Ceci dit , la trajectoire du PCOF est intéressante .
Car ce n\'est pas tous les jours qu\'on voit un parti passer de l\' orthodoxie ML au pire révisionnisme en aussi peu de temps .');"> Oui , et tout le Front de gauche , comme un seul homme , continuera à appeler à voter ps au second tour des présidentielles , au nom bien sur de la lutte contre la droite et l’extrême droite .
Ceci dit , la trajectoire du PCOF est intéressante .
Car ce n'est pas tous les jours qu'on voit un parti passer de l' orthodoxie ML au pire révisionnisme en aussi peu de temps .
Finimore |
marquetalia |
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Eric |
![]() La France « regrette » que Barack Obama n'ait pas frappé la Syrie (Fabius) AFP La France « regrette » que le président américain Brack Obama n'ait pas frappé la Syrie à l'automne 2013, a déclaré lundi à Washington le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius. « Nous le regrettons parce que nous pensons que ça aurait changé beaucoup de choses, à beaucoup d'égards, mais c'est un fait et nous n'allons pas reconstruire l'Histoire », a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse. Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_05_13/La-France-regrette-que-Barack-Obama-nait-pas-frappe-la-Syrie-Fabius-9481/ |
Xuan |
![]() Libération totale de Homs Après l'évacuation des rebelles, la population revient dans la ville d'où est partie la "révolution" syrienne. ![]() photo l'Express Ci-dessous l'article du réseau Voltaire Libération totale de Homs RÉSEAU VOLTAIRE | 5 MAI 2014 ![]() Un cessez-le-feu est intervenu entre la Syrie et les mercenaires qui occupent le vieux Homs pour permettre l’évacuation de ces derniers et la libération totale de la ville. Un millier de combattants pourront quitter le centre de Homs avec leur famille, en conservant leur arme individuelle. Ils pourront aussi emporter leurs affaires personnelles dans des valises et seront transportés vers la Turquie dans des bus aux vitres teintées, escortés par des policiers. Les blessés, s’ils sont d’accord, seront transportés dans des ambulances du Croissant-Rouge syrien. Les combattants devront remettre avant de partir la carte des mines qu’ils ont posées. Cet accord n’est pas sans rappeler celui intervenu fin février 2012 entre la Syrie et la France pour l’évacuation de l’Émirat islamique de Baba Amr. À l’époque, environ 3 000 combattants et une quarantaine de familles de civils qui les soutenaient étaient assiégés dans le quartier de Baba Amr où ils avaient proclamé un Émirat islamique et fait fuir la population après avoir égorgé plus de 150 personnes pour non respect de la Charia. Les combattants étaient encadrés par une vingtaine d’officiers français. Un accord fut conclu entre Assef Chaawkat et Claude Guéant permettant leur évacuation et la reddition des combattants. Il se poursuivit par un accord de paix entre les deux pays, la restitution d’autres prisonniers militaires français à la frontière libanaise et la conférence de Genève 1. Cependant, cet accord fut rompu par le nouveau président français, François Hollande. Dans le cas actuel, on ignore quel État étranger encadrait les mercenaires. Toutefois l’accord a été négocié par l’intermédiaire de l’Iran. Il prévoit également la libération de 70 otages détenus par les islamistes et de deux villages chiites. Durant les négociations de Genève, les représentants de l’opposition pro-saoudienne avaient considéré comme une priorité la fin du siège du vieux Homs, laissant à penser que des soldats d’un pays de l’Otan y étaient présents. |
marquetalia |
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Xuan |
![]() 9 janvier 2014 Syrie : Une analyse chinoise Pour l'auteur, les affrontements armés entre certaines forces d’opposition et le gouvernement syrien ont fait place à un combat du « peuple syrien » contre les organisations terroristes qui se sont implantées et sévissent sur une partie du territoire, en particulier l'État islamique en Irak et au Levant (EIIL) et le Front Al-Nosra, toutes deux liées à Al-Qaida. Les exactions de ces deux organisations (assassinats, incendies volontaires, enlèvements suivis de meurtres) ainsi que la tyrannie qu'elles ont imposée dans les zones qu'elles ont occupées, leur a valu « la haine des gens ordinaires » ; même le principal groupe d'opposition soutenu par l'Occident, la Coalition nationale syrienne (CNS), a exprimé son « plein soutien » à la lutte contre le terrorisme dans le Nord et l'Est de la Syrie. L'EIIL est active depuis longtemps en Irak où le, 4 janvier, elle s'est emparée de la ville de Falloujah ; maintenant, elle étend son influence sur le Liban : le 2 janvier, elle a été responsable d'un attentat à la voiture piégée dans la banlieue sud de Beyrouth, tuant au moins quatre personnes et en blessant 70 autres. La guerre contre le terrorisme ne se limite donc plus à la seule Syrie, mais s'étend à de vastes zones environnant ce pays ; de nombreux pays occidentaux et du Moyen-Orient commencent à s'en inquiéter : les États-Unis ont cessé d'apporter une « aide non létale » aux rebelles tandis qu'en Irak ils exhortent le gouvernement à lancer une offensive militaire contre la branche d'Al Qaida dans le pays. Il reste que la puissance de l'EIIL est « considérable » et que « la situation de la lutte contre le terrorisme est encore sombre ». Comment ces organisations terroristes ont-elles pu prendre une telle importance ? A l'évidence, elles ont tiré profit de la guerre civile syrienne : elles ont combattu aux côtés des rebelles syriens ; mais avec pour seul objectif de prendre le pouvoir pour leur propre compte, et à défaut de pouvoir y parvenir, d'occuper quelques parties du territoire pour y mettre en œuvre leur tyrannie. Il a fallu « l'héroïsme de l'armée gouvernementale syrienne » pour mettre un frein à leur offensive . Cependant, ces efforts ne suffiront pas : le gouvernement syrien et l'opposition doivent se saisir de la conférence « Genève II » pour construire un front uni contre l'ennemi le plus dangereux du moment : l'État islamique en Irak et au Levant et ses partisans ; l'Irak, la Syrie et le Liban doivent aussi planifier conjointement leur lutte contre le terrorisme. Arrêter la guerre civile, éradiquer le terrorisme et parvenir à une réconciliation nationale afin de « redonner au peuple syrien la paix et le bonheur de vivre » : tel est, pour l'auteur, l'enjeu essentiel. L'armée gouvernementale : Un rempart contre le terrorisme [1] Ren Yaqiu, Syrie : une « deuxième révolution » ?, Le Quotidien du Peuple, 15/01/2014 Edité le 19-02-2014 à 19:09:35 par Xuan |
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