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"Les temples du comté de Qinghai doivent arrêter les leçons illégales de tibétain"
Voir [url]http://humaniterouge.alloforum.com/theocrates-tibetains-sement-vent-t2645-7.html#p60327[/url]
Ou l\'article de Global Times [url]http://www.globaltimes.cn/content/1137742.shtml[/url]
(faire la traduction automatique anglais- français google).
Comme on peut le constater les langues régionales peuvent toujours constituer un vecteur de séparatisme à combattre, sans pour autant qu\'il faille interdire l\'étude de ces langues, mais dans des conditions compatibles avec l\'Etat de droit socialiste.[/citation]c est plus complexe que cà,jetons un regard sur les langues amérindiennes aussi bien d Amérique du Nord que d Amérique Latine,qui risquent pour certaines de disparaitre.');">
Xuan a écrit :
Sur les langues régionales un exemple de Chine Populaire concernant l'enseignement officiel du tibétain et les tentatives de propagande de certains temples
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"Les temples du comté de Qinghai doivent arrêter les leçons illégales de tibétain"
Voir http://humaniterouge.alloforum.com/theocrates-tibetains-sement-vent-t2645-7.html#p60327
Ou l'article de Global Times http://www.globaltimes.cn/content/1137742.shtml
(faire la traduction automatique anglais- français google).
Comme on peut le constater les langues régionales peuvent toujours constituer un vecteur de séparatisme à combattre, sans pour autant qu'il faille interdire l'étude de ces langues, mais dans des conditions compatibles avec l'Etat de droit socialiste.
Edité le 03-02-2019 à 17:13:05 par marquetalia
Xuan |
![]() : "Les temples du comté de Qinghai doivent arrêter les leçons illégales de tibétain" Voir http://humaniterouge.alloforum.com/theocrates-tibetains-sement-vent-t2645-7.html#p60327 Ou l'article de Global Times http://www.globaltimes.cn/content/1137742.shtml (faire la traduction automatique anglais- français google). Comme on peut le constater les langues régionales peuvent toujours constituer un vecteur de séparatisme à combattre, sans pour autant qu'il faille interdire l'étude de ces langues, mais dans des conditions compatibles avec l'Etat de droit socialiste. Edité le 31-01-2019 à 23:02:15 par Xuan |
Xuan |
pzorba75 |
Xuan |
pzorba75 |
Xuan |
pzorba75 |
Xuan |
![]() D’abord je parle de préserver ces langues dans une société socialiste et non de leur utilisation à des fins réactionnaires d'ailleurs condamnées par l'évolution historique. Ce que font les exploiteurs avec leurs rejetons n'a aucun intérêt et n'indique rien sur ce que nous devons faire des langues régionales. Les intentions des européistes ou des fanas du franglais, et leur fausse sympathie pour les langues régionales n'indiquent rien non plus sur ce qu’il faut en faire, mais seulement qu’ils ne font pas ce qu’ils disent. Que des bourgeois mettent la main sur l'enseignement du languedocien ne justifie pas de brûler les textes des Félibres. Il y a dans cette langue des trésors du parler populaire, des expressions vivantes liées au travail des champs et à l’artisanat. L'utilisation qui est en faite n'invalide pas ces richesses du langage et le progrès ne consiste pas à couper ses racines. Au nom du progrès on ne va pas détruire les charrettes à bras, qui ne seront plus jamais utilisées, ni les murs à colombage parce qu’on se sert du béton précontraint ; il est indispensable de préserver ce témoignage des modes de production et des sociétés antérieures. Comme on ne détruit pas les châteaux au prétexte que les féodaux s'y sont prélassés quand le peuple vivait dans des masures. Quant au pouce, au pied ou à la coudée, ces mesures sont malcommodes et non standard d’une région à l’autre, donc inutilisables dans une économie nationale, régionale et encore moins mondialisée. L’étalon du mètre en platine iridié est déjà tombé en désuétude. Il a d'abord été remplacé par la 10 000 000e partie d'une moitié de méridien terrestre, et aujourd'hui c'est la longueur du trajet parcouru par la lumière dans le vide pendant la durée d'1 seconde / 299 792 458. Quel ahuri va proposer de revenir à la toise ? Mais c'est indispensable de savoir quelles unités étaient utilisées et pourquoi, sinon on ne sait rien de notre passé. Evidemment si je n’ai aucun outil je vais compter un empan pour 20cm, ou les pas dans le potager, ou les mètres de tuyau entre le bras tendu et la hanche, mais c’est une approximation qui suffit au besoin, comme un mètre-ruban suffit pour poser une étagère, alors qu’il faudra un pied à coulisse ou un micromètre à d’autres fins, mais là on ne sort pas du système métrique. Par contre c'est intéressant de relier les mesures anciennes aux modes de production contemporains, liés à l'agriculture et à l'artisanat, au travail manuel. Evidemment il subsiste des nostalgiques des lavoirs - notamment chez les papamaman – qui prétendent que c’était plus avantageux que la machine à laver, mais ils n'iront pas y laver leur linge sauf pour la photo. Par contre ce n’est pas une raison pour démolir les lavoirs. Le « retour » aux modes de production antérieurs n’est pas nouveau, pas plus que la décroissance, mais c’est un combat d’arrière-garde perdu d’avance parce que le capitalisme lui-même détruit les modes de production précédents. Edité le 26-01-2019 à 23:52:45 par Xuan |
pzorba75 |
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Ces "richesses" sont dans les mains des exploiteurs, souvent grands propriétaires, patrons ou cadres administratifs ou techniques qui déclarent soutenir les langues régionales, mais apprennent et font apprendre à leurs héritiers l'anglais, le chinois et les langues indispensables dans la mondialisation. La charte des langues régionales reste un excellent moyen de prolonger l'exploitation des locuteurs régionaux sans faire trop de frais. Le rôle des européistes, souvent issus des mouvances démocrate chrétienne et socialiste, est très important pour faire avaler la préservation de ces richesses culturelles au sein de l'Union européenne qui ne sera gouvernée qu'en anglais, subsidiarité oblige. Pour le moment, ces visionnaires n'ont pas encore avancé l'idée de préserver les unités physiques régionales disparues, le système métrique et international ayant détruit nombre de richesses locales qu'ils pourraient juger précieuses et voudraient voir vivantes. |