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Xuan
Sur ce lien le texte de Lénine :Résumé de la science de la logique de Hegel
Xuan
Danielle Bleitrach a mis en ligne un long article Lénine lecteur de Hegel.
Je ne le reproduis pas ici, il est très long, parfois ardu. Il a le mérite de ne pas ramener Lénine à l'hégélianisme comme le faisait Plaristes ici, mais d'insister sur l'héritage de la dialectique dans le marxisme.

C'est un enseignement fondamental de la philosophie marxiste de révéler l'identité des contraires, autrement dit la division en deux opposés de chaque chose, et de voir dans les contradictions internes la cause fondamentale des transformations, dans la nature comme dans la société.

Le texte montre comment Lénine s'est plongé dans l'étude de Hegel après l'effondrement de la IIe Internationale compromise dans la boucherie de 14.
La fin de l'URSS constitue aussi un effondrement, tout comme celui de la gauche, c'est l'effondrement du révisionnisme.
C'est grâce à cette réflexion que Lénine a pu produire l'Etat et la révolution et l'impérialisme stade suprême .

Il est important de mesurer à quel point notre manière de penser est très souvent étrangère à la dialectique marxiste.
Pour la compréhension, j'avais commenté négativement un texte de Payet sur la Chine "Chine : le “nettoyage” de Shanghai, la fin de la bande de Jiang Zemin"
Mais en ajoutant :

"Oui, c’est une bonne chose de publier aussi les opinions des non communistes, voire des anti communistes. Après tout Trump a été une chance pour la Chine, c’est aussi grâce à lui si la ligne libérale dans le PCC a été laminée. Une chose se transforme en son contraire et tous les changements proviennent de la dualité des choses. Merci pour le texte sur Hegel, il est long et difficile mais il y aurait beaucoup à faire dans notre façon de voir, et de recopier le passé pour comprendre le présent, comme si la réalité était immuable".

Elle me répond :
"Il semble que le mot crise en chinois comporte à la fois le sens de danger et celui d’opportunité. Peut-être n’ont-ils pas besoin comme le disait Marx de passer par Hegel… Je l’ignore mais peut-être nous nous en avons besoin en tous les cas il faut effectivement se souvenir que l’on se baigne jamais deux fois dans le même fleuve et que c’est l’anatomie de l’homme qui explique celle du singe et non l’inverse. Pourtant la méditation sur l’histoire, les enseignements de cette science dont les faits ne se renouvellent jamais est indispensable à l’exercice du pouvoir pour l’élite dirigeante et plus encore pour les masses conscientes".

________________


Le lecteur dont il est question est Imbert Olivier, son commentaire se trouve dans Lénine lecteur de Hegel .

Le Plus difficile est l’essentiel

DANIELLE BLEITRACH 1 DÉCEMBRE 2020

https://histoireetsociete.com/2020/12/01/le-plus-difficile-est-lessentiel/

A la suite du texte sur Lénine et Hegel, j’ai répondu à un lecteur, ce qui ‘a permis d’exposer la ligne directrice de ce blog. Le capitalisme dit pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué… les communistes se creusent la tête pour rendre la complexité compréhensible du plus grand nombre sans pour autant masquer la multiplicité des causes et de ce qu’il faut affronter… Face à la manière dont le capitalisme rend compliqué pour masquer sa responsabilité, le peuple peut tomber dans le complot et chercher des simplifications abusives, des boucs émissaires, mais les communistes doivent aller à l’essentiel. Question quel est l’essentiel sinon ce qui crée le mouvement : la lutte des classes. à partir de là on doit voir toute la réalité, la penser dans la multiplicité de ce qui influence la conscience des êtres humains, repenser stratégies et tactiques, possibles et nécessaires, etc… .

je’ n’étais pas nécessairement d’accord avec le texte, le parti choisi, proche de Rosa Luxembourg… Il m’arrive souvent de publier des textes avec lesquels je ne suis pas en accord total mais qui apportent des faits et donnent matière à réflexion. Quelquefois le lien est malaisé au premier abord, ainsi en est-il de la référence à des romans, à des films.

Ce que j’apprécie particulièrement dans le débat ici c’est la volonté d’approfondissement et d’élucidation sur tout quand le texte ose comme ici poser une question complexe…Je vous renvoie à ce que j’ai exposé dans un autre texte consacré à la lutte contre la pauvreté en Chine, la difficulté à comprendre la politique chinoise… Et les deux réflexions que m’avait faites Risquet qui allait en Chine discuter avec les communistes chinois au nom du gouvernement cubain, puisqu’il était moitié chinois (1/8e africain et le reste espagnol comme la plupart des cubains):

– PREMIERE REMARQUE : il y a une question simple que l’on peut partager sans problème avec tous : la nécessité de nourrir un milliard trois cent mille chinois tout en réalisant l’accumulation primitive à partir d’un pays qui en 1949 a le niveau du zimbawe, le faire sans faire la guerre à d’autres peuples pour les piller, le faire en tentant néanmoins d’éduquer, de soigner, toute chose dont on ne peut faire abstraction sauf en imagination.

