Sujet :

Barnier l hypocrite

marquetalia
   Posté le 27-09-2024 à 04:14:13   

Le nouveau premier ministre avait promis de s opposer à toute ingérence extérieure en France il se trouve qu il n a pas tenu ses promesses, dans deux musées parisiens,les objets d art tibétains ont été contraint de retirer leur attribut de "Tibétain"pour celui de "Xiizang"sious la pression de l ambassade chinois.et n allez pas me dire que la Chine est "socialiste",un article paru dans Manière de voir sur les pays du Sud met en évidence le caractère prédateur des multinationales chinoises au Pérou.


Edité le 28-09-2024 à 14:32:20 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 27-09-2024 à 05:21:30   

La Chine est socialimperialiste.
Mengistu
   Posté le 27-09-2024 à 10:42:01   

envoie ton cv à serge halimi vu que c'est ta bible pas un message sans que tu le cites
Xuan
   Posté le 28-09-2024 à 22:05:41   

marquetalia a écrit :

La Chine est socialimperialiste.


C'est le vent qui fait tourner les girouettes, et toi les feuilles de papier...
Au lieu de prendre un canard pour la Bible cherche un peu ! Et commence par t'interroger sur ce que les colons ont pillé à tant de pays !


https://histoireetsociete.com/2024/09/23/une-bande-de-chercheurs-sinophobes-accuse-deux-prestigieux-musees-francais-de-complaisance-envers-la-chine/?fbclid=IwY2xjawFlP8tleHRuA2FlbQIxMQABHRemhCNNrwrWfiTUFUyMS_NI8zFY_AaWaUae7-v5OdiQTo7BYz59feygPw_aem_1QdcNymY0Mhh9ZAq8-JE6Q

Une bande de « chercheurs » sinophobes
accuse deux prestigieux musées français de complaisance envers la Chine

23 septembre 2024


On croyait tout savoir sur la déchéance de certains “chercheurs” spécialistes intervenant sur les plateaux de LCI aux côtés de caricatures comme “l’espion du KGB”, les retraités de l’OTAN et d’hystériques russophobes représentant les “Ukrainiens” mais il y a eu pire l’intervention à l’Université d’été du PCF d’une “politiste”, Clémentine Fauconnier, ignorant totalement son sujet et venue là pour porter la parole du gouvernement de Macron… Et quand on en est là, la voie de la délation, de l’appel à la sanction politique de collègues n’est pas loin… je le sais par expérience puisque j’en suis encore la victime : il y en a qui en sont déjà là… et pas seulement dans le monde bon chic bon genre de la bourgeoisie française cela se pratique au sein de ce qui furent jadis les forces révolutionnaires, n’est-ce pas Alain Hayot et autres de la commission culture, les censeurs de la presse dite communiste ? la lâcheté de ce qui fut le PCF a eu des conséquences incommensurables sur le déclin français et ça continue… Enfin lavons-nous si possible de ces gens-là avant qu’ils nous envoient en camp de concentration par dénonciation anonymes ou non au nom de la démocratie demain j’espère pouvoir faire un compte-rendu sur le film Dahomey … (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

par Albert Ettinger, le 20 septembre 2024

Dans une tribune du journal Le Monde (1), 27 « chercheurs » sinophobes ont diffamé deux des grands musées nationaux français, le musée du Quai Branly-Jacques Chirac et le musée Guimet. Ils les accusent de courber l’échine « devant Pékin » en « effaçant le mot ‘Tibet’ de leurs collections ».

Les 27 apprentis maccarthystes se sont dits étonnés « de la suppression, dans le catalogue des objets tibétains, du nom “Tibet” au profit de l’appellation chinoise “région autonome du Xizang”. » Et d’expliquer que, à leurs yeux, cette « modification n’est que l’application d’une loi en vigueur depuis 2023 en République populaire de Chine et montre bien la volonté que le Tibet ‘…’ doit être rayé des cartes et des consciences, au présent comme au passé ». Car selon eux, « la terminologie employée » au sein des deux musées reflèterait « les desiderata de Pékin en matière de réécriture de l’histoire et d’effacement programmé des peuples non han », cela « jusqu’à en perdre aujourd’hui leur propre ethnonyme et celui de leur territoire ancestral. »

On est en plein délire. Mais chacun se ridiculise comme il peut. Nos « chercheurs » sinophobes y réussissent à merveille en étalant aux yeux du monde non seulement leur obsession et leur haine pathologique de la Chine populaire, mais en même temps en révélant un manque flagrant de logique, de connaissances et d’acuité intellectuelle. Essayons donc de leur éclairer un peu la lanterne.

Tibet, Xizang ou Bod ?
Les 27 sinophobes exigent que les musées refusent d’utiliser le nom chinois officiel de cette région de la Chine. Leur principal argument : les Tibétains perdraient « leur propre ethnonyme et celui de leur territoire ancestral » du moment qu’on remplace la dénomination « Tibet » par l’« appellation chinoise “région autonome du Xizang” ».

L’argument est absurde et stupide à souhait. Voici pourquoi :

Carte historique de la Chine de 1798 incluant la région du Tibet/Tsang (2)
(voir sur site)

1) Si l’appellation chinoise Xizang est bien un exonyme (c’est-à-dire un nom donné à une ethnie par ceux qui n’en font pas partie) Tibet l’est aussi, et à plus forte raison. En effet, comme l’indique la Wikipédia française (qui n’est pas considérée comme une source spécialement prochinoise) : « En tibétain, le Tibet se nomme Bod (tibétain : Wylie : bod, THL : dialecte de Lhassa API : pays). »

En ce qui concerne l’« exonyme chinois actuel pour la région », il s’agit d’un dérivé métonymique du terme tibétain Tsang (gTsang) correspondant à la région du Tibet central autour de Shigatse ». (3)

L’exonyme chinois est donc dérivé directement d’un terme tibétain. En revanche, le « terme Tibet ou Thibet date du XVIIIe siècle », et il s’agit d’« un emprunt du terme sémitique Ṭībat ou Tūbātt, dérivé du turcique Töbäd (littéralement Hauteurs). » Tibet est donc un terme qui n’est pas utilisé par les habitants de la région, mais par Occident, et surtout par les colonialistes britanniques qui, en 1903-1904, ont envahi militairement cette partie de la Chine.

De toute évidence, la prédilection des « chercheurs » français pour l’exonyme Tibet ne découle ni de considérations scientifiques, linguistiques ou historiques, ni même de leur sympathie affichée pour des positions ethnocentristes et nationalistes tibétaines (dans ce cas, ils auraient dû plaider pour l’utilisation du terme Bod), mais simplement de leurs convictions politico-idéologiques réactionnaires et de leur penchant pour l’hégémonie occidentale.

Fixer ses propres noms toponymiques est un droit souverain de chaque État
2) La France reconnaît la République populaire de Chine. Les deux pays entretiennent des relations diplomatiques normales. La communauté internationale, l’ONU et toutes les organisations y affiliées reconnaissent le fait que la région du Xizang/Tibet fait partie intégrante de la République populaire de Chine. Pour quelle raison et de quel droit refuserait-on donc d’appeler la région du Xizang/Tibet par son nom officiel en chinois, langue nationale ?

Partout au monde, c’est l’État qui décide des noms officiels des villes, divisions administratives, provinces etc. situées sur son territoire, et il choisit plutôt le nom utilisé dans la langue nationale que le nom donné au lieu par la population/l’ethnie locale. Dans le Midi de la France, par exemple, la ville de Niça est appelée officiellement Nice, Marselha Marseille, Tolosa Toulouse, Bordèu Bordeaux, Lemòtges Limoges, Touloun Toulon, Brignolou Brignoles, Draceno Draguignan, etc. (4)

En Lorraine ou en Alsace, on utilise officiellement l’exonyme français : on dit Amnéville au lieu de Stahlheim, Angevillers au lieu de Arsweiler, Audun le Tiche au lieu de Deutschoth, Faulquemont au lieu de Falkenberg, Grandfontaine au lieu de Michelbrunn, Sarreguemines au lieu de Saargemünd, Soppe le Haut au lieu de Obersulzbach, etc. (5)

D’ailleurs, à propos du changement de nom d’une ou de plusieurs régions aux frais des noms traditionnels désignant le « territoire ancestral » de la population concernée, est-ce qu’il est venu à l’idée de nos brillants « chercheurs » d’élever leurs voix contre la décision des autorités françaises d’amalgamer « les régions culturelles et historiques d’Alsace, de Lorraine et de Champagne » (6) pour en faire la « région Grand Est » ?

3) Les auteurs de la « tribune » antichinoise sont en général de fervents défenseurs de la « République de Chine » établie à Taïwan. Ils feignent par conséquent d’ignorer (à moins qu’ils ne soient vraiment ignorants à ce point !) que même le régime fantoche établi et maintenu par les États-Unis sur cette île chinoise a toujours considéré le Xizang/Tibet comme faisant partie intégrante de la Chine.

Map of the Republic of China, showing administrative divisions and territorial disputes. (7)
Map of the Republic of China, showing administrative divisions and territorial disputes. (7)
Beaucoup de bruit pour rien !

Finalement, la « tribune » antichinoise des 27 sinophobes, publiée par Le Monde et repris aussitôt par Rfi (8) s’est révélée n’être qu’un coup d’esbroufe qui leur a offert une énième occasion de répéter les mensonges habituels d’une prétendue « occupation » et « colonisation » chinoise et d’intimider le monde de la culture. Car le reproche adressé aux deux musées n’a aucune base factuelle, si l’on en croit la mise au point du Musée Guimet et du Quai Branly publiée par le Quotidien de l’art, mise au point dans laquelle les deux institutions soulignent que le terme Tibet n’a nullement été ôté de leurs cartels ou de leurs catalogues. À Guimet, les calomniateurs ont reproché que « ‘monde himalayen’ ait remplacé le toponyme Tibet dans les salles qui lui sont consacrées ». Le musée a répondu que ​​« l’appellation ‘monde himalayen’ correspond à une aire culturelle comprenant le Tibet et le Népal. Ce terme englobant ne fait en aucune façon disparaître les termes ‘Tibet’ ou ‘tibétain’ qui figurent, notamment, sur les cartels en salles ou sur le site internet du musée ».

