| Dernières réponses | |  1) Évidence - mais dire des choses qu'ils ne font pas c'est un acte - et faire des choses qu'ils ne disent pas est aussi un acte - Polémique futile et oiseuse. On s'entend, ce sont les actes qui comptent et les déclarations même trompeuses sont des actes qu'il fau analyser correctement et tenir compte dans les prises de positions. Le silence sur un crime contre l'humanité est aussi un acte - qui peut être interprétée comme une acceptation complice.
2) La lecture est une pratique. Et c'est même la seule pratique en dehors de la conversation face à face ou via télécommunication qui permet de connaître ce qu'un militant a dans la tête - et les lignes politiques qu'il défend - promouvoit ou exulte. Imagine si on ne devait plus avoir la pratique de la lecture - Comment prendre connaissance dans la pratique des idées pratiques géniales de Marx, Engels, Lénine et du grand Staline ? Alors il faut la pratique gestuelle et la pratique de lecture des œuvres magistrales et aussi des petits textes de gens qui se prétendent ML afin de les débusqués ou au contraire de les approuver le cas échéant.
3) Je sais que l'une des déviations révisionnistes fut de substituer le concept de classe prolétarienne et ouvrière par celui de peuple (couvrant les quatre étoiles du drapeau chinois comprenant la bourgeoisie nationale) mais je crois que ce fut une erreur fondamentale - Je m'en tiens personnellement au Marxisme-Léninisme (n'étant pas maoïste - pensée mao-Tsé-Toung) et je répète que l'HISTOIRE DE L'HUMANITÉ EST L'HISTOIRE DE LA LUTTE DE CLASSE (qui a fait la pratique et l'acte d'écrire cela avant moi rappelez-moi que je souvienne)
Tu as droit à une pratique en acte d'opinion différente que tu devras pratiquement agir en écrivant si tu souhaites que d'autres le sache. À chacun de juger à travers notre PRATIQUE ACTIVE pratico-pratique d'ÉCRITURE ici- présentée de moi et de toi qu'elle opinion scientifique dialectique ou idéaliste-métaphysique il préconise.
Merci de ton attention XUAN |
| | Quelques réponses :
Y compris dans les déclarations, ce qui compte est le contenu et non que les iraniens envoient une bordée d’injures à Obama, qu’ils le traitent de grand Satan ou qu’ils utilisent un langage diplomatique. Ensuite il faut faire la part du bluff et celle des actes. Parce qu’il arrive que les gouvernements bourgeois disent des choses qu’ils ne font pas et qu’ils fassent des choses qu’ils ne disent pas. Mais je croyais que tu savais ça depuis longtemps.
Donc ce sont les actes qui comptent.
Pour ce qui nous concerne nous n’avons pas la prétention de flairer les bons communistes à distance et ce genre d’ exploit nous est inconnu. De notre point de vue la connaissance provient de la pratique et non de la lecture.
D’une part la révolution dans chaque pays dépend principalement du peuple de ce pays.
D’autre part, plusieurs décennies après l’effondrement de l’URSS puis de l’Albanie socialiste, le mouvement communiste international reste profondément divisé et désorienté.
Pour ces raisons le fait de citer telle ou telle déclaration d’un parti étranger n’implique pas une adhésion absolue, à moins de le préciser.
En dernier lieu c’est bien le peuple qui fait l’histoire, et cela quelle que soit la classe qui dirige ces transformations. |
| | Quelques remarques
1) Une déclaration tonitruante ou apaisée EST UN ACTE politique, tout comme la signature d'un traité, Une émission de radio de propagande est aussi un ACTE.
2) La question n'est pas de faire la révolution ou non à la place des iraniens - Si c'est le problème alors pourquoi diffuser ce papier, cette information. Cet argument oiseux est spécieux. Il est du devoir de tout communiste de soutenir verbalement et agissant les communistes camarades iraniens = Encore faut-il identifier qui je devrais soutenir - diffuser la propagande dans mon milieu parce que cette organisation est réellement communiste. Comment le savoir ? Par sa ligne politique, son programme et ses prises de positions politiques communistes authentiques. Entre communistes nous nous comprenons sans que jiaes à être sur place. Par exemple assis ici à Montréal je sais que le PCF est un parti dégénéré ??? En lisant ses documents officiels. Je n'ai pas connu personnellement MARX et pourtant je sais qu'il est un bon marxiste COMMENT ai-je réussit cet exploit ? En lisant les écrits de MARX
3) Ce N'est pas le PEUPLE qui fait l'histoire L'HISTOIRE DE L'HUMANITÉ EST L'HISTOIRE DE LA LUTTE DE CLASSE PAS l'histoire de la lutte des peuples mais des classes. La classe ouvrière fait l'histoire présente. |
| | J’ai posté le point de vue du Parti Tudeh d'Iran à titre d’information évidemment.
