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gorki
Bonjour à tous

Pour ne pas quitter le chapitre observation des pratiques de l’opportunisme, et pour rester dans le cadre de l’examen des évolutions des « ML » canal historique, je vous propose de jeter un coup d’œil sur le lien ci-dessous.

Vous pourrez y observer comment VP se fait la grenouille de la fable qui se voulait aussi grosse que le bœuf, pour justifier comment, au nom de leur engagement à participer à la création d’une opposition interne à la CGT, il en arrive à soutenir à pas feutrés la nouvelle journée d’action bidon du 23 mars. etc.

http://ouvalacgt.over-blog.com/article-journee-du-23-mars-securiser-le-present-et-l-avenir-46694576.html




Edité le 20-03-2010 à 06:49:36 par gorki


Xuan
PCOF a écrit :


" (...) L’enjeu du deuxième tour est d’infliger une défaite politique à la droite.

Le mouvement ouvrier et populaire s’en trouvera renforcé dans son opposition à la politique néolibérale et réactionnaire du gouvernement et
du patronat.

Notre parti, qui a mené une active campagne pour que les listes « ensemble » avancent des positions de rupture avec le système capitaliste, appelle à voter et à faire voter pour confirmer et approfondir la défaite politique de la droite.

N’hésitez pas à faire circuler largement notre position autour de vous."


ENTRE COPINES, ON NE VA PAS SE CHIPOTER POUR SI PEU !




Le PCOF se trouve très en arrière de la conscience spontanée des ouvriers, de la petite bourgeoisie et des paysans pauvres, qui se sont abstenus dans leur grande majorité, manifestant par là leur refus simultané de l’UMP et de la prétendue gauche.


Les masses voient clairement que cette « gauche » ne constitue aucune opposition à le « droite » puisque toutes deux collaborent ouvertement.
Il n’y a aucune « rupture » avec le capitalisme et le PCOF ment effrontément en propageant de telles balivernes.

Mais ce parti qui n’est ni communiste ni ouvrier n’en est pas à son coup d’essai.
Son soutien systématique aux listes réformistes et révisionnistes démontre qu’il ne tire aucun enseignement de l’expérience Mitterrand ni de la cohabitation.
Désormais il cosigne les déclarations du Front de Gauche :
http://www.m-pep.org/spip.php?article1565

Quel est l'aboutissement de cette scission déclenchée dans le PCMLF, au nom de la lutte antirévisionniste et de la fidélité à Staline ?
Que font-ils sauf de la retape pour la cogestion du capitalisme ?

N’hésitez pas à critiquer largement leur position autour de vous.


Edité le 19-03-2010 à 23:23:28 par Xuan


Komintern
L'opportunisme dans toute sa splendeur...
Oser affirmer que le mouvement ouvrier sortira renforcé de ces élections...
Il ne faut vraiment avoir honte de rien!
Pour tous ce qui se posaient encore des questions sur le pc"o"f là je crois que c'est clair.
Reste une chose il faudrait que cette imposture nominale sur les ouvriers cesse.
Les plus conscients de la classe ne sont sûrement pas au pcof et il est "inconvenant" que des petits bourgeois se réclament des ouvriers!
sti
Nouvelle déclaration du PCOF


" Tous les ministres de Sarkozy ont été battus. Pour essayer de regagner une
partie de son électorat, la droite s’est relancée dans une surenchère sur
le thème de la sécurité.

Pratiquement dans toutes les régions, des accords ont été conclus entre
les listes « ensemble pour des régions à gauche » et celles du PS et
d’Europe écologie. Là où des listes se sont constituées réunissant les
partis et organisations des listes « ensemble » avec des organisations du
NPA, les résultats ont été plus importants, démontrant que l’unité des
forces de la gauche de transformation sociale crée une dynamique.

L’enjeu du deuxième tour est d’infliger une défaite politique à la droite.

Le mouvement ouvrier et populaire s’en trouvera renforcé dans son
opposition à la politique néolibérale et réactionnaire du gouvernement et
du patronat.

