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Xuan
La réglementation des dons d'organe est mise sur le tapis en Chine




Chine - Il faut réduire l’apport des condamnés à mort
Les dons d’organes doivent être développés


par Bernie Stico, France Soir

La Chine a lancé un système national de dons d’organes dans l’espoir de réduire les trafics et de créer une autre source de transplants que les prisonniers exécutés.

Les transplants de dons d’organes en provenance de condamnés à mort constituent en effet pour l’heure 65 % des « donneurs ». Cette volonté de Pékin de réduire ce pourcentage était rapportée hier par le China Daily. « Les prisonniers exécutés ne sont certainement pas une bonne source pour les transplants », déclare ainsi le vice-ministre de la Santé, Huang Jiefu, au quotidien. Près de 1,5 million de Chinois ont besoin de dons d’organes quand chaque année, seulement 10.000 personnes en bénéficient, selon le site Internet du ministère de la Santé. Cette pénurie entraîne une demande de la part de patients désespérés et alimente la corruption.


« Pas le privilège des riches »


Une loi de 2007 sur les dons d’organes interdit bien le trafic mais les affaires de transplants illégalement vendus par des donneurs vivants, parfois à des étrangers, sont fréquemment rapportées par les médias ou le ministère de la Santé. « Les transplants ne doivent pas être le privilège des riches » , déclare Huang Jiefu au China Daily. La loi chinoise n’autorise les dons d’organes de personnes vivantes qu’entre époux ou parents de même sang. Mais les trafiquants spécialisés dans les faux documents ont contribué à ce que la part des donneurs vivants représente aujourd’hui 40 % des dons totaux, contre 15 % en 2006, souligne Chen Zhonghua, spécialiste des dons d’organes à l’hôpital Tongji de Shanghai interrogé par le journal. Le nouveau système mis en place, à titre expérimental dans dix provinces et villes, doit encourager les dons d’organes post-mortem et créer un fonds d’aide aux patients dans le besoin et aux familles des donneurs. « Le système est dans l’intérêt public et profitera aux patients sans égard pour leur statut social et leurs revenus » , assure encore Huang Jiefu, le vice-ministre de la Santé.

[Edition France Soir du jeudi 27 août 2009]


Edité le 29-08-2009 à 13:24:18 par Xuan


Xuan
A l'occasion du 60e anniversaire de la Chine Populaire, cet article revient sur la question de la démocratie et de la représentation des masses dans un système de démocratie populaire.

Mettre l'homme au centre des préoccupations

Radio Chine International le 10/08/09

Le concept de « Mettre l'homme au centre des préoccupations » a joué un rôle majeur dans le processus de démocratisation et de création des lois en Chine.

Le 1er octobre marquera cette année le 60e anniversaire de la République populaire de Chine. En six décennies, la Chine aura connu des changements radicaux au niveau de la démocratie. En Orient, elle présente désormais le visage d'un Etat moderne, démocratique, prospère et hautement civilisé. Des avancées qui auront été inspirées par ce concept de « Mettre l'homme au centre des préoccupations », leitmotiv des communistes chinois depuis plusieurs décennies.

Le 1er octobre 1949, à Beijing, sur la tribune de la porte Tian'anmen, l'ancien leader du Parti communiste chinois, Mao Zedong, proclamait solennellement l'avènement de la République populaire de Chine. A partir de ce jour, le Parti communiste chinois a gouverné le pays, en représentant les ouvriers et les paysans, qui constituent l'immense majorité de la population chinoise.

