Sujet :

le neocolonialisme francais en Algerie.

marquetalia
   Posté le 27-01-2018 à 20:10:51   

https://npa2009.org/actualite/algerie-de-leau-dans-le-gaz-de-schiste-salah


Edité le 27-01-2018 à 23:26:31 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 27-01-2018 à 20:19:45   

Un meilleur site,qui n est pas trotsko au moins celui là http://www.algeriemondeinfos.com/2017/12/31/energie-sonatrach-negocie-total-eni-lexploitation-gaz-de-schiste/
marquetalia
   Posté le 27-01-2018 à 20:38:03   

Un lien du Diplo contre l impérialisme français en Algérie ,en particulier l exploitation du gaz de schiste. https://www.monde-diplomatique.fr/mav/144/MOHAMED/54307


Edité le 27-01-2018 à 20:38:30 par marquetalia


Xuan
   Posté le 27-01-2018 à 23:12:31   

Ce n'est pas de la "recolonisation" c'est du néocolonialisme.
marquetalia
   Posté le 27-01-2018 à 23:24:03   

Xuan a écrit :

Ce n'est pas de la "recolonisation" c'est du néocolonialisme.
oui,on pourrait parler de "recolonisation"si,par exemple,le Laos renoncerait au marxisme léninisme et serait reconquis economiquement par les États Unis ou par la France.Degaulle avait choisi la voie néocoloniale pour l Algérie en 1962 plutôt que le colonialisme archaïque,qui nuisait aux liens entre Paris et les chancelleries des pays arabes.
Xuan
   Posté le 28-01-2018 à 09:26:37   

le colonialisme avait surtout nui à l'armée française si on s'en souvient.
Xuan
   Posté le 28-01-2018 à 18:02:56   

La France a perdu et l'Algérie est devenue indépendante.
marquetalia
   Posté le 28-01-2018 à 20:16:11   

maintenant,le peuple algérien doit s émanciper du néocolonialisme français.
marquetalia
   Posté le 28-01-2018 à 20:24:53   

l impérialisme occidental reste le principal ennemi des peuples,et pas la Russie de Poutine/Medvedev.
marquetalia
   Posté le 31-01-2018 à 13:49:45   

A propos de la nationalisation des richesses du Sahara par l Algérie -il y a également un article du Diplo repris dans le Manière de Voir de 2012 sur les 50 ans de l indépendance algérienne,mais j ai du mal à le trouver. http://alliance-udr-anr-les.over-blog.com/article-anniversaire-le-24-février-1971-boumediene-nationalise-les-hydrocarbures-et-met-fin-au-reve-saharien-97971033.html
Xuan
   Posté le 31-01-2018 à 14:20:24   

Pas vu dans les archives du Diplo.
Par contre ici
:


Le 24 février 1971,Boumediène Nationalise les hydrocarbures et met fin au «rêve saharien»



16 avril 2012 Houari BOUMEDIENE

Le processus était l’aboutissement d’un échec des négociations avec la France

le 27/12/2008 - 22:16

1971 fut l’année du début actif de «la révolution socialiste» du colonel Houari Boumediène. Le 24 février de la même année, il annonçait «la nationalisation» des hydrocarbures. Huit mois plus tard, il décidait le lancement de «la révolution agraire» et la gestion socialiste des entreprises (GSE).

Devant les cadres de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), syndicat unique créé le 24 février 1956, il proclamait, au nom du Conseil de la Révolution, né après le coup d’Etat militaire contre Ahmed Ben Bella six ans auparavant, une série de décisions :
«la participation algérienne dans toutes les sociétés pétrolières françaises est portée à 51%, de façon à en assurer le contrôle effectif ; la nationalisation des gisements de gaz naturel ; la nationalisation du transport terrestre, l´ensemble des canalisations se trouvant sur le territoire national» .

Les décisions étaient applicables le jour-même. Houari Boumediène entendait mettre fin aux pourparlers menés avec la France sur les questions énergétiques. Les accords d’Evian de mars 1962 avaient, en partie, ligoté les mains de l’Etat indépendant au nom de la poursuite de l’application du Code pétrolier saharien, promulgué en 1958.

Deux ans auparavant, les premiers puits de brut furent découvert à Edjeleh, dans la région de In Amenas, et à Hassi Messaoud, dans le Sud-Est du pays.

Plusieurs entreprises françaises procédaient à des explorations depuis 1953 à l’image de la Compagnie des Pétroles d’Algérie (CPA), la Compagnie de recherche et d’exploitation du pétrole au Sahara (CREPS) et de la Société Nationale de Recherche et d’Exploitation des Pétroles en Algérie (SN REPAL). Cette dernière fut créée en 1946 à l’initiative du gouvernement général d’Algérie, une année après l’installation à Hydra, sur les hauteurs d’Alger, du Bureau de recherches pétrolières (BRP).
Curieusement, Sonatrach a actuellement son siège à Hydra ! Le BRP était établissement public en charge de la coordination et du financement des recherches pétrolières. Ce bureau avait un rayon d’action large en Afrique puisqu’il procédait à plusieurs prospections au Tchad, au Gabon et ailleurs.
A la fin des années 1940, la SN REPAL avait échoué dans des recherches menées dans le Touat et à In Salah. Pas de trace de pétrole et de gaz. C’était bien entendu une erreur !
Dans un premier temps, le pétrole gabonais avait permis à la France d’avoir au milieu des années 1950 «l’autonomie énergétique».
L’exploitation des premiers puits à Hassi Messaoud, à partir de juin 1956, était la réalisation du «rêve saharien» pour les Français.
«Cette immensité pourrait être une source fantastique de prospérité. Un jour, nous y trouverons de grandes quantités de pétrole» , prévoyait le géographe Émile Félix Gautier. Une immensité estimée à 7,7 millions de km2 qui s’étend à partir du Tchad jusqu’au en Mauritanie. Certains considéraient déjà le Sahara comme «le Texas français» .

