| Dernières réponses | |  la russie menace de détruire le bouclier antimissile en cours de construction en europe de l est par les etats unis. |
| | | le fait que l algérie dispose d une réserve potentielle de 2500 milliards de m3 de réserves de gaz de schiste au minimum va conduire l impérialisme francais a une nouvelle ingérence dans l ancienne colonie.au passage,on peut se féliciter que un tiers des députés algériens soient des femmes,une victoire sur l obscurantisme et l intégrisme religieux.et c est justement le fait que ce pays se libère de la domination patriarcale que sera menée l ingérence de paris,au nom des "droits de l homme"-ou de la femme. |
| | | la russie,la "troisième rome",veille sur le peuple syrien,ainsi que sur ceux d iran,du venezuela,..apparement-et heureusement-,c en est fini de l unilatéralisme u.s. |
| | A l’occasion du passage de relais particulièrement courtois entre Juppé et Fabius on aura pu apprécier les ronds-de-jambe et l’identité de vues du va-t-en guerre impérialiste et de son successeur.
Je cite un extrait de la déclaration de Fabius :
« M. le premier ministre, cher Alain Juppé, en fonction des résultats électoraux les pouvoirs passent mais les intérêts de la France demeurent. Nous avons dans nos parcours respectifs suivi des chemins qui présentent quelques analogies. Je ne parle pas des analogies qui font la joie des caricaturistes. Je parle des analogies de fond…Nous n’avons pas les mêmes options politiques mais sur des questions majeures nous pouvons nous retrouver et je sais que nous nous retrouverons… »
Juppé venait d’exprimer son « plus grand sentiment de frustration » dû à son échec personnel à intervenir directement en Syrie.
Mais le jour même Medvedev a douché l’ « enthousiasme à entrer dans cette fonction » du nouveau représentant des intérêts impérialistes français.
Selon RIA Novosti
Medvedev met en garde contre les ingérences militaires
SAINT-PETERSBOURG, 17 mai -
Les interventions militaires dans les pays souverains sont susceptibles de provoquer une guerre, dont une guerre nucléaire, a déclaré jeudi le premier ministre russe Dmitri Medvedev lors du 2e Forum juridique international qui se déroule à Saint-Pétersbourg.
"Les sanctions collectives imposées en contournant les institutions internationales n'améliorent pas la situation dans le monde, tandis que les opérations militaires décidées dans l'urgence se terminent d'habitude par l'arrivée au pouvoir de radicaux. Ces actions, qui minent la souveraineté de l'Etat, sont susceptibles de se solder par une véritable guerre régionale lors de laquelle, je ne veux faire peur à personne, l'arme nucléaire pourrait être utilisée" , a estimé le chef du gouvernement russe. |
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