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 une lettre ouverte de l'URCF

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Xuan
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   Posté le 18-05-2011 à 14:40:46   Voir le profil de Xuan (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Xuan   

Je publie ci-dessous une lettre ouverte de l'URCF, appelant à la constitution d'un front politique anticapitaliste et à la création d'un nouveau parti communiste.

Je ne trahis pas un secret en rappelant que nous ne souscrivons pas à toutes les positions de l'URCF.
Ici, l’URCF ne désigne pas le révisionnisme moderne - la trahison des principes marxistes-léninistes - comme la cause principale de la dégénérescence du P"C"F et la transformation de ce dernier en parti bourgeois.
Il ne s’exprime ni sur le programme du parti révisionniste ni sur le Front de Gauche, ce qui laisse libre cours à toutes les illusions concernant leurs projets.
La révolution prolétarienne ne figure nulle part dans les objectifs de cette lettre, qui s’en tient à la lutte "anticapitaliste", dans le cadre d’un front pouvant finalement rassembler la « gauche de la gauche ».

Concernant l’impérialisme français, son intervention militaire en Libye est juste mentionné mais aucun mot d’ordre ne s’y oppose.
« l’UE, instrument de domination et d’oppression des monopoles internationaux, » est en fait l’instrument de l’impérialisme français et allemand et non un instrument d’oppression abstrait qui s’imposerait à différents pays dont le notre.

Ceci dit, cet appel à l'unité des communistes est assez rare et mérite d'être signalé.
Je livre ceci à l’appréciation de chacun, en indiquant la position de l'URCF sur l'unité des communistes ici.


LETTRE OUVERTE DE L’URCF
AUX ORGANISATIONS DU MOUVEMENT COMMUNISTE DE FRANCE


Le socialisme, seule alternative au capitalisme !

Chers Camarades,
Derrière la crise, une opportunité historique
Chaque jour, les faits et évènements attestent que l’humanité est confrontée à un monde toujours plus dangereux, injuste et inégalitaire. La source de ces maux se situe non dans la mauvaise gestion d’un gouvernement donné, mais bien dans la nature même du système capitaliste et dans sa recherche effrénée du profit maximum dans tous les domaines d’activités humaines.
Capitalisme qui affronte une crise organique, générale qui ne peut être examinée à la seule lumière des crises précédentes. En effet, comme Marx avait pu le déduire de son analyse matérialiste et scientifique, les
contradictions internes du mode de production capitaliste ont atteint une telle acuité que le stade de pourrissement, vu dès l’origine par Lénine, débouche sur la caducité visible des rapports de production fondés sur l’exploitation de l’homme par l’homme.
La reproduction capitaliste va engendrer des disproportions dans la production, aggravant la contradiction entre surproduction et la sous-consommation populaire, contradiction aiguisée par les politiques de rigueur qui rendent toujours plus aléatoire la reproduction capitaliste. C’est là une dimension nouvelle de la crise.
La bourgeoisie monopoliste, pour pérenniser ses immenses privilèges et fortunes et le système qui les engendre, va détruire une partie des forces productives qui n’assurent plus le profit maximum ; elle va les transférer vers des pays où le prix de vente de la force de travail est le plus bas, et éliminer les capitaux « en excès », en ruinant les entreprises concurrentes et en affaiblissant certains pays comme la Grèce, l’Irlande, le Portugal et de nombreux États du « Tiers-monde ».

Plus les profits capitalistes montent, moins les besoins quotidiens, même vitaux, de la majorité des peuples peuvent être satisfaits (santé, éducation, transports, logements…).
En France, dans les autres pays de l’UE, dans le monde, l’oligarchie financière pille toujours plus les revenus populaires pour les transférer dans ses coffres-forts, et fait ainsi payer par ses victimes la crise dont elle est à l’origine !