Les Américains étaient, eux, sceptiques à l’idée de trouver de l’or noir dans le désert. C’était, entre autres l’avis du géologue Hallis Heldberg qui estimait qu’aucune zone intérieure de l’Afrique «ne présente d’intérêt pour les recherches» . On comprend mieux pourquoi les Américains ne s’étaient intéressés à l’Afrique pétrolière que tardivement, lui préférant l’Alaska et le Moyen-Orient. Les nostalgiques considéraient les découvertes de In Amenas et de Hassi Messaoud comme «une véritable épopée française» .

Vers 1958, Hassi Messaoud, qui était baptisée «Maison verte», ressemblait à l’Ouest américain à l’époque de la recherche de l’or. Elle attirait des centaines d’ingénieurs, d’explorateurs, de chercheurs et autres. Il était évident que l’intérêt pour la France n’était pas de perdre cette manne tombée du ciel en pleine guerre de Libération nationale. Surtout qu’un immense champ gazier venait d’être découvert à Hassi R’mel. Hassi R’mel d’où l’on pouvait extraire les condensats également.

La France dépendait à l’époque à 90% des hydrocarbures acheminées du Moyen-Orient. Grâce aux découvertes du Sahara, elle pouvait assurer 50% de ses besoins en énergie et améliorer d’une manière sensible sa balance commerciale.
Il fallait donc réfléchir rapidement à une solution pour séparer le Sahara du reste de l’Algérie en cas d’indépendance. Les Oasis et la Saoura sans l’Algérie !
Plusieurs responsables français, dont Guy Mollet, Félix Gaillard et le général de Gaulle, avaient fait des propositions (certaines faites secrètement) au FLN puis au GPRA allant de l’autonomie à l’indépendance de l’Algérie.
Aucune de ces offres n’incluait le Sahara comme partie du territoire algérien.

Après débats et hésitations, un projet fut retenu, celui de faire du Sahara une entité autonome sous souveraineté française.
Ministre d’Etat dans le gouvernement socialiste de Guy Mollet, Houphouët Boigny, devenu président de la Côte d’Ivoire indépendante, était chargé d’élaborer le projet adopté par le Parlement en décembre 1956.
En vertu de ce texte fut créée l’Organisation commune des régions sahariennes (OCRS).
Son objectif ? «Mettre en valeur l’expansion économique et la promotion sociale des zones sahariennes de la République française et à la gestion de laquelle participent l’Algérie, la Mauritanie, le Niger et le Tchad» .
Ces quatre pays n’étaient donc plus «souverains» sur leurs territoires. Fait inexplicable : le Mali, qui possède d’immenses étendues désertiques, n’était pas concerné par cette nouvelle organisation.

Après la création d’un ministère du Sahara, la séparation de l’Algérie de ses territoires du Sud fut officiellement proclamée le 7 août 1957. Ainsi, les départements des Oasis et de la Saoura furent intégrés à l’OCRS. Le reste du pays était désormais appelé «l’Algérie du Nord» (à l’image de la Corée du Nord). Il fallait attendre le 5 septembre 1961 pour que le général de Gaulle annonce au cours d’une conférence de presse que les départements des Oasis et de la Saoura faisaient partie intégrante de l’Algérie.
Cinq années auparavant, Djamel Abdelnasser ordonnait la nationalisation du Canal de Suez. Cela avait, d’une certaine manière, contribué à accélérer le projet de division de l’Algérie puisque la France avait des craintes sur ses approvisionnements pétroliers du Moyen-Orient.

Houari Boumediène, qui était au Caire en 1956, avait assisté aux festivités marquant cette nationalisation, largement accueillie par la population égyptienne. Une autre nationalisation allait suivre, celle du domaine minier de l’Irak Petroleum Company (IPC) en 1961. A cette époque, les groupes tels que Shell et BP avaient le monopole des activités de distribution et de raffinage sur le territoire française.

En 1960, la même année de la création de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) à Baghdad, la France regroupait les entreprises sous l’égide de l’Union générale des pétroles (UGP) pour les activités de raffinage et l’Union générale de distribution (UGD).

La société néerlandaise Shell avait vivement protesté contre la création de cette Union. Progressivement, l’UGP construisait ou louait des raffineries partout (Allemagne, Sénégal, Belgique, Madagascar…) mais pas en Algérie.

Sur le plan économique, cela aurait été fort rentable pour l’Etat français de raffiner le brut en Algérie et de le transporter compte tenu de la distance. Mais, les perspectives d’indépendance de l’Algérie changeaient tout. En 1966, le BRP lançait l’Entreprise de recherches et d’activités pétrolières (ERAP) dont la mission était de mettre en place une industrie pétrolière sans aide financière ou technique de l’Etat. L’ERAP était chargée de coordonner et superviser toutes les activités recherche, exploration, production, raffinage et distribution en France métropolitaine et dans les colonies.
L’ERAP, qui était présente en Algérie, s’était adaptée aux nouvelles règles du marketing pour devenir ELF-ERAP, Elf-Matra puis Elf-Aquitaine. Cette entreprise est restée publique jusqu’à 1994 avant de fusionner avec Total. Total était également présente en Algérie après l’indépendance.

