| Krampon a écrit :
Mais après la période de réaction violente, si la révolution a survécu, il arrive une période de stabilité ou le régime est bien en place. La seule menace encore réelle, c'est la menace extérieure : l'invasion d'une armée étrangère. Mais il n'y a plus de menace intérieure . Pourquoi, dans ses conditions, reprimer la liberté de penser ? Dans l'URSS d'après guerre, ou d'avant la guerre, quelle menace intérieure subsistait ? Y'avait t-il vraiment un groupe social qui risquait de renverser le régime ? Bien sûr que non. |
Totalement en désaccord avec toi !!! Ta conception et ta vision politique des menaces intérieures est simpliste. Tu ignores complètement l'enseignement que la lutte de classes se poursuit sous le socialisme. Tu parles d'une " période de stabilité ou le régime est bien en place " -ignorance de la situation et des luttes sous le socialisme- Tu dis " La seule menace encore réelle, c'est la menace extérieure : l'invasion d'une armée étrangère. " -c'est faux !!!- Tu dis " Mais il n'y a plus de menace intérieure . Pourquoi, dans ses conditions, reprimer la liberté de penser ? " -c'est toi qui affirme qu'il n'y a plus de menaces intérieures, mais là encore c'est totatlement faux !!! Bien au contraire les menaces internes sont à prendre au sérieux, c'est aussi une des leçons de la dégénérescence de l'URSS avec le phénomène du révisionnisme moderne.- Ce que tu dis Krampon, est tout-à-fait dans la logique du P"C"F, qui met en avant "l'absence de démocratie" pour expliquer l'effondrement des pays socialistes, et ignore totalement les phénomènes internes et la lutte des classes sous le socialisme. Finimore |
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