Notre parti, qui a mené une active campagne pour que les listes « ensemble
» avancent des positions de rupture avec le système capitaliste, appelle à
voter et à faire voter pour confirmer et approfondir la défaite politique
de la droite.

N’hésitez pas à faire circuler largement notre position autour de vous.
"
Xuan
résultats des élections régionales :

socialos 13,7 %
UMP 12,15 %
écolos 5,79 %
Front National 5,45 %
Front de Gauche 2,64 %
Modem 1,97 %
NPA 1,16 %
Komintern
"...un monde où nous serons tous collectivement maître de vos vies."
On remercie VP pour cette franchise...
Ils veulent donc être maitre des vies de tout le monde.
C'est le capitalisme quoi
Xuan
Elections régionales du 14 et 21 mars 2010

Déclaration de VOIE PROLETARIENNE




Les partis de la bourgeoisie préparent activement les élections régionales. Les travailleurs vont saisir cette occasion pour dire, d’une façon ou d’une autre, leur rejet de la politique de Sarkozy et de son gouvernement. La « France qui se lève tôt » n’a vu que licenciements, attaques sur les retraites ou l’enseignement, les chômeurs rayés des listes, et la démagogie anti-immigrée.

- Les conseils régionaux, les administrations régionales font partie de l’appareil d’Etat de la bourgeoisie. Ils gèrent les infrastructures (lycées, routes, transports) et la misère sociale. De plus en plus de missions, hier de l’Etat central, leur sont confiées. Cette décentralisation n’est pas une démocratisation de l’Etat. Il est toujours aussi loin des travailleurs. Les décisions importantes sont prises par le gouvernement, les ministères, les préfets. La régionalisation n’est qu’une restructuration de l’appareil d’Etat pour l’adapter aux besoins actuels du capital et de la reproduction de sa domination. Elle ne change rien à sa nature d’Etat de la bourgeoisie. Depuis quatre ans vingt conseils régionaux sur vingt deux sont dirigés par la gauche : le PS en alliance avec le PCF ou d’autres. Ils gèrent une partie de l’appareil d’Etat et distribuent des aides sociales, des miettes face à la misère qui grandit. Ils subventionnent toujours les entreprises, jouant la concurrence entre régions. Ils soutiennent comme la Droite l’enseignement privé. En mars, ils espèrent conquérir tous les conseils régionaux. De quels résultats sérieux peuvent-ils se vanter au terme de quatre ans de pouvoir régional ? Leur victoire ne changera en rien la vie des travailleurs confrontés à la crise.

- Les partis de gauche, PS ou PC uni dans le Front de gauche avec le Parti de Mélenchon, sont, comme ceux de la droite, d’abord et avant tout, des partis d’élus et pas de militants. Ils n’existent que grâce aux postes qu’ils occupent dans l’appareil de l’Etat : du parlement aux mairies. S’ils critiquent le cumul des mandats, en pratique, ils ne peuvent s’en défaire. Il est donc normal que le PS, le PC, et que les Verts, accordent une telle importance à ces élections. Mais nous nous étonnons que LO et le NPA, qui se veulent anti-capitalistes, y mettent tant d’énergie, voire s’allient parfois avec le Front de Gauche qui gouvernera demain les régions avec le PS.

- A Voie prolétarienne nous ne rejetons pas par principe la participation aux élections. Dans certaines circonstances, celles-ci peuvent être une tribune, l’occasion de batailles politiques claires. Mais pour qu’il en soit ainsi, il faut renoncer aux alliances qui rendent le discours confus, obligent à trahir nos principes politiques et à faire de la conquête de postes d’élus l’enjeu principal de la lutte.

