| Dernières réponses | |  bidzina ivanichvili,sous son masque "pro-russe",incarne les interets de l impérialisme francoallemand contre ceux des etats unis,malgré sa rhétorique antiatlantiste.donc,la géorgie restera,après le 27 octobre,meme en cas de défaite de saakachvili,la tete de pont de l impérialisme gallicorhénan contre la russie.
Edité le 06-07-2013 à 22:19:00 par marquetalia
|
| | les impérialismes allemand et francais,qui se rapprochèrent en 1962,après la liquidation de l empire colonial francais en afrique du nord,cherchent à recréer les zones de domination des deux puissances,paris prépare le renversement du régime Fln,et berlin celui de la biélorussie,prémisses à l intégration de toute l europe orientale -belarus,ukraine,moldavie-dans l alliance atlantique puis l union européenne,puis à l écrasement de l arménie par l azerbaidjan,celui de l ossétie du sud et de l abkhazie par tbilissi,le soutien direct de l otan aux moudjahidine de l émirat du caucase-qui recupereront les armes qui seront livrées livrées par la france et les etats unis aux intégristes sunnites syriens-,puis aux séparatistes kalmouks,tatars,.pour se partager les richesses de la russie eurasienne.
Edité le 06-07-2013 à 21:57:29 par marquetalia
|
| | Un article intéressant de La Tribune :
France-Allemagne : l'entente cordiale...entre patrons
Fabien Piliu 05/07/2013
Le Medef et la Fédération allemande de l'industrie (BDI) ont annoncé ce vendredi la création d'un comité permanent. Ce nouveau lobby transnational devra faire des propositions et surtout les faire valoir à Bruxelles.
Ils ne se quittent plus ! La semaine dernière, Ulrich Grillo, le président du Bunderverband der Deutschen Industrie (BDI), la Fédération allemande de l’industrie, recevait Pierre Gattaz à Berlin. Ce vendredi, c’était au tour du tout nouveau président du Medef de l’accueillir au 55 avenue Bosquet où siège le Mouvement.
Par simple politesse ? Pas vraiment. Jeudi dernier, les deux responsables avaient échangé leurs points de vue sur les thèmes de la convergence des politiques nationales mises en œuvre contre le chômage et plus largement sur l’équilibre entre politique de relance et réduction des déficits, sur la gouvernance économique de l’Union européenne et, entre autres, la politique énergétique.
Il faut croire que Pierre Gattaz et Ulrich Grillo se sont accordés sur un certain nombre de sujets puisqu’ils ont annoncé ce vendredi à Paris la création d'un « comité permanent » . Son but : « faire des propositions communes et influencer les gouvernements des deux rives du Rhin mais aussi les instances européennes » , a déclaré Pierre Gattaz. A terme, le comité pourrait décider de créer sa propre délégation à Bruxelles.
Des réunions régulières
Dans une « déclaration commune » , Pierre Gattaz et Ulrich Grillo font de « l'amélioration de la compétitivité européenne" une priorité. Dans le domaine de l’emploi, ils estiment que « la réponse au chômage des jeunes passe par la réduction du coût du travail et par l'élimination systématique des obstacles qui empêchent l'investissement et la croissance » .
Pour réduire le coût de l'énergie, trop élevé à leurs yeux en Europe, le tandem souhaite que l'exploitation du gaz de schiste ne soit pas exclue a priori par les gouvernements. Quant au projet de taxe sur les transactions financières en cours d'élaboration par onze Etats européens et porté par Paris et Berlin, considéré par le patronat comme « une menace » pour le financement de l'économie.
L’Allemagne veut une France forte
En réponse à une question sur les inquiétudes récurrentes en Allemagne au sujet de la santé économique de la France, Ulrich Grillo a souligné que les entreprises allemandes voulaient « une Europe forte », et donc une « France forte » . « Nous sommes préoccupés quand nous voyons que nos partenaires européens, et notamment la France, peinent à retrouver le chemin de la croissance » , a-t-il déclaré, sans se risquer à commenter la politique économique du gouvernement français.
