Sujet : Défense de la République Islamique d Iran! | | Posté le 03-04-2017 à 19:29:48
| http://geopolis.francetvinfo.fr/etats-unis-un-grade-americain-prone-l-usage-de-moyens-militaires-contre-l-iran-139167
Edité le 21-01-2018 à 00:13:18 par Xuan |
| | Posté le 03-04-2017 à 19:31:02
| c est indéniable,les Etats Unis veulent dominer tout l oekoumène. |
| | Posté le 03-04-2017 à 20:30:32
| et si on prônait l usage de moyens militaires contre les Etats Unis d Amérique? |
| | Posté le 31-07-2019 à 12:37:42
| Netanyahou essaie de se mettre Poutine dans la poche à l approche des élections,dans le but inavoué d obtenir de la Russie la fin de l appui à l arc chiite Hezbollah/Syrie/Irak/Houthis/Iran, à l heure où les bruits de bottes u.s se font sentir en Iran.Israel veut que Poutine lâché Téhéran en prévision d une attaque de Donald Trump, notamment du fait que la plupart des Juifs qui s installent en Palestine viennent de Russie,et parceque des Juifs ont participé à la défense de Leningrad au sein de l Armée Rouge.
Edité le 31-07-2019 à 12:42:02 par marquetalia |
| | Posté le 31-07-2019 à 15:45:59
| marquetalia a écrit :
...Israel veut que Poutine lâche Téhéran en prévision d une attaque de Donald Trump, notamment du fait que la plupart des Juifs qui s installent en Palestine viennent de Russie,et par ce que des Juifs ont participé à la défense de Leningrad au sein de l Armée Rouge. |
C'est quoi le rapport avec la défense de Leningrad? Merci de développer ce point jamais évoqué par les historiens au sujet du siège de la ville où Poutine est né. |
| | Posté le 24-06-2020 à 09:09:52
| USA : CHINE/IRAN CHANGENT LE JEU. SOUTIEN TOTAL DE LA CHINE A L'IRAN https://www.jacques-tourtaux.com/blog/iran/usa-chine-iran-changent-le-jeu-soutien-total-de-la-chine-a-l-iran.html?fbclid=IwAR3jtqD_w54Ya0pEOe0owpx_mC-QwVBVlqgRYdYarYb9QaURNjiCZ00b3SA Par tourtaux-jacques Le 23/06/2020 Commentaires (1) Dans IRAN PGAC/Arme/Sanctions: A quel jeu géostratégique renvoie le soutien "total" de Pékin à l'Iran? Tue Jun 23, 2020 9:33AM En pleine épreuve de force en mer de Chine face à la puissante marine chinoise, les USA qui ont massé un quart de leur flotte de guerre aux portes de la Chine et vont de manœuvres hybrides en exercices conjugués, devraient être bien surpris: en effet, pour avoir depuis toujours affiché un soutien clair à l'Iran, la Chine n'a jamais été aussi pro-Iran que ces temps-ci : non seulement à l'AIEA où elle a condamné sans aucune forme de procès le dernier texte du trio de vassaux européens de Washington contre l'Iran parfaitement basé sur les rapports du Mossad, mais encore au sein du Conseil de sécurité où avec la Russie, Pékin affirme très clairement ne veut pas entendre parler d'une prolongation de l'embargo sur la vente d'armes à l'Iran. Des nuées de drones de combat iraniens referont surface aux Caraïbes sous la couleur vénézuélienne? Pour l'Iran, la Chine a définitivement rompu avec sa réserve habituelle. Pour les analystes, il y a des raisons géopolitiques à cet état. Du 27 décembre 2019 où l'Empire du Milieu a tenu un exercice naval conjoint de trois jours avec l'Iran et la Russie, au 25 mai 2020 où l'Iran a commencé à explorer le corridor maritime anti-sanctions Est-Ouest en envoyant ses cinq navires-citernes aux Caraïbes, auxquels vient de s'ajouter un sixième, beaucoup d'eau ont coulé sous les ponts irano-chinois, tous convergents vers ce qui semble à deux parties une nécessité, celle de cerner puis de délimiter l'aventurisme politique, militaire US avec en toile de fond des démonstrations de force sporadiques : dans le golfe Persique, le CGRI a agi dans ce sens. En mer de