Sujet :

hystérie anticommuniste dans l'Obs

Xuan
   Posté le 20-08-2016 à 23:33:05   

Antoine Manessis, responsable des questions internationales du PRCF, signale la Une et l'article parfaitement crapuleux de l'Obs sur Mao Tsétoung.

Nous ferons ici toute la place nécessaire aux initiatives prises pour combattre cette nouvelle campagne anticommuniste.

On lit dans ce torchon :


question de l'Obs:

"On a l’impression accablante que Mao n’avait pas grand-chose à envier à Staline, ni même peut-être à Hitler…"

réponse de l'historien de service :

"Il est certain que ces trois-là figurent au palmarès des plus grands criminels de l’histoire, bien qu’il ne soit pas simple de les départager. Qui est le plus inhumain ? Qui est le plus meurtrier ?
Si l’on prend le critère du nombre total de morts, Hitler et Mao sont les champions. Hitler a provoqué la mort d’environ 55 millions de personnes. Ce chiffre comprend les victimes des exterminations et celles de la guerre en Europe. Mao a causé un nombre équivalent de morts, plus de 50 millions, voire bien plus."



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L'Obs publie une série d'articles particulièrement haineux et mensongers "la Chine de Mao : les cannibales de la révolution", "Mao le plus grand criminel de l'histoire", "une débauche de sauvagerie : le vrai bilan du dictateur Mao".
Campagne reprise sur le média d'Etat France Culture :40 ans après Mao est toujours là

Nous avons déjà signalé dans l'étude
« 50 ans après la révolution culturelle », qui pourrait être sous-titrée « Mao jamais déstalinisé », une campagne de presse destinée à abattre la figure de Mao Tsétoung de la même façon que Courtois et sa bande firent avec Staline.

Cette campagne de presse (dont l’article de l’Obs est un élément, mais le Monde n’a pas grand-chose à lui envier) ne tombe pas du ciel, mais prend ses racines à la fois dans le débat au sein du PCC, dans l'aiguisement des contradictions mondiales, et dans l’accentuation de la lutte de classe en France.

> Concernant la lutte idéologique au sein du PCC, et bien que le bilan autocritique de l’œuvre de Mao ait été tiré en 1981(« Résolution sur quelques questions de l'histoire de notre parti depuis la fondation de la République populaire »), le débat concernant la pertinence de ses analyses sur la lutte de classe dans la société socialiste n’est pas clos, particulièrement sur le rapport entre lutte de classe et contradiction au sein du peuple.
Par exemple ce texte publié le 24 juin sur le site Qiushi en chinois « le traitement scientifique de Mao sur la lutte des classes dans la société socialiste » (malgré la traduction automatique de Google on devine le sens général).
Pour les « sinologues » bourgeois ce débat est une catastrophe car il démontre que le PCC n’a jamais rejeté Mao ni Staline aux orties comme le fit Khrouchtchev, mais plus encore que le risque de restauration du capitalisme en Chine est parfaitement pris en compte par les communistes chinois.
Ceux-ci n’ont du reste nul besoin des « conseils » ni des avertissements antirévisionnistes de certains « marxistes-léninistes », particulièrement dans notre pays où une certaine intelligentsia se croit autorisée à instruire les autres peuples, au nom d’une expérience française riche en révolutions mais qui n’a cependant encore jamais abouti au socialisme.

La campagne anti-communiste apparaît au moment où la répression de la corruption est devenue systématique en Chine, et où Xi et le PCC mettent l’accent sur l’étude du marxisme, afin de combattre l’idéologie bourgeoise dans tous les domaines. Naturellement les réactionnaires, qui en sont parfaitement informés, et qui ont fait leurs choux-gras de la restauration du capitalisme (mais le plus noir) en Chine, seraient bien en peine de restituer les enjeux de ce débat.
Aussi, après avoir vertement dénoncé la corruption en Chine (du reste à partir de la presse chinoise elle-même), Le Monde inféodé au PS à travers les sympathies des ses principaux actionnaires, dénonce maintenant la lutte contre la corruption, désignée pour ce faire en « lutte de factions » .