Il existe plusieurs organisations qui se s'affirment communistes.
Ce n’est pas notre rôle d’y faire la révolution ni d’indiquer la voie à suivre au peuple et à la classe ouvrière iranienne.
Les médias bourgeois ont spéculé sur la personnalité de Rohani, comme ils l’ont fait avec celle d’Ahmadinejad. Leur conception de l’histoire est que ce sont les individus qui la font.
Sans nier la place des individus, notre point de vue est que le peuple est le moteur de l’histoire et que ce sont les classes dominantes qui dirigent l’Etat.
Il vaut mieux s’en tenir aux actes plutôt qu’aux déclarations, fussent-elles tonitruantes ou apaisées. |
| | | http://www.airforcetimes.com/article/20130919/NEWS/309190011/ |
| | | il n y aura pas de retrait u.s de cette région,il s agira fin 2014 de "retrait en trompe l oeil",l "operation resolute support" http://rpdefense.over-blog.com/tag/Resolute%20Support/ |
| | Ok , je n'avais pas compris .
C'est vrai qu'il ne faut pas compter sur les médias bourgeois pour nous expliquer les tenants et aboutissants .
J'avais seulement compris qu'ils avaient l'air satisfaits de la victoire de ce " modéré " .
J'en ai conclu que çà ne devait pas être bon pour nous . |
| | Ahmadinejad n'a pas perdu les élections il n'était pas candidat.
L'élection en Iran n'intéresse pas les USA cette fois.
Les USA gonfle le torse vebalement en Syrie seulement parce qu'ils se positionnent pour les négociations de genève en juillet - afin de sauver une partie de leurs escadrons de la mort emmuré à ALEP ou leur bataile est perdue d'avance. Le reste n'est que rhétorique.
Quelle est l'étape après la défaite USA-OTAN en Syrie sur la route de l'attaque contre l'IRAN voilà ce qui devrait préoccuper le pseudo parti communiste iranien qui pas une fois dans son communiqué ne mentionne les mots classe ouvrière et n'en n'a que pour le rétablissement de la démocratie bourgeoise - ET LE SOCIALISME ET LA DICTATURE DU PROLÉTARIAT MESSIEURS DU TUDEH ET L'ATTAQUE EN PRÉPARATION À L'oTAN CONTRE L'IRAN MESSIEURS DU TEDEH ???? |
| | C'est bizarre cette histoire .
Au moment ou les yankees annoncent leur soutien armé aux rebelles syriens , Ahmadinejad perd les élections au profit d'un " modéré " ; une marionnette de l' Occident ?
Espérons que les russes ne lâchent pas Bachar . |
| | | Déclaration des communistes iraniens du Tudeh sur les élections présidentielles en Iran
La fin des illusions sur l' « Etat républicain » et un pas décisif vers une dictature à visage découvert
Déclaration du Comité central du Parti Tudeh d'Iran sur l'élection présidentielle de juin 2013
source
Traduction JC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/
Chers compatriotes,
Avec la décision du Conseil des Gardiens – dont les membres constituent les instruments les plus obscurantistes de la réaction et des serviteurs de Ali Khamenei, Guide suprême religieux – de disqualifier des centaines de candidats présidentiels, y compris Hashemi Rafsanjani, il ne reste plus aucun doute aux yeux de la majorité de la nation sur les manœuvres des leaders de la réaction, qui préparent une mascarade d'élection et l'installation d'un autre de leurs serviteurs, du type d'Ahmadinejad à la présidence. Autoriser les candidatures de voyous du genre de Mohammad Ghaalibaaf et Mohsen Rezaei qui s’enorgueillissent d'avoir engagé une répression sanglante contre les personnes les plus vertueuses de notre nation, et qualifier également des figures tristement célèbres telles que Haddad Adel, Jalili et Velayati, tout en disqualifiant Hashemi Rafsanjani qui est actuellement à la tête du Conseil de discernement de l'intérêt supérieur du régime, montre encore une fois la véritable portée et les limites de la « liberté » de ces élections dans le « régime le plus exemplaire du monde » tel qu'il se présente devant l'opinion iranienne et mondiale. Comme notre parti l'a souligné ces dernières semaines, il est clair pour nous et pour une immense majorité du peuple iranien que contrairement aux affirmations fallacieuses du Guide suprême du régime et d'autres partisans de cette tyrannie, le régime actuel est gouverné par les représentants du capitalisme libéral et bureaucratique iranien, l'obstacle premier à tout développement économique et social qui pourrait préserver l'Iran de la situation désastreuse actuelle.