Le Quai Branly pour sa part a assuré « qu’il “utilise l’appellation Tibet dans ses cartels des collections permanentes et n’a jamais cessé d’utiliser cette appellation dans son travail sur les collections”. “Le thesaurus de classification des collections conservées par le musée fait apparaître les deux termes (Tibet et Chine)”, ajoute l’institution. ‘…’ Avant de conclure : « L’intégrité professionnelle et l’autonomie institutionnelle (du musée) ne sont en rien menacées par des intérêts financiers ou politiques ». (9)

Cette affaire montre cependant qu’elles sont bel et bien menacées par les pressions, le chantage et les calomnies de la part d’atlantistes réactionnaires qui s’attroupent au sein des institutions françaises.

Application planétaire du droit… étasunien
L’allégation que les deux musées « auraient cédé aux pressions de la Chine » et courbé « l’échine devant Pékin » en appliquant « une loi en vigueur dans la République populaire de Chine » suggère que la Chine est cette grande puissance mondiale qui veut imposer sa volonté et ses lois nationales au reste du monde. Rien n’est moins vrai. De toute évidence, les auteurs de la tribune confondent la Chine et les Etats-Unis.

En évoquant, par exemple, « les menaces visant notamment l’économie » de la France et d’autres pays, l’Institut des hautes études de défense nationale souligne que « l’extraterritorialité du droit prend une ampleur croissante depuis la fin des années 1990 », que les « États-Unis sont historiquement la nation la plus proactive en la matière » et que « l’application planétaire du droit américain ‘…’ inquiète entreprises, spécialistes et législateurs » en France et en Europe. » Et d’expliquer : « Aujourd’hui, les lois extraterritoriales américaines permettent de sanctionner toute entreprise étrangère pour des délits effectués n’importe où dans le monde, dès lors qu’une seule parmi plusieurs conditions est avérée : des transactions en dollars ; des échanges d’e-mails ou l’hébergement de données sur des serveurs basés aux États-Unis ; la présence d’une filiale dans ce pays ; y être coté sur un marché financier… Le champ est donc très large. (10)


Œuvres volées : le sujet que les 27 sinophobes ont pris soin d’éviter
Tout en s’échauffant au sujet de l’étiquetage des objets du « monde himalayen » exposés aux musées parisiens, les auteurs de la tribune diffamatoire publiée par Le Monde ont eu le culot de parler d’une prétendue « colonisation » chinoise. Cela nous incite, avant de conclure, à aborder le vaste sujet du colonialisme et de l’implication des musées français dans les crimes coloniaux.

Car le vrai sujet dès qu’on évoque le colonialisme est celui du pillage systématique du patrimoine des peuples colonisés. Nos gardiens sinophobes du politiquement correct l’ont soigneusement évité. Que cela nous révèle-t-il en ce qui concerne leur éthique, leur état d’esprit et leurs positions politico-idéologiques ?

Certes, le problème des objets d’art volés pendant l’époque coloniale ne concerne pas seulement la Chine. « Les experts estiment que le Musée du Quai Branly à Paris abrite à lui seul plus de 90 000 objets provenant de l’Afrique subsaharienne, et le British Museum au moins autant. Plus de 90 % de l’héritage culturel de l’Afrique se trouverait dans des collections hors du continent, » rappelait le quotidien allemand Frankfurter Rundschau à bon escient il y a quelques années. (11)

Cependant, alors « que les débats sur l’art colonial spolié en Afrique et en Océanie et sur sa restitution battent leur plein, le sujet de la Chine reste étrangement peu abordé », s’est étonné l’Allemand Cord Eberspächer, Professeur d’histoire comparée de la Chine et de l’Europe à la Hunan Normal University de Changsha. « Pourtant, au cours du 19e et du début du 20e siècle, la Chine a été exposée à une violence coloniale massive et a perdu, par le vol et le pillage, d’innombrables trésors artistiques qui se trouvent aujourd’hui dans des musées et des collections européens, américains et japonais. » (12)

En Chine, le saccage du palais d’Été par les armées françaises et britanniques, en 1860, lors de la seconde guerre de l’opium, demeure un symbole douloureux des agressions commises par les puissances coloniales. D’innombrables trésors pillés dans ce palais impérial ont été emportés à l’étranger et notamment en France. Victor Hugo écrivait alors : « J’espère qu’un jour viendra où la France, délivrée et nettoyée, renverra ce butin à la Chine spoliée » .

Lors de la Guerre des boxers, au début du 20e siècle, la Chine fut encore victime d’une véritable « orgie de pillage par des soldats, des civils et des missionnaires », constate le quotidien allemand Taz. Ces « pillages se sont étendus sur une année entière et n’ont pas seulement eu lieu à Pékin, mais dans tout le nord de la Chine. » Le quotidien allemand cite la conservatrice du département Asie de l’Est et du Sud au Musée am Rothenbaum de Hambourg, Susanne Knödel, qui rapporte qu’après « la répression du mouvement des Boxers, on peut supposer que 80% des biens culturels de Pékin n’étaient plus à leur place » (13)

Une autre forme de butin, cette fois emporté par un sinologue français : Au début du XXe siècle, le site de Dunhuang dans la province chinoise de Gansu attisait la convoitise d’archéologues et d’explorateurs occidentaux. Profitant de la pauvreté et de l’ignorance de la population locale, Paul Pelliot (1878-1945), membre de l’École française d’Extrême-Orient, acquit pour une somme dérisoire une dizaine de milliers de manuscrits, peintures et estampes. Ces trésors sont toujours conservés au Musée Guimet et à la Bibliothèque nationale. (14)

La restitution des objets volés à la Chine, y compris de ceux provenant de ses régions tibétaines, reste d’actualité. Dans ce dossier, rien de positif ne viendra des milieux orientalistes et sinophobes attachés au vieux monde façonné par le colonialisme et l’impérialisme occidental.


Notes :

1) https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/08/31/des-musees-francais-courbent-l-echine-devant-les-exigences-chinoises-de-reecriture-de-l-histoire-et-d-effacement-des-peuples_6300046_3232.html

2) https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:Map_China_c1798.jpg

3) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tibet

4) Voir : http://occitanet.free.fr/fr/geodom.htm et https://revestou.fr/pages/282-noms-et-surnoms-noms-et-surnoms-des-varois-en-provencal-fr.php

5) http://www.roelly.org/~genealogie/entraide/villagessz.php

6) https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Est

7) https://commons.wikimedia.org/wiki/File:ROC_Administrative_and_Claims.jpg

8) Voir : https://www.rfi.fr/fr/podcasts/%C3%A0-la-une-en-asie/20240913-tibet-des-mus%C3%A9es-fran%C3%A7ais-c%C3%A8dent-ils-devant-p%C3%A9kin

9) Magali Lesauvage « Guimet et le Quai Branly répondent aux accusations d’ingérence chinoise », Le quotidien de l’art, 05 septembre 2024. (https://www.lequotidiendelart.com/articles/26113-guimet-et-le-quai-branly-r%C3%A9pondent-aux-accusations-d-ing%C3%A9rence-chinoise.html)

10) https://ihedn.fr/2023/09/04/extraterritorialite-du-droit-quand-le-lawfare-sert-la-guerre-economique/

11) Johannes Dieterich, „Gefangen in Europa“, Frankfurter Rundschau, 09/11/2020. (https://www.fr.de/kultur/kunst/koloniale-raubkunst-gefangen-in-europa-90095026.html)

12) „Provenienzforschung zu Sammlungsgut aus kolonialen Kontexten (China), Die Plünderung des kaiserlichen Palastes, Chinesische Dinge in deutschen Museen und Sammlungen und ihre Herkunft“. (https://www.researchgate.net/publication/370691018_Die_Plunderung_des_kaiserlichen_Palastes_Chinesische_Dinge_in_deutschen_Museen_und_Sammlungen_und_ihre_Herkunft)

13) https://taz.de/Raubkunst-aus-China-in-Museen/!5848824/

14) Voir: https://www.lemonde.fr/culture/article/2024/04/27/uvres-chinoises-pillees-la-question-complexe-des-restitutions_6230185_3246.html


Edité le 28-09-2024 à 22:09:56 par Xuan


Mengistu
   Posté le 29-09-2024 à 13:56:34   

quoiqu'on pense de la RPC actuelle, en tant que communiste, anti-impérialiste ou simple humaniste ami de la liberté d'expression, je ne vois pas comment on ne peut avoir qu'au minimum du dédain pour ces néo-maccarthyistes haineux anti-Chine de type Antoine Bondaz ou autre ignominie
marquetalia
   Posté le 30-09-2024 à 11:59:55   

Je ne vois pas pourquoi la France devrait faire de la propagande sinophobe, Macron ne prépare pas de guerre contre la Chine.
Mengistu
   Posté le 30-09-2024 à 12:01:46   

les usa mènent une guerre économique contre la chine et macron est leur laquais
un conflit ouvert à taiwan ou à hong kong n'est pas impossible
la france appuie les délires sur le "génocide ouigour" ou "l'oppression des tibétains"
marquetalia
   Posté le 30-09-2024 à 13:45:12   

S attaquer à la Chine,qui est passe en de devenir la première puissance militaire mondiale ?,je pense que Macron et Biden préparent plutôt un conflit armé au Venezuela.


Edité le 30-09-2024 à 15:20:08 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 01-10-2024 à 03:13:16   

On parle de la Chine eu moment où le parti communiste chinois fête les 75 de sa prise de pouvoir.