- Le NPA a été pour beaucoup un espoir de renouvellement politique. Force est de constater qu’il s’englue dans l’électoralisme. Il contracte des alliances de gouvernement régional avec le Front de Gauche. S’il a des élus avec le Front de Gauche, il gérera localement la misère sociale tout en la dénonçant au niveau national.
D’autres militants « porte-parole des luttes » s’engagent sur des listes électorales, comme G. Heyreman des New Fabris en Poitou Charente avec Ségolène Royal, ou Raymond Chauveau du PCOF en région parisienne avec le Front de gauche. Ils apportent la caution des luttes ouvrières, une image de gauche, aux fieffés réformistes qui les ont trahies et les trahiront à nouveau !

- Le NPA, le Front de gauche, et LO, se présentent comme des porte-parole des luttes, contre la politique de Sarkozy. C’est positif ! Mais le seul débouché politique qu’ils donnent aux luttes est de voter pour eux contre Sarkozy. Dire non à Sarkozy, voter anti-capitaliste, ça ne suffit pas à donner plus de force à la classe ouvrière.

- La force à la classe ouvrière, c’est son autonomie politique. L’autonomie, c’est d’abord la conscience des travailleurs de leurs intérêts propres contre ceux des capitalistes. C’est leur rejet des illusions de réforme de ce système portées par les partis de gauche. L’autonomie, c’est surtout s’organiser autour de ces idées : construire un parti communiste d’ouvriers et d’ouvrières, français ou étrangers, avec papiers ou pas, guidé par la conscience de leurs intérêts communs.

- La politique ce n’est pas principalement affaire d’élections. Faire la politique conforme aux intérêts des exploités, c’est dans les combats actuels, convaincre et organiser autour de notre volonté de changer le monde. Un monde sans chômage et sans exploitation, un monde de solidarité, sans frontière entre travailleurs, un monde où les droits seraient les mêmes quels que soient le sexe, l’origine, le pays… un monde où nous serons tous collectivement maître de vos vies.

- Pour cela, il faudra renverser le pouvoir économique et politique de la bourgeoisie. Il ne suffira pas de démocratiser l’Etat actuel, il faudra le détruire et le remplacer par un Etat des conseils des ouvriers et des autres exploités.

- A Voie prolétarienne nous combattons pour un monde où la politique, c’est à dire la gestion des affaires communes, ne sera plus l’affaire de spécialistes. Spécialistes qui s’intéressent à nous quand ils veulent être élus, mais nous ignorent ensuite. Faire de la politique, en tant qu’ouvrier exige de se former pour diriger la société. Et dès maintenant en dirigeant nos luttes sur nos intérêts sans s’en remettre aux experts réformistes.

- Faire notre politique aujourd’hui, c’est pratiquer l’internationalisme. C’est construire l’unité de la classe ouvrière multinationale de France, dans la lutte contre les licenciements, pour la régularisation de tous les sans papiers… Tous unis, car nous avons le même but, une société sans exploitation, une société socialiste

- Voie prolétarienne ne pense pas utile de donner d’autre consigne que l’abstention électorale. Mais s’abstenir n’a de sens que si les travailleurs insatisfaits du rôle qu’il leur est laissé par la politique actuelle, s’engagent dans la construction d’un parti des ouvriers, un Parti réellement communiste. Un parti qui fasse vivre leur politique contre celle de la bourgeoisie. C’est à cela que Voie Prolétarienne travaille.

OCML VP le 1e mars 2010
sur : http://ouvalacgt.over-blog.com/ext/http://vp-partisan.org/
Finimore
La position du Groupe du 1er mai est exprimée dans :
1er Mai Infos Journal du Groupe du 1er MAI n°191 – mars 2010

ELECTIONS REGIONALES : PAS UNE SEULE VOIX POUR LES POTENTATS LOCAUX QUI ESSAIENT CHACUN DE TIRER LA COUVERTURE A EUX !

Les élections régionales sont un témoignage et un instrument de la régression démocratique que connait notre pays. Il ne faut donc pas les cautionner et laisser croire qu'elles sont un des temps fort de la vie démocratique.

