Sujet : L'erreur fatale d'Hitler | |  Posté le 29-09-2024 ŕ 16:22:01
| Extrait de Les cent derniers jours d'Hitler, de Jean Lopez, aux Éditions Perrin
« J’ai compris quelle erreur fatale j’ai commise en attaquant l’Union soviétique. Je n’aurais jamais imaginé que Staline pouvait à ce point inoculer ses idées à son peuple. Il faut être un génie de la politique et de la stratégie pour pouvoir organiser son peuple dans des conditions si défavorables et au milieu d’un combat sans précédent, comme ça a été le cas à Moscou, Stalingrad et Leningrad. Et Staline s’est révélé l’homme capable de faire ça. Si j’avais la chance de vivre encore et de diriger l’État, je prendrais toujours exemple sur lui. » Adolf Hitler |
| | Posté le 30-09-2024 ŕ 05:24:52
| | Jean Lopez est un journaliste de complaisance, certainement pas un historien puisant aux sources pour produire ses "synthèses" commerciales y compris celle sur Joukov qui effectivement a organisé et réussi la victoire des armées soviétiques à Moscou en 1941. |
| | Posté le 30-09-2024 ŕ 11:09:55
| | tu penses que la citation est apocryphe ? |
| | Posté le 30-09-2024 ŕ 11:13:42
| Personnellement, je la trouve crédible. Comme Roosevelt ou De Gaulle même Churchill je crois ont reconnu des qualités objectives à Staline, qualités niées dans la propagande bourgeoise occidentale de ces 50 dernières années, qui a formaté les cerveaux de toute une population.
Bien entendu, Staline n'est pas du tout vu de la même manière hors d'Occident.
Il faut le reconnaître, Hitler aussi. Mais comme je le dis à tout le monde : il y'a une différence objective et qualitative très importante entre tuer des millions d'hommes, femmes, enfants en raison de leur appartenance religieuse réelle ou supposée, ou à des groupes ethniques (slaves, gitans etc) ou des handicaps, et éliminer des opposants politiques et des adversaires de classe.
Les opposants à la politique de Staline devraient avoir l'honnêteté intellectuelle de le reconnaître mais à l'heure actuelle, rares sont ceux qui le font |
| | Posté le 30-09-2024 ŕ 11:14:43
| | ya la question homosexuelle aussi, punie de 5 ans de goulag sous Staline, mais sous Hitler c"était les chambres à gaz pour les homos, ya qd mm une différence quoi qu'on en dise ! |
| | Posté le 30-09-2024 ŕ 21:40:14
| j'ai retrouvé le passage voici un peu de contexte supplémentaire :
À 14 h 30, Hitler fait ses adieux au contre-amiral Voss et, à travers lui, à Dönitz, son successeur. Au cours de dix minutes de conversation, il livre une déclaration étonnante, du moins si l’on en croit les sources soviétiques. |
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