En décembre 1963, le jeune Etat se dotait de sa propre société, la Sonatrach, pour transporter les produits pétroliers. Elle devait ensuite élargir ses activités à l’exploration, la production et la pétrochimie. Ce qu’elle avait fait des années après sa création.
Mais, des clauses dans les Accords d’Evian donnaient un large monopole aux entreprises françaises. «l’Algérie confirme l’intégralité des droits attachés aux titres miniers et de transport accordés par la République française, en application du Code pétrolier saharien (…) et s’engage à respecter le droit pour le détenteur de titres miniers et ses associés de transporter ou faire transporter sa production d’hydrocarbures liquides ou gazeux et le droit du concessionnaire et de ses associés de vendre et de disposer librement de sa production» , était-il écrit dans ces accords.
L’Algérie indépendante acceptait donc de ne pas toucher au Code pétrolier saharien. Paris avait tout fait pour empêcher tout autre société française de venir explorer dans le sahara algérien. En 1962, il n’y avait que deux compagnies américaines et une entreprise allemande en Algérie dont les activités étaient fortement limitées.

«La partie française avait imposé la création d’un organisme mixte algéro-français de gestion et de contrôle de l’industrie pétrolière algérienne, dénommé Organisme saharien et au sein duquel les deux pays étaient représentés par un nombre égal d’administrateurs. C’est donc à une structure administrative échappant complètement à la souveraineté nationale qu’était dévolue la tutelle du secteur pétrolier» , a relevé, dans une analyse, Hocine Malti, ancien vice-président de Sonatrach, l’un des fondateurs de cette entreprise, consultant pétrolier actuellement. Remise en cause partielle des Accord d’Evian Deux ans après la signature des Accords d’Evian, la nécessité de revoir les volets énergétiques était apparue évidente.
Les négociations devaient durer plusieurs mois. Les accords complémentaires étaient signés en 1965, quarante jours après le coup d’Etat militaire contre Ahmed Ben Bella. Les accords du 29 juillet 1965 avaient permis à l’Algérie, selon Hocine Malti, de cesser d’être un simple percepteur d’impôts, de remettre en cause le système de concessions et de se lancer dans l’aventure industrielle en prenant en main, sur le terrain, les opérations d’exploration et de production.
«Cette dernière mesure était de loin la plus importante puisque c’est grâce à ce rôle d’opérateur que le pays finira par exercer une souveraineté totale sur les richesses de son sous sol» , a-t-il estimé.
«Les accords pétroliers algéro-français définissaient avec plus de précision le cadre de l’exercice des activités pétrolières par les sociétés françaises en Algérie et les mesures particulières dont elles pouvaient bénéficier et décidaient (parmi d’autres décisions relatives au prix posté, au régime fiscal applicable et à la coopération dans le secteur pétrochimique) de la création d’une société en participation (50%-50%) chargée de la recherche et de la production appelée Association-Coopérative (Ascoop) et dans laquelle Sonatrach représentait l’Algérie et était opératrice sur un certain nombre de périmètres et le Groupe Erap représentait la France avec la société Sopefal comme opérateur sur un certain autre nombre de périmètres», ont, de leur côté, précisé, dans une étude publiée par la presse, Abdelmadjid Attar et Zerrouk Djerroumi, deux anciens cadres de Sonatrach. Selon eux, cette Association-Coopérative, dotée de périmètres de recherche d’une superficie de 200 000 km2 , a activé pendant quelques années. Au cours de cette période, 35 forages ont été réalisés qui se sont traduits par quatre découvertes avec des efforts réduits de recherche. «Ce comportement inattendu de cette structure a conduit le partenaire algérien à demander, au cours des rounds de révision des clauses fiscales tenus de fin 1969 à début 1971, à son partenaire de se conformer aux engagements pris, mais ce dernier est resté sourd à ces demandes et son attitude a conduit les autorités à penser sérieusement au scénario de la nationalisation» , ont indiqué les cadres de Sonatrach.
Selon Hocine Malti, la guerre du Moyen-Orient de juin 1967 fournissait au régime de Houari Boumediène l’occasion de créer la première brèche dans le front des compagnies concessionnaires, en vue de la reprise en main des réserves pétrolières.
«Par solidarité avec les pays arabes engagés dans le conflit, le gouvernement décidait de mettre sous contrôle de l’Etat les compagnies pétrolières américaines présentes dans le pays. La levée de la mesure, quelques mois plus tard, aboutissait à la cession par Getty Oil à Sonatrach de 51% de ses intérêts sur le champ de Rhourde El Baguel» , a-t-il noté. Les difficultés liées à l’Ascoop avaient donné lieu à des négociations qui devaient aboutir à un échec.

«Les négociations commencèrent en novembre 1969, dans l’espoir qu’elles aboutiraient à la date anniversaire de juillet 1970. Abdelaziz Bouteflika, ministre des Affaires étrangères, effectua de très nombreux va-et-vient entre Alger et Paris pour y rencontrer le ministre français de l’Industrie Xavier Ortoli, en charge du dossier. Une année après, aucune avancée n’ayant été constatée, le président Boumediène décida finalement, en novembre 1970, de mettre fin à la tentative de règlement par voie diplomatique, dessaisit le ministère des Affaires étrangères du dossier et donna pour instruction au secteur de l’énergie de se préparer à prendre en main l’exploitation pétrolière du pays» , a expliqué Hocine Malti.