> Mais cette campagne se déclenche aussi au moment où l’hégémonisme US en voie d’effondrement se lance dans une nouvelle guerre froide tant contre la Russie que contre la Chine, qui se prépare à affronter une véritable agression militaire.
Les provocations multiples de la marine et de l'aviation US, prenant la mer de Chine pour une extension des Caraïbes et les pays limitrophes pour des pantins aux ordres d'Obama, indiquent clairement la volonté d'encercler la Chine à des fins d'agression militaire.
Dans ce cadre, la campagne anti-communiste participe de cette guerre froide et n’est ni plus ni moins qu’une tentative d’ingérence destinée à infléchir la ligne du PCC ou du moins influencer le public chinois en France. Elle constitue une insulte au peuple chinois et à son histoire.


> Cette campagne s’inscrit aussi dans la lutte de classe en France et son accentuation à l’occasion de la loi travail notamment.
Le parti socialiste, fraction la plus atlantiste de la grande bourgeoisie française, s’est fait ouvertement le promoteur des exigences du capital.
Comprenant que son électorat ouvrier et immigré l’abandonne, il se tourne vers les milieux catholiques et islamophobes, reprenant à sa manière les derniers moments du duo Sarkozy-Buisson. La jonction de la lutte de classe et du marxisme-léninisme est sa plus grande crainte.
Le PS serait prêt à tout pour l’éviter, y compris à travers sa presse à l’hystérie anticommuniste. Nous avons eu pendant la lutte contre la loi Travail quelques échantillons du mensonge d’Etat poussé à son paroxysme, et incitant Giesberg à comparer la CGT à Daesch.

Salir la mémoire des grands dirigeants du prolétariat comme Staline ou Mao Tsétoung n'a d'autre but que de décourager la classe ouvrière de toute action révolutionnaire, afin qu'elle s’accommode de son sort et de toutes les réformes anti populaires que voudront promouvoir le MEDEF et l'Etat bourgeois.

La haine de Mao dans l'Obs n'est rien d'autre que la haine de classe.



Edité le 21-08-2016 à 00:00:12 par Xuan


marquetalia
   Posté le 21-08-2016 à 00:09:23   

Le fascisme japonais est lié certainement à la diabolisation de Mao Tse Toung,pour nier les crimes de l Armée Impériale de 1937 a 1945,et remilitariser l archipel en vue d une participation a la prochaine guerre u.s contre la République Populaire Démocratique de Corée,que la Chine est en train de lâcher lâchement.


Edité le 23-08-2016 à 22:11:49 par marquetalia


Finimore
   Posté le 21-08-2016 à 08:58:35   

L'Obs (anciennement Le Nouvel Observateur) fut comme le montre l'ouvrage "Deuxième gauche - Réformisme et lutte de classe" un élément déterminant dans la campagne anticommuniste des nouveaux philosophes en 76-77... et plus largement dans le soutien permanent aux thèses de la "deuxième gauche" et plus précisément dans l'antistalinisme.

Plus d'infos sur "Deuxième gauche réformisme et lutte de classe" sur :

http://www.vivre-a-chalon.com/lire_Deuxieme-gauche...-Un-ouvrage-d_actualite,2303d0df170ff4e38844f303c7ad8a9e1cd5aa18.html

http://editions-proletariennes.fr/Actu/dg2liste/dgversions.htm
Xuan
   Posté le 21-08-2016 à 15:15:03   



Un chapitre important de cet ouvrage "Attaques et défenses du marxisme (1970-2016)" décrit la campagne anticommuniste dont le Nouvel Obs a été un des chefs de file avec la deuxième gauche.



L’emblématique Nouvel Observateur : de L’Observateur à l’Obs en passant par France Observateur

Le Nouvel Observateur (comme ses ancêtres l’Observateur et France Observateur ou aujourd’hui l’Obs ) joue un rôle central dans la construction du corpus idéologique de la deuxième gauche. A toutes les étapes de sa construction, nous
retrouvons Le Nouvel Observateur à travers ses responsables, ses chroniqueurs.