Edité le 01-10-2024 à 03:13:55 par marquetalia


Xuan
   Posté le 04-10-2024 à 20:17:00   

https://histoireetsociete.com/2024/10/02/plus-la-strategie-geopolitique-de-la-chine-prend-de-lampleur-plus-ses-tactiques-de-mise-en-oeuvre-doivent-coller-a-la-realite-des-besoins-du-peuple-chinois-par-danielle-bleitrach/#comment-20191

Plus la stratégie géopolitique de la Chine prend de l’ampleur, plus ses tactiques de mise en oeuvre doivent coller à la réalité des besoins du peuple chinois, par Danielle Bleitrach
2 octobre 2024

Raison d’acheter, raison de vendre le nouveau marché haussier de la Chine. Asia Times qui conseille les grands investisseurs n’en finit pas de dire que la relance chinoise, une des plus audacieuse depuis 2008 est à peine entamée et qu’il risque d’y avoir là des opportunités pour les capitaux dans un contexte de “dirigisme” sans équivalent dans le monde. La propagande ordinaire de l’occident global, là comme ailleurs (voire les descriptions dans notre presse de “l’échec chinois” en Afrique et le silence fait autour de l’important sommet sino-africain récent) ne voit que menace de récession, désenchantement et daigne rarement juger des “résultats” à l’aune de ce que planifient sur au moins trente ans les communistes chinois. Il y a incontestablement dans la situation actuelle des dangers pour une telle perspective que les idéalistes anti-impérialistes, pseudo-marxistes et souvent vrais “gauchistes” sous-estiment comme si pour eux le socialisme par procuration restait un diner de gala… En fait plus le projet acquiert une dimension stratégique de grande ampleur dans l’espace et dans le temps, plus les tactiques doivent empêcher que le parti décolle de sa base, celle de la satisfaction des besoins populaires du peuple chinois… C’est une dialectique en correction permanente… C’est à ce titre que l’affirmation d’avoir en priorité à assurer le développement harmonieux du peuple chinois pour que réussisse le passage à un monde multipolaire nouveau par rapport au capitalisme est un choix stratégique qui repose sur une conception théorique de la transition socialiste à partir du sous-développement dans sa relation avec une hégémonie prédatrice. Cette stratégie part de l’histoire millénaire de la Chine, elle s’est nourrie de l’expérience des acquis et des échecs de l’URSS et de diverses expériences socialistes, mais aussi de la fascisation du capitalisme. Plus celui-ci développe les facteurs d’inégalité, de mise en concurrence des travailleurs plus il a besoin de fonder la nation et l’État sur le mythe d’une communauté naturelle raciste pour ancrer son suprématisme que la “démocratie” encombre au plan national et international, il devient répressif, autoritaire et terroriste, destructeur et autodestructeur, il faut s’en dégager avec précaution et fermeté. Il faut bien mesurer qu’à tous les niveaux en particulier nationaux la nature de l’affrontement est telle que plus rien ne peut rester en repos et que chacun, chaque nation, la classe ouvrière, la paysannerie et même la petite-bourgeoisie devra choisir son camp à partir des défis que lui lance un monde en train de mourir et qui l’entraîne dans son autodestruction… C’est cette voie théorico-pratique que nous explorons dans cet espace de réflexion semi-privé qu’est histoireetsociete.

Le sentiment des investisseurs a radicalement changé avec les nouvelles mesures de relance de la Chine. Image : Facebook
Alors que le blitz de relance de Pékin fait monter en flèche les actions chinoises, l’économiste Stephen Jen fait partie des haussiers qui pensent que la plus grande manœuvre de la Chine depuis 2008 ne fait que commencer.

« Les actions chinoises sont extrêmement sous-évaluées », déclare Jen, directeur général d’Eurizon SLJ. Parce que « les investisseurs sous-pondèrent tellement tout ce qui est chinois », note-t-il, « un bouleversement sérieux est tout à fait possible ».

Les mesures audacieuses prises la semaine dernière par la Chine pour réduire les taux d’intérêt, abaisser les taux hypothécaires, assouplir les règles pour les acheteurs de maisons dans les grandes villes, réduire le montant de liquidités que les banques doivent garder en réserve – et l’annonce des mesures de relance à venir – ont fait grimper les actions chinoises pour une neuvième journée consécutive lundi 30 septembre.

Depuis des mois, les analystes capitalistes sans mettre toujours cette possible récession chinoise en relation avec la politique que directement ou indirectement les Etats-Unis menaient et dont les effets se font sentir y compris sur leurs proches alliés, soulignaient le fait que la Chine souffrait d’une pénurie de demande globale et que la solution était que le gouvernement central A) renfloue les banques et les moyens de financement des gouvernements locaux, et B) utilise des mesures de relance budgétaire et monétaire.

Pendant des mois la Chine a résisté à cette injonction d’une relance et on peut penser qu’elle en réunissait les conditions mais ce mardi la Banque populaire de Chine (BNC) a fait une annonce dans une conférence de presse diffusée dans le monde entier ce qui est rarissime en ouvrant son trésor aux marchés boursiers et en rendant l’argent moins cher à emprunter et le lendemain confirmation avec l’abaissement du taux d’intérêt de ses prêts d’un an aux prêteurs du plus haut niveau jamais enregistré. Alors que le gouvernement a distribué de rares aides en espèces et a lancé de nouvelles subventions pour certains diplômés sans emploi…

Le Politburo de 24 hommes dirigé par Xi a suivi jeudi avec de nouvelles mesures favorables à la croissance, promettant d’augmenter les dépenses budgétaires et prenant sa première promesse d’arrêter la « baisse » des prix de l’immobilier. Il a également mis un nouvel accent sur l’augmentation de la consommation, affirmant qu’il était « nécessaire de répondre aux préoccupations des masses ». … Le barrage d’annonces politiques a marqué un changement radical dans l’approche de Xi dans la gestion de l’économie chinoise de 18 000 milliards de dollars.

Les actions chinoises ont immédiatement grimpé en flèche. Ce qui est encore plus encourageant (du moins, si vous voulez que la Chine continue à croître), c’est que le gouvernement de Xi semble pouvoir renflouer le système bancaire chinois.

La Chine envisage d’injecter jusqu’à 1 billion de yuans (142 milliards de dollars) de capitaux dans ses plus grandes banques d’État afin d’accroître leur capacité à soutenir l’économie en difficulté… Le financement proviendra principalement de l’émission de nouvelles obligations souveraines spéciales… Les détails n’ont pas encore été finalisés et sont susceptibles d’être modifiés, ont ajouté les personnes. Ce serait la première fois depuis la crise financière mondiale de 2008 que Pékin injecte des capitaux dans ses grandes banques.

Pour les non-initiés, « injecter du capital » signifie « donner de l’argent aux banques ». Cela signifie un renflouement.

C’est probablement encore plus important que les mesures de relance, car le fait que les banques prêtent à nouveau est la clé d’une reprise durable. Les partisans de la Chine ont longtemps soutenu que les mauvaises dettes des banques chinoises n’ont pas d’importance parce que les banques et l’État sont une seule et même chose – c’est ce qu’on appelle la théorie de l’« État unitaire ». En fait les banques chinoises ont leurs propres incitations et craignent d’être éliminées par le gouvernement si elles font faillite. Leur injecter du capital les aide à gagner la confiance nécessaire pour prêter à nouveau, car cela leur donne un coussin contre l’échec.

Face à cela l’article montre une confiance également dans la capacité des Etats-Unis à se réindustrialiser. Notons que la seule chose qui parait préoccupante à cet analyste dans le système des Etats-Unis c’est que ceux-ci certes ont cassé le système d’intervention publique mais le capitalisme est en pleine volonté d’innovation qui ne peut pas être freinée par les revendications ouvrières (autre talon d’Achille selon cet analyste) vu que les conflits sociaux sont très vite arrêtés. Donc les deux économies peuvent partir sur leur propre base dans une dynamique positive. En fait en matière de réindustrialisation, l’article en question semble avoir la foi du charbonnier dans les capacités de chaque système à engendrer croissance et développement, et à peu s’infliger de dégâts réciproques à partir du moment où la Chine accepte de jouer comme en 2008 un rôle moteur. L’article d’un point de vue capitaliste évite de poser bien évidemment ce que nous avons défini comme conditionnant toutes les tactiques et expérimentation du parti communiste chinois à savoir s’assurer de l’appui des masses chinoises pour avoir une perspective géostratégique.


Ce qui est noté dans un autre article c’est que par ces mesures la Chine assoit également son leadership non seulement en Afrique mais dans d’autres zones qui voient leur croissance stagner ou entrer en récession dans leurs liens avec les Etats-Unis. C’est le cas du Japon un des principaux partenaires stratégiques politique voire militaire des Etats-Unis qui ne peut pas rompre ses liens économiques avec la Chine mais on retrouve la même contradiction dans bien des pays asiatiques y compris le plus agressif de tous les Philippines. C’est-à-dire que la multiplication des tactiques hostiles à tout développement, vécu comme concurrent à un mode d’hégémonie basé sur les divisions, rend totalement instables la plupart des “démocraties” qui ont de moins en moins non seulement de victoires militaires ou économiques mais ne s’assurent plus l’adhésion de leur propre peuple. D’où le paradoxe du surarmement imposé à ces pays par les Etats-Unis dans des alliances conditionnées par le FMI ou d’autres institutions qui reposent sur la militarisation du dollar et dans le même temps des pourparlers avec la Chine. Certains pays asiatiques poussant jusqu’à la caricature ce double jeu.


voir : Philippines drops a Typhon missile gauntlet on China

La Chine face à cette situation ne met jamais tous ses œufs dans le même panier et les Etats-Unis l’accusent d’avoir une diplomatie à plusieurs bandes, il n’y a pas que le Vietnam pour pratiquer la stratégie du bambou. Au moins sur le plan des échanges mutuellement avantageux, parce que sur le plan des intérêts de la Chine et du peuple chinois qui va vers une situation de moyenne aisance l’affirmation d’une ligne rouge qui tient autant à la souveraineté chinoise qu’à la perspective socialiste impulsée par le parti il y a des orientations qui vont s’approfondissant et il n’y aura de relance, d’investissements que dans cette doctrine totalement inverse de celle mise en œuvre par l’Occident capitaliste.

