Dernières réponses | | les anarchotrotskystes ont peut etre tort de prendre partie pour les terroristes tchetchènes réactionnaires,mais ils ont raison de défendre l insurrection libertaire du chiapas où il risque d y avoir d ici peu un bain de sang de l état fasciste mexicain lié aux cartels de drogues et avec l aval de barack obama... |
| | Les libres penseurs, de la FNLP, terminent toujours leurs meetings sous ces mots, suivis de Vive la Sociale, avant d'entonner l'Internationale. Je ne sais pas si l'ex FO Blondel la chante. Ce ne sont pas des anarchistes, plutôt des trotskystes. |
| | zorba a écrit :
Je m'en tiens au vieux principe : ni dieu, ni maitre pour rappeler l'analyse révolutionnaire : la religion c'est l'opium du peuple. |
Ni dieu, ni maître c'est plutôt anarchiste comme slogan, non ? Pour ce qui est de la phrase de Marx "la religion c'est l'opium du peuple", ce serait bien de préciser que cette phrase s'inscrit dans un texte beaucoup moins réducteur que cette seule phrase. " La détresse religieuse est, pour une part, l'expression de la détresse réelle et, pour une autre, la protestation contre la détresse réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l'âme d'un monde sans coeur, comme elle est l'esprit de conditions sociales d'où l'esprit est exclu. Elle est l'opium du peuple. L'abolition de la religion en tant que bonheur illusoire du peuple est l'exigence que formule son bonheur réel. Exiger qu'il renonce aux illusions sur sa situation c'est exiger qu'il renonce à une situation qui a besoin d'illusions. La critique de la religion est donc en germe la critique de cette vallée de larmes dont la religion est l'auréole. " - Critique de "La philosophie du droit" de Hegel, 1844 - |
| | zorba a écrit :
Je m'en tiens au vieux principe : ni dieu, ni maitre pour rappeler l'analyse révolutionnaire : la religion c'est l'opium du peuple. |
oui,certes,mais je voulais juste signaler qu il existe des catholiques marxistes dans le continent de l insoumission. |
| | Dans tous les cas il ne s'agit pas du rôle des religions en Amérique Latine mais des révolutions prolétariennes et des restaurations capitalistes sur le continent européen. |
| | Je m'en tiens au vieux principe : ni dieu, ni maitre pour rappeler l'analyse révolutionnaire : la religion c'est l'opium du peuple. |
| | zorba a écrit :
De même que pendant la guerre civile en Espagne, il y eu des catholiques du côté républicain, pas nombreux certes et pas forcément déterminés à la lutte finale, il ne faut pas confondre une brebis égarée et les maitres du troupeau. Jamais, les maitres de l'Eglise catholique n'ont défendu les guerres d'émancipation et de libération, ils les ont dénaturées et souvent contribué à la résignation devant les horreurs commises permettant le maintien de l'ordre esclavagiste jusqu'à la fin du XIXe siècle et de l'ordre capitaliste de l'ère actuelle. Le fondement des églises, de toutes les églises, c'est l'abrutissement des masses, la résignation, le rejet des méthodes et résultats scientifiques (le plus longtemps possible, voir Galillée) et l'exploitation des faibles, des femmes, bref le racisme en soubassement. Que Cuba, en pleine déconfiture, se tourne vers le Vatican, et son pape allemand féru de théologie, pour traiter les problèmes des cubains, en dit long sur le délabrement de la société et des dirigeants de ce pays. SI les cubains croient au miracle, ils feraient bien de revoir les pages d'histoire récente de leur pays et des pays voisins pour juger du ôle exact des hiérarchies catholiques. |
pourtant,il existe un courant qui s appelle la théologie de la libération,incarnée par un pretre qui créea l eln-camillo torres-,gueriilla justement castriste,puis l ezln au chiapas.c est cette voie qu il faut emprunter,c est parceque elle s en est pris a la religion que l urss s est effondrée,che guevara n a t il pas dit"le jour où les catholiques se raliieront a la révolution,l amérique latine s émancipera?"
Edité le 27-01-2012 à 06:54:21 par marquetalia |
| | De même que pendant la guerre civile en Espagne, il y eu des catholiques du côté républicain, pas nombreux certes et pas forcément déterminés à la lutte finale, il ne faut pas confondre une brebis égarée et les maitres du troupeau. Jamais, les maitres de l'Eglise catholique n'ont défendu les guerres d'émancipation et de libération, ils les ont dénaturées et souvent contribué à la résignation devant les horreurs commises permettant le maintien de l'ordre esclavagiste jusqu'à la fin du XIXe siècle et de l'ordre capitaliste de l'ère actuelle. Le fondement des églises, de toutes les églises, c'est l'abrutissement des masses, la résignation, le rejet des méthodes et résultats scientifiques (le plus longtemps possible, voir Galillée) et l'exploitation des faibles, des femmes, bref le racisme en soubassement. Que Cuba, en pleine déconfiture, se tourne vers le Vatican, et son pape allemand féru de théologie, pour traiter les problèmes des cubains, en dit long sur le délabrement de la société et des dirigeants de ce pays. SI les cubains croient au miracle, ils feraient bien de revoir les pages d'histoire récente de leur pays et des pays voisins pour juger du ôle exact des hiérarchies catholiques. |
| | on le voit,cuba veut faire partie du fmi,et libéralise son économie,et la corée du sud se prépare a la chute prochaine de la rpd de corée du nord;quel avenir pour le communisme? |
| | et il y a l ezln au mexique,qui meme si elle est "communiste libertaire",doit etre soutenue,elle défend ces pauvres indigènes du chiapas sur lesquels chient les touristes qui vont admirer les temples mayas du sud du mexique,et se fouttent eperdumment de la compassion avec les opprimés-preuve que,contrairement a ce que dit zorba,le christianisme n a rien a voir avec ce nouvel ordre mondial matérialiste,la théologie de la libération dont sont proches les guérillas latinoaméricaines prone le partage et l amour du prochain-tous les pretres ne sont pas pour monseigneur lefevre...-. |
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