Etait-il possible pour le nouveau régime de toujours parvenir à représenter les intérêts de la population ? Les communistes chinois et leur chef Mao Zedong avaient, depuis très tôt, réfléchi à cette question. En juillet 1945, Mao s'est entretenu sur ce sujet avec Huang Yanpei, un républicain convaincu, ancien président de la Ligue démocratique de Chine. Li Shenming, le vice-président de l'Académie chinoise des Sciences sociales, nous raconte:
« Huang Yanpei prétendait que pour tout pouvoir, une période de prospérité était inévitablement suivie d'une chute. Mao pensait le contraire, et a alors déclaré : « Nous avons trouvé une solution pour sortir de ce cycle. Sans une surveillance du Parti par le peuple, le gouvernement sera lâche. Chacun doit assumer sa responsabilité, sinon, on ne gardera pas longtemps le pouvoir. »

La solution dont parlait Mao était la 1re session de l'Assemblée populaire nationale, l'APN, qui s'est tenue à Beijing en septembre 1954. C'était lors de cette session qu'a été votée la toute première constitution de la République populaire de Chine. Une constitution dans laquelle était explicitement inscrit que « tout le pouvoir de la République populaire de Chine appartient au peuple ».

Depuis sa création, quelques articles de la Constitution de 1954 ont été modifiés, mais la partie suivante a été conservée : « Le système des assemblées populaires est la forme organisationnelle du pouvoir de dictature démocratique du peuple chinois et le système politique fondamental de la Chine. Les organes par lesquels le peuple exerce le pouvoir d'Etat sont l'Assemblée populaire nationale (APN) et les assemblées populaires locales aux différents échelons. » L'APN exerce les fonctions et pouvoirs suivants : élaborer les lois, examiner le travail du gouvernement, de la Cour et du Parquet, examiner et approuver le plan pour le développement de l'économie nationale et le progrès social, ainsi que le budget de l'Etat, élire et déterminer les dirigeants d'Etat et débattre des questions importantes du pays, entre autres. Par ailleurs, afin d'assurer que le peuple soit le maître du pays, la Constitution stipule également que les représentants de l'APN doivent être élus par le peuple, lors d'élections démocratiques.

Inévitablement, durant les 30 premières années après la création de la nouvelle République, le développement socio-économique et la qualité de vie du peuple, soumis à de nombreux facteurs défavorables, se trouvaient, dans l'ensemble, à un niveau plutôt bas. Ce n'est qu'à partir de 1978, année où la politique de réforme et d'ouverture a été mise en place, que cette situation a changé. Depuis trois décennies, grâce à des progrès économiques considérables, la Chine institue progressivement un système d'économie de marché socialiste et perfectionne progressivement ses lois et ses règlements.

En satisfaisant les besoins élémentaires du quotidien et en s'avançant sur la voie de la richesse, le Parti communiste chinois a remarqué que s'élargissait l'écart qui séparait les pauvres des riches et que le gouvernement devait prendre une série de mesures législatives et administratives afin de résoudre les problèmes de bien-être de la population, d'égalité et de justice sociale.

Wu Bangguo, l'actuel président du Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale, a souligné l'importance de régler la question du bien-être grâce aux lois. Wu Bangguo :
« Considérer l'homme comme la finalité de la société et tenir compte de ses préoccupations majeures, ce sont les tâches principales du Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale. Il nous faut associer la création des lois à la surveillance de leur application, afin que l'APN soit plus proche du peuple. D'une part, il faut mettre l'accent sur l'élaboration et la perfection des lois, d'autre part, on doit attacher de l'importance à leur exécution et au contrôle de notre travail. »

Ces dernières années, la Chine a lancé plusieurs lois pour améliorer la vie quotidienne de la population et la justice sociale, telles que la « Loi sur la sécurité alimentaire », la « Loi sur la protection des handicapés » et surtout la « Loi sur les droits réels », une loi qui réservait aux biens privés, pour la première fois, une place aussi importante que les biens collectifs. Cette année, des lois qui touchent aux intérêts essentiels de la population seront examinées, comme la « Loi sur la protection sociale » ou encore la « Loi sur l'aide sociale ».