A partir de là retournons à Lénine et au texte et ce qu’il nous aide à percevoir. Je fais un parallèle entre ce que Lénine retire de l’échec de l’internationale socialiste qui a accepté la guerre. et le fait que les Chinois pensent à partir de l’échec de l’URSS. A l’inverse de l’affirmation de Rémy Herrera et d’autres chercheurs, pour moi cet échec est tout relatif même s’il produit un séisme dans le mouvement communiste international et au-delà (pour l’Afrique, l’Amérique latine en proie à l’assaut des multinationales c’est une catastrophe que je décris dans mes mémoires en décrivant le Bénin, j’appelle ça un effondrement psychotique).

Pourtant, l’échec est relatif, parce que sans l’URSS rien n’aurait été possible: la démonstration a été faite pendant 70 ans de la capacité par la classe ouvrière de tenir un pouvoir que la Commune de Paris n’avait tenu que 70 jours (Lénine se fait ensevelir dans un drapeau de la Commune de Paris). Ensuite, en 1815, au retour des rois, la révolution française paraissait un échec (la terreur et les assignats), on ne peut pas juger de l’histoire en dehors de la période dans laquelle intervient notre jugement. Et comme la révolution française, il faut mesurer que son impact est national mais beaucoup plus large y compris en France en matière de “conquis sociaux”, de luttes de libération nationale et même des formes d’émancipation individuelle.

Mais partons de l’article sur Lénine et le retour à Hegel,: Lénine part d’un double échec, celui de la faillite de l’internationale face à la guerre, l’horreur de celle-ci et la disqualification de la social démocratie, mais il y a l’autre échec celui affronté par Marx, celui de la Commune de Paris. Pour Marx ce sera le début d’une nouvelle réflexion politique, sur la nécessité de la dictature du prolétariat . Pour Marx comme pour Lénine la réflexion porte alors sur la “dictature du prolétariat”, comme la terreur a été la dictature de la bourgeoisie rassemblant les masses pour abolir la féodalité. IL repart vers Hegel, vers l’histoire consciente, comme Rosa Luxembourg.

Mais l’article que j’ai publié sur Lénine et Hegel, selon moi, tire trop sa démonstration de Lénine vers Rosa Luxembourg. celle-ci veut plus de démocratie et sera victime des corps francs, ceux de la trahison d’Ebert, par idéalisme ? Alors que Lénine envisage et met en oeuvre une autre démocratie, dictature du prolétariat, concept emprunté à Marx à partir de l’expérience de la commune de Paris, avec le rôle d’un parti- Etat.

La Chine, de même tente sa propre voie à partir des acquis et des erreurs de l’URSS. La Révolution chinoise, comme toutes les révolutions réussies est léniniste c’est-à-dire que le rôle du parti qui tient le pouvoir politique, transforme la nature du marché est essentiel.

Mais tenir la bête sauvage, des intérêts particuliers de la société civile (c’est l’expression consacrée de Hegel)en particulier dans sa forme financiarisée n’a rien d’évident et je n’ai pas les mêmes certitudes que Xuan quant à la réussite, même si je partage totalement l’analyse qu’il fait de qui est Payette. Quand on voit les enjeux financiers et technologiques, le rôle des multinationales financiarisées, on mesure que peu d’Etat sont assez forts pour résister à une telle pression. Le développement des forces productives crée les possibles et les nécessités, mais la domination du capital en fait sa chose y compris politique contre les travailleurs. C’est la dualité, la contradiction est elle évolue depuis Lénine.

DEUXIEME REMARQUE : là il y a la deuxième réflexion de Risquet, il me dit souvent que le capital veut manipuler les masses, les éloigner de la compréhension, il doit donc rendre les choses simples compliquées, alors que les communistes qui doivent s’appuyer sur les masses doivent rendre simples des choses complexes avec de multiples déterminations.

Ma question est que je ne sais pas ce qu’il en est du parti communiste chinois, je vois bien qu’il y a une nouvelle phase, mais jusqu’où a-t-elle pénétré? C’est une question générale pour tous les partis communistes et en particulier pour le PCF que cette coupure avec la classe ouvrière, les couches populaires, les rôle des couches moyennes… La lutte au sein des directions ne s’appuie pas sur une conscience des militants devenus simples adhérents, désorganisés, sous formés… Ce blog avec d’autres qui aujourd’hui se multiplient s’est donné pour but de favoriser cette formation en apportant des faits, mais aussi d’aider à la réflexion en tentant de comprendre des faits complexes mais aussi de dégager l’essentiel, ce qui n’a rien d’évident parce que justement l’essentiel c’est l’intervention consciente et là il faut faire avec ce qu’on a.