Le même Asia times sans doute au nom des grands investisseurs note la mise au pas des “milliardaires” dont on exige qu’ils soient un véritable agent des buts et des moyens du socialisme chinois qu’il s’agisse de ces milliards acquis dans les secteurs de haute technologie avec la mise au pas de Jack Ma et d’autres, des corrompus liés aux pouvoirs locaux en particulier dans l’immobilier ou d’autres. Il y a eu Xi étant président non pas une évolution doctrinaire mais un choix de rendre la ligne d’un développement différent de la modernité capitaliste de plus en plus autonome sans rupture qui a été suivi d’exemples tout en invitant, comme le montre le choix de la relance ci-dessus, le capital à investir.

La relation est pourtant sans cesse négociée et il n’est pas indifférent de voir que le même Asia Times qui ne s’oppose pas aux liens avec la Russie annonce que si les BRICS s’ouvraient à la Corée du Nord ce serait un très mauvais signe pour ce système qui se développe parallèlement et peut constituer un lieu plus sûr pour les investissements capitalistes.


Ce qui pose une autre question, celle de la capacité du mouvement multipolaire, dans lequel le partenariat stratégique avec la Russie joue un rôle central, réaffirmée indépendamment de toutes les pressions de concevoir ses propres institutions non conçues donc à partir de celles de Bretton Wood ou des rapports de forces à la fin de la seconde guerre mondiale, et dans le même temps de transformer celles existantes qui deviennent de plus en plus une contrainte pour les Etats-Unis et leurs vassaux.

Ce bref aperçu qui devrait être complété par d’autres défis dont certains sont déjà relevés par la Chine comme l’avancée spectaculaire dans les énergies renouvelables ou la constitution d’une armée répondant à l’agressivité là encore des Etats-Unis dans la zone Pacifique, combiné à un défi démographique avec la mise en place d’un système de protection sociale… cela donne le vertige quand on prend conscience de l’énormité de ce qu’accomplit la Chine et dont l’ampleur a franchi un nouveau seuil par rapport aux affrontements de la guerre froide… Ce qui ne veut pas dire que la Chine ait rompu avec le moule léniniste au contraire, mais en tenant compte de la spécificité qui est aussi la sienne, de pays ayant connu la colonisation et proposant aux peuples du sud une modernité qui puisse économiser ce que le capitalisme occidental a prétendu leur infliger pour accéder au développement.

Face à ce mouvement d’une ampleur révolutionnaire et d’une audace inouïe, il y a dans les sociétés occidentales et le prisme idéologique qui est le leur depuis deux ou trois siècles la tendance à systématiquement tenter de démontrer l’échec d’une telle alternative en niant bien sûr le rôle joué par l’impérialisme dans ces problèmes qui se multiplient dans la mise en œuvre d’un tel projet. Est nié le caractère de ce qui a été déjà accompli en matière de développement dès le début du socialisme chinois, comment par la seule force collective d’un peuple mobilisé par un parti communiste peut-on assister à une telle croissance qui ne repose sur aucun pillage colonial et qui s’accompagne d’une transformation aussi considérable de la vie de la population, ce qu’on pouvait déjà constater avec l’URSS mais dont y compris l’échec a nourri l’originalité du socialisme à la chinoise? …

Ce déni de l’exploit et de la ténacité, la permanence dans l’effort collectif en quelque sorte incarné par le parti communiste est désormais en Occident un des traits les plus difficiles à faire partager, y compris l’exploit qui est en train d’être accompli aujourd’hui à la fois pour transformer l’existant et pour faire naitre du nouveau dans une situation qui serait déjà complexe si tout le monde était d’accord, mais qui se heurte à un empire déclinant prêt à aller jusqu’à l’apocalypse pour empêcher que cette dynamique s’accomplisse. Pourtant la seule vraie question d’un révolutionnaire privilégiant la vie et l’émancipation humaine devrait être de se poser le problème de la manière dont il peut participer à un processus qui n’est pas le simple remplacement d’une hégémonie par une autre mais bien de créer les conditions d’une coopération collective à partir de ses propres problèmes.

Danielle Bleitrach
Xuan
   Posté le 04-10-2024 à 20:18:26   

« CITIUS, ALTIUS, FORTIUS, COMMUNITER »
Mais cette fois deux fois plus vite, plus haut, plus grand et sans dopage colonial : la Chine socialiste vise une communauté de destin.
On célèbre deux anniversaires cette année et leur mise en regard en dit long.
Il y a 150 ans les impressionnistes fixaient sur leurs toiles les grues du port du Havre et les installations portuaires de Rouen, les trains dans la neige et dans la campagne, la gare Saint Lazare enfumée et son pont de l’Europe, les ponts modernes de Villeneuve la Garenne, Hampton Court, Saint Mammès, le canal Saint Martin et ses péniches, les nouvelles perspectives des grands boulevards parisiens et le Boulevard de Montmartre constellé par l’éclat des réverbères. la nuit.
Le capitalisme triomphant, s’accaparant les richesses coloniales, traçait dans tout le pays les artères de l’industrie et du commerce et les hameaux enclavés descendaient vers les bourgs, les villages et les villes, tandis que la population paysanne se transformait en ouvriers, artisans et commerçants.

Sans anabolisant colonial et soixante quinze ans seulement après sa libération, le socialisme à la chinoise a franchi plusieurs fois la même distance, prend la tête du développement et entraîne tous les pays vers une « communauté de destin ».
Le Quotidien du Peuple publie pour le 1er octobre un commentaire sur le chemin parcouru par la Chine nouvelle en 75 ans



Publié le : 01/10/2024 à 13h02
https://www.globaltimes.cn/page/202410/1320628.shtml

La Chine nouvelle a connu hier des changements et une transformation monumentaux. Aujourd’hui, elle continue d’évoluer avec vigueur et vitalité. Même si le chemin à parcourir reste difficile, l’avenir est prometteur.
Réaliser le grand renouveau de la nation chinoise est l’aspiration collective du peuple chinois depuis les temps modernes. Peu de temps après la fondation de la Chine nouvelle en 1949, notre Parti a fixé l’objectif de construire un pays socialiste moderne.

La voie que nous choisissons détermine notre destin, et la voie change le destin.

Au cours des 75 dernières années, la Chine nouvelle est passée d’une nation pauvre et faible à une nation qui a achevé l’édification d’une société modérément prospère à tous égards, s’engageant dans une nouvelle aventure de construction complète d’un pays socialiste moderne. La nation chinoise a fait un bond significatif, passant de la position debout et prospère à la position forte. « La raison fondamentale est que nous avons trouvé une voie correcte qui convient aux conditions nationales de la Chine, se conforme aux tendances de l’époque et bénéficie du soutien du peuple. Cette voie est le socialisme aux caractéristiques chinoises. »

Xi Jinping, secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois (PCC), a souligné : « Promouvoir la construction d’un pays fort et la grande cause du renouveau national par la voie chinoise de la modernisation est non seulement une voie brillante pour que le peuple chinois recherche une vie meilleure et plus heureuse, mais aussi une voie juste pour promouvoir la paix et le développement du monde. » Cette conclusion importante contient une profonde logique historique, théorique et pratique.
D’ici 2035, nous réaliserons fondamentalement la modernisation socialiste et nous ferons de la Chine un grand pays socialiste moderne de 2035 jusqu’au milieu du 21e siècle. Le 20e Congrès national du PCC qui s’est tenu en 2022 a fait une macro-vision du plan stratégique « en deux étapes » et a introduit des innovations théoriques clés – résumant et élaborant en profondeur la théorie de la modernisation chinoise.

En ce qui concerne la planification et la mise en œuvre des réformes conformes à la mission centrale du Parti, la résolution adoptée lors de la troisième session plénière du XXe Comité central du PCC a souligné : « La modernisation chinoise progresse sans cesse grâce à la réforme et à l’ouverture, et elle s’ouvrira certainement à de plus larges horizons grâce à la réforme et à l’ouverture. »

Notre riche histoire et notre profonde civilisation sont le fondement de notre confiance et de notre force. Après avoir parcouru un voyage glorieux et nous être dirigés vers un avenir brillant, nous nous unirons pour rassembler nos forces et, grâce à notre travail acharné, nous accomplirons de grandes réalisations. Ensemble, nous écrirons un magnifique chapitre de la modernisation chinoise, rempli de confiance et de détermination.

L’expédition animée par les rêves n’a jamais craint les montagnes et les rivières, ni ne s’est laissée décourager par les difficultés et les dangers.
Dans les montagnes Wumeng, la rivière Panjiang du Nord coule rapidement à travers des gorges profondes. Pour traverser ces montagnes, trois ponts ont été construits au fil des ans.
En 1970, un pont suspendu a été construit ; en 1990, un pont en plaques d’acier a été construit au-dessus du pont suspendu ; et en décembre 2016, le pont Beipan, le plus haut du monde, a été achevé et ouvert à la circulation, transformant le gouffre en une voie de communication vitale.
Depuis le début de la nouvelle ère, la Chine a relevé successivement des défis de classe mondiale dans des domaines tels que les ponts de très grande taille, les longs tunnels, la construction rapide d’îles et les routes dans des conditions géologiques particulières, franchissant une série d’étapes « de premier plan » dans le développement des autoroutes. Les termes « routes chinoises », « ponts chinois » et « tunnels chinois » sont devenus des symboles brillants du pays.
L’évolution des routes reflète les « progrès épiques » au cours des 75 dernières années, symbolisant le voyage inébranlable d’une nation ancienne vers le rajeunissement. C’est précisément en avançant courageusement sur la voie de la modernisation chinoise que nous avons accompli deux miracles rares et dévoilé une perspective brillante pour le renouveau national.

Une route n’est pas seulement un passage physique, mais aussi un reflet de l’époque.

