Dans cette région du monde ce sont les impérialisme franco-allemands qui dominent.');"> Ce post porte sur les manifestations populaires en Europe.
Dans cette région du monde ce sont les impérialisme franco-allemands qui dominent.
marquetalia |
![]() Edité le 30-04-2012 à 23:09:29 par marquetalia |
marquetalia |
Finimore |
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Nier l'existence de l'impérialisme allemand est une stupidité complète !!! |
gorki |
marquetalia |
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Finimore |
marquetalia |
![]() Edité le 28-04-2012 à 10:40:49 par marquetalia |
Xuan |
![]() Ces actions doivent être replacées dans le cadre général des luttes ouvrières en Europe depuis le début de l’année : Le 18 avril en Slovénie plus de 100 000 fonctionnaires ont manifesté contre la réduction des salaires de 7 à 15% , les déremboursements dans la Sécurité sociale, la suppression de deux jours fériés, la fin des primes de vacances ou encore la baisse des allocations de congé maternité et chômage : « une des plus grandes grèves de son histoire » . Le 11 février au Portugal, 300 000 manifestants « la plus grande manifestation de ces trois dernières décennies » , sont descendus dans les rues de Lisbonne à l'appel de la CGTP. En Espagne, la grève générale du 29 mars a mobilisé 11 millions de grévistes (77 % des salariés) et 3 millions dans la rue, contre l’instauration de licenciements « libres et gratuits », la destruction des droits du travail et des droits sociaux. ![]() En Grèce, où le chômage atteint près de 22 % en janvier, les « Aciéries grecques » sont entrées dans leur sixième mois de grève. Ces puissants mouvements de masse affectent jusqu'ici les maillons faibles de l'Europe et les impérialismes dominants n'étaient pas encore affectés. La grève dans l’industrie allemande pour la hausse des salaires nous intéresse particulièrement car les capitalistes français – et cela figure dans le programme de Parisot – déplorent que « les taux de marges des entreprises françaises s’établissent à 30,2% contre 41,3 % en Allemagne » . Cette grève frappe donc simultanément les capitalistes de chaque côté du Rhin. C'est un encouragement à poursuivre la lutte de classe de notre côté. Pour l'ensemble des mouvements de masse en Europe, toute action revendicative pour les salaires ou le droit du Travail devient une lutte contre l'ensemble de la classe bourgeoise et son Etat, c'est-à-dire une lutte politique, mais aussi une lutte contre la fédération européenne en construction. L'unité des prolétariats d'Europe, tant dans les actes que dans l'organisation et dans l'unité de pensée devient une nécessité qui nous sera imposée par les faits. Appel à la grève dans l'industrie allemande pour des augmentations de salaires AFP - Des salariés de ThyssenKrupp en grève en Allemagne à l'appel du syndicat IG Metall (image d'archive) latribune.fr (source AFP) Un bras de fer oppose syndicats et patronats allemands depuis plusieurs mois sur l'augmentation des salaires dans l'industrie. Le secteur sera en grève dès samedi, a annoncé le syndicat IG Metall. Siemens, ThyssenKrupp et Continental devraient notamment être touchés. Nouvel épisode dans la bataille qui oppose les syndicats du secteur de l'industrie au patronat sur la question des salaires en Allemagne. Le puissant syndicat allemand IG Metall a annoncé ce vendredi une vague de débrayages à partir de samedi minuit (22H00 GMT) dans l'industrie à travers tout le pays, pour obtenir les hausses de salaire réclamées. "Les salariés de différentes entreprises vont se mettre en grève pour protester contre les offres insuffisantes du patronat", a annoncé IG Metall dans un communiqué. Les premiers débrayages prévus toucheront notamment de grands groupes, comme MAN à Augsburg (Sud), Siemens via sa filiale Osram à Berlin, ThyssenKrupp à Andernach (Ouest), Continental à Gifhorn (Nord) ou encore Bosch à Salzgitter (Nord). Plus de 3,5 millions de salariés concernés IG Metall et le patronat en sont au troisième round de négociations à propos de la convention collective de l'énorme secteur de la métallurgie, qui comprend les machines-outils, la mécanique, l'automobile, l'électroménager ou encore les semi-conducteurs et emploie plus de 3,5 millions de salariés dans le pays. Le syndicat a rejeté mi-avril une proposition patronale d'une hausse des salaires de 3% sur 14 mois, alors qu'il réclame 6,5%. Ces négociations salariales, menées en parallèle dans plusieurs Länder, sont un temps fort de l'actualité sociale allemande et ont valeur de test pour nombre d'autres secteurs de l'économie. Début avril, au terme de plusieurs semaines de négociations ponctuées de grèves dans tout le pays, les deux millions de salariés de la fonction publique d'outre-Rhin avaient obtenu des hausses de salaires de 6,3% sur deux ans. L'accord avait été critiqué par les employeurs du secteur de la métallurgie qui y voient un mauvais exemple pour leurs propres négociations. |