Les accords de libre-échange avec les Etats-Unis ? Une chance
L’ouverture des négociations portant sur les accords de libre-échange ne les inquiète pas. Au contraire. « Nous souhaitons des progrès sur l’accès aux marchés mais aussi sur la coopération réglementaire et les normes techniques. Les PME devraient en particulier bénéficier de ce dernier point. Les doubles procédures d’autorisation, de certification et de normalisation qui lui sont imposées constituent une véritable barrière commerciale. Nous estimons que la signature de l’accord pourrait donner un élan nouveau à l’économie européenne et à celle des Etats-Unis à hauteur de 200 milliards d’euros par an ». |
| | en novembre,l ukraine se rapprochera encore plus de l u.e,qui espère intégrer ce pays,en plus de la moldavie et des pays du caucase ainsi que la biélorussie;pour cette dernière,cela semble perdu d avance,vu le caractère de son régime politique-l impérialisme veut rester maitre à bord en europe orientale en cas de victoire de guennadi ziouganov aux présidentielles russes en 2018-
Edité le 06-07-2013 à 21:41:27 par marquetalia
|
| | | ah,désolé. |
| | | | | pour avoir enlevé mon topic sur l intégration de la turquie dans l ue comme tete de pont vers les pays turcophones de l ex espace soviétique? |
| | | cette "europe impériale" s étendra de l islande aux confins de l anatolie. |
| | J’ai regroupé les sujets concernant l’Europe afin de mieux documenter nos discussions et partir des faits.
J’ai aussi regroupé des articles de fond sur le même sujet dans Europe un nouvel empire ?
Il existe au sein des marxistes-léninistes des points de vue différents sur l’Europe, et même des divergences profondes si je compte la position du PRCF, pour qui Berlin imposerait son hégémonie à tous les peuples d’Europe.
G. Gastaud a repris cette thèse récemment sous le titre http://www.initiative-communiste.fr/wordpress/?p=12620 « Refuser l’euro-balkanisation des nations d’Europe ».
Il y a beaucoup à dire là-dessus évidemment.
En quelques mots : tu as raison de dire que l’Europe s’est américanisée pendant la guerre froide, mais plus encore depuis la chute de l’URSS, à cause de la domination sans partage des USA qui a suivi, jusqu’à maintenant.
Et il existe bien deux blocs tels que tu les décrits.
Mais nous devons envisager les choses dans leur développement, considérer à la fois l’unité des pays impérialistes et leurs contradictions, qui reposent sur le développement inégal et la concurrence, en particulier depuis le déclin de plus en plus net des USA :
L'exportation du déficit insondable des USA n’est pas accepté par leurs alliés.
L’intégration économique européenne, destinée à protéger le capital financier des défauts de paiement, conduit à la naissance d’un nouvel empire économique régional, nécessairement concurrent de l'empire US.
Es-tu certain que l’intervention française au Mali soit décidée ailleurs qu’à Paris ?
Cette intervention s’oppose à la présence chinoise en Afrique, mais aussi - en restaurant la Françafrique - à rééquilibrer le rapport des forces en Europe.
Et il faut se demander pourquoi ses alliés ne lèvent pas le petit doigt : ce n’est pas du tout par hasard.
Nous aurons l'occasion d'en reparler, en partant des faits nous parviendrons certainement à nous mettre d'accord sur ces questions complexes.  |
| | Malheureusement je ne suis pas trop d'accord avec vous sur ce point .
En effet si l'Union européenne existe c'est uniquement par la volonté des USA .
Les Etats-Unis ont créé la CEE après la guerre uniquement avec l'idée de contrebalancer l'influence soviétique en Europe .
D'ailleurs depuis cette période l' Europe s'est " américanisée " et s'est rangée derrière l'impérialisme américain .
De Gaulle a bien tenté d'échapper à cette tutelle américaine en instaurant un capitalisme national en France , mais en vain .
Il n'y a plus d'impérialisme français .
Tout ce qui est décidé par le gouvernement français a d'abord été approuvé par les instances mondialistes européennes et américaines , ce qui revient à la méme chose .
C'est d'ailleurs le cas pour l'intervention française en ce moment au Mali .
A l'heure actuel il y a deux blocs principaux . D'une part le bloc Etats-Unis et ses satellites européens , pays arabes du golfe persique et Israél , puis d'autre part le bloc Chine-Russie-Iran-Inde et certains pays d' Amérique Latine .
Voilà les deux blocs principaux . Les autres pays se rangent derrière l'un ou l'autre .
J'ai oublié la République Démocratique de Corée ; par défénition hors des deux blocs car en dehors du système capitaliste .
Mais c'est une autre histoire . |
|
|