Aujourd’hui en Chine, le pont Hong Kong-Zhuhai-Macao établit une norme de classe mondiale, le corridor d’innovation scientifique et technologique G60 dans le delta du fleuve Yangtsé favorise les éléments novateurs, l’avenue quantique de la province de l’Anhui est passée du statut de suiveur à celui de leader, le chemin de fer Hotan-Ruoqiang au Xinjiang a créé une « route heureuse » à travers le désert, et l’ancienne route de la soie rayonne d’un nouvel éclat à cette époque…
La route de l’ascension et du progrès relie les divers développements de la nouvelle ère, tissant une belle tapisserie de la vie. En naviguant dans les difficultés et en surmontant les obstacles, nous traçons de nouveaux chemins. Face aux montagnes, nous construisons des routes et face à l’eau, nous construisons des ponts, établissant ainsi des voies de passage. Chaque jour qui passe dans cette nouvelle ère nous rapproche de nouveaux horizons.

Depuis le XVIIIe Congrès national du PCC tenu en 2012, notre Parti a poursuivi avec succès et élargi la modernisation chinoise en s’appuyant sur une longue expérience et une longue pratique depuis la fondation de la Chine nouvelle, notamment après la réforme et l’ouverture, et a insufflé à des centaines de millions de personnes le sentiment que nous sommes sur la bonne voie.
Cette voie chinoise remarquable au niveau mondial offre une garantie institutionnelle plus complète, une base matérielle plus solide et une force spirituelle plus dynamique pour l’édification d’une nation forte et le grand renouveau de la nation chinoise.
Les avantages du « système chinois » sont de plus en plus évidents. Il a renforcé la structure de direction du Parti, clarifié les limites du pouvoir gouvernemental à l’aide de « listes de pouvoir » et de « listes de responsabilités », intégré le travail du Parti et de l’État dans un cadre juridique et utilisé la force institutionnelle pour répondre aux risques et aux défis. Les avantages du socialisme à la chinoise évoluent sans cesse vers l’efficacité de la gouvernance.

La qualité du « développement chinois » est de plus en plus reconnue. La production économique totale est passée de 53 900 milliards de yuans en 2012 à plus de 126 000 milliards de yuans en 2023, et l’échelle globale de l’industrie manufacturière est restée la plus grande du monde pendant 14 années consécutives. Cela reflète non seulement un bond en « quantité » mais aussi une amélioration de la « qualité ». La Chine trace une voie vers une qualité supérieure, une efficacité accrue et un développement plus équitable, durable et plus sûr.
La puissance de « l’esprit chinois » est en plein essor. Qu’il s’agisse de participer aux Jeux olympiques pour faire la gloire de la nation, de progresser en temps de crise, de perfectionner les compétences au niveau local ou de montrer la voie en matière d’innovation, le dévouement de centaines de millions de personnes à la pratique de la réforme et du développement révèle la richesse de la remarquable culture traditionnelle chinoise, l’esprit d’ouverture et d’inclusion de la Chine, ainsi que la détermination, la résilience et la confiance du peuple chinois.

Dans ce processus, notre Parti adhère aux « deux combinaisons »(1) et a établi la pensée de Xi Jinping sur le socialisme à la chinoise de la nouvelle ère, qui fournit une orientation fondamentale à la modernisation chinoise.

L’industrie automobile est universellement reconnue comme l’un des indicateurs les plus importants de la puissance manufacturière d’un pays. Au moment de la fondation de la Chine nouvelle, nous n’étions pas en mesure de produire une seule voiture.
En 2023, la production et les ventes d’automobiles en Chine ont dépassé les 30 millions d’unités, faisant du pays le plus grand producteur et consommateur d’automobiles au monde pendant 15 ans consécutifs, et le plus grand exportateur d’automobiles au monde. Au cours des huit premiers mois de 2024, la production et les ventes de véhicules à énergie nouvelle en Chine ont augmenté respectivement de 29 % et de 30,9 % par rapport à l’année précédente.

Grâce à un travail acharné et à la persévérance, à la réforme et à l’ouverture, et à la lutte dans la nouvelle ère, la pratique a pleinement démontré que la modernisation chinoise est une large voie pour construire une nation forte et réaliser le renouveau national, et cette voie continuera de s’élargir.

Pour réaliser le grand renouveau de la nation chinoise, la voie est de la plus haute importance. La modernisation chinoise est la seule voie correcte pour construire un pays fort et réaliser le renouveau national.qui a été ouvert par le Parti qui dirige le peuple.
Il y a plus de 100 ans, le Dr Sun Yat-sen a esquissé le premier plan de modernisation de la Chine dans son « Développement international de la Chine », qui mentionnait la construction de 1,6 million de kilomètres de routes, environ 160 000 kilomètres de voies ferrées et trois ports maritimes de classe mondiale…
Aujourd’hui, les routes s’entrecroisent, les trains à grande vitesse circulent et le kilométrage ferroviaire en service en Chine dépasse 160 000 kilomètres, avec sept des dix plus grands ports du monde situés en Chine. Le niveau de modernisation de la Chine a largement dépassé les attentes de nos prédécesseurs.

En 2020, Xi Jinping s’est arrêté devant une exposition dans un musée de la province du Guangdong présentant un grand plan conçu par Sun Yat-sen pour moderniser la Chine il y a un siècle. « Seuls nous, les communistes chinois, pouvons y parvenir », a déclaré Xi Jinping avant l’exposition.

Pourquoi le PCC peut-il y parvenir ?

Notre idéologie directrice évolue avec le temps. Nous continuerons à promouvoir les « deux combinaisons », en adaptant le marxisme au contexte chinois et aux besoins de notre époque pour guider notre direction et assurer notre adhésion fondamentale.
Notre mission historique reste inébranlable. Depuis plus d’un siècle, le Parti a uni et dirigé le peuple dans tous nos efforts pour édifier notre pays en une nation forte et moderne et réaliser le grand renouveau de la nation chinoise.
Les objectifs de nos efforts restent constants. Du premier plan quinquennal (1953-1957) au XIVe plan quinquennal (2021-2025), le thème immuable a été de faire de la Chine une nation socialiste moderne.
De grandes réalisations sont gravées dans l’histoire. Le peuple chinois est devenu maître de son destin, et le grand renouveau de la nation chinoise est entré dans un processus historique inéluctable. La Chine socialiste se dresse fièrement à l’Est.
Le PCC, qui a mené la révolution sociale par l’auto-révolution, a insufflé plus de dynamisme à sa force révolutionnaire, déterminé à réaliser la grande cause de la nation chinoise pour les générations à venir, et il prospère.

Les faits ont clairement démontré que la direction du Parti est directement liée à l’orientation fondamentale, au destin futur et au succès ou à l’échec final de la modernisation chinoise. Ce n’est qu’en soutenant sans faille la direction du Parti que la modernisation chinoise pourra connaître un brillant avenir et prospérer.
Le temps s’écoule, racontant l’histoire des temps et l’histoire de la lumière.
« Nous n’aurions jamais osé imaginer que tous les foyers puissent utiliser l’électricité. » Le 23 décembre 2015, une grande fête a eu lieu dans le village de Guomang, district de Banma, préfecture autonome tibétaine de Golog, province du Qinghai (nord-ouest de la Chine). Ce jour-là, les projets d’accès à l’électricité dans le village de Guomang et dans deux autres localités ont été achevés et approuvés, marquant la fin de la vie sans électricité pour les 39 800 derniers habitants du pays qui ont pris le « chemin de la lumière ».

Que ce soit sur le plateau enneigé ou dans les villages de montagne reculés, tout le monde a dit adieu à l’histoire de la vie sans électricité. Notre pays est devenu le premier pays en développement à réaliser l’accès universel à l’électricité.
Dans le monde entier, un tel exploit ne peut être réalisé que sous la direction du PCC !
Le passage du temps est témoin du changement, et le temps apporte les réponses.
Les rêves d’une nation forte et d’un renouveau national se sont véritablement réveillés sous la direction du PCC, remplissant les gens d’une plus grande confiance : « Notre monde doré, un monde de brillance, est juste devant nous ! »
Après avoir traversé des milliers de montagnes et de rivières, nous devons encore aller de l’avant en affrontant des défis.
La modernisation chinoise est la modernisation d’une vaste population, qui transformera considérablement la carte du monde moderne. M. Xi a souligné : « Notre modernisation est à la fois la plus difficile et la plus grande. »

En nous tenant aux avant-postes de l’époque, nous observons les tendances de l’histoire.

Nous sommes déterminés à rechercher le bonheur du peuple chinois et le renouveau de la nation chinoise, à faire progresser l’humanité et à œuvrer pour l’harmonie dans le monde, et nous sommes convaincus que le monde appartient à tous et que la bonne voie est celle de l’humanité. C’est la conviction la plus forte de notre Parti dans sa mission historique.
Pour renforcer et renforcer le Parti, faire en sorte que la modernisation chinoise surmonte les défis et progresse de manière constante, notre Parti reste lucide et déterminé à relever les défis uniques auxquels sont confrontés les grands partis.
Les principes restent constants, les aspirations sont inébranlables et nous avançons avec audace.

« Le pays, c’est le peuple, et le peuple, c’est le pays. » La modernisation chinoise est vouée à la prospérité commune de tous les peuples et à la promotion d’un développement humain global, servant de « voie vers le bonheur » au bénéfice de la population.

Dans la vaste région de la province du Gansu, au nord-ouest de la Chine, une importante artère a été construite. En novembre 2023, l’autoroute Linxia-Dahejia, reliant 15 villes et 28 villages le long de la route, a été achevée et ouverte à la circulation, devenant une voie vers la prospérité pour la communauté locale et une voie vers une vie meilleure.

La construction de cette route a été marquée par une interaction notable, représentant une pratique vivante de la démocratie populaire dans son ensemble.
En mars 2019, lors des deux sessions annuelles du pays, Dong Caiyun, un délégué du Gansu, a exprimé une demande populaire, déclarant : « Nous manquons d’une autoroute reliant l’extérieur. » Lors de la réunion, Xi Jinping a souligné que les responsables présents devraient écouter activement et adopter les suggestions des délégués. Cette année-là, la construction de l’autoroute Linxia-Dahejia a commencé.
Les appels du peuple ont été répondus par des actions. Chaque détail est important, et nous restons attentifs à ces préoccupations.

