ceci n\'est pas un club de rencontre, encore moins une tribune sur les avantages et défauts comparés de telle ou telle race.
Vous n\'êtes pas la bienvenue et je vous invite à chercher un autre forum.');">
@trishia :
ceci n'est pas un club de rencontre, encore moins une tribune sur les avantages et défauts comparés de telle ou telle race.
Vous n'êtes pas la bienvenue et je vous invite à chercher un autre forum.
| Injurieuse intolérance qui ne me surprend guère : je me souviens que, du temps de mon adolescence je fus maintes fois abordé par des membres des Jeunesses Communistes qui , du fait de mon appartenance raciale s'était mis en tête que je devais être concernée plus que quiconque par leur marxisto-marcusienne entreprise de destruction de la culture européenne ( il est d'ailleurs piquant de constater que ce sont les mêmes qui clament aujourd'hui , au mépris des plus élémentaire notions de biologie , que les races humaines n'existent pas Il était à peu près impossible de discuter avec ces personnes : elles n'écoutaient pas vraiment vos propos, et en fait n'avaient qu'un souci, c'était de vous réciter de gré ou de force leur argumentaire. Et si au bout de plusieurs fois _ où elles ne savaient, quoique vous leur objectiez, que répéter à l'envi ce même argumentaire _ vous ne vous rangiez pas à leur point de vue, elles devenaient subitement d'un mépris écrasant et recouraient à l'insulte ( je me suis personnellement faite traiter de "laquais de l'impérialisme de l'homme blanc" _ ou un truc comme ça _ par ... une Européenne de souche, et crois pouvoir affirmer que la pire insulte raciste proférée à mon encontre l'a été par une personne d'extrême-gauche! ) ; en bref, en tant que non-Blanche, j'avais non seulement le droit mais presque le devoir d'être raciste ... mais uniquement contre les Blancs, bien sûr! ) Des années plus tard, mais la haine en moins, je retrouvai le même monolithisme rhétorique chez un autre genre de personnes : les chrétiens. Quel que soit le sujet de conversation abordée, ils finissaient à un moment ou un autre par en venir à Dieu, et alors là c'était comme s'ils attendaient ça depuis le début : les vannes s'ouvraient et une logorrhée verbale s'abattait sur l'infortunée interlocutrice _ en l'occurrence moi _ qui en dépit d'expressives mimiques tant faciales que gestuelles n'arrivait pas à les interrompre tant qu'ils n'avaient pas fini de réciter leur apologie . Une question s'imposa très vite à mon esprit : comment les prosélytes de deux factions traditionnellement opposées _ les communistes et les chrétiens _ pouvaient-ils avoir si semblables procédés? Il me fallait, tout naturellement, trouver ce qu'il y avait en commun aux deux doctrines, puisque c'était ce seul élément qui pouvait provoquer pareille similitude. Ce n'est qu'en étudiant la seconde que je trouvai; plus précisément dans l'apologétique des premiers temps du chistianisme où est violemment critiqué le paganisme, ou plutôt, devrais-je dire, les paganismes, puisqu'il y en avait autant que de peuples, voire de régions : tout simplement, le christianisme comme le communisme étaient des doctrines universalistes, et leurs zélateurs considéraient que si elles étaient bonnes pour eux, elles l'étaient forcément pour tout le reste de l'humanité, qu'il fallait donc convertir dans les meilleurs délais. Le païen, qui tient pour sacrés les éléments de son entourage, ne peut être que tolérant : celui qui vit dans la forêt va adorer une source, un arbre, l'ours ou le sangler, et s'il lui arrive de devoir changer d'habitat et d'aller habiter, mettons , en bord de mer, il comprendra ipse facto que les gens d'ici adorent, eux, la mer, le vent, un type de poisson ; il s'adaptera donc tout naturellement aux moeurs locales en douceur, là où un chrétien n'aura de cesse de détruire les "idoles" et d''imposer sa religion par la force s'il le faut . Le paganisme qui est une religion locale ne peut être que conciliante, alors que toute doctrine universaliste, religieuse ou autre, a les plus grands chances de ne pouvoir être que coercitive, et ceci à l'aune des différences ethniques, raciales, entre celui qui la prône et le récipiendaire. Essayez donc de faire comprendre à un chrétien exalté que vous vivez fort bien sans l'aide d'aucun dieu! Il s'échinera à vous démontrer que non, à croire qu'il sait mieux que vous ce qui se passe dans votre tête! Pour lui, c'est tout simplement inconcevable, et il en va de même pour un militant politique, d'extrême-gauche ou d'extrême-droite je tiens à le préciser : si , pour s'en débarrasser, on finit par lui dire qu'on se trouve bien dans le monde tel qu'il est, on se fait presque insulter, traiter de vendue, de complice du système