Toutes les listes en présence n'offrent que diverses expressions des exploiteurs capitalistes. L'absence dans ces élections d'une expression ouvrière indépendante nous amène à nous prononcer pour le rejet des différentes listes. Par cette position nous affirmons qu'aucun, absolument aucun, des candidats ne peut, et ne pourra prétendre représenter les ouvriers et les sacrifiés des politiques capitalistes.
Ils ont confisqué le suffrage universel par divers moyens et artifices dont le principal reste l'argent.
Qu'ils restent entre eux. Mais nous devons leur interdire de prétendre nous représenter. Les élections permettaient de mesurer l'influence des différents courants politiques en présence. Aujourd'hui, elles ne
mesurent que les moyens financiers investis dans cette affaire par les différents courants de la défense de l'impérialisme, qu'ils s'appellent : anti capitaliste, socialiste, de gauche, écologiste, du centre, de droite.
Ils parlent de la même voix, celle de l'anticommunisme.
Les sondages parlent déjà : l'ensemble des partis qui présentent des candidats ne peut espérer au mieux que 30 à 40% des électeurs. La majorité des citoyens ne se laisse plus bernée et a décidé de ne pas aller voter. Jamais ceux qui ont fait de la gestion des affaires publiques une profession n'ont été aussi explicitement rejetés. Les seuls à ne pas tenir compte de ce constat de faillite sont ceux qui se présentent, prétextant des raisons diverses qui cachent leur projet de fond : participer à la gestion des affaires du capitalisme et apporter leur pierre à la défense de ce système obsolète. Pour une partie d'entre eux, ils viennent y chercher des revenus personnels, ils sont là pour trouver un métier, une place et un salaire.
Le service des autres mis à l'encan, c'est un spectacle dégoûtant dont les gens honnêtes ne peuvent que se détourner avec mépris. Ils s'en détournent avec mépris.
Une nouvelle fois, le GROUPE DU 1er MAI réaffirme son opposition à la régionalisation. Ce qui l'amène à rejeter ce type même de
consultation.

L'accroissement des pouvoirs des Régions est une formidable marche en arrière. Les sommes colossales dont disposent les Régions de même que leurs compétences renforcées, en affaiblissant l'État,
permettent la construction d'un féodalisme local qui rappelle bien plus le Moyen-âge et les octrois que l'avenir.
La masse des fonds qui circulent dans les Conseils Régionaux est la base d'un clientélisme local, départemental, régional par la distribution de cadeaux pour le logement, le travail, les spectacles, les loisirs,
les aides sociales, l'école. C'est la base de dépenses extravagantes et inutiles socialement.
André Chasseigne, député du Puy de Dôme, dresse le bilan des 5 ans de majorité socialiste régionale et tout est dit concernant le contre-pouvoir qui pourrait naître au lendemain des élections régionales. "Qu'est-ce que les socialistes ont fait des 22 régions qu'ils ont dirigées ? Un rassemblement de potentats locaux
essayant chacun de tirer un maximum pour sa région." Tous ceux qui réclament vos suffrages ne souhaitent pas que ça change pour vous. Les changements qu'ils attendent c'est pour leur situation, leur carrière à eux.
Les défenseurs des Régions ont contribué à abaisser le débat politique et à borner l'horizon des travailleurs au choix des gestionnaires de la barbarie capitaliste. Il n'est question à cet échelon de la vie politique que de gestion. La technique financière l'emporte sur le débat d'idées.
Les Régions et le personnel qui les dirigent sont les acteurs locaux de la marche forcée vers l'intégration européenne c'est à dire de l'affaiblissement, au profit exclusif des multinationales, d'une identité, des points de repères collectifs nationaux, d'une culture et d'un développement forgés par l'Histoire.
A l'occasion de ces élections, c'est une motion de défiance géante qu'il faut leur envoyer à tous en n'allant pas voter. Au mieux, de nouveau André Chasseigne nous dit ce que l'on peut attendre des Régions : "Se contenter de jouer les airbags contre la politique du gouvernement." En n'allant pas voter, montrons que nous sommes capables de défendre nos intérêts nous-mêmes. Nous n'attendons rien de ces "politiques" professionnels.