Afin d'augmenter le degré de transparence et de démocratie, les organes législatifs aux différents échelons et les organisations administratives tentent, ces dernières années, de consulter le grand public sur d'importants projets de loi et de règlements. Des consultations effectuées via Internet, les journaux, la radio ou encore la télévision. Depuis avril dernier, 17 projets de loi, proposés par l'Assemblée populaire nationale, ont ainsi été soumis au public afin que celui-ci donne son avis.
Rien que pour le seul projet de « Loi sur la protection sociale », plus de 70 000 propositions de Chinois, de milieux sociaux très divers, ont été reçus.

Wang Mingwen est député de l'Assemblée populaire nationale et professeur de droit. Pour elle, un processus de création des lois transparent et démocratique permettra aux lois de répondre aux besoins réels de la population :
« J'apprécie beaucoup cette pratique parce qu'elle permet à des Chinois de tous horizons de participer à la création de lois. Je suis convaincue que les lois seront plus proches des réalités et plus démocratiques. »
Au fur et à mesure des progrès économiques et sociaux, les Chinois s'engagent de plus en plus, avec plaisir et enthousiasme, dans les processus de décision, de gestion, et de surveillance. Et cela, qu'il s'agisse des affaires nationales comme de celles de leurs quartiers.
Exemple avec Chatang, un village de la province du Zhejiang, dans le Sud de la Chine. Le village de Chatang est situé à Taizhou, une des villes dont l'économie privée est la plus prospère de Chine. En 2006, les responsables du comité des villageois, avant la dépense d'une grosse somme d'argent, ont effectué une consultation. Les habitants étaient invités à choisir entre deux projets : la construction d'un bâtiment administratif ou la rénovation des routes du village. 90% des représentants des villageois ont alors voté pour la rénovation des routes. Fan Shunqiu, un habitant du village :
« Nous voulions réparer les routes parce qu'elles étaient en très mauvais état. Comme Chatang occupe une place géographique importante, beaucoup de véhicules traversent le village. La construction de routes permet de faciliter le développement économique et la circulation dans notre village. »
Selon la volonté de la plupart des représentants, le comité des villageois a non seulement réalisé la réparation de la route qui conduisait au village, mais a également réaménagé les canalisations d'eaux usées souterraines et a construit un bassin de traitement et d'épuration des eaux usées.
Aujourd'hui, le village de Chatang, connu pour ses routes larges, son thé de qualité et son étang aux eaux limpides, est devenu un village plus écologique et plus harmonieux.

Le village de Chatang n'est pas le seul du genre en Chine. On peut en citer encore beaucoup d'autres. Cela fait deux ans que la « Loi sur l'organisation du comité des villageois » est entrée en vigueur. Une période durant laquelle plus de 600 millions de paysans auront participé à l'élection directe de leur comité des villageois. Et les citadins aussi sont concernés. En ville, les habitants sont également appelés à voter pour leurs représentants d'arrondissement. Que ce soient les paysans ou les citadins, les Chinois élisent désormais les candidats dont ils ont besoin et expriment leurs opinions sur la gestion des affaires locales. Li Shenming, le vice-président de l'Académie chinoise des Sciences sociales :
« Au moment où la société et l'économie chinoises connaissent de profonds changements, avec la juste répartition des intérêts et le pluralisme, ce pouvoir accru de décision qui est donné au peuple, ça permet de s'assurer de sa participation et de sa surveillance de l'exécution des droits. Ça montre aussi de façon concrète que c'est le peuple qui est le maître du pays. »
Xuan
La presse chinoise a publié récemment plusieurs articles sur ce thème.


