Sujet : du CMLF au Comité Valmy | | Posté le 14-02-2016 à 13:57:03
| Ci-dessous le courrier de Gilbert Remond et les documents cités Bonjour: Après une petite enquête auprès du livre de Patrick Kessel "le mouvement maoïste en France" ( 10/18) et grâce au concoure de mes camarades des" éditions prolétariennes", j'ai pu retrouver trace du parcoure de Claude Beaulieu et des positions politiques qu'il défendait dans les années 65/67. Je met en claire ce qui le concerne sur la période incriminée, mais vous trouverez plus de détail et surtout une analyse de ses positions dégagées certes mais prises aussi dans une globalité , celle qui conduira a la constitution du mouvement maoïste. Vous pourrez les lire prendre connaissance de leur dynamique en suivant les liens que ces camarades m'ont transmis. La description qui en découle demeure intéressante étant donné les noms qui jalonnent cette histoire. Certains vous vous en apercevrez nous sont bien connu aujourd'hui . Ils constituent une nomenclature de ce mouvement mais aussi par la force des choses, de la bataille politico idéologique qui en découlera et dans laquelle nous nous trouvons encore pris a ce jour. D'autres ont disparu dans l'obscurité des gloires éphémère, l'histoire est cruelle pour ceux qui se trompe de compartiment ( je pense a la classe tout risque de "générations" et de ses destins inachevés . La jeunesse n'est pas éternelle ou alors se fige avec le visage de la mort. Faust reste un personnage romanesque et son pacte une idée littéraire moins courue que celles du très balzacien Rastignac ) Les commentaires que vous trouverez, tant des historiens que des acteurs de cette époque, sont claires et sans ambiguïtés. Certain pourrons redire que cela" leur fait froid dans le dos" ! Il est vrai qu'alors ont ne s’embarrassait pas de nuance et que le vocabulaire militant était très fleurie. Ce qui devait être dit était dit, même si parfois il s'en disait plus que ce qu'il aurait fallu. La lutte de classe était rude et ses acteurs conscients qu'elle ne faisait pas dans la dentelle. Avaient-ils raison? Je vous en laisse juge. Mais la constance de certains positionnement reste troublante, surtout dans le contexte qui est le notre aujourd'hui, où le nouveau à du mal a émerger et ou la division reste encore le plus sur de ce que le réel nous révèle dans le paysage politique du pays. Comme vous pourrez vous en rendre compte le nombre des prétendants n'était pas mois élevé et les querelles allaient bon train pour savoir qui serait le parti de la classe et de la révolution. Entre les deux formations les plus connue une troisième cherchait a coiffer tout le monde, sortie on ne sait d'où, elle tentait de se faire reconnaitre, vous verrez au fond que du CMLF au comité valmy, l'analyse reste la même. Utilisant une affiche du parti que ce dernier détourne de ses objectif le comité Valmy appelle a voter pour l'UPR ou a s'abstenir. Mais l'UPR est bien présenté comme proche de ses conceptions politiques pour le pays. Gilbert
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Position du comité Valmy en 2015 site Comité Valmy Elections régionales : la position du Comité Valmy Les dimanches 6 et 13 décembre 2015, les Français sont appelés aux urnes. L’objectif du pouvoir est de faire valider par leur vote, la mise en place de 13 régions destinées à assumer, autour de villes-métropoles, le rôle majeur dans une politique conforme aux intérêts de l’économie mondialisée, au service de l’oligarchie financière européenne. Cette réforme retire aux communes et aux départements leurs compétences actuelles et annihile les rapports démocratiques que ces structures, conquêtes de la Révolution française, entretenaient avec les citoyens. De plus, en redessinant treize régions, sans lien historique, géographique ou culturel, le pouvoir PS construit arbitrairement de vastes espaces politiques qui doivent s’inscrire dans une Union européenne redessinée où les nations devraient laisser la place à des « länder » à l’Allemande, échelons directement soumis aux impératifs du capital européen. C’est dire l’extrême danger de cette nouvelle régionalisation – Pour notre peuple privé de son droit souverain de décider de son avenir. – Pour notre nation disloquée dans la mosaïque européenne en voie de fédéralisation imposée, pour non seulement son indépendance, mais également pour