Le pourrissement social se mesure par la stratégie centrale du Capital de liquidation programmée partout des conquêtes sociales, arrachées par les travailleurs au XXème siècle !
Nous en vivons les effets au quotidien : bas salaires, licenciements, suppressions de postes publics, précarité, privatisations des entreprises bâties par l’argent public, surexploitation entre autre par l’allongement du temps de travail et de carrière, menaces sur la Sécurité sociale.
Le tout constitue une terrible régression de civilisation.
Cette stratégie du capital se concrétise grâce à la propriété capitaliste des médias qui, à longueur de colonnes et d’émissions, diffusent le soutien aux contre-réformes réactionnaires présentées comme « inéluctables », « courageuses », « modernes » !

Grâce aussi à la politique de collaboration de classes de directions syndicales qui limitent les luttes à ce qui est acceptable pour la bourgeoisie (grèves espacées et refus de la grève générale) et tentent simplement d’aménager ces mêmes contre-réformes.
Dans le même temps, des études et sondages témoignent du rejet massif du capitalisme dans notre pays.

Nous sommes placés devant une véritable opportunité historique .
Lors de la première guerre mondiale, la barbarie guerrière de l’impérialisme avait suscité la révolte et révolutionné les masses populaires et entraîné la révolution socialiste d’Octobre 17 en Russie.
Lors de la seconde guerre mondiale antifasciste, la lutte armée contre le capitalisme génocidaire nazi-fasciste conduisit à un progrès qualitatif et quantitatif des forces démocratiques dans le monde, à la rupture
révolutionnaire de toute une série de pays en Europe, Asie, Amérique latine avec le capitalisme, en formant ainsi, avec les partis communistes et ouvriers, les forces de libération nationale, le camp mondial du socialisme, de la démocratie et de la paix.
Dans l’après-guerre, le capitalisme affaibli allait s’engager dans la voie des concessions limitées mais réelles aux travailleurs dans le domaine social et des droits, politique favorisée par le danger révolutionnaire et la conjoncture économique.

Des illusions se sont alors répandues sur le caractère « social » de l’économie de marché et du capitalisme monopoliste d’État.
Le réformisme, y compris dans certains partis à l’origine révolutionnaires, s’est renforcé et est devenu dominant en Europe.

La crise actuelle, initiée dès 1969, mais aggravée toujours plus, détruit objectivement les illusions existantes sur le capitalisme et limitent toujours plus le champ politique du réformisme avec l’absence de « grains à moudre ».
Les forces réformistes contemporaines (la « gauche de la gauche » ) tentent de relancer les rêves dangereux sur l’utilisation des instances impérialistes (FMI, Banque Mondiale, UE) pour démocratiser la vie sociale, modifier la logique économique du Capital sans toucher à sa propriété monopoliste des moyens de production et d’échange.
C’est un réformisme sans objet ni réalisation, qui n’a pour finalité que de détourner de la révolution socialiste.
Aujourd’hui, le bilan du capitalisme est catastrophique, puisque la majorité du globe n’a pas d’emploi ou de toit, l’électricité et l’eau potable sont un rêve inaccessible pour beaucoup. Dans les citadelles du capitalisme, l’écart entre les potentialités économiques et scientifiques et le vécu quotidien de la majorité de la population, fait
d’appauvrissement, d’angoisses du lendemain, d’absences de perspectives collectives et personnelles, ouvrent une opportunité historique à ce qui constitue l’identité et le but historique du Parti communiste: la construction du socialisme dans la perspective du communisme !

La crise de la représentation politique
La crise du capitalisme s’accompagne d’une dimension politique.
Les forces politiques au service du Capital éprouvent une grande difficulté à créer un consensus autour de leurs propositions et sont dans une difficulté croissante pour tromper les masses populaires.
Comme dans beaucoup d’autres États impérialistes, la représentation politique est fondée sur le bipolarisme avec la réaction classique et la social-démocratie qui se succèdent en alternance pour une politique au même contenu de classe au service des intérêts monopolistes et financiers.