D’autant plus que contrairement à L’Express dont l’orientation très antimarxiste et droitière n’est un secret pour personne, « le Nouvel Obs » bénéficie d’un volant de sympathie important à gauche (surtout PS), à l’extrême gauche (surtout PSU), à la CFDT ou chez les écologistes et les cathos de gauche. Il bénéficie aussi de ses racines anticolonialistes, notamment contre la guerre d’Algérie à travers Claude Bourdet ou Gilles Martinet fondateurs en 1950 de L’Observateur avec Roger Stéphane (secrétaire national de l’Union de la gauche socialiste).

--Gilles Martinet (1916-2006) devient secrétaire national du PSU de 1960 à 1967. Il quitte le PSU en 1972 et rejoint le PS (pour de plus amples infos lire Gilles Martinet : le symbole d’une époque dans le livre « Mon PSU (Dialogue avec Stéphane Sitbon-Gomez » de Guy Philippon – Les Petits matins – 2013- )

--Claude Bourdet (PSU) avait dénoncé fermement dans France Observateur, le massacre du 17 ocobre 1961. L’OAS
voulait l’exécuter. Une chronologie du PSU est également disponible dans le livre de Guy Philippon ainsi qu’une liste « des personnalités passées par le PSU » .

Les liens privilégiés du Nouvel Obs avec le PSU, vont en faire l’élément central qui fera la passerelle avec la CFDT et le PS, mais aussi avec la gauche autogestionnaire et les écologistes avec le lancement du magazine Le Sauvage (voir chapitre 11).


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La fiche wikipédia sur les « nouveaux philosophes » indique qu’après l’autodissolution de la Gauche Prolétarienne en novembre 1973, « André Glucksmann, appelle à entreprendre une critique de fond du marxisme, à partir d’une réflexion sur le totalitarisme » .

Plusieurs organes de presse vont être en pointe dans la promotion comme produit marketing de ces « penseurs » au service de l’impérialisme, avant et après leur passage à la télévision, c’est notamment : l’éditrice Françoise Verny de chez Grasset, Les Nouvelles Littéraires, Le Monde, Le Nouvel Observateur, L’Express, Actuel, Libération ...
Maurice Clavel et André Gorz sous le pseudonyme de Michel Bosquet (voir dans la chronologie du chapitre 3 la date du 10 juin 1976)
Dans le livre 68, une histoire collective (1962-1981) écrit sous la direction de Philippe Artières et Michelle ZancariniFournel -La Découverte, 2008, un chapitre de François Cusset : « Les “nouveaux philosophes” ou la fin des intellectuels »
indique très justement :

« Mais les nouveaux philosophes n’ont pas le monopole de la critique des goulags, qui redonne alors une légitimité aussi bien à la droite libérale atlantiste (avec le retour en grâce de Raymond Aron et le succès du Comité intellectuel pour l’Europe des libertés) qu’à la « nouvelle droite » messianique et civilisationelle d’Alain de Benoist, à la deuxième gauche en plein essor de Michel Rocard et Pierre Rosanvallon qu’aux bastions
antimarxistes en passe de s’imposer dans plusieurs disciplines universitaires -en particulier en histoire avec François Furet. Surtout, les nouveaux philosophes suscitent aussitôt une levée de boucliers qui, dûment montée en épingle par André Glucksmann et Bernard-Henri Lévy en nouveaux « procés de Moscou », leur vaudra un certain capital de sympathie. »
p 733


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A propos de Laurent Joffrin, collaborateur au Nouvel Observateur , dont il a été directeur de la rédaction de mars 2011 à mars 2014 :