sa survie. C’est pourquoi le Comité Valmy appelle lors des scrutins des 6 et 13 décembre : – soit à l’abstention – soit au vote pour les listes de l’UPR, dont les analyses et les objectifs rejoignent les siennes, La quasi-totalité des listes, en compétition – sauf celle de l’UPR, celle-ci faisant exception – est partagée entre ceux qui sont partisans de l’Europe fédérale des régions et d’autres, dont il est difficile de connaître les objectifs véritables et de savoir s’ils entendent réellement rejeter l’euro et retirer la France de l’Ue et de l’OTAN ou persévérer dans la trahison nationale. Le choix essentiel laissé aux électeurs, se réduit à un affrontement entre candidats se réclamant d’étiquettes différentes bien que menant au pouvoir la même politique, celle de Bruxelles, et un parti qui joue le rôle du seul opposant, sans que ses objectifs, eux aussi, ne mettent clairement en cause l’appartenance de la France à l’Union européenne, c’est-à-dire au système de contrainte qui mène le pays à sa disparition. Comité Valmy 3 décembre 2015 position et histoire du CMLF en 1965 : 18 mars : Constitution du Centre marxiste-léniniste de France (CMLF), à partir du Cercle de Clichy. Le Bulletin d'information marxiste-léniniste (puis Tribune rouge) devient l'organe du mouvement. Ce CMLF a des liens privilégiés avec le Parti communiste de Belgique de Jacques Grippa. Il appela à voter pour le général de Gaulle lors des présidentielles des 5 et 19 décembre 1965, celui-ci apparaissant au CMLF comme l'opposant principal face aux Etats-Unis. 1er mai : Claude Beaulieu et Alain Dupuy, du CMLF, sont en visite à Pékin, et un autre dirigeant se rend en Albanie. Décembre : Pour les présidentielles, dans son Bulletin d'information marxiste-léniniste (n° 15) le CMLF de Claude Beaulieu appelle à battre le candidat « pro-américain » Mitterrand, et à former un Front uni national contre l'impérialisme américain. 10 décembre : Communiqué du CMLF appelant à voter pour le général de Gaulle. en 1966 : 16 janvier : Le CMLF de Claude Beaulieu réunit à Paris sa 1ère Conférence nationale. Celle-ci défend la ligne de Front national uni. Source les éditions prolétariennes : Alors que les marxistes-léninistes lançaient le juste mot d'ordre , le C.M.L.F. propageait l'idée que les marxistes-léninistes appelaient à voter de Gaulle, ce que les révisionnistes ne manquèrent pas d'utiliser. ..... De l'extérieur du Mouvement communiste français (marxiste-léniniste), les attaques ne manquèrent pas contre le projet de création du nouveau PARTI MARXISTE-LENINISTE. Nous ne relaterons pas celles lancées par le groupe du fameux C.M.L.F. (Centre Marxiste-léniniste de FRANCE) dirigé par un agent provocateur. Il s'agissait d'une activité d'officine organisée par l'ennemi depuis 1963. Lorsqu'il s'agit de la ligne cynique de l'ennemi, les choses peuvent être plus faciles à discerner que lorsqu'il s'agit d'une lutte de lignes au sein du mouvement ou même du simple courant se réclamant du marxisme-léninisme. Lorsque l'agent Jacques GRIPPA fut démasqué sur le plan international, son homologue et subordonné en France se trouva du même coup lui-même démasqué. La lutte contre les dirigeants de ce prétendu " C.M.L.F. " dura cinq années "Non à De Gaulle !" "Non à Mitterrand !" "je vote communiste!" : affiches de la Fédération des Cercles marxistes-léninistes L’appel du CMLF à voter De Gaulle fut lancé le 10 décembre 1965 – réaction de l’Huma « ils se démasquent définitivement ». Le Monde fait état des contradictions le 16 décembre 1965. Justification du CMLF dans « le mouvement maoïste en France » tome1 de P. Kessel, pages 133 à 135 - Bulletin d’Information Marxiste-Léniniste , n° 15, décembre 1965. Extrait : « Conquérir l’indépendance nationale est devenu la question principale du peuple français ! » Les pays constituant la deuxième zone intermédiaire présentent un double caractère : leurs classes dirigeantes exploitent et oppriment autrui alors qu’elles-mêmes sont victimes du contrôle, de l’intervention et des vexations des Etats-Unis. Ainsi cherchent-elles par tous les moyens à se débarrasser du contrôle américain. Dans ce sens elles ont ne point commun avec les pays socialistes et les peuples de tous les pays. L’impérialisme américain est devenu la cible du monde entier. Aux Partis prolétariens des pays capitalistes et impérialistes se pose à