| Les philistins impérialistes -Au devant desquels nous pouvons sans doute placer nos compagnons nord-américains- ne dérogeront jamais à leurs "us et coutumes". Leurs entreprises continues de spoliation et d'avilissement ne cesseront que lorsqu'une guerre sociale transnationale s'enclenchera contre ces maraudeurs en col blanc, car il est évident que nous ne serons jamais en mesure de briser leur omnipotence inique tant que la phrase-clé de Karl Marx ne sera pas mis à nouveau en valeur : "Les travailleurs n'ont pas de patrie !"... Certes, j'estime personnellement que l'on ne peut pas amalgamer totalement une base nationale avec la scène internationale ; Ne serait-il pas toutefois inquiétant, pour les classes possédantes, que des angles communs puissent émerger de facto, permettant ainsi l'alliance durable de salariés grecques, de mineurs espagnols, d'employés français, de combattants anti-impérialistes du continent africain ou d'Asie ? Pardonnez-moi, si vous considérez que je m'engouffre dans des songeries petites-bourgeoises ou dans une litanie superflue - Je ne vous dissimulerai guère l'attitude enfiévrée et pugnace qui me caractérise dès que ce type de question révolutionnaire est mise en exergue, et mes connaissances concernant la doctrine marxiste-léniniste ne demandent aussi qu'à profiter d'un accroissement plus net. |
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