Ensuite l\'ère coloniale est close et nous sommes au stade de l\'impérialisme et de l\'hégémonisme US.
La zone CFA est remise en question récemment, par exemple en Guinée équatoriale et dans 15 états d\'Afrique de l\'Ouest.
[url]https://fr.sputniknews.com/afrique/201904181040803057-sortie-franc-cfa-impact-france/[/url]
[url]https://afrique.latribune.fr/economie/strategies/2019-06-05/reforme-monetaire-que-faire-du-franc-cfa-819429.html[/url]');"> Je te rappelle que le sujet que tu as ouvert concerne l'Italie.
Ensuite l'ère coloniale est close et nous sommes au stade de l'impérialisme et de l'hégémonisme US.
La zone CFA est remise en question récemment, par exemple en Guinée équatoriale et dans 15 états d'Afrique de l'Ouest.
https://fr.sputniknews.com/afrique/201904181040803057-sortie-franc-cfa-impact-france/
https://afrique.latribune.fr/economie/strategies/2019-06-05/reforme-monetaire-que-faire-du-franc-cfa-819429.html
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Xuan |
![]() Voir cet article dans le feuille réactionnaire l'Opinion : Rivalité transalpine La Libye, arène de l’affrontement entre la France et l’Italie Pascal Airault Pascal Airault 15 avril 2019 à 06h00 Les deux puissances européennes n’ont jamais cessé d’étaler leurs divergences depuis la campagne pour destituer Moummar Kadhafi en 2011 Entre Rome et Paris, le torchon brûle à chaque nouvelle éruption de violences en Libye. Les deux voisins étalent leurs divergences dans les réunions à huis clos de l’Union européenne. L’avènement au pouvoir du Mouvement cinq étoiles et de la Ligue a même durci les joutes verbales. A l’issue de la réunion du G7, le 4 avril à Paris, le ministre de l’intérieur italien, Matteo Salvini, a reproché à « un certain pays » de soutenir l’attaque du maréchal Haftar pour assouvir ses intérêts économiques. Une pique adressée à la France ensuite accusée d’avoir bloqué un communiqué de l’UE condamnant l’offensive de l’officier. Finalement, Federica Mogherini, haute représentante de l’UE pour les affaires étrangères, a diffusé jeudi le texte appelant « toutes les parties à cesser immédiatement toutes les opérations » et demandant le retrait de l’ANL et de toutes les forces ayant convergé vers Tripoli. Mais, selon Rome, le nom du maréchal a été supprimé du communiqué final. Paris nie avoir bloqué le texte mais reconnaît avoir insisté pour l’ajout « des groupes et personnes sous sanctions des Nations unies » pour activités terroristes. La France et l’Italie se fâchent sur le dossier libyen depuis l’intervention de l’Otan en 2011, décidée après un lobbying assidu de Nicolas Sarkozy. A l’époque, Silvio Berlusconi avait soutenu à contrecœur la demande d’intervention française pour ne pas se retrouver marginalisé, la Grande Bretagne et les Etats-Unis y participant tandis que le Chine et la Russie n’opposaient pas leur véto au Conseil de sécurité. Pourtant, le président du Conseil italien avait fait de Mouammar Kadhafi, un rempart contre l’immigration. Et la major italienne Eni était la principale exploitante de son pétrole. Depuis le renversement du guide libyen, Rome reproche régulièrement aux Français et aux Américains de ne pas avoir réalisé le « service après-vente » afin de stabiliser le pays. Premier touché par la vague migratoire, le gouvernement italien déplore aussi le manque de solidarité européen pour accueillir les migrants venus de Libye. Il dénonce encore le soutien politique et militaire apporté par la France au maréchal Haftar. Pourtant, les Italiens se sont rapprochés du patron de la Cyrénaïque ces derniers mois afin de ne pas hypothéquer un avenir incertain... La France, de son côté, a fait la démarche inverse. Bien que plus impliquée aux côtés des forces de Khalifa Haftar, elle mise aussi sur le gouvernement d’union nationale. Le service action de la DGSE appuie discrètement le maréchal quand le Commandement des opérations spéciales (COS, forces spéciales) forme des soldats à la demande du gouvernement Sarraj. « Heureusement que nous ne mettons tous les œufs dans le même panier dans ce bourbier », justifie un diplomate français. Paris n’est pas exemple de critiques envers son voisin transalpin, accusé d’utiliser des fonds européens pour appuyer des ONG, étant le faux nez de milices (notamment celles de Misrata), en échange d’un verrouillage des côtes libyennes. Un deal monté par l’ex ministre de l’Intérieur, Marco Minniti. « La France et l’Italie sont trop partisans dans ce conflit et ont perdu tout crédit pour jouer les intermédiaires entre les forces belligérantes », explique un analyste qui voit un vieux différend colonial resurgir à la surface. Durant la seconde guerre mondiale, les Forces françaises libres (FFL) avaient pris à la barbe du colon italien la région du Fezzan avant de conserver ce territoire lors d’un partage du pays avec les Britanniques, en 1943. Le Fezzan est donc bien une vielle obsession militaire française qu’elle voit comme le prolongement de sa zone d’influence sahélienne au Tchad et au Niger. Edité le 05-08-2019 à 00:01:12 par Xuan |
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![]() En matière d'empire l'Italie s'est surtout opposée au diktat français qui a refusé l'accueil des réfugiés. |
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