L’échec des pourparlers amenait donc Houari Boumediène, en quête grandissante de popularité, à annoncer la nationalisation, partielle pour certaines sociétés, des hydrocarbures. Les entreprises gazières ont été nationalisées à 100%. CFP-Total joue le jeu Par conséquent, Elf-ERAP et la Compagnie française des pétroles (CFP, l’ancêtre de Total) ne pouvaient enlever que 5 millions de tonnes de brut en Algérie.
Fortement touchée, Elf-ERAP décidait de quitter l’Algérie. Elle ne trouvait son équilibre que vers 1975. La CFP, qui avait déjà beaucoup perdu après la nationalisation de l’IPC en Irak dans laquelle elle détenait des parts, restait et était obligée de négocier avec les autorités algériennes et signer des accords entrés en application à partir de juin 1971. Elle arrivait même à augmenter ses parts dans le gisement de Hassi Messaoud !

Le congrès du FLN de Tripoli en 1962 avait retenu le principe de la nationalisation des installations pétrolières mais sans préciser de date de mise en application. La CFP en était informée et s’était bien préparée à cette nouvelle politique en adoptant un plan de protection de ses actifs et en transférant son siège social d’Alger vers Paris. L’Etat algérien procédait courant 1971 à une révision en profondeur des textes régissant les activités liées aux hydrocarbures dont le fameux Code pétrolier saharien qui accordait des avantages en matière fiscale aux sociétés françaises.

« En vue de corriger les dysfonctionnements créés par ces textes qui s’étaient montrés inadaptés à la nouvelle situation du pays (statut administratif particulier, statuts des concessionnaires, avantages fiscaux, mesures protectrices des concessionnaires, limitation des pouvoirs de l’administration algérienne, etc.) et qui n’étaient plus en ligne également ni avec la situation courante de l’industrie pétrolière internationale ni avec les acquis réalisés par les autres pays producteurs, et étant donné que ces dysfonctionnements n’ont pu être réglés par des dispositions intérimaires comme la création d’institutions mixtes du genre Organisme saharien ou Organisme de coopération industrielle, vu leur lourd co-management, les autorités algériennes ont promulgué une série d’ordonnances et de décrets le 12 avril 1971» , ont souligné Abdelmadjid Attar et Zerrouk Djerroumi. D’autres pays ont suivi l’exemple algérien, comme l’Angola et l’Indonésie qui nationalisèrent leurs ressources pétrolières. L’Iran, lui, avait échoué dans sa tentative de le faire.

Le 12 avril 1971, Boumediène prenait la décision de charger Sonatrach de mener seule les opérations sur les champs pétroliers et gaziers. «A partir de ce moment, l’Algérie contrôlait, au travers de sa compagnie pétrolière nationale, 4 milliards de tonnes de réserves pétrolières sur un total estimé de 5, des réserves de gaz de 4000 milliards de mètres cubes, toutes les réserves de condensat, estimées à l’époque à 600 millions de tonnes et un réseau de 8 gazoducs et oléoducs d’une longueur totale de 3500 kilomètres. La part de Sonatrach, qui avait été jusque-là de 30% de la production, passait à 77%» , relevait Hocine Malti.

Les nouvelles lois restaient en vigueur jusqu’à 1986. Après cette date, marquée par un effondrement des cours mondiaux du pétrole, un autre schéma fut adopté pour le patrimoine minier. La nationalisation en Algérie avait suscité la méfiance des grandes compagnies pétrolières internationales. Situation entretenue par l’embargo, décidé en 1973 par les pays arabes membres de l’OPEP réunis au Koweït après la Guerre d’Octobre, à l’encontre des Etats occidentaux qui soutenaient Israël. Le sommet d’Alger de novembre 1973 devait conforter cette position.

Une année plus tard, Boumediène prône, dans un discours aux Nations unies, l’instauration d’un nouvel ordre économique international. Pour certains historiens, Houari Boumediène avait marché sur les traces de Djamel Abdennaser et s’en était inspiré pour la prise de plusieurs décisions dont la reconquête de la souveraineté sur les hydrocarbures, «la révolution agraire» , le barrage vert et l’utilisation du FLN comme simple appareil politique. A titre d’exemple, le colonel Djamel Abdennaser avait fait de El Ittihad Al Ichtiraki (l’union socialiste) un instrument politique au service des ses visions et avait lancé le fameux «El Islah aziraï» (la réforme agricole).

© El Watan
marquetalia
   Posté le 31-01-2018 à 18:43:33   

Seul le Parti Algérien pour la Démocratie et le Socialisme peut extirper l Algérie du néocolonialisme
marquetalia
   Posté le 31-01-2018 à 21:59:38   

Rappelons nous le discours patriarcal,avec quelle posture coloniale Macron a interpellé un jeune algérien,en lui disant"tais toi,tu n étais pas encore né à l époque coloniale -macron non plus!-par contre,il est ne en plein milieu de l époque néocoloniale de l Algérie.
Xuan
   Posté le 31-01-2018 à 23:14:37   

marquetalia a écrit :

L impérialisme français va depecer l Algérie en soutenant les séparatistes kabyles pour trouver un point d ancrage afin de mieux mettre la main sur les richesses du Sahara.Dividi ut Regni.


Encore tes prédictions ultra-lucides...
marquetalia
   Posté le 03-02-2018 à 20:45:25   

J ai du être contaminé par les conneries de Monsieur Alain Soral.
Xuan
   Posté le 04-02-2018 à 09:42:52   

Soral ne s'en prend pas spécialement à l'impérialisme français mais à l'Empire", au "système", aux élites mondialisées et aux juifs.
C'est le même discours que celui des fascistes de l'entre deux guerres sur la "finance cosmopolite et judaïsée".