Le problème est devant nous il est dans l’articulation entre avant-garde et masses surtout si la puissance dominante de la financiarisation reste les USA.

Danielle Bleitrach
Xuan
Un article intéressant de Danielle Bleitrach sur le découplage entre le bouleversement mondial en cours et sa représentation idéologique.
Ce sujet peut en embrasser pas mal d'autres, comme le populisme agrippé comme une moule au rocher d'une économie condamnée, ou en miroir la théorie néo trotskiste aveugle à la division du monde en deux.


La profondeur d’un ébranlement… jusqu’à l’anomie…

DANIELLE BLEITRACH 19 NOVEMBRE 2020

https://histoireetsociete.com/2020/11/19/la-profondeur-dun-ebranlement-jusqua-lanomie/

Ce qui me frappe est la manière dont chacun tente d’agir comme il l’a toujours fait tout en se heurtant au fait que c’est impossible, et en retire une hostilité grandissante, une incapacité accrue à être ensemble. L’épidémie joue un grand rôle, mais avec raison tout le monde sait qu’elle n’est que le révélateur d’une accélération d’une situation antérieure.

A ce constat, je voudrais ajouter une remarque, une plongée dans l’histoire : d’abord il faut repenser historiquement le rôle des épidémies.

Celles qui ont dévasté l’humanité au cours des siècles et qui ont entrainé des saignées humaines d’une toute autre ampleur comme la peste ont abouti à une accélération de la transformation des structures sociales déjà à l’œuvre avant l’épidémie, par exemple la fin de toute forme de servage ou d’esclavage lié à la terre. La population s’était raréfiée, les terres étaient abondantes.

Cette fin de l’hégémonie occidentale, d’abord celle de nations comme la France, la Grande Bretagne puis leur rejeton, les USA, le temps de ce qu’on a appelé le multilatéralisme, mais qui recouvre bien d’autres tendances comme le passage au numérique, les nouvelles relations sud-sud, les formidables inégalités, etc… pour ne citer que le plus visible, est à l’œuvre depuis très longtemps comme une conséquence de l’étape néolibérale capitaliste… L’épidémie met à jour l’impossibilité de poursuivre et le fait que ce qui se joue est la survie de l’humanité, chacun le ressent à titre individuel et perçoit sa solitude.

Ce qui se passe en Asie, mais aussi d’une manière plus confuse dans le reste de ce qu’on a appelé le Tiers monde, la manière dont ces sociétés réagissent par rapport à ce qui a été la suprématie occidentale doit nous alerter sur l’importance de cette phase nouvelle de l’histoire de l’humanité.

Il est évident que nos sociétés occidentales basées sur la concurrence et l’individualisme forcené, l’absence totale de solidarité entre les groupements sociaux, entre les âges, sont arrivées aux limites de leur survie face aux défis de notre temps.

C’est le capitalisme, le marché mais c’est aussi cette forme de capitalisme et de marché qui a poussé jusqu’à l’anarchie cette logique, là où impérialisme se confond avec une logique impériale, celle où sont imposés par le glaive et l’épée des valeurs, des modes de vie qui violent les traditions et accompagnent le pillage. Faute d’une expansion la désagrégation touche l’empire lui-même…

Au sein même de l’empire, en l’occurrence les sociétés occidentales, il y a peu de forces, pratiquement pas d’organisation en état de résister à la poussée. On mesure bien que ce qui résiste appartient à un stade antérieur, c’est particulièrement frappant dans les sociétés qui ont connu le socialisme comme l’ex-URSS et qui ne cessent de méditer sur leur propre état de désagrégation et leur possible résistance.

En ce sens, ce monde-là qui a connu les débuts du socialisme en a affronté les terribles luttes externes mais aussi internes pour rompre avec le capitalisme n’est pas éloigné de ceux qui tentent de poursuivre dans la voie socialiste. La Chine comme le Vietnam et Cuba non seulement savent qu’ils sont nés de cette première tentative qui a duré 60 ans et qu’ils doivent aussi tirer bilan des réussites comme des échecs. Chine et Vietnam ont compris que seule une avant-garde peut subir le choc mais qu’ils doivent assurer aux autres un progrès, un accès aux biens matériels, mais tous sont désormais conscients de la nature du combat et ils découvrent combien celui-ci devient encore plus compliqué quand la bête est blessée, jusqu’où ce cadavre en décomposition peut encore aller et entrainer dans sa chute ceux qu’il a durablement marqués. La Chine poursuit l’ouverture tout en luttant à chaque moment, comme face à l’épidémie, contre les facteurs de désagrégation que le capitalisme, le marché introduisent en lui, dans sa jeunesse en particulier. On ne peut qu’être frappé par la manière dont Cuba, confronté à l’épidémie, obligé à renoncer à la manne du tourisme, vit des moments extraordinairement difficile mais le fait avec une sorte de recentrage sur les valeurs d’un communisme de guerre qui lui permettent de se ressourcer alors même qu’ils sont persuadés que le combat va durer, que l’ouverture est nécessaire.

