| Dernières réponses | |  Arrête de faire des diversions avec tes fixettes et de ramener la Biélorussie à tout propos.
Si tu veux parler de la Biélorussie tu ouvres un sujet dessus.
Un mot de plus là dessus et je supprimes ton post. |
| | | la mise en place du gazoduc north stream va renforcer la présence russe dans la baltique,l apprentissage de la langue de lénine va donc prendre de plus en plus d interet-elle est bien plus abordable que celle de confucius-. |
| | | Si ça t'intéresse tu cherche les stats des échanges financiers et commerciaux, mais à part le gaz russe... |
| | | peut on dire que le belarus est tributaire du capitalisme chinois et russe? |
| | La dette extérieure a fortement augmenté en Bielorussie, pour atteindre 12,1 Mds USD en septembre. Elle devra payer 1,6 milliard de dollars au titre des intérêts de sa dette publique en 2012.
Ensuite il faut regarder le montant du PIB, sa progression, l'inflation, etc.
La Pologne n’a pas une dette publique très élevée :
56,3 % du PIB en 2011 selon Eurostats
Edité le 10-10-2012 à 19:26:18 par Xuan
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| | la biélorussie de alexandre lukashenko n est elle pas épargnée par les mesures d austérité?bientot,les polonais vont regretter de ne pas vivre dans la "dernière dictature d europe" dixit hillary clinton...
Edité le 10-10-2012 à 14:41:21 par marquetalia
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| | Les économistes keynésiens s’angoissent de voir les mesures d’austérité plomber la croissance de l’ensemble des pays capitalistes.
Ivan Best dans La Tribune signale que « Le Fonds monétaire international basait auparavant ses calculs de croissance sur une hypothèse d'impact limité des mesures d'austérité. Il revoit aujourd'hui en forte hausse l'effet multiplicateur -négatif- des politiques de réduction du déficit »
"l'austérité réduit plus fortement que prévul'activité économique, et donc les rentrées fiscales, provoquant en fait un creusement du déficit…
une baisse de dépense publique (ou une hausse d'impôt) d'un euro, destinée à diminuer le déficit, peut entraîner un recul de 1,7 euro du PIB.
Dans ce cas, la mesure prise un gouvernement manque sa cible : un recul de 1,7 euro de la richesse produite entraîne un accroissement du déficit public proche d'un euro -cela dépend bien sûr du poids de la sphère publique- , compte tenu des pertes de recettes fiscales et des dépenses sociales supplémentaires (chômage, pauvreté...). Autrement dit, le déficit n'est pas réduit in fine. Et l'économie s'en trouve évidemment plus mal en point.
Sur les raisons de cet effet multiplicateur, le FMI ne s'étend pas outre mesure. Mais il cite le fait que les politiques monétaires n'ont plus guère de marge de manoeuvre (les taux d'intérêt sont partout proches de zéro) et que les politiques d'austérité sont menées partout en même temps."
La crise de surproduction est en effet la conséquence directe de l’appauvrissement des masses due à l’exploitation capitaliste. Cet article est significatif de l’approfondissement de la crise et de l’impossibilité de la résoudre dans le cadre de la société capitaliste, à moins de détruire une grande partie des richesses et des moyens de production. |
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