Dans une déclaration révélatrice sur le type de personnes qui sont à la tête de notre nation, Hashemi Rafsanjani déclarait : « Je sais moi-même que je n'aurais pas dû me présenter, et j'ai également dit lors de réunions privées que je connais ces gens beaucoup plus que quiconque (…) Selon moi, il n'était pas possible de gérer le pays pire qu'ils ne l'ont fait, même en envisageant des scénarios pré-établis visant à détruire le pays (…) je ne veux pas m'engager sur le terrain de leur rhétorique et leur propagande, mais l'ignorance est gênante. Ils ne savent pas ce qu'ils font » . Il en est ensuite venu à la situation économique et a décrit l'Iran comme un État en faillite plongé dans une crise profonde.
La disqualification d'Hashemi Rafsanjani qui, il n'y a pas si longtemps, était encore présenté comme « le pilier du régime » et « le compagnon des Imam » , indique le pas décisif réalisé par ce régime réactionnaire mené par Ali Khamenei vers une dictature para-militaire encore plus flagrante, dans laquelle un certain nombre de haut dignitaires de la République islamique n'ont pas le droit à intervenir dans la vie politique sans leur permission. Le Coup d’État du Guide suprême et de ses troupes, cette fois avant même que l'élection ne commence, achève une fois pour toutes l'illusion de l' « Etat républicain » et expose au peuple iranien qu'une des dernières réalisations de la magnifique révolution de 1979, l'Etat républicain, a été massacrée par le régime réactionnaire et les voyous qui le gouvernent.
Chers compatriotes,
Notre nation a accumulé une série d'expériences instructives ces dernières décennies concernant les élections dans le régime théocratique iranien. L'épopée de juin 1997, avec les 20 millions de voix qui se sont portées contre Nategh Noori, le candidat privilégié par le Guide suprême, a ébranlé les fondements du régime théocratique. Pendant ses 8 années au pouvoir, le gouvernement réformateur, bien qu'il n'ait pas mis en place des transformations démocratiques fondamentales, a néanmoins changé l'atmosphère politique et sociale et créé le cadre permettant de s'organiser socialement. Les leaders de la réaction ont estimé que ces huit années de gouvernement réformateur constituaient un risque et par conséquent, lorsque le mandat du président Khatami arrivait à son terme, ils se sont jurés qu'ils ne permettraient plus que cela se produise de nouveau. L'expérience des trois dernières élections, dans la décennie qui s'est écoulée, des élections présidentielles de 2005 et 2009 aux élections parlementaires de 2011, illustre le rôle du régime, du commandement du Corps des gardiens de la révolution islamique et des forces répressives dans la « manipulation » des élections, en piétinant les voix de millions de citoyens, et en plaçant des serviteurs du régime comme Ahmadinejad sur des positions de représentants du peuple.
Nous avions souligné ces dernières semaines que les manœuvres de la réaction visent à organiser une élection « truquée » mais avec une façade « honorable », c'est-à-dire sans boycott massif populaire, et en installant un serviteur du Guide suprême au bureau présidentiel, partisan d'une ligne dure. Si on considère ces faits irréfutables, la principale question, c'est que faire dans cette situation. Selon nous, le processus électoral doit devenir une tribune où s'expriment les principales exigences populaires, mettant en échec les manœuvres des forces réactionnaires. Ces revendications comprennent : la suppression de la mission « de surveillance et d'approbation » par le Conseil des gardiens, la non-intervention des forces de sécurité et du « Corps des gardiens de la Révolution islamique » dans l'élection, la libération immédiate et inconditionnelle de tous les prisonniers politiques, et la fin des mises en résidence surveillée de Mme. Zahra Rahnavard, M. Mir-Hussein Mousavi, et M. Mehdi Karrubi.