Bipolarisme qui se fonde sur un large consensus entre les parties prenantes sur les questions cardinales pour la classe capitaliste : sur la politique néolibérale du capital, sur la construction de l’Europe des monopoles, sur la politique néocoloniale de l’impérialisme français y compris au moyen des guerres (Yougoslavie, guerre du Golfe, Afghanistan, Libye)
Les manifestations les plus visibles de ce consensus sont sources d’affaiblissement du système démocratique bourgeois mis en place en 1958, comme lors du référendum sur le projet de Traité constitutionnel européen, où les députés et sénateurs UMP et PS (avec leurs satellites) appelaient au OUI (soit 90 % de la représentation politique), et ont pourtant subi un cruel démenti de la vox populi.
Il a fallu un véritable putsch institutionnel de ces mêmes partis pour faire passer la nouvelle mouture du TCE aux forceps, au Parlement !
La constitution de la Vème République, en instaurant le monarcho-présidentialisme, a aggravé les restrictions aux libertés démocratiques dans tous les domaines, affaiblissant le rôle du Parlement, ne reconnaissant que les forces satellisées soit autour de l’UMP ou du PS. Elle a introduit « la réaction sur toute la ligne » (Lénine) par une
« démocratie » tronquée, camouflage de la toute puissance des forces d’argent.
Les instituts de sondages aux mains de la classe capitaliste, tentent de manière totalitaire d’orienter l’opinion publique autour des candidats représentants du bipolarisme. Et si cela ne fonctionne pas, le FN des Le Pen, avec sa politique de chauvinisme bestial, de discriminations, de racisme, sa démagogie fasciste, est placé en réserve.
Avec les derniers sondages, l’objectif des monopoles est multiple, mais régi par le même intérêt de classe. La « montée » de Marine Le Pen peut viser d’une part à promouvoir un candidat UMP en place de Sarkozy, à qui la bourgeoisie reproche de ne pas avoir cassé le mouvement ouvrier et d’avoir engendré un formidable rejet ; ou de
promotionner le social-démocrate Strauss-Kahn, décrédibilisé par son poste de directeur du FMI où il a veillé à l’application des directives des Banques et États impérialistes pour mettre à genoux les pays dépendants par des politiques de rigueur paupérisant les travailleurs et retraités.
Alors les sondages, dans le but de relancer sa candidature, le présentent comme le seul rempart efficace contre Le Pen !

Quant à Sarkozy, il ne voit pas d’échappatoire, hors l’alignement sur les déclarations xénophobes du FN, pour faire oublier son bilan catastrophique pour les travailleurs et le pays !
Le PS constitue un obstacle majeur à toute véritable alternative populaire immédiate, puisque sa nature de classe est de servir les intérêts financiers et patronaux tout en dupant (de moins en moins) les travailleurs en colère contre la politique néo-vichyste de Sarkozy.
Dans tous les cas de figure, c’est le Capital qui l’emporte !

Chers Camarades,

L’URCF juge qu’il faut construire ensemble un front politique afin que se constitue un bloc social antagonique au capitalisme, sous la direction de la classe ouvrière . Il nous faut forger, sur la base des actions communes, un mouvement unitaire qui se fasse entendre lors des élections législatives prochaines, afin que soit représenté le courant communiste avec sa politique de classe, indépendante des partis bourgeois ou petits-bourgeois, en dénonçant le bipolarisme comme forme de la dictature du Capital et avec une stratégie tournée vers la popularisation du socialisme comme seule alternative au capitalisme. Ensemble, nous serons plus forts !
Bien sûr, il ne s’agit pas de créer des illusions électoralistes qui ont fait tant de mal dans le pays, mais de manière léniniste, d’utiliser la tribune parlementaire pour avancer dans la construction de ce bloc social antagonique.
L’existence d’un tel mouvement unitaire des communistes constituerait le noyau révolutionnaire d’un front plus large, que nous appelons Front d’Alternative Populaire Anticapitaliste , qui viserait à regrouper syndicats, associations, mouvements ou partis, aspirant à une véritable alternative contre les partis gestionnaires du Capital
UMP, FN, PS.
Il s’agit, dans ce front large et grâce au front unique, de convaincre les militants de base des organisations réformistes, du bien fondé de l’anticapitalisme.

