Il n\'y a pas 300 millions de [i]gros porcs[/i] aux USA, parce que si on comptabilise tous les peuples des pays impérialistes comme des [i]gros porcs[/i], je suis désolé de t\'informer que tu en fais partie !');">
marquetalia a écrit :
et ces gros porcs de ricains
Il n'y a pas 300 millions de gros porcs aux USA, parce que si on comptabilise tous les peuples des pays impérialistes comme des gros porcs , je suis désolé de t'informer que tu en fais partie !
marquetalia |
Xuan |
![]() L’empire du goulag levant (ex-USA) en 10 chiffres qui décoiffent… Etats-Unis les 10 chiffres qui disent tout D’après Michel Collon et Yace Le 7 Novembre 2012 url de l’article (avec dessins): http://www.michelcollon.info/USA-10-chiffres-qui-disent-tout.html?lang=fr 1- Salaires – 25% : Depuis 1990, les salaires ont fortement baissé, jusqu’à -25% pour les travailleurs non qualifiés et – 8% sous Obama où même en cumulant 3 ou 4 petits boulots on reste un “working poor” (un travailleur pauvre). Baisser les salaires a t’il favorisé l’emploi comme promis ? 2- Chômage à 20% , camouflé par les statistiques officielles, le chômage atteint en réalité plus de 20% et plus du double chez les non-blancs. Tout le monde s’est-il serré la ceinture ? 3- Bénéfices des sociétés: 2 000 milliards de dollars et pourtant l’impôt sur les sociétés a atteint son plus bas niveau depuis plus de 40 ans. Les bénéfices 2012 atteindront un record sans précédent. Qui a donc bénéficié de cette hausse des profits ? 4- 1% de super-riches : en 1970 un PDG gagnait 40 fois le salaire d’un ouvrier. Aujourd’hui: 1000 fois plus. Au pays des inégalités extrêmes, 1% des super-riches encaissent 25% des revenus et possèdent 35% des richesses. Qui paie cet accroissement de la richesse ? 5- 100 millions de pauvres : 1 citoyen sur 3 est pauvre, 97 millions de bas revenus et 46 millions d’extrêmement pauvres, dont 22 millions d’enfants, en hausse constante depuis 1980. D’où vient cette hausse de la pauvreté ? 6- Licenciements: 8 millions . En 2008-2009, 8 millions de personnes ont perdu leur emploi. Quand une multinationale annonce un plan de licenciement, ses actions grimpent à Wall Street. C’est ce qu’on appelle “être un bon capitaliste”. Ce carnage social sauve t’il l’économie ? 7- Dette: 350% du PIB . Les Etats-Unis sont un pays en faillite. Si on cumule la dette de l’état, celle des entreprises et celle des ménages, on atteint 350% du PIB (production totale en un an)… Une bombe à retardement. Comment les multinationales se sortent-elles de cette impasse ? 8- 4 millions de personnes ont perdu leur maison : suite à la spéculation immobilière des banques cupides, 4 millions de personnes ont été chassées de leur maison. Il y en aura 900 000 de plus en 2013. A quoi est utilisé tout cet argent perdu par les uns et gagné par les autres ? 9- La guerre en Irak : 3000 milliards de dollars: donner à manger à tous les humains de la planète coûterait 35 milliards de dollars par an. C’est ce que l’armée américaine dépense en deux semaines !… Les citoyens ont-ils leur mot à dire ? 10- La campagne électorale: 5,8 milliards de dollars dont 77% viennent directement de “big business”: banques, pétrole, armement, technologies… Les multinationales financent deux candidats dociles pour que rien ne change jamais. Qu’allons-nous faire ? Réponse : Qu’allons-nous faire ? Une question d’autant plus grave que l’Union Européenne veut coûte que coûte nous imposer un copié – collé de cette politique antisociale des USA ! Le problème n’est pas « Quel président ? » On se dit souvent qu’avec le « moins mauvais », on échappera au pire. Non, car le « moins mauvais » est en fait le plus intelligent pour emballer et vendre la même marchandise. Le problème est plutôt : « Comment résister à la politique impériale des USA ? » Et pour ça il nous faut : analyser l’économie pour comprendre le lien entre la politique antisociale et le militarisme, décoder les mécanismes de pillage des ressources et de contrôle de la planète, repérer les procédés de la guerre globale dans ses formes diverses. Et les procédés de désinformation qui nous cachent tous ces enjeux. Ainsi, on pourra unir et renforcer les résistances diverses qui se développent dans le monde. La colère monte partout, il nous faut présenter une vraie alternative… http://resistance71.wordpress.com/ |