La protection des droits de l'Homme de la Chine diffère de celle des pays occidentaux
Un expert chinois a dit lundi à Beijing que la Chine suivait sa propre voie de développement des droits de l'Homme, différant distinctement de celle des pays occidentaux.
"Après 30 ans de développement, la Chine suit une voie du développement des droits de l'Homme à la chinoise. La protection des droits de l'Homme en Chine diffère de celles des pays occidentaux", a dit Luo Haocai, directeur de la Société chinoise des Etudes sur les Droits de l'Homme, lors du forum de Beijing sur les Droits de l'Homme.
"La Chine pense que les droits de l'Homme comme les autres droits ne sont pas 'absolus' et que les droits doivent être en conformité avec les obligations remplies", a-t-il dit, soulignant que "la Chine s'opposait à séparer droits et obligations".
"La Chine considère que les droits de l'Homme ne font pas seulement référence aux droits civils et droits politiques, mais aussi aux droits économiques, sociaux et culturels", a-t-il dit, ajoutant que "ces droits étaient étroitement liés".
Ces 30 dernières années, le développement de la Chine dans les domaines de l'économie, du bien-être social, de l'éducation et de la culture a été reconnu, mais des progrès importants dans les droits inscrits dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ont souvent été ignorés, a-t-il ajouté.
Après 30 ans de développement, les Chinois jouissent d'une liberté sans précédent et des droits de l'Homme fondamentaux, dont la liberté religieuse et les droits politiques, a-t-il souligné.
"Parallèlement, la Chine maintient que les droits de l'Homme sont des droits dont jouissent non seulement les individus mais aussi la collectivité", a-t-il dit.
"La Chine apprécie la protection des droits de l'Homme individuels mais aussi des droits de l'Homme collectifs, origine importante de la stabilité, de l'harmonie sociale et de la liberté du peuple en Chine", selon la même source.

[Source: xinhua Mise à jour 22.04.2008 08h28]

L'amélioration des droits de l'Homme en Chine est autonome
La Chine n'améliore pas ses droits de l'Homme en réponse aux demandes présumées d'autres pays, ni en raison d'une certaine activité qui doit avoir lieu, a indiqué le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Qin Gang, mardi à Beijing lors d'une conférence de presse.
Qin a fait ces remarques en réponse à la question de savoir si la présence du président américain George Bush à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Beijing ferait céder la Chine sur la question des droits de l'Homme.
"Nous nous sommes engagés dans l'amélioration des droits de l'Homme, et ce non en prémisse de la demande d'autres pays, groupes, organisations ou individus, ni en raison d'une certaine activité prochaine qui nous aurait fait céder sur la question des droits de l'Homme, a dit Qin.
[…]
Il a souligné que la Chine préconisait que les dialogues sur les droits de l'Homme devaient être basés sur l'égalité et le respect mutuel, et que la Chine s'opposait à la pression et à l'adoption de normes multiples pour interférer dans les affaires intérieures d'autres pays.
[…]

[Source: xinhua Mise à jour 04.06.2008 08h12]

Les accusations des Etats-Unis en ce qui concerne la démocratie et les droits de l'homme en Chine sont injustifiées et sans aucune raison valable

[lors d’une conférence de presse le 2 juin] :
Un journaliste a posé la question suivante : Le Département d'Etat des Etats-Unis a publié récemment le « Rapport pour promouvoir la liberté et la démocratie dans certains pays pour l'année 2008 » dans lequel la Chine a été critiquée pour son état des droits de l'homme. Quel est le commentaire de la partie chinois pour cela ?
Qin Gang a indiqué que le gouvernement chinois insiste sur le principe de la prédominance de la personne humaine et de l'exercice du pouvoir en tenant compte des intérêts du peuple. Le gouvernement chinois a obtenu des succès remarquables au vu et au su de tous quant au développement de la démocratie, au renforcement de la gouvernance d'après les lois ainsi qu'à la sauvegarde et à la préservation des droits de l'homme et de la liberté des populations de diverses nationalités de la Chine. Ledit rapport du Département d'Etat étasunien ne tient aucun compte des faits réels et accuse de façon injustifiée et sans aucune raison valable l'état de la démocratie et des droits de l'homme en Chine.
Il a dit : nous conseillons à la partie américaine de s'occuper et de s'intéresser encore plus à ses propres problèmes, qui sont nombreux, en ce qui concerne la violation des droits de l'homme, de ne plus utiliser les problèmes de démocratie et de droits de l'homme pour s'ingérer dans les affaires intérieures des autres pays, et de contribuer davantage au renforcement de la confiance réciproque sino-américaine et au développement des relations entre les deux pays.