l’heure actuelle ne tâche primordiale : brandir le drapeau de la lutte contre l’impérialisme américain et réunir autour d’eux toues les forces patriotiques anti-U.S.A. pour mener une lutte résolue contre l’impérialisme américain et ses laquais. Dans cette lutte, plus ils concentrent leurs coups contre la force la plus réactionnaire, plus ils peuvent rallier les forces intermédiaires et ainsi développer les forces révolutionnaires. Il est bien évident pour les marxistes-léninistes français, que dans un tel contexte international la position et le rôle de notre pays sont particulièrement importants. En effet, les contradictions inter-impérialistes qui opposent la fraction du capitalisme monopoliste français sous contrôle national actuellement au pouvoir et représentée par de Gaulle à l’impérialisme américain et ses laquais en France, la fraction du capitalisme monopoliste de France sous contrôle américain et représentée par diverses forces réactionnaires dont la S.F. I. O. et Mitterrand, ont pris un caractère extrêmement important qui dépasse le seul intérêt national français. Ainsi que l'ont dit les camarades chinois, ces contradictions ont pris un caractère planétaire. Dans ces conditions, la lutte pour l'indépendance nationale est devenue la question principale à laquelle sont désormais subordonnés tout progrès social et tout essor de la démocratie. L’impérialisme américain, peuple français contre lequel il convient de diriger les coups principaux. Le coup principal que peut porter le peuple français à l’impérialisme américain, à l’heure actuelle, consiste à reconquérir notre indépendance nationale totale. Cette lutte pour l’indépendance nationale a été mise en sommeil par le parti révisionniste depuis une époque qui correspond sensiblement, comme par hasard à l’arrivée au pouvoir en U. R. S. S. du renégat Khrouchtchev. Elle a été totalement abandonnée par nos révisionnistes suivistes par tradition au fur et à mesure que le P. C. U. S. s'enfonçait dans sa politique de reniement et de collaboration avec l’impérialisme américain. Les marxistes-léninistes ne craignent pas de dire que le gouvernement capitaliste actuel de notre pays ainsi que notre peuple ont un ennemi commun : l'impérialisme américain. L’impérialisme américain, par rapport à la France, s'est fixé comme objectif d'urgence de reprendre la domination économique et politique, de la France, point stratégique en Europe, domination qui lui permettrait, aussi de réaliser rapidement l'Europe supranationale et américanisée. Pour ce faire, ils ont la possibilité d'inciter la fraction des monopoles capitalistes de France sous leur contrôle, à reprendre le pouvoir d'État, d'où la candidature Defferre à l’élection présidentielle du 5 décembre, puis Deferre étant trop marqué, en tant qu’agent américain, celle actuelle, de Mitterrand qui permet de développer une intense démagogie grâce à l'appui qu'elle reçoit de la part du parti révisionniste. Alors, les choses sont claires, tout faire pour que le candidat pro-américain, Mitterrand, et les autres, à la présidence de la République soient battus le 5 décembre est une nécessité absolue immédiate. En ce qui concerne la ligne stratégique et la tactique proposées par le Centre marxiste-léniniste de France pour l'avenir, nous sommes également précis : nous appelons le peuple français et, en premier lieu la classe ouvrière, à lutter dans la perspective d’un Front Uni National contre l’impérialisme américain. Ce Front Uni National devra regrouper, sous la direction de l’avant-garde du prolétariat, le Parti Communiste qui doit être reconstitué, toutes les forces favorables à l'indépendance nationale. Il est bien évident pour les véritables communistes, pour les marxistes-léninistes, que cette perspective ne saurait signifier l'abandon de la lutte contre la politique gaulliste sur le plan intérieur qui est extrêmement réactionnaire. Au contraire, cette lutte doit être renforcée et les circonstances d'un Front Uni National doivent permettre aux travailleurs d’arracher certaines conquêtes importantes à la grande bourgeoisie. La perspective d'un Front Uni-National ne peut s'envisager qu'avec un caractère double d'alliance et de lutte de classes. L’alliance ne se substitue pas à la lutte mais lutte et alliance doivent aller de pair, chacune d'elles pouvant selon les moments prendre plus d'importance.