Novembre 1997 :
Le quotidien « Libération » publie dans son édition du 12 novembre 1997, plusieurs articles sur Le Livre noir…
--L’éditorial de Laurent Joffrin intitulé « Mémoire » est sur le fond et la forme caractéristique de sa pensée anticommuniste.
« Mémoire : Ce qui frappe, encore et toujours, c'est l'invraisemblable refus de savoir. Le choc du Livre noir ne s'explique pas autrement. Car ce qui est là synthétisé, démontré, établi par les méthodes irréfutables de l'Histoire, avait été, bribe par bribe, chapitre après chapitre, révélé au fur et à mesure que «l'avenir radieux» se matérialisait. Lénine coupable? Les dirigeants de la IIe internationale, dès avant Octobre, avaient théorisé et prévu les crimes des bolcheviks, qu'ils tenaient, avec un solide bon sens, pour des furieux. L'organisation militaire du parti et la prétention de passer d'un seul coup à la société future, disaient-ils, portaient en elles la répression de masse. On ne pouvait mieux dire. L'étendue des massacres? Dès les premiers «retours d'URSS», à l'instar de Souvarine, père de tous les lucides du communisme, le coût humain des agissements tchékistes avait été décrit, sinon comptabilisé. Mais «ils faisaient le jeu de l'ennemi», comme on disait à l'époque. La nature des crimes? Il y a au moins vingt ans qu'on connaît, documents à l'appui, ces ordres terribles de Lénine, de Staline, désignant des catégories entières d'innocents, femmes, enfants et vieillards compris, à la vindicte des bourreaux à l'étoile rouge.

Sans parler de Mao...

C'est pourquoi il est bon, 80 millions de morts plus tard, que mémoire et histoire, ces deux forces qui s'additionnent si on ne les confond pas, se conjuguent pour édicter un nouveau «plus jamais ça». C'est pourquoi il est bon que se pose, même si la réponse n'est pas simple, la question du crime contre l'humanité, bien que l'incrimination du tribunal du Nuremberg, et pour cause, n'ait pas été créée pour cela. Question à manier avec précaution, tant est proche la trompeuse tentation d'assimiler nazisme et communisme. Mais question tout de même: les massacres de masse ont bien visé des groupes sociaux tout entiers, affectés d'une dangerosité purement virtuelle ou fantasmatique, le tout dans le cadre d'une idéologie totalitaire. Juristes et historiens poursuivront la discussion. Encore fallait-il la rouvrir...


Laurent Joffrin » (Libération 12/11/1997)



Edité le 21-08-2016 à 15:33:42 par Xuan


Xuan
   Posté le 21-08-2016 à 23:46:36   

L'Obs sur les traces de Goebbels




La Une de l'Obs : gros titre provocateur, fond rouge sang. Il ne manque plus que le couteau entre les dents.


L'Obs espère ainsi poursuivre et conclure l'entreprise initiée avec Staline : déconsidérer aux yeux du peuple les dirigeants du mouvement communiste international.

Mais les circonstances ont changé.

La charge contre Staline s'effectuait dans une période où l'URSS s'effondrait à cause de la contre-révolution révisionniste, conjuguée avec la vague de la mondialisation libérale qui triomphait dans tous les domaines.

Aujourd'hui la crise mondiale du capitalisme ne faiblit pas malgré l'essor des pays émergents, de sorte que les contradictions des pays impérialistes se font de plus en plus aiguës.
Les tentatives de subversion au Moyen Orient font désormais long feu et les alliances nouées par l'impérialisme US se délitent, tandis que le développement inégal et les rapports d'oppression entre pays impérialistes provoquent des fractures au sein des institutions communes.
L’équilibre militaire et diplomatique bascule au Moyen Orient et l’OTAN ne peut plus compter avec certitude sur la Turquie, acculant la diplomatie française dans les contradictions de son atlantisme forcené.
Le terrorisme fomenté et soutenu par l'impérialisme se retourne contre lui-même, s'alimente du chômage et provoque de nouvelles fractures morales, communautaristes et religieuses en son sein.
Les contradictions de classe épuisent toutes les solutions réformistes et usent le personnel politique bourgeois, tandis que la classe ouvrière et le peuple relèvent la tête.
L'illusion du passage pacifique au socialisme et de l'Union de la Gauche avec le Parti Socialiste se sont effondrées.

Ce n'est donc plus le socialisme qui est au creux de la vague mais le système capitaliste, aux prises avec une crise inégalée, non seulement économique et sociale, mais politique et idéologique, remettant en cause ses valeurs, sa philosophie et ses institutions.

