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marquetalia
http://www.humanite.fr/blogs/les-revers-en-amerique-latine-quelques-elements-danalyse-603994
marquetalia
Désormais,il.est certain que Cuba n empreintrera pas voie du " Socialisme de marché",le modèle chinois,et sera au contraire menacé par une révolution colorée made in USA.
marquetalia
La Chine est un pays socialiste, sous la dictature du prolétariat et de son parti, ce qui n'est pas le cas du Vénézuela qui est dirigé par une bourgeoisie nationale. dans ce cas,il faut défendre,en plus de la Chine Populaire,Cuba,la Rpd de Corée,le Viêt Nam et le Laos-où les rebelles hmongs d une part,soutenus par des mercenaires occidentaux,ont tenté en 2006 depuis les Etats Unis un putsch-leur chef Vang Pao est mort depuis-,et les royalistes en exil en France ont déjà des appuis au Laos[/citation]
Xuan
marquetalia a écrit :

Ca n intéresse personne?le venezuela propose pourtant une alternative au libéralisme économique,alors que la dite "chine populaire"est une puissance capitaliste qui adherera tôt ou tard a l accord de libre-échange transpacifique avec les Etats Unis d Amérique.


La Chine est un pays socialiste, sous la dictature du prolétariat et de son parti, ce qui n'est pas le cas du Vénézuela qui est dirigé par une bourgeoisie nationale.

Concernant le libre-échange transpacifique, la Chine prend et laisse comme elle le fait en toutes occasions.

Lis la presse chinoise sur ce sujet avant de lire l'avenir dans le marc de café ou plutôt dans la presse bourgeoise, ou encore dans celle du Front de Gauche (ce qui n'est pas fondamentalement différent), et de raconter n'importe quoi :

Chine : aucun pays seul ne peut écrire les règles du commerce international


French.xinhuanet.com - Publié le 2016-02-05 à 20:20
BEIJING, 5 février (Xinhua) -- La Chine a déclaré vendredi que les règles du commerce international au 21e siècle ne pouvaient être écrites par un seul pays, en réponse aux remarques du président américain Barack Obama sur le Partenariat transpacifique (PTP).

"Le PTP permet aux Etats-Unis, et non aux pays comme la Chine, d'élaborer les règles de conduite au 21e siècle" , a déclaré M. Obama, à la suite de la signature jeudi du pacte par les représentants de 12 pays en Nouvelle-Zélande.

"Nous n'avons jamais suggéré que les règles du commerce international au 21e siècle devaient être écrites par la Chine ou par un seul autre pays" , a répondu le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Lu Kang, lors d'un point de presse.

La Chine estime depuis toujours que l'Organisation mondiale du commerce (OMC) doit diriger la formulation des règles du commerce international. La Chine espère que les puissances commerciales et économiques à travers le monde soutiendront également le rôle de l'OMC, a expliqué le porte-parole.

Selon lui, il est compréhensible que certains pays aient besoin d'expliquer les avantages et inconvénients des dispositions des accords de libre-échange (ALE) à leurs industries nationales.

"Ces explications doivent être basées sur les faits, au lieu d'être politisées" , a noté M. Lu.

Le PTP couvre l'Australie, Brunei, le Canada, le Chili, le Japon, la Malaisie, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, le Pérou, Singapour, les Etats-Unis et le Vietnam.


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Nouvelle position de la Chine dans la gouvernance économique mondiale


French.xinhuanet.com - Publié le 2016-03-08 à 16:47


La structure économique du monde évolue, et les pays émergents atteignent la taille critique : les anciennes puissances économiques doivent tenir compte des nouvelles réalités et accepter ces nouveaux venus à la table de la gouvernance mondiale, estime l'auteur.

Par JOHN ROSS



Début 2016, des changements sont finalement intervenus dans la structure du FMI qui mettent en pratique des accords passés en décembre 2010 sous l'effet de la crise financière internationale. Ceux-ci accordaient à la Chine le troisième rang dans les quotas du FMI et aux BRIC (Brésil, Chine, Inde, Russie) des sièges parmi les 10 premiers où ils rejoignent les États-Unis, le Japon, l'Allemagne, la France, le Royaume-Uni et l'Italie. Plus de six pour cent du capital du Fonds est ainsi passé sous le contrôle de pays à économie émergente.

