Sujet : Le hold-up des pseudo-socialistes sur la France | | Posté le 08-12-2011 à 13:39:35
| Bonjour, Même si nous ne sommes pas toujours d'accord, voici un site qui devrait nous mettre d'accord sur un point : http://www.electionpresidentielle2012.net Amis communistes, nous avons un ennemi commun : les pseudos-socialistes ! Qui sont les pseudo-socialistes ? Ce sont des professionnels de la politique, souvent Enarques, qui à la suite de Mitterrand n’ont qu’un seul but : prendre le pouvoir et ses avantages. Ils ont pensé que l’objectif était plus facile à réaliser par la gauche que par la droite mais ils n’ont d’autres convictions que leur intérêt. La droite a été et reste polluée par des pseudo-libéraux, de même origine, mais eux n’ont pas commis l’irréparable. Quelle est la méthode utilisée ? C’est une méthode très efficace : recruter des fonctionnaires qui leur seront dévoués à vie et leur créer de nouveaux privilèges pour les maintenir au chaud. Ils ont constitué un troupeau de vaches sacrées à leur service électoral. Combien la France paye-t-elle de vaches sacrées ? Environ 7 millions, plus 3 millions de retraités et 800.000 contractuels, tous payés par l’impôt. Comment la France se compare-t-elle aux autres pays ? En pourcentage de la population active, la France compte 26% de fonctionnaires et assimilés (plus que les ex pays communistes) alors que la moyenne européenne est à 12 - 13%. De combien les pseudo-socialistes ont-ils augmenté le nombre de fonctionnaires ? De 1,4 millions, entre 1981 et 2007. Contrairement au projet de de Gaulle, le système de régions mis en place par Deferre n’avait qu’un seul but : élargir l’assise territoriale des fonctionnaires et contrôler les élections locales puis nationales. Pourquoi les pseudo-socialistes n’ont-ils pas continument capté le pouvoir depuis 1981 ? C’est heureusement grâce à la concurrence interne des éléphants. Quel est le coût annuel de ces vaches sacrées créées par les pseudo-socialistes ? Il est de 70 milliards d’euros. Si le nombre de fonctionnaires était à la moyenne européenne, l’économie annuelle serait de 140 milliards d’euros. Quel est le coût global de l’emploi à vie ? Pour ces 1,4 millions de fonctionnaires, c’est 4 200 milliards d’euros (plus de 2 années de PIB de la France). Sur le nombre total excédentaire : 8 000 milliards ! Depuis 1981, combien a-t-on dépensé pour ces nouvelles vaches sacrées ? 2 100 milliards, dont 1 500 milliards ont été financés par la dette. On n’a pratiquement pas commencé à les financer et chaque contribuable privé a hérité d’une dette de 64 000 euros. Evidemment, pour payer ces frais supplémentaires, les entreprises et leurs employés devraient travailler beaucoup plus longtemps que dans les autres pays. Avec les 35 heures, cela leur a été interdit. Quoiqu’il en soit, les fonctionnaires ne payent pas d’impôt : ils transfèrent à l’état une partie de l’impôt payé par les entreprises et qui sert à payer leur salaire. En ne remplaçant qu’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, en combien de temps Sarkozy résoudra-t-il le problème ? Si sa politique est maintenue : 47 ans. Pour l’ensemble des fonctionnaires en surnombre : 133 ans. Mais le programme socialiste pour 2012 prévoit déjà l’embauche de fonctionnaires comme pompe électorale. Qui va payer ? Vous avez peut-être des illusions ? Ce sont les entreprises, qui seules créent de la richesse, qui génèrent l’impôt et qui doivent tout (tout) payer. Mais il faut exclure de ces entreprises celles qui travaillent pour l’Etat et sont ainsi payées par l’impôt. Elles sont nombreuses et puissantes. La France est-elle prête à regarder en face le problème du surnombre de vaches sacrées ? Absolument pas car le système est verrouillé : La masse des fonctionnaires est telle que les majorités de droite comme de gauche ne peuvent se passer de leurs votes, L’audience des fonctionnaires dicte la conduite des journalistes, Par leur nombre, leur activisme et leur mécanisme de détachement, les vaches sacrées contrôlent les syndicats, Les vaches à lait ne sont plus représentées en tant que telles au parlement depuis longtemps. A qui la faute ? Avec le développement à partir de 1980 - 1981 du social populisme à la Perón, on rejette la responsabilité sur la mondialisation, les banques, le CAC 40, Liliane Betancourt, Eric Woerth, le dollar, l’euro, le yuan et la Rolex de Sarkozy… On crée un nuage de fumée pour