A l'inverse, et malgré de grandes difficultés dues à la crise mondiale et à l'hostilité des pays impérialistes, la Chine avance vers une prospérité moyenne tandis que les puissances impérialistes déclinent.

Prétendre que la Chine est capitaliste réduit à néant la critique contre son "communisme".

Mais affirmer comme Pierre Haski que Mao est "l'indétrônable timonier" de la Chine ne peut que démontrer la supériorité du socialisme passé en moins de 70 ans du Moyen Age à l'industrie moderne, à la pointe de la technologie et à une "prospérité moyenne", sans coloniser d'autres nations ni asservir d'autres peuples.

Contrairement à la campagne anticommuniste contre Staline, s’appuyant sur la trahison de Khrouchtchev (et sur la complaisance de Robert Hue dans notre pays), la campagne anticommuniste contre Mao est lancée alors que le Parti Communiste Chinois n’a jamais déstalinisé Mao Tsétoung, mais au contraire accentue la lutte contre la corruption et remet le marxisme à l’étude.

La campagne anticommuniste de l'Obs et Cie se présente donc dans des circonstances défavorables. Ses outrances et l'absence de démonstration et de preuve la fragilisent.
Au lieu de porter ses fruits, elle risque de jeter la suspicion sur la légitimité de l’anti stalinisme qui l’a précédée.

La haine hystérique qui anime cette campagne de presse est une haine de classe.
La dénoncer constitue pour les communistes un enjeu important à tous points de vue.
marquetalia
   Posté le 22-08-2016 à 21:13:06   

les héritiers de Mao sont les guérillas du Sendero Luminoso,les guérillas philippine et naxalite,pas cette Chine "Populaire" qui a des troupes au Mali AUX COTES DES PUISSANCES OCCIDENTALES!
marquetalia
   Posté le 23-08-2016 à 00:08:39   

TOUT CA ME MOTIVE A JETER LES UN OU DEUX OBS QUI TRAINENT DANS MON BUREAU.
marquetalia
   Posté le 23-08-2016 à 11:36:06   

"...les alliances nouées par l impérialisme US se délitent....";les Etats Unis gardent la mainmise sur les monarchies pétrolières du Golfe,engluées dans leur djihad génocidaire contre les chiites du Yemen,défendus par les Houthis.par ailleurs, c est plus l Arabie Saoudite qui finançait dans les années 90 le défunt G.i.a,que Riyad voulait installer au pouvoir à Alger pour y écraser dans le sang toute contestation sociale,les terroristes s en étant effectivement pris à des syndicalistes dans leur campagne nihiliste sanglante.Mais tout peux changer,l Arabie Saoudite ayant rejoint il y a peu la Banque Asiatique d Investissements des Infrastructures dirigé par la Chine,qui va à terme évincer les puissances impérialistes de toute l Asie,excepté Taiwan et le Japon,on comprend maintenant pourquoi Obama refuse de retirer les quelque 8.400 soldats déployés en Afghanistan,ce pays pouvant tomber dans la sphère d influence de Pékin.de la meme facon,de nombreux pays africains et américains ont rejoint la BAII,notamment l Egypte et evidemment les BRIICS tel le Brésil ou l Afrique du Sud.le XXIème siècle sera chinois,mais aucunement socialiste.


Edité le 23-08-2016 à 11:38:22 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 23-08-2016 à 11:39:12   

Pourquoi l Arménie ne rejoint elle pas la BAII?
marquetalia
   Posté le 23-08-2016 à 13:17:05   

le Chili,la Colombie et le Venezuela sont candidats,ainsi que l Algérie,la Libye,le Nigéria,le Sénégal,le Soudan,et meme le Canada;le camp socialiste a détruit les empires coloniaux européens,le pays hybride du socialisme de marché va faire de meme avec l Empire.Chypre,Grèce la Belgique et l Irlande vont également rejoindre la BAII.


Edité le 23-08-2016 à 22:16:37 par marquetalia


Xuan
   Posté le 23-08-2016 à 15:06:54   

marquetalia as-tu fini de dire tout et son contraire ?