Aujourd’hui, à travers la Chine, une série de routes menant au bonheur, à l’unité et à la revitalisation démontrent de manière éclatante la poursuite inébranlable de la modernisation chinoise, centrée sur les moyens de subsistance du peuple.

Dans les profondeurs de la montagne Daliang, de robustes échelles en acier facilitent une vie prospère dans les villages à flanc de falaise ; La « ligne spéciale de sacs à dos » de Chongqing relie mieux les « sacs d’argent » des agriculteurs aux « paniers de légumes » des habitants, l’intégration des biens urbains dans les zones rurales, les produits ruraux dans les villes, le commerce électronique dans les villages et la livraison express à domicile : ces initiatives ont créé une nouvelle vie dynamique dans les campagnes grâce au programme des « quatre bonnes routes rurales »…

« Notre objectif est à la fois inspirant et simple. En fin de compte, il s’agit d’offrir une vie meilleure au peuple. » Ces mots de Xi Jinping résument l’essence même de la modernisation chinoise.

Le cœur de la modernisation est la modernisation du peuple. Dans la promotion de la modernisation chinoise, le peuple est le point de départ logique, le but ultime des valeurs et la source de la force.

« Améliorer le système des services publics liés à l’emploi », « augmenter progressivement les pensions de retraite de base des habitants des campagnes et des villes sans emploi dans le cadre du régime d’assurance vieillesse de base », « répondre aux besoins essentiels des salariés en matière de logement »… La résolution adoptée lors de la troisième session plénière du XXe Comité central du PCC propose une série de mesures de réforme qui mettent l’accent sur les besoins du développement et répondent aux attentes des masses.

Le point de départ et le but ultime de la modernisation chinoise sont de permettre à plus de 1,4 milliard de Chinois d’atteindre un niveau de vie élevé. De nombreux aspects, petits mais importants, de la vie quotidienne sont de plus en plus intégrés dans le cadre général du développement national, se transformant en sentiment de gain, de bonheur et de sécurité pour la population.

Le Grand Canal incarne la moitié de l’histoire de la Chine. Cette voie fluviale millénaire a nourri et bénéficié aux communautés des deux rives grâce à sa civilisation commerciale et à la transmission du patrimoine culturel à travers le temps et l’espace. Au cours de la décennie qui a suivi sa désignation réussie comme site du patrimoine mondial de l’UNESCO, le Grand Canal a été revitalisé pour refléter l’éthique contemporaine, devenant un véritable « fleuve de richesse et de bonheur ». 

La modernisation chinoise vise non seulement l’amélioration substantielle de la richesse matérielle, mais aussi l’enrichissement profond de la richesse spirituelle, nourrissant la confiance et la force dans la pensée et la culture. Du patrimoine culturel immatériel évoluant vers l’innovation culturelle à l’ascension de la popularité du chic chinois, en passant par l’émergence des mineurs-écrivains et des livreurs-poètes… La modernisation chinoise confère à la civilisation chinoise une force contemporaine, et l’édifice de l’esprit national chinois se dresse haut, stimulant davantage l’enthousiasme, l’initiative et la créativité de centaines de millions de personnes.

L’attention et le soutien de Xi Jinping aux individus qui travaillent dur dans divers secteurs inspirent et motivent des centaines de millions de personnes à faire briller leur vie et à réaliser leurs rêves par le travail acharné.

La modernisation chinoise est une entreprise commune à tous les peuples. Des responsables dévoués s’engagent à favoriser un développement coordonné régional par la collaboration entre les régions de l’est et de l’ouest de la Chine ; des artisans qualifiés recherchent l’excellence, permettant à l’industrie manufacturière chinoise d’exceller sur la scène mondiale ; de nouveaux agriculteurs s’installent dans les zones rurales, insufflant une nouvelle vitalité à des terres anciennes… En respectant les principes de participation collaborative, de construction collective et de bénéfices mutuels, nous pouvons faire en sorte que tout le monde progresse ensemble vers la modernisation.

L’esprit culturel d’une société se trouve souvent dans les détails.

De la création d’un mur d’honneur pour plus de 4 000 constructeurs à la tour de Shanghai à l’illumination des bâtiments emblématiques de Dongguan, province du Guangdong, en hommage aux travailleurs ordinaires et compatissants ; de l’esprit « Deux bombes, un satellite » et de l’esprit de Jiao Yulu à l’esprit de réduction de la pauvreté et à l’esprit d’entreprise ; « De l’amélioration continue du système de gouvernance sociale basé sur la collaboration, la participation et les avantages partagés à l’engagement et à la promotion de la démocratie populaire dans son ensemble… Les intérêts du « peuple » sont réalisés, sa valeur est reconnue et son statut de sujet est respecté. Cela donne la plus grande confiance dans la progression de la modernisation chinoise.

Dans ce long voyage, le peuple est primordial.

« Pour réaliser le développement national et la revitalisation, la chose la plus importante pour la Chine, un pays avec un vaste territoire et une grande population, est de suivre une voie de développement adaptée à ses conditions locales.

La modernisation de la Chine est une réalisation importante du PCC, qui a conduit le peuple à adhérer à l’indépendance et à l’autonomie grâce à une exploration et une pratique à long terme.

En 1909, la ligne de chemin de fer Beijing-Zhangjiakou a été achevée. En 2019, la ligne à grande vitesse Beijing-Zhangjiakou a commencé à fonctionner.

Le développement de la ligne de chemin de fer Beijing-Zhangjiakou a illustré la voie de l’innovation indépendante de la Chine, en commençant par une conception et une construction indépendantes à partir de zéro et en atteignant les normes de pointe mondiales. La vitesse des trains est passée de 35 km/h à 350 km/h. Comme l’a souligné Xi Jinping : « Si l’on regarde en arrière, la nouvelle ligne revêt une signification encore plus grande.»
L’autonomie est la pierre angulaire des efforts de la nation chinoise pour s’établir parmi les nations du monde. L’histoire et la réalité affirment toutes deux que « faire progresser la modernisation chinoise nécessite de rester indépendant et de maintenir son autonomie. »
L’histoire de la révolution scientifique et technologique et de la transformation industrielle reflète également l’ascension et le déclin des grandes puissances.
Aujourd’hui, alors que nous sommes confrontés à une nouvelle vague de révolutions scientifiques et technologiques et de transformations industrielles à l’intersection pivot de la transformation du modèle de développement de la Chine, les communistes chinois, « debout devant la carte du monde », regardent l’avenir avec une vision à long terme.

La clé de la modernisation chinoise est la modernisation de la science et de la technologie.

En maîtrisant une série de technologies de base cruciales et en stimulant le développement de la fabrication, de la construction, de l’énergie, des transports et d’autres industries en amont et en aval, la Chine est désormais équipée pour construire des porte-avions, de grands navires de transport de GNL et de grands navires de croisière, réalisant ainsi les « trois joyaux » de l’industrie de la construction navale.
Les missions d’exploration lunaire Chang’e, le module central Tianhe, la mission martienne Tianwen, l’exploration des profondeurs de la Terre par Crust 1, le submersible habité Fendouzhe, l’établissement d’un leadership dans la communication 5G, l’acier plus fin, les écrans plus grands, les puces améliorées et les machines-outils CNC avancées… en sont tous des exemples frappants.
Les secteurs émergents comme les circuits intégrés et l’intelligence artificielle connaissent une croissance rapide, les gros avions de ligne développés en Chine ont commencé à effectuer des vols commerciaux et la technologie ferroviaire à grande vitesse a établi des normes internationales, tandis que l’aérospatiale commerciale et l’économie à basse altitude s’accélèrent.
Depuis l’aube de la nouvelle ère, grâce à l’essence de l’innovation scientifique et technologique, l’élan d’innovation et de développement s’est intensifié, accélérant la formation de nouvelles forces productives de qualité et démontrant de fortes forces motrices et de soutien pour un développement de haute qualité.

La Chine doit renforcer ses forces pour survivre, rivaliser, se développer et se maintenir au milieu de toutes sortes de tempêtes et de vents violents prévisibles et imprévisibles, afin de garantir que le processus de grand renouveau de la nation chinoise ne soit ni retardé ni interrompu. La caractéristique la plus essentielle pour construire un nouveau modèle de développement est d’atteindre un niveau élevé d’autonomie et d’auto-amélioration.
L’expérience a pleinement démontré que l’indépendance et l’autonomie incarnent l’essence de l’esprit national chinois et constituent un principe crucial sur lequel reposent les fondements et la gouvernance du PCC. Suivre sa propre voie constitue le fondement de toutes les théories et pratiques du PCC.