Pour expliquer le phénomène essentiellement social tel que je le perçois, il y a bien sûr l’analyse de Marx sur le développement de la contradiction entre forces productives et rapports de production, le moment où les premières ne peuvent plus se développer à l’intérieur des rapports sociaux existants et comment s’en suit un ébranlement structurel qui transmet une sorte d’onde de choc à toute la superstructure, représentations, institutions, culture, etc… y compris la manière dont les êtres humains perçoivent leur identité.

Mais il y a également un autre concept sociologique qui traduit bien l’état de cet ébranlement, celui d’anomie; je vous renvoie ici à la définition qu’en donne l’Encyclopedia universalis. C’est une assez bonne description de ce moment où la contradiction entre structure (forces productives et rapports de production) est arrivé à un tel niveau que toute la superstructure subit un ébranlement, plus rien ne tient dans ce qui guidait jusqu’ici les conduites et les aspirations.

Le concept d’anomie forgé par Durkheim est un des plus importants de la théorie sociologique. Il caractérise la situation où se trouvent les individus lorsque les règles sociales qui guident leurs conduites et leurs aspirations perdent leur pouvoir, sont incompatibles entre elles ou lorsque, minées par les changements sociaux, elles doivent céder la place à d’autres. Durkheim a montré que l’affaiblissement des règles imposées par la société aux individus a pour conséquence d’augmenter l’insatisfaction et, comme diront plus tard Thomas et Znaniecki, la « démoralisation » de l’individu. De cette démoralisation, Durkheim voit le signe dans l’augmentation du taux des suicides. En effet, le suicide « anomique », qui vient de ce que l’activité des hommes est déréglée et de ce qu’ils en souffrent, a tendance à se multiplier en période de crise politique ou de boom économique. De même, il devient plus fréquent là où les mariages étant plus fragiles l’homme est apparemment plus libéré des contraintes morales. Le concept durkheimien d’anomie a fait l’objet de réflexions et de recherches de la part des sociologues contemporains, comme Merton et Parsons. Mais le développement le plus intéressant, quoique plus ancien, de la théorie de l’anomie se trouve peut-être dans les travaux de Thomas et Znaniecki sur les effets de la transplantation sociale. Dans leurs études sur les immigrants polonais aux États-Unis, les auteurs ont montré que la transplantation provoquait une « désorganisation sociale » des familles et, corrélativement, une démoralisation des individus, qui mènent une existence dépourvue de but et de signification apparente. La théorie de l’anomie paraît d’importance fondamentale à une époque qui, comme la nôtre, est caractérisée par des changements rapides. En effet, le changement implique le vieillissement des règles de conduite traditionnelles en même temps que l’existence, dans les phases de transition, de systèmes de règles mal établies ou contradictoires.

Quand on voit l’état de la société française parmi d’autres sociétés occidentales, les folies irrationnelles, les rumeurs, l’absence grandissante de solidarité entre les différentes composantes de la société, l’incapacité des organisations, la nature du débat politique, l’autodestruction, on ne peut s’empêcher de penser à ces descriptions basiques de la sociologie.

Danielle Bleitrach

L’Afrique dont j’introduis ici un des chanteurs contestataires, est le seul continent qui connait une poussée démographique, elle est notre jeunesse à nous l’humanité. Son état traduit bien les contradictions de la situation face auxquelles sont confrontées les nouvelles générations, entre soif du consumérisme et discours sur le retour à la tradition, entre misère et ressources pillées, entre privation de nouvelles technologies et possession des ressources indispensables à leur mise en oeuvre, entre désorganisation, rébellion, immigration et discours identitaire… Conscience de l’injustice mais difficulté à y faire face… illusion et potentialité. Quand est-ce que nous les verrons comme l’ensemble de cette jeunesse profondément corrompue et en proie à toutes les destructions mais aussi à un puissant désir de vivre? Un des problèmes est que la génération qui reste à la tête de ce qui est encore organisé est -elle même le produit d’une sorte d’âge d’or qui ne les a pas préparé à ce qui se passe aujourd’hui. Elle est le produit d’un temps qui a été celui de l’URSS et qui a imposé au capitalisme une régulation. Celle-ci a disparu avec l’effondrement et la mondialisation néolibérale a produit un cataclysme auquel personne n’est préparé du moins dans nos sociétés occidentales.

ils ont partage le monde, plus rien de m'étonne
 
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