[Source: le Quotidien du Peuple en ligne le 03.06.2008 14h39]

La Chine n'évite pas les questions des droits de l'Homme
[Luo Haocai, directeur de la Société chinoise des Etudes sur les droits de l'Homme, lors du Forum de Beijing sur les Droits de l'Homme]

Même si des progrès ont été accomplis dans la construction des droits de l'Homme en Chine, le pays n'a jamais contourné les problèmes existants en la matière et s'est engagé à les résoudre, a déclaré lundi un expert en droits de l'Homme.
"Cette année marque le 30e anniversaire de la réforme et de l'ouverture de la Chine. Le pays a obtenu des progrès considérables dans la construction économique, ainsi que d'importants progrès dans la construction des droits de l'Homme", a indiqué Luo Haocai, directeur de la Société chinoise des Etudes sur les droits de l'Homme, lors du Forum de Beijing sur les Droits de l'Homme.
"Les droits civils et politiques des Chinois sont protégés de manière appropriée", a fait savoir Luo, ajoutant qu'il existait toujours des problèmes.
"Les systèmes économique et politique chinois ne sont pas parfaits, de même que les systèmes démocratique et légal du pays ne sont pas achevés, et les développements urbain et rural sont déséquilibrés", a-t-il poursuivi.
"Il existe encore des problèmes dans l'emploi, l'éducation, les soins médicaux, le logement, la sécurité sociale, la répartition des revenus, la sécurité de la production, ainsi que dans la protection environnementale", a-t-il reconnu.
Luo a souligné que la Chine n'a jamais contourné ces problèmes et s'est engagée à les résoudre par le biais du développement économique et social et par l'amélioration continue des systèmes démocratique et légal.
"Certains pays occidentaux ont toujours adopté un double standard en matière de droits de l'Homme, condamnant la Chine et d'autres pays en voie de développement, mais faisant la sourde oreille à leurs propres problèmes de droits de l'Homme", a-t-il contesté.
Les droits économique, social et culturel des citoyens chinois ont connu un développement continu. La communauté internationale a exalté les progrès obtenus par la Chine dans la réduction de la pauvreté et l'amélioration du niveau de vie dans les régions déshéritées, a évoqué Luo.
Le nombre de Chinois souffrant d'un manque de nourriture et de vêtements est tombé à 14,97 millions de personnes en 2007, contre 250 millions en 1978, a-t-il précisé.
Le pays a amélioré son système judiciaire afin de protéger les droits de l'Homme et fait du "respect et de la sauvegarde des droits de l'Homme" un principe important de sa Constitution.
Depuis que la Cour populaire suprême a récupéré le droit de révision de la peine capitale l'année dernière, le nombre d'exécutions capitales a chuté, la moitié ayant été tranformée en peine capitale avec sursis, selon des statistiques officielles.
Par ailleurs, la Chine applique un système d'autonomie ethnique régionale, afin d'assurer les droits des minorités ethniques à participer à l'administration des affaires de l'Etat et des affaires de leurs propres groupes ethniques, a fait savoir Luo.

Le Forum de Beijing sur les Droits de l'Homme s'est ouvert lundi à Beijing pour commémorer le 60e anniversaire de la Déclaration universelle des Droits de l'Homme. Plus de 110 représentants venus de 32 pays ou organisations internationales ont participé à ce forum.

[Source: xinhua Mise à jour 22.04.2008 08h10]


Edité le 09-06-2008 à 23:30:11 par Xuan


 
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