etc... : du moment que eux se sentent mal dans ce monde, on a les devoir de s'y sentir mal aussi, ou alors on n'est qu'un inconsciente, une égoïste, une âme égarée, et il faudra le payer un jour : tribunaux populaire et excommunication, même combat!de mon adolescence je fus maintes fois abordé par des membres des Jeunesses Communistes qui , du fait de mon appartenance raciale s'était mis en tête que je devais être concernée plus que quiconque par leur marxisto-marcusienne entreprise de destruction de la culture européenne ( il est d'ailleurs piquant de constater que ce sont les mêmes qui clament aujourd'hui , au mépris des plus élémentaire notions de biologie , que les races humaines n'existent pas Il était à peu près impossible de discuter avec ces personnes : elles n'écoutaient pas vraiment vos propos, et en fait n'avaient qu'un souci, c'était de vous réciter de gré ou de force leur argumentaire. Et si au bout de plusieurs fois _ où elles ne savaient, quoique vous leur objectiez, que répéter à l'envi ce même argumentaire _ vous ne vous rangiez pas à leur point de vue, elles devenaient subitement d'un mépris écrasant et recouraient à l'insulte ( je me suis personnellement faite traiter de "laquais de l'impérialisme de l'homme blanc" _ ou un truc comme ça _ par ... une Européenne de souche, et crois pouvoir affirmer que la pire insulte raciste proférée à mon encontre l'a été par une personne d'extrême-gauche! ) ; en bref, en tant que non-Blanche, j'avais non seulement le droit mais presque le devoir d'être raciste ... mais uniquement contre les Blancs, bien sûr! ) Des années plus tard, mais la haine en moins, je retrouvai le même monolithisme rhétorique chez un autre genre de personnes : les chrétiens. Quel que soit le sujet de conversation abordée, ils finissaient à un moment ou un autre par en venir à Dieu, et alors là c'était comme s'ils attendaient ça depuis le début : les vannes s'ouvraient et une logorrhée verbale s'abattait sur l'infortunée interlocutrice _ en l'occurrence moi _ qui en dépit d'expressives mimiques tant faciales que gestuelles n'arrivait pas à les interrompre tant qu'ils n'avaient pas fini de réciter leur apologie . Une question s'imposa très vite à mon esprit : comment les prosélytes de deux factions traditionnellement opposées _ les communistes et les chrétiens _ pouvaient-ils avoir si semblables procédés? Il me fallait, tout naturellement, trouver ce qu'il y avait en commun aux deux doctrines, puisque c'était ce seul élément qui pouvait provoquer pareille similitude. Ce n'est qu'en étudiant la seconde que je trouvai; plus précisément dans l'apologétique des premiers temps du chistianisme où est violemment critiqué le paganisme, ou plutôt, devrais-je dire, les paganismes, puisqu'il y en avait autant que de peuples, voire de régions : tout simplement, le christianisme comme le communisme étaient des doctrines universalistes, et leurs zélateurs considéraient que si elles étaient bonnes pour eux, elles l'étaient forcément pour tout le reste de l'humanité, qu'il fallait donc convertir dans les meilleurs délais. Le païen, qui tient pour sacrés les éléments de son entourage, ne peut être que tolérant : celui qui vit dans la forêt va adorer une source, un arbre, l'ours ou le sangler, et s'il lui arrive de devoir changer d'habitat et d'aller habiter, mettons , en bord de mer, il comprendra ipse facto que les gens d'ici adorent, eux, la mer, le vent, un type de poisson ; il s'adaptera donc tout naturellement aux moeurs locales en douceur, là où un chrétien n'aura de cesse de détruire les "idoles" et d''imposer sa religion par la force s'il le faut . Le paganisme qui est une religion locale ne peut être que conciliante, alors que toute doctrine universaliste, religieuse ou autre, a les plus grands chances de ne pouvoir être que coercitive, et ceci à l'aune des différences ethniques, raciales, entre celui qui la prône et le récipiendaire. Essayez donc de faire comprendre à un chrétien exalté que vous vivez fort bien sans l'aide d'aucun dieu! Il s'échinera à vous démontrer que non, à croire qu'il sait mieux que vous ce qui se passe dans votre tête! Pour lui, c'est tout simplement inconcevable, et il en va de même pour un militant politique, d'extrême-gauche ou d'extrême-droite je tiens à le préciser : si , pour s'en débarrasser, on finit par lui dire qu'on se trouve bien dans le monde tel qu'il est, on se fait presque insulter, traiter de vendue, de complice du système etc... : du moment que eux se sentent mal dans ce monde, on a les devoir de s'y sentir mal aussi, ou alors on n'est qu'un inconsciente, une égoïste, une âme égarée, et il faudra le payer un jour : tribunaux populaire et excommunication, même combat! |
|