| Dernières réponses | |  Je n'ai entendu parler du camarade Martens que par le biai de ce forum, son décès est une triste nouvelle, et une lourde perte pour tous les militants communistes à travers le monde, ainsi que pour ses proches auquels j'adresse mes condoléances. |
| | | | Ayant découvert ce belge, militant communiste très récemment ,par le biais de ce forum, je suis bien triste de ce décès. Ludo analysait bien le problème que les dirigeants soviétiques n'ont pas su résoudre, Staline excepté.
Ses vidéos sur Staline sont des leçons d'histoire, compréhensibles de tous.
J'espère trouver quelques uns de ses livres pour réfléchir et combattre les révisionnistes de tous poils avec de bons éléments historiques puisés dans ses travaux.
Ma pensé va à ses proches, il a bien éclairé leur route. |
| | Je suis évidemment très triste de cette nouvelle. J'ai eu l'occasion de voir plusieurs fois Ludo Martens lors des fêtes du 1er mai à Bruxelles en 1992, 1993, 1994, 1996 et 1997. En plusieurs occasions je me suis entretenu avec lui en 1994 lors d'une conférence débat organisé par le Cercle Henri Barbusse le 4 juin, le 16 avril 1996 lors d'une conférence de l'université marxiste sur Paris et le 1er mai 1996.
La disparition de Ludo Martens est une grande perte pour le mouvement communiste international. |
| | Je publie ici un extrait du communiqué du bureau du PTB à propos du décès de Ludo Martens.
Nous n’avions pas partagé son opinion sur le social-impérialisme, mais nous saluons la mémoire de ce communiste qui a notamment défendu l’œuvre de Staline contre sa criminalisation dans son ouvrage « Un autre regard sur Staline » , qui s’est dressé contre les manœuvres impérialistes au Tibet et qui a lutté pour l'unité du mouvement communiste.
En mémoire de Ludo Martens (1946-2011)
"Notre camarade Ludo Martens est décédé dans la nuit du dimanche 5 juin, des suites d’une longue maladie. Ludo a été à la base de la fondation du Parti du Travail de Belgique (PTB), dont il a longtemps été président. Il était connu pour être assidu et très rigoureux: « Pas de demi-mesure. On doit placer la barre très haut, étudier et travailler avec sérieux. » Mais cela ne l’empêchait nullement de reconnaître ses erreurs. Il était toujours ouvert à toutes les expériences, sur toute la planète. Ludo Martens avait 65 ans. Il laisse derrière lui deux enfants : Amada et Jokoba." |
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