lhomme-pas-tres-universelle-12/ (1ère partie) et https://www.polemia.com/une-declaration-des-droits-de-lhomme-pas-tres-universelle-22/ (2ème partie). (7) * d’Europe : le philosophe espagnol Raimon Panikkar, le diplomate et historien espagnol Salvador de Madariaga, le politologue français Joseph Yacoub, les philosophes français Emmanuel Mounier et Jacques Maritain, le sociologue français Georges Gurvitch, l’historien français Michel Villey, le théologien et scientifique français Pierre Teilhard de Chardin, l’anthropologue français Claude Lévi-Strauss, le juriste belge J. Hasaert, le théoricien socialiste britannique Harold Jospeh Laski, l’historien anglais Edward Hallett Carr, le journaliste et romancier anglais Aldous Huxley, le philosophe italien antifasciste Benedetto Croce ; * d’Amérique (États-Unis) : le politologue Quincy Wright, le philosophe Stuart C. Norhtrop, le neurophysiologiste Ralph W. Gerard ; * d’Asie : le philosophe chinois Chung-Shu Lo, la poète et homme politique musulman indien Hymayun Kabir, le penseur indien S.V. Puntambekar, sans oublier Gandhi mentionné plus haut ; * d’Océanie : l’anthropologue australien Adolphus Peter Elkinn. (8) à la Conférence mondiale sur les Droits de l’Homme qui s’est tenue à Vienne en 1993. Voir Decoding China Dictionary, p. 35 ; (9) Il s’agit de Claus Kleber ; voir http://tibetdoc.org/index.php/politique/mediatisation/467-arte-d-indecrottables-prejuges. (10) Aux États-Unis, la population carcérale représente 0,666 % de la population ; en Chine, la population carcérale représente 0,118 % de la population ; en France, c’est 0,103 % ; en Belgique : 0,094 % ; en Allemagne : 0,077 (Chiffres de 2016, d’après la World Prison Brief, éditée par Birkbeck, université de Londres). (11) Voir https://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-nord/les-armes-a-feu-2e-cause-de-mortalite-des-enfants-aux-etats-unis_1920072.htm. (12) Sylvie Bermann, Goodbye Britannia. Le Royaume-Uni au défi du Brexit, essai, éd. Stock, 2021, p. 42. |
| | Posté le 10-07-2021 à 16:48:36
| C'est un débat d'intellectuels et Englebert ne sort pas de ses principes d'intellectuel bourgeois, la liberté de penser passe avant celle de manger. Il faut noter que "Après avoir connu une longue carrière dans l'enseignement secondaire en Belgique francophone, André Lacroix bénéficie d'une pension qui lui offre l'occasion de développer sa passion pour le Tibet. André Lacroix est aussi l'un des fondateurs du SEL (Syndicat de l'Enseignement Libre) actif en Belgique francophone." Il a écrit "Dharamsalades" et "Mon combat pour un Tibet moderne" et fait plusieurs voyages en Chine Voir TibetDoc. Ce site indique plusieurs publications sur le Tibet et des articles comme "Dalaï Lama : mauvaises fréquentations"
Edité le 10-07-2021 à 16:48:56 par Xuan |
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