Xuan |
Yobasta |
![]() c'est SolidaritéS qui injurie ses "partenaires", pas nous: http://209.85.129.132/search?q=cache:DJnY874BYbIJ:www.solidarites.ch/index.php%3Faction%3D2%26id%3D2083%26num%3D72%26db_version%3D2+Bient%C3%B4t+50%E2%80%99000+travailleurs+frontaliers+et+25%E2%80%99000+ch%C3%B4meurs,+%C3%A7a+suffit&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=ch [message supprimé] Edité le 25-02-2009 à 14:15:04 par Yobasta |
esteban |
Xuan |
![]() Ensuite tu peux exprimer ton point de vue. Mais tu seras plus convaincant à condition de l'argumenter. En particulier, j'ai remarqué que le site http://www.lescommunistes.org/ dont tu te réclames défend le principe des nationalisations dans le cadre du capitalisme monopoliste d'Etat: "Certes, il faut discuter des voies et des modalités de cette appropriation sociale des moyens de production, en particulier en rapport à la petite propriété privée (agriculteurs, PME). Mais il n’en reste pas moins que, face au grand capital, en particulier mondialisé, il semble inconcevable de ne pas, dans un premier temps au moins, se donner un programme de nationalisations ambitieux. C’est en particulier vrai dans le cas des secteurs-clés de l’économie, de l’industrie agro-alimentaire, des services et des banques. Certes, les nationalisations ne sont pas une fin en elles. Il ne s’agit pas de remplacer l’actionnariat privé par l’actionnariat public. Les nationalisations doivent permettre une participation populaire aux décisions économiques et la planification démocratique du développement économique et social. Mais si les nationalisations ne sont pas intrinsèquement progressistes, elles sont pourtant la condition de la démocratisation de l’économie que beaucoup appellent de leurs vœux sans y associer de revendications précises. La gauche défend courageusement les services publics existants. Mais pourquoi ne parle-t-elle jamais, ou presque, d’extension de ces derniers ? Ce n’est pas parce que la conjoncture nous est pour le moins défavorable qu’il faut se limiter à défendre des acquis. Bizarrement d’ailleurs, alors qu’Evo Morales en Bolivie et Hugo Chávez au Venezuela nationalisent, la gauche européenne, qui soutient d’ailleurs non sans enthousiasme les projets socialistes latino-américains, est d’une grande timidité sur cette question. Peur qu’on lui ressorte l’épouvantail soviétique ? Peur d’éventuelles connotations nationalistes liées au terme même de nationalisation ? Dérive réformiste sur fond de perte de repères idéologiques depuis la disparition de l’URSS ? Certainement un peu des trois. Et pourtant, au moment où les salaires des managers sont de plus en plus indécents, au moment où l’industrie agro-alimentaire cause des ravages écologiques et sociaux de plus en plus lourds, au moment où les licenciements se multiplient, l’appropriation sociale des grands moyens de production et d’échange devrait plus que jamais être à l’ordre du jour. Réhabilitions donc ce beau terme de nationalisation ! " Edité le 06-09-2008 à 15:15:29 par Xuan |
Yobasta |
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Xuan |
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Melestam |
![]() D'après ce que j'ai pu voir du PCG en lisant son journal "L'opium du peuple", tes critiques m'ont l'air tout à fait crédibles. ![]() |
Julien Lahaut |
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