Chine, la marine chinoise en fait de même. Sur le plan diplomatique, jamais la littérature chinoise n'a été aussi iranophile. Évoquant le retrait américain du Plan global d’action conjointe (PGAC), le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a ainsi souligné que les États-Unis "n’avaient pas le droit de demander au Conseil de sécurité de l'ONU de rétablir les sanctions contre l'Iran". Un quasi-avertissement qui en dit long sur la dynamique de rapprochement Téhéran-Pékin qui tourne à plein régime et qui vient de faire dire à l'ambassadeur iranien à Pékin que " l'Iran n'oubliera jamais l'appui ferme de la Chine" à sa cause au sein du Conseil des gouverneurs. Ce fut lors d'un point de presse, lundi, que Zhao Lijian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a réitéré "l'opposition radicale" de Pékin, à "l'interprétation américaine de l'accord nucléaire de Vienne (PGAC) : « Washington n'a pas le droit de se référer au "mécanisme de règlement des différends (MRD) " pour rétablir les sanctions du Conseil de sécurité contre l'Iran puisqu'il ne fait plus partie de l'accord », a affirmé Zhao Lijian en suscitant la grande surprise des Américains et des Européens, rien que par la violence de sa verve. La Russie juge inacceptable le lancement du mécanisme de règlement des différends dans le cadre du PGAC Moscou qualifie d’inacceptable le lancement par la troïka européenne du mécanisme de règlement des différends dans le cadre du plan du PGAC. « Nous nous opposons aux sanctions unilatérales et aux interventions judiciaires. Nous demandons aux États-Unis de retourner au PGAC et à la résolution du Conseil de sécurité », a-t-il ajouté. Cette sortie, parfaitement pro-Iran et anti-US, intervient alors que les États-Unis tentent de prolonger l'embargo sur la vente d'armes à l'Iran, et qu'ils viennent de distribuer l'avant-texte d'une résolution en ce sens, ce lundi au Conseil de sécurité. Évidemment le texte se réfère comme celui du trio européen voté début de la semaine à un tissu de contre-vérités dont les allégations concernant l'implication dans des attaques de 2019 d'Ansarallah contre l'Arabie saoudite. Soutenus depuis vendredi par la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, les États-Unis devraient utiliser une réunion semestrielle du Conseil de sécurité prévue le 30 juin pour "défendre" leur projet, auquel s’opposeront évidemment la Russie et la Chine. Pékin a besoin d'Ansarallah Dans le cas où les USA bloqueraient Bab el-Mandeb sur la Chine, quelle partie pourrait mieux la soutenir dans cette confrontation, si ce n’est Ansarallah ? Pour les experts, cette synergie sino-iranienne renvoie évidemment à un vaste projet géostratégique avec en toile de fond la présence économique et militaire grandissante de la Chine dans le golfe Persqiue, présence que le chef de CentCom a qualifiée de "plus dangereuse que celle de la Russie". Ceci étant, cette présence chinoise au cœur de l'Asie centrale aura une contrepartie iranienne : le renforcement de la présence iranienne dans les océans. Depuis que l'Iran a créé avec la Chine le vaste corridor maritime Est-Ouest en envoyant ses navires au Venezuela, plus rien ne semble pouvoir l'arrêter. Certains milieux évoquent déjà l'idée d'une coopération plus large de la Chine avec l'axe de la Résistance en mer Rouge où Ansarallah du Yémen mène la vie dure aux Américains et à leurs alliés et où l'Amérique vient de créer plusieurs bases". http://french.presstv.com/Detail/2020/06/23/628069/Iran-Chine-EtatsUnis-Russie-Maria-Zakharova-mcanisme-de-rglement-des-diffrends-PGAC |
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