Tu n'es pas contaminé par Soral mais ça ne sert à rien d'inventer des scénarios et de se faire des films. La volonté des impérialistes est une chose, ce qu'ils peuvent réaliser en est une autre, et sur le long terme l'impérialisme disparaîtra.
marquetalia
   Posté le 04-02-2018 à 10:14:31   

Xuan a écrit :

Soral ne s'en prend pas spécialement à l'impérialisme français mais à l'Empire", au "système", aux élites mondialisées et aux juifs.
C'est le même discours que celui des fascistes de l'entre deux guerres sur la "finance cosmopolite et judaïsée".

Tu n'es pas contaminé par Soral mais ça ne sert à rien d'inventer des scénarios et de se faire des films. La volonté des impérialistes est une chose, ce qu'ils peuvent réaliser en est une autre, et sur le long terme l'impérialisme disparaîtra.
Les torchons merdeux predisent le chaos en Algérie apres la mort de Bouteflika.quand au scénario sur la Kabylie,il a été effectivement inventé de toutes pièces par les fascistes d Égalité et Réconciliation.


Edité le 12-02-2018 à 12:46:50 par marquetalia


Xuan
   Posté le 10-02-2018 à 22:49:27   

Arrête de spéculer ainsi, par des faits
Xuan
   Posté le 12-02-2018 à 13:15:51   

cite tes sources sinon ce sont des affirmations gratuites
Xuan
   Posté le 12-02-2018 à 13:20:35   

cite tes sources sinon ce sont des affirmations gratuites
marquetalia
   Posté le 16-02-2018 à 22:09:09   

La bourgeoisie française offre l accès aux soins aux Algériens....pour mieux garder le gaz de schiste du Sahara algérien.http://m.huffpost.com/mg/entry/19251472
Finimore
   Posté le 17-02-2018 à 07:05:03   

Marquetalia, c'est quand même désespérant tu n'as toujours pas compris comment mettre un lien directement !!!!

Tu sélectionnes l'adresse et tu cliques sur le logo à côté de l'oeil
Xuan
   Posté le 19-02-2018 à 20:53:23   

Pour mieux garder le gaz de schiste...ou pas :
http://www.algerie-focus.com/2017/10/gaz-de-schiste-pouvoir-algerien-monnaye-soutien-americains/
marquetalia
   Posté le 19-02-2018 à 21:42:32   

Xuan a écrit :

Pour mieux garder le gaz de schiste...ou pas :
http://www.algerie-focus.com/2017/10/gaz-de-schiste-pouvoir-algerien-monnaye-soutien-americains/
ce qui préfigure l entrée de l Algérie dans la coalition des 55 pays musulmans majoritairement sunnites,dressés contre l Iran par Trump. http://lavoixdelalibye.com/2017/05/23/37909/
marquetalia
   Posté le 19-02-2018 à 21:49:35   

Évidemment,ni la Syrie,ni l Irak,ne font partie de cette coalition.reste à savoir si les pays d Asie Centrale,encore proches de la Russie,rejoindront l alliance anti iranienne,et si un pays chiite comme l Azerbaïdjan,mais proche d Israël,pourrait se rapprocher de l Axe anti Téhéran,en sachant que Bakou revendique le territoire iranien peuplé d Azéris.et comment va se positionner l Inde,pays émergent proche de l Iran,mais peuplé d au moins 15% de Musulmans,et la plupart sunnites.
Xuan
   Posté le 19-02-2018 à 22:22:20   

marquetalia
   Posté le 20-02-2018 à 21:59:36   

Xuan a écrit :

Pour mieux garder le gaz de schiste...ou pas :
http://www.algerie-focus.com/2017/10/gaz-de-schiste-pouvoir-algerien-monnaye-soutien-americains/
Je pense plutôt que Macron essaye de négocier avec l Algérie l accès des Algériens à la Sécurité Sociale en France pour pouvoir,en échange,avoir carte blanche par Bouteflika afin d éliminer Yiad Ag Ghali,qui,selon la presse arabe francophone,tombera bientôt entre les mains de l armée française.


Edité le 20-02-2018 à 22:36:54 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 21-02-2018 à 17:41:57   

Xuan a écrit :

Pour mieux garder le gaz de schiste...ou pas :
http://www.algerie-focus.com/2017/10/gaz-de-schiste-pouvoir-algerien-monnaye-soutien-americains/
http://www.lexpressiondz.com/actualite/283165-une-base-americaine-au-sud-ouest-de-la-libye.html


Edité le 21-02-2018 à 22:11:52 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 23-02-2018 à 12:17:39   

les États Unis s apprêtent à sécuriser le Sahara en vue d exploiter le gaz de schiste.
Xuan
   Posté le 06-03-2018 à 21:03:28   

marquetalia a écrit :

La rétrocession de Mers el Kebir fut une étape de la logique de la décolonisation.toutefois,la France testa ses armes nucléaires jusqu en 1978 au Sahara algérien,et ce avec l accord des dirigeants d Alger,Boumediene compris!!


marquetalia a écrit :

Un article du Diplo fait référence au néocolonialisme linguistique de la France en Algérie,un article qui accuse la volonté algérienne de récupérer sa langue de "repli identitaire",histoire de rester fidèle à leur soutien Mélenchon qui veut s appuyer sur la francophonie afin de garder un droit de regard sur l ancien Empire colonial français.
marquetalia
   Posté le 30-04-2018 à 16:45:52   

Une victoire électorale des partis islamistes en 2019 entrainera t elle une nationalisation des multinationales exploitant le pétrole et le gaz au Sahara Algérien ?;pas étonnant que Degaulle voulait garder le Sahara....