En réfléchissant sur notre parcours, nous sommes passés du statut de « retardataire de la modernisation » à celui de « pôle de croissance de la modernisation mondiale ». Dans le contexte de la nouvelle révolution scientifique et technologique et de la transformation industrielle, le peuple chinois a fait face aux défis avec courage, a poursuivi le progrès, a suivi le rythme de l’époque et a dirigé l’époque. Nous avons marché plus fermement sur la voie de notre choix, tout en tenant fermement le destin du développement et du progrès de la Chine entre nos mains.
En regardant vers l’avenir, ancrés dans le sol et l’héritage chinois, héritant de la civilisation chinoise et suivant la voie correcte adaptée aux conditions nationales de la Chine, le Parti et le peuple disposent à cette époque d’une plate-forme étendue, d’un riche héritage historique et d’une ferme détermination à aller de l’avant.
Guidés par l’avenir de l’humanité et le bien-être du peuple, M. Xi a souligné : « Pour comprendre la Chine, la clé réside dans la compréhension de la modernisation chinoise. »

« Promouvoir la construction d’une communauté de destin pour l’humanité » est l’une des exigences essentielles de la modernisation chinoise. La Chine a inscrit de manière unique l’engagement en faveur du développement pacifique dans sa Constitution.
En septembre 2024, le Sommet 2024 du Forum sur la coopération sino-africaine s’est tenu. Grâce à des efforts collaboratifs en vue de la modernisation, nous souhaitons établir une communauté Chine-Afrique de haut niveau avec un avenir commun. Les relations sino-africaines ont pris un nouveau départ.
Du chemin de fer Mombasa-Nairobi au pont Maputo-Katembe au Mozambique, puis au port en eau profonde de Kribi au Cameroun et à la centrale hydroélectrique inférieure de Kafue Gorge en Zambie… Depuis la nouvelle ère, avec la construction conjointe de haute qualité de l’Initiative Ceinture et Route (BRI) qui progresse régulièrement, de nombreuses « routes de développement », « ponts de rêve », « et les « ports de prospérité » ont stimulé l’interconnectivité à travers le continent africain.
En se concentrant sur des secteurs cruciaux comme l’industrialisation, la modernisation agricole et la formation des talents en Afrique, de la mise en œuvre conjointe des « 10 plans de coopération »(2) , des « Huit initiatives majeures »(3) et des « Neuf programmes »(4) à la promotion conjointe des « 10 plans d’action de partenariat »(5) … La construction de la communauté de destin Chine-Afrique a donné un brillant exemple pour la construction d’une communauté de destin pour l’humanité. La modernisation de la Chine et de l’Afrique, contribuant à la modernisation du Sud global, écrira certainement un nouveau chapitre dans le développement d’une communauté de destin pour l’humanité.
En octobre 2023, la ligne à grande vitesse Jakarta-Bandung, conçue et construite par la Chine à une vitesse de 350 kilomètres par heure, a commencé à fonctionner, faisant de l’Indonésie le premier pays d’Asie du Sud-Est à posséder un train à grande vitesse modernisé. À la fin de septembre 2024, elle avait transporté plus de 5,4 millions de voyages de passagers, soit une moyenne d’environ 16 000 voyages de passagers par jour.
La construction conjointe de l’ICR réunit le plus grand « dénominateur commun » du développement humain.
Se plaçant du bon côté de l’histoire et du côté du progrès de la civilisation humaine, la Chine ne poursuit pas une modernisation qui lui profite à elle seule, mais un effort collectif pour le bien commun, favorisant la création d’une communauté de destin pour l’humanité.
Au cours des 75 années écoulées depuis la fondation de la République populaire de Chine (RPC), la vision du pays et la vie de son peuple ont connu des changements transformateurs, mais sa nature pacifique et bienveillante, son esprit large et inclusif et sa recherche de l’équité et de la justice sont restés inchangés. Ces éléments sont profondément enracinés dans les plus de 5 000 ans de civilisation chinoise et sont profondément ancrés dans l’âme du peuple chinois.

Depuis la nouvelle ère, la sortie de près de 100 millions de pauvres ruraux de la pauvreté absolue a apporté une contribution significative aux efforts mondiaux de réduction de la pauvreté ; en contribuant à environ 30 % de la croissance économique mondiale pendant de nombreuses années, la cause du développement mondial a fait avancer vigoureusement ; La Chine a accueilli en permanence la CIIE, la CIFTIS et la CICPE, offrant sans cesse de nouvelles opportunités au monde grâce à son nouveau développement.
En améliorant le bien-être du peuple chinois tout en facilitant la modernisation des nations du monde entier, la modernisation chinoise incarne une trajectoire de développement pacifique qui insufflera un nouvel élan au maintien de la paix mondiale et à la promotion du développement commun.
Récemment, lorsque des législateurs de divers pays ont visité la réserve naturelle nationale de Dongtan à Chongming et les bases de production de véhicules électriques à Shanghai, ils ont été profondément impressionnés par la réussite de la Chine dans l’exploration d’une voie de développement durable visant la prospérité commune.
« Nous devons nous renforcer grâce au travail acharné et à la créativité de tout notre peuple et poursuivre le développement en stimulant les moteurs internes et en utilisant pacifiquement les ressources externes », a déclaré M. Xi. Cette vision critique révèle profondément l’essence de la modernisation chinoise.
Présentant une nouvelle vision de la modernisation et représentant la direction du progrès de la civilisation humaine, la modernisation chinoise ouvre une nouvelle voie pour l’humanité vers la modernisation et établit une nouvelle forme de civilisation humaine.

En juin 2024, la conférence marquant le 70e anniversaire des Cinq principes de coexistence pacifique s’est tenue à Beijing.
Il y a sept décennies, confrontée aux ravages tragiques des guerres chaudes et aux divisions de la guerre froide, la RPC nouvellement créée a proposé la solution historique des Cinq principes de coexistence pacifique. Aujourd’hui, face à la grande question de « quel genre de monde construire et comment le construire », la Chine de la nouvelle ère offre la réponse de l’époque en proposant une communauté de destin pour l’humanité.
Des réponses historiques aux réponses de l’époque, le paysage international change, mais ce qui reste inchangé, c’est l’engagement de la Chine en faveur de la paix et du développement du monde et sa quête incessante d’un ordre international juste et raisonnable.
En embrassant les courants de l’histoire, nous parcourons le chemin juste pour atteindre des objectifs de grande portée.
Les voies vers la prospérité nationale et le bonheur du peuple se déploient sous nos pieds à travers ce vaste territoire. Au-dessus du vaste océan, la liaison Shenzhen-Zhongshan a battu 10 records du monde, prouvant que la modernisation chinoise est réalisée par des actions.
Dans le delta du fleuve Yangtsé, des milliers de kilomètres de voies ferrées s’étendent comme un « corridor vert », transformant les lignes de transport en lignes écologiques, interprétant la modernisation chinoise comme une modernisation de la coexistence harmonieuse de l’homme et de la nature.

La voix puissante de l’histoire transcende constamment le temps et l’espace, résonnant à travers les âges.
M. Xi a souligné que la modernisation chinoise est notre réponse à la grande question historique de savoir comment réveiller le « lion endormi » et réaliser le renouveau national. Il s’agit de choisir notre propre voie et de faire notre propre chose.
Les progrès importants commencent toujours par le début. Nous reconnaissons que la voie large ne garantit pas un parcours sans heurts, et que « la modernisation de la Chine est une entreprise entièrement nouvelle ; sur le chemin qui nous attend, nous serons inévitablement confrontés à des problèmes, des risques et des défis ».
Sur ce nouveau chemin, vers ce nouveau progrès, il est essentiel de rester concentré sur les objectifs que nous nous sommes fixés, de renforcer l’initiative historique et de faire avancer sans cesse la grande cause de l’édification et du renouveau de la nation.
Pour forger notre propre voie, nous devons maintenir la confiance historique.
En 2019, dans un contexte de risques et de défis accrus, le PIB par habitant de la Chine a dépassé la barre des 10 000 dollars. Au cours des trois années de lutte contre la pandémie, l’économie chinoise a connu une croissance annuelle moyenne de 4,5 %, soit nettement supérieure à la moyenne mondiale. Au premier semestre 2024, le taux de croissance de 5 % reste le plus élevé au niveau mondial.
« Le développement et la croissance de la Chine, guidés par sa propre logique inhérente, ne seront pas arrêtés par des forces extérieures. » Cette logique interne est enracinée dans les épreuves et les gloires de la nation chinoise et nourrie par la formidable puissance du peuple chinois.

Pour marcher sur notre propre chemin, nous devons toujours lutter ensemble dans l’unité.

Wang Yongzhi, Wang Zhenyi, Li Zhensheng… Les récipiendaires de la Médaille de la République et des titres honorifiques nationaux représentent les innombrables personnes exceptionnelles qui ont contribué à la cause du Parti et du peuple. Avec leurs idéaux et leurs convictions fermes et leur esprit de lutte implacable, ils ont accompli des réalisations extraordinaires.
L’unité et la lutte sont les symboles spirituels les plus distinctifs du PCC et du peuple chinois. Elles représentent la voie nécessaire pour que le PCC conduise le peuple à réaliser des exploits historiques. Paysans travailleurs, ouvriers industrieux, entrepreneurs audacieux, soldats qui défendent la patrie… des gens de tous les milieux travaillent dur et vont de l’avant, formant un puissant courant de progrès sur le nouveau chemin et contribuant à la nouvelle ère.
Sur ce nouveau chemin, unis sous la bannière du PCC comme « une pièce d’acier solide », lorsque des centaines de millions de personnes pensent et agissent comme un seul homme, nous pouvons certainement accomplir tout ce que nous entreprenons.
Pour forger notre propre chemin, nous devons être capables de surmonter les défis.
Face à d’innombrables difficultés et persévérant à travers d’innombrables dangers, le peuple chinois a lutté avec ténacité contre l’agression étrangère, a lutté avec sang-froid lorsque le pays était détruit, a lutté avec vigueur lorsque tout devait être reconstruit et a progressé avec le temps. Les adversités ont mis le peuple chinois à l’épreuve et l’ont renforcé.
La grande cause du renouveau national que nous aspirons aujourd’hui ne consiste pas à obtenir des succès dans des circonstances tranquilles, ni à profiter des fruits des fleurs et des applaudissements. En prenant l’initiative face aux opportunités, en affrontant les difficultés de front et en gérant activement les risques, nous remporterons certainement des victoires encore plus grandes.
Le chemin est aussi ferme qu’une pierre à aiguiser et le voyage est sans limites. Les mots de Xi Jinping résonnent profondément :

« La pratique a largement démontré que tant que notre chemin, notre théorie, notre système et notre culture sont corrects, que nous restons fermes, tenaces, persévérants et infatigables, que nous avançons sans relâche vers nos grands objectifs et que nous sommes inébranlables face aux difficultés, nos objectifs seront atteints. Nos objectifs seront certainement atteints ! »