Sachant que les décisions sont déjà prises par les dirigeants de ce régime réactionnaire, il n'y aura pas d' « élection » dans notre pays, avec un candidat pour lequel nous devrions voter. Dans un tel contexte, la participation à l'élection ne servirait que les plans du régime, visant à faire venir le peuple dans les bureaux de vote. La question capitale, face au mouvement populaire et à toutes les forces réformatrices et éprises de liberté, c'est celle de l'organisation de grandes manifestations contre le système actuel de gouvernement et les politiques irrationnelles et désastreuses du « Guide suprême » et de ses cohortes. |
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 Selon moi, il n\'était pas possible de gérer le pays pire qu\'ils ne l\'ont fait, même en envisageant des scénarios pré-établis visant à détruire le pays (…) je ne veux pas m\'engager sur le terrain de leur rhétorique et leur propagande, mais l\'ignorance est gênante. Ils ne savent pas ce qu\'ils font »[/i]. Il en est ensuite venu à la situation économique et a décrit l\'Iran comme un État en faillite plongé dans une crise profonde. <br /> <br /> <br />La disqualification d\'Hashemi Rafsanjani qui, il n\'y a pas si longtemps, était encore présenté comme [i]« le pilier du régime »[/i] et [i]« le compagnon des Imam »[/i], indique le pas décisif réalisé par ce régime réactionnaire mené par Ali Khamenei vers une dictature para-militaire encore plus flagrante, dans laquelle un certain nombre de haut dignitaires de la République islamique n\'ont pas le droit à intervenir dans la vie politique sans leur permission. Le Coup d’État du Guide suprême et de ses troupes, cette fois avant même que l\'élection ne commence, achève une fois pour toutes l\'illusion de l\' [i]« Etat républicain »[/i] et expose au peuple iranien qu\'une des dernières réalisations de la magnifique révolution de 1979, l\'Etat républicain, a été massacrée par le régime réactionnaire et les voyous qui le gouvernent. <br /> <br /> <br />Chers compatriotes, <br /> <br /> <br />Notre nation a accumulé une série d\'expériences instructives ces dernières décennies concernant les élections dans le régime théocratique iranien. L\'épopée de juin 1997, avec les 20 millions de voix qui se sont portées contre Nategh Noori, le candidat privilégié par le Guide suprême, a ébranlé les fondements du régime théocratique. Pendant ses 8 années au pouvoir, le gouvernement réformateur, bien qu\'il n\'ait pas mis en place des transformations démocratiques fondamentales, a néanmoins changé l\'atmosphère politique et sociale et créé le cadre permettant de s\'organiser socialement. Les leaders de la réaction ont estimé que ces huit années de gouvernement réformateur constituaient un risque et par conséquent, lorsque le mandat du président Khatami arrivait à son terme, ils se sont jurés qu\'ils ne permettraient plus que cela se produise de nouveau. L\'expérience des trois dernières élections, dans la décennie qui s\'est écoulée, des élections présidentielles de 2005 et 2009 aux élections parlementaires de 2011, illustre le rôle du régime, du commandement du Corps des gardiens de la révolution islamique et des forces répressives dans la « manipulation » des élections, en piétinant les voix de millions de citoyens, et en plaçant des serviteurs du régime comme Ahmadinejad sur des positions de représentants du peuple. <br /> <br /> <br />Nous avions souligné ces dernières semaines que les manœuvres de la réaction visent à organiser une élection « truquée » mais avec une façade « honorable », c\'est-à-dire sans boycott massif populaire, et en installant un serviteur du Guide suprême au bureau présidentiel, partisan d\'une ligne dure. Si on considère ces faits irréfutables, la principale question, c\'est que faire dans cette situation. Selon nous, le processus électoral doit devenir une tribune où s\'expriment les principales exigences populaires, mettant en échec les manœuvres des forces réactionnaires. Ces revendications comprennent : la suppression de la mission « de surveillance et d\'approbation » par le Conseil des gardiens, la non-intervention des forces de sécurité et du « Corps des gardiens de la Révolution islamique » dans l\'élection, la libération immédiate et inconditionnelle de tous les prisonniers politiques, et la fin des mises en résidence surveillée de Mme. Zahra Rahnavard, M. Mir-Hussein Mousavi, et M. Mehdi Karrubi. <br /> <br /> <br />Sachant que les décisions sont déjà prises par les dirigeants de ce régime réactionnaire, il n\'y aura pas d\' « élection » dans notre pays, avec un candidat pour lequel nous devrions voter. Dans un tel contexte, la participation à l\'élection ne servirait que les plans du régime, visant à faire venir le peuple dans les bureaux de vote. La question capitale, face au mouvement populaire et à toutes les forces réformatrices et éprises de liberté, c\'est celle de l\'organisation de grandes manifestations contre le système actuel de gouvernement et les politiques irrationnelles et désastreuses du « Guide suprême » et de ses cohortes.'); "Citer ce message")