Edité le 30-04-2018 à 19:13:20 par marquetalia


pzorba75
   Posté le 01-05-2018 à 05:59:21   

De Gaulle voulait conserver l'influence française dans ce qu'était l'Empire colonial français et s'opposait frontalement à la domination de l'impérialisme américain. C'était son choix depuis 1940, et il ne s'en est finalement pas écarté choisissant d'abandonner le pouvoir deux fois sous les assauts des atlantistes, bien secondés à chaque fois par les socialistes et les démocrates chrétiens européistes.
Conserver le Sahara était pour de Gaulle le moyen le moins coûteux pour mener à son terme la filiale nucléaire et le processus de la bombe atomique. Objectif "indépendantiste" vis à vis des politiques européistes et atlantistes de ses opposants.
marquetalia
   Posté le 02-05-2018 à 10:24:44   

pzorba75 a écrit :

De Gaulle voulait conserver l'influence française dans ce qu'était l'Empire colonial français et s'opposait frontalement à la domination de l'impérialisme américain. C'était son choix depuis 1940, et il ne s'en est finalement pas écarté choisissant d'abandonner le pouvoir deux fois sous les assauts des atlantistes, bien secondés à chaque fois par les socialistes et les démocrates chrétiens européistes.
Conserver le Sahara était pour de Gaulle le moyen le moins coûteux pour mener à son terme la filiale nucléaire et le processus de la bombe atomique. Objectif "indépendantiste" vis à vis des politiques européistes et atlantistes de ses opposants.
c est l Egypte de Nasser,et,accessoirement l Union Soviétique qui ont soutenu le Fln,pas les États Unis.pour preuve,la C.i.a finançait l Organisation Armée Secrète.par contre,désormais,c est l impérialisme u.s qui tire les ficelles à Alger,plus que l impérialisme français,les Américains faisant pression pour que l Algérie renonce à soutenir le Front Polisario et pour qu elle se joigne à la croisade anti-chiite menée par les Saoudiens.


Edité le 02-05-2018 à 10:28:44 par marquetalia


pzorba75
   Posté le 03-05-2018 à 05:53:54   

L'URSS soutenait toutes les luttes pour la libération des peuples des empires coloniaux, elle y voyait une réponse aux guerres que les impérialistes menaient contre elle, depuis sa création.
Ce fut vrai aussi bien en Indochine qu'en Algérie, les guerres coloniales affaiblirent l'impérialisme français qui a finalement lâché pied pratiquement partout. Evidemment que l'impérialisme américain était en embuscade, comme il l'est en Europe continentale depuis qu'il y a débarqué militairement à la fin des deux conflits mondiaux, essentiellement pour poursuivre sa domination économique et le pillage industriel qui va avec, Macron étant une nouvelle arme entre ses mains.
En Algérie, c'est finalement pareil, les américains essayant de prendre une meilleure place après le recul français, en particulier l'abandon de la langue française au profit de l'anglais dans les écoles algériennes. Mais, il y a encore des os, les chinois sont présents en Algérie, font des affaires et sont les concurrents de demain pour les entreprises américaines et européennes qui vont certainement voir leur influence reculer, comme leurs profits.Et c'est là qu'est le problème. La démocratie, les droits de l'homme, c'est du bla-bla, surtout quand les affaires sont mauvaises.
marquetalia
   Posté le 25-06-2018 à 01:04:36   

Xuan a écrit :

La France a perdu et l'Algérie est devenue indépendante.
il ne faut pas réécrire l histoire,non plus!la résistance algérienne avait été écrasée par la bataille d Alger,Degaulle a préféré la voie néocoloniale,ce qui lui valut la colère de l oas!Spaggiari l a loupé de peu.


Edité le 24-11-2019 à 09:29:01 par marquetalia


pzorba75
   Posté le 25-06-2018 à 04:33:50   

marquetalia a écrit :

[citation=Xuan]La France a perdu et l'Algérie est devenue indépendante.
il ne faut pas réécrire l histoire,non plus!la résistance algérienne avait été écrasée par la bataille d Alger,Degaulle a préféré la voie néocoloniale,ce qui lui valut la colère de l oas!Spaggiari l ai loupé de peu.[/citation]
C'est quoi ton idée? Essaie d'amener des arguments pour qu'on puisse s'y retrouver dans la lave de tes propos.
Xuan
   Posté le 25-06-2018 à 09:24:08   

L'aspect militaire n'est pas le seul et c'est bien la France qui a perdu la guerre d'Algérie.


Edité le 25-06-2018 à 09:24:33 par Xuan


Finimore
   Posté le 27-06-2018 à 06:58:33   

marquetalia a écrit :

il y a une vingtaine d années,j ai pissé sur la tombe d un harki avec des potes gothiques et black metal.je peux dire que ca soulage la vessie épurée de la bibine!


Si c'est ta conception de l'action politique, c'est vraiment pitoyable...
marquetalia
   Posté le 20-11-2018 à 14:05:33   

Un membre du parti communiste a été torturé d abord par les Français,puis, après l indépendance,par la police algérienne,sous Boumediene.
Xuan
   Posté le 30-01-2019 à 09:49:26   

Sous réserve : le site africa24 me paraît douteux et les infos ne sont pas référencées. Si vous avez davantage d'infos n'hésitez pas à signaler.