La raison qui explique ce retard de cinq ans dans l'application de cette réforme nécessaire, puisqu'elle acte l'accroissement du poids économique des pays en développement, est que le Congrès américain refusait, jusqu'à la fin de l'année 2015, de voter les lois nécessaires à la mise en application de ces accords pourtant déjà négociés par le gouvernement des États-Unis.

Il est facile de comprendre également ce qui a conduit le Congrès à revoir sa position : c'est tout simplement le succès remporté par la Chine en établissant la Banque asiatique d'investissement pour les infrastructures (AIIB)et le refus par certains des alliés-clé des États-Unis, comme le Royaume-Uni, de s'aligner sur leur politique de boycott de l'AIIB. Il est devenu clair que si les États-Unis s'entêtaient à bloquer la nécessaire réforme des institutions économiques internationales, la Chine avait les moyens de créer des solutions alternatives et que d'autres pays n'allaient pas les suivre dans leur inflexibilité.

Ce revirement tardif du FMI illustre bien l'approche générale qui est celle de la Chine envers la gouvernance économique mondiale. Son but n'est clairement pas de chercher la confrontation ou le contournement sans bonne raison des institutions globales existantes.
Au contraire, la Chine a montré une incroyable patience alors qu'il n'était que trop évident que le législateur traînait les pieds pour répondre à ses engagements. Par ailleurs, l'AIIB était, dès sa création, ouverte à tous les pays. C'est cette même patience que la Chine a démontré lors du processus interminable d'inclusion du RMB au panier des monnaies de réserve du FMI destiné aux Droits de tirage spéciaux (DTS).
Des exemples qui confirment le fait que la Chine poursuit une politique d'adaptation progressive et harmonieuse des institutions économiques globales pour prendre en compte les évolutions majeures que vit l'économie mondiale et ne recourt à des manœuvres de contournement des institutions existantes que lorsque les changements éminemment nécessaires sont entièrement bloqués.

Ceci contraste avec la politique américaine qui a consisté récemment à contourner de façon agressive les organismes de gouvernance internationale, comme on l'a vu par exemple dans le commerce international avec l'OMC.

Lorsque l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a été fondée en 1995, elle constituait le résultat de négociations d'après-Seconde guerre mondiale qui se sont tenues en sept rounds du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade). Pendant un demi-siècle, les États-Unis ont joué un rôle directeur dans la négociation des accords multilatéraux de ce type.

Avec l'émergence de la Chine qui est désormais la première puissance du commerce des marchandises et qui n'est dépassée que par les États-Unis en termes de volume commercial global, les plus importantes négociations visant à poursuivre la libéralisation du commerce devraient clairement inclure les États-Unis, la Chine et l'UE, les trois pôles principaux du commerce international.

Au lieu de poursuivre une libéralisation multilatérale centrée sur l'OMS, les États-Unis ont au contraire cherché à lancer des accords excluant la Chine, notamment par la négociation avec des pays du Pacifique d'un Partenariat transpacifique (TPP), et avec l'Europe d'un Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (TTIP).

On constate que, alors que la Chine poursuit une stratégie visant à entretenir et à développer le cadre des institutions multilatérales, sauf dans les cas où les réformes nécessaires à celles-ci sont entièrement bloquées, les États-Unis ont lancé une politique de contournement délibéré de celles-ci.

Ce contraste est encore plus frappant lorsque l'on examine le contenu des partenariats proposés. Au lieu de se baser sur les secteurs les plus dynamiques de l'économie mondiale, qui incluraient la Chine, le TPP consiste en un accord regroupant des pays à l'économie déclinante dont le poids en termes relatifs a baissé, passant de 54 % du PIB mondial en 1985 à 36 % en 2014.