Ca suffit ! Ils sont en train d'essayer de nous broyer. On ne va pas se laisser faire ! Refusons la mascarade de ces élections !
Xuan
à lire également Boycott des élections régionales

sur le blog du Parti Communiste maoïste de France
Xuan
Déclaration du groupe des ouvriers communistes.

vendredi 5 mars 2010, par Avant Garde



Une fois encore les travailleurs sont invités à se rendre aux urnes pour décider qui seront les prochains à servir les intérêts de nos exploiteurs.

Qui, de ces notables de gauche et de droite, avocats, haut fonctionnaires, patrons et médecin, auprès desquels quelques travailleurs font de la figuration, pourront poursuivre leur ambition politique carriériste sur nos voix ouvriers-es.

Qui, mettra de nouveaux sacrifices à l’ordre du jour pour sauver un système en crise aiguë.

On pourrait être tenté de croire qu’il reste le vote « plus à gauche » pour des orientations politiques plus « sociales » dans les conseils régionaux où la gauche gouverne déjà.

Ce leitmotiv des plus radicaux à gauche de la gauche, de ceux qui prétendent avoir des vues « révolutionnaires » participe à perpétuer la mystification sur le véritable rôle joué par ces institutions que sont les conseils régionaux, agissant dans la proximité, à la domination de la bourgeoisie sur l’ensemble des classes laborieuses.

Tout ces « conseils », régionaux, généraux et municipaux sont des institutions de la décentralisation de l’état, les lieux du parlementarisme bourgeois local où finalement force revient toujours aux orientations économiques et sociales soucieuses des intérêts du capital. C’est ce qu’apprennent chaque jour les copains Rmistes menacés de suspension des pauvres allocations de survie comme les travailleurs en lutte pour la défense de leurs emplois victimes de marchandage sordide entre les élus du cru et les éventuels repreneurs d’entreprises, etc.

Quant à l’extrême gauche, c’est un air bien connu qu’elle nous joue en parlant de la présence « indispensable » d’élus des classes laborieuses pour contrer les politiques « antisociales » ou encore, comme le prétend Lutte ouvrière, pour faire « entendre la voix des travailleurs ». Mais finalement, c’est le même réformisme qui correspond bien aux intérêts collectifs de classe petite bourgeoise qui domine les programmes.

Ces organisations déclarent que le socialisme est impossible dans un seul pays et/ou disent plus ou moins ouvertement que l’économie de marché est incontournable (Front de gauche). Ils voudraient nous détourner de notre seule perspective émancipatrice, notre grand projet ouvrier de liberté.
Ce qu’ils nous proposent, cachés derrière des discours construits de faux radicalisme, ne sont jamais que quelques replâtrages sociaux servant à boucher les fissures d’une société capitaliste qui se fissure de toutes parts. Ils ne sont et ne seront jamais les représentants légitimes de la classe ouvrière et des couches sociales les plus pauvres, orphelines d’une véritable représentation politique.

Pas une voix ouvrière pour les complices de nos spoliateurs, pour ces petits médecins sociaux de tout acabit, comme Friedrich Engels désignait leurs ancêtres, il y a plus d’un siècle [1], qui promettent sans aucun préjudice pour le capital, pour nos bourgeois.

Parce que dans la démocratie bourgeoise, les routes qui mènent à toutes nos spoliations sont pavées de bulletins de vote, le regroupement des ouvriers communistes appelle les ouvriers, les travailleurs des couches les plus pauvres et les travailleurs en général à s’abstenir de ce scrutin qui, comme tous les autres, se présente comme une nouvelle mascarade.

Le seul projet politique à soutenir, le seul qui nous rendra justice est le socialisme.

Ouvriers, nous sommes la source de toute richesse, à nous d’en disposer ! Classe contre classe ! Rien ne s’obtient sans lutter.

Groupe des ouvriers communistes.


Edité le 06-03-2010 à 22:08:19 par Xuan


 
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