Mais nous n’en sommes encore pas là ; l’urgence est de construire l’unité d’action des communistes autour de leur identité révolutionnaire et de leur but stratégique : le renversement du capitalisme.
La liquidation du Parti Communiste en tant que parti révolutionnaire a été le fruit d’une stratégie opportuniste, remettant en selle notamment une social-démocratie discréditée pourtant par les guerres coloniales.
Opportunisme fondé sur une séparation non-dialectique, entre tâches intermédiaires démocratiques et sociales et la perspective stratégique révolutionnaire socialiste, de plus en plus perdue de vue.
Cela a entraîné une confusion entre stratégie d’étapes et processus révolutionnaire unique.
Deux étapes sont nécessaires pour les pays sous le joug de l’impérialisme : d’abord une révolution national démocratique qui assure libertés publiques, la terre à ceux qui la travaillent et la nationalisation des entreprises y compris étrangères.
Si la classe ouvrière assure son rôle dirigeant, il y a transition à la révolution socialiste qui liquidera le capitalisme.
Dans un pays de capitalisme développé comme la France, il n’y a pas d’étape préalable, la mission historique est de vaincre la capitalisme au moyen d’une révolution socialiste, pour résoudre l’antagonisme Capital/Travail, pour socialiser l’économie, liquider l’exploitation, briser l’État capitaliste et assurer le transfert du pouvoir à la classe ouvrière et à ses alliés, pour démocratiser le pays dans tous les domaines.
La victoire de la révolution socialiste s’appuie sur un processus, durant toute une période historique, avec ses avancées et reculs, victoires et défaites, avec ses luttes multiformes qui se traduiront, le moment venu, par la rupture révolutionnaire avec le système d’exploitation, véritable bond qualitatif vers l’édification du socialisme.
Ce processus prend racine dans l’ensemble des luttes différenciées à caractère social, démocratique, anti-guerre, culturel, différenciées notamment par les courants réformistes au nom des « spécificités ».
Les communistes et leur parti sont les seuls à pouvoir fédérer toutes les luttes, en les reliant avec démonstrations, à la dénonciation du capitalisme, et à la nécessité de son renversement.
En effet, la source et l’origine de tous les maux de notre pays ne résident en soi ni dans le néolibéralisme ni dans l’UE, l’Euro et la « mondialisation », qui sont des conséquences plus que des causes, mais bien dans le mode de production capitaliste qu’il faut renverser pour assurer la démocratie, la paix, le progrès social.
Cela signifie accorder le primat aux luttes politiques et sociales, et considérer qu’après des décennies de « lutte pour le socialisme », toujours renvoyée à un horizon plus lointain, les communistes doivent être en capacité de se battre et de fédérer toutes les aspirations progressistes, démocratiques, en les reliant à la lutte contre le
capitalisme pour la révolution socialiste.
Luttes et processus qui peuvent permettre la conquête de réformes progressistes imposées au capital et qui, toujours reliées à notre but stratégique, constitueront des points d’appui supplémentaires dans la lutte contre la domination du Capital.
Prenons la lutte pour la démocratie : l’abrogation de la Constitution réactionnaire de la Vème République, l’appel à la Constituante, l’introduction de la proportionnelle intégrale, favoriseraient la satisfaction des aspirations démocratiques et dans le même temps le déploiement de la lutte pour le socialisme en créant des conditions de
luttes plus favorables.
Concernant la lutte anti-impérialiste, contrairement à ce que préconisent les réformistes, il n’y a pas de solutions progressistes dans le cadre de l’UE conçue par les monopoles pour leurs seuls intérêts.