La Chine donne un ultimatum à la France de mettre fin au pacte colonial en Afrique


http://africa24.info/2018/08/14/la-chine-donne-un-ultimatum-a-la-france/?fbclid=IwAR3FlHrjVtoWAUeg4tuIOV4SuxsmGeX3jgxWenn9TOKj4zU2qk2SeNhWC0g

Le pacte colonial (appelé aussi régime de l’Exclusif) est un régime d’échange imposé par les pays européens à leurs colonies au XVIIème siècle et selon lequel la colonie ne peut importer que des produits provenant de la métropole tandis qu’elle ne doit exporter que vers celle-ci
Peu de gens le savent. Mais il existe bel et bien des accords secret signés entre les anciennes colonies françaises et leur ancienne autorité administrative, la France. Ces accords concernent de nombreux domaines, tels que le militaire, le politique, mais surtout des accords économiques.

Les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Equatoriale et le Gabon.

La Chine, qui possède 40% de la production de pétrole brut en congo, doit transiter par la banque centrale de la France avant d’emmener des capitaux et des fonds au Congo, ce qui prend du temps et déprécie la monnaie chinoise.
La Chine ne veut plus de cela et sera prête pour un changement dans la relation France – Afrique
Selon nos sources au sein du gouvernement chinois, Il y a eu des réunions secrètes entre les chinois et les français pour mettre fin au pacte colonial à certaines anciennes colonies françaises où les chinois ont le plus grand intérêt. Il s’agirait de 6 des 14 pays africains contraint par la france de payer l’impôt colonial .

Nos sources ont rapporté que la Chine a donné un ultimatum de 5 ans à la France pour mettre fin à ce pacte colonial avec ces 6 pays ou faire face à de sérieuses sanctions économiques. La France n’a montré aucun intérêt à mettre un terme à ce pacte colonial avec les pays africains concernés. Restez à l’écoute pour plus d’informations à ce sujet …..


Edité le 30-01-2019 à 09:55:57 par Xuan


Xuan
   Posté le 01-02-2019 à 11:24:25   

Je confirme mes réserve sur les "infos" de ce site :http://www.24jours.com/mouammar-kadhafi-repere-en-train-de-prier-dans-un-village/?fbclid=IwAR3HVVYdUh3I9kqZ5ELW4t0W1OVSpOpBhnKJ_ziPjHzj38-Le7AxFWhb3oI
marquetalia
   Posté le 13-10-2019 à 17:25:09   

le pouvoir algérien veut brader les ressources du pays en hydrocarbures aux forces impérialistes rfi.fr/afrique/20191011-nouvelle-journee-manifestations-algerie
marquetalia
   Posté le 30-10-2019 à 20:28:47   

https://fr.sputniknews.com/maghreb/201910101042241909-rachat-anadarko-alger-a-laisse-faire-et-la-france-par-le-biais-de-total-fera-main-basse-sur-les-richesses-pays/
marquetalia
   Posté le 31-10-2019 à 08:56:55   

Évidemment,en Algérie,les islamistes ne combattent pas le néocolonialisme,ils veulent expulser la minorité chrétienne,selon ce même site Sputnik,la profanation d une mosquée, prétendument par un chrétien, pourrait mettre le feu aux poudres,et dresser la majorité musulmane contre une infime minorité,pour détourner le peuple de la contestation,ainsi que du bradage des ressources en hydrocarbures aux puissances impérialistes.


Edité le 04-11-2019 à 21:41:25 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 31-10-2019 à 08:58:56   

Rappelons nous,Néron qui brûla Rome en accusant les chrétiens,ou l incendie du Reichstag par les nazis eux mêmes pour justifier la répression contre les communistes.


Edité le 31-10-2019 à 10:31:23 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 14-12-2019 à 09:14:57   

La France s ingere à nouveau dans les affaires intérieures algériennes,par le biais de Macron,qui appelle à la réconciliation entre le nouveau président fraîchement élu,et les contestataires.


Edité le 14-12-2019 à 09:15:23 par marquetalia


pzorba75
   Posté le 14-12-2019 à 10:04:21   

Macron en se mêlant des affaires intérieures de l'Algérie s'occupe aussi des français bi-nationaux de plus en plus nombreux sur le territoire métropolitain. Population très utile pour les classes dirigeantes qui les utilise avec finesse contre les français peu compréhensifs à la rigueur politique que Macron et son gouvernement appliquent au peuple en ce moment.
marquetalia
   Posté le 14-12-2019 à 12:53:12   

Macron veut diviser pour régner.
marquetalia
   Posté le 04-05-2020 à 19:55:08   

Le site Sputnik News fait il dans la désinformation ?un article très récent y accuse la France d appuyer la sécession de la Kabylie.drole de plaisanterie,au moment où les Amazighs enterrent le chanteur kabyle Idir...


Edité le 04-05-2020 à 20:01:34 par marquetalia


Xuan
   Posté le 05-05-2020 à 00:01:47   

Cite l'article au lieu de spéculer sur les intentions des Amazighs.
Déjà on saura de quoi tu parles.
marquetalia
   Posté le 05-05-2020 à 07:45:36   

Le lien de Sputniknews. https://fr.sputniknews.com/maghreb/202005011043702276-quel-message-larmee-francaise-envoie-t-elle-aux-algeriens-avec-cette-photo/
marquetalia
   Posté le 05-05-2020 à 08:33:57   

C est de la pure fantaisie,il suffit d aller voir le dernier article d Orient XXI dirige par Alain Gresh ,sur le chanteur Idir, justement.


