KGB Shpion a écrit : [citation=Julien Lahaut]Moi j'ai regardé récemment "Buffet froid " |
Champoul |
Paria |
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Vassine |
Xuan |
![]() "le vent se lève" de Ken Loach sort en ce moment ; si quelqu'un l'a vu, la critique est bienvenue. |
Vassine |
![]() ![]() le genre de films pas pour moi ![]() |
Finimore |
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![]() lu sur http://www.ciao.fr/Cannibal_Holocaust__Avis_641494 « Cannibal Holocauste, un des scandales cinématographique est sorti il y a peut de temps en DVD. Réalisé par Ruggero Deodato l’histoire, nous fait suivre une bande de jeunes journalistes qui sont partis faire un reportage sur un tribut cannibale et qui n’en est pas revenue. On se retrouve donc à suivre l’expédition chargée de savoir ce qui c’est passé. La ou a débuté le scandale est la présentation du film, façon documentaire. On retrouvera se style dans le Projet Blair Witch, ou ce que l’on voit n’est autre que ce que les journalistes en question on filmé. Cannibal Holocauste est un film à l’ambiance malsaine et dérangeant considéré pendant un certain temps comme un « snuffmovie ». Ce qui a suscité de nombreuses critiques sur la véracité des scènes gores. Le réalisateur a même été un petit moment en prison. Bien sur il n’y a pas de mort humaine dans ce film, il s’agit d’un film d’horreur qui repousse les limites du supportable que les âmes sensibles doivent éviter absolument. Mais ce qui dérange aussi se sont les scènes horribles avec les animaux, car eux, (même si ils servaient de nourriture pour les indigènes) sont réellement tuées sous l’œil de la caméra. Mais on se doute bien en voyant le film que les acteurs on dû vivre un véritable calvaire et travailler dans des conditions vraiment inhumaines. "Cannibal holocaust" atteint vraiment les limites du supportable. Un film fortement déconseiller aux âmes sensibles ! En dehors du coté scandale du film, on assise a un film d’horreur qui comme certains (Zombie de Romero) nous présente une étude sur notre société, ou comment un groupe de jeune venant d’un monde dit civilisé, se prend pour des êtres supérieur face a un peuple dit primitif. On assiste ainsi a une évolution, une dégénérescence du comportement de nos « héros » qui deviennent de plus en plus insupportable et inhumains. On assiste ainsi à des scènes qui peuvent être choquantes comme le viol d’une jeune indigène ou les contemplatifs face à celle-ci empalée par ces congénères ou encore la terreur qu’ils infligent dans le village. On plonge ainsi petit a petit dans l’enfer d’une jungle amazonienne qui nous montre ce que peut être la vrai nature de ce qui se croient supérieur, on en viendrai presque a excuser les indigènes pour leur vengeance. Un film bien sur à voir, il reste un classique du cinéma d’horreur italien mais à éloigner pour les âmes sensibles. » En fait comme le rappel ce commentaire, le film Cannibal Holocaust fut à sa sortie en 1977 très controversé. Ce film fut interdit en Italie (pendant plusieurs années) et aussi dans d’autres pays. Des versions softs sont sortis. En dehors de l’aspect gore ce film aborde d’une manière sous jacente la question du voyeurisme des médias, du colonialisme, de la violence gratuite. Ce film est bien un film culte qui donna lieu par la suite à une vague d’autres films construits sur le même thème. Dans la foulée de Cannibal Holocaust fut aussi tourné Cannibal Ferox d’Umberto Lenzi. |
Vassine |
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KGB Shpion |
![]() - Carnet de voyage - Good bye lenin - Lénine en octobre (taduction littérale du titre russe - film soviétique datant de 1937 - super film ! ![]() - Le Bon, la Brute et le Truand (évidemment !) - La vita è bella - Tous les films avec Louis de Funès Côté humour, j'aime bien : - les Nuls - les Inconnus - Gad Elmaleh - Chevallier et Laspalès - Franck Dubosc - Danny Boon |
Xuan |
![]() Le film plaide pour le rapprochement des classes, mais le scénario plante un chirurgien du ravalement de bourgeoise dans un camping de prolos. Ca donne lieu à des scènes plutôt cocasses et si Dubosc se moque un peu des campeurs, il ne les fait pas passer pour des grosses nuques ou des deschiens ; ça change. Dubosc s'appelle Patrick Chirac dans le film. Quand on l'appelle au mégaphone, le chirurgien lui demande ; "t'as pas cherché à changer de nom" "et pourquoi ça serait moi !" |