Edité le 01-03-2016 à 20:51:15 par Xuan |
| | Posté le 14-02-2016 à 19:40:49
| Ceux qui, au nom du communisme, défendent leur propre impérialisme sous prétexte de s'opposer à un autre impérialisme, ont toujours causé des dégâts dans le mouvement ouvrier révolutionnaire. A l'époque, quand Beaulieu appelait à voter De Gaulle pour s'opposer à Mitterrand (supposé être l'homme des USA), il a mis un coup de poignard dans le dos à ceux qui, dans le mouvement communiste en France, commençaient à s'organiser contre le révisionnisme du PCF. J'ai connu cette époque (je suis né en 1945). La ligne de la FCMLF était la juste: NI DE GAULLE,NI MITTERRAND. IL FAUT UN CANDIDAT COMMUNISTE ! Il existe encore aujourd'hui dans le magma des organisations qui se revendiquent du marxisme léninisme certaines qui, (avec ou sans nuances) se trouvent sur la même ligne: elles considèrent que la France seraient dominée par l' (ou des) impérialisme(s) et que l'objectif premier est de retrouver l'indépendance nationale... étape nécessaire pour avancer vers le socialisme... Ces (ou cette) organisation(s) dévoient objectivement le combat immédiat de la classe ouvrière contre la bourgeoisie française. |
| | | | Posté le 02-03-2016 à 23:38:12
| "Il y a deux classes, et qui n'est pas avec l'une est nécessairement avec l'autre" Piqué sur son désintérêt pour la classe ouvrière, Beaulieu met des bouchées doubles pour se rattraper. Jusqu’alors en matière de licenciement, il s’était surtout intéressé au procès de RFI face au journaliste d’Alain Ménargue, en 2011. Ou bien en 2009, au licenciement par Hervé Maurin d’Aymeric Chauprade enseignant-chercheur de la Défense pour ses thèses sur le world Trade Center. On notera que ce député a quitté le Front National en 2015 sur les positions du père Le Pen. Il est aisé de reproduire un communiqué de la CGT pour se poser en combattant prolétarien. Mais ses pirouettes n'abusent pas ; à un moment donné il faut définir qui est l'ennemi principal de la classe ouvrière : Affirmer qu'elle s'oppose en premier lieu aux monopoles capitalistes et au patronat français, ou bien « en premier lieu , à l’oligarchie financière mondialisée qui opprime de manière quasi coloniale notre peuple, à travers l’euro dictature atlantiste, occidentaliste sous hégémonie germano-américaine » . Et sur ce point Beaulieu a tranché, ses accointances pour les représentants des grands monopoles financiers, industriels et commerciaux n'ont pas varié depuis De Gaulle. Ce sujet s'ouvrait sur son soutien à Asselineau lors des régionales de 2015 : Le 3 décembre 2015 le Comité Valmy appelait à voter pour l’UPR d’Asselineau aux élections régionales. Le lendemain François Asselineau le remerciait chaleureusement : Le Comité Valmy appelle les Français à voter UPR (ou à s’abstenir) aux élections régionales de dimanche prochain Publié le 4 décembre 2015 dans Le Comité Valmy – avec lequel l’UPR partage de nombreuses analyses et entretient des liens de respect mutuel – se définit lui-même comme étant « une organisation républicaine et progressiste, patriotique, internationaliste et anti-impérialiste. Son origine se situe dans le combat républicain et pluraliste mené contre la ratification du traité de Maastricht. Il rassemble des militants issus de différentes sensibilités de l’arc républicain et notamment des gaullistes, des communistes, des chevènementistes, des socialistes, des radicaux, des