cacher des pratiques dignes de la mafia ou des républiques bananières où les voix s’achètent. La France est-elle capable de réagir par elle-même ? Non. Le social populisme a développé l’égoïsme, la jalousie, l’avantage acquis à vie… et la majorité des Français ne s’intéresse plus à la France. Nos politiques et nos médias les ont drogués pour un plat de lentilles électoral. La vérité viendrait tout détruire. Y a-t-il une autre solution ? Tous les analystes savent bien que cela ne durera plus longtemps (DSK en premier, mais aura-t-il le courage de le dire ?). L’électrochoc viendra de l’extérieur. Nous savons qu’il n’est pas possible de toucher au salaire et au nombre de fonctionnaires sans déclencher une révolution. L’augmentation des taux d’intérêt, l’impossibilité pour la France de se financer, la sortie probable de l’euro, de sérieuses dévaluations, une perte de compétitivité des entreprises générée par l’impossibilité de financement, le chômage à deux gros chiffres, tous ces maux se profilent très rapidement à l’horizon. Et les entreprises doivent exiger de n’être pas les seules à payer. Il faudra une nuit du 4 août et abolir les privilèges. Que peuvent faire les vaches à lait dans cette situation ? La grève de l’impôt est exclue pour de vrais citoyens (sauf cas extrême). Il faut donc espérer être représentés à notre juste valeur économique dans la gestion du désastre financier qui se prépare. Autrefois des entreprises finançaient des politiques pour les représenter, ce qui a été considéré comme totalement immoral. Aujourd’hui les vaches sacrées font élire leurs représentants vaches sacrées avec leurs salaires à vie payés par les vaches à lait. Car c’est nous qui finançons les pseudo-socialistes. La remise en cause de la France sur le plan international est inéluctable. C’est d’autant plus rageant que, sans ses fonctionnaires pléthoriques, la France serait le pays le plus riche d’Europe par le travail et la compétence de ses entreprises. Il faudra d’une manière ou d’une autre rééquilibrer le pouvoir politique en supprimant la possibilité pour les fonctionnaires, dont le statut à vie est garanti, à représenter - souvent contre eux - ceux qui travaillent. On ne peut pas à la fois rester fonctionnaire et être député ou sénateur. Où est l’égalité ? La bataille sera longue mais les entreprises doivent s’impliquer, même si elles se tournent de plus en plus vers l’étranger pour éviter le piège économique de la France. En effet, il est plus rentable, à prix de revient égal, de produire dans un pays à faibles prélèvements (charges sur salaire, taxe professionnelle, IS,…) et d’importer, que de produire en France. L’impôt tue l’activité, mieux que les bas salaires ouvriers. Devinez d’où vient la surimposition en France ? http://www.electionpresidentielle2012.net |
| | Posté le 09-12-2011 à 05:09:47
| Autant il faut s'interroger sur la nature des dirigeants socialistes plus au service du grand patronat privé que des populations ouvrières et laborieuses, autant le développement anti fonctionnaire n'a pas sa place dans ce forum. L'ennemi de classes reste le bourgeois, hautement diplômé, passé par la sélection au service du Kapital, qu'il soit haut fonctionnaire, cadre supérieur dans le privé ou dirigeant socialiste. Ce bourgeois élévé dans la haine de classe, anticommuniste, toujours compréhensif avec les dogmes religions et l'obscurantisme judéo chrétien reste opposé à l'émancipation socialiste révolutionnaire. Il doit être combattu comme les héritiers des 200 familles, De Wendel - Seillieres ainsi que tous ceux qui les servent, des Delors Aubry à DSK Fabius Lang et Hollande . Le problème des fonctionnaires n'en est un que pour les réactionnaires, bien abrités par leurs fortunes et leurs diplômes. |
| | Posté le 09-12-2011 à 19:41:18
| neo94600 a écrit :
Même si nous ne sommes pas toujours d'accord, voici un site qui devrait nous mettre d'accord sur un point : http://www.electionpresidentielle2012.net Amis communistes, nous avons un ennemi commun : les pseudos-socialistes ! |
neo94600 ne s'est pas présenté, mais ça ne sera pas nécessaire. Les communistes ont pour ennemi la classe capitaliste et les partis qui la représentent comme le PS ou bien l'UMP. Le site pour lequel il fait la retape est ouvertement sarkozyste et il s'est trompé d'adresse en venant ici. Je l'invite à ne pas s'éterniser. |
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