Dès la fin de la guerre, les partis communistes ont été confrontés à un adversaire aussi dangereux que le nazisme, l\'impérialisme américain. Dès le débarquement, les USA n\'avaient en tête que l\'extension de leur sphère d\'influence, la partie occidentale de l\'Europe libérée par les troupes américaines mais aussi la partie orientale que la mise en place de l\'OTAN et la remilitarisation de l\'Allemagne non dénazifiée allaient renforcer pour porter les coups les plus rudes aux pays de la zone occupée par les troupes soviétiques.
En 1949, avec la création de la RFA, suivie de près par les accords de la CECA, les politiques occidentales avaient viré à l\'anticommunisme, et elles n\'ont jamais varié. Aussi bien avec les partis de droite qu\'avec les partis dits de gauche, socialistes ou radicaux.
Les communistes français ont pactisé avec leurs adversaires, l\'histoire a montré que c\'était une erreur mortelle.
On peut chercher d\'autres explications dans les relations entre les partis communistes restés fidèles à l\'URSS. Depuis la dissolution du Komintern, abandon de l\'internationalisme par les russes, les partis occidentaux n\'avaient plus grand soutien ni raison de faire la révolution dans un monde passé officiellement sous tutelle américaine, donc forcément "démocratique" et libéral.');"> Les militants communistes français ont renforcé le mouvement révolutionnaire en France quand l'organisation était basée sur la fidélité à l'Internationale, le PcF n'était que la SFIC. Ce furent les militants les plus déterminés et les plus sévèrement réprimés, aussi bien par les faux alliés du front populaire, que par les pétainistes pendant la guerre.
Dès la fin de la guerre, les partis communistes ont été confrontés à un adversaire aussi dangereux que le nazisme, l'impérialisme américain. Dès le débarquement, les USA n'avaient en tête que l'extension de leur sphère d'influence, la partie occidentale de l'Europe libérée par les troupes américaines mais aussi la partie orientale que la mise en place de l'OTAN et la remilitarisation de l'Allemagne non dénazifiée allaient renforcer pour porter les coups les plus rudes aux pays de la zone occupée par les troupes soviétiques.
En 1949, avec la création de la RFA, suivie de près par les accords de la CECA, les politiques occidentales avaient viré à l'anticommunisme, et elles n'ont jamais varié. Aussi bien avec les partis de droite qu'avec les partis dits de gauche, socialistes ou radicaux.
Les communistes français ont pactisé avec leurs adversaires, l'histoire a montré que c'était une erreur mortelle.
On peut chercher d'autres explications dans les relations entre les partis communistes restés fidèles à l'URSS. Depuis la dissolution du Komintern, abandon de l'internationalisme par les russes, les partis occidentaux n'avaient plus grand soutien ni raison de faire la révolution dans un monde passé officiellement sous tutelle américaine, donc forcément "démocratique" et libéral.
Xuan |
zorba |
![]() Je n'épiloguerai pas non plus sur l'analyse et l'opinion, c'est un domaine réservé auquel je suis étranger, probablement à cause de mon athéisme héréditaire. |
Alex |
![]() Rien n'est adossé à une analyse concrète et DE CLASSE des situations auxquelles il fait référence. Donc Zorba nous sort un bla bla idéologiquement anar, très consensuel, politiquement correct : capitalisme, communisme c'est pareil. Ni Hitler, ni le front populaire etc .... Rien à dire dans ce type de propos qui relèvent de l'opinion et pas de l'analyse - On ne discute pas avec les croyants sur le sexe des anges, sauf à se mettre à croire - comme eux - que les anges existent ! |
zorba |
![]() Les peuples passés sous l'autorité russo bolchévique auraient-ils voté pour la privation des libertés religieuses, l'abolition de la propriété privée et l'installation d'un pouvoir autoritaire, doux euphémisme dominical. Tout système de pouvoir reste plus ou moins impérial, et pour gérer des millions de km^2, il faut aussi des préfets, des militaires et un système répressif. Le régime soviétique n'y a pas échappé et faire croire que tout est possible à la base sans pouvoir central reste utopie sans lendemain. Pareil pour la Chine, pays qui compte parmi ceux qui appliquent le plus régulièrement la peine de mort. Ni l'URSS, ni la Chine ne peuvent se tenir à l'écart des moyens de répression, pour protéger leurs frontières avec des militaires, pour encadrer leurs opposants, y compris en les condamnant à mort, et quelques fois bien rapidement. Comme les pays capitalistes le font dans le plus grand silence. |
Xuan |
![]() Mais ce fut une erreur de continuer à défendre au nom du socialisme un pays qui pratiquait déjà l'impérialisme. |
zorba |
![]() En attendant le système communiste soviétique a disparu laissant au chômage ses détracteurs de toujours, de ceux qui hurlaient contre le pacte germano soviétique à tous les illusionnistes des droits de l'homme, de Berlin, Hongrie, Tchéquie et Afganistan réunis pour remettre sur rails l'impérialisme et son mode d'exploitation capitaliste, y compris en Chine, pays qui n'a pas été critiqué comme étant révisionniste, serait-il resté capitaliste et respectueux des droits de l'homme. L'histoire se demandera bien un jour pour quelles raisons. |
Alex |
![]() il serait utile de lire l'analyse critique de ce texte réalisée par l'OCF. (publiée sur ce forum) Le PRCF et en tout cas ses dirigeants ont découvert la trahison révisionniste lorsqu'ils sont sortis du P"c"F ! dans les années 90. Ils ne font aucune critique sur l'invasion de la Hongrie, de la Tchéco, de l’Afghanistan. Pour eux la Russie était toujours communiste de 56 à la chute du mur ! Leur but : tenter de réunir les "vrais communistes", c'est leur expression, pour reprendre l'appareil du parti. Ce sont des opportunistes, qui saupoudrent leur "programme" d'un peu de nationalisme |
zorba |
![]() Sans candidat communiste, pêche à la ligne ou ballade en vélo. |