Notes :
1 – Le 1er juillet 2021, lorsque le Parti a célébré son centenaire, M. Xi a proposé “Deux combinaisons”, soulignant la nécessité “de combiner les principes de base du marxisme avec les réalités concrètes de la Chine et le meilleur de sa culture traditionnelle”. Cette “deuxième combinaison” – avec le meilleur de la culture traditionnelle – représente une “réaction chimique” profonde et l’émancipation de l’esprit, a déclaré M. Xi.
2- Les 10 plans de coopération couvrent Action de partenariat pour l’inspiration mutuelle entre civilisations, l’exonération complète des droits de douane pour les produits des pays africains les moins avancé, L’industrialisation et la coopération technologique sont également au cœur du programme, apport à la Facilité du partenariat Chine-Groupe de la Banque mondiale (CWPF), deux événements sportifs africains projets de bien-être social, aide médicale et projets d’infrastructure médicale, 500 projets agricoles programme d’éducation et de formation sino africain 30 projets d‘énergie propre, plates-formes d’alerte météo précoce, gestion des catastrophes naturelles aide en formation militaire.
3 – Soutien au développement, sécurité alimentaire, santé publique, innovation verte, sécurité énergétique, dialogue inter-civilisationnel, développement de la jeunesse, sécurité et de stabilité.
4 – Neuf programmes pour la santé, pour la réduction de la pauvreté et l’agriculture, pour la promotion du commerce, pour la promotion de l’investissement, pour le développement vert, pour le renforcement des capacités, pour les échanges culturels et humains, pour la paix et la sécurité.
5 – Les 10 plans d’action de partenariat couvrent les domaines de l’apprentissage mutuel entre les civilisations, de la prospérité commerciale, de la coopération de la chaîne industrielle, de la connectivité, de la coopération au développement, de la santé, de l’agriculture et des moyens de subsistance, des échanges entre les peuples et des échanges culturels, du développement vert et de la sécurité commune.
marquetalia
   Posté le 06-10-2024 à 12:52:53   

Mengistu a écrit :

les usa mènent une guerre économique contre la chine et macron est leur laquais
un conflit ouvert à taiwan ou à hong kong n'est pas impossible
la france appuie les délires sur le "génocide ouigour" ou "l'oppression des tibétains"
il y a effectivement un très gros risque de conflit à Taiwan/Formose,mais pas à Hong Kong concernant le Tibet et le Xinjiang,Mengistu,tu as , à juste titre, parlé sur un autre topic de la colonisation ethnique et la sinisation de ces deux peuples-en ayant oublié de citer la Mongolie intérieure-,comparable à la colonisation de peuplement en Cisjordanie.


Edité le 06-10-2024 à 12:53:49 par marquetalia


Xuan
   Posté le 09-10-2024 à 17:23:28   

marquetalia a écrit :

Je ne vois pas pourquoi la France devrait faire de la propagande sinophobe, Macron ne prépare pas de guerre contre la Chine.


Pourquoi en 2020 les médias français ont-ils tous répété comme un seul homme tous les bobards de l'équipe de Trump :
Sur le virus chinois, sur les ratés de la lutte contre le COVID, sur les confinements trop sévères, sur les chiffres "faux"
Puis sur les "pro démocratie" à Hong Kong
Puis sur le Xinjiang

Tout y est passé.
Est-ce que Macron va sortir de ce formatage ?
Rien n'est moins sûr.
Mengistu
   Posté le 14-11-2024 à 21:44:05   

marquetalia a écrit :

[citation=Mengistu]les usa mènent une guerre économique contre la chine et macron est leur laquais
un conflit ouvert à taiwan ou à hong kong n'est pas impossible
la france appuie les délires sur le "génocide ouigour" ou "l'oppression des tibétains"


Depuis mon inscription sur ce forum, j'ai évolué idéologiquement et j'ai nuancé mes critiques envers la Chine actuelle.
Tout n'est pas parfait mais le statut d'autonomie du Xinjiang et du Tibet, comme ceux de la Tchétchénie et du Daguestan au sein de la Fédération de Russie sont incomparablement plus généreux pour ses peuples et permettent largement plus de politiques autonomes que les statuts actuels de la Corse, du Mahohi Nui ou de la Kanaky, sans même parler de la Guadeloupe, de la Martinique, de la Guyane, de la Réunion, de la Bretagne qui sont de simples régions sans statut particulier, ou même d'entités comme le Pays Basque nord (qui n'a pas de département à son nom ou reprenant ses frontières puisqu'il a été fusionné avec le Béarn pour former le département 64 Pyrénées Atlantiques), comme la Catalogne du Nord (qui a le département 66 qui reprend globalement ses frontières mais qui ne s'appelle pas Catalogne du Nord mais Pyrénées Orientales), comme la Savoie (qui a certes deux départements à son nom mais qui est donc divisée et n'a pas le statut de région), comme l'Alsace (niée au sein du "Grand Est" comme la Lorraine et la Champagne, de même que toutes ces fusions débiles de Hollande : l'Auvergne fusionnée avec la "Rhône-Alpes" c'est à dire Savoie, Lyonnais, Forez, Dauphiné, la Franche-Comté fusionnée avec la Bourgogne, la Grande Picarde fusionnée avec la Flandre occidentale ou Weshoek au sein des "Hauts de France", la Gascogne fusionnée avec le Pays Basque nord, le Béarn, le Poitou, le Limousin et les Charentes au sein de la Nouvelle Aquitaine enfin bref quasiment toutes les nations historiques sont niées, la Bretagne est mutilée d'une de ses capitales historiques, Nantes, le Païs Nissart n'est pas reconnue comme région, les termes PACA puis Sud viennent occulter le terme Prouvènço..

Je ne connais pas le cas de la Mongolie Intérieure mais ta comparaison avec les palestiniens de Cisjordanie actuellement victimes d'un génocide atroce dans lequel les bébés palestiniens sont brulés vifs par les juifs est totalement délirante et indécente. A quel moment des hans brulent vifs des bébés mongols ?


Edité le 14-11-2024 à 21:44:37 par Mengistu


marquetalia
   Posté le 15-11-2024 à 07:15:42   

@ Mengistu,tu ne prônes quand même pas la balkanisation de l Hexagone?A titre d exemple,le Prcf critique ce processus que le petit parti.qui gravité autour du PCF attribue à l Union Européenne.et, surtout, arrête de critiquer "les Juifs",on est sur un forum communiste, rien d autre.


Edité le 15-11-2024 à 07:20:02 par marquetalia


Mengistu
   Posté le 15-11-2024 à 12:02:15   

moi aussi je suis ravi de te revoir marquetalia et tes delires divertissants et contradictoires
j'espere que ta therapie avance, tu m'avais manqué ♥️
Mengistu
   Posté le 15-11-2024 à 12:04:37   

tiens je pensais à un truc : toi qui surkiffes le monde diplo et qui gobe la propagande de Khaled Nezzar, que penses-tu du fait que le Monde Diplo a été en première ligne pour démontrer que Zitouni était la création du DRS comme cet excellent documentaire de Canal Plus https://m.youtube.com/watch?v=RU8G23AJm-k&pp=ygUMZG9jdSBhbGdlcmll

ah l'epoque où le journalisme existait encore, il n'y'avait pas que des putes et des chômeurs

quant au PRCF je crache sur cette secte infâme et tu défends donc ceux qui brulent vif des gosses en Palestine ? tu me déçois marquetalia
Mengistu
   Posté le 15-11-2024 à 12:05:38   

je croyais que les communistes critiquaient les religions mais a part le judaïsme ça te fait peur de le critiquer, il faut dire que c'est plus risqué que le christianisme et l'islam, on sait qui a le pouvoir..
marquetalia
   Posté le 15-11-2024 à 19:16:11   

Qui c est,Zitouni?le Prcf soutient au moins les luttes sociales en France,pas comme le Regroupement communiste unifié duquel tu parles sur un autre topic.sur le site de l Huma et du Prcf justement,ils évoquent les contestations sociales en cours en France.Il faut que je cherche sur Internet qui est ce Zitouni.
marquetalia
   Posté le 15-11-2024 à 19:18:57   

Ah,j ai eu peur,je croyais que c était un membre du Gia Il s agit en fait d un héros de la Révolution algérienne.
Mengistu
   Posté le 15-11-2024 à 21:41:52   

si c'était bien "l'émir" du GIA, ce groupe sanguinaires et mafieux que les généraux algériens ont monté pour conserver le pouvoir et détruire le FIS
marquetalia
   Posté le 15-11-2024 à 22:23:20   

Il est vrai que le Fis est un parti très progressiste .lapidation des femmes infidèles, immolation des prostituées,coupure des lèvres au rasoir quand elles ont du rouge à lèvres,excision dex fillettes.le socialisme du XXI ème siècle,voyons.


Edité le 15-11-2024 à 22:51:01 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 15-11-2024 à 22:52:09   

Le Gia était le bras armé du FIS.


Edité le 15-11-2024 à 22:52:29 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 16-11-2024 à 02:54:59   

Le Fis permet aux Etats Unis d affaiblir un pays proche de Moscou et favorable aux Palestiniens.
marquetalia
   Posté le 16-11-2024 à 17:00:17   

@ Mengistu, franchement,tu me saoules avec le Fis.
marquetalia
   Posté le 16-11-2024 à 19:16:06   

J ai discuté il y a quelques jours en ville avec un membre du PCF, à propos des cigares,dont il m a dit qu il avait fumé les meilleurs à Cuba,il ne m a bombardé avec le djihad,il m a justement parlé de Cuba.un sujet de vrai communiste,Cuba.
Mengistu
   Posté le 16-11-2024 à 19:22:13   

nimporte quoi le bras armé du FIS était l'AIS
l'armée algérienne a créé le GIA pour les niquer
Mengistu
   Posté le 16-11-2024 à 19:23:40   

marquetalia tu n'as aucune rigueur intellectuelle tu es un cas perdu
et tu parles de saouler mais cest toi qui saoules tout le monde qd tu changes de sujet tout ça et tu as fais 27363388338 posts sur l'islamisme c'est vraiment l'hopital qui se fout de la charrue avant de l'avoir vendu