Edité le 05-05-2020 à 09:30:34 par marquetalia


Xuan
   Posté le 05-05-2020 à 15:29:17   

L'armée française est dirigée par Alain Gresh ?
marquetalia
   Posté le 05-05-2020 à 17:12:04   

Xuan a écrit :

L'armée française est dirigée par Alain Gresh ?
non, évidemment.
marquetalia
   Posté le 05-05-2020 à 17:27:22   

Crois tu vraiment que les troupes hexagonales vont faire la guéguerre à l ancienne colonie de peuplement française près de 60 ans après son indépendance,et qui,de surcroît sera peuplée de 50 millions de personnes d ici moins de cinq ans? cela relève de la politique fiction,voir même de la science fiction.pourquoi pas tant qu on y est,le retour des pieds noirs et des harkis en Algérie ?par contre,les monopoles français peuvent profiter de la crise économique en cours en Algérie, consécutive au Covid 19,qui va exacerber la crise politique et l Hirak qui a commencé il y a plus d un an,les trusts internationaux, surtout français,vont essayer de faire main basse sur les immenses richesses de ce pays.et Macron se fout éperdument de la tombe de Charles de Foucauld et des moines trappistes qui seront peut être visés par les abrutis d Al Mourabitoune ou Daech qui vont, comme en Libye,prendre des pans entiers de territoires.il faut aussi prendre en compte la Turquie d Erdogan,qui soutient l opposition islamiste parlementariste algérienne,d autant plus que Ankara rêve d inclure l Algerie dans sa sphère d influence,le pays ayant fait partie de l Empire ottoman.cela dépend de l issue du conflit en Libye, où les Turcs appuyent Sarraj, tandis que les Egyptiens et les Russes soutiennent le général Haftar,les Usa n y étant présents que pour liquider les groupes djihadistes qui peuvent servir de base arrière à des attentats sur le son sol, comme il y a bientôt dix neuf ans les évènements du 11 septembre.les Algériens seront 72.4 millions en 2050, comment la France, puissance declinante, humainement, militairement et économiquement, pourrait elle contrôler une population plus importante que la sienne ?un rêve de vieux jeune con nazillon/toxicomane de Jérôme de Carling qui aura fait crever un communiste à petit feu...


Edité le 31-08-2020 à 09:45:48 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 05-05-2020 à 17:31:31   

L Algerie a refusé l aide du FMI, considérée comme une ingérence.les prédateurs capitalistes occidentaux ne sont pas loin.de plus,l OTAN veut chasser les Chinois du Maghreb.les pompiers incendiaires vont se brûler les doigts,c est certain...
pzorba75
   Posté le 05-05-2020 à 18:26:07   

J'ai comme l'impression que le confinement n'a pas aidé à la remise en ordre de tes propos.

Tes messages sont toujours aussi mal rédigés; quand à l'organisation de tes idées, c'est le bazar général ou le souk puisque tu nous promènes au Maghreb.
Xuan
   Posté le 05-05-2020 à 22:37:59   

En résumé l'armée française encourage la sécession de la Kabylie.
Mais Alain Gresh veille au grain : il a pondu un article dans Orient XXI sur le chanteur Idir. Grâce à cet article, l'armée française va certainement renoncer à sa campagne séparatiste....

Nous voilà bien avancés.
marquetalia
   Posté le 08-05-2020 à 10:48:07   

Revers des monopoles français en Algérie https/www.usinenouvelle.com/article/total-ne-pourra-pas-racheter-les-actifs-d-anadarko-en-algerie-declare-le-pdg.N961406


Edité le 08-05-2020 à 13:43:26 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 14-05-2020 à 13:06:23   

Le site Mediapart a édité également des articles sur les préparatifs franco-américains d évangélisation de la Kabylie pour la séparer de l Algerie,dans le but de libaniser ce pays et d en chasser les Russes et les Chinois.Intox?


Edité le 05-06-2020 à 23:34:59 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 14-05-2020 à 16:25:26   

La Kabylie a été le principal foyer d insurrection contre l occupant français lors de la décolonisation.
marquetalia
   Posté le 30-08-2020 à 19:28:17   

De Gaulle avait tenté de garder la mainmise sur le Sahara et ses richesses par un subtil complot néo colonial,l Organisation Commune des Régions sahariennes,en s appuyant sur le séparatisme touareg.de plus,le général voulait garder un endroit où expérimenter la bombe atomique.


Edité le 30-08-2020 à 19:33:28 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 30-08-2020 à 19:30:24   

https://www.diasporaction.fr/projet-independandiste-touareg-projet-independantiste-touareg/
marquetalia
   Posté le 30-08-2020 à 19:40:41   

La sedition touareg fut écrasée en 1964 par les armées algérienne et marocaine.


Edité le 31-08-2020 à 08:29:12 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 30-08-2020 à 19:43:02   

https://de.m.wiki/R%C3%A9bellion_touar%C3%A8gue_de_1963_1964
marquetalia
   Posté le 31-08-2020 à 09:37:42   

Un blog très récent du Monde Diplomatique accuse les troupes françaises d appuyer en sous main les séparatistes touaregs au Mali.cela relève t il de l intox?


Edité le 31-08-2020 à 09:38:22 par marquetalia


marquetalia
   Posté le 31-08-2020 à 18:39:10   

https://blog.mondediplo.net/barkhane-a-la-croisee-des-pistes