écologistes et, d’une manière générale, des militants hostiles à la mondialisation, au néo-libéralisme et à l’Europe supranationale qui en découle » . Par une décision de son instance dirigeante, présidée par Claude Beaulieu, prise le 3 décembre et annoncée ce 4 décembre, le Comité Valmy appelle ses adhérents et sympathisants, soit à s’abstenir aux élections régionales du 6 décembre, soit « au vote pour les listes de l’UPR, dont les analyses et les objectifs rejoignent les siennes » . Le Comité Valmy justifie sa prise de position en soulignant à juste titre que « la quasi-totalité des listes, en compétition – sauf celle de l’UPR, celle-ci faisant exception – est partagée entre ceux qui sont partisans de l’Europe fédérale des régions et d’autres, dont il est difficile de connaître les objectifs véritables et de savoir s’ils entendent réellement rejeter l’euro et retirer la France de l’UE et de l’OTAN ou persévérer dans la trahison nationale » (cf. http://www.comite-valmy.org/spip.php?article6606). Le Bureau National de l’UPR salue cette prise de position du Comité Valmy et le remercie pour cet appel, conforme à l’esprit de rassemblement du Conseil National de la Résistance ainsi qu’aux idéaux communs qui nous animent. Je remercie tout spécialement Claude Beaulieu et les membres de l’instance dirigeante du Comité Valmy pour cette décision qui nous fait chaud au cœur et qui renforce encore la détermination des milliers d’adhérents et de militants de l’UPR à mettre un terme à la destruction en cours de la République française. François ASSELINEAU On appréciera tout particulièrement l'action énergique de Beaulieu s'opposant "à la destruction en cours de la République française" . Qu'il prétende orienter le mouvement communiste vers la préservation de la République bourgeoise, voilà qui ne manque pas de sel. Signalons quand même que François Asselineau, créateur le 25 mars 2007 de l’Union Pour la République, préconise – dans l’esprit de la résistance antinazie - l’unité des ouvriers et des patrons pour la défense de la Patrie en danger. Membre en 1999 du Rassemblement pour la France (RPF), créé par Charles Pasqua et Philippe De Villiers, Asselineau entre à son bureau national en 2001. Diplômé d'HEC Paris, vice major de l’ENA, Inspecteur général des finances, il a été membre de cabinets ministériels (notamment auprès du fondateur d’Occident Gérard Longuet, ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur, ministre des affaires étrangères). Directeur du cabinet de Françoise de Panafieu, ministre du Tourisme, dans le gouvernement Juppé, puis en janvier 1996 chargé de mission au cabinet d’Hervé de Charette, ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement Juppé. Le 19 mars 2001, François Asselineau a été choisi comme membre du conseil de Paris dans les 19e d'arrondissement de Paris. Sa liste dissidente de droite a fait un accord avec Jean Tiberi et Charles Pasqua, dans une triangulaire contre le Rassemblement pour la République (RPR). Directeur de cabinet du président du Conseil général des Hauts de Seine Charles Pasqua de 2000 à 2004. Vice président du conseil général des Hauts De Seine (responsable des affaires économiques et internationales). source Voilà donc vers quels rivages nauséabonds Monsieur Beaulieu voudrait entraîner la « dynamique de régénération d’un parti communiste en France » . |
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