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Xuan |
![]() ANESTHÉSIÉ OU À FROID – ROMNEY OU OBAMA ? [email]robertbibeau@hotmail.com[/email] 7.11.2012 source Si Romney avait été président , à n’en pas douter, le traitement aurait été diligent pour le patient, avec le risque que l’éclopé, non anesthésié, réagisse méchamment sur la table d’opération et se révolte avant que d’être asphyxié. Obama président , c’est différent, le patient chloroformé – anesthésié – subira l’ablation de son porte-monnaie sans trop souffrir; il suffira de bien le contrôler au moment de s’éveiller. Il y a effectivement des différences cosmétiques et politiques entre le parti Démocrate et le parti Républicain. La faction Démocrate représente les capitalistes monopolistes industriels, le secteur des technologies nouvelles et la bureaucratie syndicale collaboratrice, alors que la faction Républicaine représente les pétroliers, les banquiers, les capitalistes financiers et les sectes hystériques du «Bible Belt»; tandis que les mafieux et les bandes criminelles se répartissant équitablement entre les deux formations. Les Républicains pensent qu’il faut commencer par matraquer les ouvriers et les citoyens lambda, puis les assommer de propagande terrifiante à propos de la sécurité et de tous ces dangers suite aux crimes de guerre de l’armée américaine que les frères des assassinés souhaitent venger. Les Démocrates préfèrent apaiser l’ouvrier, et lui présenter de multiples considérations compliquées, puis le chloroformer de promesses et de publicité, et à la fin seulement matraquer ceux qui restent révoltés. L’élection de Romney aurait certainement soulevé inutilement les bobos indignés – vexés de ne pas être écoutés démocratiquement-futilement. Aucun doute que l’industrie de la pétition en série aurait fait de bonnes affaires. Des millions de bobos auraient barbouillé des dizaines de pétitions sur la violence faite aux canins, sur les aérosols et le pergélisol, sur la pollution par le son et les ions, sur la barbe du père Noël ainsi que pour exiger que la pauvreté soit stigmatisée (pétitions réellement observées sur le site mondial des pétitions). Quelques agités se seraient fièrement retrouvés au journal télévisé pour dénoncer les riches affamés de profits et pour les supplier de plus d’altérité. L’élection d’Obama ne règlera rien mais elle calmera tout cela et dans quatre ans les experts patentés, les analystes sous-fifres et les thuriféraires déjantés viendront admettre en pleurnichant que finalement la Révolution Obama n’aura pas eu lieu ni au premier ni au second mandat. L’Amérique est en panne, elle vit en léthargie et son système économico-social ne sait plus progresser. Exit la prospérité et le refrain du rêve américain! Finalement, les ouvriers lucides n’ont pas voté. Laissés pour compte, désœuvrés, attendant d’être employés – usés – exploités – puis mis aux rebuts, ils ont refusé d’être complices de leurs sévices. Le vrai gagnant est aux abonnés absents. Il a recueilli plus de 40 % des non-suffrages populaires (85 millions-abstentions), à travers les abstentions de gens ordinaires qui n’ont plus rien à perdre, même pas leurs illusions « démocratiques » et qui attendent patiemment que sonne le signal du soulèvement général des travailleurs salariés – sous-payés – des opprimés des sweat shops mal rémunérés, des maltraités de la restauration rapide et des grandes surfaces de distribution, des pressurés du tertiaire hypertrophié et des estropiés du secteur industriel comprimé et délocalisé. Sous Obama, les milliardaires vont engraisser, ils l’auraient fait également sous Romney. Sous Obama, la dette souveraine va s’envoler, elle aurait gonflé tout autant sous Romney . Pendant quatre années Obama devra gérer la descente aux enfers d’un empire en déclin – une crise sur laquelle le gouvernement américain – Démocrate ou Républicain – n’a aucun pouvoir souverain. Le prolétariat étatsunien le sait bien. Ce qu’il sait moins, c’est que lui seul possède la solution à cette gabegie. Quand il l’aura compris, c’en sera fini du mépris, à la condition que d’ici là il s’organise en tant que classe dominante pour exproprier le pouvoir politique des capitalistes. Edité le 07-11-2012 à 18:38:11 par Xuan |