Les mécanismes principaux du TPP visent surtout à préserver la position dominante des États-Unis et de ses multinationales dans les affaires mondiales. Le TPP prévoit que des entreprises privées, et surtout des américaines, auront le droit d'attaquer les États membres devant des cours d'arbitrage dominées par les États-Unis mais dont les décisions seront contraignantes pour les gouvernements nationaux.

À l'opposé de l'approche étroitement légaliste du TPP, la Chine n'a cessé de se faire l'avocat d'accords commerciaux multilatéraux les plus larges possible en Asie-Pacifique.
Comme pour la réforme du FMI, la Chine cherche à réformer le commerce international dans le sens d'une approche multilatérale, tandis que les États-Unis cherchent à renouer avec leur approche des années de l'immédiat après-guerre, lorsque les organismes et les accords multilatéraux ne servaient qu'à conforter des intérêts spécifiquement américains. D'autres pays bénéficieraient grandement d'une approche plus ouverte, qui leur permettrait de jouer un rôle plus important dans les négociations.

Pourquoi ce contraste entre les approches américaine et chinoise? Est-elle appelée à perdurer ?

Le tournant américain s'inscrit clairement dans la continuité du livre blanc Revising U.S. Grand Strategy Toward China, publié par le prestigieux U.S. Council on Foreign Relations. Celui-ci considère ouvertement que « les États-Unis doivent mettre en place de nouveaux accords commerciaux en Asie excluant la Chine » .

D'autre part, poursuit-il, les États-Unis doivent chercher à « mettre en place de nouveaux accords préférentiels avec leurs amis et alliés pour accroître leurs gains mutuels par des mécanismes excluant sciemment la Chine » .

La raison de ce changement est évidente : contrairement au mythe qu'ils entretiennent, selon lequel l'économie des États-Unis présenterait un dynamisme absolument unique au monde, la réalité est que son économie ralentit et que son poids dans le monde se réduit.

De 1984 à 2014, la part des États-Unis au PIB mondial est passée de 34 à 23 % en taux de change courants.
Si l'on prend la moyenne glissante sur 20 ans, afin d'éliminer l'effet des fluctuations liées aux cycles économiques courts, la croissance moyenne du PIB des États-Unis est tombée de 4,4 % à la fin des années 1960 à 2,4 % en 2015.

Ainsi, comme l'a résumé Philip Stephens du Financial Times, « la Chine est le grand bénéficiaire de l'ouverture de l'économie mondiale » , alors que son résultat est que les États-Unis « ne croient plus au grand multilatéralisme qui a régné dans la période post-Seconde guerre mondiale » .

Sa thèse résumée consiste à dire que ces tendances économiques expliquent et continueront de renforcer le schéma récent qui fait désormais de la Chine la principale force désireuse d'adapter et d'étendre les accords multilatéraux existants, tandis que les États-Unis semblent s'enfermer dans l'unilatéralisme.

﹡JOHN ROSS est chercheur à l'Institut d'études financières Chongyang relevant de l'université Renmin à Beijing. De 2000 à 2008, il a été responsable de la politique économique et commerciale au sein de l'Administration du maire Ken Livingstone à Londres. Auparavant, il avait encore été conseiller pour plusieurs entreprises internationales opérant dans les secteurs minier, financier et manufacturier.
Source: La Chine au Présent


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Le rééquilibrage des Etats-Unis en Asie-Pacifique est en déséquilibre

French.xinhuanet.com - Publié le 2016-02-17 à 15:43


BEIJING, 17 février (Xinhua) -- La position neutre de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN) en mer de Chine méridionale ne devrait pas être une déception pour certains aux Etats-Unis, mais un rappel opportun que la tentative de Washington de dépeindre la Chine comme "le méchant" dans la région Asie-Pacifique n'est qu'une douce illusion.

Plutôt que de se concentrer sur la coordination des intérêts différents des pays de l'ASEAN, le président américain Barack Obama, qui organise un sommet avec les dirigeants de ce bloc régional de dix membres en Californie, préfère faire avancer son propre programme et n'a montré qu'une attention insuffisante aux besoins concrets de ces pays.