Les travailleurs doivent engager des luttes multiformes contre l’UE, instrument de domination et d’oppression des monopoles internationaux, qui précisément coalise l’ensemble des États contre les travailleurs, liquide leurs droits et conquêtes, et mène une politique de pillage contre les États dépendants et de guerre contre les récalcitrants au nouvel ordre mondial impérialiste.
La juste voie révolutionnaire anti-UE est celle du combat permanent jusqu’à la rupture avec cet organisme réactionnaire dirigé contre le mouvement ouvrier et contre « le socialisme en Europe » (comme le prévoyait Lénine).
Lutte qui ne peut donc manquer d’avoir un contenu anticapitaliste et anti-impérialiste.
La rupture avec l’UE ne signifierait pas un quelconque retour au capitalisme « national » (impossible à la phase actuelle de l’impérialisme), mais une phase décisive et importante du processus conduisant à la révolution anticapitaliste.
Dans la lutte pour la défense de l’indépendance nationale et du droit de chaque peuple à opter pour sa propre voie de développement, nous pouvons gagner des victoires partielles en ajournant ou en abrogeant un traité impérialiste, mais cette défense véritable ne peut être assurée durablement que par la victoire de la classe ouvrière et l’instauration du socialisme.
Instauration qui signifie une nouvelle étape de l’histoire de la nation : la nation socialiste, qui abolira tous les traités inégaux, accordera l’autodétermination aux peuples opprimés par l’impérialisme français, s’ils ne l’ont pas conquise auparavant.
En tant qu’internationalistes, nous saluons les peuples frères d’Europe qui, à l’instar du peuple grec et de son Parti communiste, appellent les peuples d’Europe à se soulever.
La lutte contre le capitalisme, pour la rupture avec l’UE, l’OTAN, le FMI, requiert la solidarité et la coordination de luttes à l’échelle internationale, c’est là la mission des partis communistes.
C’est le sens moderne de l’appel de Marx et Engels « Prolétaires de tous les pays unissez-vous ! ».
Communistes de France, nous devons ensemble apporter notre contribution.
En France pour vaincre le capitalisme, il faut lui opposer un bloc social et progressiste antagonique ayant à sa tête la classe ouvrière (y compris immigrée, dont nous assurerons tous les droits sous le socialisme), les employés, les couches moyennes, les paysans travailleurs, les intellectuels et créateurs.
C’est le sens de l’appel de l’URCF à construire un Front d’Alternative Populaire anticapitaliste avec pour noyau le bloc des organisations communistes, qui vise à arracher la majorité des travailleurs à l’influence du réformisme et à sa politique néfaste d’aménagement du système d’exploitation, à défendre des revendications essentielles
comme la nationalisation sans indemnités des monopoles afin de satisfaire les besoins urgents, mais aussi de poser la question centrale de l’État capitaliste.
L’unité révolutionnaire des communistes et la fondation d’un nouveau et authentique Parti communiste de France ne peuvent s’effectuer qu’autour de la capacité des organisations communistes à lier en un courant révolutionnaire unique l’ensemble des revendications quotidiennes, sociales, démocratiques au rôle historique de la classe ouvrière, classe porteuse de la seule et véritable alternative au capitalisme : le socialisme.
Cette capacité, nous vous proposons de la multiplier, ensemble, par l’action autour de notre identité commune et de notre objectif révolutionnaire.

Chers camarades,
La stratégie visant à conscientiser un bloc antagonique au capitalisme et à promouvoir le socialisme comme seule alternative au capitalisme constitue, selon l’URCF, la base de principes identitaires et d’actions pour que, sans impatience mais avec énergie, nous puissions à terme travailler et contribuer ensemble à la fondation de ce qui fait défaut aux luttes actuelles des travailleurs : le Parti Communiste de France.

Salutations fraternelles et communistes.
Le Comité central de l’URCF - 28 mars 2011



Edité le 18-05-2011 à 14:48:21 par Xuan




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