Il n'est pas difficile de remarquer que lors de son dernier discours sur l'état de l'Union le mois dernier, M. Obama n'a pas abordé le dynamisme de la région Asie du Sud-Est, mais a minimisé à trois reprises l'économie chinoise et son influence.

L'insécurité serait le mot pour décrire l'état d'esprit de l'Oncle Sam, ce qui pourrait aboutir à des erreurs de calcul de ses objectifs stratégiques.

Inquiétée par l'émergence de la Chine, pays le plus peuplé du monde avec une culture et un système politique différents, et troublés par leurs propres dilemmes et impasses au niveau domestique, les Etats-Unis ont l'air d'avoir perdu le rythme.

Autrefois salué en tant que changement sensible de la priorité politique, le soi-disant rééquilibrage des Etats-Unis en Asie-Pacifique est de plus en plus déséquilibré.

Au cours de sa période embryonnaire, la stratégie américaine envisageait la construction d'un partenariat stable, productif et constructif avec la Chine en tant qu'un de ses piliers, et avait placé la coopération économique avec les pays régionaux au-dessus du développement militaire.

Cependant, trois ans plus tard, Washington a imprudemment envoyé de multiples navires de combat et des bombardiers près de récifs chinois en mer de Chine méridionale, défiant ouvertement la souveraineté et la sécurité de la Chine.

Revendiquant la "liberté de navigation", le vrai objectif de Washington est de mener des opérations non contestées de navires de combat américains dans le monde entier.

Les actions intimidantes de ce genre compromettront non seulement la confiance mutuelle stratégique entre Beijing et Washington et rendront furieux le peuple chinois, mais ne serviront également pas les intérêts nationaux américains.

Ce n'est que par le biais d'un engagement réel de construire un partenariat constructif et mutuellement bénéfique basé sur une forte confiance stratégique entre eux que les Etats-Unis et la Chine, ainsi que la région Asie-Pacifique dans son ensemble, pourront profiter d'une paix et d'une prospérité à long terme.

Il est temps pour Washington de revenir sur la bonne voie.


Edité le 25-03-2016 à 00:03:16 par Xuan


marquetalia
cubasifranceprovence.over-blog.com/2015/11/semaine-de-la-solidarite-internationale-le-rapprochement-des-etats-unis-avec-cuba-cache-t-il-des-attaques-envers-d-autres-pays-d-ame
marquetalia
Obama a tenté au début de l année de renverser le régime venezuelien,sans qu aucune presse,meme le Monde Diplomatique,n en ait fait allusion http://www.voltaire.net/article186802.html plus récemment,le viol de l espace aérien du Venezuela par l aviation américaine http://cubasifranceprovence.ober-blog.com/2015/11/venezuela-l-espace-aerien-du-venezuela-viole-par-un-avion-etats-unien.html


Edité le 09-11-2015 à 22:07:06 par marquetalia


marquetalia
Ca n intéresse personne?le venezuela propose pourtant une alternative au libéralisme économique,alors que la dite "chine populaire"est une puissance capitaliste qui adherera tôt ou tard a l accord de libre-échange transpacifique avec les Etats Unis d Amérique.


Edité le 03-11-2015 à 12:32:45 par marquetalia


marquetalia
en meme temps,les Etats Unis veulent dresser tous les voisins du Venezuela contre celui-ci http://cubasiprovence.over-blog.com/2015/10/venezuela-le-guyana-annonce-des-manoeuvres-militaires-dans-l-esequibo.html


Edité le 28-10-2015 à 21:21:08 par marquetalia


marquetalia
les Etats Unis préparent un scénario à l irakienne pour le Venezuela http://cubasifranceprovence.over-blog.com/2015/10/venezuela-john-kelly-appelle-a-detruire-le-venezuela-en-utilisant-la-guerre-economique.html
marquetalia
http://www.elcorreo.eu.org/Les-USA-opposes-au-developpement-de-l-Amerique-latine
 
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